1 1927, Articles divers (1924–1930). Conférence d’Edmond Esmonin sur « La révocation de l’édit de Nantes » (16 février 1927)
1 « un niais en matière religieuse » au dire de sa belle-sœur , la princesse palatine, se laisse facilement convaincre. D’ailleurs,
2 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
2 — pour avoir une pension de 5000 francs pour son beau-frère . « Ce cochon-là » n’a pas répondu, et pourtant la lettre était recomm
3 ssions nous parvient de la cuisine des Simard. Un beau-frère est arrivé, et on partage. C’est toujours assez compliqué. La nuit, p
3 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
4 ssions nous parvient de la cuisine des Simard. Un beau-frère est arrivé, et on partage. C’est toujours assez compliqué. La nuit, p
5 ette belle-mère (sauf que les discussions avec le beau-frère font toujours rage). Je me suis donc borné à exprimer mes « condoléan
4 1937, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Pages inédites du Journal d’un intellectuel en chômage (octobre 1937)
6 sa fortune, réalisée en argent liquide, chez son beau-frère . Il était adversaire du prêt à intérêt, condamné par l’église primiti
5 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
7  — pour avoir une pension de 5000 francs pour son beau-frère . « Ce cochon-là » n’a pas répondu, et pourtant la lettre était recomm
8 ssions nous parvient de la cuisine des Simard. Un beau-frère est arrivé, et on partage. C’est toujours assez compliqué. La nuit, p
9 ette belle-mère (sauf que les discussions avec le beau-frère font toujours rage). Je me suis donc borné à exprimer mes « condoléan
6 1938, Articles divers (1936-1938). Nouvelles pages du Journal d’un intellectuel en chômage (avril 1938)
10 sa fortune, réalisée en argent liquide, chez son beau-frère . Il était adversaire du prêt à l’intérêt, condamné par l’église primi
7 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
11 sa fortune, réalisée en argent liquide, chez son beau-frère . Il était adversaire du prêt à intérêt, condamné par l’Église primiti
8 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
12 — pour avoir une pension de 5000 francs pour son beau-frère . « Ce cochon-là » n’a pas répondu, et pourtant la lettre était recomm
13 ssions nous parvient de la cuisine des Simard. Un beau-frère est arrivé, et on partage. C’est toujours assez compliqué. La nuit, p
14 ette belle-mère (sauf que les discussions avec le beau-frère font toujours rage). Je me suis donc borné à exprimer mes « condoléan
9 1962, Articles divers (1957-1962). Journal d’un témoin (23-24 juin 1962)
15 ires. Vers la fin de la matinée, téléphone de mon beau-frère , M. P., qui est à la Censure. Oui, il y aura des histoires, paraît-il
10 1968, Articles divers (1963-1969). Vingt ans après La Haye : où en est l’Europe ? (mai 1968)
16 par Duncan Sandys, que je trouvai flanqué de son beau-frère Randolph Churchill (qui n’était là qu’à titre de journaliste). Ils m’
11 1968, Preuves, articles (1951–1968). Vingt ans après, ou la campagne des congrès (1947-1949) (octobre 1968)
17 de l’entrée principale, je trouvai Duncan et son beau-frère Randolph Churchill, lequel me dit : « Vous souhaitez, je pense, l’una
12 1972, L’Amour et l’Occident (1972). Post-scriptum
18 agne, aux cours d’Aragon ou de Castille, chez ses beaux-frères — que fréquentaient des lettrés andalous et des troupes de jongleurs
13 1979, Cadmos, articles (1978–1986). La chronique européenne de Denis de Rougemont (printemps 1979)
19 ne confédération qui a réussi. » M. J. Vendroux, beau-frère du Général, déclare à l’Assemblée nationale, en 1959, « qu’il s’est t
14 1981, Articles divers (1978-1981). Guy de Pourtalès l’Européen [préface] (1981)
20 où M. Steeg exige sa démission : n’est-il pas le beau-frère d’un comte Bernstorff, le cousin d’un ambassadeur allemand, mais pire
15 1986, Cadmos, articles (1978–1986). Denis de Rougemont tel qu’en lui-même… [Entretien] (printemps 1986)
21 dimanche 16 juin, j’ai montré mon manuscrit à mon beau-frère qui était à la censure. Il m’a dit : « Tu peux être tranquille, ça ne