1
e, M. de Montherlant ne s’est même pas demandé si
ces
deux contrepoisons pouvaient être administrés ensemble. L’opération f
2
ette œuvre, elle ne lui est pas indispensable : «
Ces
simplifications valent ce que valent toutes les simplifications, qu’o
3
ordre », et aussi parfois, de la pensée que « sur
ces
corps de l’entre-deux-guerres, … cinq sur dix sont désignés… ». Voici
4
e cœur connaît la présence muette et sûre. Toutes
ces
choses ne se font pas en vain. Le chef se dresse entre les dix qui so
5
dévoué. » Ils disent : « Tu es notre capitaine. »
Ces
choses ne sont pas dites en vain. Stades que parcourent de jeunes et
6
me, de l’impressionnisme, pour aboutir enfin dans
ces
impasses : cubisme et futurisme. Les voici revenus, après cent-vingt-
7
e, qu’on a pu voir à la Rose d’Or témoignaient de
ces
mêmes qualités : car la façon de peindre correspond à la façon de pen
8
ueuses. Il nous montre « des Français qui pensent
ces
carnages inévitables, avec un bref soupir s’y résignent, puis tablent
9
tiennent qu’une telle attitude est responsable de
ces
carnages ». Naguère il était des premiers ; il s’affirme aujourd’hui
10
D’une phrase, il justifie son livre : « Ranimons
ces
horreurs pour les vouloir éviter, et ces grandeurs pour n’en pas trop
11
Ranimons ces horreurs pour les vouloir éviter, et
ces
grandeurs pour n’en pas trop descendre ». N’est-ce pas une éclatante
12
u point ? Et venant de l’auteur du Songe, d’un de
ces
hommes qui « descendirent » du front dans notre paix lassée, ne prend
13
gent c’est d’avancer. Et l’on atteindra peut-être
ces
régions élevées où les éléments contraires s’unissent dans la grandeu
14
e terne manuel de philosophie ou de psychanalyse.
Ces
principes ? Ils se laissent hélas résumer en un court article de dict
15
tant un simple sténographe de ses rêves. Soit. De
ces
faits, je tire cette conclusion pratique : inutile de publier des poè
16
ète et le mien ? Je comprends trop de choses dans
ces
poèmes qui devraient m’être parfaitement impénétrables. Je crois même
17
t peu intéressant. On en a connu bien d’autres de
ces
jeunes gens prétentieux et sincères qui se croient une vocation, végè
18
et des capitalistes des villes. Mais dans une de
ces
provinces du Midi où le souvenir des luttes religieuses encore vivace
19
rains accumulent les documents. La littérature de
ces
dernières années n’est qu’une forme de reportage international. L’Eur
20
y a enfin ceux qui refondent et combinent toutes
ces
opinions ; et ceux qui avouent n’en point avoir, sincérité trop rare…
21
et viennois, Hesse, Hofmannsthal… Les extraits de
ces
auteurs qui composent l’Almanach Fischer donnent une juste idée de ce
22
fole. Les plus beaux types créés par Unamuno sont
ces
femmes dures et passionnées, Raquel et Catherine, ou cet Alexandro Go
23
e détail extérieur ou d’enjolivure. La lecture de
ces
trois tragédies, d’une classique sobriété mais d’une brutalité et d’u
24
’est plus protestant qu’une telle attitude ? Mais
ces
réserves sont de peu d’importance si l’on songe au service que M. Sei
25
ment que les individus. L’auteur, qui est l’un de
ces
Anglais, tombe malade avec à-propos et perd connaissance chaque fois
26
ines. Qu’on veuille bien ne voir autre chose dans
ces
« procédés », d’ailleurs assez peu choquants, que le revers de grande
27
de famille entre Art et Morale, Pensée et Action…
Ces
deux moralistes adonnés à la culture et à la libération du moi parais
28
le portent en eux qu’il en paraît plus incurable.
Ces
jeunes gens n’en finissent pas de peindre leur déséquilibre. Il serai
29
ur lequel tout apparaît inutile et vain ? Je cite
ces
phrases, tirées d’un récit d’ailleurs admirable4, de Louis Aragon, po
30
lois naturelles ; et leur effort est de retrouver
ces
lois ; ils ne craignent pas de choisir parmi leurs instincts, ni de l
31
e de l’Évangile qui, prenant à plein poing toutes
ces
petites misères, en compose d’un seul coup une grande misère, et par
32
pre les discussions philosophiques provoquées par
ces
deux travaux. Avec la conférence de M. Jean Cadier, un jeune pasteur
33
et les difficultés d’une action missionnaire dans
ces
milieux, comme M. Terrisse l’avait fait le soir avant pour les milieu
34
f à qui n’a pas connu l’atmosphère particulière à
ces
rencontres. Rien de plus aéré, au moral comme au physique. Chacun dit
35
nce3 pour savoir tout ce que je n’ai pas dit dans
ces
quelques notes. 3. Il suffit encore : f 2.50, nom et adresse. e. «
36
choses. Amour de soi… Mais moi, qui suis-je ? Par
ces
trois mots commence le drame de toute vie. Ha ! Qui je suis ? Mais je
37
s très bien cette force — ici, je tape du pied —,
ces
désirs, ce corps… J’ai un passé à moi, un milieu, des amis, ce tic. M
38
e n’était plus une douleur rare que j’aimais dans
ces
brutalités, c’était ma liberté agissante. J’allais plier des résistan
39
imites. Je m’attache particulièrement à retrouver
ces
limites : la vie moderne, mécanique, nous les fait oublier, d’où cett
40
e résistance. Mais je ne m’emprisonnerai pas dans
ces
limites. Ma liberté est de les porter plus loin sans cesse, de battre
41
es actes… Déjà je sens un sourire — en songeant à
ces
raisonnements que je me tiens — plisser un peu mes lèvres, et s’affir
42
ufilent des douceurs au bas des jambes », jusqu’à
ces
chats qui griffent et lèchent alternativement, « en vraies bêtes de d
43
phrases, ce qui s’élève en fin de compte de tous
ces
tableaux de violence et de passion, c’est la présence d’un tempéramen
44
e préserve des états d’incertitude douloureux, où
ces
problèmes viennent se poser à l’esprit, profitant de son désaccord av
45
ne vaudrait-il pas autant s’abandonner parfois à
ces
forces obscures qui nous replacent dans l’intelligence de l’instinct
46
oncé certaines des confusions sur quoi se fondent
ces
poétiques espérances ou ces craintes imaginaires. Beaucoup pourtant s
47
s sur quoi se fondent ces poétiques espérances ou
ces
craintes imaginaires. Beaucoup pourtant subsistent encore. Or, le nou
48
aît destiné à lever plusieurs des plus tenaces de
ces
confusions. M. de Traz a visité l’Égypte, ses habitants, ses tombeaux
49
une série d’expériences négatives. La critique de
ces
expériences négatives est contenue surtout dans ses essais sur Proust
50
ssayer ? Je ne puis amorcer ici une discussion de
ces
thèses subtiles, d’autant que la position de l’auteur dans cet essai
51
er encore un thème qui revient dans la plupart de
ces
essais : l’esthétique du roman. Fernandez en formule une théorie asse
52
n ou de perfection formelle. Pour quelques-uns de
ces
traits d’énergie ou de savante sensualité, pour ces insolences jolies
53
s traits d’énergie ou de savante sensualité, pour
ces
insolences jolies et les subites violences, qui composent la séductio
54
lètes. Et c’est elle avant tout que j’admire dans
ces
Bestiaires, presque malgré leur sujet trop pittoresque. « Honneur et
55
frais, avec l’odeur du limon. Nous marchions vers
ces
hauts arbres clairs, au tournant du fleuve, parmi les dissonances mél
56
s yeux ont regardé longtemps — où va l’âme durant
ces
minutes ? — jusqu’à ce que les bœufs ruisselants remontent sur notre
57
e à jamais impénétrable pour l’homme, nous fuyons
ces
bords où conspirent des ombres informes et des harmonies troubles de
58
perdent dans la nuit leurs lignes graves. Toutes
ces
formes devinées dans l’espace nous environnent d’une obscure confianc
59
personne ne sait la richesse de ta vie…). J’écris
ces
choses. Puis, dans un ancien carnet de notes, je retrouve un être si
60
spection : ce daltonisme du souvenir. Si l’un de
ces
deux procédés peut m’apprendre quelque chose, c’est bien le second. L
61
exemples les plus récents et significatifs ? Tous
ces
livres évoquent assez précisément la forme d’un entonnoir. La vie ser
62
démonstration la plus cynique que je connaisse de
ces
ravages du sincérisme. Dans la solitude qu’il s’acharne à approfondir
63
être dérisoire vers quoi je me portais, mais bien
ces
figurants de mon bonheur que je me conciliais pour des retours possib
64
Champvallon, et surtout Madame de Maintenon. Tous
ces
gens conciliant fort bien leurs intérêts immédiats à leur désir de ga
65
ent. Paysages tristes et sans violence, autour de
ces
êtres dont la détresse est d’autant plus cruelle qu’elle est contenue
66
blesses qu’il recherche secrètement, parce que de
ces
« ratages » naît le perpétuel besoin d’évasion qui est la condition d
67
re, à se faire souffrir rejette l’un vers l’autre
ces
êtres égoïstes, et fonde lentement leur amour, à force de petites ble
68
e vous attiraient. Mais, maintenant, je pense que
ces
regards croisés n’avaient aucune signification et que mon anxiété seu
69
e jazz martelait mon désespoir. Désespoir étroit,
ces
œillères géantes aux pensées, le ciel trop bas d’un rêve sans issue,
70
ar la crainte du réveil. Puis je suis revenu dans
ces
rues où je vous rencontrais parfois, du temps que j’ignorais vous aim
71
qui vous appelait, assourdissant mes pensées ; et
ces
élans réticents, maladroits, contradictoires… Un autobus de luxe s’ét
72
flement particulièrement doux pour ma fatigue, et
ces
gens pressés et songeurs respectaient la folie douloureuse qui devait
73
it-il, il faut obtenir un scandale. Il faut un de
ces
orages qui rafraîchissent l’air. » Il prétend « traquer l’inconnu ».
74
le conduira où il veut, sans surprises. « Puisque
ces
mystères me dépassent, feignons d’en être l’organisateur », disait le
75
e sommes pas des imbéciles, nous ne sommes pas de
ces
gens qui croient que 2 et 2 font 22, et qui confondent Jérôme et Jean
76
un peu froid, n’aura pas été tentée de lui faire
ces
confidences qu’elle livre si facilement au héros plus confiant et sec
77
an lyrique, par l’équilibre qu’il maintient entre
ces
deux inconscients : l’époque et l’être secret du héros. Il sait mieux
78
nt des personnages spirituellement dessinés un de
ces
drames tout intérieurs dont il dit : « Personne ne peut juger du dram
79
s théories sur le rêve, le peuple, qui n’a pas vu
ces
dessous mais accueille le résultat avec la naïveté qu’il faut, approu
80
consciente ruse d’un inquiet qui veut le rester ?
Ces
deux solutions peuvent se résumer en deux mots : inquiétude ou foi. D
81
parmi les éclairs nos premiers pas. Aragon, dans
ces
tempêtes de nuits filantes où s’enfuient, souffles à peine parfumés,
82
t si éprouvées par le repas dont vous sortez, que
ces
trois mots où se résume la défense de la loi sociale, patriotique, re
83
qui protège votre paresse à concevoir en esprit.
Ces
trois mots vous ont délivré du plus absurde malaise, et vous rallumez
84
s, attiré par les premiers sophismes de l’aurore,
ces
corniches de craie où t’accoudant tu mêles tes traits purs et labiles
85
e, à Athènes, à Moscou, dans cette doctrine, dans
ces
œuvres, à droite, à gauche, — nulle part sur cette terre où l’orgueil
86
ent, mon cher Monsieur, nous n’avons pas le temps
ces
jours-ci, beaucoup trop à faire, beaucoup trop d’êtres et de choses à
87
rveuse ou des troubles organiques. Ils opposent à
ces
« délires » les thèses rassurantes de la « saine raison », sans se de
88
critiques qu’on pourrait leur adresser, parce que
ces
« maudits » ont la grâce, parce qu’ils sont la vie, même quand ils ap
89
vers des souvenirs, quand nous allions tous deux,
ces
bonnes farces, et aussi pourtant des histoires de copains qui ont mal
90
cceptera plus que des valeurs de passion. Balayez
ces
douanes de l’esprit, proclamez le grand Libre-Échange, voici déjà s’a
91
enirs ; et ce n’est pas se libérer que de brasser
ces
chaînes sonores. 9. Lettre à Paul Claudel. 10. Musset de La coupe e
92
e retenir, Je ne pouvais pas le suivre. On dit de
ces
phrases. Même, on en pleure. l. « Quatre incidents », Revue de Bel
93
ir d’impertinence, je me fusse dispensé de redire
ces
lieux communs, auxquels pourtant nos circonstances confèrent une actu
94
je ne saurais me prémunir par le moyen d’aucun de
ces
appareils à jugements garantis qui posent un critique d’art diplômé.
95
e et parfait. Trop parfait seulement. Il manque à
ces
recompositions de la nature, à ces natures remises à neuf, l’imperfec
96
t. Il manque à ces recompositions de la nature, à
ces
natures remises à neuf, l’imperfection humaine qui touche. Mais l’atm
97
ion humaine qui touche. Mais l’atmosphère pure de
ces
espaces définis par quelques plans ne tue pas un certain mystère. Cet
98
toujours qu’il peigne entre deux pluies. Il aime
ces
heures où ciel et onde se mêlent, et sait rendre mieux que personne l
99
ui simplifie et renforce l’expression. Décidément
ces
trois frères sont une école. Délaissant un moment ce trésor du meille
100
de mystère. Que va-t-il se passer là-dedans ? Et
ces
roses sont le signe de quel occulte prodige ? Intrigué, vous reprenez
101
en effet un rêve de précision qui s’incarne dans
ces
motifs géométriques, pour le plaisir de la perfection exercée par jeu
102
jeu. Mais quel support à de nouvelles songeries !
Ces
horlogeries impossibles sont des pièges à chimères. C’est ainsi qu’on
103
. Attention qu’André Evard n’aille trouver une de
ces
machines à explorer l’au-delà. En vérité il faut être sorcier ou arti
104
artiste pour changer en instruments métaphysiques
ces
bonnes montres de précision de La Chaux-de-Fonds… Avant de quitter le
105
cœur d’une femme qui va les étrangler doucement.
Ces
vers sont de jolies flèches empoisonnées. Quelque chose, tout de même
106
’agit-il ? de détruire ou de rafistoler ? » Entre
ces
deux tentations, cédant à l’une autant qu’à l’autre, Drieu s’examine.
107
n croirait ouïr parfois le récit de quelqu’une de
ces
farces d’étudiants qui ne sont que la traduction en actes de jeux de
108
rand. Est-ce vraiment aux romantiques de 1830 que
ces
reproches s’adressent, ou bien plutôt — vous alliez le dire — aux sur
109
Si le mal du siècle consistait véritablement dans
ces
quelques effets, nous donnerions peut-être raison à M. Y. Z., qui, da
110
e tous les « vices romantiques ». — Citez-m’en de
ces
phénomènes ! — Mon Dieu, que dire… Il y aurait, par exemple, ce fait
111
pour Paul Morand par qui découvrîtes le charme de
ces
lieux. Vous composez un cocktail en guise de métaphore, avec une pens
112
C’est de la littérature. À force d’avoir mérité
ces
épithètes, pour nous laudatives, vous vous étonnez aujourd’hui de la
113
r littérature, c’est faire la part du feu. Je dis
ces
noms, ces opinions, ces titres de livres : tout cela jaillit, s’entre
114
ure, c’est faire la part du feu. Je dis ces noms,
ces
opinions, ces titres de livres : tout cela jaillit, s’entrechoque, s’
115
re la part du feu. Je dis ces noms, ces opinions,
ces
titres de livres : tout cela jaillit, s’entrechoque, s’annule. Poussi
116
us plaît. Il est temps de sortir de ce café et de
ces
jeux, simulacres de vie, qui sont à la vraie vie ce que le flirt est
117
peurs sans cause, plus vides que la mort. Toutes
ces
choses mystiques, c’est-à-dire réelles, c’est-à-dire agissantes, que
118
mettre un peu les pieds dans le plat, de dire de
ces
choses qu’entre gens du métier l’on a convenu de passer sous silence.
119
ientôt renier le signe le plus certain par lequel
ces
« quelques-uns » peuvent encore se reconnaître. Quand bien même elle
120
les signaux de l’angoisse sur quoi se fondent, en
ces
temps, nos amitiés miraculeuses. Voici donc les seules révélations
121
Les derniers jours (juillet 1927)p
Ces
« cahiers politiques et littéraires »17, rédigés par Drieu la Rochell
122
ettons de n’en pouvoir citer, faute de place, que
ces
quelques phrases de Drieu : « On voit déjà éclater dans les singulie
123
dent de nous que d’innocentes farces — ou bien de
ces
affirmations dont en vérité l’on n’a pas à se préoccuper de prévoir l
124
Louis Vaudoyer, Premières amours (août 1927)an
Ces
trois nouvelles n’ont guère de commun entre elles que la forme : ce s
125
presque de la nonchalance. M. Vaudoyer ressuscite
ces
adolescences avec une tendre minutie, avec une sorte d’amoureuse appl
126
… » Sachons gré à M. Vaudoyer d’avoir su donner à
ces
œuvrettes une si exquise humanité : par lui le « charme » reprend que
127
e que ne fut Rilke. Rilke y apparaît comme une de
ces
âmes mystiques et raffinées telles qu’on en découvre chez certaines f
128
stratégie littéraire », de gazetiers ; au cœur de
ces
sujets qui paraît-il, ne sont pas d’actualité : la solitude, la malad
129
ttre plus de choses qu’il n’y paraît d’abord dans
ces
50 pages. Beaucoup sont excellentes et leur facilité même est une réu
130
cialiste, gros farceur, va. Quand je songe à tous
ces
gens qui perdent leur vie à la gagner9, et leur façon inexplicable de
131
’elle n’est pas à l’échelle de ce qui la précède.
Ces
défaillances de la technique du roman sont sauvées par un style brill
132
pçonne, par éclairs, qu’il y avait peut-être dans
ces
buts une absurdité fondamentale. L’infaillible progrès aurait-il fait
133
présent », dit‑il. Le plus mémorable événement de
ces
années de jeunesse, son « chemin de Damas » (comme il dit sans qu’on
134
oduction, d’année en année. On pourrait ajouter à
ces
chiffres celui des milliards qu’il possède, ou plutôt qu’il gère, mai
135
nts de loisir, il a des exigences effectives ; et
ces
exigences sont en contradiction avec celles que le développement de l
136
oppement de la technique impose au monde moderne.
Ces
êtres, d’une espèce de plus en plus rare, qui savent encore quelque c
137
une place vide : la jolie femme qu’on attend dans
ces
circonstances, une fois de plus manquait le rendez-vous que j’avais d
138
ifique couleur orangée. Gérard semblait habitué à
ces
sortes de scènes. On reparla de l’inconstance viennoise. Gérard l’att
139
une façon de parler — à laquelle on se livre dans
ces
lieux de plaisir — autre façon de parler. On dit que j’ai vécu d’illu
140
attachaient aux buts les plus hauts de notre vie.
Ces
citadins blasés s’amusent plus grossièrement que des barbares, ils s’
141
blances. Aussi l’ennui règne-t-il bruyamment dans
ces
lieux : cet orchestre triomphant suffit à peine à toucher leurs sens
142
toucher leurs sens fatigués et épaissis. Regardez
ces
yeux mornes, ou luisants de concupiscences élémentaires : Ce sont vos
143
t touchée par les mains outrageusement baguées de
ces
courtiers alourdis de “Knödl”. En Orient on en ferait une chose extrê
144
Il semble se rapprocher de moi. Il me raconte de
ces
superstitions qui ne sont enfantines que pour nos savants retombés en
145
ans de la neige fondante, tout en croquant une de
ces
saucisses à la moutarde qu’on appelle ici « Frankfurter » et ailleurs
146
détenus des maisons de correction se jetaient sur
ces
volumes « au travers desquels ils respiraient l’air du monde ». N’en
147
éressent pas ou bien qui ne sont pas atteints par
ces
épithètes drôles ou quelconques. Mais la seconde partie du livre est
148
e l’être. Et l’on voit bien ici qu’Aragon dépasse
ces
surréalistes, ces orthodoxes de l’absurde confondu avec le poétique,
149
voit bien ici qu’Aragon dépasse ces surréalistes,
ces
orthodoxes de l’absurde confondu avec le poétique, ou ces disciples d
150
odoxes de l’absurde confondu avec le poétique, ou
ces
disciples de Rimbaud, ou enfin ces littérateurs antilittéraires, ces
151
e poétique, ou ces disciples de Rimbaud, ou enfin
ces
littérateurs antilittéraires, ces « Messieurs les Nymphes ». Mais don
152
mbaud, ou enfin ces littérateurs antilittéraires,
ces
« Messieurs les Nymphes ». Mais donner l’air bête à ceux qui le sont
153
e — nous sommes en France — vers la politique. Or
ces
ennemis de toute littérature voient leurs avances dédaignées par les
154
y découvre le jeu des tempéraments qui fait opter
ces
chefs pour l’une ou l’autre de ces attitudes. (Elles ne sont pas esse
155
qui fait opter ces chefs pour l’une ou l’autre de
ces
attitudes. (Elles ne sont pas essentiellement contradictoires : elles
156
l’unité d’une époque obsédée d’action.) Autour de
ces
individus — Chinois nationalistes ou terroristes, Européens expérimen
157
urdité de ses ambitions. Écoutons Garine, l’un de
ces
chefs (c’est lui qui parle au nom de l’auteur, je pense) : « Il me se
158
e à Paris même… Il subjugue le jeune Français par
ces
évocations et l’espèce de fièvre qu’il y apporte. Mais plusieurs inci
159
ir : il est laid. Lâchement il se prend en pitié.
Ces
séances lui font du mal, l’énervent, mais l’aveu qu’il en consent l’a
160
qu’il est. Semblablement, il ne sait plus aimer. (
Ces
jeunes gens ne veulent pas se fatiguer pour rien.) Cette histoire idi
161
ions précédentes lui échappe, qu’il y voie une de
ces
marques. Stéphane a oublié jusqu’au mot de prière. Orphée perd Euryd
162
l’écho de ce qui serait lui. Déjà il se perd dans
ces
yeux, mais comme on meurt dans une naissance. Stéphane naît à l’amour
163
e voit pas encore apparaître sous cet aspect dans
ces
deux premiers tomes, où il décrit des scènes de son enfance et de sa
164
de la poésie sont dans notre maison. Voici un de
ces
passages où il sait être, avec sa verve doucement comique, si émouvan
165
: rond de cuir ou poète (au sens le plus large de
ces
mots.) (Mais je tiens à le leur dire ici : les anciens bellettriens q
166
Et qu’importe si la perspective manque souvent à
ces
récits : ce n’est point un paysage d’âme qu’on y cherche, mais l’anec
167
simple visite des cafés dans l’une et l’autre de
ces
capitales suffit à vous en donner la sensation : ce que vous pourrez
168
tat d’esprit le plus naturel. Mais de quoi vivent
ces
bourgeois aimables et insipides, qui passent des après-midi entiers d
169
uer l’attention la plus grave — car il vécut dans
ces
marches de l’esprit humain qui confinent peut-être à l’Esprit et dont
170
rs de la ville sonnent deux heures. Allons. Un de
ces
corridors de vieille maison souabe, hauts et sombres, qui paraîtraien
171
pas trop qui c’était… Alors vous devez connaître
ces
portraits ? — (et comme je considère un ravissant médaillon de marbre
172
s le même monde ? (Il est bon de poser parfois de
ces
grandes questions naïves.) Lui aussi a vécu dans cette ville, tout se
173
i aussi a vécu dans cette ville, tout semblable à
ces
théologiens aux yeux voilés, aux pantalons trop courts, qui se promèn
174
tre la facilité atroce de cette fin d’après-midi,
ces
musiquettes et ces parfums de fleurs et d’eau… elle est tellement d’a
175
oce de cette fin d’après-midi, ces musiquettes et
ces
parfums de fleurs et d’eau… elle est tellement d’ailleurs… Faut-il do
176
… Faut-il donc que l’un des deux soit absurde, de
ces
mondes à mes yeux soudain simultanés ?… Le tragique de la facilité,
177
eau fixe. Pourquoi troubler le miroir innocent de
ces
eaux, ces âmes indulgentes à leur banalité ? Est-ce qu’ils ne soupçon
178
Pourquoi troubler le miroir innocent de ces eaux,
ces
âmes indulgentes à leur banalité ? Est-ce qu’ils ne soupçonnent jamai
179
rait un livre de Cassou qui ne serait fait que de
ces
intermèdes ; pur de tout souci de vraisemblance extérieure ; qui ne s
180
ntion, qui inventerait sa vérité. Ce serait un de
ces
miracles de liberté dont nous avons besoin pour croire que le monde a
181
sou, et singulièrement dans ce livre, beaucoup de
ces
petites merveilles qui valent de gros romans « bien faits ». Car il y
182
ançais… Mais non, nous préférons voir ici l’un de
ces
signes qui de toutes parts annoncent une rentrée de l’âme dans la lit
183
de cet essai — la voyance de Rimbaud — est une de
ces
évidences qu’il est bon de proposer à la réflexion de notre temps, ne
184
que « le petit Benda est un fameux serin ». Mais
ces
affirmations sont exactement celles qu’il fallait attendre de ces aut
185
sont exactement celles qu’il fallait attendre de
ces
auteurs. Ce qu’on ne viendra pas disputer à M. Benda, c’est son dur a
186
es autres disaient qu’il n’y a plus de morale, et
ces
jeunes gens ont une façon de trancher les questions qui vous désarme.
187
attend votre lettre depuis des mois. Je pense que
ces
lignes vous trouveront réunis. Avec ma bénédiction, je suis votre ami
188
qu’est en fait l’esprit démocratique. Là-dessus,
ces
messieurs se lamentent, la jeunesse d’aujourd’hui, etc. Évidemment. M
189
rement. Cela n’empêchera personne de me resservir
ces
arguments, bien que dûment prévus et réduits à néant ici même ; mais
190
1° qu’ils ne peuvent me dénier le droit de juger
ces
faits ; 2° qu’ils ne peuvent, en vertu même de leur scepticisme quant
191
cratie progressiste et tolérante qui se livrent à
ces
excès de langage, je les renvoie en corps au chapitre 5 où je traiter
192
dessus » de la tâche des instituteurs : Faire de
ces
belles analyses logiques, et grammaticales, où tout retombait droit…
193
et grammaticales, où tout retombait droit… Et de
ces
beaux problèmes d’arithmétique où il fallait si soigneusement séparer
194
es bonheurs fous dans les bras maternels, ou bien
ces
promenades en tenant la forte main du père qui fait de longs pas régu
195
e ne sais quoi, j’étais délicieusement seul parmi
ces
petits êtres en tabliers bleus qui alignaient leurs bâtons en rêvant
196
pour nous faire comprendre avec enthousiasme que
ces
vérités-là n’ont aucune importance.) Quant à l’autre « évidence » que
197
gager de leur empire. Mais on avait brisé en nous
ces
ressorts de la révolte et de la libération d’une personnalité : l’ima
198
ouvert et nommé cet asservissement de l’esprit et
ces
mythes stériles, que je les rendis responsables de ma perte de contac
199
militaire me permit de retrouver quelques-unes de
ces
réalités. J’y retrouvai aussi plusieurs têtes connues d’anciens camar
200
nt mieux qu’on était devenus plus différents. Car
ces
différences sont les premières marques de la vie vécue et l’on aime à
201
choses, à une façon théorique de juger les êtres.
Ces
distributeurs automatiques (brevetés par le gouvernement) de la manne
202
t, vous êtes presque certain qu’il s’agit d’un de
ces
cuistres pédants qu’on aime rencontrer dans des farces où ils sont dr
203
c’était pourtant un refuge pour l’imagination que
ces
initiales, ces signes, ces devises… —, les estampes piquées, Numa Dro
204
t un refuge pour l’imagination que ces initiales,
ces
signes, ces devises… —, les estampes piquées, Numa Droz et ses crotte
205
pour l’imagination que ces initiales, ces signes,
ces
devises… —, les estampes piquées, Numa Droz et ses crottes de mouches
206
ue, telle que nous la voyons est semblable à tous
ces
monuments « de la mauvaise époque » qui sont dans nos villes l’apport
207
l’instruction publique — on ne me contestera pas
ces
raisons puisqu’elles me sont absolument personnelles et qu’elles ont
208
uglante : cela tient pour une bonne part à ce que
ces
personnes ont les yeux faibles. Il serait plus juste de dire que la p
209
8 à 9 arithmétique ; de 9 à 10 composition, etc.
Ces
disciplines se succèdent sans transition, dans un ordre absolument fo
210
tation de l’enfant ; de la valeur fort inégale de
ces
disciplines ; de la diversité des besoins ; enfin des rythmes naturel
211
laignez-vous, vous ? — Mais on fausse l’esprit de
ces
enfants… — Mais on nous paye, et ils n’en meurent pas. Les examens
212
légitimer l’énormité de l’effort qu’on demande à
ces
petits. Là encore il y a une exagération absurde, une généralisation
213
oints vont aux parfaits imitateurs. Oyez-moi tous
ces
petits phonographes…ographes…graphes…graphes… Enfoncés, les perroquet
214
nent leur essor de chérubins du parti au cours de
ces
nombreux banquets de cercles locaux où se fondent les réputations, où
215
ustrés la face épanouie quoique énergique d’un de
ces
coqs de village qu’on vient de jucher sur la flèche de l’édifice admi
216
t c’est ce qui s’appelle une belle carrière. Mais
ces
brillants météores ne troublent pas beaucoup ma superstition, par ail
217
race. D’autre part, il est aisé de voir que tous
ces
principes dérivent nécessairement du fait que l’école est publique, o
218
e avec l’enseignement officiel. Les promoteurs de
ces
mouvements tentent la gageure de réformer l’école primaire sans touch
219
e l’école pratique. Plus tard on fait apprendre à
ces
mêmes enfants, et réciter par cœur et à rebours, les noms des rues et
220
le moyen de gesticulations appropriées : foin de
ces
analyses de textes absurdes où l’on soulignait en rouge tous les mots
221
essaire pour que ça ne soit pas une lourde farce.
Ces
exagérations ne sont pas bien graves, parce qu’elles sont comiques pr
222
s petits d’hommes comme des plantes de serre dans
ces
jardins d’enfants. On y parle de « l’enfant » comme on parle d’un pro
223
très dangereux. Néanmoins je soupçonne dans tous
ces
mouvements des possibilités lointaines qui sont pour me plaire ; un g
224
… En attendant, puisqu’il faut attendre, je salue
ces
jeunes gens qui appliquent avec ferveur les principes de l’école libr
225
et simples ; il serait vraiment dommage de priver
ces
Messieurs d’une aubaine pour eux si rare. Un fait simple, par exemple
226
que dis-je, la valeur hautement moralisatrice de
ces
glapissants entonnoirs. D’ailleurs cette complicité, si évidente à l
227
’un peu de chaleur d’âme pour amorcer le dégel de
ces
principes, et ce peut être le signal de la grande débâcle printanière
228
que de la sensibilité. (Le jour où l’on culbutera
ces
Messieurs de leurs sièges, ils comprendront le sens des images.) 9.
229
istes serait parfois tenté de retirer brusquement
ces
sièges, farce connue et qui ridiculise à coup sûr sa victime. En fait
230
s intellectuels sont convertis depuis longtemps à
ces
idées antidémocratiques : il est temps qu’elles débordent ce cercle é
231
grand courant d’air à créer qui emportera toutes
ces
statistiques et ces journaux, il en restera toujours assez pour allum
232
à créer qui emportera toutes ces statistiques et
ces
journaux, il en restera toujours assez pour allumer des feux de joie,
233
e. Notre époque serait le deuxième temps d’une de
ces
triades. Son rationalisme nie l’être sous toutes ses formes, traduit
234
— le Poète dira un mot, ou bien fera un acte, et
ces
peuples de somnambules s’éveilleront du cauchemar où les plongent tou
235
ais il faudrait que dès maintenant se constituent
ces
élites, et cela ne se peut que si les tenants de l’ordre spirituel re
236
corps une immobilité absolue. L’un et l’autre de
ces
exercices montrent que le candidat possède une énergie suffisante pou
237
el, le yoga est un drill de l’esprit. Je sais que
ces
deux mots sont bien dangereux et impopulaires. Tout comme ce qu’ils d
238
e des fins auxquelles on l’applique généralement.
Ces
gens-là diront que je veux militariser l’enseignement ou transformer
239
nées de liberté en même temps qu’un peu de calme.
Ces
années de liberté nous permettraient de vivre, seule façon de s’instr
240
lité plus aiguisée. En tout cas, c’est à cultiver
ces
facultés atrophiées que devrait s’employer l’école. Nous avons vu qu’
241
diversité des besoins individuels. Méditez un peu
ces
truismes : On apprend plus d’une chose longuement contemplée que de m
242
instaurer cette nouvelle attitude de l’âme. Mais
ces
méthodes ne prendraient tout leur sens et toute leur efficace que dan
243
monte le cou. 13. Économistes et philosophes :
ces
Messieurs n’apparaissent ici que pour impressionner le public. Je n’a
244
’ai pas besoin de leurs attendus pour juger. 14.
Ces
deux mots en effet, terrorisent à tel point les bourgeois qu’ils n’en
245
qu’est en fait l’esprit démocratique. Là-dessus,
ces
messieurs se lamentent, la jeunesse d’aujourd’hui, etc. Évidemment. M
246
rement. Cela n’empêchera personne de me resservir
ces
arguments, bien que dûment prévus et réduits à néant ici même ; mais
247
1° qu’ils ne peuvent me dénier le droit de juger
ces
faits ; 2° qu’ils ne peuvent, en vertu même de leur scepticisme quant
248
cratie progressiste et tolérante qui se livrent à
ces
excès de langage. Je les renvoie en corps au chapitre 5 où je traiter
249
dessus » de la tâche des instituteurs : Faire de
ces
belles analyses logiques, et grammaticales, où tout retombait droit…
250
et grammaticales, où tout retombait droit… Et de
ces
beaux problèmes d’arithmétique où il fallait si soigneusement séparer
251
nheurs fous dans les bras maternels, ou bien dans
ces
promenades en tenant la forte main du père qui fait de longs pas régu
252
e ne sais quoi, j’étais délicieusement seul parmi
ces
petits êtres en tabliers bleus qui alignaient leurs bâtons en rêvant
253
pour nous faire comprendre avec enthousiasme que
ces
vérités-là n’ont aucune importance.) Quant à l’autre « évidence » que
254
gager de leur empire. Mais on avait brisé en nous
ces
ressorts de la révolte et de la libération d’une personnalité : l’ima
255
ouvert et nommé cet asservissement de l’esprit et
ces
mythes stériles, que je les rendis responsables de ma perte de contac
256
militaire me permit de retrouver quelques-unes de
ces
réalités. J’y retrouvai aussi plusieurs têtes connues d’anciens camar
257
ant mieux qu’on était devenu plus différents. Car
ces
différences sont les premières marques de la vie vécue et l’on aime à
258
choses, à une façon théorique de juger les êtres.
Ces
distributeurs automatiques (brevetés par le gouvernement) de la manne
259
c’était pourtant un refuge pour l’imagination que
ces
initiales, ces signes, ces devises… —, les estampes piquées, Numa Dro
260
t un refuge pour l’imagination que ces initiales,
ces
signes, ces devises… —, les estampes piquées, Numa Droz et ses crotte
261
pour l’imagination que ces initiales, ces signes,
ces
devises… —, les estampes piquées, Numa Droz et ses crottes de mouches
262
ue, telle que nous la voyons est semblable à tous
ces
monuments « de la mauvaise époque » qui sont dans nos villes l’apport
263
l’instruction publique — on ne me contestera pas
ces
raisons puisqu’elles me sont absolument personnelles et qu’elles ont
264
uglante : cela tient pour une bonne part à ce que
ces
personnes ont les yeux faibles. Il serait plus juste de dire que la p
265
8 à 9 arithmétique ; de 9 à 10 composition, etc.
Ces
disciplines se succèdent sans transition, dans un ordre absolument fo
266
tation de l’enfant ; de la valeur fort inégale de
ces
disciplines ; de la diversité des besoins ; enfin des rythmes naturel
267
laignez-vous, vous ? — Mais on fausse l’esprit de
ces
enfants… — Mais on nous paye, et ils n’en meurent pas. 3.b. Les ex
268
légitimer l’énormité de l’effort qu’on demande à
ces
petits. Là encore, il y a une exagération absurde, une généralisation
269
oints vont aux parfaits imitateurs. Oyez-moi tous
ces
petits phonographes… ographes… graphes… graphes… Enfoncés, les perroq
270
nent leur essor de chérubins du parti au cours de
ces
nombreux banquets de cercles locaux où se fondent les réputations, où
271
ustrés la face épanouie quoique énergique d’un de
ces
coqs de village qu’on vient de jucher sur la flèche de l’édifice admi
272
t c’est ce qui s’appelle une belle carrière. Mais
ces
brillants météores ne troublent pas beaucoup ma superstition, par ail
273
euple. D’autre part, il est aisé de voir que tous
ces
principes dérivent nécessairement du fait que l’école est publique, o
274
e avec l’enseignement officiel. Les promoteurs de
ces
mouvements tentent la gageure de réformer l’école primaire sans touch
275
l’école pratique. Plus tard, on fait apprendre à
ces
mêmes enfants, et réciter par cœur et à rebours, les noms des rues et
276
le moyen de gesticulations appropriées : foin de
ces
analyses de textes absurdes où l’on soulignait en rouge tous les mots
277
essaire pour que ça ne soit pas une lourde farce.
Ces
exagérations ne sont pas bien graves, parce qu’elles sont comiques pr
278
s petits d’hommes comme des plantes de serre dans
ces
jardins d’enfants. On y parle de « l’enfant » comme on parle d’un pro
279
très dangereux. Néanmoins, je soupçonne dans tous
ces
mouvements des possibilités lointaines qui sont pour me plaire ; un g
280
… En attendant, puisqu’il faut attendre, je salue
ces
jeunes gens qui appliquent avec ferveur les principes de l’école libr
281
et simples ; il serait vraiment dommage de priver
ces
Messieurs d’une aubaine pour eux si rare. Un fait simple, par exemple
282
que dis-je, la valeur hautement moralisatrice de
ces
glapissants entonnoirs. D’ailleurs cette complicité, si évidente à l’
283
’un peu de chaleur d’âme pour amorcer le dégel de
ces
principes, et ce peut être le signal de la grande débâcle printanière
284
que de la sensibilité. (Le jour où l’on culbutera
ces
Messieurs de leurs sièges, ils comprendront le sens des images.) 9.
285
istes serait parfois tenté de retirer brusquement
ces
sièges, farce connue et qui ridiculise à coup sûr sa victime. En fait
286
ntellectuels se sont convertis depuis longtemps à
ces
idées antidémocratiques : il est temps qu’elles débordent ce cercle é
287
grand courant d’air à créer qui emportera toutes
ces
statistiques et ces journaux, il en restera toujours assez pour allum
288
à créer qui emportera toutes ces statistiques et
ces
journaux, il en restera toujours assez pour allumer des feux de joie,
289
e. Notre époque serait le deuxième temps d’une de
ces
triades. Son rationalisme nie l’être sous toutes ses formes, traduit
290
— le Poète dira un mot, ou bien fera un acte, et
ces
peuples de somnambules s’éveilleront du cauchemar où les plongent tou
291
ais il faudrait que dès maintenant se constituent
ces
élites et cela ne se peut que si les tenants de l’ordre spirituel ret
292
corps une immobilité absolue. L’un et l’autre de
ces
exercices montrent que le candidat possède une énergie suffisante pou
293
el, le yoga est un drill de l’esprit. Je sais que
ces
deux mots sont bien dangereux et impopulaires. Tout comme ce qu’ils d
294
e des fins auxquelles on l’applique généralement.
Ces
gens-là diront que je veux militariser l’enseignement ou transformer
295
ées de liberté, en même temps qu’un peu de calme.
Ces
années de liberté nous permettraient de vivre, seule façon de s’instr
296
lité plus aiguisée. En tout cas, c’est à cultiver
ces
facultés atrophiées que devrait s’employer l’école. Nous avons vu qu’
297
diversité des besoins individuels. Méditez un peu
ces
truismes : On apprend plus d’une chose longuement contemplée que de m
298
instaurer cette nouvelle attitude de l’âme. Mais
ces
méthodes ne prendraient tout leur sens et toute leur efficace que dan
299
monte le cou. 13. Économistes et philosophes :
ces
Messieurs n’apparaissent ici que pour impressionner le public. Je n’a
300
’ai pas besoin de leurs attendus pour juger. 14.
Ces
deux mots en effet, terrorisent à tel point les bourgeois qu’ils n’en
301
riantes, au premier coup d’œil, assez dénuées de
ces
effets faciles qu’on aime à ménager dans un jardin à la française. Ma
302
toujours sous forme d’objets. Ce comique triste,
ces
imaginations délirantes mais parfaitement concrètes, ces tours de phr
303
ginations délirantes mais parfaitement concrètes,
ces
tours de phrases d’une familiarité bourrue mais raffinée, cette ivres
304
plus occidental dans les beaux volumes pleins de
ces
paysages, que dans ses dessins, dont Kikou Yamata a dit ailleurs la p
305
perdus. II Je ne sais pas où tu m’entends mais
ces
hauts murs d’ombre et de vent autour du monde où nous vivons parquent
306
ends. III Fais rentrer dans leur peau d’ombre
ces
mots qui voudraient fleurir tourne le dos ferme les poings ne fais qu
307
écœure plus que tout. Plutôt donc que de discuter
ces
thèses, je voudrais suivre leurs prolongements au-delà — au-dessous —
308
s d’une terrible carence d’héroïsme intellectuel.
Ces
messieurs — et qui pensent — ont la chance de vivre à l’une des époqu
309
ietzsche et celui de Schiller. Romancer la vie de
ces
excessifs est assez bien vu ; mais tenter de leur opposer un effort d
310
nature que Léonard ne soupçonna même pas ; — que
ces
limites rendent absurde l’adoption d’un ordre de valeurs « arbitraire
311
nce d’un visage dans ma mémoire (d’heure en heure
ces
yeux plus vivants…) De là, je le suppose, une certaine misanthropie e
312
s, en kimono de soie « capstan ». Il ouvre une de
ces
parenthèses dont il a le secret, et dans laquelle la rédaction s’empr
313
e voilà bien perdu cette fois, dérive un peu vers
ces
Allemagnes où, tu le sais, la tristesse la plus amère invente encore
314
à Paris. Bientôt… Mais il est temps de mettre à
ces
fariboles un terme19. J’ai du solide à équarrir. Et auparavant, j’aim
315
on sujet. Mais pourquoi se refuse-t-il à tirer de
ces
remarques fort justes les conclusions qu’elles nécessitent ? Celle-ci
316
e demande une pensée forte et orientée plutôt que
ces
éclats de voix sarcastiques, émouvants comme 93, mais où certaine bêt
317
reconduit à sa villa, vers cinq heures à travers
ces
quartiers si clairs, arbres et jets d’eau ; sans avoir pu retrouver,
318
e terrasses ; on nous déverse dans cette foule et
ces
musiques, deux visages amis me sourient. Ô liberté aérienne des arriv
319
silence de l’adoration comblée, j’en sortirais de
ces
objets sans nom, inutilisables, bouleversants de perfection, gages d’
320
t comme il est, lui, de l’autre école, il referme
ces
pages et vaque à ses devoirs. Nous voici plus à l’aise. Eh bien oui :
321
r cette mastication. Mais je m’égare, laissons-là
ces
moutons. 5. Café amer En Hongrie l’on est assailli par le pitto
322
age les Karolyi, les Festetics, les Esterházy, et
ces
comtes Szechenyi qui construisirent le premier pont sur le Danube, au
323
tes les villes, conduisent dans la cour d’honneur
ces
reliques incroyables et les encensent à la benzine industrielle. Mais
324
ne Carte du Tendre d’après le traité de Trianon !
Ces
choses, je les ai rêvées sur un divan, à cause d’un coussin où s’étal
325
, est mort à 35 ans, mais sa ferveur anime encore
ces
écrivains profondément magyars de sensibilité, bien que souvent europ
326
mme Nietzsche qui en fut obsédé. Empédocle est de
ces
mythes tels qu’il n’est peut-être pas donné à une race d’en créer plu
327
n est à chercher dans leur rythme seulement, — si
ces
mots séparés par des suites de points ne lui servaient qu’à noter des
328
est illusoire, car on ne peut songer à remplacer
ces
mots-notes par des syllabes de valeur rythmique équivalente. Quoi qu’
329
’il en soit, et tels qu’ils nous sont ici livrés,
ces
fragments sont capables d’éveiller le sentiment rare et grandiose que
330
’or rose s’évanouit… Le train serpente dans un de
ces
paysages de nulle part qui sont les plus émouvants, entre des colline
331
uir, alors il faut voler plus vite pour rattraper
ces
apparences adorables… Si je « lâchais » un instant, toutes choses dis
332
t une seule vigne de véritable Tokay. Et point de
ces
endroits déprimants, à plusieurs milliers d’exemplaires, tels que ban
333
toutes choses, cette atmosphère de nomadisme, et
ces
vents vastes ; et cette passion de vivre au-dessus de ses moyens — c’
334
elles apprennent de leurs mères ». Combien j’aime
ces
sœurs des Tziganes ! Les Tziganes vinrent en Europe conduits par le n
335
; hongrois : cigány ; mien : cigognes. D’ailleurs
ces
Égyptiens venaient des Indes, qui nous apportèrent le tarot et la rou
336
grisé, je nageais dans les eaux fades du Balaton.
Ces
eaux, je crois, s’en vont à la mer Noire, et je n’en connais pas les
337
s professeurs entourés de leur famille, et toutes
ces
Magda, toutes ces Maritza rieuses et déjà presque belles dans leurs p
338
urés de leur famille, et toutes ces Magda, toutes
ces
Maritza rieuses et déjà presque belles dans leurs petits sweaters — v
339
. Je ne sais plus dans quel sens je roule. J’aime
ces
heures désorientées ; le sentiment du « non-sens » de la vie n’est-il
340
un rêve ? Je comprends bien qu’il faudrait ouvrir
ces
valises, mais j’ai perdu mes clefs. L’œil du douanier conseille des a
341
t pas une sorte de pierre philosophale. Peut-être
ces
deux mots suffiraient-ils à l’indiquer quand je m’en parle ? Tout en
342
fallait attendre pour aimer !… Je me souviens de
ces
terrains de sable noir, piqués de petits arbres et d’un désordre de m
343
otre esprit ne comporte pas l’égalité de droit de
ces
deux disciplines. Car la science à peine libérée, demande la tête de
344
en, dans ses conversations, fait parfois penser à
ces
gens — on en rencontre dans les affaires — qui se donnent une espèce
345
qu’il n’y en a pas. Perken, comme Garine, est de
ces
êtres qui agissent par désespoir, parce que l’action, à tout prendre,
346
es portraits des meilleurs peintres ressemblent à
ces
peintres sous les traits du modèle. Cet air de famille qu’ont tous le
347
ssent aussi « fausses » que l’effort désespéré de
ces
conquérants de désert. 9. Chez Grasset. 10. La Voie royale n’est
348
s des gens qui ont une mission urgente à remplir.
Ces
quelques remarques nous placent sous l’angle qu’il faut pour situer l
349
ais volontiers le contraire, mais M. Nizan est de
ces
gens, si nombreux aujourd’hui (Freud, etc.), qui croient que le pire
350
de tous les dieux blancs se sont mis à convertir
ces
idolâtres, ces fétichistes, à leur parler de Luther et de la Vierge d
351
eux blancs se sont mis à convertir ces idolâtres,
ces
fétichistes, à leur parler de Luther et de la Vierge de Lourdes, à le
352
ur liberté. Mais pourquoi dira-t-on, s’arrêter à
ces
cris d’une révolte égarée par la haine ? C’est qu’ils caractérisent u
353
dérations psychologiques ou même sociologiques de
ces
survivances chez l’astronome, il nous interdira formellement de procé
354
t parce qu’ils nous parlent, nous avons demandé à
ces
artistes de venir dans notre cercle. Héritiers du plus grand affranch
355
s ». Mais cela n’empêche pas de rechercher ce que
ces
artistes peuvent avoir de commun, ce qu’ils doivent à leur origine ou
356
nt à leur origine ou à leur foi réformée, — et si
ces
traits ne constituent pas, en définitive, les éléments d’un art prote
357
s : qu’y a-t-il de spécifiquement protestant chez
ces
peintres ? — Certaines rigidités, pensez-vous, certaines austérités d
358
n de la rue de Vaugirard nous invite à renoncer à
ces
clichés. Pas de trace de « puritanisme » chez des artistes si différe
359
faut organiser la conquête et la distribution de
ces
biens : d’où la technique. Cette prétention des masses, légitime d’ai
360
méfiance systématique du voisin inévitable. Mais
ces
anomalies très graves ne sont peut-être que transitoires, ajoute Keys
361
individualité et un milieu social bien défini. À
ces
deux éléments s’en ajoute un troisième qui est moins visible, mais do
362
er. » Eh bien ! non, c’est au contraire décharger
ces
critiques d’une tâche impossible. Car toute la valeur de l’œuvre de B
363
récit se ralentit, au contraire, fâcheusement en
ces
pages — et qui s’explique si l’on a lu la phrase par quoi se termine
364
argées ici de représenter deux églises anglaises.
Ces
deux respectables ladies, qui ne jouent pas d’autre rôle dans l’histo
365
chant une sécurité intérieure, ne trouve pas dans
ces
indignations sentimentales la réponse aux premiers troubles que la gr
366
lenteur des choses ». C’est qu’il a pénétré dans
ces
solitudes que les autres contemplaient d’en bas ; non pas en curieux
367
ts, qu’écrira-t-il ? — Shelley : « L’immensité de
ces
sommets aériens excite, lorsqu’ils frappent la vue, un sentiment d’ex
368
ts, aux mille bruits. » Ce n’est plus l’homme que
ces
poètes viennent interroger sur les hauteurs, mais une sombre et surhu
369
ietzsche est pleine de repères alpestres. « Comme
ces
vues précises, aiguës, et qu’inspire l’escarpement, nous changent des
370
cs l’occasion d’une lutte… elle ignorera toujours
ces
victoires. » Nous empruntons ces lignes au très bel essai que Robert
371
gnorera toujours ces victoires. » Nous empruntons
ces
lignes au très bel essai que Robert de Traz intitula Nietzsche et les
372
l’action de Kagawa, telles qu’il les raconte dans
ces
deux volumes, témoignent que l’amour chrétien peut encore aujourd’hui
373
t celui des meneurs. Mais le rare, c’est qu’un de
ces
meneurs écrive un livre pour nous dire comment il voit le peuple, com
374
ons à l’existence la plus quotidienne d’Eiichi, à
ces
mille petites difficultés précises et humiliantes, à ces moments de d
375
le petites difficultés précises et humiliantes, à
ces
moments de doute, de désir ou d’ennui qui constituent la trame réelle
376
arvient à être si émouvant. On peut dire que dans
ces
deux gros volumes si nourris, il n’y a pas deux lignes d’allure conve
377
et Osaka la nuit ! Il ne comprenait pas pourquoi
ces
deux mots lui semblaient avoir des rapports intimes et atroces. Quel
378
x intérieure qui lui disait : « Si tu te mêles de
ces
affaires, tu ne seras toi-même, à la fin, pas bien éloigné du vulgair
379
plus que tout ce qu’on a pu lire de plus vécu sur
ces
milieux. Finalement, la police accuse Eiichi d’avoir prêté son appui
380
ons ? Quant à ceux qui acceptent d’étudier à fond
ces
problèmes, ils ne les rendent, en général, guère attirants — (le devr
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vite elle en devient la rançon. (Divers, p. 75.)
Ces
quelques notes voudraient marquer une réaction toute personnelle prov
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fins rien moins que grandes. Car l’excès même de
ces
scrupules les fait tourner soudain, les fait cailler en coquetteries.
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par quoi tiendra-t-il à les « équilibrer », un de
ces
jours, à les « gauchir »…) Le héros de Vol de nuit, non déshumanisé
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la comporte. Un nom me hante, pendant que j’écris
ces
mots : Kierkegaard, — et c’est Gide qui, l’un des premiers, l’a prono
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la terre protestante et de l’esprit protestant.
Ces
intéressantes remarques, où l’on retrouve le goût de l’analogie histo
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trepoint d’Aldous Huxley. Combien actuelles aussi
ces
remarques sur le déclin de la personnalité, la profondeur des sentime
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est la forme des dialogues où culmine son art. De
ces
dialogues, où chaque interlocuteur, tour à tour, atteint à l’expressi
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vent. Dans quelques-uns des plus significatifs de
ces
récits (Dieu et le sommeil, Les Fins dernières) l’on assiste à un rév
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oblématique qu’il parvient à susciter au cours de
ces
brèves imaginations, avec une bonhomie d’autant plus touchante qu’ell
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féminins, et classe son auteur dans la lignée de
ces
fameux « moralistes français » auxquels nous pardonnons souvent d’êtr
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’explicitement religieux : cela n’a point empêché
ces
trois romans de faire figure, aux yeux de beaucoup, de livres « bien
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même tenté de dire, forçant un peu ma thèse, que
ces
traits négatifs, alliés à d’évidentes préoccupations morales, compose
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aliste ». Était-ce qu’il y avait dans l’accent de
ces
docteurs-là quelque chose qui les empêchait de convaincre ? Tel étant
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ouffer, elle a souvent faussé le développement de
ces
germes ; les produits d’une terre ingrate grandissent comme une déris
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re la police des mœurs, l’éducation bourgeoise et
ces
blasphématoires « hygiènes de l’esprit » dont les ravages ne prendron
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ach, Rembrandt, les sœurs Brontë, Henrik Ibsen et
ces
deux Danois prodigieux, Hans-Christian Andersen et Søren Kierkegaard.
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donne aux romans de Dostoïevski ou d’Émily Brontë
ces
prolongements poétiques, ces perspectives bouleversantes qui manquero
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ki ou d’Émily Brontë ces prolongements poétiques,
ces
perspectives bouleversantes qui manqueront toujours aux œuvres nées s