1
e des Terreaux. Nous, les garçons, tenons notre «
colloque
» sur la place de l’Hôtel-de-Ville. Nous parlons entre nous d’un air
2
que à celui des bergers. 70. Voir sur ce point :
Colloque
avec Salomon, par Albert-Marie Schmidt, dans la revue Hic et Nunc ,
3
s catastrophes prochaines et le désir d’un ultime
colloque
avant que ne se ferment les frontières, avant la solitude, avant la n
4
éesse Volupie. Promenons-nous aux alentours de ce
colloque
. La Volupté n’est pas le plaisir même, mais l’imagination active du
5
onnage, comme le serait un témoin vivant même aux
colloques
des fantômes… Je crois bien que cette image m’est venue à cause d’une
6
s catastrophes prochaines et le désir d’un ultime
colloque
, avant que ne se ferment les frontières, avant la solitude, avant la
7
onnage, comme le serait un témoin vivant mêlé aux
colloques
des fantômes… Je crois bien que cette image m’est venue à cause d’une
8
s catastrophes prochaines et le désir d’un ultime
colloque
, avant que ne se ferment les frontières, avant la solitude, avant la
9
onnage, comme le serait un témoin vivant mêlé aux
colloques
des fantômes… Je crois bien que cette image m’est venue à cause d’une
10
éesse Volupie. Promenons-nous aux alentours de ce
colloque
. La Volupté n’est pas le plaisir même, mais l’imagination active du d
11
t qu’on est en marge du temps. Cela donne à notre
colloque
une apparente gratuité qui en trahit l’objet. Ce qu’il y a de remarqu
12
e des Terreaux. Nous, les garçons, tenons notre «
colloque
» sur la place de l’Hôtel-de-Ville. Nous parlons entre nous d’un air
13
ole des Terreaux. Nous les garçons tenons notre «
colloque
» sur la place de l’Hôtel-de-Ville. Nous parlons entre nous d’un air
14
eur, Luther refusa de s’entendre avec lui lors du
Colloque
de Marburg en 1529, et ce désaccord fit échouer le plan grandiose qu’
15
y entretiennent un commerce continuel d’idées, de
colloques
, de correspondances érudites, de polémiques nobles ou virulentes. « L
16
écessaire action d’avenir, pour réunir un premier
colloque
interculturel et pour publier le compte rendu de ses travaux. Le col
17
pour publier le compte rendu de ses travaux. Le
colloque
s’est réuni à Genève du 15 au 17 septembre 1961. Sa préparation n’a p
18
ndu in extenso des débats. L’action lancée par le
colloque
se déroule actuellement sur tous les continents dans le climat très f
19
nterventions] (avril 1962)55 Introduction au
colloque
Vous remercier d’être venus à Genève pour ce colloque, ne sera pas
20
e Vous remercier d’être venus à Genève pour ce
colloque
, ne sera pas simple affaire de routine. Je sais ce que représente pou
21
ir, c’est là, vraiment, toute l’ambition de notre
colloque
d’aujourd’hui. Nous avons voulu ce colloque restreint, et il l’est. P
22
notre colloque d’aujourd’hui. Nous avons voulu ce
colloque
restreint, et il l’est. Permettez-moi, à ce propos, quelques mots d’e
23
dans des discours. Il est bien entendu que notre
colloque
ne prétend à rien de plus qu’à amorcer quelque chose, à donner le cou
24
aient à tenir leur rôle de congressiste. L’art du
colloque
me paraît être, curieusement, celui qui reste le plus conventionnel à
25
fs nous y invitent : car nous voudrions 1° que ce
colloque
aboutisse à une publication (par les soins du CEC) donnant une synthè
26
e et de ses méthodes. Et nous voudrions 2° que ce
colloque
aboutisse à une résolution tendant à la création de centres régionaux
27
[Suivent les interventions des participants au
colloque
] En résumé Je voudrais essayer de rassembler les différents a
28
es plus importantes de Denis de Rougemont lors du
colloque
organisé par le CEC les 15-17 septembre, à Genève.
29
points vitaux, je crois, des préoccupations de ce
colloque
. La question était la suivante : est-ce que la spécialisation résulta
30
t à l’idée de « métropole », qui est à la base du
colloque
qui nous réunit. […] Au moment où les frontières s’ouvrent à des éch
31
ncrétiser, dans les conversations qui suivront ce
colloque
, le problème de la métropole à la fois culturelle et économique, et l
32
es plus notables de Denis de Rougemont lors de ce
colloque
organisé au mois de juillet 1962, lors du festival d’Aix-en-Provence,
33
urs présuppositions fondamentales. 3. Congrès,
colloques
Les sessions générales de l’Unesco, plus administratives que cultu
34
tre pour 1963 en Afrique. Enfin, de très nombreux
colloques
organisés par des universités, collèges, associations professionnelle
35
, fondations, revues, éditeurs, bourses d’études,
colloques
, suffisent en général pour la demande existante, et l’excèdent parfoi
36
er. Enfin, les occasions de rencontres — congrès,
colloques
, séminaires, etc. — sont si nombreuses qu’il devient difficile de tro
37
des spécialistes, les publications savantes, les
colloques
et congrès, d’une part — et d’autre part les responsables des relatio
38
nt papier, qui ne veut qu’introduire le sujet. Le
colloque
de Genève doit permettre aux représentants des diverses régions de do
40
ces jours-là dans la capitale de l’Europe, ultime
colloque
d’une société secrète improvisée, avant les catastrophes et la nuit d
41
promotion d’un civisme européen. ⁂ Au terme d’un
colloque
universitaire qui se tint à Genève en mai 1961 sous les auspices de l
42
hoc fut décidée, en vue de lancer la Campagne. Le
colloque
venait en effet de constater non seulement l’état retardataire et dém
43
nt dans le cadre du festival d’Aix-en-Provence un
colloque
sur la décentralisation culturelle, illustre d’une manière exemplaire
44
cueillir dans nos publications le compte rendu du
colloque
réuni à Aix au mois de juillet 1962. ⁂ L’intérêt très particulier de
45
juillet 1962. ⁂ L’intérêt très particulier de ce
Colloque
tenait d’abord à sa composition : professeurs d’université, composite
46
rateurs. Le général Claude Clément, rapporteur du
colloque
et auteur de son compte rendu, a donc eu bien raison de conserver aut
47
ution régionale ». ⁂ On ne saurait reprocher à un
colloque
dont les ambitions initiales étaient d’ordre culturel, et qui a si bi
48
blème des métropoles. Fort heureusement, un autre
colloque
en avait traité peu de temps auparavant, à Lyon. Nous avons jugé oppo
49
La valeur de témoignage vivant et authentique du
colloque
d’Aix se trouve renforcée et confirmée par cette remarquable synthèse
50
roupes me paraît être, à l’expérience de nombreux
colloques
portant sur des sujets interdisciplinaires, d’une douzaine de personn
51
timents contient la bibliothèque et les salles de
colloques
. La commune, gouvernée par le recteur, jouit d’un statut spécial d’ex
52
e : point de cours magistraux, mais seulement des
colloques
restreints, groupant au maximum 20 personnes, à l’optimum une douzain
53
: on la cherche en commun, librement. Au sein des
colloques
, règne une liberté spontanément disciplinée par la critique mutuelle.
54
par la critique mutuelle. Deux meneurs de jeu par
colloque
, et ils ne peuvent appartenir à la même spécialité. Faire le monde
55
roupes me paraît être, à l’expérience de nombreux
colloques
portant sur des sujets interdisciplinaires, d’une douzaine de personn
56
timents contient la bibliothèque et les salles de
colloques
. La commune, gouvernée par le recteur, jouit d’un statut spécial d’ex
57
e : point de cours magistraux, mais seulement des
colloques
restreints, groupant au maximum vingt personnes, à l’optimum une douz
58
: on la cherche en commun, librement. Au sein des
colloques
, règne une liberté spontanément disciplinée par la critique mutuelle.
59
par la critique mutuelle. Deux meneurs de jeu par
colloque
, et ils ne peuvent appartenir à la même spécialité. Et quant au conte
60
— y compris l’Allemagne — se réunirent en petits
colloques
, puis en congrès de plus en plus spectaculaires, pour affirmer leur v
61
vécu. Il y a quelques années, je fus invité à un
colloque
qui allait se tenir à Aix-en-Provence sur le thème suivant : création
62
’en conclus que j’étais censé représenter dans le
colloque
l’idée européenne. Invité à parler tout au début, j’improvisai donc s
63
e non seulement des souhaits des organisateurs du
colloque
, qui connaissaient les besoins de leur région, mais de tout un mouvem
64
vécu. Il y a quelques années, je fus invité à un
colloque
organisé par le festival d’Aix-en-Provence sur le thème suivant : cré
65
’en conclus que j’étais censé représenter dans le
colloque
l’idée européenne. Invité à parler tout au début, j’improvisai sur le
66
e non seulement des souhaits des organisateurs du
colloque
, qui connaissaient les besoins de leur région, mais de tout un mouvem
67
ui dès 1961 réunissaient à Bruxelles un important
colloque
sur ce problème81, mais encore dans les milieux dirigeants du pays le
68
tait l’endroit tout indiqué pour tenir le premier
colloque
socialiste régional sur le thème : Décolonisez la Province84 ! Tout
69
it cru devoir convoquer en 1961 le très important
colloque
de Bruxelles sur les économies régionales, et que ses six États-natio
70
ve, Jean Fourastié, disait il y a un an devant un
colloque
réunissant tous les préfets de la République : L’Europe peut nous to
71
nition de la région que j’emprunte aux travaux du
colloque
de Bruxelles : L’activité économique suscite dans l’espace des forme
72
onde (dont on cite ici la version), puis Actes du
Colloque
sur l’organisation départementale et communale à l’épreuve du xxe si
73
ord, fin août, à Hertenstein, près de Lucerne, un
colloque
qui groupait sous l’égide du mouvement Europa-Union (fondé en 1925) d
74
, d’Autriche et de plusieurs pays de l’Est. De ce
colloque
allait sortir l’Union européenne des fédéralistes, qui convoquerait l
75
vécu. Il y a quelques années, je fus invité à un
colloque
qui allait se tenir à Aix-en-Provence sur le thème suivant : création
76
’en conclus que j’étais censé représenter dans le
colloque
l’idée européenne. Invité à parler tout au début, j’improvisais donc
77
e non seulement des souhaits des organisateurs du
colloque
, qui connaissaient les besoins de leur région, mais de tout un mouvem
78
ui dès 1961 réunissaient à Bruxelles un important
colloque
sur ce problème32, mais encore dans les milieux dirigeants du pays le
79
tait l’endroit tout indiqué pour tenir le premier
colloque
socialiste régional sur le thème : « Décolonisez la province ! » Tou
80
commun ait cru devoir convoquer le très important
colloque
de Bruxelles sur les économies régionales, et que ses six États-natio
81
ve, Jean Fourastié, disait il y a un an devant un
colloque
réunissant tous les préfets de la République : L’Europe peut nous to
82
nition de la région que j’emprunte aux travaux du
colloque
de Bruxelles : L’activité économique suscite dans l’espace des forme
83
uentes à l’entreprise qui fait l’objet du présent
colloque
. Je note d’abord que le terme de difficulté est souvent plus exact qu
84
péen de la culture : « L’Europe des régions (II) (
Colloque
de l’AIEE, mai 1969) », Genève, n° 5-6, hiver 1969-1970, p. 31-40.
85
ouve ici les solutions préconisées lors du fameux
colloque
de Caen, en 1966, mais aussi les conclusions de mon discours de Goett
86
etrouve ici la solution préconisée lors du fameux
colloque
de Caen, en 1966. L’université fut une commune libre au Moyen Âge. To
87
roupes me paraît être, à l’expérience de nombreux
colloques
portant sur des sujets interdisciplinaires, d’une douzaine de personn
88
timents contient la bibliothèque et les salles de
colloques
. La commune, gouvernée par le recteur, jouit d’un statut spécial d’ex
89
e : point de cours magistraux, mais seulement des
colloques
restreints, groupant au maximum vingt personnes, à l’optimum une douz
90
: on la cherche en commun, librement. Au sein des
colloques
règne une liberté spontanément disciplinée par la critique mutuelle.
91
par la critique mutuelle. Deux meneurs de jeu par
colloque
, et ils ne peuvent appartenir à la même spécialité. Et quant au conte
92
, fondations, revues, éditeurs, bourses d’études,
colloques
, suffisent en général pour la demande existante, et l’excèdent parfoi
93
r. Enfin, les occasions de rencontres — congrès,
colloques
, séminaires, etc. — sont si nombreuses qu’il devient difficile de tro
94
Premier festival international du livre de Nice :
colloques
1969, Nice, Festival international du livre, 1970, p. 12-14 et 18-21.
95
ouve ici les solutions préconisées lors du fameux
colloque
de Caen, en 1966, mais aussi les conclusions de mon « discours solenn
96
ntières effacées, régions libérées En 1962, un
colloque
organisé par le festival d’Aix-en-Provence envisageait la création d’
97
’en conclus que j’étais censé représenter dans le
colloque
l’idée européenne. Invité à parler au début, j’improvisai sur le thèm
98
it cru devoir convoquer en 1961 le très important
colloque
de Bruxelles sur les économies régionales, et que ses six États-natio
99
pective, Jean Fourastié, disait un jour lors d’un
colloque
réunissant tous les préfets de la République : L’Europe peut nous to
100
nition de la région que j’emprunte aux travaux du
colloque
de Bruxelles : L’activité économique suscite dans l’espace des forme
101
onde (dont on cite ici la version), puis Actes du
Colloque
sur l’organisation départementale et communale à l’épreuve du xxe si
102
ouve ici les solutions préconisées lors du fameux
colloque
de Caen, en 1966, mais aussi les conclusions de mon discours de Götti
103
lle-ci serait basée — comme l’a proposé le récent
colloque
des régions frontalières organisé par le Conseil de l’Europe — sur de
104
s sont juges) et sa présence dans les conseils et
colloques
internationaux, présence destinée sans nul doute à faire valoir ladit
105
’abord introduit à la revue Plans, puis invité au
colloque
de Francfort pendant le Carnaval de 1932 où il tentait, avec Philippe
106
46, et il s’agissait, dans la plupart des cas, de
colloques
internationaux dont j’étais soit l’initiateur et le rapporteur princi
107
ut celle de 1914. Il faut les réformer. Plusieurs
colloques
d’historiens et un institut spécialisé, à Braunschweig, s’y consacren
109
mars dernier, j’avais accepté de prendre part au
colloque
de Venise — du 10 au 13 octobre — sur Le Fédéralisme, un modèle pour
110
’espoir fou de quelques jours de loisirs avant le
colloque
. Du 5 au 12 octobre 1974 Pendant les deux premières journées, je cour
111
qualité, convié à présider la seconde journée du
colloque
. Le 12 octobre à 9 h du matin, dans une très vaste salle décorée de f
112
par la publication en deux volumes des actes d’un
colloque
réuni à Bruxelles par la CEE, fin 1960 ; tandis que les Schriften der
113
(V) : Les régions transfrontalières de l’Europe (
Colloque
de Genève 1975 de l’AIEE) », Genève, n° 1-2, printemps-été 1975, p. 9
114
ui ai consacré trois volumes, des conférences, un
colloque
, et tout un congrès138. Plutôt que de résumer ici mes conclusions — q
115
fois, nous parlerons de l’avenir. Les travaux du
colloque
tenu fin janvier 1975 à Genève par l’Association des instituts d’étud
116
ns l’œil d’un physicien, puis d’un ingénieur
Colloque
du XXe anniversaire du CEC : extraits du Rapport général présenté par
117
cie avec 14 gouvernements européens. Une série de
colloques
scientifico-diplomatiques étudient le problème du site. Trois candida
118
d’une idée (V) : un regard en arrière… Lors du
Colloque
marquant le XXe anniversaire du CEC — du 11 au 14 octobre 1970 — une
119
g. Conclusion Comme le soulignait lors du
colloque
du Centre européen de la culture, 1970, le professeur Louis Dick, col
120
onstatait non sans regret M. Pierre Auger lors du
colloque
du CEC en 1970 : « On ne peut pas toujours faire les choses à petit b
121
urs prononcé à Genève le 23 octobre 1970, lors du
Colloque
qui marqua le XXe anniversaire du Centre européen de la culture. Le
122
t Messieurs, vous avez accepté de participer à ce
colloque
du Centre européen de la culture dont le nom, presque identique au nô
123
ons et le confessent… dans une conversation ou un
colloque
privé. Pourtant, ils ne font rien de visible dans ce sens, tout occup
124
ns de ce qui est, que nous vivons déjà. Lors d’un
colloque
de sociologues et d’urbanistes qui n’arrivaient pas à s’entendre sur
125
laration du Dr Lafuma, du CEA français, lors d’un
colloque
réunissant à Genève, en décembre 1976, quelque trois-cents producteur
126
1972 Herman Kahn85. Des instituts se fondent, des
colloques
s’organisent, des centaines de volumes sont publiés et des milliers d
127
ons et le confessent… dans une conversation ou un
colloque
privé. Pourtant, ils ne font rien de visible dans ce sens, tout occup
128
nt au terme dans les années 1930. À l’occasion du
colloque
qui nous réunitb, je tiens à renouveler mes responsabilités dans cett
129
, printemps 1978, p. 17-25. b. Indiquer de quel
colloque
il s’agit. c. Rougemont en rend compte dans ce même numéro de Cadmos
130
hropologie chrétienne. Rejoignant le sujet de ce
colloque
, je voudrais rappeler maintenant que Michel Foucault, dans son livre
131
onclusions que nous espérions pouvoir tirer de ce
colloque
, en opposant à l’attitude mentale qu’implique la théorie de la « mort
133
« L’Avenir est votre affaire », pour annoncer son
colloque
« d’expérimentateurs sociaux », autour d’Ivan Illich. 16. Cf. notamm
134
ement humaine, je veux dire religieuse. Lors d’un
colloque
qui se tenait, le week-end dernier, à Genève, le philosophe et théolo
135
nes environ sur la carte qu’avait dressée pour le
colloque
tenu au Conseil de l’Europe, en 1972, V. von Malchus, et qui chevauch
136
le cas décisif des régions transfrontalières. Les
colloques
réunis sous les auspices du Conseil de l’Europe ont permis de dresser
137
e des régions , 1968 ; L’Europe des régions II (
colloque
de l’AIEE), 1969 ; L’Europe des régions III , Confrontation des régi
138
nes environ sur la carte qu’avait dressée pour le
colloque
tenu au Conseil de l’Europe en 1972, V. von Malchus, et qui chevauche
140
eu ou point de cours magistraux, mais surtout des
colloques
restreints, groupant au maximum vingt personnes, à l’optimum une douz
141
n la cherche en commun, sans relâche. Au sein des
colloques
règne une liberté spontanément disciplinée par la critique mutuelle.
142
par la critique mutuelle. Deux meneurs de jeu par
colloque
, et ils ne peuvent appartenir à la même spécialité. Quant au contenu
143
et des milliers d’études préparent d’innombrables
colloques
, séminaires, groupes d’études et congrès dans le monde entier, ou rés
144
comporte guère que des rapports présentés lors de
colloques
comme ceux qu’organisèrent la Regio basiliensis dès 196517, le Centre
145
nants qui organisent chaque année des dizaines de
colloques
dans tous nos pays. Enfin, les activités de recherche de l’Université
146
ntergouvernementales s’ajoutent les très nombreux
colloques
organisés par les fédéralistes européens, par les instituts universit
147
ents fédéralistes et régionalistes. Autour de ces
colloques
, dont chacun marque un progrès vers la synthèse des forces émergentes
148
le cas décisif des régions transfrontalières. Les
colloques
réunis sous les auspices du Conseil de l’Europe ont permis de dresser
149
ement humaine, je veux dire religieuse. Lors d’un
colloque
qui vient de se tenir à Genève, le philosophe et théologien allemand
150
es questions que le Groupe de Bellerive posait au
colloque
réuni par ses soins en février 1979. Lew Kowarski a pu le suivre enco
151
mot d’ordre de ne pas venir. D’ailleurs, tous les
colloques
que nous pouvons écrire, les émissions que nous pouvons faire, même m
152
d’un numéro du Nouvel Observateur, au sujet d’un
colloque
animé par Ivan Illich, avec qui je m’entends très bien. Vous vouliez
153
donné un article de gazette. » Mea culpa… Mais ce
colloque
, au-delà de toute neutralité, devrait enfin nous décider à percevoir
154
et des milliers d’études préparent d’innombrables
colloques
et congrès dans le monde entier, ou résultent de leurs travaux. Tout
155
aires] (1982)a Un des buts principaux de notre
colloque
était d’examiner pourquoi certaines nations durent, grâce à leur cult
156
. Elle risquait en effet de vider d’avance un tel
colloque
de son contenu : je niais l’existence de « cultures nationales », pou
157
réflexion. Cela pourrait être le sujet d’un autre
colloque
. Je crois que la condition de tout dialogue entre les différentes nat
158
Voilà simplement quelques pistes. Pourquoi pas un
colloque
sur chacune d’elles ? a. « L’Europe une et diverse : la contributio
159
elle Europe ? (1983)m Mon intervention dans ce
colloque
résulte d’un malentendu initial sur son titre. Parce que cela me conv
160
984)w La première conclusion que je tire de ce
colloque
de trois jours, c’est notre reconnaissance unanime pour la Fondation
161
Veillon qui la représente parmi nous ce matin. Ce
colloque
n’a ressemblé à rien de ce que j’ai connu jusqu’ici. Vous savez comme
162
rtante que celle que l’on trouve dans beaucoup de
colloques
réunissant professeurs et experts avec leurs convictions que chacun c
163
re, puisque c’est lui qui est l’occasion de notre
colloque
. J’avais passé la première année de la guerre mobilisé dans l’armée s
164
vement fédéraliste. Si bien que l’un des premiers
colloques
organisés par notre Campagne d’éducation civique européenne a pris po
165
région, sur laquelle nous avions tenu de nombreux
colloques
à Genève dès 1962. De cette convergence est née dans mon esprit l’idé
166
où un succès, attesté entre autres par le présent
colloque
, auquel je n’avais pas été habitué par mes autres livres, trop diffic
167
la démarche qui me semble avoir caractérisé notre
colloque
. Cela s’est centré tout de suite et tout naturellement sur le problèm
168
r l’Europe. Il me paraît significatif que dans ce
colloque
, il se soit trouvé que le premier rapport, celui de M. Hell, portait
169
voyais des conclusions pratiques se dégager de ce
colloque
. Je voudrais vous rappeler quelques-unes de celles qui ont été suggér
170
égions transfrontalières de l’Europe » : actes du
colloque
de l’Association des instituts d’études européennes, Genève, 1975 ; «
171
Les politiques régionales en Europe » : actes du
colloque
de l’Association des instituts d’études européennes, 1982, Genève, so
172
tâche absolument impossible, celle de résumer un
colloque
comme celui-ci où le plus important ne saurait être résumé. Les mots
173
dans ce que j’aurais à dire sur l’ensemble de ce
colloque
. Je crois que c’est le seul moyen de m’en tirer, au moins en ne m’enn
174
le reste auprès de vous tous. Il me semble que ce
colloque
, des trois que nous avons vécus ensemble depuis trois ans, a été de l
175
née prochaine ? Je croyais qu’il parlait de notre
colloque
. J’étais absolument à côté de la réalité. Et je crois que je n’étais
176
sentant six-cents personnes. Ce n’est donc pas un
colloque
, on appelle cela un forum et ce n’est pas par hasard. Nous nous somme
177
ion. S’ils étaient d’accord, il n’y aurait pas de
colloques
. Mais, en fait, chercher ce qui nous unit est, dans le cas présent, l
178
sujet —je vous en trouverai d’autres — de nouveau
colloque
. Mais j’en reviens à notre deuxième thème, la sémantique. M. Grossrie
179
il fallait étudier de près. Voilà encore un autre
colloque
à préparer pour une autre année ! Je crois bien que, lors de ce débat
180
peut-être le nœud du problème qui se posait à ce
colloque
. Il y avait quelque chose de nodal, de central, et j’ai eu l’impressi
181
ois que ce moment-là a entièrement justifié notre
colloque
. Il y a eu une extrême richesse aussi, ce jour-là, dans les intervent
182
cours des trente dernières années, en tenant nos
colloques
, ou en créant des instituts pour l’étude de la culture européenne, a
183
ation occidentale. Je vois là un nouveau sujet de
colloque
extrêmement important. Ce serait un Dialogue des cultures, un dialogu
184
ersonnes. Et voilà sans doute le sujet d’un autre
colloque
encore, pour ce groupe. Mais, bien plus, il me semble que c’est là, e
185
c’est là, en quelque sorte, le sujet de tous les
colloques
qu’il vaut la peine d’organiser sur le modèle de celui-ci. Ce qui me
186
ans doute l’atmosphère joyeuse qui a régné sur ce
colloque
depuis trois jours. Je crois bien n’avoir jamais autant ri au cours d
187
1984, p. 231-238. Ce texte est la conclusion d’un
colloque
organisé du 10 au 12 mai 1984 à Genève par Jacques Freymond, sur le t
188
lection de volumes à La Baconnière ; et enfin des
colloques
, séminaires et congrès, qui ont rassemblé à la Villa Moynier, siège g
189
un tout autre bien que nos télévisions, radios et
colloques
par milliers dans le monde entier. Moins de bien : car Orwell, à mon
190
ne européen [conclusion] (1984)x En ouvrant ce
colloque
, le professeur Jacques Freymond affirmait ne pas savoir très bien com
191
us généralement approuvée parmi les membres de ce
colloque
, tant de l’Est que de l’Ouest ou du Centre. C’est une des leçons réco
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⁂ Et maintenant deux remarques générales sur nos
colloques
. Ce que nous avons essayé de faire dans celui-ci, comme dans celui de
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de remarque générale va porter sur l’avenir de ce
colloque
, dont je pense qu’il devra se modeler sur l’avenir européen. Cet aven
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hniques ? Serait-il raisonnable de proposer à ce
colloque
qu’il prenne en compte cette approche multiple, contribuant ainsi à l
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remerciant en votre nom à tous pour le très beau
colloque
qui se clôt ce matin, l’un des plus fructueux et encourageants auxque
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rimoine européen : unité et singularité, Actes du
colloque
organisé au Centre d’études pratiques de la négociation international