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« un niais en matière religieuse » au dire de sa
belle-sœur
, la princesse palatine, se laisse facilement convaincre. D’ailleurs,
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— pour avoir une pension de 5000 francs pour son
beau-frère
. « Ce cochon-là » n’a pas répondu, et pourtant la lettre était recomm
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ssions nous parvient de la cuisine des Simard. Un
beau-frère
est arrivé, et on partage. C’est toujours assez compliqué. La nuit, p
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ssions nous parvient de la cuisine des Simard. Un
beau-frère
est arrivé, et on partage. C’est toujours assez compliqué. La nuit, p
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ette belle-mère (sauf que les discussions avec le
beau-frère
font toujours rage). Je me suis donc borné à exprimer mes « condoléan
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sa fortune, réalisée en argent liquide, chez son
beau-frère
. Il était adversaire du prêt à intérêt, condamné par l’église primiti
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— pour avoir une pension de 5000 francs pour son
beau-frère
. « Ce cochon-là » n’a pas répondu, et pourtant la lettre était recomm
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ssions nous parvient de la cuisine des Simard. Un
beau-frère
est arrivé, et on partage. C’est toujours assez compliqué. La nuit, p
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ette belle-mère (sauf que les discussions avec le
beau-frère
font toujours rage). Je me suis donc borné à exprimer mes « condoléan
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sa fortune, réalisée en argent liquide, chez son
beau-frère
. Il était adversaire du prêt à l’intérêt, condamné par l’église primi
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sa fortune, réalisée en argent liquide, chez son
beau-frère
. Il était adversaire du prêt à intérêt, condamné par l’Église primiti
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— pour avoir une pension de 5000 francs pour son
beau-frère
. « Ce cochon-là » n’a pas répondu, et pourtant la lettre était recomm
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ssions nous parvient de la cuisine des Simard. Un
beau-frère
est arrivé, et on partage. C’est toujours assez compliqué. La nuit, p
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ette belle-mère (sauf que les discussions avec le
beau-frère
font toujours rage). Je me suis donc borné à exprimer mes « condoléan
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ires. Vers la fin de la matinée, téléphone de mon
beau-frère
, M. P., qui est à la Censure. Oui, il y aura des histoires, paraît-il
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par Duncan Sandys, que je trouvai flanqué de son
beau-frère
Randolph Churchill (qui n’était là qu’à titre de journaliste). Ils m’
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de l’entrée principale, je trouvai Duncan et son
beau-frère
Randolph Churchill, lequel me dit : « Vous souhaitez, je pense, l’una
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agne, aux cours d’Aragon ou de Castille, chez ses
beaux-frères
— que fréquentaient des lettrés andalous et des troupes de jongleurs
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ne confédération qui a réussi. » M. J. Vendroux,
beau-frère
du Général, déclare à l’Assemblée nationale, en 1959, « qu’il s’est t
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où M. Steeg exige sa démission : n’est-il pas le
beau-frère
d’un comte Bernstorff, le cousin d’un ambassadeur allemand, mais pire
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dimanche 16 juin, j’ai montré mon manuscrit à mon
beau-frère
qui était à la censure. Il m’a dit : « Tu peux être tranquille, ça ne