1
brutal de l’étatisme en Russie, nommé révolution
bolcheviste
. On comprend mieux la portée de ce propos après avoir lu Tzara. Mais
2
e armée forte, mais non pas en vertu d’un conseil
bolcheviste
. La question se ramène à ceci : si tout le monde était mis d’accord p
3
au socialisme. Enfin, pour liquider les derniers
bolchevistes
— avec un peu de retard —, on va chercher Staline… La France n’a que
4
e polémique des bourgeois, aux yeux desquels tout
bolcheviste
est un criminel en puissance. Les communistes représentent chez nous,
5
re le fait des bourgeois : ils vous traitaient de
bolcheviste
dès que vous tâchiez de leur montrer que leurs idéaux n’étaient guère
6
e classe, d’ailleurs brimée. En février 1917, les
bolchevistes
sont 200. En octobre, ils s’emparent du pouvoir sur toutes les Russie
7
re le fait des bourgeois : ils vous traitaient de
bolcheviste
dès que vous tâchiez de leur montrer que leurs idéaux n’étaient guère
8
, d’où vient le terrorisme. La Terreur (jacobine,
bolcheviste
ou fasciste) a toujours dénoncé à la vindicte publique les « individu
9
er, bon élève, ou bon Russe. Ce jour-là, le mythe
bolcheviste
sera vraiment « dépassé par l’Histoire », — comme le sont dès mainten
10
e polémique des bourgeois, aux yeux desquels tout
bolcheviste
est un criminel en puissance. Les communistes représentent chez nous,