1
désordre de son pays, suivra obstinément le « bon
chemin
» de la santé et de la raison. C’est à lui que va la sympathie de l’a
2
endue qui nous accompagne depuis un moment sur le
chemin
de l’autre rive. Il y a un homme debout à l’avant d’un char tiré par
3
es deux termes d’un dilemme, l’une n’étant que le
chemin
qui mène à l’autre ? Car la foi naît de l’inquiétude autant que de la
4
t pour comprendre cet art emprunter de singuliers
chemins
d’accès. Ce qui d’abord vous prend et vous retient dans un tableau de
5
voir, peut-être. Il suivait son petit bonhomme de
chemin
sans se douter qu’il avait pris quelques années d’avance sur ses cont
6
’écria-t-il, tu pourrais me remercier. Vois quels
chemins
de perdition j’ouvre sans cesse à ta course aveugle ; tu n’aurais pas
7
orable événement de ces années de jeunesse, son «
chemin
de Damas » (comme il dit sans qu’on sache au juste quelle dose d’« hu
8
s’en inspirent toujours plus. Ford leur montre le
chemin
qu’ils seront bien obligés de prendre tôt ou tard. Il est préférable
9
avec lesquels il n’hésite pas à faire un bout de
chemin
, Hans le gardeur d’oies, le gueux Joseph qui parle à son chien en mou
10
y un fils de vaincus, les tours de carrousel, les
chemins
dans la forêt en automne, des jeux, des feuillages, des rêveries, des
11
y un fils de vaincus, les tours de carrousel, les
chemins
dans la forêt en automne, des jeux, des feuillages, des rêveries, des
12
de la luxure ? Quand je vais à pied, j’oublie en
chemin
les meilleures phrases que j’avais préparées pour subjuguer mes amies
13
e, qui vient trébucher dans les méandres de notre
chemin
: « Il faut se perdre pour se retrouver », nous enseigne une doctrine
14
du programme, il a bien fallu que je recherche le
chemin
du Rozsadomb. « Vous n’y verrez, m’avait-on dit, qu’une paire de babo
15
de où si peu vaut qu’on le conserve, au long d’un
chemin
effacé par le vent sur la plaine… Ils l’ont perdu comme un rêve au ma
16
1829. 9. Si je pouvais écarter la magie de mon
chemin
Oublier tout à fait les formules d’enchaînement Si j’étais devant toi
17
n’existait pas ailleurs que dans mes bras, et nul
chemin
, nulle distance mesurable, ne conduisaient de Tendre-sur-noblesse à S
18
et officiel, il a bien fallu que je recherche le
chemin
du Rozsadomb. « Vous n’y verrez, m’avait-on dit, qu’une paire de babo
19
de où si peu vaut qu’on le conserve, au long d’un
chemin
effacé par le vent sur la plaine… Ils l’ont perdu comme un rêve au ma
20
our l’un des onze villages du burgraviat. Par des
chemins
à peine tracés au ras de la plaine sablonneuse — et parfois hors des
21
de la luxure ? Quand je vais à pied, j’oublie en
chemin
les meilleures phrases que j’avais préparées pour subjuguer mes amies
22
e, qui vient trébucher dans les méandres de notre
chemin
: « Il faut se perdre pour se retrouver », nous enseigne une doctrine
23
out est changé, mais peu le savent. Peu savent le
chemin
qui va du signe à l’être. Longues pluies de printemps sur la campagne
24
n’existait pas ailleurs que dans mes bras, et nul
chemin
, nulle distance mesurable, ne conduisaient de Tendre-sur-Noblesse à S
25
et officiel, il a bien fallu que je recherche le
chemin
du Rozsadomb. « Vous n’y verrez, m’avait-on dit, qu’une paire de babo
26
de où si peu vaut qu’on le conserve, au long d’un
chemin
effacé par le vent sur la plaine… Ils l’ont perdu comme un rêve au ma
27
our l’un des onze villages du burgraviat. Par des
chemins
à peine tracés au ras de la plaine sablonneuse — et parfois hors des
28
se trompe en croyant qu’un voyageur à longueur de
chemin
perd sa patrie : c’est souvent elle qu’il découvre le mieux quand il
29
e trompe en croyant qu’un voyageur, à longueur de
chemin
, perd ses ancêtres : c’est eux parfois qu’il s’en va visiter, quand i
30
cherchais à mieux situer les miens, m’ont proposé
chemin
faisant quelques énigmes, et permis d’entrevoir quelques réponses. Vo
31
dail au col roulé, pédale à longues pesées sur le
chemin
de la plaine, luttant contre un vent impétueux. L’orage est imminent.
32
: c’est encore un petit lièvre ! et poursuis mon
chemin
plus léger. Si je l’avais attrapé, m’en souviendrais-je encore ? Je
33
il est doublement édifiant. Ceux qui ont aimé le
Chemin
de la Vie retrouveront ici l’atmosphère salubre, la naïveté puissante
34
Pour nous aimer, nous devons faire chacun tout le
chemin
qui nous sépare l’un de l’autre. Et c’est au seul moment où je t’atte
35
ailleurs, une analyse détaillée des Stades sur le
chemin
de la vie, dont In Vino Veritas constitue l’introduction, dans l’étud
36
alors, l’acquittement est possible. « Je suis le
chemin
» — mais alors l’acte aussi est possible. Ainsi, la foi au Christ est
37
homme s’engage, « en vertu de l’absurde », sur le
chemin
que Dieu lui montre, seul. Cette primauté de la foi sur les vérités q
38
s mettons en lui notre espoir de trouver un autre
chemin
: un chemin qui ne mène à Rome, ni à Berlin, ni à Moscou, mais à nous
39
lui notre espoir de trouver un autre chemin : un
chemin
qui ne mène à Rome, ni à Berlin, ni à Moscou, mais à nous-mêmes devan
40
son maître… 54. Jean XI, 4. 55. Stades sur le
chemin
de la vie. 56. L’instant. 57. Journal. 58. Traité du désespoir,
41
ophique (nov.-déc. 1931). 60. Journal. 61. Le
chemin
du paradis, p. 269. C’est moi qui souligne. 62. Pourquoi poser la qu
42
pure hypocrisie en dehors de Dieu. Le plus court
chemin
vers autrui passe par Dieu. Et il n’y en a pas d’autre. Il n’y a pas
43
Carl Koch s’est inspiré surtout des Stades sur le
chemin
de la vie, c’est-à-dire d’un ouvrage qui est à la fois le plus parado
44
pure hypocrisie en dehors de Dieu. Le plus court
chemin
vers autrui passe par Dieu. Et il n’y en a pas d’autre. Il n’y a pas
45
aussitôt le bélier ; on oublie qu’Abraham fit le
chemin
lentement, au pas de son âne, qu’il eut trois jours de voyage et qu’i
46
is non pas Abraham partant ; les disciples sur le
chemin
, mais non pas cet instant où Christ se révèle. C’est sous ce signe cr
47
, ce sont bien moins des normes de pensée que des
chemins
vers l’Évangile. L’Évangile seul, éclairé par l’Esprit, reste la norm
48
à l’acte, c’est qu’ils ne connaissent plus aucun
chemin
. Comment marcher, s’il n’existe pas de chemin ? disent-ils dans leur
49
cun chemin. Comment marcher, s’il n’existe pas de
chemin
? disent-ils dans leur suffisance — car on appelle ainsi leur anxiété
50
dence du désespoir : l’homme moderne a perdu « le
chemin
». Je suis le chemin, la vérité et la vie, dit le Christ. 1. La vé
51
’homme moderne a perdu « le chemin ». Je suis le
chemin
, la vérité et la vie, dit le Christ. 1. La vérité est le chemin
52
é et la vie, dit le Christ. 1. La vérité est le
chemin
Christ est la Vérité dans ce sens qu’être la vérité est la seule
53
rne.3 Voici donc le mystère : s’il n’y a pas de
chemin
, nous ne pouvons marcher, mais si nous ne marchons pas, il n’y a pas
54
er, mais si nous ne marchons pas, il n’y a pas de
chemin
. La foi au Christ nous permet seule de franchir ce cercle enchanté où
55
de toute victoire sur la Nécessité. « Je suis le
chemin
». Mais un chemin n’est un chemin que si on y marche4. Sinon il n’est
56
sur la Nécessité. « Je suis le chemin ». Mais un
chemin
n’est un chemin que si on y marche4. Sinon il n’est qu’un point de vu
57
é. « Je suis le chemin ». Mais un chemin n’est un
chemin
que si on y marche4. Sinon il n’est qu’un point de vue ; ou bien enco
58
as que nous faisons dans notre nuit, voici que le
chemin
s’éclaire et que les perspectives se dégagent. Et nous allons connaît
59
que dans l’acte, et cet acte devient alors notre
chemin
et notre loi. Ainsi nous ne pouvons connaître que ce que nous prophét
60
et son chemin5, lumière qui n’est pas sa lumière,
chemin
toujours imprévisible, certitude que devinent les pas, chemin qui se
61
urs imprévisible, certitude que devinent les pas,
chemin
qui se dérobe au doute et à l’orgueil, mais que parfois la prophétie
62
les conduira au martyre. La Parole dite est leur
chemin
, leur vérité et leur vie dans ce monde ; ils meurent de l’avoir dite,
63
de l’avoir dite, et n’ont pas d’autre tâche7. Le
chemin
est imprévisible ; le nôtre, disons-nous, n’est pas celui de ces prop
64
ire comment obéir à la Parole qui prophétise ? Le
chemin
est imprévisible. Ce que nous connaissons, c’est pourtant son point d
65
nnaissons, c’est pourtant son point de départ. Le
chemin
commence à tout homme qui se met en devoir d’obéir à l’ordre qu’il re
66
t et dans la joie d’une découverte quotidienne du
chemin
, — ton chemin, sur lequel tu es seul, parce qu’il est la parole de ta
67
oie d’une découverte quotidienne du chemin, — ton
chemin
, sur lequel tu es seul, parce qu’il est la parole de ta vie, sa mesur
68
ret du risque. 3. Nous n’avons pas à suivre le
chemin
, mais bien à l’inventer à chaque pas Tant que nous considérons le
69
atteur et rassurant. Et pourquoi ? Parce que « le
chemin
» est invisible tant qu’on n’y est pas engagé. Parce que c’est un bla
70
croire et de faire un pas dans la nuit, sur ce «
chemin
» qui est le Christ présent. Il y a abîmes entre ces deux exigences :
71
maintenant, aller maintenant, par la foi, sur ce
chemin
qui commence à ses pas, — c’est là le destin du chrétien, c’est son «
72
t »9 Nous ne connaissons rien du Christ, du «
chemin
», en dehors de l’acte de foi qui, supprimant toute distance historiq
73
té a marché sur la terre : ainsi le Christ est le
chemin
. Mais nous avons refusé l’éternel et nous lui préférons nos vies : c’
74
t. Que s’est-il donc passé ? Me voici seul sur le
chemin
; mais je vois des visages fraternels où s’agitait la foule confuse e
75
à la vraisemblance »19. Parce qu’il faut créer le
chemin
, non pas le suivre ; parce que l’acte est initiateur ; parce que la d
76
side dans la seule vocation qu’il incarne. Sur le
chemin
qui commence à ses pas, il ne meurt jamais par surprise : et ce n’est
77
puis In vino veritas, fragment des Stades sur le
chemin
de la vie, et cela, sans déclarer avec toute l’instance que requérait
78
retorses. Si ces ouvrages font néanmoins quelque
chemin
, ce ne peut être qu’à contre-courant du snobisme qui naît autour de l
79
dans le concret intime d’une vie, c’est aussi le
chemin
de l’universel. S’il veut rester vivant, c’est dans un amitié nouvell
80
entiment drapé, non pas un idéal qui passe sur le
chemin
de Jéricho, devant l’homme dépouillé par les brigands. Décadence o
81
x. « Préparer les voies du Seigneur », aplanir le
chemin
du Messie, voilà la fin transcendante de ce peuple, celle que lui prê
82
confondent indistinctement. Autrement dit : notre
chemin
est éclairé par la seule vérité du but. Mais à l’inverse, le but ne n
83
ible que lorsque nous marchons et avançons sur le
chemin
. C’est donc ce chemin qu’il va falloir décrire. Ce n’est pas une rout
84
marchons et avançons sur le chemin. C’est donc ce
chemin
qu’il va falloir décrire. Ce n’est pas une route nationale, où l’on p
85
nous entraider, nous devons faire chacun tout le
chemin
qui nous sépare les uns des autres. Et c’est au seul moment où je t’a
86
entiment drapé, non pas un idéal qui passe sur le
chemin
de Jéricho, devant l’homme dépouillé par les brigands. Décadence o
87
x. « Préparer les voies du Seigneur », aplanir le
chemin
du Messie, voilà la fin transcendante de ce peuple, celle que lui prê
88
confondent indistinctement. Autrement dit : notre
chemin
est éclairé par la seule vérité du but. Mais à l’inverse, le but ne n
89
ible que lorsque nous marchons et avançons sur le
chemin
. C’est donc ce chemin qu’il va falloir décrire. Ce n’est pas une rout
90
marchons et avançons sur le chemin. C’est donc ce
chemin
qu’il va falloir décrire. Ce n’est pas une route nationale où l’on pu
91
nous entraider, nous devons faire chacun tout le
chemin
qui nous sépare les uns des autres. Et c’est au seul moment où je t’a
92
tuel, donc humain. Je sais gré à Mounier d’avoir,
chemin
faisant, démontré que la propriété n’est pas un instinct permanent, m
93
ent. Et cette richesse à son tour va reprendre le
chemin
de l’Orient, d’où vint autrefois le mûrier. Question : Que reste-t-il
94
moignant, en annonçant aux hommes la vérité et le
chemin
. Point n’est besoin d’actions extraordinaires, surhumaines : se rire
95
quitte à tout propos la route nationale pour des
chemins
secondaires ou des ruelles à peine plus larges que la voiture. Mais a
96
d’énormes plaines, sans barrières ni haies, sans
chemins
creux et sans secrets, où les hommes vivent sans calcul ni prudence,
97
pas de lui, elle tourne à droite. Il poursuit son
chemin
dans une exaltation croissante, priant et reprenant courage. Soudain
98
quitte à tout propos la route nationale pour des
chemins
secondaires ou des ruelles à peine plus larges que la voiture. Mais a
99
s, et qui « expliqueraient » physiologiquement le
chemin
de Damas et beaucoup de « conversions religieuses de notre époque ».
100
quitte à tout propos la route nationale pour des
chemins
secondaires ou des ruelles à peine plus larges que la voiture. Mais a
101
d’énormes plaines, sans barrières ni haies, sans
chemins
creux et sans secrets, où les hommes vivent sans calcul ni prudence,
102
Ce chiffre est fort utile à l’administration des
Chemins
de fer. Toutefois, il est non moins certain que chacun de ces voyageu
103
ent. Et cette richesse à son tour va reprendre le
chemin
de l’Orient, d’où vint autrefois le mûrier. Question : que reste-t-il
104
moignant, en annonçant aux hommes la vérité et le
chemin
. Point n’est besoin d’actions extraordinaires, surhumaines : se rire
105
attentifs et à juger, c’est exactement prendre le
chemin
du vrai martyre. Un vrai martyr n’a jamais eu recours à la violence,
106
age qu’au-delà des deux premières critiques et en
chemin
vers la troisième, c’est-à-dire en maintenant sans cesse présente l’e
107
z-vous de l’Allemagne ? me demandaient-ils sur le
chemin
du retour, tandis que le jour baissait dans la forêt. — Quelle impres
108
ais le Fils de Dieu est venu pour nous montrer le
chemin
du retour à la Lumière. Ce Christ ne s’est pas incarné : il n’a pris
109
ce fou désir M’occira, que je reste ou aille par
chemins
Puisque celle qui me peut guérir ne me plaint. … et ce désir Prévaut
110
forêt parvient à un carrefour. Il hésite entre le
chemin
de gauche et celui de droite. Il s’engage dans celui de gauche, malgr
111
ler à Dieu sans passer par le Christ qui est « le
chemin
», celui-là va au diable, disait énergiquement Luther.) Ils pressente
112
ut n’est plus la Lumière, et quand on ignore le «
chemin
», c’est se précipiter dans la Nuit. Le dépassement, dès lors, n’est
113
du principe de « notre foi » : Elle passe par le
chemin
, si pleine de grâce et de noblesse qu’elle abaisse l’orgueil de celui
114
e donc la geôle où je suis enfermé Qui me clôt le
chemin
vers une telle vie ! (Chanson 72.) La « nuit infernale » devient le
115
en marge du siècle, nous allons parcourir le même
chemin
en sens inverse : par Werther, cette réplique d’Héloïse mais qui fini
116
n du Moyen Âge en nous faisant pénétrer par mille
chemins
dans la vie quotidienne des bourgeois et des nobles de l’époque. Les
117
age qu’au-delà des deux premières critiques et en
chemin
vers la troisième, c’est-à-dire en maintenant sans cesse présente l’e
118
es habitations humaines. Il hante les déserts. Le
chemin
qui conduit à sa retraite Est dur et pénible. (Traduction Bossert.)
119
ime. Oh ! que je ne sois plus un obstacle sur ton
chemin
… Prends ceci pour la route, cher époux. (Elle lui tend un baluchon.
120
ion toute spéciale ! (Le cortège s’engage sur le
chemin
descendant à droite. Un page joue d’un instrument joyeux. En même tem
121
par la misère et par les guerres continuelles, en
chemin
ramassant hommes et femmes, tous pauvres gens des cantons suisses et
122
s’agenouiller devant son abri. Paraissent sur le
chemin
de gauche deux personnages richement vêtus.) Ulrich. — J’aperçois
123
s députés. Ensuite tu me laisseras sur le bord du
chemin
. Et tu courras leur crier : Paix ! Paix !… Viens près de moi. Écris c
124
Christ est venu parmi nous, pour nous montrer le
chemin
du retour à la Lumière. Ce Christ, en cela semblable à celui des gnos
125
ce fou désir M’occira, que je reste ou aille par
chemins
Puisque celle qui peut me guérir ne me plaint … et ce désir
126
, elle est mère, sœur, épouse, fille… elle est le
chemin
du salut79 ». Ainsi le tantrisme apporte cette nouveauté qui consiste
127
forêt parvient à un carrefour. Il hésite entre le
chemin
de gauche et celui de droite. Il s’engage dans celui de gauche, malgr
128
ler à Dieu sans passer par le Christ qui est « le
chemin
», celui-là va au diable, disait énergiquement Luther.) Ils pressente
129
ut n’est plus la Lumière, et quand on ignore le «
chemin
», c’est se précipiter dans la Nuit. Le dépassement, dès lors, n’est
130
du principe de « notre foi » : Elle passe par le
chemin
, si pleine de grâce et de noblesse qu’elle abaisse l’orgueil de celui
131
e donc la geôle où je suis enfermé Qui me clôt le
chemin
vers une telle vie ! » (Chanson 72.) La « nuit infernale » devient l
132
en marge du siècle, nous allons parcourir le même
chemin
en sens inverse : par Werther, cette réplique d’Héloïse mais qui fini
133
n du Moyen Âge en nous faisant pénétrer par mille
chemins
dans la vie quotidienne des bourgeois et des nobles de l’époque. Les
134
age qu’au-delà des deux premières critiques et en
chemin
vers la troisième, c’est-à-dire en maintenant sans cesse présente l’e
135
Christ est venu parmi nous, pour nous montrer le
chemin
du retour à la Lumière. Ce Christ, en cela semblable à celui des gnos
136
ce fou désir M’occira, que je reste ou aille par
chemins
Puisque celle qui peut me guérir ne me plaint … et ce désir Prévaut —
137
, elle est mère, sœur, épouse, fille… elle est le
chemin
du salut »70. Ainsi le tantrisme apporte cette nouveauté qui consiste
138
forêt parvient à un carrefour. Il hésite entre le
chemin
de gauche et celui de droite Il s’engage dans celui de gauche, malgré
139
ler à Dieu sans passer par le Christ qui est « le
chemin
», celui-là va au diable, disait énergiquement Luther.) Ils pressente
140
ut n’est plus la Lumière, et quand on ignore le «
chemin
», c’est se précipiter dans la Nuit. Le dépassement, dès lors, n’est
141
du principe de « notre foi » : Elle passe par le
chemin
, si pleine de grâce et de noblesse qu’elle abaisse l’orgueil de celui
142
e donc la geôle où je suis enfermé Qui me clôt le
chemin
vers une telle vie ! (Chanson 72.) La « nuit infernale » devient le
143
en marge du siècle, nous allons parcourir le même
chemin
en sens inverse : par Werther, cette réplique d’Héloïse mais qui fini
144
n du Moyen Âge en nous faisant pénétrer par mille
chemins
dans la vie quotidienne des bourgeois et des nobles de l’époque. Les
145
age qu’au-delà des deux premières critiques et en
chemin
vers la troisième, c’est-à-dire en maintenant sans cesse présente l’e
146
es habitations humaines. Il hante les déserts. Le
chemin
qui conduit à sa retraite Est dur et pénible. (Traduction Bossert.)
147
et à laquelle je tiens. Elle suit d’ailleurs son
chemin
malgré les torrents d’injures dont elle a été abreuvée et vous pouvez
148
Ce sera plus sûr pour toi qu’une lumière et qu’un
chemin
que tu connaisses. »1 D. R. Berne, 1er mars 1940. 1. Vers d’un po
149
our nous concept, forme arrêtée, devient chez eux
chemin
, mouvement indéfini. C’est pourquoi je prendrai les routes d’Amérique
150
ses outils sont là, contre le mur. Il reprend le
chemin
de son champ. En passant au carrefour, il s’est dit : Peut-être est-e
151
entrevue d’aller à la divinité par un plus court
chemin
que celui du réel ; par un chemin que l’on inventerait soi-même, en d
152
r un plus court chemin que celui du réel ; par un
chemin
que l’on inventerait soi-même, en dépit des interdictions que posent
153
trois moyens de gagner le monde par un plus court
chemin
que le sentier du Golgotha. À l’origine, le « méchant » n’est pas cel
154
s hésiter lui remit un quarter, et poursuivit son
chemin
. Il marchait dans la gloire, et sa conscience resplendissait comme un
155
trop grand pour nos pouvoirs, nous avons perdu en
chemin
la règle d’or, l’étalon-homme. Et pour avoir été trop vite en tout, n
156
e Ève, grâce à son intuition fameuse, a trouvé le
chemin
du Ciel. « Das ewig weibliche zieht uns hinan ! », dit-il d’un air ém
157
antôt une puissance bien inférieure jette sur son
chemin
un obstacle imperceptible, mais qui, on ne sait comment, grandit ensu
158
e n’importe quel homme, — celui qui passe sur ton
chemin
et qui s’arrête… 18. Régime parlementaire, contrats sociaux, lois, o
159
entrevue d’aller à la divinité par un plus court
chemin
que celui du réel ; par un chemin que l’on inventerait soi-même, en d
160
r un plus court chemin que celui du réel ; par un
chemin
que l’on inventerait soi-même, en dépit des interdictions que posent
161
trois moyens de gagner le monde par un plus court
chemin
que le sentier du Golgotha. À l’origine donc, le « méchant » n’est pa
162
s hésiter lui remit un quarter, et poursuivit son
chemin
. Il marchait dans la gloire, et sa conscience resplendissait comme un
163
trop grand pour nos pouvoirs, nous avons perdu en
chemin
la règle d’or, l’étalon-homme. Et pour avoir été trop vite en tout, n
164
e Ève, grâce à son intuition fameuse, a trouvé le
chemin
du Ciel. « Das ewig weibliche zieht uns hinan ! », dit-il d’un air ém
165
antôt une puissance bien inférieure jette sur son
chemin
un obstacle imperceptible, mais qui, on ne sait comment, grandit ensu
166
e n’importe quel homme, — celui qui passe sur ton
chemin
et qui s’arrête… 29. Régime parlementaire, contrats sociaux, lois, o
167
entrevue d’aller à la divinité par un plus court
chemin
que celui du réel ; par un chemin que l’on inventerait soi-même, en d
168
r un plus court chemin que celui du réel ; par un
chemin
que l’on inventerait soi-même, en dépit des interdictions que posent
169
trois moyens de gagner le monde par un plus court
chemin
que le sentier du Golgotha. À l’origine donc, le « méchant » n’est pa
170
ns hésiter lui remit un dollar, et poursuivit son
chemin
. Il marchait dans la gloire, et sa conscience resplendissait comme un
171
trop grand pour nos pouvoirs, nous avons perdu en
chemin
la règle d’or, l’étalon-homme. Et pour avoir été trop vite en tout, n
172
e Ève, grâce à son intuition fameuse, a trouvé le
chemin
du Ciel. « Das ewig weibliche zieht uns hinan ! », dit-il d’un air ém
173
antôt une puissance bien inférieure jette sur son
chemin
un obstacle imperceptible, mais qui, on ne sait comment, grandit ensu
174
tre n’importe quel homme, celui qui passe sur ton
chemin
et qui s’arrête… 31. Régime parlementaire, contrats sociaux, lois, o
175
Je m’étais arrêté à cet endroit, hésitant sur le
chemin
à prendre. Et soudain, je vis à mes pieds, tracé à la craie sur le so
176
ses outils sont là, contre le mur. Il reprend le
chemin
de son champ. En passant au carrefour, il s’est dit : « Peut-être est
177
entrevue d’aller à la divinité par un plus court
chemin
que celui du réel ; par un chemin que l’on inventerait soi-même, en d
178
r un plus court chemin que celui du réel ; par un
chemin
que l’on inventerait soi-même, en dépit des interdictions que posent
179
trois moyens de gagner le monde par un plus court
chemin
que le sentier de Golgotha. À l’origine, le « méchant » n’est pas cel
180
ns hésiter lui remit une pièce, et poursuivit son
chemin
. Il marchait dans la gloire, et sa conscience resplendissait comme un
181
re que les idées personnalistes avaient fait leur
chemin
dans l’élite de la Résistance. S’agit-il d’une influence directe, ou
182
llement de précautions, vérifiant à chaque pas le
chemin
parcouru : elle ignore tout de son but et tiendrait même pour une pré
183
1829. 4. Si je pouvais écarter la Magie de mon
chemin
, Oublier tout de ses enchantements. Je ne serais. Nature ! devant toi
184
attentifs et à juger, c’est exactement prendre le
chemin
du vrai martyre. Un vrai martyr n’a jamais eu recours à la violence,
185
à l’acte, c’est qu’ils ne connaissent plus aucun
chemin
. Comment marcher, s’il n’existe pas de chemin ? disent-ils dans leur
186
cun chemin. Comment marcher, s’il n’existe pas de
chemin
? disent-ils dans leur suffisance, — car on appelle ainsi leur anxiét
187
dence du désespoir : l’homme moderne a perdu le «
chemin
». Je suis le chemin, la vérité et la vie, dit le Christ. 1.La vér
188
’homme moderne a perdu le « chemin ». Je suis le
chemin
, la vérité et la vie, dit le Christ. 1.La vérité est le chemin
189
té et la vie, dit le Christ. 1.La vérité est le
chemin
Christ est la Vérité dans ce sens qu’être la vérité est la seule
190
rne27 Voici donc le mystère : s’il n’y a pas de
chemin
nous ne pouvons marcher, mais si nous ne marchons pas, il n’y a pas d
191
er, mais si nous ne marchons pas, il n’y a pas de
chemin
. La foi au Christ nous permet seule de franchir ce cercle enchanté où
192
de toute victoire sur la Nécessité. « Je suis le
chemin
». Mais un chemin n’est un chemin que si l’on y marche28. Sinon il n’
193
sur la Nécessité. « Je suis le chemin ». Mais un
chemin
n’est un chemin que si l’on y marche28. Sinon il n’est qu’un point de
194
é. « Je suis le chemin ». Mais un chemin n’est un
chemin
que si l’on y marche28. Sinon il n’est qu’un point de vue ; ou bien e
195
as que nous faisons dans notre nuit, voici que le
chemin
s’éclaire et que les perspectives se dégagent. Et nous allons connaît
196
que dans l’acte, et cet acte devient alors notre
chemin
et notre loi. Ainsi nous ne pouvons connaître que ce que nous prophét
197
t son chemin29, lumière qui n’est pas sa lumière,
chemin
qui se dérobe au doute et à l’orgueil, mais que parfois la prophétie
198
les conduira au martyre. La Parole dite est leur
chemin
, leur vérité et leur vie dans ce monde ; ils meurent de l’avoir dite,
199
de l’avoir dite, et n’ont pas d’autre tâche31. Le
chemin
est imprévisible ; le nôtre, disons-nous, n’est pas celui de ces prop
200
ire comment obéir à la Parole qui prophétise ? Le
chemin
est imprévisible. Ce que nous connaissons, c’est pourtant son point d
201
nnaissons, c’est pourtant son point de départ. Le
chemin
commence à tout homme qui se met en devoir d’obéir à l’ordre qu’il re
202
t et dans la joie d’une découverte quotidienne du
chemin
, ton chemin, sur lequel tu es seul, parce qu’il est la parole de ta v
203
joie d’une découverte quotidienne du chemin, ton
chemin
, sur lequel tu es seul, parce qu’il est la parole de ta vie, sa mesur
204
cret du risque. 3.Nous n’avons pas à suivre le
chemin
, mais bien à l’inventer à chaque pas Tant que nous considérons le
205
flatteur et rassurant. Et pourquoi ? Parce que le
chemin
est invisible tant qu’on n’y est pas engagé. Parce que c’est un blasp
206
croire et de faire un pas dans la nuit, sur ce «
chemin
» qui est le Christ présent. Il y a des abîmes entre ces deux exigenc
207
maintenant, aller maintenant, par la foi, sur ce
chemin
qui commence à ses pas, — c’est là le destin du chrétien. C’est son «
208
»33 Nous ne connaissons rien du Christ, du «
chemin
», en dehors de l’acte de foi qui, supprimant toute distance historiq
209
té a marché sur la terre : ainsi le Christ est le
chemin
. Mais nous avons refusé l’éternel et nous lui préférons nos vies : c’
210
t. Que s’est-il donc passé ? Me voici seul sur le
chemin
; mais je vois des visages, où s’agitait la foule. Nous ne voyons auc
211
la vraisemblance. 43 » Parce qu’il faut créer le
chemin
, non pas le suivre ; parce que l’acte est initiateur ; parce que la d
212
side dans la seule vocation qu’il incarne. Sur le
chemin
qui commence à ses pas, il ne meurt jamais par surprise ; et ce n’est
213
’homme s’engage « en vertu de l’absurde », sur le
chemin
que Dieu lui montre, — seul. Cette primauté de la foi sur les vérités
214
s mettons en lui notre espoir de trouver un autre
chemin
: un chemin qui ne mène à Rome, ni à Berlin, ni à Genève ni à Moscou,
215
lui notre espoir de trouver un autre chemin : un
chemin
qui ne mène à Rome, ni à Berlin, ni à Genève ni à Moscou, mais à nous
216
adie redoutable est le péché. 49. Stades sur le
chemin
de la vie. 50. L’Instant. 51. Journal. 52. La Maladie mortelle.
217
51. Journal. 52. La Maladie mortelle. 53. Le
Chemin
du Paradis (p. 269). — C’est moi qui souligne. 54. Pourquoi poser la
218
ment l’atteindre, parce qu’il ne connaît pas « le
chemin
» qui relie le Ciel et la terre. Parce qu’il ne connaît pas celui qui
219
’il ne connaît pas celui qui a dit : « Je suis le
chemin
. » ⁂ Imaginons en guise de contre-épreuve que Josef K. puisse croire
220
ble et la grâce peut être accordée ! « Je suis le
chemin
», a dit le Médiateur. Mais alors, l’acte aussi est possible, et l’ob
221
ière vers l’humanité en révolte et qui a perdu le
chemin
. Quelque chose d’analogue au moment négatif d’un élan — d’un saut dan
222
l’histoire. Kafka savait qu’il devait y avoir un
chemin
, et cela suffisait à lui faire prendre une conscience cruelle de « l’
223
» ; mais il ne pouvait croire à la réalité de ce
chemin
, et c’est pourquoi il refusait de s’y engager. Il exigeait une certit
224
ntrait nulle part dans la vie quotidienne. Car le
chemin
n’existe, en vérité de vie, que pour celui qui ose y faire un pas san