1 1926, Articles divers (1924–1930). Les Bestiaires, par Henry de Montherlant (10 juillet 1926)
1 cochon, saligaud ! » Il l’apostrophait ainsi tout bas , sur un ton révérenciel, et comme on déroule une litanie. Sous les gr
2 1926, Articles divers (1924–1930). Soir de Florence (13 novembre 1926)
2 ons maintenant le sentier du bord du fleuve, plus bas que la Promenade désertée. Sur les eaux, comme immobiles, des nuages
3 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
3 tes l’emportent peu à peu, une aspiration vers le bas produit une agitation accélérée et folle, puis tout finit dans un râl
4 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Lettre du survivant (février 1927)
4 t, ces œillères géantes aux pensées, le ciel trop bas d’un rêve sans issue, pesant comme l’envie d’un sommeil sans fin… J’a
5 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). L’autre œil (février 1927)
5 n flanc déjà meurtri, la suivaient en hurlant : «  Bas -toi là, bas-toi là ! »… Est-il plus atroce spectacle que celui d’une
6 meurtri, la suivaient en hurlant : « Bas-toi là, bas -toi là ! »… Est-il plus atroce spectacle que celui d’une maîtresse ja
6 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Louis Aragon, le beau prétexte (avril 1927)
7 gner, veut nous l’imposer pour quelles fins assez basses , nous le savons… Mais pour Aragon, ce n’est point façon de parler. So
8 raison. Et avec Aragon lorsqu’il vous crie : « À bas le clair génie français. » Alors la voix de Rimbardk à la cantonade :
7 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Récit du pickpocket (fragment) (mai 1927)
9 tu dans laquelle on m’avait emprisonné c’était un bas opportunisme social, résultante des paresses accumulées de tous les c
8 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La part du feu. Lettres sur le mépris de la littérature (juillet 1927)
10 exte publié place également un appel de note plus bas dans le paragraphe, après « Narcisse », sans qu’on sache s’il s’agit
9 1928, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le péril Ford (février 1928)
11 emps de se désintéresser simplement des buts — si bas soient-ils — d’une civilisation sous le poids de laquelle nous risquo
10 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
12 ndent indéfiniment — c’est un ciel suspendu assez bas sur nos têtes. Lumière orangée, tamisée ; un piano dissimulé joue trè
11 1929, Journal de Genève, articles (1926–1982). Panorama de Budapest (23 mai 1929)
13 mme une nuée d’insectes affolés. Les maisons sont basses , couvertes du haut en bas d’affiches rouges et jaunes et d’inscriptio
12 1929, Articles divers (1924–1930). La tour de Hölderlin (15 juillet 1929)
14 s maisons. Il voyait des prairies et des collines basses , de l’autre côté de l’eau jaune et verte… Quel est donc ce sommeil « 
13 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
15  : des aboiements fous et une effusion de lumière basse , rougeoyante, campagnarde. ⁂ La sauce est au rôti ce que le style à l
16 onne sourdement sous les coups d’un Kühnrich à la basse rugissante, plus traître que nature avec sa large face mangée par une
17 tite maison du colonel en retraite a des fenêtres basses , mais défendues par des rosiers sauvages. Laquelle des trois filles e
14 1930, Articles divers (1924–1930). « Vos fantômes ne sont pas les miens… » [Réponse à l’enquête « Les vrais fantômes »] (juillet 1930)
18 , des incantations tout juste bonnes à évoquer la basse pègre du monde spirituel. Ce n’est pas en détraquant nos sens ou notr
15 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
19 rmantes. (Vue sur des maisons pauvres un peu plus bas , avec du linge dans des courettes poussiéreuses.) On aboutit à une pl
20 les rues vides sous la pluie étrangère. Une porte basse s’ouvre sur un long corridor hanté d’ombres drapées, qui ne sont pas
21 le aux rues de terre brûlante, aux maisons jaunes basses , ville sans ombre, sans arbres, et nous montons vers la maison du poè
16 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
22 t qui sont les plus émouvants, entre des collines basses grattées par les vents, aux arbres rares, mais aux replis si doucemen
23 n se cabre le rythme, avant la chute stridente et basse , prolongée. Peut-être ce soir-là, ai-je compris la Grande Plaine, et
24 ale dont l’approche déjà fait grésiller les notes basses du cymbalum, — et maintenant ferme les yeux sous la vague toujours un
25 re. Lac doré, horizon de collines pointues, rives basses , verdoyantes, toutes fraîches de musiquettes et de baigneuses ; quais
26 la nuit, j’ai rôdé dans la campagne aux collines basses , d’apparence rocheuse — ce sont des restes de volcans — blanches sous
27 qués de petits arbres et d’un désordre de maisons basses , les dernières de la ville de Debrecen, au bord de la Grande Plaine e
17 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Signes parmi nous, par C. F. Ramuz (janvier 1932)
28 ire plutôt qu’il y remonte. Son art vient de plus bas , des origines, des éléments créateurs de sa race. Il a cette même len
18 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
29 jusqu’à la mort ? L’homme ne peut juger que plus bas que lui. C’est-à-dire qu’il n’en a pas le droit. Certes, il est d’aut
19 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). À prendre ou à tuer (décembre 1932)
30 e (et mal) contre les « risques-vie », livrée aux basses rigueurs d’un cadre policier. Que vivre soit un choix, une partialité
20 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Un soir à Vienne avec Gérard
31 ndent indéfiniment — c’est un ciel suspendu assez bas sur nos têtes. Lumière orangée, tamisée ; un piano dissimulé joue trè
21 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Une « tasse de thé » au Palais C…
32 levée, et devant le piano, assis sur un tabouret bas — le pan de l’habit repose sur le parquet — quelqu’un qui ressemble à
33 cte d’écrire… Moi je suis dans les buis, près des basses du petit orchestre, avec des écharpes et du sentiment. (Vu de près, l
22 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
34 rmantes. (Vue sur des maisons pauvres un peu plus bas , avec du linge dans des courettes poussiéreuses.) On aboutit à une pl
35 les rues vides sous la pluie étrangère. Une porte basse s’ouvre sur un long corridor hanté d’ombres drapées, qui ne sont pas
36 le aux rues de terre brûlante, aux maisons jaunes basses , ville sans ombre, sans arbres, et nous montons vers la maison du poè
37 t qui sont les plus émouvants, entre des collines basses grattées par les vents, aux arbres rares, mais aux replis si doucemen
38 n se cabre le rythme, avant la chute stridente et basse , prolongée. Peut-être ce soir-là, ai-je compris la Grande Plaine, et
39 ale dont l’approche déjà fait grésiller les notes basses du cymbalum, — et maintenant ferme les yeux sous la vague toujours un
40 re. Lac doré, horizon de collines pointues, rives basses , verdoyantes, toutes fraîches de musiquettes et de baigneuses ; quais
41 la nuit, j’ai rôdé dans la campagne aux collines basses , d’apparence rocheuse — ce sont des restes de volcans — blanches sous
42 qués de petits arbres et d’un désordre de maisons basses , les dernières de la ville de Debrecen, au bord de la Grande Plaine e
23 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
43 s maisons. Il voyait des prairies et des collines basses , de l’autre côté de l’eau jaune et verte… Quel est donc ce sommeil « 
24 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
44 onne sourdement sous les coups d’un Kühnrich à la basse rugissante, plus traître que nature avec sa large face mangée par une
45 tite maison du colonel en retraite a des fenêtres basses , mais défendues par des rosiers sauvages. Laquelle des trois filles e
46 du bonheur de respirer. Combien j’aime ces ciels bas et traînants. Le beau temps n’est pas toujours le bon, si l’expressio
25 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
47 mou. Le silence grandit ; cris de pics, vibration basse des cylindres. On voit paraître de plus hauts arbres et bientôt un va
26 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Appendice. Les Soirées du Brambilla-Club, (1930)
48  : des aboiements fous et une effusion de lumière basse , rougeoyante, campagnarde. ⁂ La sauce est au rôti comme le style à la
27 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais C…
49 levée, et devant le piano, assis sur un tabouret bas — le pan de l’habit repose sur le parquet — quelqu’un qui ressemble à
50 cte d’écrire… Moi je suis dans les buis, près des basses du petit orchestre, avec une écharpe et du sentiment. (Vu de près, le
28 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
51 rmantes. (Vue sur des maisons pauvres un peu plus bas , avec du linge dans des courettes poussiéreuses.) On aboutit à une pl
52 les rues vides sous la pluie étrangère. Une porte basse s’ouvre sur un long corridor hanté d’ombres drapées, qui ne sont pas
53 le aux rues de terre brûlante, aux maisons jaunes basses , ville sans ombre, sans arbres, et nous montons vers la maison du poè
54 t qui sont les plus émouvants, entre des collines basses grattées par les vents, aux arbres rares, mais aux replis si doucemen
55 n se cabre le rythme, avant la chute stridente et basse , prolongée. Peut-être ce soir-là, ai-je compris la Grande Plaine, et
56 ale dont l’approche déjà fait grésiller les notes basses du cymbalum —, et maintenant ferme les yeux sous la vague toujours un
57 re. Lac doré, horizon de collines pointues, rives basses , verdoyantes, toutes fraîches de musiquettes et de baigneuses ; quais
58 la nuit, j’ai rôdé dans la campagne aux collines basses , d’apparence rocheuse — ce sont des restes de volcans — blanches sous
59 qués de petits arbres et d’un désordre de maisons basses , les dernières de la ville de Debrecen, au bord de la Grande Plaine e
29 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
60 mou. Le silence grandit ; cris de pics, vibration basse des cylindres. On voit paraître de plus hauts arbres et bientôt un va
30 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
61 s maisons. Il voyait des prairies et des collines basses , de l’autre côté de l’eau jaune et verte… Quel est donc ce sommeil « 
31 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
62 onne sourdement sous les coups d’un Kühnrich à la basse rugissante, plus traître que nature avec sa large face mangée par une
63 tite maison du colonel en retraite a des fenêtres basses , mais défendues par des rosiers sauvages. Laquelle des trois filles e
64 du bonheur de respirer. Combien j’aime ces ciels bas et traînants. Le beau temps n’est pas toujours le bon, si l’expressio
32 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
65 sous mes pieds nus. À ma hauteur, et un peu plus bas , et puis beaucoup plus bas dans les buildings voisins séparés de ma t
66 auteur, et un peu plus bas, et puis beaucoup plus bas dans les buildings voisins séparés de ma terrasse par un gouffre prof
67 e orangée vient râper doucement le crépi des murs bas , sur la terrasse toute voisine. Un autre jour, le même amour, mais le
68 une terrasse dormante, deux ou trois étages plus bas , quelqu’un sortait en robe de chambre, un vieux monsieur, pour arrose
69 qu’une couche de nuages. Trois-mille mètres plus bas paraît une surface bleue, comme un papier grenu ponctué de défauts bl
70 s des rues sur ces maisons jaunes ou grises et si basses . Je cherche à voir, le nez contre la vitre, et tout d’un coup : rue C
33 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — I
71 er Couvet pour Neuchâtel, le « Vallon » pour le «  Bas  », l’école pour les vacances. C’était fuir et trahir en son cœur le c
34 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VI
72 ’a prononcé un mot plus haut que l’autre, ou plus bas , de plus près ? J’ai vu percer quelques poètes à nos vitrines de libr
73 13 : « Combien j’aime ce lac tranquille aux rives basses , peuplé de mouettes, où mon regard ni ma pensée ne se heurte à rien d
35 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VII
74 déployer sans se perdre, la méditation des ciels bas , la passion des orages complets, et la peine une baie secrète, où les
75 aux de la baie. Des nuées menaçantes courent très bas , tirant des pluies au large, et le cœur du jeune homme bondit dans sa
76 édé ! Le lac était d’un bleu très sombre, le ciel bas , des éclairs de chaleur palpitaient dans la nue, et le jeune homme sa
36 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VIII
77 s de sapins majestueux et coupés çà et là de murs bas faits de grosses pierres entassées avec art. Nous passions les clédar
78 ent avec un peu d’aisance. Cette émulation par le bas pourrait être arrêtée par les instituteurs. Il suffirait de renverser
37 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Pétrarque, par Charles-Albert Cingria (avril 1933)
79 du monde. La qualité des traductions du latin, du bas latin et de l’italien dont ce livre est abondamment orné permettra de
38 1933, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Parole de Dieu et parole humaine, par Karl Barth (30 décembre 1933)
80 , fraction de l’hitlérisme qui prétend faire main basse sur les églises et utiliser la religion aux fins de la renaissance ge
39 1934, Articles divers (1932-1935). « Pour qui écrivez-vous ? » [Réponse à une enquête] (janvier-février 1934)
81 ictimes et complices. On reconnaît ici le cri : À bas les Voleurs !, mot d’ordre des troupes fascistes ces dernières semain
40 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Communauté révolutionnaire (février 1934)
82 t guère plus que celle du bourgeois attaché à son bas de laine ou prisonnier des assurances. Pour nous, la liberté ne consi
41 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
83 la façon la plus sage de supporter les maux de ce bas monde tel qu’il est ! L’Église, par la voix de ses évêques, tentera d
42 1934, Esprit, articles (1932–1962). Préface à une littérature (octobre 1934)
84 haut. Pas trop haut — erreur romantique — ni trop bas — erreur soviétique. Mais bien à hauteur d’homme, et c’est la vérité
43 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Plans de réforme (octobre 1934)
85 t de vue économique, il se réduit à la défense du bas de laine. Mais on ne se défend bien qu’en attaquant. Les discours de
44 1934, Esprit, articles (1932–1962). Sur une nouvelle de Jean Giono (novembre 1934)
86 t votre courage ? N’aurez-vous jamais que le plus bas  ? Ne penserez-vous jamais à ceux qui ont besoin de comprendre le mond
45 1934, Le Semeur, articles (1933–1949). Sur la méthode de M. Goguel (novembre 1934)
87 est dire qu’elle triomphe en général au terme des basses époques théologiques. 3. Jésus de Nazareth, mythe ou histoire ? ch
46 1934, Politique de la personne. Introduction — Le vrai pouvoir des intellectuels et son usage
88 et de ses rêves. Elle pense trop haut, agit trop bas  : c’est qu’elle a perdu la mesure. Elle a perdu le sens du niveau pro
47 1934, Politique de la personne. Principes d’une politique du pessimisme actif — Sur la devise du Taciturne
89 s divinisées, toutes les idolâtries flatteuses ou basses ou généreuses, pour lesquelles les hommes s’entretuent : capitalisme
48 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Communauté révolutionnaire
90 t guère plus que celle du bourgeois attaché à son bas de laine ou prisonnier des assurances. Pour nous, la liberté ne consi
49 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — Le vrai pouvoir des intellectuels et son usage
91 et de ses rêves. Elle pense trop haut, agit trop bas  : c’est qu’elle a perdu la mesure. Elle a perdu le sens du niveau pro
50 1934, Politique de la personne (1946). Principes d’une politique du pessimisme actif — Sur la devise du Taciturne
92 s divinisées, toutes les idolâtries flatteuses ou basses ou généreuses, pour lesquelles les hommes s’entretuent : capitalisme
51 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Communauté révolutionnaire
93 t guère plus que celle du bourgeois attaché à son bas de laine ou prisonnier des assurances. Pour nous, la liberté ne consi
52 1935, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notes en marge de Nietzsche (mars 1935)
94 atteintes. Dans ce même livre, quatre pages plus bas , j’en trouve un autre exemple : Nietzsche croit découvrir que la noti
53 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
95 nsifs et soigneusement vidés de toute espèce de «  basse  » réalité qui alimentent les discours des parlements et des académies
96 s ouvrages impérissables faudra-t-il réserver son bas de laine ? N’est-ce pas pour les plus périssables choses que nous dép
54 1935, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). René Guisan : un clerc (1935)
97 étachée, un refuge hors de la réalité médiocre et basse . Pour Guisan, l’esprit c’était l’acte, l’aide effective apportée hic
55 1936, Esprit, articles (1932–1962). Vues sur C. F. Ramuz (mai 1936)
98 ire plutôt qu’il y remonte. Son art vient de plus bas , des origines créatrices de sa race. Il a cette lenteur qu’impose la
56 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
99 me au Plan n’est pas un art, mais une forme assez basse de propagande politique, et de publicité industrielle. La seule litté
57 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — L’Arche de l’Alliance
100 cieux, en bas sur la terre, et dans les eaux plus bas que la terre. » Cela condamne toute espèce d’art plastique. « Tu n’au
58 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — La mesure soviétique
101 me au Plan n’est pas un art, mais une forme assez basse de propagande politique et de publicité industrielle. La seule littér
59 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
102 e font une gloire de découvrir des déterminations basses ou hautes selon qu’il faut juger, respectivement, d’un miracle ou d’u
60 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — L’Arche de l’Alliance
103 cieux, en bas sur la terre, et dans les eaux plus bas que la terre. » Cela condamne toute espèce d’art plastique. « Tu n’au
61 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — La mesure soviétique
104 me au Plan n’est pas un art, mais une forme assez basse de propagande politique et de publicité industrielle. La seule littér
62 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
105 e font une gloire de découvrir des déterminations basses ou hautes selon qu’il faut juger, respectivement, d’un miracle ou d’u
63 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Historique du mal capitaliste (janvier 1937)
106 u Centre et du Nord ne pouvant fournir le blé aux bas prix de l’Afrique, il fallut s’orienter vers des cultures spécialisée
107 mmune mesure) fut la puissance matérielle la plus basse , et dont le moyen fut le bureaucratisme. Cette civilisation justifiai
108 s stabilisèrent leur production à un niveau assez bas . Les « maîtres » se constituèrent en une classe toujours plus jalouse
64 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Chançay (mars 1937)
109 aine (un seul étage) ou plutôt c’est deux maisons basses réunies par une longue galerie, le tout accoté à une falaise de la To
65 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
110 eux-sombres-et-populeux où il faut pénétrer l’âme basse et la petite enveloppe à la main. Tant d’autres disent : « Allons-nou
111 e qui sait calculer, faire son budget, bourrer le bas de laine et nourrir la bouteille aux pièces de dix sous. Une chose es
112 astels et quelques cheminées d’usines grattent le bas d’un grand ciel jaune. On distingue à peine le village de N. parmi le
113 penser que ces « illettrés » sont peut-être moins bas que ces « assurés ». Ce peuple à la retraite qui meurt en rouspétant
66 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Ballet de la non-intervention (avril 1937)
114 e de l’art humain ». Voilà qui met notre art bien bas . Et ce n’est pas seulement une politique qui se trouve jugée par l’av
67 1937, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Violence et brutalité (1er juin 1937)
115 s policières ». On la considère comme une passion basse et vulgaire, ou comme une nécessité désespérée à laquelle il faut rec
68 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
116 auds s’y sont mis. Un vieux mâle coasse des notes basses , et le chœur lui répond deux octaves au-dessus. Toujours ces luttes d
69 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
117 ns assis derrière eux. Au fond, sur deux armoires basses siégeaient une dizaine d’hommes. Deux ou trois coiffes de paysannes s
118 eule obstination de l’instinct, au niveau le plus bas où l’homme puisse vivre sans misère, sans ambitions, sans rêves, sans
70 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
119 eux-sombres-et-populeux où il faut pénétrer l’âme basse et la petite enveloppe à la main. Tant d’autres disent : allons-nous-
120 u’ascétique. Dans le chai, à la porte un peu trop basse , règne une pénétrante odeur de laurier.   10 novembre Ce journal n’au
71 1937, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Selma Lagerlöf, conteur de légende (3 juillet 1937)
121 dire, à tenir pour vrai ce que l’on juge le plus bas . Ainsi l’on en vient peu à peu, par désir de se montrer original, à t
72 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (25 juillet 1937)
122 tites dunes broussailleuses qui ferment l’horizon bas . Peu de terre et beaucoup de ciel, et partout cette humide lumière bl
123 u’ascétique. Dans le chai, à la porte un peu trop basse , règne une pénétrante odeur de laurier. On distingue dans l’ombre des
73 1937, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Pages inédites du Journal d’un intellectuel en chômage (octobre 1937)
124 lage apparaît fantastique : les becs de gaz, très bas , éclairent quelques façades blanches, carrés et rectangles détachés v
74 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Préambule
125 i, vaguement américain et militaire, sous un ciel bas couleur d’acier où rien ne bougeait, et voilà tout d’un coup cet orag
126 la présence d’un destin. Voici l’île : une plage basse , quelques pins, deux ou trois baraques. Nous traînons nos valises le
127 ons de longs villages blancs et bleus aux maisons basses , des champs pauvres, des landes où le soleil qui reparaît fait brille
128 ontal. Des voiles ocrées passent au ras des dunes basses qui ondulent à peine, en demi-cercle devant nous, marquant la fin des
129 eux-sombres-et-populeux où il faut pénétrer l’âme basse et la petite enveloppe à la main. Tant d’autres disent : Allons-nous-
75 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
130 tites dunes broussailleuses qui ferment l’horizon bas . Peu de terre et beaucoup de ciel, et partout cette humide lumière bl
131 u’ascétique. Dans le chai, à la porte un peu trop basse , règne une pénétrante odeur de laurier. On distingue dans l’ombre des
132 préfère sans doute appeler moyen ce qui est très bas — pour se sentir un peu au-dessus… 19 novembre 1933 Premiers c
133 ns assis derrière eux. Au fond, sur deux armoires basses , siégeaient une dizaine d’hommes. Deux ou trois coiffes de paysannes
134 eule obstination de l’instinct, au niveau le plus bas où l’homme puisse vivre sans misère, sans ambitions, sans rêves, sans
135 bâton, et commence d’une voix posée, monotone et basse  : — C’était le 26 de juillet, l’anniversaire de ma défunte mère. Le m
76 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
136 e qui sait calculer, faire son budget, bourrer le bas de laine et nourrir la bouteille aux pièces de dix sous. Une chose es
137 astels et quelques cheminées d’usines grattent le bas d’un grand ciel jaune. On distingue à peine le village de N. parmi le
138 d nombre. Il faut partir d’ici, du niveau le plus bas , du canevas brut et plein de trous de l’existence dépouillée… …Dépoui
139 penser que ces « illettrés » sont peut-être moins bas que ces « assurés ». Ce peuple à la retraite qui meurt en rouspétant
140 auds s’y sont mis. Un vieux mâle coasse des notes basses , et le chœur lui répond, deux octaves au-dessus. Toujours ces luttes
77 1937, Articles divers (1936-1938). Vocation et destin d’Israël (1937)
141 cieux, en bas sur la terre, et dans les eaux plus bas que la terre. » Cela condamne toute espèce d’art plastique. « Tu n’au
78 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Du danger de s’unir (15 avril 1938)
142 rvir comme d’un prétexte pour légitimer des coups bas . Discours à part, que fait-on depuis un mois pour préparer les voies
143 e ministres. Le Parti communiste fait crier : « À bas Blum ! » au Vélodrome d’Hiver, et le lendemain, fait publier par Ce S
79 1938, Articles divers (1936-1938). Nouvelles pages du Journal d’un intellectuel en chômage (avril 1938)
144 lage apparaît fantastique : les becs de gaz, très bas , éclairent quelques façades blanches, carrés et rectangles détachés v
80 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Vues sur le national-socialisme (1er juin 1938)
145 n passionnée qu’exerce une religion naissante, si basse qu’elle soit, sur les masses décomposées par des siècles d’individual
146 al qu’on admire en Allemagne puisse être obtenu à bas prix, par des méthodes plus ou moins « habiles », ou « rationnelles »
81 1938, Articles divers (1938-1940). Souvenir d’Esztergom (juin 1938)
147 e aux rues de terre brûlante, aux maisons jaunes, basses , ville sans ombre, sans arbres, et nous montons vers la maison du poè
82 1938, Esprit, articles (1932–1962). Revue des revues (septembre 1938)
148 te charade : mon premier est ce qu’il y a de plus bas  ; mon second ce qu’il y a de plus haut ; mon tout est peut-être un at
83 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
149 tif », teint pâle, lunettes, une lourdeur dans le bas du visage10. Avant 1933, on ne le recevait plus dans la société de la
84 1938, Journal d’Allemagne. Conclusion 1938
150 n passionnée qu’exerce une religion naissante, si basse qu’elle soit, sur les masses décomposées par des siècles d’individual
151 al qu’on admire en Allemagne puisse être obtenu à bas prix, par des méthodes plus ou moins « habiles », ou « rationnelles »
85 1939, Articles divers (1938-1940). Un quart d’heure avec M. Denis de Rougemont : Hitler, grand-prêtre de l’Allemagne (11 janvier 1939)
152 n passionnée qu’exerce une religion naissante, si basse qu’elle soit, sur les masses décomposées par des siècles d’individual
86 1939, Le Figaro, articles (1939–1953). Directeurs d’inconscience (11 avril 1939)
153 més. Mais quand la Science vous dit de porter des bas de laine, la Mode vous impose des bas de soie. Les romans et les film
154 porter des bas de laine, la Mode vous impose des bas de soie. Les romans et les films nous enfièvrent d’une nostalgie d’am
87 1939, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Âme romantique et le rêve (15 août 1939)
155 que la masse allemande, imitant au niveau le plus bas l’évolution des romantiques cherche à récupérer son unité perdue dans
88 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
156 du héros, la couleur sombre de sa vie, et le ciel bas d’orage qui couvre la légende. Le roi Marc de Cornouailles, frère de
89 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
157 oyons tenir une explication de ces faits. Le plus bas nous paraît le plus vrai. C’est la superstition du temps, la manie de
90 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
158 pousse vers le haut, et rien ne l’attire vers le bas … » (Maximes.) Le troubadour Arnaut Daniel parlait aussi de cet « excè
159 pousse vers le haut, et rien ne l’attire vers le bas  », disait saint Jean de la Croix, et cela « parce qu’il se tient au c
160 u pouvoir « expliquer » le plus élevé par le plus bas , la mystique pure par la passion humaine. Elle a fondé cette « scienc
161 ujours le débat au bénéfice de ce qui est le plus bas . Prenons le cas des métaphores : on dit d’un goût qu’il est amer mais
162 91. Ce n’est pas évident pour Eckhart (voir plus bas , chap. iii) mais bien pour sainte Thérèse qui y insiste en toute occa
91 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
163 « maladie de l’âme » — se transmettra aux parties basses de la littérature française : gauloiserie, gaillardise, rationalisme
164 ouffrir les maux dont je me plains », dit-il plus bas . C’est donc la honte qui est cause de son mensonge. En vérité, il sou
165 ssement. Mais nous avons des devoirs sacrés en ce bas monde. Il ne nous reste plus rien que la confiance la plus parfaite l
92 1939, Nicolas de Flue. ACTE PREMIER.
166 émons passent à côté de lui et disparaissent plus bas , dans l’ombre, en criant. La lumière faiblit de nouveau jusqu’à la qu
93 1939, Nicolas de Flue. ACTE II.
167 t d’un coup leurs hallebardes avec un mugissement bas et bref.) Aux armes ! Chœur des puissances. Nuit de colère et de
94 1939, Nicolas de Flue. ACTE III.
168 pape ! Les compagnons. —  Hou ! Hou ! Hou ! À bas les tyrans ! Altinghausen. —  Et vous ! Vous proclamez de beaux pr
169 Cris des compagnons. —  Assez de par-lottes ! À bas les vieil-lards ! Nous vou-lons un chef ! Waldmann. —  Soldats, ré
95 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
170 du héros, la couleur sombre de sa vie, et le ciel bas d’orage qui couvre la légende. Le roi Marc de Cornouailles, frère de
96 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
171 oyons tenir une explication de ces faits. Le plus bas nous paraît le plus vrai. C’est la superstition du temps, la manie de
172 Les érudits commentent : le pauvre troubadour, de basse extraction sociale en général, s’est épris de la femme d’un haut baro
97 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
173 pousse vers le haut, et rien ne l’attire vers le bas … » (Maximes.) Le troubadour Arnaut Daniel parlait aussi de cet « excè
174 pousse vers le haut, et rien ne l’attire vers le bas  », disait saint Jean de la Croix, et cela « parce qu’il se tient au c
175 u pouvoir « expliquer » le plus élevé par le plus bas , la mystique pure par la passion humaine. Elle a fondé cette « scienc
176 ujours le débat au bénéfice de ce qui est le plus bas . Prenons le cas des métaphores : on dit d’un goût qu’il est amer mais
177 109. Ce n’est pas évident pour Eckhart (voir plus bas , chap. 3) mais bien pour sainte Thérèse qui y insiste en toute occasi
98 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
178 « maladie de l’âme » — se transmettra aux parties basses de la littérature française : gauloiserie, gaillardise, rationalisme,
179 ouffrir les maux dont je me plains », dit-il plus bas . C’est donc la honte qui est cause de son mensonge. En vérité, il sou
180 ssement. Mais nous avons des devoirs sacrés en ce bas monde. Il ne nous reste plus rien que la confiance la plus parfaite l
99 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
181 oyons tenir une explication de ces faits. Le plus bas nous paraît le plus vrai. C’est la superstition du temps, la manie de
182 Les érudits commentent : le pauvre troubadour, de basse extraction sociale en général, s’est épris de la femme d’un haut baro
100 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Passion et mystique
183 pousse vers le haut, et rien ne l’attire vers le bas … » (Maximes.) Le troubadour Arnaut Daniel parlait aussi de cet « excè
184 pousse vers le haut, et rien ne l’attire vers le bas  », disait saint Jean de la Croix, et cela « parce qu’il se tient au c
185 u pouvoir « expliquer » le plus élevé par le plus bas , la mystique pure par la passion humaine. Elle a fondé cette « scienc
186 ujours le débat au bénéfice de ce qui est le plus bas . Prenons le cas des métaphores : on dit d’un goût qu’il est amer mais
187 99. Ce n’est pas évident pour Eckhart (voir plus bas , chap. 4) mais bien pour sainte Thérèse qui y insiste en toute occasi