1 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Adieu, beau désordre… (mars 1926)
1 violences — on sent l’approche de quelque chose, catastrophe ou révélation, brusque échappée sur des pays nouveaux ou chute irrémé
2 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Le Corbusier, Urbanisme (juin 1926)
2 nomène de force en mouvement, est aujourd’hui une catastrophe menaçante pour n’avoir pas été animée de l’esprit de géométrie… Elle
3 1928, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le péril Ford (février 1928)
3 nsi longtemps encore. On se refuse à l’idée d’une catastrophe , pourtant plus que probable, par crainte de se voir obligé à la révis
4 1929, Journal de Genève, articles (1926–1982). Panorama de Budapest (23 mai 1929)
4 rnaux qu’ils lisent annoncent chaque jour quelque catastrophe imminente, une révolution, le transfert de la SDN à la Hofburg… Mais
5 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 6. La trahison de l’instruction publique
5 prophète, on nous promet de tous côtés de belles catastrophes . Je suis de ceux qui s’en réjouissent mauvaisement. (« C’est bien fai
6 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. Appendice. Utopie
6 de rigueur dans la pensée empêcherait souvent des catastrophes que beaucoup de rigueur morale ne saurait même pas prévoir. NOTE B La
7 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 6. La trahison de l’instruction publique
7 prophète, on nous promet de tous côtés de belles catastrophes . Je suis de ceux qui s’en réjouissent mauvaisement. (« C’est bien fai
8 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Appendice. Utopie
8 de rigueur dans la pensée empêcherait souvent des catastrophes que beaucoup de rigueur morale ne saurait même pas prévoir. NOTE B La
9 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
9 les femmes comme ils aiment les saucisses ou les catastrophes , selon qu’ils sont techniciens ou intellectuels. Les Français aiment
10 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Au sujet d’un grand roman : La Princesse Blanche par Maurice Baring (mai 1931)
10 le contredisent. Ceci entraîne cela — bonheur ou catastrophe — non parce que c’est mal ou bien, mais en vertu d’une loi organique,
11 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
11 a dans tout désespoir à la fois l’angoisse de la catastrophe et la secrète, l’inavouable joie de la libération. Impossible d’isole
12 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). À prendre ou à tuer (décembre 1932)
12 Nous jouerons tout sur une révolution vraie. Les catastrophes sont proches. Nous ne sommes plus les seuls à le dire. Beaucoup de ca
13 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
13 les femmes comme ils aiment les saucisses ou les catastrophes , selon qu’ils sont techniciens ou intellectuels. Les Français aiment
14 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
14 les femmes comme ils aiment les saucisses ou les catastrophes , selon qu’ils sont techniciens ou intellectuels. Les Français aiment
15 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
15 mythe nouveau prend son essor au sein même de la catastrophe . Tout un âge, un climat de musique, soudain se fixe en nos mémoires,
16 quent à nos vues immédiates toute l’ampleur de la catastrophe . Il y a des trains qui marchent et qui arrivent à l’heure, il y a des
16 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Deux essais de philosophes chrétiens (mai 1934)
17 erre. On pourrait aussi supposer que la leçon des catastrophes dictatoriales va réveiller quelques chrétiens. Leur office n’est-il p
18 si d’abord il est obéissance ? Ce ne sont pas les catastrophes qui devraient effrayer le chrétien, mais le risque plus immédiat de f
17 1934, Politique de la personne. Idoles — Antimarxiste parce que chrétien
19 rédite par l’Évangile et l’Apocalypse — c’est une catastrophe . Tandis que l’issue du communisme, nul ne l’ignore, c’est l’établisse
18 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
20 Nous jouerons tout sur une révolution vraie. Les catastrophes sont proches. Nous ne sommes plus les seuls à le dire. Beaucoup de ca
19 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Antimarxiste parce que chrétien
21 rédite par l’Évangile et l’Apocalypse — c’est une catastrophe . Tandis que l’issue du communisme, nul ne l’ignore, c’est l’établisse
20 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
22 Nous jouerons tout sur une révolution vraie. Les catastrophes sont proches. Nous ne sommes plus les seuls à le dire. Beaucoup de ca
21 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
23 péfiant. Soucieux de ne point céder au goût de la catastrophe que certains plumitifs se plaisent à entretenir au sein du fameux « d
22 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). La situation politique en France (octobre 1935)
24 qu’un recul des idées que nous défendons. Quelles catastrophes faudra-t-il donc pour détruire cette superstition ? o. « La situatio
23 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Conversation avec un SA (décembre 1935)
25 le disent bien ! C’est une mutilation. C’est une catastrophe cosmique, comme une avalanche qui passe sur un village des Alpes : je
24 1936, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le Problème du bien (12 septembre 1936)
26 n d’un « démiurge » sauvage, omnivore, amateur de catastrophes et de crimes. Les animaux se mangent entre eux, les hommes périssent
25 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Le problème de la culture
27 emier moment de cette décadence. Mais avec lui la catastrophe est déjà virtuellement consommée. Car si l’on doute de l’importance d
26 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
28 bandon charmant, derrière nous, aboutissent à une catastrophe dont pourraient seules nous sauver les violences d’une foi nouvelle.
27 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Le problème de la culture
29 emier moment de cette décadence. Mais avec lui la catastrophe est déjà virtuellement consommée. Car si l’on doute de l’importance d
28 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
30 bandon charmant, derrière nous, aboutissent à une catastrophe dont pourraient seules nous sauver les violences d’une foi nouvelle.
29 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
31 solation aussi que d’avoir à faire face à quelque catastrophe intime. Certains jours on donnerait beaucoup pour une bonne raison de
30 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Gösta Berling, par Selma Lagerlöf (novembre 1937)
32 contrastes, exagérations soutenues, coïncidences, catastrophes naturelles, et tous les emplois de la fable suédoise : trolls, sorciè
31 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
33 rythmé comme par l’avance d’une foule en marche, catastrophe ou triomphe solennel d’on ne sait quelle révolution future… Dictateur
34 solation aussi que d’avoir à faire face à quelque catastrophe intime. Certains jours on donnerait beaucoup pour une bonne raison de
32 1938, Esprit, articles (1932–1962). L’amour action, ou de la fidélité (novembre 1938)
35 t tant de publicistes — qui est responsable de la catastrophe . L’esprit catastrophique de l’Occident n’est pas chrétien105. Il est
36 3. 105. Il y a l’Apocalypse, dira-t-on. Mais les catastrophes qu’elle annonce représentent notre châtiment et non pas notre délivra
33 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
37 oi lui a révélé la fin absolue de l’Histoire : la catastrophe et la résurrection pour le Jugement. Et derrière lui retentit cette p
38 le disent bien ! C’est une mutilation. C’est une catastrophe cosmique, comme une avalanche qui passe sur un village des Alpes : je
39 s fondateurs de religion sont réservés à d’autres catastrophes . Je sais qu’il y a des fous, des accidents de circulation et des erre
34 1939, Articles divers (1938-1940). Un quart d’heure avec M. Denis de Rougemont : Hitler, grand-prêtre de l’Allemagne (11 janvier 1939)
40 s fondateurs de religion sont réservés à d’autres catastrophes . J’achève votre raisonnement : puisqu’il n’y a pas d’attentats contre
35 1939, Le Figaro, articles (1939–1953). Le bon vieux temps présent (20 mars 1939)
41 mythe nouveau prend son essor au sein même de la catastrophe . Tout un âge, un climat de musiques, soudain se fixe en nos mémoires,
36 1939, Le Figaro, articles (1939–1953). « Le matin vient, et la nuit aussi » (7 juin 1939)
42 ir la guerre humaine. On me dira qu’autrefois les catastrophes étaient au moins localisées. Pendant qu’on massacrait jusqu’au dernie
43 dose, paralyse, ou tonifie. Dans l’atmosphère de catastrophes où nous vivons, une profonde ambiguïté se manifeste. Tout invite à dé
37 1939, Articles divers (1938-1940). Comment j’ai écrit Nicolas de Flue (3 novembre 1939)
44 h. Mais le mois de septembre 1939 nous apporta la catastrophe que septembre 1938 avait su écarter. C’était l’échec tragique de Nico
38 1939, Articles divers (1938-1940). Nicolas de Flue : naissance d’un drame (Noël 1939)
45 n fis rien. J’étais certain qu’avant le terme, la catastrophe réglerait tout. Sur quoi, le coup de téléphone que j’ai dit, et toute
39 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
46 , invoquée, imaginée comme une belle et désirable catastrophe , et non point comme une catastrophe. Il vit de la vie même de ceux qu
47 et désirable catastrophe, et non point comme une catastrophe . Il vit de la vie même de ceux qui croient que l’amour est une destin
48 e du drame de Wagner décrit bien davantage qu’une catastrophe romanesque : il décrit l’essentielle catastrophe de notre sadique gén
49 catastrophe romanesque : il décrit l’essentielle catastrophe de notre sadique génie, ce goût réprimé de la mort, ce goût de se con
50 s retards de la passion, son crescendo jusqu’à la catastrophe — et non point sa rapide flambée. Considérez notre littérature. Le bo
51 ieux d’un bonheur qu’il repousse, magnifié par sa catastrophe , — l’amour réciproque malheureux. ⁂ Arrêtons-nous sur cette formule d
40 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
52 ’est une fatalité tout extérieure qui provoque la catastrophe , tandis que de l’autre, c’est la volonté secrète, mais infaillible, d
41 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
53 st le début d’une vie plus réelle ici-bas, non la catastrophe de ce monde. D’ailleurs Otto cite un passage d’Eckhart où il est ques
42 1939, L’Amour et l’Occident. Amour et guerre
54 gédies sans crime. Le refus de trouver belles les catastrophes , voilà qui peut définir l’âge classique. Certes la guerre et la passi
55 e du matériel s’est traduite en réalité par une «  catastrophe sexuelle »180. L’impuissance généralisée, ou du moins ses prodromes t
56 ain sera donc en mesure d’orchestrer la grandiose catastrophe de la passion devenue totalitaire ? ⁂ Ceci nous mène au seuil d’une c
43 1939, L’Amour et l’Occident. L’Amour action, ou de la fidélité
57 t tant de publicistes — qui est responsable de la catastrophe . L’esprit catastrophique de l’Occident n’est pas chrétien208. Il est
58  ! 208. Il y a l’Apocalypse, dira-t-on. Mais les catastrophes qu’elle annonce représentent notre châtiment et non pas notre délivra
44 1939, L’Amour et l’Occident. Appendices
59 lousie d’Iseut aux blanches mains qui provoque la catastrophe , tandis que dans Girard, c’est la jalousie du suzerain. Ainsi dans le
45 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
60 , invoquée, imaginée comme une belle et désirable catastrophe , et non point comme une catastrophe. Il vit de la vie même de ceux qu
61 et désirable catastrophe, et non point comme une catastrophe . Il vit de la vie même de ceux qui croient que l’amour est une destin
62 e du drame de Wagner décrit bien davantage qu’une catastrophe romanesque : il décrit l’essentielle catastrophe de notre sadique gén
63 catastrophe romanesque : il décrit l’essentielle catastrophe de notre sadique génie, ce goût réprimé de la mort, ce goût de se con
64 s retards de la passion, son crescendo jusqu’à la catastrophe — et non point sa rapide flambée. Considérez notre littérature. Le bo
65 ieux d’un bonheur qu’il repousse, magnifié par sa catastrophe , — l’amour réciproque malheureux. ⁂ Arrêtons-nous sur cette formule d
46 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
66 ’est une fatalité tout extérieure qui provoque la catastrophe , tandis que de l’autre, c’est la volonté secrète, mais infaillible, d
47 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
67 st le début d’une vie plus réelle ici-bas, non la catastrophe de ce monde. D’ailleurs Otto cite un passage d’Eckhart où il est ques
48 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Amour et guerre
68 gédies sans crime. Le refus de trouver belles les catastrophes , voilà qui peut définir l’âge classique. Certes la guerre et la passi
69 e du matériel s’est traduite en réalité par une «  catastrophe sexuelle198 ». L’impuissance généralisée, ou du moins ses prodromes t
70 ain sera donc en mesure d’orchestrer la grandiose catastrophe de la passion devenue totalitaire ? ⁂ Ceci nous mène au seuil d’une c
49 1939, L’Amour et l’Occident (1956). L’amour action, ou de la fidélité
71 t tant de publicistes — qui est responsable de la catastrophe . L’esprit catastrophique de l’Occident n’est pas chrétien226. Il est
72 3. 226. Il y a l’Apocalypse, dira-t-on. Mais les catastrophes qu’elle annonce représentent notre châtiment et non pas notre délivra
50 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
73 , invoquée, imaginée comme une belle et désirable catastrophe , et non point comme une catastrophe. Il vit de la vie même de ceux qu
74 et désirable catastrophe, et non point comme une catastrophe . Il vit de la vie même de ceux qui croient que l’amour est une destin
75 e du drame de Wagner décrit bien davantage qu’une catastrophe romanesque : il décrit l’essentielle catastrophe de notre sadique gén
76 catastrophe romanesque : il décrit l’essentielle catastrophe de notre sadique génie, ce goût réprimé de la mort, ce goût de se con
77 s retards de la passion, son crescendo jusqu’à la catastrophe — et non point sa rapide flambée. Considérez notre littérature. Le bo
78 ieux d’un bonheur qu’il repousse, magnifié par sa catastrophe , — l’amour réciproque malheureux. ⁂ Arrêtons-nous sur cette formule d
51 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
79 ’est une fatalité tout extérieure qui provoque la catastrophe , tandis que de l’autre, c’est la volonté secrète, mais infaillible, d
52 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Passion et mystique
80 st le début d’une vie plus réelle ici-bas, non la catastrophe de ce monde. D’ailleurs Otto cite un passage d’Eckhart où il est ques
53 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Amour et guerre
81 gédies sans crime. Le refus de trouver belles les catastrophes , voilà qui peut définir l’âge classique. Certes la guerre et la passi
82 e du matériel s’est traduite en réalité par une «  catastrophe sexuelle »184. L’impuissance généralisée, ou du moins ses prodromes t
83 ain sera donc en mesure d’orchestrer la grandiose catastrophe de la passion devenue totalitaire ? ⁂ Ceci nous mène au seuil d’une c
54 1939, L’Amour et l’Occident (1972). L’amour action, ou de la fidélité
84 t tant de publicistes — qui est responsable de la catastrophe . L’esprit catastrophique de l’Occident n’est pas chrétien208. Il est
85 3. 208. Il y a l’Apocalypse, dira-t-on. Mais les catastrophes qu’elle annonce représentent notre châtiment et non pas notre délivra
55 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Appendices
86 lousie d’Iseut aux blanches mains qui provoque la catastrophe , tandis que dans Girard, c’est la jalousie du suzerain. Ainsi dans le
56 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La bataille de la culture (janvier-février 1940)
87 classes et le chômage, et la grande ville, cette catastrophe humaine, l’un des désastres moraux de l’Histoire. Tout cela, faute d’
88 aboutissent pas mécaniquement et fatalement à des catastrophes cosmiques. La vie de la cité et de la culture, ce sera toujours une b
57 1940, Articles divers (1938-1940). D’un journal d’attente (pages démodées) (avril 1940)
89 aussi, qui ne retrouvent l’espoir qu’au seuil des catastrophes générales. Et j’en connais qui ne parviennent à leur régime normal de
90 société secrète que rassemble l’appréhension des catastrophes prochaines et le désir d’un ultime colloque avant que ne se ferment l
91 s pas de haine ni d’amertume : on ne hait pas les catastrophes , les incendies et les tremblements de terre. Notre amertume et notre
58 1940, Qu’est-ce que la Ligue du Gothard ? (1940). VII. Réformes politiques
92 lle a conduit sous nos yeux d’autres régimes à la catastrophe . L’adjonction au Parlement d’une Chambre économique est l’une des pre
59 1940, Mission ou démission de la Suisse. La bataille de la culture
93 classes et le chômage, et la grande ville, cette catastrophe humaine, l’un des désastres moraux de l’Histoire. Tout cela, faute d’
94 aboutissent pas mécaniquement et fatalement à des catastrophes cosmiques. La vie de la cité et de la culture, ce sera toujours une b
60 1940, Mission ou démission de la Suisse. Esquisses d’une politique fédéraliste
95 dre à son idée dans mon bureau : c’est une petite catastrophe totalitaire ! Mes dossiers sont « mis au pas », alignés et empilés, r
61 1942, La Part du diable. L’Incognito et la Révélation
96 les chiens écrasés, se réservant pour les grandes catastrophes de la politique mondiale. Voici cependant où l’on verra percer le bou
62 1942, La Part du diable. Hitler ou l’alibi
97 du premier tiers de notre siècle, tandis que des catastrophes trop voyantes ébranlaient les bases de notre optimisme et de notre fo
98 s fondateurs de religion sont réservés à d’autres catastrophes . Certes il y a des fous, des accidents de circulation et des erreurs
99 ence L’hitlérisme se présente à nous comme une catastrophe cosmique, comme un malheur plus étendu et plus profond que l’Histoire
63 1942, La Part du diable. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
100 s l’évasion vers le néant. Cette origine et cette catastrophe ne cesseront jamais d’être instantes au cœur secret de la passion occ
101 encore pour que nous comprenions l’étendue de la catastrophe , et qu’elle est vraiment sans limites ? Et qu’il n’y a qu’une humanit
64 1942, La Part du diable. Le Bleu du Ciel
102 tions des dieux, il n’y aurait plus d’espoir : la catastrophe présente étant notre œuvre à tous, l’échec des dieux serait avéré, le
103 ’isoler ou m’abstraire du cosmos, et provoquer ma catastrophe particulière, ce ne sera qu’au prix de ma perte, et sans le savoir, q
104 ns-nous de cette grande Confiance qui survit à la catastrophe , parce qu’en ayant sondé les causes, elle voit que celles-ci se détru
65 1942, La Part du diable (1944). L’Incognito et la Révélation
105 les chiens écrasés, se réservant pour les grandes catastrophes de la politique mondiale. Voici cependant où l’on verra percer le bou
66 1942, La Part du diable (1944). Hitler ou l’alibi
106 du premier tiers de notre siècle, tandis que des catastrophes trop voyantes ébranlaient les bases de notre optimisme et de notre fo
107 s fondateurs de religion sont réservés à d’autres catastrophes . Certes, il y a des fous, des accidents de circulation et des erreurs
108 e L’hitlérisme s’est présenté à nous comme une catastrophe cosmique, comme un malheur plus étendu et plus profond que l’Histoire
109 la situation de l’Europe à la veille de sa grande catastrophe . La question qui se posait alors à l’inquiétude de quelques rares obs
110 Hitler s’est tu. L’aventure a pris fin dans la catastrophe prévue. Et devant le cadavre gisant de l’homme qui fit trembler tout
67 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
111 u sacrifice, le sens du risque spirituel et de la catastrophe salutaire. Si Jésus n’est pas supplicié, il ne ressuscitera pas non p
112 l’évasion vers le néant. Cette origine et cette catastrophe ne cesseront jamais d’être instantes au cœur secret de la passion occ
113 encore pour que nous comprenions l’étendue de la catastrophe , et qu’elle est vraiment sans limites ? Et qu’il n’y a qu’une humanit
68 1942, La Part du diable (1944). Le Bleu du Ciel
114 tions des dieux, il n’y aurait plus d’espoir : la catastrophe présente étant notre œuvre à tous, l’échec des dieux serait avéré, le
115 ’isoler ou m’abstraire du cosmos, et provoquer ma catastrophe particulière, ce ne sera qu’au prix de ma perte, et sans le savoir, q
116 ns-nous de cette grande Confiance qui survit à la catastrophe , parce qu’en ayant sondé les causes, elle voit que celles-ci se détru
69 1942, La Part du diable (1982). L’Incognito et la révélation
117 les chiens écrasés, se réservant pour les grandes catastrophes de la politique mondiale. Voici cependant où l’on verra percer le bou
70 1942, La Part du diable (1982). Hitler ou l’alibi
118 du premier tiers de notre siècle, tandis que des catastrophes trop voyantes ébranlaient les bases de notre optimisme et de notre fo
119 s fondateurs de religion sont réservés à d’autres catastrophes . Certes, il y a des fous, des accidents de circulation et des erreurs
120 e L’hitlérisme s’est présenté à nous comme une catastrophe cosmique, comme un malheur plus étendu et plus profond que l’Histoire
121 la situation de l’Europe à la veille de sa grande catastrophe . La question qui se posait alors à l’inquiétude de quelques rares obs
122 Hitler s’est tu. L’aventure a pris fin dans la catastrophe prévue. Et devant le cadavre gisant de l’homme qui fit trembler tout
71 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
123 u sacrifice, le sens du risque spirituel et de la catastrophe salutaire. Si Jésus n’est pas supplicié, il ne ressuscitera pas non p
124 s l’évasion vers le néant. Cette origine et cette catastrophe ne cesseront jamais d’être instantes au cœur secret de la passion occ
125 encore pour que nous comprenions l’étendue de la catastrophe , et qu’elle est vraiment sans limites ? Et qu’il n’y a qu’une humanit
72 1942, La Part du diable (1982). Le Bleu du Ciel
126 tions des dieux, il n’y aurait plus d’espoir : la catastrophe présente étant notre œuvre à tous, l’échec des dieux serait avéré, le
127 ’isoler ou m’abstraire du cosmos, et provoquer ma catastrophe particulière, ce ne sera qu’au prix de ma perte, et sans le savoir, q
128 ns-nous de cette grande confiance qui survit à la catastrophe , parce qu’en ayant sondé les causes, elle voit que celles-ci se détru
73 1943, Articles divers (1941-1946). Mémoire de l’Europe : Fragments d’un Journal des Mauvais Temps (septembre 1943)
129 mythe nouveau prend son essor au sein même de la catastrophe . Tout un âge, un climat de musiques, soudain se fixe en nos mémoires,
130 ussi, qui ne re­trouvent l’espoir qu’au seuil des catastrophes générales. Et j’en connais qui ne parviennent à leur régime normal de
131 passé, le présent réduits se rétrécissent vers la catastrophe . Il n’est plus d’autre issue que la nuit, mais viendra-t-elle après m
74 1944, Articles divers (1941-1946). Un peuple se révèle dans le malheur (février 1944)
132 refus même de se complaire dans le lyrisme de la catastrophe  ; c’est pour tout dire, le naturel de l’héroïsme populaire. Ce peuple
75 1944, Articles divers (1941-1946). Quelle guerre cruelle (octobre-novembre 1944)
133 taira d’ici peu. Son aventure prendra fin dans la catastrophe prévue. Et devant le cadavre gisant de l’homme qui fit trembler tout
76 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Le silence de Goethe
134 a dans tout désespoir à la fois l’angoisse de la catastrophe et la secrète, l’inavouable joie de la libération. Impossible d’isole
77 1944, Articles divers (1941-1946). Les règles du jeu dans l’art romanesque (1944-1945)
135 ant de fantaisie a su préfigurer le rythme de nos catastrophes . Les dessins animés de Walt Disney jouaient dans le registre du fou r
78 1945, Le Semeur, articles (1933–1949). La responsabilité culturelle de l’Église (mars 1945)
136 précédente, celle de ses parents d’avoir amené la catastrophe . Beaucoup des chefs, même de la génération présente, auront disparu.
79 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Un climat tempéré (22 août 1945)
137 en vois un, c’est peut-être le seul. Là, point de catastrophes naturelles, d’avalanches, de tornades, de volcans, d’invasions de sau
80 1945, Carrefour, articles (1945–1947). Hollywood n’a plus d’idées (13 décembre 1945)
138 rise impitoyable dans l’agencement d’une suite de catastrophes qui laissent le spectateur soulagé et heureux, parce que son inconsci
81 1946, Le Figaro, articles (1939–1953). Les nouveaux aspects du problème allemand (30 mai 1946)
139 uple que l’on tient cependant pour coupable d’une catastrophe continentale et responsable du sort effrayant qu’il subit par un just
82 1946, Le Figaro, articles (1939–1953). Demain la bombe, ou une chance d’en finir avec la terre (30 juin 1946)
140 n Amérique, et hier en France, on nous prédit des catastrophes possibles, de dimensions continentales. Un physicien de New York a cr
83 1946, Articles divers (1941-1946). La fin du monde (juin 1946)
141 , à tous les lettrés sans esprit, la pensée de la catastrophe s’acclimate lentement parmi nous ? D’où, sinon de la Fin qui déjà nou
84 1946, Le Semeur, articles (1933–1949). Chances d’action du christianisme (juin-juillet 1946)
142 nt de restaurer le nationalisme, condamné par les catastrophes récentes. Les autres pensent qu’en déplaçant quelques objets — les ri
85 1946, Combat, articles (1946–1950). Bikini bluff (2 juillet 1946)
143 ts. Or, les savants persistent à nous prédire des catastrophes continentales, pour le jour de la grande expérience d’une explosion a
86 1946, Articles divers (1941-1946). En 1940, j’ai vu chanceler une civilisation : ce que l’on entendait sur le paquebot entre Lisbonne et New York (21 septembre 1946)
144 je fais figure d’ex-voyageur normal. Touriste des catastrophes , scandaleux personnage, comme le serait un témoin vivant même aux col
87 1946, Journal des deux mondes. Le bon vieux temps présent
145 mythe nouveau prend son essor au sein même de la catastrophe . Tout un âge, un climat de musiques, soudain se fixe en nos mémoires,
88 1946, Journal des deux mondes. Journal d’attente
146 aussi, qui ne retrouvent l’espoir qu’au seuil des catastrophes générales. Et j’en connais qui ne parviennent à leur régime normal de
147 ociété secrète que rassemblent l’appréhension des catastrophes prochaines et le désir d’un ultime colloque, avant que ne se ferment
148 ntir le genre humain. On me dira qu’autrefois les catastrophes étaient au moins localisées. Pendant qu’on massacrait jusqu’au dernie
149 a dose, paralyse ou tonifie. Dans l’atmosphère de catastrophes où nous vivons, une profonde ambiguïté se manifeste. Tout invite à dé
150 s pas de haine ni d’amertume : on ne hait pas les catastrophes , les incendies et les tremblements de terre. Notre amertume et notre
89 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
151 ntre le déclenchement précis des mécanismes de la catastrophe , et la catastrophe elle-même, un moment imprévu a pris place, et il s
152 nt précis des mécanismes de la catastrophe, et la catastrophe elle-même, un moment imprévu a pris place, et il s’étire interminable
90 1946, Journal des deux mondes. Anecdotes et aphorismes
153 passé, le présent réduits se rétrécissent vers la catastrophe . Il n’est plus d’autre issue que la nuit, mais viendra-t-elle après m
91 1946, Journal des deux mondes. La route de Lisbonne
154 bonheur et de libre sagesse… Comment croire à la catastrophe lorsqu’on descend dans ces contrées les plus humanisées de la planète
155 ples de l’Europe : se rassurer à la pensée que la catastrophe est générale, qu’il n’y a plus de pays épargnés, et que le malheur es
156 je fais figure d’ex-voyageur normal. Touriste des catastrophes , scandaleux personnage, comme le serait un témoin vivant mêlé aux col
92 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
157 en vois un, c’est peut-être le seul. Là, point de catastrophes naturelles, d’avalanches, de tornades, de volcans, d’invasions de sau
93 1946, Journal des deux mondes. Virginie
158 et le refus de se complaire dans le lyrisme de la catastrophe  ; c’est pour tout dire, le naturel de l’héroïsme populaire. Ce peuple
94 1946, Journal des deux mondes. Le mauvais temps qui vient
159 quent à nos vues immédiates toute l’ampleur de la catastrophe . Il y a des trains qui marchent et qui arrivent même à l’heure, il y
95 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Préface
160 pour rédiger un plan européen. Au lendemain de la catastrophe hitléro-fasciste, le personnalisme a cessé d’exister en tant que mouv
96 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
161 les femmes comme ils aiment les saucisses ou les catastrophes , selon qu’ils sont techniciens ou intellectuels. Les Français aiment
97 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Sur l’automne 1932, ou la naissance du personnalisme
162 Nous jouerons tout sur une révolution vraie. Les catastrophes sont proches. Nous ne sommes plus les seuls à le dire. Beaucoup de ca
98 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
163 rythmé comme par l’avance d’une foule en marche, catastrophe ou triomphe solennel d’on ne sait quelle révolution future… Dictateur
164 solation aussi que d’avoir à faire face à quelque catastrophe intime. Certains jours on donnerait beaucoup pour une bonne raison de
99 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Journal (1935-1936)
165 oi lui a révélé la fin absolue de l’Histoire : la catastrophe et la résurrection pour le Jugement. Et derrière lui retentit cette p
166 le disent bien ! C’est une mutilation. C’est une catastrophe cosmique, comme une avalanche qui passe sur un village des Alpes : je
167 s fondateurs de religion sont réservés à d’autres catastrophes . Je sais qu’il y a des fous, des accidents de circulation et des erre
100 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le bon vieux temps présent
168 mythe nouveau prend son essor au sein même de la catastrophe . Tout un âge, un climat de musiques, soudain se fixe en nos mémoires,