1 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
1 amour tel qu’on le parle » et la passion réelle). Tonio rentre un soir de New York portant gauchement sous le bras une longue
2 et c’est le Palais de Versailles ! » s’est écrié Tonio bourru, en pénétrant le premier soir dans le hall. Maintenant, on ne
3 ince couché sur le ventre et relevant les jambes. Tonio rit comme un gosse : « Vous direz plus tard en montrant ce dessin : c
2 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
4 amour tel qu’on le parle » et la passion réelle). Tonio rentre un soir de New York portant gauchement sous le bras une longue
5 ne et c’est le Palais de Versailles ! s’est écrié Tonio bourru, en pénétrant le premier soir dans le hall. Maintenant, on ne
6 ince couché sur le ventre et relevant les jambes. Tonio rit comme un gosse : « Vous direz plus tard en montrant ce dessin : c
3 1947, Articles divers (1946-1948). Journal d’un intellectuel en exil (mars 1947)
7 amour tel qu’on le parle » et la passion réelle). Tonio rentre un soir de New York portant gauchement sous le bras une longue
8 et c’est le Palais de Versailles ! » s’est écrié Tonio bourru, en pénétrant le premier soir dans le hall. Maintenant, on ne
9 ince couché sur le ventre et relevant les jambes. Tonio rit comme un gosse : « Vous direz plus tard en montrant ce dessin : c
4 1979, Articles divers (1978-1981). « La qualité des choses que j’aime » (18 octobre 1979)
10 bain, à toutes les heures du jour et de la nuit. Tonio , rentré hier à New York, m’avait prié de l’attendre à la gare. Il par
11 ne et c’est le Palais de Versailles ! s’est écrié Tonio bourru, en pénétrant le premier soir dans le hall. Maintenant, on ne
12 ince couché sur le ventre et relevant les jambes. Tonio rit comme un gosse : « Vous direz plus tard en montrant ce dessin : c
13 t fait de mes nuits. Téléphones de Consuelo ou de Tonio à n’importe quelle heure de la nuit. Quelque drame vient de survenir
14 3 Consuelo m’appelle ce matin pour me dire que Tonio sera chez lui à l’heure du déjeuner et que je pourrai venir lui dire
15 ménité. Sur quoi Pierre Lazareff : « Mais voyons, Tonio  ! C’est très drôle ce que dit Denis ! » En fait, ce n’est pas drôle d