1
re l’un et l’autre. Ainsi mon art, entre terre et
ciel
. Mais sa foulée, bondissante et posée, est pleine du désir de l’air.
2
voilà qui s’avance, foulant les hautes herbes du
ciel
. » Le gaucho a dompté Pégase et caracole dans les étoiles. J’avoue qu
3
lus près de l’infini au fond de soi qu’au fond du
ciel
. l. « Jules Supervielle : Gravitations (NRF, Paris) », Bibliothèque
4
soir, tandis que les fenêtres s’ouvraient vers le
ciel
de Florence… « Du sang, de la volupté et de la mort », un titre s’eff
5
après tant d’autres, comme chaque soir un nouveau
ciel
. Il l’a transcrite en brèves notations lyriques suivant le rythme d’u
6
dans ce corridor de lumière où elle accueille le
ciel
— et derrière, elle devient plus secrète. Vers l’est, des collines fl
7
e. Nul désir en nous de comprendre ce lamento. Le
ciel
est un silence qui s’impose à nos pensées. Ici la vie n’a presque plu
8
le. Fleurs de lumières sur les champs sombres du
ciel
de l’est, et une façade parfaite répond encore au couchant. San Minia
9
sérénité de cette façade élevée lumineuse sur le
ciel
fut le signe d’un équilibre retrouvé. Un grand pont de fer, près de n
10
seul parmi la foule, lève les yeux, au plus beau
ciel
du monde. h. « Soir de Florence », La Semaine littéraire, Genève, n
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l en s’étirant ; le printemps désormais rendra le
ciel
plus pâle, et nous irons chercher dans le souvenir les vent-coulis de
12
eurs intérêts immédiats à leur désir de gagner le
ciel
, persuadent Louis XIV que la révocation serait une œuvre digne du Roi
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poir étroit, ces œillères géantes aux pensées, le
ciel
trop bas d’un rêve sans issue, pesant comme l’envie d’un sommeil sans
14
le Monde des Rêves ». Rondes de cheminées dans le
ciel
où des pressentiments clignent de l’œil. Des poupées en baudruche gon
15
paysage urbain vu par les poursuivants, arbres au
ciel
renversé, maisons obliques, montagnes russes. (J’ai regretté que René
16
........................ Solitude, antichambre du
ciel
. À travers l’amour ou la poésie — et d’autres, à travers les déserts
17
l peigne entre deux pluies. Il aime ces heures où
ciel
et onde se mêlent, et sait rendre mieux que personne la liquidité d’u
18
e premier jour du printemps. Les rues riaient. Le
ciel
descendait dans la ville, on marchait dans le bleu. Je sortis avec ce
19
aissons dorés, l’étendent indéfiniment — c’est un
ciel
suspendu assez bas sur nos têtes. Lumière orangée, tamisée ; un piano
20
temps où le sens de son monologue entre terre et
ciel
lui échappe. Il jette encore quelques cris brisés : « Ô vieux démon !
21
« Celui qui entre en commerce trop étroit avec le
ciel
, les dieux le vouent au malheur. » Ô cette chambre, où pénètre la fac
22
ndre, dans le temps même qu’il nous entr’ouvre le
ciel
, qu’il est bon qu’il y ait le monde… Mais que cette musique vulgaire,
23
État, et dont la vue permet à ceux qui tombent du
ciel
sur notre sol de s’écrier sans hésiter : « Liberté, liberté chérie, v
24
État, et dont la vue permet à ceux qui tombent du
ciel
sur notre sol de s’écrier sans hésiter : « Liberté, liberté chérie, v
25
de mouettes — « Un beau bruit d’ailes me fait un
ciel
» — la vaporeuse beauté du lac de Neuchâtel. Mlle Kikou Yamata a su l
26
udapest enferme quelques paysages romantiques aux
ciels
pleins de démesure. Et, de Giorgione, ce « Portrait d’un homme » deva
27
par la seule ligne dure de l’horizon s’oppose au
ciel
qui retire ses lueurs. Ciel blanc, où très peu d’or rose s’évanouit…
28
ve, d’une plaine, d’un couchant plus grandiose au
ciel
et sur la terre plus secret que dans ton pays. Tu attendais une révél
29
lace plus grande dans la joyeuse lumière de notre
ciel
simplifié. Et voilà, n’est-ce pas, un ton et une ferveur qui rendron
30
jà presque transfiguré en symbole mystique sur le
ciel
vert du plus grand jour de l’Histoire. On a beaucoup remarqué la part
31
est restée semblable, mais on lui a retranché le
ciel
; les mêmes aspirations demeurent, qui faisaient tressaillir nos ancê
32
heure de terreur et de prière. Puis, « la page du
ciel
a été tournée », ils se relèvent : « Il paraît bien qu’on n’est pas m
33
, « Ainsi » (16 avril 1932)a Mouvement Ô
ciel
c’est par ici dépêchons-nous ! L’explosion sera retardée si vou
34
ous connaissons la vérité. Qu’elle soit tombée du
ciel
ou qu’elle éclate dans les choses, on nous demande seulement l’acte d
35
aissons dorés, l’étendent indéfiniment — c’est un
ciel
suspendu assez bas sur nos têtes. Lumière orangée, tamisée ; un piano
36
e parquet, venir par une salle vide où pénètre le
ciel
pâli. Transparents sous les lumières qui déjà retirent leurs plus lon
37
udapest enferme quelques paysages romantiques aux
ciels
pleins de démesure. Et, de Giorgione, ce « Portrait d’un homme » deva
38
u au-dessus de la plaine, pas tout à fait dans le
ciel
, là où doivent vivre ceux qui « chantent ». L’après-midi est immense.
39
par la seule ligne dure de l’horizon s’oppose au
ciel
qui retire ses lueurs. Ciel blanc, où très peu d’or rose s’évanouit…
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ve, d’une plaine, d’un couchant plus grandiose au
ciel
et sur la terre plus secret que dans ton pays. Tu attendais une révél
41
temps où le sens de son monologue entre terre et
ciel
lui échappe. Il jette encore quelques cris brisés : « Ô vieux Démon !
42
« Celui qui entre en commerce trop étroit avec le
ciel
, les dieux le vouent au malheur. » Ô cette chambre, où pénètre la fac
43
endre, dans le temps même qu’il nous entrouvre le
ciel
, qu’il est bon qu’il y ait la terre… Mais que cette musique vulgaire,
44
dans une grande paix. Vue de la hauteur, sous un
ciel
pâle avec des nuages blancs qui s’en vont. Un vent froid, mais quelqu
45
s hauts feuillages exultaient de clarté devant le
ciel
pâli. Tout vivait autour de moi dans une sorte d’ivresse lente et maj
46
un instant merveilleux que je veux noter ici. Le
ciel
est encore plus blanc, et la prairie s’embrume. Soudain, à dix pas de
47
re enseigne que chacun des anges est un miroir du
ciel
entier. C’est parce qu’ils savent les correspondances que ce médecin
48
e systèmes qui ne correspondent à rien ni dans le
ciel
ni sur la terre. Car enfin, qu’est-ce que l’homme ? qu’est-ce donc qu
49
iers et sentencieux, qu’il s’agisse des choses du
ciel
ou de l’ordonnance du ménage. Une fois de plus, je m’émerveille du ré
50
es, aux collines thuringiennes sous un très grand
ciel
doux. Une atmosphère de réflexion confiante et substantielle… Qu’irai
51
che et du bonheur de respirer. Combien j’aime ces
ciels
bas et traînants. Le beau temps n’est pas toujours le bon, si l’expre
52
t des voiles claires parmi les blés violents ; le
ciel
paraissait plus grand que la terre. Des bois de pins s’approchaient,
53
iries doucement soulevées s’arrêtaient au bord du
ciel
, devant la lumière maritime ; puis cédaient de l’épaule et l’on voyai
54
e parquet, venir par une salle vide où pénètre le
ciel
pâli. Transparents sous les lumières qui déjà retirent leurs plus lon
55
udapest enferme quelques paysages romantiques aux
ciels
pleins de démesure. Et, de Giorgione, ce « Portrait d’un homme » deva
56
u au-dessus de la plaine, pas tout à fait dans le
ciel
, là où doivent vivre ceux qui « chantent ». L’après-midi est immense.
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par la seule ligne dure de l’horizon s’oppose au
ciel
qui retire ses lueurs. Ciel blanc, où très peu d’or rose s’évanouit…
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êve d’une plaine, d’un couchant plus grandiose au
ciel
et sur la terre plus secret que dans ton pays. Tu attendais une révél
59
t des voiles claires parmi les blés violents ; le
ciel
paraissait plus grand que la terre. Des bois de pins s’approchaient,
60
iries doucement soulevées s’arrêtaient au bord du
ciel
, devant la lumière maritime ; puis cédaient de l’épaule et l’on voyai
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temps où le sens de son monologue entre terre et
ciel
lui échappe. Il jette encore quelques cris brisés : « Ô vieux Démon !
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« Celui qui entre en commerce trop étroit avec le
ciel
, les dieux le vouent au malheur. » O cette chambre, où pénètre la fac
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ndre, dans le temps même qu’il nous entr’ouvre le
ciel
, qu’il est bon qu’il y ait la terre… Mais que cette musique vulgaire,
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dans une grande paix. Vue de la hauteur, sous un
ciel
pâle avec des nuages blancs qui s’en vont. Un vent froid, mais quelqu
65
s hauts feuillages exultaient de clarté devant le
ciel
pâli. Tout vivait autour de moi dans une sorte d’ivresse lente et maj
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un instant merveilleux que je veux noter ici. Le
ciel
est encore plus blanc, et la prairie s’embrume. Soudain, à dix pas de
67
re enseigne que chacun des anges est un miroir du
ciel
entier. C’est parce qu’ils savent les correspondances que ce médecin
68
e systèmes qui ne correspondent à rien ni dans le
ciel
ni sur la terre. Car enfin, qu’est-ce que l’homme ? qu’est-ce donc qu
69
iers et sentencieux, qu’il s’agisse des choses du
ciel
ou de l’ordonnance du ménage. Une fois de plus, je m’émerveille du ré
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es, aux collines thuringiennes sous un très grand
ciel
doux. Une atmosphère de réflexion confiante et substantielle… Qu’irai
71
che et du bonheur de respirer. Combien j’aime ces
ciels
bas et traînants. Le beau temps n’est pas toujours le bon, si l’expre
72
llées — tremble dans l’attente orageuse — sous un
ciel
d’angoisse et de haine ! — Malheur sur nous ! Nuit lugubre, sans som
73
s’étant heureusement dénouée dans les hauteurs du
ciel
arctique, nous montâmes en spirale à 5000 mètres, au-dessus d’une mer
74
e l’immobilité comme ce vol sans repères en plein
ciel
, à 150 mètres à la seconde, sans vibration ni courant d’air, et sans
75
la lumière, vers le grand lac doublant soudain le
ciel
au sortir du treizième tunnel, vers des parcs somptueux et secrets, v
76
, où je ne reconnais rien de déjà lu ? Et de quel
ciel
me tombent ces visions surprenantes, où je reconnais bientôt ce que j
77
rêts enchantées où chevauchait Lancelot, sous les
ciels
méditants de l’Ouest celtique ; le Midi sec et enfiévré des troubadou
78
los, si grands soient les miroirs qu’il offre aux
ciels
changeants, et si profonds ses lointains de lumière. La pente derrièr
79
où se déployer sans se perdre, la méditation des
ciels
bas, la passion des orages complets, et la peine une baie secrète, où
80
appée vers la plaine, où l’eau rejoint presque le
ciel
, le petit phare de la baie de Sirmione… Sur les lacs sinueux de la Pr
81
eine incandescence les Alpes déployées au fond du
ciel
. Sommets d’où l’on voit l’Italie… Et le rêve s’éteint, guirlande mort
82
rodiges sévères, et l’œil ne s’en évade au bas du
ciel
— vers l’ouest — que par cet or lointain que l’eau n’a point doublé,
83
ive est solennel, comme l’attente du pays sous le
ciel
orageux. Oui, c’est bien cela qu’il sent, il ne peut s’y tromper : la
84
ont cédé ! Le lac était d’un bleu très sombre, le
ciel
bas, des éclairs de chaleur palpitaient dans la nue, et le jeune homm
85
, la sanctifient, et en son nom rendent grâces au
ciel
, alors éclate le scandale, car alors, de par la défection, mais aussi
86
te gratuit et le clerc-qui-ne-trahit-pas, dans le
ciel
des Idées, dernier asile pour les démissionnaires d’une Démocratie fa
87
sion, — un acte d’obéissance à l’ordre « tombé du
ciel
». Comment parler de la « restauration intégrale d’une dogmatique app
88
Le tombeau est vide parce que Jésus est vivant au
ciel
», les prédicateurs ont dû dire : « Jésus est vivant au ciel, et la p
89
prédicateurs ont dû dire : « Jésus est vivant au
ciel
, et la preuve, c’est que sa tombe s’est trouvée vide ». Et l’on a spo
90
, la sanctifient, et en son nom rendent grâces au
ciel
, alors éclate le scandale, car alors, de par la défection, mais aussi
91
, la sanctifient, et en son nom rendent grâces au
ciel
, alors éclate le scandale, car alors, de par la défection, mais aussi
92
ald, dont la main prodigieuse se détachant sur le
ciel
noir désigne le Sauveur en croix : « Il faut qu’il croisse et que je
93
isme mais à l’homme, considéré comme un miroir du
ciel
entier. Certes, elle n’est pas seulement cruelle et folle, l’époque q
94
it n’a pas son siège dans la cervelle. Ni dans le
ciel
. L’esprit n’a pas de siège. Il est passage, prise, saisissement. L’es
95
ses « viennent », le monde « vient » (à nous), le
ciel
, le lac et les montagnes « viennent » : et on les voit venir ainsi à
96
e rose du lever du jour et ils sont roses dans le
ciel
rose, avec des gouttes de rosée qui leur pendent à chaque poil et des
97
oins « lyrique » et le plus matériel, parler d’un
ciel
au bleu de lessive, plutôt que de l’azur du firmament, c’est, à vrai
98
heure de terreur et de prière… Puis, « la page du
ciel
a été tournée », ils se relèvent : « Il paraît bien qu’on n’est pas m
99
temps limité de l’Histoire, sous les figures d’un
ciel
unique. C’est là seulement qu’elle se révèle à nous, comme un jugemen
100
c’est que la mesure est indivisible. Dieu est au
ciel
, sa loi est sur la terre, et les prêtres sont là pour veiller sur l’A
101
temps limité de l’Histoire, sous les figures d’un
ciel
unique. C’est là seulement qu’elle se révèle à nous, comme un jugemen
102
c’est que la mesure est indivisible. Dieu est au
ciel
, sa loi est sur la terre, et les prêtres sont là pour veiller sur l’A
103
temps limité de l’Histoire, sous les figures d’un
ciel
unique. C’est là seulement qu’elle se révèle à nous, comme un jugemen
104
s de ce rose émouvant des tuiles romaines sous un
ciel
doux. Au nord, derrière notre maison, c’est le rocher, la montagne br
105
ues cheminées d’usines grattent le bas d’un grand
ciel
jaune. On distingue à peine le village de N. parmi les rangées de peu
106
iers tout simplets, suivant une piste par jeu. Le
ciel
est d’un bleu sec et pur, tranché au sommet du vallon par un cyprès g
107
s encore translucides au-dessus du bassin bleu de
ciel
où nagent d’énormes bottes de radis rouges. Tout a son éclat neuf, sa
108
ation précise aux choses, etc. Ne montons plus au
ciel
du second Faust que par ces allées de Ferrare ! 18 décembre 1933 Je n
109
e la largeur de la maison. On ne voit rien que le
ciel
au-delà, un ciel lavé, tissé d’oiseaux, et parfois traversé par un nu
110
a maison. On ne voit rien que le ciel au-delà, un
ciel
lavé, tissé d’oiseaux, et parfois traversé par un nuage rapide. La ma
111
te sur la façade de la maison, plus claire que le
ciel
vide, et illumine la goutte rose d’une fourmi ailée qui danse au-dess
112
e la largeur de la maison. On ne voit rien que le
ciel
au-delà, un ciel lavé, tissé d’oiseaux, et parfois traversé par un nu
113
a maison. On ne voit rien que le ciel au-delà, un
ciel
lavé, tissé d’oiseaux, et parfois traversé par un nuage rapide. En me
114
erment l’horizon bas. Peu de terre et beaucoup de
ciel
, et partout cette humide lumière blanche qui met des ombres si légère
115
la Promesse, au point où tout se renverse, où le
ciel
s’ouvre sur le châtiment, où le démon découvre que son œuvre a libéré
116
it dans chacun de ses membres, et non pas dans un
ciel
abstrait. Car le gage de l’action chrétienne n’est pas futur, mais ét
117
re lui, vaguement américain et militaire, sous un
ciel
bas couleur d’acier où rien ne bougeait, et voilà tout d’un coup cet
118
uatre éléments primordiaux : la terre, la mer, le
ciel
, et le feu de la lumière. Nous vivrons bien ! ⁂ Je revois, je revis s
119
e la largeur de la maison. On ne voit rien que le
ciel
au-delà, un ciel lavé, tissé d’oiseaux, et parfois traversé par un nu
120
a maison. On ne voit rien que le ciel au-delà, un
ciel
lavé, tissé d’oiseaux, et parfois traversé par un nuage rapide. En me
121
erment l’horizon bas. Peu de terre et beaucoup de
ciel
, et partout cette humide lumière blanche qui met des ombres si légère
122
ant un verre de petit vin, à regarder le carré de
ciel
pâlir et les murs qui deviennent roses. 21 novembre 1933 Le bu
123
puis se perdent parmi les vapeurs des marais. Le
ciel
change avec une incroyable rapidité, il arrive qu’il se couvre et se
124
roximité de l’océan. Clameur des masses contre le
ciel
fatal, et l’homme se tait là-bas, « ne s’entend plus », dans la multi
125
ation précise aux choses, etc. Ne montons plus au
ciel
du second Faust que par ces allées de Ferrare ! 18 décembre 1933
126
ble activité humaine au ras du sol, sous ce grand
ciel
… Au nom de quelle « vérité » brutaliser et bouleverser à grand fracas
127
ate sur la façade de la maison plus claire que le
ciel
vide, et illumine la goutte rose d’une fourmi ailée qui danse au-dess
128
s de ce rose émouvant des tuiles romaines sous un
ciel
doux. Au nord, derrière notre maison, c’est le rocher, la montagne br
129
ues cheminées d’usines grattent le bas d’un grand
ciel
jaune. On distingue à peine le village de N. parmi les rangées de peu
130
iers tout simplets, suivant une piste par jeu. Le
ciel
est d’un bleu sec et pur, tranché au sommet du vallon par un cyprès g
131
onds où le pied enfonce, entre deux rochers et le
ciel
. J’y reviens chaque année. Comme par hasard… 8 mars 1935 (de retou
132
s encore translucides au-dessus du bassin bleu de
ciel
où nagent d’énormes bottes de radis rouges. Tout a son éclat neuf, sa
133
5 juillet 1935 Porte de Choisy. — Dans le
ciel
vert d’un couchant de banlieue, le groupe scolaire de la mairie commu
134
paraît libre et presque heureux. Soir villageois,
ciel
de province, jeux d’enfants et chansons, accordéon… Je me dis qu’on p
135
c’est que la mesure est indivisible. Dieu est au
ciel
, sa loi est sur la terre, et les prêtres sont là pour veiller sur l’A
136
. Il a étendu le bras énergiquement — les yeux au
ciel
— et le Horst Wessel Lied monte sourdement du parterre. « Les camarad
137
u au-dessus de la plaine, pas tout à fait dans le
ciel
, là où doivent vivre ceux qui « chantent ». L’après-midi est immense.
138
mbre 1938)a Ce ne sont plus des signes dans le
ciel
, mais des réalités terrestres et brutales qui nous avertissent aujour
139
ouce des magasins de tabac, dans la tristesse des
ciels
pesants sur les rues grises et trop bien astiquées. Méthode : Se gard
140
voir s’il n’y avait pas d’avions français dans le
ciel
! » Extraordinaire affectivité qui s’attache dans ce pays aux armes,
141
) Il a étendu le bras énergiquement — les yeux au
ciel
— et le Horst Wessel Lied monte sourdement du parterre. « Les camarad
142
u et une roue dentée se dressent, énormes, sur le
ciel
rouge. Au-dessous, une vingtaine de visages d’ouvriers, éclatants de
143
nte et se perd dans une belle nuit d’été, vers le
ciel
vide ! Minuit. La flamme jaillit de l’énorme bûcher, illuminant des f
144
premier « étage » à moins qu’ils ne descendent du
ciel
vers la terre, car nous avons appelé « ciel » la partie supérieure de
145
nt du ciel vers la terre, car nous avons appelé «
ciel
» la partie supérieure de la scène, là où se trouve le chœur céleste.
146
dois, après la grêle, qui désignait d’un doigt le
ciel
coupable : « Je n’accuse personne, mais c’est dégoûtant ! ») Nous voi
147
nom du héros, la couleur sombre de sa vie, et le
ciel
bas d’orage qui couvre la légende. Le roi Marc de Cornouailles, frère
148
cette « vraie vie », c’est la vie impossible. Ce
ciel
aux nuées exaltées, crépuscule empourpré d’héroïsme, n’annonce pas le
149
l’amant est auprès de l’être aimé « comme dans le
ciel
», car l’amour est la voie qui monte par degrés d’extase vers l’origi
150
de Wagner veut sombrer, mais pour renaître en un
ciel
de Lumière. La « Nuit » qu’il chante, c’est le Jour incréé. Et sa pas
151
qui s’opérerait au-delà de la vie. « Dieu est au
ciel
, et toi tu es sur la terre. » Et ton sort se joue ici-bas. Le péché n
152
sance carolingienne. Ou bien tout cela « tombe du
ciel
», c’est-à-dire jaillit d’une inspiration subite et collective — mais
153
le premier est de telle élévation qu’au-dessus du
ciel
plane son pouvoir. Cet Amour un en trois, ce principe féminin (Amor
154
du genre féminin) qui chez Dante va « mouvoir le
ciel
et toutes les étoiles », n’est-ce point déjà la Divinité en soi des g
155
médiéval procède généralement de haut en bas — de
ciel
en terre — ce qui réfute les conclusions modernes déduites du préjugé
156
t plus tragiques, c’est naturel. Taranis, dieu du
ciel
orageux, supplante Lug, dieu du ciel lumineux. Et bien que la doctrin
157
nis, dieu du ciel orageux, supplante Lug, dieu du
ciel
lumineux. Et bien que la doctrine courtoise rejoignît et fît resurgir
158
sur « le danger d’une envolée trop rapide vers le
ciel
», selon les cathares, et oppose le catharisme au bouddhisme sur ce p
159
in ni devoirs, ni liens qui tiennent, ni terre ni
ciel
: on est seul avec tout ce que l’on aime. « Nous avons perdu le monde
160
Elle te vient la grâce généreuse Qui te pousse au
ciel
par un droit sentier Et fait que je marche fier de mon espérance. Où
161
mortelle prison, pourrait s’enlever mon esprit au
ciel
. Mais cela, jusqu’alors, à rien ne m’a servi… Prends ton parti avec
162
i vers un espoir plus heureux — en contemplant le
ciel
qui tourne autour de toi immortel et paré ! S’il est vrai, qu’ici-bas
163
iracle, les lions et les licornes se dévorent, le
ciel
s’obscurcit, le tonnerre gronde, le génie de l’Amour paraît dans un n
164
Seigneur ! si notre heure est une fois marquée Le
ciel
de nos raisons ne sait point s’informer. (I, 1.) Ce n’est pas ce cie
165
e sait point s’informer. (I, 1.) Ce n’est pas ce
ciel
-là qu’eût adoré Corneille ! Ni ces dieux que l’on dupe, et sur qui l’
166
, dansez, sonnez sonnailles — Du mont, du val, du
ciel
, des neiges Sonnez les merveilles ! 2. Sous le ciel du plus beau jo
167
, des neiges Sonnez les merveilles ! 2. Sous le
ciel
du plus beau jour Quelle est ma chanson ? Tout au long des lourds lab
168
Reste donc ferme en ta résolution. Tu porteras au
ciel
une bannière de la milice victorieuse, si tu portes ici-bas, dans la
169
.) Chœur des enfants. Avec tous les chœurs du
ciel
Dans la claire matinée Nous invoquons l’Éternel Qu’il bénisse nos val
170
voix. La nuit s’en va et le jour vient Avec un
ciel
clair et serein ! Toutes les voix. Prions afin que pacifiés Nou
171
elle, guetteur aux yeux fermés, à la frontière du
ciel
et de la terre, témoin frugal et prophétique ! Une épreuve sévère est
172
prendre aucun aliment ! Je me nourris du pain du
ciel
, à la très sainte communion. L’abbé. — Comment une telle merveill
173
e pèlerin. — Écoute ! Notre misère crie jusqu’au
ciel
! Le temps de la révolte est là. Si tu marches devant, frère Claus, p
174
Choral ii. Sentinelle ! Sentinelle ! Voix du
ciel
! Que dis-tu ? Des sons lointains prédisent le malheur Le vent des pl
175
L’astrologue (après quelques simagrées). — Au
ciel
visible, Mars entre au Lion. L’Ourse est dressée la gueule ouverte et
176
s s’avancer par milliers en grand arroi. Signe du
ciel
! Une épée nue brandie par une main coupée ! À l’Orient, j’entends mu
177
c’est le Destin qui l’a voulu ! Aux armes ! (Le
ciel
devient rouge.) Chœur des suisses. (Il font un pas lourd en avant
178
e. Siège de Soleure — siège de Fribourg ! Plût au
ciel
que jamais ils n’aient été dressés ! Ou bien qu’ils soient déjà dans
179
allées, — tremble dans l’attente orageuse sous un
ciel
d’angoisse et de haine ! Malheur sur nous ! Nuit lugubre et sans somm
180
uitté pour vivre seul avec mon Dieu, tout près du
ciel
. Et voici qu’il me faut maintenant quitter aussi ma solitude et redes
181
ent ! (Il tombe à genoux.) Haimo. — Au nom du
ciel
, efforce-toi, mon frère ! Le temps fuit ! (Nicolas se relève, fait q
182
nom du héros, la couleur sombre de sa vie, et le
ciel
bas d’orage qui couvre la légende. Le roi Marc de Cornouailles, frère
183
cette « vraie vie », c’est la vie impossible. Ce
ciel
aux nuées exaltées, crépuscule empourpré d’héroïsme, n’annonce pas le
184
l’amant est auprès de l’être aimé « comme dans le
ciel
», car l’amour est la voie qui monte par degrés d’extase vers l’origi
185
de Wagner veut sombrer, mais pour renaître en un
ciel
de Lumière. La « Nuit » qu’il chante, c’est le Jour incréé. Et sa pas
186
qui s’opérerait au-delà de la vie. « Dieu est au
ciel
, et toi tu es sur la terre. » Et ton sort se joue ici-bas. Le péché n
187
sance carolingienne. Ou bien tout cela « tombe du
ciel
», c’est-à-dire jaillit d’une inspiration subite et collective — mais
188
le premier est de telle élévation qu’au-dessus du
ciel
plane son pouvoir. Cet Amour un en trois, ce principe féminin (Amor
189
du genre féminin) qui chez Dante va « mouvoir le
ciel
et toutes les étoiles », et dont Guiraut nous dit ici qu’il plane « a
190
t Guiraut nous dit ici qu’il plane « au-dessus du
ciel
», n’est-ce point déjà la Divinité en soi des grands mystiques hétéro
191
médiéval procède généralement de haut en bas — de
ciel
en terre — ce qui réfute les conclusions modernes déduites du préjugé
192
erci, pourvu que vous m’accordiez que par vous au
ciel
je tende ! (Uc de Saint-Circ.) Chaque jour je m’améliore et me purif
193
t plus tragiques, c’est naturel. Taranis, dieu du
ciel
orageux, supplante Lug, dieu du ciel lumineux. Et bien que la doctrin
194
nis, dieu du ciel orageux, supplante Lug, dieu du
ciel
lumineux. Et bien que la doctrine courtoise rejoignît et fît ressurgi
195
sur « le danger d’une envolée trop rapide vers le
ciel
», selon les cathares, et oppose le catharisme au bouddhisme sur ce p
196
in ni devoirs, ni liens qui tiennent, ni terre ni
ciel
: on est seul avec tout ce que l’on aime. « Nous avons perdu le monde
197
Elle te vient la grâce généreuse Qui te pousse au
ciel
par un droit sentier Et fait que je marche fier de mon espérance. Où
198
mortelle prison, pourrait s’enlever mon esprit au
ciel
. Mais cela, jusqu’alors, à rien ne m’a servi… Prends ton parti avec
199
i vers un espoir plus heureux – en contemplant le
ciel
qui tourne autour de toi Immortel et paré ! S’il est vrai — qu’ici-ba
200
iracle, les lions et les licornes se dévorent, le
ciel
s’obscurcit, le tonnerre gronde, le génie de l’Amour paraît dans un n
201
Seigneur ! si notre heure est une fois marquée Le
ciel
de nos raisons ne sait point s’informer. (I, 1) Ce n’est pas ce ciel
202
ne sait point s’informer. (I, 1) Ce n’est pas ce
ciel
-là qu’eût adoré Corneille ! Ni ces dieux que l’on dupe, et sur qui l’
203
nom du héros, la couleur sombre de sa vie, et le
ciel
d’orage qui couvre la légende. Le roi Marc de Cornouailles, frère de
204
cette « vraie vie », c’est la vie impossible. Ce
ciel
aux nuées exaltées, crépuscule empourpré d’héroïsme, n’annonce pas le
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l’amant est auprès de l’être aimé « comme dans le
ciel
», car l’amour est la voie qui monte par degrés d’extase vers l’origi
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de Wagner veut sombrer, mais pour renaître en un
ciel
de Lumière. La « Nuit » qu’il chante, c’est le Jour incréé. Et sa pas
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qui s’opérerait au-delà de la vie. « Dieu est au
ciel
, et toi tu es sur la terre. » Et ton sort se joue ici-bas. Le péché n
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sance carolingienne. Ou bien tout cela « tombe du
ciel
», c’est-à-dire jaillit d’une inspiration subite et collective — mais
209
le premier est de telle élévation qu’au-dessus du
ciel
plane son pouvoir. Cet Amour un en trois, ce principe féminin (Amor
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du genre féminin) qui chez Dante va « mouvoir le
ciel
et toutes les étoiles », et dont Guiraut nous dit ici qu’il plane « a
211
t Guiraut nous dit ici qu’il plane « au-dessus du
ciel
», n’est-ce point déjà la Divinité en soi des grands mystiques hétéro
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médiéval procède généralement de haut en bas — de
ciel
en terre — ce qui réfute les conclusions modernes déduites du préjugé
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erci, pourvu que vous m’accordiez que par vous au
ciel
je tende ! (Uc de Saint-Circ.) Chaque jour je m’améliore et me purifi
214
t plus tragiques, c’est naturel. Taranis, dieu du
ciel
orageux, supplante Lug, dieu du ciel lumineux. Et bien que la doctrin
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nis, dieu du ciel orageux, supplante Lug, dieu du
ciel
lumineux. Et bien que la doctrine courtoise rejoignît et fît resurgir
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sur « le danger d’une envolée trop rapide vers le
ciel
», selon les cathares, et oppose le catharisme au bouddhisme sur ce p
217
in ni devoirs, ni liens qui tiennent, ni terre ni
ciel
: on est seul avec tout ce que l’on aime. « Nous avons perdu le monde
218
Elle te vient la grâce généreuse Qui te pousse au
ciel
par un droit sentier Et fait que je marche fier de mon espérance. Où
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mortelle prison, pourrait s’enlever mon esprit au
ciel
. Mais cela, jusqu’alors, à rien ne m’a servi… Prends ton parti avec
220
toi vers un espoir plus heureux en contemplant le
ciel
qui tourne autour de toi immortel et paré ! S’il est vrai qu’ici-bas
221
iracle, les lions et les licornes se dévorent, le
ciel
s’obscurcit, le tonnerre gronde, le génie de l’Amour paraît dans un n
222
Seigneur ! si notre heure est une fois marquée Le
ciel
de nos raisons ne sait point s’informer. (I,1.) Ce n’est pas ce ciel
223
ne sait point s’informer. (I,1.) Ce n’est pas ce
ciel
-là qu’eût adoré Corneille ! Ni ces dieux que l’on dupe, et sur qui l’
224
l’Écriture nous l’apprend lorsqu’elle dit : « Le
ciel
et la terre passeront, mais ma Parole ne passera point. » Voilà la ba
225
humaine ne saurait ébranler, quand tout le reste,
ciel
et terre, idéaux et réalités, est pulvérisé par les bombes. Au plus f
226
fût-il aussi mal déguisé qu’un grenadier tombé du
ciel
en parachute pour jouer l’ange protecteur. À l’origine de notre aveug
227
l’Écriture nous l’apprend lorsqu’elle dit : « Le
ciel
et la terre passeront, mais ma Parole ne passera point. » Voilà la ba
228
humaine ne saurait ébranler, quand tout le reste,
ciel
et terre, idéaux et réalités, est pulvérisé par les bombes. Au plus f
229
r ozone, et la lumière éclatant très haut dans le
ciel
sur des parois violemment découpées, c’est un climat que je connais.
230
des lignes humaines, humilité sous la douceur du
ciel
, retrait des âmes dans leur destin. Je longeais cette rue silencieuse
231
village, silence des rues vides, ouvertes sur le
ciel
et sur les blés. J’étais là fasciné comme par la découverte d’un secr
232
on alléguée, et finalement flamboyé par le feu du
ciel
et précipité dans un étang de flammes et de souffre avec ses faux pro
233
. 3. L’Ange déchu Je voyais Satan tomber du
ciel
comme un éclair. Luc 10.18. La Bible nous apprend que Lucifer est u
234
ble nous apprend que Lucifer est un ange tombé du
ciel
. Les anges sont des créatures spirituelles vivant et agissant sur les
235
e sophisme L’Ange déchu nous dit : je suis ton
ciel
, il n’y a pas d’autre espérance. Le Prince de ce monde nous dit : il
236
plus croire à Dieu ni à Satan ! S’il n’y a pas de
ciel
, comme nous le dit Satan, il n’y a pas non plus d’enfer, ni de Maître
237
par la Science et l’Éducation. Sur nos têtes, au
ciel
de nos villes, de grands oiseaux tournaient avec un bourdonnement sin
238
us une ville et une tour dont le sommet touche au
ciel
, et faisons-nous un nom, afin que nous ne soyons pas dispersés sur la
239
ux que Dieu, « se faire un nom » à eux, monter au
ciel
par leurs propres moyens pour y devenir des dieux à leur manière. Le
240
u’est-ce que le monde a désormais à faire sous le
ciel
? Baudelaire Que ce Rien soit enfin mon ordre ! C’est le cri même
241
nos douleurs, je l’ai nommé : cantique au bleu du
ciel
. 8. La morale du succès, dans l’Amérique contemporaine, est une la
242
subsiste, la Partie est déjà gagnée, — le bleu du
ciel
n’est pas terni par les nuées de notre angoisse. Et voyez : le jugeme
243
vec un dégagement de fumée noire qui obscurcit le
ciel
pour un temps, et peut-être nous fait pleurer, puis tout est clair et
244
ibération qui vient après la ruine, quand le même
ciel
ramène un printemps pur sur les décombres de la vie. Je suppose une c
245
sa part a été consumée. Je lui oppose le bleu du
ciel
. Le bleu des ciels que j’ai aimés. Le bleu du ciel de l’Île-de-France
246
sumée. Je lui oppose le bleu du ciel. Le bleu des
ciels
que j’ai aimés. Le bleu du ciel de l’Île-de-France, la douceur de l’a
247
iel. Le bleu des ciels que j’ai aimés. Le bleu du
ciel
de l’Île-de-France, la douceur de l’art et des âges, et le sourire d’
248
e d’une femme à l’amour fidèle et gai. Le bleu du
ciel
de Manhattan, fusant comme une inexorable joie entre les verticalités
249
erticalités argentées des gratte-ciel. Le bleu du
ciel
des Alpes moiré d’éclatante noirceur, à midi, sur la tranche des glac
250
aux étendues de pureté ardente et dure du bleu du
ciel
au cœur du jour ! 14. Proverbes 26, 4 et 5. 15. Assumer, confesse
251
aison alléguée, finalement flamboyé par le feu de
ciel
et précipité dans un étang de flammes et de soufre avec ses faux prop
252
e blanche, Père éternel de Michel-Ange tonnant au
ciel
violent de la Sixtine. On nous dit « diable », et nous voyons un démo
253
5. L’Ange déchu Je voyais Satan tomber du
ciel
comme un éclair. Luc 10, 18. La Bible nous apprend que Lucifer est
254
ble nous apprend que Lucifer est un ange tombé du
ciel
. Les anges sont des créatures spirituelles vivant et agissant sur les
255
e sophisme L’Ange déchu nous dit : je suis ton
ciel
, il n’y a pas d’autre espérance. Le Prince de ce monde nous dit : il
256
plus croire à Dieu ni à Satan ! S’il n’y a pas de
ciel
, comme nous le dit Satan, il n’y a pas non plus d’enfer, ni de Maître
257
ar la Science et la Prospérité. Sur nos têtes, au
ciel
de nos villes, de grands oiseaux tournaient avec un bourdonnement sin
258
C’est inconcevable ! » opineront-ils, les bras au
ciel
. Mais c’est très simple. Un homme qui meurt de faim mange n’importe q
259
rade de New York devant le symbole dressé sur un
ciel
commercial de la Liberté aux yeux vides15, ne tardent pas à recevoir
260
us une ville et une tour dont le sommet touche au
ciel
, et faisons-nous un nom, afin que nous ne soyons pas dispersés sur la
261
ux que Dieu, « se faire un nom » à eux, monter au
ciel
par leurs propres moyens pour y devenir des dieux à leur manière. Le
262
u’est-ce que le monde a désormais à faire sous le
ciel
? Baudelaire Que ce Rien soit enfin mon ordre ! C’est le cri même
263
nos douleurs, je l’ai nommé : cantique au bleu du
ciel
. 18. La morale du succès, dans l’Amérique contemporaine, est une l
264
subsiste, la Partie est déjà gagnée, — le bleu du
ciel
n’est pas terni par les nuées de notre angoisse. Et voyez : le jugeme
265
vec un dégagement de fumée noire qui obscurcit le
ciel
pour un temps, et peut-être nous fait pleurer, puis tout est clair et
266
ibération qui vient après la ruine, quand le même
ciel
ramène un printemps pur sur les décombres de la vie. Je suppose une c
267
sa part a été consumée. Je lui oppose le bleu du
ciel
. Le bleu des ciels que j’ai aimés. Le bleu du ciel de l’Île-de-France
268
sumée. Je lui oppose le bleu du ciel. Le bleu des
ciels
que j’ai aimés. Le bleu du ciel de l’Île-de-France, la douceur de l’a
269
iel. Le bleu des ciels que j’ai aimés. Le bleu du
ciel
de l’Île-de-France, la douceur de l’art et des âges, et le sourire d’
270
e d’une femme à l’amour fidèle et gai. Le bleu du
ciel
de Manhattan, fusant comme une inexorable joie entre les verticalités
271
erticalités argentées des gratte-ciel. Le bleu du
ciel
des Alpes moiré d’éclatante noirceur, à midi, sur la tranche des glac
272
aux étendues de pureté ardente et dure du bleu du
ciel
au cœur du jour ! 25. Proverbes 26. 4 et 5. 26. Assumer, confesse
273
aison alléguée, finalement flamboyé par le feu de
ciel
et précipité dans un étang de flammes et de soufre avec ses faux prop
274
e blanche, Père éternel de Michel-Ange tonnant au
ciel
violent de la Sixtine. On nous dit « diable », et nous voyons un démo
275
. 5. L’Ange déchu Je voyais Satan tomber du
ciel
comme un éclair. Luc 10, 18. La Bible nous apprend que Lucifer est
276
ble nous apprend que Lucifer est un ange tombé du
ciel
. Les anges sont des créatures spirituelles vivant et agissant sur les
277
e sophisme L’Ange déchu nous dit : je suis ton
ciel
, il n’y a pas d’autre espérance. Le Prince de ce monde nous dit : il
278
plus croire à Dieu ni à Satan ! S’il n’y a pas de
ciel
, comme nous le dit Satan, il n’y a pas non plus d’enfer, ni de Maître