1 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Pierre Jean Jouve, Paulina 1880 (avril 1926)
1 du désir et de la prière. On sort lentement d’une chambre bleue qui est le mystère même, pour suivre la naissance et l’embrasem
2 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Lettre du survivant (février 1927)
2 si que je vous dise qu’il fait très froid dans ma chambre  : le feu n’a pas pris, et d’ailleurs cela n’en vaut plus la peine. (V
3 e rôde ton souvenir, comme une femme nue dans une chambre étroite… J’ai dormi quelques heures, d’un sommeil triste, tout enfiév
3 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Entr’acte de René Clair, ou L’éloge du Miracle (mars 1927)
4 c leur baguette, pour moi qui chaque soir crée ma chambre en tournant un commutateur. Le vrai miracle du cinéma, c’est, par exe
4 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
5 s, aux cactus qui ornaient les fenêtres, dans une chambre peinte en bleu vif et ornée de surprenants batiks, il s’est livré pen
5 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Récit du pickpocket (fragment) (mai 1927)
6 riai un juron, claquai la porte et courus dans ma chambre . Une demi-heure plus tard, j’étais à la gare, j’écrivais un mot d’adi
7 près deux tangos, nous montions ensemble dans une chambre d’hôtel où l’on ne voyait d’abord qu’un bouquet transfiguré par la lu
6 1927, Articles divers (1924–1930). Dés ou la clef des champs (1927)
8 un lieu anonyme bien plus propice au rêve que ma chambre où m’attendent tous les soirs quand je rentre du bureau, les gages in
9 isse, parce que le lait va monter. Alors, dans ma chambre , avant d’aller souper, je m’abats sur mon lit, les cheveux dans les m
7 1929, Articles divers (1924–1930). La tour de Hölderlin (15 juillet 1929)
10 aient à demi encombrés d’armoires. Un couloir, la chambre . L’homme qui me conduit est le propriétaire actuel. « Monsieur connaî
11 e fenêtre, à marmotter. Vingt-sept ans dans cette chambre , avec le bruit de l’eau et cette complainte de malade épuisé après un
12 Oh ! répond-il, je pourrais aussi bien habiter la chambre . Il ne vient pas tant de visiteurs, et seulement de 2 à 4… Une rue ét
13 nt : la vie normale. Il y a pourtant cette petite chambre … Est-ce que tout cela existe dans le même monde ? (Il est bon de pose
14 e ciel, les dieux le vouent au malheur. » Ô cette chambre , où pénètre la facilité atroce de cette fin d’après-midi, ces musique
8 1930, Articles divers (1924–1930). Au sujet « d’un certain esprit français » (1er mai 1930)
15 hes. Mais ne demandons pas à Barrès de quitter sa chambre , son cigare ou son moi. » 8. « La France… n’a pas su faire la révolu
9 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
16 Allemagne, c’est la Poésie, et la France c’est la Chambre des Députés, je n’en veux pas démordre, et la Légion d’honneur — je v
17 méprisé le geste de l’homme qui, le soir dans sa chambre d’hôtel, ferme sa porte à double tour. Ah ! qu’une nuit enfin, à la f
18 nvahi par un dernier feu, il se précipita dans sa chambre où il s’enferma, écrivit dans une grande fièvre tout le Stabat Mater,
10 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
19 êver le cortège d’un sacre ! J’y ai vu défiler la Chambre des Magnats, le jour de l’élection d’un des quatre gardiens de la Cou
20 ons vers la maison du poète, sur un coteau. Trois chambres boisées entourées d’une large galerie d’où l’on voit le Danube gris-j
21 préparées, l’ombre bourdonnante, — trois petites chambres et un pan de toit par-dessus, une baraque à peine visible dans les vi
11 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
22 gnifie qu’il vient d’être très malade. Si dans ta chambre , en plein jour, tu t’endors, et que, vers le soir, tu t’éveilles dans
12 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Une exposition d’artistes protestants modernes (avril 1931)
23 ns des projets dont on parlait, la nuit, dans les chambres où les curiosités et les enthousiasmes en désordre s’agitaient entre
13 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
24 sérable, des pires brutes qu’il recueille dans sa chambre , et qu’il couvre de ses propres habits, des prostituées qu’il soigne,
14 1932, Esprit, articles (1932–1962). On oubliera les juges (novembre 1932)
25 tre pour la première fois, dans la solitude d’une chambre la nuit, — si c’est le lieu de sa prière. Les faits l’attendent : ell
15 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
26 êver le cortège d’un sacre ! J’y ai vu défiler la Chambre des Magnats, le jour de l’élection d’un des quatre gardiens de la Cou
27 a maison du poète, sur un coteau de vignes. Trois chambres boisées entourées d’une large galerie d’où l’on voit le Danube gris-j
28 préparées, l’ombre bourdonnante, — trois petites chambres et un pan de toit par-dessus, cela fait une baraque à peine visible d
29 ifie : qu’il vient d’être très malade. Si dans ta chambre , en plein jour, tu t’endors, et que, vers le soir, tu t’éveilles dans
16 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
30 aient à demi encombrés d’armoires. Un couloir, la chambre . L’homme qui me conduit est le propriétaire actuel. « Monsieur connaî
31 fenêtre, à marmotter. Trente-sept ans dans cette chambre , avec le bruit de l’eau et cette complainte de malade épuisé après un
32 Oh ! répond-il, je pourrais aussi bien habiter la chambre . Il ne vient pas tant de visiteurs, et seulement de 2 à 4. Une rue ét
33 nt : la vie normale. Il y a pourtant cette petite chambre … Est-ce que tout cela existe dans le même monde ? (Il est bon de pose
34 e ciel, les dieux le vouent au malheur. » Ô cette chambre , où pénètre la facilité atroce de la fin d’un après-midi, ces musique
17 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
35 spectables, plein de présences et d’absences — la chambre principale où une lampe arrose la pesante nappe aux dessins brodés, d
36 vine à tâtons des armoires monumentales. Dans une chambre froide il s’est couché en grelottant. Mais à travers l’ombre il disti
37 uette de l’Étranger. On a laissé sa photo dans ma chambre , « pour que vous ayez une compagnie ! », dit sa mère, avec un clin d’
38 illeurs à ce journal — pour avoir la paix dans ma chambre  ; aussi, une ancienne fatigue à guérir pour qu’on me laisse errer dan
39 la maison, je veux que la lumière brille dans ma chambre et dans les corridors, pendant toute la nuit, et qu’on n’y regarde pa
18 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
40 , soulagée de la pesante lumière. Mais dans cette chambre élevée du château, l’air demeure étouffant et parfois l’odeur des éta
19 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Appendice. Les Soirées du Brambilla-Club, (1930)
41 Allemagne, c’est la Poésie, et la France c’est la Chambre des Députés », disait un amoureux de la France. Quand vous prenez un
42 méprisé le geste de l’homme qui, le soir dans sa chambre d’hôtel, ferme sa porte à double tour. Ah ! qu’une nuit enfin, à la f
43 nvahi par un dernier feu, il se précipita dans sa chambre où il s’enferma, écrivit dans une grande fièvre tout le Stabat Mater,
20 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
44 êver le cortège d’un sacre ! J’y ai vu défiler la Chambre des Magnats, le jour de l’élection d’un des quatre gardiens de la Cou
45 a maison du poète, sur un coteau de vignes. Trois chambres boisées entourées d’une large galerie d’où l’on voit le Danube gris-j
46 préparées, l’ombre bourdonnante, — trois petites chambres et un pan de toit par-dessus, cela fait une baraque à peine visible d
47 ifie : qu’il vient d’être très malade. Si dans ta chambre , en plein jour, tu t’endors, et que, vers le soir, tu t’éveilles dans
21 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
48 îné des fils, 19 ans, joue de l’accordéon dans sa chambre à côté de la mienne. Tout à l’heure, une étrange mélodie, lente et pe
49 , soulagée de la pesante lumière. Mais dans cette chambre élevée du château, l’air demeure étouffant et parfois l’odeur des éta
22 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
50 aient à demi encombrés d’armoires. Un couloir, la chambre . L’homme qui me conduit est le propriétaire. « Monsieur connaît Hölde
51 fenêtre, à marmotter. Trente-sept ans dans cette chambre , avec le bruit de l’eau et cette complainte de malade épuisé après un
52 Oh ! répond-il, je pourrais aussi bien habiter la chambre . Il ne vient pas tant de visiteurs, et seulement de 2 à 4. Une rue ét
53 nt : la vie normale. Il y a pourtant cette petite chambre … Est-ce que tout cela existe dans le même monde ? (Il est bon de pose
54 e ciel, les dieux le vouent au malheur. » O cette chambre , où pénètre la facilité atroce de la fin d’un après-midi, ces musique
23 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
55 pectables, plein de présences et d’absences, — la chambre principale où une lampe arrose la pesante nappe aux dessins brodés, d
56 vine à tâtons des armoires monumentales. Dans une chambre froide il s’est couché en grelottant. Mais à travers l’ombre il disti
57 uette de l’Étranger. On a laissé sa photo dans ma chambre , « pour que vous ayez une compagnie ! », dit sa mère, avec un clin d’
58 illeurs à ce journal — pour avoir la paix dans ma chambre  ; aussi, une ancienne fatigue à guérir pour qu’on me laisse errer dan
59 la maison, je veux que la lumière brille dans ma chambre et dans les corridors, pendant toute la nuit, et qu’on n’y regarde pa
24 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
60 . Le speaker répéta en français : convocation des Chambres fédérales pour désigner le général en chef, mobilisation immédiate de
61 romène sur cette terrasse qui fait le tour de mes chambres blanches posées sur le onzième étage et festonnées de tuiles provença
62 quatre heures du matin. Trouverons-nous quelques chambres pour le reste de la nuit ? Deux jeunes Américains du convoi m’interro
63 de. — Et New York donc ? Si vous y connaissez des chambres libres, faites-moi signe. (Comme les Américains paraissent bizarres,
64 à ce que l’on pense d’eux en Europe.) Il y a des chambres et même des salles de bains. Mais comment dormirais-je cette nuit ? J
25 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Une main, par C. F. Ramuz (juin 1933)
65 e ; on y voit de tout près, dans l’intimité d’une chambre , comment sa pensée marche, insiste, souffre. Et cela ne se passe plus
26 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Les parlementaires contre le Parlement (octobre 1933)
66 de frais de transport. Après leur examen par les Chambres elles reviennent elles aussi dévitalisées, ayant perdu toute efficaci
27 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le mouvement des groupes — Kagawa (4 août 1934)
67 tent d’y vivre dans un dénuement absolu, ouvre sa chambre aux misérables sans-abris. Ses trois premiers hôtes sont un galeux, u
28 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Plans de réforme (octobre 1934)
68 e des députés et le Sénat ». Ils précisent : « La Chambre sera composée de 400 députés (?) élus au suffrage universel intégral
69 s peine d’amende. » Vous voyez d’ici ! À ces deux Chambres (dont je ne comprends pas très bien, je l’avoue, en quoi elles cesser
29 1934, Politique de la personne. Introduction — L’engagement politique
70 souffrances morales ? Pour peu qu’on sorte de sa chambre , on est presque forcé d’en convenir3. Mais c’est cela qui est révolta
71 ntellectuel d’aujourd’hui se doit de sortir de sa chambre , quelle que soit par ailleurs l’utilité de sa démarche. Bon gré, mal
72 dite. 3. M. Benda dirait qu’il préfère garder la chambre . S’il était moine, on le comprendrait mieux…
30 1934, Politique de la personne. Introduction — Ridicule et impuissance du clerc qui s’engage
73 ur l’intellectuel une possibilité de sortir de sa chambre  ? Car il y dépérit, — et sa sécurité n’est plus, nous l’avons vu en m
31 1934, Politique de la personne. Introduction — Pour une politique à hauteur d’homme
74 oyaient naguère découvrir dans les couloirs de la Chambre . Cette jeunesse ne veut pas de ce genre d’action là. Elle n’a plus le
32 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — L’engagement politique
75 souffrances morales ? Pour peu qu’on sorte de sa chambre , on est presque forcé d’en convenir. Mais c’est cela qui est révoltan
76 ntellectuel d’aujourd’hui se doit de sortir de sa chambre , quelle que soit par ailleurs l’utilité de sa démarche. Bon gré, mal
33 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — Ridicule et impuissance du clerc qui s’engage
77 ur l’intellectuel une possibilité de sortir de sa chambre  ? Car il y dépérit, — et sa sécurité n’est plus, nous l’avons vu en m
34 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — Pour une politique à hauteur d’homme
78 oyaient naguère découvrir dans les couloirs de la Chambre . Cette jeunesse ne veut pas de ce genre d’action là. Elle n’a plus le
35 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). L’édit de Nantes et sa révocation (mars-avril 1935)
79 privilèges théoriques (tels que l’institution des chambres mi-parties, ou la délégation auprès du roi), exaspère les catholiques
36 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). « Le plus beau pays du monde » (octobre 1935)
80 la raconte, et qui ne manque pas de féliciter la Chambre des communes. (Gazette de Francfort, du 31 juillet). On dirait une « 
37 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). La situation politique en France (octobre 1935)
81 r « milité » pendant quarante ans, ce prophète en Chambre découvre qu’en somme il n’a pas de programme. La situation du monde e
38 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Hegel, Comte, Marx, ou la rationalisation
82 qu’ils ont toujours montré pour leur roi »13, la Chambre lui oppose dans une adresse fameuse « les sentiments et la raison de
39 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Hegel, Comte, Marx, ou la rationalisation
83 qu’ils ont toujours montré pour leur roi »14, la Chambre lui oppose dans une adresse fameuse « les sentiments et la raison de
40 1937, Esprit, articles (1932–1962). Vassily Photiadès, Marylène ou à qui le dire ? (février 1937)
84 jardin à quelque scène intime, entrevue dans une chambre , à travers un rideau de pluie. ac. « Vassily Photiadès, Marylène ou
41 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
85 c’est une grande remise. Au second quatre petites chambres . Le tout encombré de fauteuils, de chaises de velours, tables rondes
86 remble au plafond et sur les murs verdâtres de la chambre où j’écris. Et voilà mon petit exercice de rentrée terminé : « Décriv
87 35 ans, un peu masculine. Elle nous conduit à la chambre de conserve des raisins. Pendant qu’elle fait la pesée : « C’est pour
88 né la tâche de la journée. Ma femme dort, dans la chambre dont je vois la porte entrebâillée. Une dernière bûche fume, il fait
89 n’y avait pas pensé ? Je passe au fond, dans une chambre obscure mais qui me paraît propre et sobre. La mère Calixte est au li
90 scuter dans la remise qui est au-dessous de notre chambre , et leurs éclats de voix nous ont plusieurs fois réveillés. 18 mai 19
42 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Ballet de la non-intervention (avril 1937)
91 nnel. C’est qu’il s’agit de « doser », comme à la Chambre . La paix et le centre exigent la non-intervention dans le sens d’abst
43 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
92 ent vous aborder, celui qui vous entraîne dans sa chambre ou au café, celui-là peut vous révéler la vraie raison d’une communio
93 une pensée lointaine qui anime un rêve, dans une chambre nocturne. C’est un homme qui rencontre un autre homme dans sa situati
94 aîtraient très difficiles au jugement du clerc en chambre . Le lecteur réel, l’auditeur réel, est toujours autrement intelligent
95 dans la remise qui est juste au-dessous de notre chambre , et dans la cour, et sur toutes les terrasses. Avec des cris et des r
96 scuter dans la remise qui est au-dessous de notre chambre , et leurs éclats de voix nous ont plusieurs fois réveillés. 7 mai — A
97 , nous nous réveillons. Une âcre fumée remplit la chambre , des lueurs d’incendie passent devant la fenêtre. Je me précipite : c
44 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
98 râce à Colette, je sais maintenant pourquoi notre chambre était pleine de puces. Cela n’a l’air de rien, mais je vois là comme
99 qui travaille ces bouts de champ, grands comme ma chambre , doit passer une partie de la journée à marcher de l’un à l’autre. Di
45 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
100 aversé par un nuage rapide. La maison compte deux chambres au rez-de-chaussée, séparées de la cuisine par un couloir dallé. À l’
101 lier qui prend au fond de la cuisine, deux autres chambres assez vastes et presque vides, auxquelles le toit sert de plafond. Tr
46 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (25 juillet 1937)
102 , sur les murailles rosées. La maison compte deux chambres au rez-de-chaussée, séparées de la cuisine par un couloir dallé. À l’
103 lier qui prend au fond de la cuisine, deux autres chambres assez vastes et presque vides, auxquelles le toit sert de plafond. Tr
104 râce à Colette, je sais maintenant pourquoi notre chambre était pleine de puces. Cela n’a l’air de rien, mais je vois là comme
47 1937, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Pages inédites du Journal d’un intellectuel en chômage (octobre 1937)
105 le plan d’aménagement et de décoration des trois chambres du premier étage, on ne sait jamais… Les vingt-deux pièces du dessus
48 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
106 , sur les murailles rosées. La maison compte deux chambres au rez-de-chaussée, séparées de la cuisine par un couloir dallé. À l’
107 lier qui prend au fond de la cuisine, deux autres chambres assez vastes et presque vides, auxquelles le toit sert de plafond. Tr
108 lques jours. Nous n’avons pour chauffer la grande chambre du rez-de-chaussée qu’un petit Mirus installé devant la cheminée. Le
109 ons l’air froid qui souffle jusqu’au milieu de la chambre . Chaque matin, au saut du lit, je vais scier et fendre une grande bûc
110 plaques de mica du Mirus est crevée, et toute la chambre est imprégnée d’une odeur de laurier et de fumée. Ce matin déjà il a
111 re : appartements et grandes salles de châteaux ; chambre encombrée de livres et de papiers ; cuisines paysannes, confortables
112 râce à Colette, je sais maintenant pourquoi notre chambre était pleine de puces. Cela n’a l’air de rien, mais je vois là comme
113 qui travaille ces bouts de champ grands comme ma chambre doit passer une partie de la journée à marcher de l’un à l’autre. Dis
49 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
114 ’est une grande remise. Au second, quatre petites chambres . Le tout encombré de fauteuils, de chaises de velours, tables rondes
115 remble au plafond et sur les murs verdâtres de la chambre où j’écris. Et voilà mon petit exercice de rentrée terminé : « Décriv
116 35 ans, un peu masculine. Elle nous conduit à la chambre de conserve des raisins. Pendant qu’elle fait la pesée : — C’est pour
117 né la tâche de la journée. Ma femme dort, dans la chambre dont je vois la porte entrebâillée. Une dernière bûche fume, il fait
118 uction de cette maison… Je passe au fond dans une chambre obscure mais qui me paraît propre et sobre. La mère Calixte est au li
119 Installé une salamandre devant la cheminée de ma chambre de travail. Je ne sais si c’est à cause des efforts prodigieux qu’il
120 ent vous aborder, celui qui vous entraîne dans sa chambre ou au café, celui-là peut vous révéler la vraie raison d’une communio
121 une pensée lointaine qui anime un rêve, dans une chambre nocturne. C’est un homme qui rencontre un autre homme dans sa situati
122 aîtraient très difficiles au jugement du clerc en chambre . Le lecteur réel, l’auditeur réel, est toujours autrement intelligent
123 dans la remise qui est juste au-dessous de notre chambre , et dans la cour, et sur toutes les terrasses. Avec des cris et des r
124 scuter dans la remise qui est au-dessous de notre chambre , et leurs éclats de voix nous ont plusieurs fois réveillés. 7 mai
125 , nous nous réveillons. Une âcre fumée remplit la chambre , des lueurs d’incendie passent devant la fenêtre. Je me précipite : c
50 1938, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Victoire à Waterloo, par Robert Aron (février 1938)
126 Lui aussi fut trois fois plébiscité !) Devant les Chambres , il s’écriera : « Prenez conscience, Messieurs, que depuis vingt anné
51 1938, Articles divers (1936-1938). Søren Kierkegaard (février 1938)
127 lluminées de ses vastes appartements. Dans chaque chambre il faisait disposer une écritoire et du papier, de façon à pouvoir no
52 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Du danger de s’unir (15 avril 1938)
128 Blum reste au pouvoir ! » Le Parti radical, à la Chambre , soutient un ministère qu’il renverse au Sénat. Et que font ces trois
53 1938, Articles divers (1936-1938). Nouvelles pages du Journal d’un intellectuel en chômage (avril 1938)
129 le plan d’aménagement et de décoration des trois chambres du premier étage, on ne sait jamais… Les vingt-deux pièces du dessus
54 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Vues sur le national-socialisme (1er juin 1938)
130 une grande maison, logeant deux par deux dans des chambres confortables. J’avais pour compagnon un ouvrier de mon usine. On appr
131 . On apprend à se connaître en partageant la même chambre . Nous suivions des cours de politique et d’économie. Nous chantions e
55 1938, Articles divers (1938-1940). Le seul espoir (juin 1938)
132 rases lapidaires dans sa dernière déclaration aux chambres fédérales. Il se peut que l’aspect pratique de cette mission ait perd
56 1938, Articles divers (1938-1940). Souvenir d’Esztergom (juin 1938)
133 a maison du poète, sur un coteau de vignes. Trois chambres boisées entourées d’une large galerie d’où l’on voit le Danube gris-j
134 préparées, l’ombre bourdonnante, — trois petites chambres et un pan de toit par-dessus, cela fait une arche à peine visible dan
57 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
135 une grande maison, logeant deux par deux dans des chambres confortables. J’avais pour compagnon un ouvrier de mon usine. On appr
136 . On apprend à se connaître en partageant la même chambre . Nous suivions des cours de politique et d’économie. Nous chantions e
137 , et tout est calculé dans cette affaire. Dans la chambre de son fils : il prend le petit et l’élève devant lui en disant : — «
138 quide que celui que leur rapporte la location des chambres . Ils se nourrissent fort mal, n’achètent ni vin, ni fruits, et rareme
58 1939, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Puisque je suis un militaire… (septembre 1939)
139 d’un coup avec une précision quasi absurde. Cette chambre paysanne ou j’écris maintenant, sur un bon papier quadrillé, tandis q
140 mal mûres, dans des cuisines de ferme, dans cette chambre boisée… Confort paysan, seul authentique en nos pays. Aux parois, des
59 1939, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Billet d’aller et retour (décembre 1939)
141 écembre 1939)e Je l’ai pourtant quittée, cette chambre paysanne, mais j’y suis pour peu que j’y pense, et c’est souvent. Fai
142 ilisation qui déserte… Je me suis enfermé dans ma chambre d’hôtel et j’ai écrit pendant deux jours ces conférences que j’allais
60 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
143 ans cette aventure, elle pourrait être « en beles chambres … portendües de dras de soie ». Iseut de son côté, à la même heure con
61 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
144 ans cette aventure, elle pourrait être « en beles chambres … portendües de dras de soie ». Iseut de son côté, à la même heure con
62 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
145 rs mois, comme un domestique, dormir dans la même chambre qu’elle, puis à ses pieds. Pendant les quatre mois suivants et tout e
63 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
146 ans cette aventure, elle pourrait être « en beles chambres … portendues de dras de soie ». Iseut de son côté, à la même heure, co
64 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
147 rs mois, comme un domestique, dormir dans la même chambre qu’elle, puis à ses pieds. Pendant les quatre mois suivants et tout e
65 1940, Qu’est-ce que la Ligue du Gothard ? (1940). VI. Que faire tout de suite ?
148 par les syndicats ouvriers et patronaux réunis en chambres professionnelles ; transformation des caisses de compensation en cais
66 1940, Qu’est-ce que la Ligue du Gothard ? (1940). VII. Réformes politiques
149 à la catastrophe. L’adjonction au Parlement d’une Chambre économique est l’une des premières réformes à envisager dans ce domai
67 1940, Mission ou démission de la Suisse. La bataille de la culture
150 Suisse, dans une ferme montagnarde, au fond d’une chambre assez sombre et glaciale. Sur les parois boisées, je distinguais vagu
68 1941, Articles divers (1941-1946). Trois paraboles (1er octobre 1941)
151 41)b I. À la porte du jardin Il y a mille chambres au Palais, mille lits pour y rêver, mille pour y souffrir, il n’y a q
152 r qui les presse, et l’amour appelant l’amour aux chambres vides, dans la sonorité glaciale des appartements du Pouvoir. Lui, la
69 1942, Articles divers (1941-1946). La leçon de l’armée suisse (4 mars 1942)
153 la même école. Là le paysan a comme compagnon de chambre l’étudiant, l’ouvrier le fils de son patron. Pendant les trois mois q
70 1942, La Part du diable (1944). L’Incognito et la Révélation
154 s messes noires. On lui oppose des tribunaux, une Chambre ardente, qui lui envoient dans la panique et le délire des milliers d
71 1942, La Part du diable (1944). Le diable démocrate
155 r un seul exemple, à peine étions-nous dans notre chambre , il entre en fureur parce que je lui demande d’éteindre une lampe qui
72 1942, La Part du diable (1982). L’Incognito et la révélation
156 s messes noires. On lui oppose des tribunaux, une Chambre ardente, qui lui envoient dans la panique et le délire des milliers d
73 1942, La Part du diable (1982). Le diable démocrate
157 r un seul exemple, à peine étions-nous dans notre chambre , il entre en fureur parce que je lui demande d’éteindre une lampe qui
74 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Kierkegaard
158 ièces illuminées de ses appartements. Dans chaque chambre , il faisait disposer une écritoire et du papier de manière à pouvoir
159 .« Le point d’Archimède, hors du monde, c’est une chambre haute où l’homme prie en toute droiture. »24 Un solitaire devant
75 1946, Articles divers (1941-1946). Dialogues sur la bombe atomique : La paix ou la bombe (20 avril 1946)
160 t mondial, pour faire la police des nations. Deux chambres universelles seraient élues, l’une formée de délégués des États, l’au
161 urant. Il faudrait l’ajuster.) Le cabinet que ces chambres éliraient compterait les ministères suivants : Bombe et Répression de
76 1946, Journal de Genève, articles (1926–1982). Journal d’un retour (11-12 mai 1946)
162 , à quatre heures du matin. Nous donnera-t-on des chambres pour le reste de la nuit ? Deux jeunes Américains du convoi m’interro
163 de. — Et New York donc ? Si vous y connaissez des chambres libres, faites-moi signe. (Comme les Américains paraissent bizarres,
164 à ce que l’on pense d’eux en Europe !) Il y a des chambres , et même des salles de bain. Mais comment dormirais-je cette nuit ? J
77 1946, Articles divers (1941-1946). « Selon Denis de Rougemont, le centre de gravité du monde s’est déplacé d’Europe en Amérique » (16 mai 1946)
165 que ce monde lointain s’ouvre. Le président de la Chambre de commerce américaine est allé en Russie tenir des discours capitali
78 1946, Articles divers (1941-1946). Histoire de singes ou deux secrets de l’Europe (16 mai 1946)
166 inges. On prend dix singes, on les range dans une chambre , le long d’une des parois. À l’autre extrémité de la pièce se dresse
167 né par une sirène, les singes sont lâchés dans la chambre . Ils découvrent bientôt les tiroirs, ils les ouvrent et dévorent les
168 d’interruption, on ramène les sujets dans la même chambre . La sirène hurle, les singes se précipitent, arrachent les tiroirs —
79 1946, Journal de Genève, articles (1926–1982). Journal d’un retour (fin) (18-19 mai 1946)
169 vers la grande Amérique où l’on ne trouve pas une chambre à louer pour plus d’une nuit. Paradoxe de la crise des logements ! Ma
80 1946, Carrefour, articles (1945–1947). Une bureaucratie sans ronds-de-cuir (23 mai 1946)
170 s, et se battent entre eux. Depuis douze ans, les chambres ont nommé neuf comités successifs pour étudier cette situation. Il es
81 1946, Combat, articles (1946–1950). Les cochons en uniforme ou le nouveau Déluge (23 mai 1946)
171 leur poste de combat, sur les tourelles, dans les chambres de machines et sur les ponts. Et ceci encore nous ramène, irrésistibl
82 1946, Réforme, articles (1946–1980). Deux lettres sur la fin du monde (29 juin 1946)
172 t mondial, pour faire la police des nations. Deux chambres universelles seraient élues, l’une formée de délégués des États, l’au
173 urant. Il faudrait l’ajuster.) Le cabinet que ces chambres éliraient compterait les ministères suivants : Bombe et Répression de
83 1946, Le Semeur, articles (1933–1949). Chances d’action du christianisme (juin-juillet 1946)
174 is d’Assise ; par des gens de peu réunis dans une chambre  ; par des mystiques qui n’auront l’air de rien ; par des hommes dont
84 1946, Articles divers (1941-1946). En 1940, j’ai vu chanceler une civilisation : ce que l’on entendait sur le paquebot entre Lisbonne et New York (21 septembre 1946)
175 dans le ronron nasillard qui sortait de la petite chambre  : « 165 avions allemands ont été abattus sur Londres. » Et c’est peut
85 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Beekman Place (octobre 1946)
176 romène sur cette terrasse qui fait le tour de mes chambres blanches, posées sur le onzième étage et festonnées de tuiles provenç
86 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
177 romène sur cette terrasse qui fait le tour de mes chambres blanches, posées sur le onzième étage et festonnées de tuiles provenç
178 rue. De l’autre côté de la cuisine, deux petites chambres sans fenêtres ni portes. Au fond, une autre pièce plus claire, sur la
87 1946, Journal des deux mondes. Intermède
179 . Le speaker répéta en français : convocation des Chambres fédérales pour désigner le général en chef, mobilisation immédiate de
88 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
180 d’un coup avec une précision quasi absurde. Cette chambre paysanne où j’écris maintenant, sur un bon papier quadrillé, tandis q
181 mal mûres, dans des cuisines de ferme, dans cette chambre boisée… Confort paysan, seul authentique. Aux parois, des versets bib
182 mess des officiers de la compagnie, qui est la «  chambre rangée » d’une ferme cossue, je viens de tourner le bouton de la radi
183 en Hollande.) Je l’ai pourtant quittée, cette chambre paysanne, mais j’y suis pour peu que j’y pense, et c’est souvent. Fai
184 ilisation qui déserte… Je me suis enfermé dans ma chambre d’hôtel et j’ai écrit pendant deux jours ces conférences que j’allais
89 1946, Journal des deux mondes. La route de Lisbonne
185 milliers de réfugiés, et l’on ne trouve plus une chambre libre à cinquante kilomètres autour de la ville. Comme il n’y a pas d
186 ace au dessert. À Lisbonne, nous avons trouvé une chambre immense pour nous quatre. Et le lendemain nous étions accueillis dans
187 et gaie à l’intérieur de ses courettes et de ses chambres blanchies à la chaux, où l’on voudrait passer sa vie, où le peintre E
188 ’est-elle pas à vendre ? n’aurait-on pas quelques chambres à louer ? Sans eux, l’on oublierait la guerre, sur ces terrasses ince
189 dans le ronron nasillard qui sortait de la petite chambre  : « Cent-soixante-cinq avions allemands ont été abattus sur Londres. 
190 aussi comme un premier réveil désorienté dans une chambre nouvelle. Je monte sur le pont et ne le reconnais pas, encombré de ba
90 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
191 chapeaux et ses cannes accrochés dans le hall, la chambre de Thoreau avec son lit qu’il avait fabriqué lui-même. Au crépuscule,
192 t se passer dans une auto ne compte pas. C’est la chambre d’hôtel qui serait compromettante. Et pas une de ces filles n’est mar
91 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
193 aison très longue et très basse — une enfilade de chambres accolées comme les pièces d’un jeu de domino — dort au flanc d’une lé
92 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
194 si le thème de la solitude m’est donné, par cette chambre d’hôtel, dirons-nous (comme une tranchée peut signifier la guerre, si
195 2, 11 West 52th Street Emménagé dans une belle chambre blanche, vaste et carrée. Je me sens rendu au monde et à la vie coura
196 heures à New York), mais il vient encore dans ma chambre fumer des cigarettes et discuter le coup avec une rigueur inflexible.
93 1946, Journal des deux mondes. L’Amérique en guerre
197 tique. On prend dix singes. On les range dans une chambre le long d’une des parois. À l’autre extrémité de la pièce se dresse u
198 né par une sirène, les singes sont lâchés dans la chambre . Ils découvrent bientôt les tiroirs, les ouvrent et dévorent les bana
199 n ramène les sujets « conditionnés » dans la même chambre . La sirène hurle, les singes se précipitent, arrachent les tiroirs, —
200 romène sur cette terrasse qui fait le tour de mes chambres blanches posées sur le onzième étage et festonnées de tuiles provença
94 1946, Journal des deux mondes. Virginie
201 ué de saules pleureurs et de chênes dorés. Quatre chambres fleuries d’abondants chrysanthèmes. Les boiseries, les rideaux et les
95 1946, Journal des deux mondes. Le choc de la paix
202 rue. De l’autre côté de la cuisine, deux petites chambres sans fenêtres ni portes, suivies d’une autre pièce plus large sur la
203 e rentre, je branche mon radiateur électrique (la chambre est glacée), je m’installe à ma table sans retirer mon manteau, et je
96 1946, Journal des deux mondes. Journal d’un retour
204 quatre heures du matin. Trouverons-nous quelques chambres pour le reste de la nuit ? Deux jeunes Américains du convoi m’interro
205 de. — Et New York donc ? Si vous y connaissez des chambres libres, faites-moi signe. (Comme les Américains paraissent bizarres,
206 à ce que l’on pense d’eux en Europe !) Il y a des chambres , et même des salles de bain. Mais comment dormirais-je cette nuit ? J
207 vers la grande Amérique où l’on ne trouve pas une chambre à louer pour plus d’une nuit. Paradoxe de la crise des logements ! Ma
97 1946, Lettres sur la bombe atomique. La paix ou la mort
208 t mondial, pour faire la police des nations. Deux chambres universelles seraient élues, l’une formée de délégués des États, l’au
209 urant. Il faudrait l’ajuster.) Le cabinet que ces chambres éliraient compterait les ministères suivants : Bombe et Répression de
98 1946, Lettres sur la bombe atomique. Appendice. Les cochons en uniforme, ou le nouveau déluge
210 leur poste de combat, sur les tourelles, dans les chambres de machines et sur les ponts. Et ceci encore nous ramène, irrésistibl
99 1946, Lettres sur la bombe atomique. La paix ou la mort
211 t mondial, pour faire la police des nations. Deux chambres universelles seraient élues, l’une formée de délégués des États, l’au
212 urant. Il faudrait l’ajuster.) Le cabinet que ces chambres éliraient compterait les ministères suivants : Bombe et Répression de
100 1946, Lettres sur la bombe atomique. Les cochons en uniforme ou. Le nouveau déluge
213 leur poste de combat, sur les tourelles, dans les chambres de machines et sur les ponts. Et ceci encore nous ramène, irrésistibl