1
dire qu’à l’heure présente déjà, son œuvre, comme
celle
de Barrès, nous offre plus qu’un agrément purement littéraire : une l
2
itarisme, le bolchévisme. L’autre philosophie est
celle
de l’antique Rome, qui a inspiré le catholicisme, la Renaissance, le
3
mpliste du monde, qui n’est en rien différente de
celle
de l’Action française ; remarquons toutefois cette séparation, que Ma
4
e plutôt sur le sentiment des hiérarchies que sur
celui
de la solidarité, comme bien l’on pense). Enfin, enseignement plus gé
5
des jeunes gens : celle-ci empêche les abus, mais
celles
-là forment l’esprit. » M. de Montherlant illustre sa propre pensée de
6
ant est dur pour ses erreurs plus encore que pour
celles
de l’adversaire, ce qui est beaucoup dire. Il y avait dans le Paradis
7
ental, en sorte que cette enquête rejoint parfois
celle
qu’ouvrit la Revue de Genève sur « l’Avenir de l’Europe. » (Cf. les
8
ie sauront encore éveiller de beaux rêves. Il y a
ceux
qui repoussent une Asie ignorante du thomisme et ceux qui pensent iné
9
qui repoussent une Asie ignorante du thomisme et
ceux
qui pensent inévitable le choc de deux mondes, et que seule une intim
10
e intime connaissance mutuelle l’adoucira. Il y a
ceux
qui à la suite de Claudel estiment que la question ne se pose pas, pu
11
rincipe le germe de sa destruction.) Il y a enfin
ceux
qui refondent et combinent toutes ces opinions ; et ceux qui avouent
12
i refondent et combinent toutes ces opinions ; et
ceux
qui avouent n’en point avoir, sincérité trop rare… Presque toutes les
13
la littérature européenne d’avant-guerre mêlés à
ceux
des maîtres du renouveau idéaliste allemand et viennois, Hesse, Hofma
14
ils forment un cortège pittoresque et désolant à
celui
qui, revenu de l’étranger dans le désordre de son pays, suivra obstin
15
é. Leur Prologue pourrait presque aussi bien être
celui
d’une pièce de Pirandello. N’annonce-t-il pas que les personnages des
16
els, très réels, de la réalité la plus intime, de
celle
qu’ils se donnent eux-mêmes dans leur pure volonté d’être ou de ne pa
17
. Seillière — me paraît infiniment plus forte que
celle
d’un Maurras ou que celle d’un Maritain. Son unité est plus réellemen
18
finiment plus forte que celle d’un Maurras ou que
celle
d’un Maritain. Son unité est plus réellement profonde, son point d’ap
19
as de pensée plus vivante, ni de plus tonique que
celle
de ce « Pascal protestant ». k. « Ernest Seillière : Alexandre Vine
20
ntemporaine offre un spectacle bien passionnant :
celui
de la renaissance d’une littérature nationale à la fois cause et effe
21
forme et traditionaliste d’inspiration, comme fut
celle
des Yeats, Synge, Joyce même… Trois noms qui permettent, je crois, de
22
Mais très vite on étend l’appellation de saint à
ceux
qui par leur élévation morale ou leurs souffrances semblent s’être le
23
ès mal défini, et l’on court après sans fin. Même
ceux
qui ont perdu la croyance en un bonheur possible ou désirable subisse
24
ocial, glorifie une morale résolument anarchiste.
Ceux
qui s’essaient à l’action, c’est encore pour cultiver leur moi. Ils y
25
lle apparaît chez les émules de Barrès comme chez
ceux
de Gide, qu’il faut préciser. L’éthique et l’esthétique convergent da
26
Et le mal est si cruellement isolé, commenté par
ceux
qui le portent en eux qu’il en paraît plus incurable. Ces jeunes gens
27
nos psychologues est cet état presque inhumain de
celui
qui n’a pas dormi et qui « assiste » à sa vie, à ses sensations, à se
28
morale de demain sera en réaction complète contre
celle
d’aujourd’hui, parce que nous sommes à bout. Il ne s’agit pas, encore
29
risent pas la culture ; sans autre parti pris que
celui
de vivre, c’est-à-dire de construire ; sobres de langage et maîtres d
30
et dans la connaissance de leur misère. Pareils à
ceux
dont Vinet disait qu’ils s’en vont « épiant toutes les émotions de l’
31
ndition d’homme la plus nue ; la plus éloignée de
celle
qui permet le surréalisme. 10. Une équipe d’hommes solides suffirait
32
ant M. A. Léo — du domaine de la pensée pure dans
celui
de l’action. M. Cadier montra le conflit de la théologie moderne avec
33
ement purement lyrique, sa progression accordée à
celle
des événements inconscients. Certaines proses mystiques de Paulina au
34
ailleurs que les miracles les plus étonnants sont
ceux
de la lumière. « Le mystère se passe en plein jour et à toute vitesse
35
tions me paraissent légitimes chez d’autres, même
celles
que je juge bon d’éliminer de moi. Chacun son équilibre, ou plutôt, s
36
use : « Qu’avons-nous besoin d’un autre amour que
celui
que nous donnons ? » ⁂ Il est impossible de ne voir dans les Bestiair
37
ts qui composent le portrait moral de l’Oriental,
celui
de l’Européen se précise dans la même mesure, — et aussi la figure de
38
tatation fondamentale que « notre intelligence et
celle
de l’Oriental ne sont pas superposables ». Dès lors, comment collabor
39
que saluent tant de souvenirs n’a d’autre nom que
celui
de l’instant, ô mélodieuse lassitude. Vivre ainsi simplement. Sans pe
40
elle croisée propose un mystère qu’on oublie pour
celui
des regards étrangers. Et voici la place régulière, les galeries, les
41
ivement ordonnée, où l’idée de la civilisation et
celle
de l’ordre sont chaque jour confondues ». Nous cherchons à conquérir
42
courir, tant dans le domaine littéraire que dans
celui
de l’action. En littérature : refus de construire, de composer ; impu
43
uhandeau.) Ce qu’on appelle une œuvre sincère est
celle
qui est douée d’assez de force pour donner de la réalité à l’illusion
44
lle en chaque minute de ma joie est plus réel que
celui
qu’une analyse désolée s’imaginait retenir. Dès lors, ce n’est pas lâ
45
de souffrance véritablement insupportable, c’est
celle
qu’on tire de soi-même.) Hypocrisie, ce sourire des sphinx ; hypocris
46
sur les difficultés du temps, en général, et sur
celles
en particulier qu’implique la publication de notre revue. Mais nous s
47
ohérences pittoresques de ce petit livre. Quant à
ceux
que certaines envolées magnifiques et hagardes pourraient enthousiasm
48
mbéciles », ricane-t-il ; et sans rire : « À mort
ceux
qui paraphrasent ce que je dis ». Il y a chez Aragon une folie de la
49
nades dont la composition n’est pas sans rappeler
celle
des Nuits d’octobre de Nerval ; forme qui permet à l’auteur de divagu
50
vie normale et s’approchait en faisant la roue —
celle
à qui sourit la Fortune. Urbain, fort d’une hérédité judiciaire et fr
51
s et des plus controversés de l’histoire. L’un de
ceux
, aussi, où il est le plus difficile de rester impartial. M. Lombard,
52
On espère bien convertir de gré ou de force tous
ceux
qui resteront « Les enfants seront du moins catholiques, si les pères
53
s de notre Évangile ». Et les persécutions contre
ceux
qui n’ont commis d’autre crime que de « déplaire au roi » vont repren
54
trange harmonie entre le climat des sentiments et
celui
des campagnes désolées où ils se développent. Paysages tristes et san
55
bas-toi là ! »… Est-il plus atroce spectacle que
celui
d’une maîtresse jadis belle et diserte qui tombe au ruisseau en prono
56
Si quelques-uns de ses bijoux sont taillés comme
ceux
de Giraudoux, j’y vois un signe charmant d’amitié de l’aîné au plus j
57
Jaloux évite le péril d’un réalisme trop amer et
celui
du roman lyrique, par l’équilibre qu’il maintient entre ces deux inco
58
elle harmonie… C’est une réalité aussi réelle que
celle
dont nous avons convenu et que nous pensions la seule possible. Le mo
59
tions nouvelles et leurs maîtres soit lu par tous
ceux
qui cherchent à s’orienter dans la crise moderne. M. Daniel-Rops unit
60
jeunes gens d’aujourd’hui. Il constate que l’une (
celle
de Gide) ne fait que différer notre inquiétude, tandis que l’autre «
61
goût de s’amuser ne renaîtra plus en eux. Ni même
celui
de souffrir. Le dernier rire d’Aragon, c’est l’éclat de sa joie brusq
62
s ne pourrons plus séparer du concept de l’esprit
celui
de Révolution. Et j’entends ce mot dans son sens le plus vaste. Il y
63
re, et puis l’on croirait encore que je suis avec
ceux
qui traitent Aragon, Breton et leurs amis alternativement de dévoyés,
64
n’est pas elle. Il pensa que c’était un ange, de
ceux
qui vont à la recherche des âmes. Aussitôt il téléphone à ceux du par
65
à la recherche des âmes. Aussitôt il téléphone à
ceux
du paradis : « Qui va à la chasse perd sa place, nous nous comprenons
66
. Et ne fût-ce qu’en prenant une initiative comme
celle
de Neuchâtel 1927 7 il aura bien mérité sa place parmi les artistes n
67
pprochements moins paradoxaux. Donzé n’est pas de
ceux
pour qui la peinture consiste à habiller une idée. Voyez son portrait
68
isages qui s’y reflèteront soient aussi beaux que
ceux
qu’il peint ou modèle, le soir, à la lampe, en compagnie de sa femme
69
de rugby. C’était le poids de la pierre, plus que
celui
du corps de l’athlète ; l’œuvre n’atteignait pas encore pleinement sa
70
eur objet et le domaine où elles se réalisent que
celles
de Le Corbusier8, Meili, Evard, Perrin, manifestent toutes une recher
71
ns une direction quelconque. Il advint que ce fut
celle
de l’Italie. La lumière, mon pays natal ! — Je vécus d’articles sur l
72
trop vaste, comme un avenir de bonheur fiévreux —
celui
justement que j’entrevoyais. » Quand elle se fut endormie, je me rhab
73
imer l’activité littéraire, le plus satisfaisant,
celui
qui rend le mieux compte de la réalité, c’est André Breton qui l’a ex
74
is, les haines douloureuses ou grossières de tous
ceux
qui ne peuvent ou ne veulent y voir que révoltes contre leurs morales
75
révélations que j’attende de la littérature : que
celle
des autres m’aide à prendre conscience de moi-même ; que la mienne m’
76
Jaloux, Rainer Maria Rilke (décembre 1927)ao À
ceux
qui se contentent du mot fumeux pour caractériser tout lyrisme german
77
leur impuissance à concevoir un autre bonheur que
celui
qu’ils ont reçu de papa-maman et l’Habitude, leur marraine aux dents
78
nge à ses paroles — ou peut-être n’étaient-ce que
celles
de mes folies ? Je me répète : paradoxes, mais cela ne suffit plus à
79
s machines couvre déjà la plainte humaine. Il y a
ceux
qui pleurent le passé et ceux qui prophétisent, ceux qui jettent une
80
nte humaine. Il y a ceux qui pleurent le passé et
ceux
qui prophétisent, ceux qui jettent une imprécation stérile et magnifi
81
x qui pleurent le passé et ceux qui prophétisent,
ceux
qui jettent une imprécation stérile et magnifique contre l’époque et
82
récation stérile et magnifique contre l’époque et
ceux
qui cherchent à l’oublier dans le rêve, dans l’utopie, dans une belle
83
nnée en année. On pourrait ajouter à ces chiffres
celui
des milliards qu’il possède, ou plutôt qu’il gère, mais ce n’est pour
84
II. M. Ford a ses idées, ou la philosophie de
ceux
qui n’en veulent pas Nous avons dit tout à l’heure quel fut le but
85
il prétend ramener le bénéfice de la production à
celui
du consommateur. Prenons cette petite phrase qui n’a l’air de rien :
86
. Tel est ce sophisme, le paradoxe du bon marché.
Celui
de la réclame a même but, mêmes effets. Mais le plus grave est peut-ê
87
dhésion du gros public : telle est l’idéologie de
celui
que M. Cambon, dans sa préface, égale aux plus grands esprits de tous
88
pourrait appeler le plus actif du monde, l’un de
ceux
qui influent le plus sur notre civilisation, possède la philosophie l
89
des valeurs, la plus difficile et la plus grave :
celle
qu’on ne peut faire qu’au nom de l’Esprit et de ses exigences. Mais l
90
ves ; et ces exigences sont en contradiction avec
celles
que le développement de la technique impose au monde moderne. Ces êtr
91
érir. Il se prépare déjà des révoltes terribles4,
celles
d’un mysticisme exaspéré, devenu presque fou dans sa prison. Les inte
92
ibuteurs automatiques de plaisir. Autant dire que
ceux
qui les fréquentent ne savent plus ce que c’est que le plaisir. Ils p
93
ansparence au travers de l’autre. Il dit : « Pour
celui
qui saisit les correspondances, chaque geste, chaque minute d’une vie
94
uvre (juin 1928)ar Livre passionnant pour tous
ceux
que Jules Verne passionne. Pour les autres, divertissant et spirituel
95
seul écrivain dont l’influence soit comparable à
celle
du cinéma ! Claretie raconte que les détenus des maisons de correctio
96
x, de considération. J’admire autant le talent de
celui
qui mène 60 parties d’échecs simultanément, et c’est naturel : je m’e
97
Messieurs les Nymphes ». Mais donner l’air bête à
ceux
qui le sont en créant une belle œuvre serait, par exemple, plus effic
98
lence ne doit pas entraîner, à leur point de vue,
celui
d’autrui sur eux-mêmes. Ils se tournent donc naturellement vers l’act
99
ec même ne relève pas, et qui tire sa grandeur de
celle
du décor ? Guy de Pourtalès n’hésite pas à baptiser son héros « princ
100
va jusqu’à la mort, inclusivement, n’étonnera pas
ceux
qui ont connu de semblables mythomanes. Le cas méritait d’être exposé
101
épuise pas une question dont l’importance dépasse
celle
du cas pathologique. Il y a dans ce culte de la mythomanie qu’on a vu
102
bondance des autobiographies, mais aussi bien par
celle
des miroirs. C’est pourquoi il en installe un sur sa table de travail
103
s. Mais s’il lui arrive de prendre son image pour
celle
de n’importe quel passant, il se sent comme séparé de soi, et si prof
104
miroirs sont peut-être la mort. La mort absolue,
celle
qui n’est pas une vie nouvelle. La mort dans la transparence glaciale
105
mé et légèrement absurde en face d’un récit comme
celui
d’Anderson : voici un homme qui raconte sa vie avec une émouvante sim
106
dans le monde moderne ont encore une « essence ».
Celle
de Belles-Lettres est en agréable odeur à l’Éternel et à Satan pareil
107
ble odeur à l’Éternel et à Satan pareillement. Et
ceux
qu’elle enivre entrent en état de grâce ou de blasphème, selon. Mais
108
nchent vers l’eau lente. Sur l’autre rive qui est
celle
d’une longue île, des étudiants au crâne rasé se promènent un roman j
109
genre de tentatives : cela ne peut que mal finir.
Ceux
du bon sens hochent la tête et citent la phrase la plus malencontreus
110
, quand c’est une telle femme qui la confesse : «
Celui
qui entre en commerce trop étroit avec le ciel, les dieux le vouent a
111
de notre temps, ne fût-ce que pour faite honte à
ceux
qui sont encore capables d’une telle honte, de leur indifférence à l’
112
ux serin ». Mais ces affirmations sont exactement
celles
qu’il fallait attendre de ces auteurs. Ce qu’on ne viendra pas disput
113
qu’il était devenu beaucoup moins intéressant. ⁂
Celui
qui a des ailes sera persécuté à cause de ses ailes, mais celui qui n
114
s ailes sera persécuté à cause de ses ailes, mais
celui
qui n’en a pas sera méprisé parce qu’il n’en a pas. Le libéralisme
115
, de tout ce qui moleste ma liberté et sans doute
celle
de beaucoup d’autres à qui forcément, je ressemble. Nous vivons sous
116
st un reproche auquel je compte ne pas échapper :
celui
de naïveté. Définition du naïf dans le monde moderne : individu qui s
117
gauche, ils sont plus nombreux qu’on ne le pense,
ceux
qui refusent d’être complices dans cet attentat à l’intégrité humaine
118
etc. Ce sont les positivistes qui parlent ainsi,
ceux
qui croient aux faits. Je leur réponds : 1° qu’ils ne peuvent me déni
119
enirs de classe. C’est qu’ils les confondent avec
ceux
de leur enfance et les font indûment participer de la même grâce. Voy
120
avions plus de « superstitions grossières » comme
celles
qui touchent à l’action des étoiles par exemple. Mais nous avions acq
121
oin. Il faut dire que ce ridicule n’échappe pas à
ceux
qu’ils méprisent le plus, et ils auraient souvent l’occasion de s’en
122
aideur des collèges n’est pas accidentelle. C’est
celle
même du régime. l’architecture de nos « palais scolaires ». symbolise
123
passion n’a qu’une clairvoyance intéressée : mais
celles
-là sont les plus vives. Enfin, je tiens à reconnaître qu’ici je ne ch
124
rit de vérité, il s’en faut. Or je ne suis pas de
ceux
qui subordonnent la vérité à la tranquillité bourgeoise. Je tiens le
125
ères les plus généraux de l’instruction publique,
ceux
que n’atteignent dans leur principe ni les réformes de détail ni les
126
sont en principe des « contrôles » comparables à
ceux
que l’on établit lors des grandes épreuves cyclistes. Les participant
127
doivent s’inscrire au terme de chaque trimestre.
Ceux
qui arrivent après la clôture ont à refaire l’étape. On obtient par c
128
à l’heure que la connaissance n’est pas exigée de
ceux
qui établissent les programmes et les examens. « Les examens faussent
129
Or la valeur éducative des choses n’apparaît qu’à
celui
qui entre en commerce intime avec elles. On apprend plus de deux que
130
out le passage de l’État, et dont la vue permet à
ceux
qui tombent du ciel sur notre sol de s’écrier sans hésiter : « Libert
131
entiellement négative. Elle consiste à persécuter
ceux
qui, en quelque manière que ce soit, voudraient « se distinguer ». (L
132
ève Le bon sens voudrait que le bon élève soit
celui
qui sait utiliser pour son profit humain la petite somme de connaissa
133
plus ni moins.) Ou encore : que le bon élève soit
celui
qui supporte le mieux le traitement scolaire ; celui dont la valeur h
134
ui qui supporte le mieux le traitement scolaire ;
celui
dont la valeur humaine subsiste intacte au milieu des conditions anor
135
m’empêcher de trouver suspecte. Le bon élève est
celui
qui a de bons points. Or les bons points vont aux parfaits imitateurs
136
appartient manifestement à la race dangereuse de
ceux
qui voient avec leurs yeux. Le bon élève est aussi l’élève discipliné
137
p ma superstition, par ailleurs fort grande. Tous
ceux
qui ont eu l’occasion de comparer les bons élèves de diverses classes
138
n publique ne coïncident qu’accidentellement avec
ceux
du bon sens. Je m’en tiendrai là, renonçant pour cette fois à démontr
139
pas le temps de découvrir la Liberté9, parce que
celui
qui l’a embrassée une fois, une seule fois, sait bien que tout le res
140
de tous côtés de belles catastrophes. Je suis de
ceux
qui s’en réjouissent mauvaisement. (« C’est bien fait. C’était trop l
141
peut que diminuer le « rendement » quantitatif de
ceux
qui s’y livrent. Je ne veux pas me poser ici en défenseur des vertus
142
les normes sociales qu’on prétend y substituer à
celles
de la famille sont falsifiées. Non seulement l’École ne constitue pas
143
ulement dans les principes démocratiques, et dans
ceux
de l’École, mais encore dans toute la conduite moderne de la vie. C’e
144
fie pas s’y soumettre sans combat. L’utopiste est
celui
qui ne se résigne à aucun état de choses. Il est pour le « mieux » co
145
s même le sens. Ils les lancent à la tête de tous
ceux
qui les dérangent, comme des pavés, ou plutôt des grenades, avec la f
146
, de tout ce qui moleste ma liberté et sans doute
celle
de beaucoup d’autres à qui forcément, je ressemble. Nous vivons sous
147
st un reproche auquel je compte ne pas échapper :
celui
de naïveté. Définition du naïf dans le monde moderne : individu qui s
148
gauche, ils sont plus nombreux qu’on ne le pense,
ceux
qui refusent d’être complices dans cet attentat à l’intégrité humaine
149
etc. Ce sont les positivistes qui parlent ainsi,
ceux
qui croient aux faits. Je leur réponds : 1° qu’ils ne peuvent me déni
150
enirs de classe. C’est qu’ils les confondent avec
ceux
de leur enfance et les font indûment participer de la même grâce. Voy
151
avions plus de « superstitions grossières » comme
celles
qui touchent à l’action des étoiles par exemple. Mais nous avions acq
152
oin. Il faut dire que ce ridicule n’échappe pas à
ceux
qu’ils méprisent le plus, et ils auraient souvent l’occasion de s’en
153
ur des « collèges » n’est pas accidentelle. C’est
celle
même du régime. L’architecture de nos « palais scolaires » symbolise
154
rit de vérité, il s’en faut. Or je ne suis pas de
ceux
qui subordonnent la vérité à la tranquillité bourgeoise. Je tiens le
155
ères les plus généraux de l’instruction publique,
ceux
que n’atteignent dans leur principe ni les réformes de détail ni les
156
sont en principe des « contrôles » comparables à
ceux
que l’on établit lors des grandes épreuves cyclistes. Les participant
157
doivent s’inscrire au terme de chaque trimestre.
Ceux
qui arrivent après la clôture ont à refaire l’étape. On obtient par c
158
à l’heure que la connaissance n’est pas exigée de
ceux
qui établissent les programmes et les examens. « Les examens faussent
159
Or la valeur éducative des choses n’apparaît qu’à
celui
qui entre en commerce intime avec elles. On apprend plus de deux que
160
out le passage de l’État, et dont la vue permet à
ceux
qui tombent du ciel sur notre sol de s’écrier sans hésiter : « Libert
161
entiellement négative. Elle consiste à persécuter
ceux
qui, en quelque manière que ce soit, voudraient se « distinguer ». (L
162
ève Le bon sens voudrait que le bon élève soit
celui
qui sait utiliser pour son profit humain la petite somme de connaissa
163
plus ni moins). Ou encore : que le bon élève soit
celui
qui supporte le mieux le traitement scolaire ; celui dont la valeur h
164
ui qui supporte le mieux le traitement scolaire ;
celui
dont la valeur humaine subsiste intacte au milieu des conditions anor
165
m’empêcher de trouver suspecte. Le bon élève est
celui
qui a de bons points. Or les bons points vont aux parfaits imitateurs
166
appartient manifestement à la race dangereuse de
ceux
qui voient avec leurs yeux d’élèves. Le bon élève est aussi l’élève d
167
p ma superstition, par ailleurs fort grande. Tous
ceux
qui ont eu l’occasion de comparer les bons élèves de diverses classes
168
n publique ne coïncident qu’accidentellement avec
ceux
du bon sens. Je m’en tiendrai là, renonçant pour cette fois à démontr
169
pas le temps de découvrir la Liberté 9, parce que
celui
qui l’a embrassée une fois, une seule fois, sait bien que tout le res
170
de tous côtés de belles catastrophes. Je suis de
ceux
qui s’en réjouissent mauvaisement. (« C’est bien fait. C’était trop l
171
peut que diminuer le « rendement » quantitatif de
ceux
qui s’y livrent. Je ne veux pas me poser ici en défenseur des vertus
172
les normes sociales qu’on prétend y substituer à
celles
de la famille sont falsifiées. Non seulement l’École ne constitue pas
173
ulement dans les principes démocratiques, et dans
ceux
de l’École, mais encore dans toute la conduite moderne de la vie. C’e
174
fie pas s’y soumettre sans combat. L’utopiste est
celui
qui ne se résigne à aucun état des choses. Il est pour le « mieux » c
175
s même le sens. Ils les lancent à la tête de tous
ceux
qui les dérangent, comme des pavés, ou plutôt des grenades, avec la f
176
s animaux dont la complexité ne le cède en rien à
celle
de l’introspection la plus poussée. Il invente aussi des mots et en f
177
rêve. Le livre se résout dans une amertume vague.
Ceux
qui ont lu la Mort difficile de René Crevel ne s’étonneront ni du suj
178
mesquinerie morale du milieu… Étrange misère que
celle
d’une génération qui, après tant de sarcasmes contre l’enfer bourgeoi
179
es. Qui viendra rendre le sens de l’amour idéal —
celui
qui transfigure ? Le roman de M. Jullien de Breuil effleure un autre
180
, ou une qualité, une richesse d’âme comparable à
celle
d’un Goethe ou simplement d’un Rilke, par exemple… » — Exigence et re
181
lui rend ? Je le trouve en tout cas bien tonique,
celui
que Beausire et Simond viennent d’écrire au sujet de quelques-uns des
182
enthousiasme. 5. La critique est aisée, répètent
ceux
qui en ont peur, ceux-là mêmes, bien sûr, qui, sous prétexte de sa di
183
ous reste à choisir entre le sort de Nietzsche et
celui
de Schiller. Romancer la vie de ces excessifs est assez bien vu ; mai
184
s erreurs les moins préméditées, c’est sans doute
celui
d’être trouvé. J’ai toujours méprisé le geste de l’homme qui, le soir
185
tout de suite écœurant et prétentieux. Je suis de
ceux
qui mangent sans faire d’histoires. Je remarque simplement qu’on n’es
186
vez Georges Petit, égaré, en ayant soin d’ajouter
ceux
que j’oublie, vous obtiendrez le chiffre exact des participants ; cal
187
trois filles est donc la plus jolie ? Sans doute
celle
qui dort dans la mansarde, et qui n’a pas peur… ⁂ Le reste de la vie,
188
fantômes nés du relâchement de leur esprit ou de
celui
des autres. Nous avons vu des amateurs de pittoresque essayer, au has
189
sadisme n’est pas beaucoup plus « horrible » que
celui
des rêveries de certaines pubertés ; quant à l’amour, Maldoror ne par
190
… Ah ! l’embarras de voyager n’est rien auprès de
celui
d’expliquer pourquoi l’on est parti. Cependant, mes regards errant su
191
rte un nom pareil est par là même extraordinaire.
Celui
qui ne croit pas à la vertu des noms reste prisonnier de ses sens ; m
192
ome qui constitue à leurs yeux ma condamnation et
celle
des minus habentes qui me ressemblent. Au risque de les voir trépigne
193
e sont pas des nonnes, bien que les voûtes soient
celles
d’un ancien couvent. Nous pénétrons dans une grande salle vivement éc
194
aussi qui se réchauffent sur les degrés du poêle,
celles
-là ne chantant pas. Parmi elles, des Tziganes, dont l’une affreusemen
195
rire d’abord les chapitres qui en ont envie, puis
ceux
qui en auront envie : car cela m’inciterait à chercher après coup des
196
olennelle de nudité, entre le Palais du Régent et
celui
d’un des archiducs, quel décor à rêver le cortège d’un sacre ! J’y ai
197
d’ailleurs, préférons cet impérialisme de l’âme à
celui
de la surproduction des machines et des enfants. C’est parce que les
198
microcosme : la politique des peuples ressemble à
celle
des individus, pour ce qui est du moins, de mentir à soi-même. Mais l
199
n’est-ce point le climat de la passion ? — C’est
celui
de la Hongrie14. 9. Une lettre de Matthias Corvin « Matthias, p
200
ment rusé, à la façon des passionnés, non point à
celle
des arrivistes. 14. Parce que j’« exalte les valeurs de passion » —
201
30)bi L’année du centenaire du romantisme sera
celle
aussi de la découverte de Hölderlin par la France. La Mort d’Empédocl
202
t l’homme rationnel ; Empédocle, au contraire est
celui
qui passe toutes les mesures de l’esprit humain, parle aux dieux avec
203
ns la langue fluide mais jamais abstraite qui est
celle
de ses Noces. Jouve est le plus « germanique » des poètes français d’
204
le sentiment rare et grandiose que j’appellerais
celui
du tragique de la pensée. « Insensé, — penses-tu de figure en figure
205
caillou. Ici, le sens des mots et des choses est
celui
d’un courant musical qui domine l’ensemble et le compose selon les lo
206
onnes manières et les belles manières. Et quant à
ceux
qui n’ont pas le pouvoir de s’enivrer, ils auront toujours raison, ma
207
oir de t’en tirer. Sinon… je t’envierais presque.
Celui
qui part pour la Hongrie sans talisman, s’il a du cœur, n’en revient
208
mme le rêve pendant que bat la paupière lourde de
celui
qui succombe à l’excès du sommeil) — et me voici plus seul, avec une
209
t l’on élevait la Morale du domaine des actions à
celui
de la pensée, de l’Apparence à l’Essence. D’un coup, tous les refoulé
210
quand je m’en parle ? Tout en donnant le change à
celles
de mes pensées qui exigent des apparences positives. Ainsi donc, j’ai
211
nt elle n’existe plus, l’Hermétique Société18 de
ceux
qui ne désespèrent pas encore du Grand Œuvre ? Cela seul est certain
212
soi-même. Et c’est alors seulement qu’aux yeux de
ceux
qui surent désirer de la voir, apparaît la « Loge » invisible. J’atte
213
ontre espérer — maintenant ?) 19. « Tous
ceux
qui quittent ce monde vont à la Lune — lit-on dans les upanishads. —
214
a qui me rendrait acceptable ce monde…) Malheur à
celui
qui ne cherche pas. Malheur à celui qui ne trouve pas. Malheur à celu
215
e…) Malheur à celui qui ne cherche pas. Malheur à
celui
qui ne trouve pas. Malheur à celui qui se complaît dans ce qu’il trou
216
pas. Malheur à celui qui ne trouve pas. Malheur à
celui
qui se complaît dans ce qu’il trouve. 15. Toute l’échelle des ivre
217
ette et à laquelle tout humanisme paraît enclin :
celle
de créer un modèle de l’homme. Peut-être a-t-il existé un modèle gréc
218
Toute décadence invente un syncrétisme. Rome eut
celui
des dieux ; nous aurons celui des races de la Terre. Non plus une foi
219
ncrétisme. Rome eut celui des dieux ; nous aurons
celui
des races de la Terre. Non plus une foi commune, mais une moyenne de
220
ce Garine, en effet, ressemblait singulièrement à
celle
que M. Malraux venait justement d’exposer dans un petit ouvrage aigu
221
lui-même. Je suis tenté de dire : son moi idéal,
celui
auquel il donne sa plus profonde et intime adhésion. Nous avons tous
222
ement sécularistes : la philosophie des lumières,
celle
de la technique, celle du primat de la Vie. Ce lui est une occasion d
223
philosophie des lumières, celle de la technique,
celle
du primat de la Vie. Ce lui est une occasion de réduire à ses justes
224
icative qu’ils touchent des problèmes identiques,
celui
de la puissance de l’homme, celui de la valeur de son action, celui,
225
mes identiques, celui de la puissance de l’homme,
celui
de la valeur de son action, celui, en somme, de l’imperfection du mon
226
nce de l’homme, celui de la valeur de son action,
celui
, en somme, de l’imperfection du monde. Je pense que tout chrétien con
227
i radical soit-il. Un pessimisme aussi féroce que
celui
de MM. Malraux, Nizan, etc., ne laisse plus subsister assez d’idéal p
228
nouvel humanisme, à laquelle nous renvoyons tous
ceux
qu’aura passionné l’enquête de M. Paul Arbousse-Bastide publiée par
229
nal. Car, et c’est un paradoxe qui n’étonnera pas
ceux
que le problème de la création intéresse, l’artiste a besoin plus que
230
er nos âmes au contact de réalités plus pures que
celles
de la vie courante, on peut dire que les romans « mondains » de Barin
231
ce n’est pas le tragique d’une condamnation, mais
celui
, combien plus amer et noble, du consentement aux lois de la vie. Seul
232
t sans jamais aucune excentricité. » Elle appelle
ceux
qui passent à l’Église romaine des « pervertis » : « Nous en avons eu
233
isif, viennent apporter ce dur message à l’âme de
celle
qui demandait d’être apaisée. Admirables dialogues, déchirants et tri
234
i les chefs-d’œuvre de la littérature religieuse.
Celui
de La Princesse Blanche 20 donne sans aucun doute l’accord le plus p
235
ires bons sauvages. Et pour la grande majorité de
ceux
qui, après lui, feront intervenir la montagne dans leurs œuvres, elle
236
nde. À vrai dire, nous quittons la littérature. «
Celui
qui sait respirer l’atmosphère de mon œuvre sait que c’est une atmosp
237
la première fois, le ton des hauteurs, le ton de
celui
qui les a conquises, physiquement aussi. Toute l’œuvre de Nietzsche e
238
ment abandonné à une doctrine de haine le sort de
ceux
que le Christ aima, parce que leur dénuement était ce qu’il y avait a
239
, en Angleterre, en Allemagne, et en France, sous
celui
d’Avant l’Aube, est un des livres les plus significatifs de ce temps.
240
ndial, ni que nous ignorions que notre siècle est
celui
des meneurs. Mais le rare, c’est qu’un de ces meneurs écrive un livre
241
nue trop rapide suppose une cécité partielle chez
ceux
qui s’y livrent, une incapacité organique à situer leur effort dans u
242
exemple. Que l’on songe à l’œuvre d’un Ford, ou à
celle
de presque tous nos hommes d’État. Le privilège admirable de Kagawa,
243
raiment bien désagréable, puisqu’elle exigeait de
celui
qui s’y livrait de se fâcher, de se poser comme juste et de juger ses
244
nse-t-il de chercher d’autres solutions ? Quant à
ceux
qui acceptent d’étudier à fond ces problèmes, ils ne les rendent, en
245
?) — ni même vivants — (ils le devraient.). Pour
celui
qui referme le livre de Kagawa, une certitude s’impose. Je la formule
246
e immédiate et par conséquent plus troublante que
celle
qu’impose n’importe quelle attitude politique. Aux yeux d’un incroyan
247
umaine, — cela ne saurait être sans fruits. 24.
Ceux
qui veulent assimiler christianisme et capitalisme feraient bien de n
248
i-même se révèle dépourvu dans une mesure qui est
celle
, exactement, de son art, — considérable. Art de ruses, de pondération
249
uses, de pondérations et de nuances sarcastiques (
celles
du serpent qui charme à froid) — art qui tout ensemble se définit et
250
es effets n’est plus qu’une impudeur raffinée. «
Celui
qui veut sauver sa vie la perdra, mais celui qui veut la perdre la re
251
. « Celui qui veut sauver sa vie la perdra, mais
celui
qui veut la perdre la rendra vraiment vivante », répète inlassablemen
252
te », répète inlassablement M. Gide25. Seulement,
celui
qui, de propos délibéré, veut perdre sa vie, et non pas pour Christ,
253
r. 25. Remarquons le tour qu’il adopte : « mais
celui
qui veut la perdre… » k. « André Gide ou le style exquis », Foi et V
254
t que les jugements d’un Vinet sur le romantisme,
ceux
d’un Frommel sur les écrivains qu’il appelle « positivistes » restent
255
c’est-à-dire protestant — nous paraît avoir doué
ceux
qui le professèrent (en dépit de certain défaut de sympathie avec leu
256
e dans son essai le plus discursif, relativement,
celui
qui donne son titre au recueil, les mots-clés : mesure, forme, grande
257
our Schiller et surtout pour Schlegel symbolisait
celle
de l’antique et du moderne, Kassner répondrait aujourd’hui par l’oppo
258
cteur. On pourrait dire aussi que l’indiscret est
celui
qui se préoccupe de défendre plutôt que d’illustrer. Ainsi selon Kier
259
core, on ne peut opposer ce concept d’ironie qu’à
celui
que formulèrent les romantiques allemands. Rien de commun avec un Ren
260
’est pourquoi les meilleurs contes du volume sont
ceux
dont la lenteur nous retient. Ainsi Sarah, Monsieur Hoog, qui atteign
261
ires ? Ne doivent-ils pas au contraire considérer
celles
-ci comme leur accusation perpétuelle ? Car la vraie question qu’elles
262
la faiblesse d’un compromis foncier. Le fort est
celui
qui refuse la louange approximative. Nous ne saurions assez nous gard
263
l’on nous attribue un moralisme tout semblable à
celui
des athées, — au lieu qu’il eût fallu du premier coup le dénoncer, co
264
lesse de sa théologie. Car il est certains cas où
celui
qui craint de dire toute la vérité n’exprime par là rien d’autre que
265
, si l’humanité ne possédait d’autres recours que
ceux
qu’elle peut imaginer en dehors de la grâce, c’est-à-dire la police d
266
ensibilité si authentiquement évangélique — comme
celle
d’une Lagerlöf — se lier d’amitiés spirituelles avec Charles Dickens,
267
. Ramuz (janvier 1932)c Il est remarquable que
ceux
dont la fonction serait d’exprimer notre civilisation, en un temps où
268
ieux ou convenables. Nous rechercherons désormais
ceux
qui savent dévisager notre condition la plus nue. « Alors on voit par
269
st pas jusqu’à son Antiquité qui ne coïncide avec
celle
du pays de Vaud : non pas la grecque, qui est scolaire — pour eux — m
270
fondu ces notions.) Le communisme ramuzien, c’est
celui
qu’établissent la mort, la peur, la maladie. Et la joie, ce point com
271
onvainc : le sens de la vénération, qui est aussi
celui
de la lenteur des choses. Cet art, le sujet des Signes parmi nous, pa
272
ique de Ramuz atteignit une autorité comparable à
celle
qui éclate dans cet ouvrage entièrement créé, entièrement « autorisé
273
. D’où le reproche de puérilité que lui adressent
ceux
qui, par exemple, n’hésitent pas à prendre au sérieux une intrigue ro
274
es périodes qui « marquent » dans l’Histoire sont
celles
où la forme d’un mythe affleure, s’incarne et devient visible. Ce son
275
0-1910 fut « inactuelle » pour la grande masse de
ceux
qui la vécurent. c. « Les Signes parmi nous, par C. F. Ramuz (Grasse
276
tonnages. On n’en retiendra qu’un dans ces pages,
celui
que l’on voudrait nommer l’a priori éthique. Kierkegaard, après avoir
277
tiques devenues banales, on tente de la ramener à
celle
des deux interprétations étymologiques du mot penser. Celui-ci ayant
278
emier substitua délibérément la notion de style à
celle
de correction, dans les démarches de l’esprit. Et Dostoïevski, dont o
279
nsait par péchés et remords. Ainsi pensèrent tous
ceux
dont l’œuvre détermine en nous une réaction éthique, c’est-à-dire une
280
lèvera toujours à nouveau l’exemple de cette vie.
Ceux
qui traitent Goethe de bourgeois ne prouvent rien de plus que leur pr
281
olte chez ceux-là qui la crient, et la magie chez
ceux
qui vaticinent, ayant été moins loin que Goethe dans la domination de
282
humain. Et si tout cela reste absurde aux yeux de
ceux
pour qui seule compte certaine « originalité » dans l’ordre — au mieu
283
spiritualité facilement épurée, le mysticisme de
celui
qui, tout enfant, édifiait un autel à la Nature, trouvait son aliment
284
ellement vers une plénitude, pour un esprit comme
celui
de Goethe. « On a peur que son feu ne le consume », écrit un de ses a
285
si, comme chez Goethe, c’est une forme mystique,
celle
du terrible « Meurs et deviens ! », et s’il l’assume en connaissance
286
ilence de l’esprit, dans la région où seul accède
celui
qui sait préserver sa passion au sein d’une interminable patience. N’
287
p. La grandeur de Goethe est d’avoir su vieillir,
celle
de Rimbaud de s’y être refusé. Transportez la dialectique faustienne
288
ique. Et quels sont les plus grands Occidentaux ?
Ceux
qui ont incarné le choix le plus audacieux. Pascal choisit une fois p
289
ément libérateur du désespoir. La longue peine de
celui
« qui toujours s’est efforcé » a purifié le corps, et l’âme est prête
290
rs du réel. En cela il est romantique, comme tous
ceux
que leur violence et leur faiblesse précipitent vers des portes de so
291
gueil assumé, puis renié avec la même violence, —
celle
dont il est écrit qu’elle force les portes du Royaume des Cieux. Il r
292
refusés au seul plaisir un seul ange tombé et
celui
qui roulait se consoler sur des risques — aussi refusés Tout se d
293
e du xvie siècle qui nous chaut, et encore moins
celui
du xixe , resté celui de nos bons maîtres. Il ne s’agit non plus d’un
294
nous chaut, et encore moins celui du xixe , resté
celui
de nos bons maîtres. Il ne s’agit non plus d’un humanisme qui dresser
295
une morale simple, nous ne saurions admettre que
celle
qui dirait : « Faites ce que vous pensez, pensez ce que vous faites.
296
e chez les meilleurs esprits de notre génération,
ceux
de l’Ordre nouveau (Arnaud Dandieu, Robert Aron), ceux du groupe nais
297
de l’Ordre nouveau (Arnaud Dandieu, Robert Aron),
ceux
du groupe naissant qui s’intitule Esprit (Georges Izard, Emmanuel Mou
298
ntitule Esprit (Georges Izard, Emmanuel Mounier),
ceux
encore qui, venant de ces groupes, collaborent à Plans avec Philippe
299
il. Et les problèmes exquis où s’attardent encore
ceux
que je décrirai comme les Prêtres de l’Insoluble, nous n’avons plus l
300
’ornement : la cause des intellectuels n’est plus
celle
de l’esprit11. Laisse-les donc chercher, jusqu’à la fin de leurs lois
301
ratique de l’adjectif « honnête », réservons-le à
ceux
qui reconnaissent (avec ou sans dégoût) leur crapulerie naturelle (lâ
302
outient la police, chargée de réprimer violemment
ceux
qui n’acceptent pas de crever de faim en douceur. ⁂ Mais cette action
303
franchement acceptée, de l’autre. Notre temps est
celui
de la violence, inéluctable. Climat salubre des aventures spirituelle
304
t tout à fait illusoire, même chez nous (sic). Et
ceux
qui seraient tentés d’en user n’aboutiraient qu’à faire apparaître la
305
té à l’occasion d’incidents plus graves, tels que
ceux
qui occupèrent l’opinion de 1914 à 1918. Toute l’astuce de ceux qui g
306
èrent l’opinion de 1914 à 1918. Toute l’astuce de
ceux
qui gouvernent consiste alors à dissimuler la nécessité purement écon
307
c’est le contact avec le réel, c’est le fait que
celui
qui donne un coup se met à portée d’une riposte. Ils préfèrent couvri
308
aux jeunes bourgeois dégoûtés et vivants, à tous
ceux
que la Révolution trouble et bientôt va posséder. Dénonçons à leur in
309
purisme. Définition des « petits purs » Tous
ceux
qui au nom de la stricte observance d’une doctrine qu’ils sont incapa
310
tive de toutes les doctrines régnantes, y compris
celles
qui sont officiellement révolutionnaires. Petits purs, ceux qui oppos
311
ont officiellement révolutionnaires. Petits purs,
ceux
qui opposent des textes appris à tout effort créateur ; petits purs,
312
xtes appris à tout effort créateur ; petits purs,
ceux
qui se prévalent d’un mot d’ordre contre ceux qui font l’ordre nouvea
313
rs, ceux qui se prévalent d’un mot d’ordre contre
ceux
qui font l’ordre nouveau ; petits purs, ceux qui trouvent toujours de
314
ntre ceux qui font l’ordre nouveau ; petits purs,
ceux
qui trouvent toujours de bonnes raisons pour nous accuser de dévier d
315
de dévier dès que nous les dépassons, petits purs
ceux
dont la violence n’est que rancœur de faibles accrochés à des dogmes,
316
qui les distingue, sans méprise possible, de tous
ceux
qui, purs ou impurs, travaillent effectivement à fonder quelque chose
317
es à rebours, qu’ils aillent grossir les rangs de
ceux
que les rédacteurs de l’Ami du Peuple appellent des révolutionnaires
318
. La seule pureté vraiment révolutionnaire, c’est
celle
de la violence spirituelle créatrice ; nous ne nous lasserons pas de
319
ts purs, petits purs, faut-il rire ou se fâcher ?
Ceux
qui se demandent si je suis bien « dans la ligne », ceux qui se deman
320
i se demandent si je suis bien « dans la ligne »,
ceux
qui se demandent si je « remplis les conditions nécessaires » ; tous
321
dialectique et croient que Hegel est arrivé, tous
ceux
qui haïssent la religion parce qu’elle les met à nu, prend en pitié l
322
t à nu, prend en pitié leur sale caractère : tous
ceux
qui poursuivent l’humanité de sarcasmes qu’ils n’ont pas inventés, ca
323
gonismes qui la divisent — bien plus extrêmes que
ceux
qui divisèrent les précédentes — elle éprouve son unité, elle connaît
324
à des millions de nos contemporains. Il y a aussi
ceux
qui se bornent à affirmer la nécessité d’une pensée active, mais qui
325
ns. Il paraît supposer une rénovation intérieure,
celle
précisément que postule le christianisme. Mais c’est en vain que le l
326
e ; il adopte enfin une position assez voisine de
celle
de MM. Aron et Dandieu, sans aller jusqu’à prôner comme ils le font «
327
t être le marteau du constructeur, aussi bien que
celui
du démolisseur. ⁂ M. Paul Nizan, lui, critique moins à coups de marte
328
Il n’y a point de questions plus grossières que
celles
qui sont posées ici, qui sont retournées ici. La philosophie présente
329
r là même sous le coup d’une critique semblable à
celle
que M. Nizan adresse à M. Brunschvicg. L’homme en général, même si on
330
nt ». Mais les marxistes n’y échapperont pas. Car
celui
qui refuse de penser le péché, refuse d’envisager l’ultime et le plus
331
oses. Vers la fin, qui est émouvante, décider que
ceux
qui n’aimeront pas sont fermés à toute poésie à l’état sauvage — la v
332
t du mal où l’apologie de l’un équivaut presque à
celle
de l’autre. C’est là qu’éclate la violence des contraires. Pour tous
333
à qu’éclate la violence des contraires. Pour tous
ceux
qui ont l’audace de se maintenir dans une telle dialectique, il n’exi
334
es choix qui s’imposent avec une violence égale à
celle
de la tentation — c’est la même violence — dans chaque situation exis
335
e l’éveiller à la conscience. Le but de ce débat,
celui
de Kierkegaard, celui de Nietzsche, celui présentement de Jouhandeau,
336
cience. Le but de ce débat, celui de Kierkegaard,
celui
de Nietzsche, celui présentement de Jouhandeau, c’est de transcender
337
débat, celui de Kierkegaard, celui de Nietzsche,
celui
présentement de Jouhandeau, c’est de transcender la morale et ses can
338
a preuve d’une obéissance à Dieu qui devrait être
celle
de tout croyant ; ou s’il a seulement manifesté sa vocation particuli
339
s dont le nom sert encore de recommandation (pour
ceux
qui croient aux « relations »). Cette vertu laïque et démodée, confec
340
r lesquels nous nous ferions tuer, et les buts de
ceux
qui nous feraient volontiers tuer. Jean-Richard Bloch l’a dit à la ba
341
ement. C’est la théologie païenne par excellence,
celle
de l’État-Dieu, qui veut l’obéissance aveugle… » 6° Il n’y a qu’un ra
342
ne l’« ordre » bourgeois. Une manifestation comme
celle
de la rue du Cherche-Midi présente cet avantage d’être une véritable
343
dangereuses. Dites à nous-mêmes, d’abord ; à tous
ceux
qui voudront les entendre ; à ceux auxquels, peut-être mieux qu’à nou
344
abord ; à tous ceux qui voudront les entendre ; à
ceux
auxquels, peut-être mieux qu’à nous, il sera donné de les comprendre
345
espoir qui ne serait pas le seul désespoir réel :
celui
qui dévaste la nature humaine jusqu’à ces profondeurs dernières où l’
346
r ; il n’est pas de réponse à cette question pour
ceux
qui ne savent pas ce que c’est que la foi. Si l’on entend par vie non
347
même produit ceci (corruptio optimi pessima) que
ceux
d’entre eux qui perdaient la foi — c’est-à-dire le principe animateur
348
ue de fins transcendantes, de l’action optimiste.
Ceux
donc qui rendent le calvinisme responsable du capitalisme commettent
349
ble du capitalisme commettent une erreur pire que
celle
qui consisterait à reprocher à Euclide d’avoir permis le développemen
350
e liberté d’action et de révolution est promise à
celui
que n’empêtre aucun respect du résultat en soi. Pessimisme rétablissa
351
ent et demeurent des hommes. Il y a deux camps :
ceux
qui veulent en sortir, — et ceux qui voudraient bien continuer, ayant
352
y a deux camps : ceux qui veulent en sortir, — et
ceux
qui voudraient bien continuer, ayant certains intérêts dans l’affaire
353
e chose d’autre, dont la réalité échappe encore à
ceux
qui récitent Marx : une « utopie » sans doute, — du moins vraie celle
354
ginales18, ne peuvent manquer de déconcerter tous
ceux
qui n’imaginent de choix possible qu’entre un capitalisme plus ou moi
355
ion humaine ? Ni pour le mensonge d’hier, ni pour
celui
de demain nous ne verserons notre sang. Il y a une vérité qui domine
356
le21 où s’exprimaient des vues parfois proches de
celles
d’Esprit ou de Combat, il réduit l’aventure humaine à un déroulement
357
la même chose, c’est-à-dire qu’ils font pire que
ceux
qu’ils attaquent. Cela commence à se savoir. Ils promettent du pain,
358
antibourgeoises. Mais ils ne donnent pas de pain.
Ceux
qui ne promettent que du pain, finalement n’en donnent jamais. Nous a
359
’idées en elles-mêmes justes et opportunes (comme
celles
, je le crois, de L’Ordre nouveau, de Combat ou d’Esprit) c’est une vi
360
ecevoir le pardon. Or il n’est de pardon que pour
celui
qui agit. On me dira sans doute que je me perds dans ma mystique ? Al