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que d’autre part la nécessité de tout cela qui me
blesse
, la liaison fatale avec la démocratie, de tout ce qui moleste ma libe
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que d’autre part la nécessité de tout cela qui me
blesse
, la liaison fatale avec la démocratie, de tout ce qui moleste ma libe
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istiques — et sa douleur aussi, douleur d’orgueil
blessé
, mais qui emporte la sympathie car l’orgueil hongrois n’est point de
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ndignations pareilles et de sursauts du sentiment
blessé
que ces jeunes gens se sont connus. Cela crée le sous-entendu fondame
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ersé. Mais nous disons qu’il est plus sain d’être
blessé
que lentement stérilisé. Nous ne sommes pas idéalistes : l’« imperfec
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istiques — et sa douleur aussi, douleur d’orgueil
blessé
, mais qui emporte la sympathie : car l’orgueil hongrois n’est point d
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istiques — et sa douleur aussi, douleur d’orgueil
blessé
, mais qui emporte la sympathie : car l’orgueil hongrois n’est point d
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ent visible, c’est comme le sang, c’est que tu es
blessé
, ta vie s’en va.) La force était mémoire et allusion. Elle était ce v
9
us faire croire que cet « ordre » social qui nous
blessait
, c’était un aspect nécessaire de l’« ordre chrétien » du monde. Nous
10
n vérité, nous connaissons bien mieux ce qui nous
blesse
que la nature des réalités que nous sentons, en nous, obscurément ble
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s réalités que nous sentons, en nous, obscurément
blessées
. Notre conscience à moitié endormie ne se réveille plus que sous les
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us faire croire que cet « ordre » social qui nous
blessait
, c’était un aspect nécessaire de l’« ordre chrétien » du monde. Nous
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us faire croire que cet « ordre » social qui nous
blessait
, c’était un aspect nécessaire de l’« ordre chrétien » du monde. Nous
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. Kierkegaard n’eût pas mieux dit. « Pensées qui
blessent
— pour édifier » — c’est ainsi qu’il nommait les remarques amères qu’
15
il aborde avec autorité, tout en tenant son doigt
blessé
droit en l’air, dans une attitude doctorale. La question des assuranc
16
nimer. C’est la brimade, la vexation, le choc qui
blesse
sans régénérer, la suppression inutile et absurde, l’interdiction qui
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’il aborde avec autorité tout en tenant son doigt
blessé
droit en l’air, dans une attitude doctorale. La question des assuranc
18
entre cet idéal et les réalités stupides qui nous
blessent
. S’engager au lieu de s’indigner : voilà bien le principe de la guéri
19
Le fils de la propriétaire est un maigre blafard,
blessé
de guerre, et qui ne peut plus s’occuper que de la maison et des comp
20
vous dirai-je ? Je ne puis pas aimer ce qui vous
blesse
. Ai-je le droit de le critiquer ? Vous me dites que tout cela devait
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de des êtres troublés à vivre à deux sans trop se
blesser
, ce sera ma plus belle récompense. Le véritable esprit chrétien, la v
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il croire qu’en secret nous préférons ce qui nous
blesse
et nous exalte à ce qui semblerait combler notre idéal de vie harmoni
23
acré de la vierge délivrée par un jeune paladin.)
Blessé
par le monstre, Tristan est soigné de nouveau par Iseut. Un jour, cet
24
r Iseut. Un jour, cette princesse découvre que le
blessé
n’est autre que le meurtrier de son oncle. Elle saisit l’épée de Tris
25
ierge, car il regrette « Iseut la bloie ». Enfin,
blessé
à mort, et de nouveau empoisonné par cette blessure, Tristan fait app
26
souffrance. Amour-passion : désir de ce qui nous
blesse
, et nous anéantit par son triomphe. C’est un secret dont l’Occident n
27
mme d’Occident veut-il subir cette passion qui le
blesse
et que toute sa raison condamne ? Pourquoi veut-il cet amour dont l’é
28
pourrions induire un lecteur non prévenu. Tristan
blessé
s’embarque sur une nacelle sans gouvernail ni voile, muni seulement d
29
6 » La « brûlure suave ». Le « dard d’amour » qui
blesse
sans tuer. Le « salut » de l’amour. La passion qui « isole » du monde
30
re une fois revient le jour : le traître Mélot156
blesse
Tristan. Mais la passion a désormais vaincu, elle vole au jour son ap
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il croire qu’en secret nous préférons ce qui nous
blesse
et nous exalte à ce qui semblerait combler notre idéal de vie harmoni
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acré de la vierge délivrée par un jeune paladin.)
Blessé
par le monstre, Tristan est soigné de nouveau par Iseut. Un jour, cet
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r Iseut. Un jour, cette princesse découvre que le
blessé
n’est autre que le meurtrier de son oncle. Elle saisit l’épée de Tris
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ierge, car il regrette « Iseut la bloie ». Enfin,
blessé
à mort, et de nouveau empoisonné par cette blessure, Tristan fait app
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souffrance. Amour-passion : désir de ce qui nous
blesse
, et nous anéantit par son triomphe. C’est un secret dont l’Occident n
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mme d’Occident veut-il subir cette passion qui le
blesse
et que toute sa raison condamne ? Pourquoi veut-il cet amour dont l’é
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pourrions induire un lecteur non prévenu. Tristan
blessé
s’embarque sur une nacelle sans gouvernail ni voile, muni seulement d
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. » La « brûlure suave ». Le « dard d’amour » qui
blesse
sans tuer. Le « salut » de l’amour. La passion qui « isole » du monde
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re une fois revient le jour : le traître Mélot174
blesse
Tristan. Mais la passion a désormais vaincu, elle vole au jour son ap
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il croire qu’en secret nous préférons ce qui nous
blesse
et nous exalte à ce qui semblerait combler notre idéal de vie harmoni
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acré de la vierge délivrée par un jeune paladin.)
Blessé
par le monstre, Tristan est soigné de nouveau par Iseut. Un jour, cet
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r Iseut. Un jour, cette princesse découvre que le
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n’est autre que le meurtrier de son oncle. Elle saisit l’épée de Tris
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ierge, car il regrette « Iseut la bloie ». Enfin,
blessé
à mort, et de nouveau empoisonné par cette blessure, Tristan fait app
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souffrance. Amour-passion : désir de ce qui nous
blesse
, et nous anéantit par son triomphe. C’est un secret dont l’Occident n
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mme d’Occident veut-il subir cette passion qui le
blesse
et que toute sa raison condamne ? Pourquoi veut-il cet amour dont l’é
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pourrions induire un lecteur non prévenu. Tristan
blessé
s’embarque sur une nacelle sans gouvernail ni voile, muni seulement d
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14 La « brûlure suave ». Le « dard d’amour » qui
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sans tuer. Le « salut » de l’amour. La passion qui « isole » du monde
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re une fois revient le jour : le traître Mélot162
blesse
Tristan. Mais la passion a désormais vaincu, elle vole au jour son ap
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Vérité, comme un élan vers la guérison de l’être
blessé
, vers la plénitude et vers la rédemption, voici qu’il se fait l’instr
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Vérité, comme un élan vers la guérison de l’être
blessé
, vers la plénitude et vers la rédemption, voici qu’il se fait l’instr
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Vérité, comme un élan vers la guérison de l’être
blessé
, vers la plénitude et vers la rédemption, voici qu’il se fait l’instr
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ent visible, c’est comme le sang, c’est que tu es
blessé
, ta vie s’en va). La force était mémoire et allusion, elle était ce v
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rd les faits et puis l’humanité qu’ils guident ou
blessent
, mais il y a d’abord l’humanité créatrice ou malade, et puis des fait
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ion automatique d’un mystérieux sens de l’honneur
blessé
. Flamme aveuglante, vague de sang, terreur froide, ou goût du suicide
55
ul officier de réserve français qui se fût jamais
blessé
avec son propre sabre ! Les pionniers du service civil donnèrent leur
56
ute : « Il me faut confesser que cette pensée m’a
blessé
au plus profond et jusqu’au désespoir, en sorte que je souhaitais n’ê
57
que retourne à l’isolationnisme. Rien de tel pour
blesser
l’amour entre deux peuples que de les mélanger dans leurs épreuves. L
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e le Grand. Attlee voudrait la paix, car l’Empire
blessé
est en pleine expérience socialiste, mais il ne renonce pas à faire t
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ent visible, c’est comme le sang, c’est que tu es
blessé
, ta vie s’en va !) La force était mémoire et allusion. Elle était ce
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ent visible, c’est comme le sang, c’est que tu es
blessé
, ta vie s’en va.) La force était mémoire et allusion. Elle était ce v
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e le Grand. Attlee voudrait la paix, car l’Empire
blessé
est en pleine expérience socialiste, mais il ne renonce pas à faire t
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que c’est plus fort que vous. Et que votre amour
blessé
vous oblige à penser que mes arguments sur les nations, la paix, la B
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e le Grand. Attlee voudrait la paix, car l’Empire
blessé
est en pleine expérience socialiste, mais il ne renonce pas à faire t
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que c’est plus fort que vous. Et que votre amour
blessé
vous oblige à penser que mes arguments sur les nations, la paix, la B
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stiques — et sa douleur aussi, douleur d’orgueil
blessé
, mais qui emporte la sympathie : car l’orgueil hongrois n’est point d
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’il aborde avec autorité tout en tenant son doigt
blessé
droit en l’air, dans une attitude doctorale. La question des assuranc
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entre cet idéal et les réalités stupides qui nous
blessent
. S’engager au lieu de s’indigner : voilà bien le principe de la guéri
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Le fils de la propriétaire est un maigre blafard,
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de guerre, et qui ne peut plus s’occuper que de la maison et des comp
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vous dirai-je ? Je ne puis pas aimer ce qui vous
blesse
. Ai-je le droit de le critiquer ? Vous me dites que tout cela devait
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ent visible, c’est comme le sang, c’est que tu es
blessé
, ta vie s’en va.) La force était mémoire et allusion. Elle était ce v
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McCullers, est signalé comme le premier Américain
blessé
lors du débarquement en Normandie. Aujourd’hui elle est à Paris, inau
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que retourne à l’isolationnisme. Rien de tel pour
blesser
l’amour entre deux peuples que de les mélanger dans leurs épreuves. L
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is il nous traite avec indifférence, parfois nous
blesse
, parfois nous tyrannise… ⁂ Le rationaliste articule : déterminisme. I
74
il y a le risque insane de changer le réel et de
blesser
l’ordre du monde. De là, sans doute, l’idée de non-violence, forme de
75
poisonné : le duel sportif tourne au duel à mort.
Blessé
, Hamlet ne peut plus hésiter. Il tue le roi. Quel fut, chez Kierkegaa
76
film que Laurence Olivier a tiré d’Hamlet. Hamlet
blessé
, enfin résolu à l’action, monte sur une sorte de tribune élevée, et,
77
passer dans leur cœur. On voit bien où le bât les
blesse
. D’autres parlent d’humilité, et battent la coulpe de l’Europe coloni
78
eulent supprimer la seconde parce que la première
blesse
leur logique. Il repose en effet tout entier sur cette « logique du c
79
ns d’un équilibre intime : si ce sens n’était pas
blessé
, rien ne réagirait ; s’il est blessé et réagit, c’est qu’il existe. J
80
n’était pas blessé, rien ne réagirait ; s’il est
blessé
et réagit, c’est qu’il existe. J’essaierai donc d’en définir la natur
81
s traces de leur vraie vocation, et sentir ce qui
blesse
vraiment leur dignité. Si donc j’affirme ici ma foi dans le Progrès,
82
prendre chez Rilke « son hostilité au Christ, qui
blesse
les uns, paraît folle aux autres »… Je ne fais ici qu’énumérer les ex
83
es hommes. Une corporation qui se dit souveraine,
blesse
grièvement l’humanité, elle est en pleine révolte contre le bon sens
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ns d’un équilibre intime : si ce sens n’était pas
blessé
, rien ne réagirait ; s’il est blessé et réagit, c’est qu’il existe. J
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n’était pas blessé, rien ne réagirait ; s’il est
blessé
et réagit, c’est qu’il existe. J’essaierai donc d’en définir la natur
86
palpiter, contracter-dilater, être vulnérable ou
blessé
, transpercé par une pique (« Une épée te transpercera l’âme », dit Si
87
suggère : pénétrer, traverser, voler d’un trait,
blesser
, tuer, féconder. Correspond à l’Esprit et à l’intuition (l’Amour spir
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poisonné : le duel sportif tourne au duel à mort.
Blessé
, Hamlet ne peut plus hésiter. Il tue le roi. Quel fut, chez Kierkegaa
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film que Laurence Olivier a tiré d’Hamlet. Hamlet
blessé
, enfin résolu à l’action, monte sur une sorte de tribune élevée, et,
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prendre chez Rilke « son hostilité au Christ, qui
blesse
les uns, paraît folle aux autres »… Je ne fais ici qu’énumérer les ex
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suggère : pénétrer, traverser, voler d’un trait,
blesser
, tuer, féconder. Correspond à l’ Esprit et à l’intuition (Amour spi
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palpiter, contracter-dilater, être vulnérable ou
blessé
, transpercé par une pique (« Une épée te transpercera l’âme », dit Si
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a Loi). Réponse de Jésus : Celui qui a secouru le
blessé
trouvé au bord du chemin, celui qui a « exercé la miséricorde envers
94
» de la vie sexuelle. On voit donc où le bât nous
blesse
, en Occident. 7. En regard des déclarations constantes de Jésus sur l
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pas des dénominations de ce genre qui eussent pu
blesser
le Christ, le conciliateur de toute chose. Et nous considérons cette
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es hommes. Une corporation qui se dit souveraine,
blesse
grièvement l’humanité, elle est en pleine révolte contre le bon sens
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er par déracinement ou, à la longue, le serrer et
blesser
ses membres et étouffer sa vitalité… Il y a quelques dizaines d’année
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’oiseau à grandes ailes qui, en battant l’air, se
blesse
contre les barreaux de sa cage. La meilleure preuve en est que cette
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péché en général est de faillir à l’amour, de le
blesser
, ou de le dénaturer — par exemple de le réduire à un pur sentiment ou
100
. L’Asie, l’Afrique, les Amériques, sont fendues,
blessées
par des fleuves trop larges et trop longs pour l’usage de l’homme. Il
101
rsonne. Mais plus inconcevable encore, ce qui les
blesse
. S’il se trouve que « je est un autre », comme dit Rimbaud, on a là l
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du Morholt, et révèle sa naissance royale. Mais,
blessé
, il s’en va vers l’Irlande où il est soigné par Iseut, et lorsqu’il r
103
le. » Tous ces géants, dragons et traîtres qui le
blessent
d’une épée empoisonnée, et qu’il tue, ne sont-ils pas les symboles «
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istoire de « venin » comme dit le Roman en prose.
Blessé
par l’épée empoisonnée du géant Morholt, qu’il a tué, et sans espoir
105
tion condamné se défend, avec la rage de l’animal
blessé
, contre deux sortes d’adversaires : les ethnies et l’économie. Dès 19
106
haine des classes, à l’orgueil national (toujours
blessé
, partout), à la peur du bolchévisme, à la honte de la défaite, à la c
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ontre ce qui la nie. Il se découvre par ce qui le
blesse
dans sa chair, le rebrousse dans sa sensibilité, et le navre en son f
108
les réfugiés pour cause de religion, et qui a été
blessé
et gazé sur le front des Flandres, assure une mission de propagande f
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il, le seul officier français qui eût réussi à se
blesser
avec son propre sabre —, ses soudaines reparties d’un humour déroutan