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vardes et des eunuques ! Nous voici plus près de
Shakespeare
que du piétisme sentimental et de l’unctio spiritualis des dévots… Ma
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t est essentiel — ou, pour reprendre la phrase de
Shakespeare
, à une histoire racontée par un idiot » (p. 261). C’est une histoire
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cisme ou d’ironie. Nous ne savons presque rien de
Shakespeare
, — mais nous avons le Songe d’une Nuit d’été. Et l’on dit qu’il était
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à peu près tout de la vie, voire de l’identité de
Shakespeare
, il est vain de se demander s’il connaissait la tradition secrète des
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cisme ou d’ironie. Nous ne savons presque rien de
Shakespeare
— mais nous avons le Songe d’une Nuit d’été. Et l’on dit qu’il était
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à peu près tout de la vie, voire de l’identité de
Shakespeare
, il est vain de se demander s’il connaissait la tradition secrète des
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cisme ou d’ironie. Nous ne savons presque rien de
Shakespeare
— mais nous avons le Songe d’une Nuit d’été. Et l’on dit qu’il était
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à peu près tout de la vie, voire de l’identité de
Shakespeare
, il est vain de se demander s’il connaissait la tradition secrète des
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e par l’Aspic de l’orgueil. 6. Genèse 3, 6. 7.
Shakespeare
, Twelfth Night II. 2. 8. Voir plus bas les chapitres sur Hitler, pu
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tre de pierre où les amateurs du pays jouaient du
Shakespeare
avant la guerre. Les deux fils, officiers de marine, se sont battus d
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tre de pierre où les amateurs du pays jouaient du
Shakespeare
avant la guerre. Les deux fils, lieutenants de vaisseau, se sont batt
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tre de pierre où les amateurs du pays jouaient du
Shakespeare
avant la guerre. Les deux fils, officiers de marine, se sont battus d
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aque de crimes potentiels, comme l’ont dit Freud,
Shakespeare
et les Pères de l’Église. Ici pourtant la confiance règne, mais ce mi
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e l’Europe c’est Pascal et Goethe, c’est Dante et
Shakespeare
, c’est Paul Valéry, etc. Bien sûr ; mais hélas ! l’Europe réelle, ce
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e l’Europe c’est Pascal et Goethe, c’est Dante et
Shakespeare
, c’est Paul Valéry, etc. Bien sûr ; mais hélas, l’Europe réelle, ce n
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es traits les plus saillants du drame inventé par
Shakespeare
, ceux qui évoquent à première vue le drame vécu par Kierkegaard et no
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ous le décrivent les premières scènes du drame de
Shakespeare
, et Kierkegaard tel qu’il se montre dans son premier ouvrage, L’Alter
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l’analyse interminable des motifs de la rupture.
Shakespeare
, au contraire, ne motive guère l’attitude d’Hamlet à l’égard d’Ophéli
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nt, dans la lecture alternée de Kierkegaard et de
Shakespeare
, j’avoue qu’il m’est arrivé plus d’une fois de ne plus bien savoir le
20
r l’Hamlet de Shakespeare. Kierkegaard reproche à
Shakespeare
de n’avoir pas fait d’Hamlet un drame religieux. Car, si les scrupule
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par le moyen d’images connues de tous, celles de
Shakespeare
, certains moments mystérieux d’une dialectique tout intérieure. On se
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as en tant qu’Italien que Raphaël m’intéresse, ni
Shakespeare
en tant qu’Anglais. Et je ne suis pas du tout sûr qu’il faille « appr
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aque de crimes potentiels, comme l’ont dit Freud,
Shakespeare
et les Pères de l’Église… Dix années ont passé, et plus que jamais, s
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ac : La Comédie humaine. 21. Bacon : Essais. 22.
Shakespeare
: Théâtre. 23. Swift : Les Voyages de Gulliver. 24. De Foe : Robinson
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ue les Cannibales créent Caliban dans le génie de
Shakespeare
; que le Nouveau Monde fasse surgir le Novum Organum dans le génie de
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llement la Bible et l’Odyssée, la Divine Comédie,
Shakespeare
et Baudelaire d’agir sur nous. Que le héros affronte son destin à pie
27
« De même qu’Hamlet est une géniale conception de
Shakespeare
, on pourrait appeler Kierkegaard une géniale conception de Dieu… ou b
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tions imaginaires d’un Béroul, d’un Marlowe, d’un
Shakespeare
et d’un Tirso de Molina, dont les coordonnées dans l’espace et le tem
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es traits les plus saillants du drame inventé par
Shakespeare
, ceux qui évoquent à première vue le drame vécu par Kierkegaard et no
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ous le décrivent les premières scènes du drame de
Shakespeare
, et Kierkegaard tel qu’il se montre dans son premier ouvrage, L’Alter
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l’analyse interminable des motifs de la rupture.
Shakespeare
, au contraire, ne motive guère l’attitude d’Hamlet à l’égard d’Ophéli
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nt, dans la lecture alternée de Kierkegaard et de
Shakespeare
, j’avoue qu’il m’est arrivé plus d’une fois de ne plus bien savoir le
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r l’Hamlet de Shakespeare. Kierkegaard reproche à
Shakespeare
de n’avoir pas fait d’Hamlet un drame religieux. Car, si les scrupule
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par le moyen d’images connues de tous, celles de
Shakespeare
, certains moments mystérieux d’une dialectique tout intérieure. On se
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« De même qu’Hamlet est une géniale conception de
Shakespeare
, on pourrait appeler Kierkegaard une géniale conception de Dieu… ou b
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haut rang. Hölderlin et Keats, Mozart et Rubens,
Shakespeare
et Dostoïevski seraient impensables en tant que Suisses. Une certaine
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iècles. Il en apparaît quelque chose dans Villon,
Shakespeare
, Cervantès, Molière, et une fois dans Racine. La misère humaine est m
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humaine ; en poésie, la sphère aurait pour mesure
Shakespeare
; en musique, Bach ou Beethoven ; en mathématiques, Newton et Leibniz
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gile, Virgile en Dante, Plutarque et Sénèque dans
Shakespeare
, Shakespeare dans le Götz de Berlichingen de Goethe, Euripide dans l’
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en Dante, Plutarque et Sénèque dans Shakespeare,
Shakespeare
dans le Götz de Berlichingen de Goethe, Euripide dans l’Iphigénie de
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haut rang. Hölderlin ou Racine, Mozart ou Rubens,
Shakespeare
ou Dostoïevski seraient impensables en tant que Suisses. Une certaine
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aque de crimes potentiels, comme l’ont dit Freud,
Shakespeare
et les Pères de l’Église… Ici pourtant, s’il faut que j’en croie mes
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haut rang. Hölderlin ou Racine, Mozart ou Rubens,
Shakespeare
ou Dostoïevski seraient impensables en tant que Suisses. Une certaine
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jourd’hui. Dans ses illustrations des comédies de
Shakespeare
et du Paradis de Milton (il a pris le parti du diable, comme Blake, S
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ont aussi d’admirables adaptateurs-recréateurs du
Shakespeare
des Sonnets, de Keats, de Hölderlin ou de Robert Musil ; comme le fut
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sez fantasques qu’on eût dit nées des comédies de
Shakespeare
. On se rencontrait chez l’un ou l’autre, faute de terrasses de café,
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sez fantasques qu’on eût dit nées des comédies de
Shakespeare
. On se rencontrait chez l’un ou l’autre, faute de terrasses de café,
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gile, Virgile en Dante, Plutarque et Sénèque dans
Shakespeare
, Shakespeare dans Götz de Berlichingen de Goethe, Euripide dans Iphig
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en Dante, Plutarque et Sénèque dans Shakespeare,
Shakespeare
dans Götz de Berlichingen de Goethe, Euripide dans Iphigénie de Racin
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gile, Virgile en Dante, Plutarque et Sénèque dans
Shakespeare
, Shakespeare dans le Götz de Berlichingen de Goethe, Euripide dans l’
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en Dante, Plutarque et Sénèque dans Shakespeare,
Shakespeare
dans le Götz de Berlichingen de Goethe, Euripide dans l’Iphigénie de
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t Schiller vont découvrir par elle Homère, Dante,
Shakespeare
et Milton, mais aussi les Nibelungen et les minnesänger. Les célèbres
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germanique la première connaissance de Dante, de
Shakespeare
et des troubadours. Ainsi la Suisse romande se définit comme « Suisse
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spiré la poésie anglaise moderne, les comédies de
Shakespeare
, les opéras de Wagner, les récits oniriques du surréalisme, la part d
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ension anglaise : les remarquables traductions de
Shakespeare
jouées par les Pitoëff, avec des musiques de scène d’Honegger, et nou
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he vont découvrir, grâce à elle, Homère, Dante et
Shakespeare
— d’où les traductions de Lessing — tandis qu’elle révélera aux roman
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haut rang. Hölderlin ou Dante, Mozart ou Rubens,
Shakespeare
ou Dostoïevski ne seraient guère pensables en tant que Suisses. Une c