1 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
1 amour tel qu’on le parle » et la passion réelle). Tonio rentre un soir de New York portant gauchement sous le bras une longue
2 et c’est le Palais de Versailles ! » s’est écrié Tonio bourru, en pénétrant le premier soir dans le hall. Maintenant, on ne
3 ince couché sur le ventre et relevant les jambes. Tonio rit comme un gosse : « Vous direz plus tard en montrant ce dessin : c
2 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
4 amour tel qu’on le parle » et la passion réelle). Tonio rentre un soir de New York portant gauchement sous le bras une longue
5 ne et c’est le Palais de Versailles ! s’est écrié Tonio bourru, en pénétrant le premier soir dans le hall. Maintenant, on ne
6 ince couché sur le ventre et relevant les jambes. Tonio rit comme un gosse : « Vous direz plus tard en montrant ce dessin : c
3 1947, Articles divers (1946-1948). Journal d’un intellectuel en exil (mars 1947)
7 amour tel qu’on le parle » et la passion réelle). Tonio rentre un soir de New York portant gauchement sous le bras une longue
8 et c’est le Palais de Versailles ! » s’est écrié Tonio bourru, en pénétrant le premier soir dans le hall. Maintenant, on ne
9 ince couché sur le ventre et relevant les jambes. Tonio rit comme un gosse : « Vous direz plus tard en montrant ce dessin : c