1 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Cécile-Claire Rivier, L’Athée (mai 1926)
1 ai-je que l’abus des points d’exclamation — trait commun à presque toutes les femmes auteur, et qui plaît aux lectrices — m’ag
2 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jean-Louis Vaudoyer, Premières amours (août 1927)
2 oût 1927)an Ces trois nouvelles n’ont guère de commun entre elles que la forme : ce sont de lentes réminiscences, des évoca
3 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 3. Anatomie du monstre
3 d’exception, et les réduit avec acharnement à son commun dénominateur4. Nos bourgeois assistent sans honte à ce crime quotidie
4 se le développement de leurs penchants les plus «  communs  » : jalousie, vanité, panurgisme, concurrence sournoise, admiration d
4 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 7. L’Instruction publique contre le progrès
5 ve ? L’instruction publique est la forme la plus commune de la peste rationaliste qui sévit dans le monde depuis le xviiie (d
5 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 3. Anatomie du monstre
6 d’exception, et les réduit avec acharnement à son commun dénominateur 4. Nos bourgeois assistent sans honte à ce crime quotidi
7 se le développement de leurs penchants les plus «  communs  » : jalousie, vanité, panurgisme, concurrence sournoise, admiration d
6 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 7. L’instruction publique contre le progrès
8 rve ? L’instruction publique est la forme la plus commune de la peste rationaliste qui sévit dans le monde depuis le xviiie (d
7 1930, Articles divers (1924–1930). Au sujet « d’un certain esprit français » (1er mai 1930)
9 rire dans ses effets, et qui paraît affecter d’un commun penchant au libertinage mental trois phénomènes littéraires partout a
8 1930, Articles divers (1924–1930). « Vos fantômes ne sont pas les miens… » [Réponse à l’enquête « Les vrais fantômes »] (juillet 1930)
10 des connaissances plus complètes que l’expérience commune  ?” Depuis (et même avant) que Saint-Augustin a formulé cette question
9 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
11 fuite : n’est-il pas cet Objet qui n’ait rien de commun avec ce que tu sais de toi-même en cette vie ? Mais le voir, ce serai
10 1930, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Pour un humanisme nouveau » [Réponse à une enquête] (1930)
12 ons celui des races de la Terre. Non plus une foi commune , mais une moyenne de nos manières d’être. Une sorte de commun dénomin
13 une moyenne de nos manières d’être. Une sorte de commun dénominateur… (Le christianisme en connaît un, depuis toujours : il l
11 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Malraux, La Voie royale (février 1931)
14 met de les identifier au premier coup d’œil, ce «  commun dénominateur » d’expression et de masques si dissemblables, n’est-ce
12 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Sécularisme (mars 1931)
15 qui menace ». Mais partout ailleurs, qu’en cette commune antipathie, M. Marcel et M. Nizan s’opposent avec une netteté d’autan
13 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Une exposition d’artistes protestants modernes (avril 1931)
16 e rechercher ce que ces artistes peuvent avoir de commun , ce qu’ils doivent à leur origine ou à leur foi réformée, — et si ces
14 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
17 égligent volontiers ce qui les rend semblables au commun des mortels ; bref, plus ou moins inconsciemment, ils contribuent à c
18 itude qui se dégage lentement d’une profusion peu commune de petits faits, de personnages et de descriptions des lieux où ils v
15 1931, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Éléments de la grandeur humaine, par Rudolf Kassner (octobre 1931)
19 ue formulèrent les romantiques allemands. Rien de commun avec un Renan, un France. a. « Les Éléments de la grandeur humaine,
16 1931, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Sarah, par Jean Cassou (novembre 1931)
20 romantiques et de frissons anarchiques. Le thème commun , c’est sans doute l’atrocité de la « vie normale », ou si l’on préfèr
17 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Signes parmi nous, par C. F. Ramuz (janvier 1932)
21 a mort, la peur, la maladie. Et la joie, ce point commun , « ce point qui est au-delà de la vie ». Le communisme qui règne au j
18 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
22 s leur habitus individuel bien plus que dans leur commune grandeur. Seule la croyance en une analogie universelle des réactions
23 t divergentes, une attitude humaine qui me paraît commune . Que Goethe ait pratiqué « le devis des choses grandes et secrètes »
24 ours renouvelées. Mais il y faut une prudence peu commune , et même tellement soutenue qu’elle informe peu à peu une sorte d’ins
19 1932, Présence, articles (1932–1946). Cause commune (avril-juin 1932)
25 Cause commune (avril-juin 1932)b Mon cher Trolliet, Le pauvre diable obligé de r
26 tre part, elles définissent suffisamment la cause commune de la jeunesse européenne. L’humanisme n’est rien s’il n’est commun c
27 sse européenne. L’humanisme n’est rien s’il n’est commun comme le péril qui nous menace ; s’il ne considère avant tout la comm
28 qui nous menace ; s’il ne considère avant tout la commune condition humaine et sa défense contre un système dont l’action disso
29 inséparable d’un ordre humain total. b. « Cause commune  », Présence, Lausanne et Genève, n° 2, avril-juin 1932, p. 12-15. Pré
20 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Querelles de famille, par Georges Duhamel (mai 1932)
30 les deux termes, faute d’être assumés sur le plan commun de la conscience où ils s’exalteraient en s’opposant franchement, tir
21 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Penser dangereusement (juin 1932)
31 insisterais pas, si ces traits ne me paraissaient communs à beaucoup de jeunes intellectuels marxistes, en France particulièrem
22 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). À prendre ou à tuer (décembre 1932)
32 in, finalement n’en donnent jamais. Nous avons en commun avec eux certains mots d’ordre immédiats : lutte contre le capitalism
23 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Cahier de revendications [Présentation] (décembre 1932)
33 re 1932)i Est-il possible de définir une cause commune de la jeunesse française, une communauté d’attitude essentielle ? Il
34  ; et certains de leurs objectifs respectifs sont communs … Déjà s’affirme dans l’attitude de tous ces groupes un véritable acte
24 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
35 fuite : n’est-il pas cet objet qui n’ait rien de commun avec ce que tu sais de toi-même en cette vie ? Mais le voir, ce serai
25 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
36 fuite : n’est-il pas cet objet qui n’ait rien de commun avec que ce que tu sais de toi-même en cette vie ? Mais le voir, ce s
26 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — I
37 iennent pour responsable, et par l’erreur la plus commune , l’en nomment si bien le représentant qu’il lui faut à la fin se la r
27 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — III
38 ives sont intactes, minutieusement tenues par les communes les plus modestes, et tenues depuis plusieurs siècles pour une beauco
28 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — IV
39 s. Je note pourtant que l’un des traits qu’ont en commun presque toutes les anciennes familles de ce pays manque à la mienne :
29 1933, Esprit, articles (1932–1962). Protestants (mars 1933)
40 e l’Église comme de deux choses qui n’ont rien en commun . » Il constate que l’Église est intervenue dans la vie quotidienne en
30 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Liberté ou chômage ? (mai 1933)
41 bération ». La liberté fait plus peur qu’envie au commun des mortels. Ils n’osent pas la considérer en face. Tant qu’elle rest
31 1933, Esprit, articles (1932–1962). Loisir ou temps vide ? (juillet 1933)
42 ; si le labeur et le repos n’ont plus de finalité commune  ; s’il n’y a plus de loisir dans le travail ni de travail dans le loi
43 Par cet acte, travail et loisir retrouveront leur commun sens : dans l’actualité de l’être, où ils ne seront plus que les temp
32 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Dialectique des fins dernières (juillet 1933)
44 désignent des réalités éthiques qui n’ont rien de commun avec l’acte, le risque et le choix dont parle la théologie dans sa di
33 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Les parlementaires contre le Parlement (octobre 1933)
45 n de tout ce qui n’est pas l’État : départements, communes , corporations, familles, individus. Dans le premier cas il doit accom
34 1934, Articles divers (1932-1935). « Pour qui écrivez-vous ? » [Réponse à une enquête] (janvier-février 1934)
46 ns, combien d’intellectuels parmi les lecteurs de Commune  ? h. « Pour qui écrivez-vous ? », Commune, Paris, n° 5-6, janvier-f
47 rs de Commune ? h. « Pour qui écrivez-vous ? », Commune , Paris, n° 5-6, janvier-février 1934, p. 571-572. Le texte de Rougemo
48 st entrecoupé d’un commentaire de la rédaction de Commune .
35 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
49 blique. Elles ont encore un autre nom, et qui est commun à toutes : c’est le Nombre, c’est peut-être Légion… Sans doute n’avon
36 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Communauté révolutionnaire (février 1934)
50 vice civil de l’autre. Tension organique entre la commune et la région d’une part, et la fédération de l’autre.) Les principes
51 hommes qui se rencontrent pour exécuter une tâche commune , soit que l’un vienne en aide à l’autre (c’est la définition chrétien
37 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Précisions sur la mort du Grand Pan (avril 1934)
52 ion ce lyrisme de l’isolement, c’est un des tours communs de l’orgueil romantique. On a coutume d’en rendre Rousseau responsabl
38 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Quelques œuvres et une biographie de Kierkegaard (26 mai 1934)
53 mme Nietzsche, avec lequel il a pas mal de traits communs , Kierkegaard nous laisse un ouvrage d’autocritique2 où il dégage le s
39 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Deux essais de philosophes chrétiens (mai 1934)
54 t les coutumes du citoyen moderne ont perdu toute commune mesure. Que se passerait-il si un beau jour le public se mettait à l’
40 1934, Articles divers (1932-1935). Où sont les jeunes protestants ? Remarques sur le protestantisme et les doctrines politiques (juillet-août 1934)
55 é d’une prise de conscience révolutionnaire. Lieu commun pour cette génération : la violence véritable est celle des construct
56 méro une conception spiritualiste qui n’a rien de commun avec cela qu’ont voulu voir en elle les critiques de droite et de gau
57 l n’en reste pas moins que le fondement spirituel commun à ces deux groupes se confond presque intégralement avec celui qu’un
41 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le mouvement des groupes — Kagawa (4 août 1934)
58 même d’évangélisation. Il s’agissait de mettre en commun des difficultés intimes, d’entrer dans le concret du christianisme. U
42 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
59 rait en citer quelques autres. Qu’ont-ils donc de commun , génie à part ? Peut-être leurs souffrances seulement. Mais s’il n’es
60 e, nous allons quelquefois à l’église déplorer en commun l’athéisme du monde. « Le Nouveau Testament suppose sans autre que le
61 elle te méprisera sans doute, mais c’est le sort commun , tu ne cours pas grand risque. Si tu dis non, si tu agis, elle te tue
43 1934, Esprit, articles (1932–1962). Préface à une littérature (octobre 1934)
62 e efficace — que si elle ordonne ses œuvres à une commune mesure humaine. Mais notre siècle est justement le siècle de la décad
63 rier, écrit Rudolf Kassner, n’ont presque plus en commun que des banalités. » Mais quelle est la nature de ces banalités ? L’a
64 pensable, c’est avouer qu’il n’y a plus de mesure commune à la pensée et à l’action, — hors la monnaie. Un monde sans mesure, c
65 — et d’autant plus profondément enraciné dans la commune condition humaine. Rendez à l’écrivain la responsabilité de ses écrit
66 les masses, parce qu’elle restaure une conscience commune . Nous voyons aussi le bourgeois s’émerveiller de ce rajeunissement. C
67 de l’humain et qu’elle créera dans la perspective commune . Restaurer le prestige de la culture, cela ne va pas à la spéculation
44 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kasimir Edschmid, Destin allemand (octobre 1934)
68 un roman d’aventures, et même d’une intensité peu commune . Mais cet aspect-là, qui suffit d’ailleurs à rendre le livre passionn
45 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Plans de réforme (octobre 1934)
69 ment15. Empressons-nous de dire qu’il n’a rien de commun avec le vague fantôme qu’évoquent les magiciens du Plan. Enfin, le Pl
46 1934, Esprit, articles (1932–1962). Définition de la personne (décembre 1934)
70 teur voudrait d’ailleurs considérer comme le bien commun de sa génération. 1. L’indéfinissable concret Il ne faut pas est
71 ommun, ou plus exactement une réalité d’existence commune à des concepts très diversement définis par les philosophes de l’écol
47 1934, Politique de la personne. Introduction — Ridicule et impuissance du clerc qui s’engage
72 e, mais bien, et quoi qu’on veuille, jouer le jeu commun . C’est condamner ou absoudre après coup des passions collectives sur
48 1934, Politique de la personne. Introduction — En dernier ressort
73 relative, vouée dès sa naissance à la dégradation commune . Et l’on retombe alors dans l’idéologie désespérante du Progrès. Pour
74 de circonstance qui n’ont parfois rien d’autre en commun pour la forme que les défauts de l’improvisation, je ne crois pas un
49 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
75 blique. Elles ont encore un autre nom, et qui est commun à toutes : c’est le Nombre, c’est peut-être Légion… Sans doute n’avon
50 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Précédence ou primauté de l’économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé)
76 l’individu et la suppression de l’État, sont sans commune mesure avec les moyens qu’il met en œuvre. Ou mieux encore : les moye
51 1934, Politique de la personne. Principes d’une politique du pessimisme actif — Note sur un certain humour
77 ent que la vie, ils savent trop bien jouer le jeu commun . Le croyant rit un peu de ces adresses. Il s’amuse parfois à perdre
52 1934, Politique de la personne. Idoles — Antimarxiste parce que chrétien
78 ons, il n’y a ni passage, ni compromis, ni points communs , ni rien. Il n’y a que la mort. Tout ce que je viens de dire, je voud
79 l. Je crois littéralement qu’il n’y a aucun point commun de doctrine entre un communiste sincère et un chrétien obéissant. Ils
53 1934, Politique de la personne. Idoles — Fascisme
80 le plan des doctrines, qu’une seule revendication commune  : l’étatisme. Tout ce qui n’est pas accidentel dans le fascisme et l’
54 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
81 s termes :   Est-il possible de définir une cause commune de la jeunesse française, une communauté d’attitude essentielle ? Il
82 appuis occasionnels ; et certains objectifs sont communs … Déjà s’affirme dans l’attitude de tous ces groupes un acte de présen
83 in, finalement n’en donnent jamais. Nous avons en commun avec eux certains mots d’ordre immédiats : lutte contre le capitalism
55 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Communauté révolutionnaire
84 vice civil de l’autre. Tension organique entre la commune ou la région d’une part, et la fédération de l’autre.) Je ne puis m’a
85 hommes qui se rencontrent pour exécuter une tâche commune , soit que l’un vienne en aide à l’autre (c’est la définition chrétien
56 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
86 veté primaire n’auraient-ils pas quelque chose en commun  ? Vous voulez seulement « réussir », mais vous ne voulez pas qu’on vo
87 uent d’humour.) Anonymat Ils ont un « front commun  », mais ils n’ont plus de visages particuliers. Deux mythes Le
57 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Tactique personnaliste
88 iction et leur sincérité. Fondés sur cette erreur commune , ils nous reprochent d’être sans « force » au service de nos vérités.
89 es oriente et leur donne à la fois une expression commune — des mots d’ordre — et une finalité vraiment nouvelle. C’est la doct
58 1934, Politique de la personne. Appendice — Liberté ou chômage ?
90 bération ». La liberté fait plus peur qu’envie au commun des mortels. Ils n’osent pas la considérer en face. Tant qu’elle rest
59 1934, Politique de la personne. Appendice — Loisir ou temps vide ?
91 ; si le labeur et le repos n’ont plus de finalité commune  ; s’il n’y a plus de loisir dans le travail ni de travail dans le loi
92 Par cet acte, travail et loisir retrouveront leur commun sens : dans l’actualité de l’être, où ils ne seront plus que les temp
60 1934, Politique de la personne. Appendice — Groupements personnalistes
93 é d’une prise de conscience révolutionnaire. Lieu commun pour cette génération : la violence véritable est celle des construct
94 méro une conception spiritualiste qui n’a rien de commun avec cela qu’ont voulu voir en elle les critiques de droite et de gau
95 t , mais qui n’a pas tardé à dévier vers le Front commun de M. Bergery. 75. Et depuis peu, plusieurs mouvements d’action pub
61 1934, Politique de la personne. Appendice — Ni droite ni gauche
96 exercer sans nul intermédiaire, que ce soient les communes ou les corporations, les syndicats ou les fédérations. Les attardés q
62 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — Ridicule et impuissance du clerc qui s’engage
97 e, mais bien, et quoi qu’on veuille, jouer le jeu commun . C’est condamner ou absoudre après coup des passions collectives sur
63 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — En dernier ressort
98 relative, vouée dès sa naissance à la dégradation commune . Et l’on retombe alors dans l’idéologie désespérante du Progrès. Pour
99 de circonstance qui n’ont parfois rien d’autre en commun pour la forme que les défauts de l’improvisation, je ne crois pas un
64 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
100 e. Elles ont encore un autre nom, et qui leur est commun à toutes : c’est le Nombre, c’est peut-être Légion… Sans doute n’avon
65 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Précédence ou primauté de l’économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé)
101 l’individu et la suppression de l’État, sont sans commune mesure avec les moyens qu’il met en œuvre. Ou mieux encore : les moye
66 1934, Politique de la personne (1946). Principes d’une politique du pessimisme actif — Note sur un certain humour
102 ent que la vie, ils savent trop bien jouer le jeu commun . Le croyant rit un peu de ces adresses. Il s’amuse parfois à perdre q
67 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Antimarxiste parce que chrétien
103 ons, il n’y a ni passage, ni compromis, ni points communs , ni rien. Il n’y a que la mort. Tout ce que je viens de dire, je voud
104 l. Je crois littéralement qu’il n’y a aucun point commun de doctrine entre un communiste sincère et un chrétien obéissant. Ils
68 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Fascisme
105 le plan des doctrines, qu’une seule revendication commune  : l’étatisme. Tout ce qui n’est pas accidentel dans le fascisme et l
69 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
106 s termes :   Est-il possible de définir une cause commune de la jeunesse française, une communauté d’attitude essentielle ? Il
107 appuis occasionnels ; et certains objectifs sont communs … Déjà s’affirme dans l’attitude de tous ces groupes un acte de présen
108 in, finalement n’en donnent jamais. Nous avons en commun avec eux certains mots d’ordre immédiats : lutte contre le capitalism
70 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Communauté révolutionnaire
109 vice civil de l’autre. Tension organique entre la commune ou la région d’une part, et la fédération de l’autre.) Je ne puis m’a
110 hommes qui se rencontrent pour exécuter une tâche commune , soit que l’un vienne en aide à l’autre (c’est la définition chrétien
71 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
111 veté primaire n’auraient-ils pas quelque chose en commun  ? Vous voulez seulement « réussir », mais vous ne voulez pas qu’on vo
112 uent d’humour.) Anonymat Ils ont un « front commun  », mais ils n’ont plus de visages particuliers. Deux mythes Le
72 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Tactique personnaliste
113 iction et leur sincérité. Fondés sur cette erreur commune , ils nous reprochent d’être sans « force » au service de nos vérités.
114 es oriente et leur donne à la fois une expression commune — des mots d’ordre — et une finalité vraiment nouvelle. C’est la doct
73 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Liberté ou chômage ?
115 bération ». La liberté fait plus peur qu’envie au commun des mortels. Ils n’osent pas la considérer en face. Tant qu’elle rest
74 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Loisir ou temps vide ?
116 ; si le labeur et le repos n’ont plus de finalité commune  ; s’il n’y a plus de loisir dans le travail ni de travail dans le loi
117 Par cet acte, travail et loisir retrouveront leur commun sens : dans l’actualité de l’être, où ils ne seront plus que les temp
75 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Groupements personnalistes
118 méro une conception spiritualiste qui n’a rien de commun avec cela qu’ont voulu voir en elle les critiques de droite et de gau
76 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Qu’est-ce que la politique ?
119 er la fidélité au parti avant la fidélité au bien commun de la nation. Ainsi, quand tout va bien, quand la machine paraît roul
120 itoyens de se désintéresser, en pratique, du bien commun . Et l’on admet alors qu’il existe deux morales, l’une privée et l’aut
121 rt du temps contradictoires, ou en tous cas, sans commune mesure. 5. Pour nous, personnalistes, c’est tout le contraire : la v
122 ’État — secteur organisé — et de la nation, idéal commun . Elle implique une hiérarchie : l’organisation devant être normalemen
123 e réponse efficace, donneront du même coup un but commun aux efforts de tous les citoyens, par-dessus les partis et leurs pauv
124 ront enfin une base, une perspective et un avenir commun à la politique, à la culture, à toutes les forces créatrices de ce pa
77 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Quatre indications pour une culture personnaliste (février 1935)
125 ganiquement articulé, c’est-à-dire dominé par une commune mesure.   3. — La culture ayant une mesure commune avec l’économique,
126 ommune mesure.   3. — La culture ayant une mesure commune avec l’économique, le social et le politique, la création intellectue
127 ou de quelque plan étatique, mais à partir d’une commune mesure et pour des fins dernières identiques.   4. — L’autorité cultu
78 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). L’édit de Nantes et sa révocation (mars-avril 1935)
128 glorification sans réserve de l’écrasement de la Commune fédéraliste, et à l’exaltation de l’étatisme actuel. Serait-ce tout s
79 1935, Articles divers (1932-1935). Lettre à la rédaction de Commune (mai 1935)
129 Lettre à la rédaction de Commune (mai 1935)p Monsieur, Votre petite note sur mon livre illustre une
130 ivre illustre une fois de plus la mauvaise foi de Commune . Si vous aviez lu ce livre vous sauriez : 1° que je combats violemmen
131 courant du terme. p. « Lettre à la rédaction », Commune , Paris, n° 21, mai 1935, p. 1059. Publiée en réponse à une recension
80 1935, Le Semeur, articles (1933–1949). La cité (avril-mai 1935)
132 té des villes modernes, privés de toute espèce de commune mesure. L’un devenait tout petit, l’autre énorme. En effet, la cité d
133 qu’en tant que chrétiens nous échappons aux lois communes  ? Non pas ! Et gardons-nous ici de toute illusion optimiste ! Chrétie
134 a, et personne ne sait où il va. Il n’y a plus de commune mesure entre la pensée et l’action. La cité n’est plus dominée par un
135 a cité n’est plus dominée par une norme et un but commun . Ce sont les bases culturelles qui sont atteintes ! Et c’est pourquoi
136 n’aura pas reconstruit ces bases, et retrouvé la commune mesure. Donner de la soupe aux chômeurs, c’est très bien, mais cela n
137 ’est bien une tâche spirituelle : retrouver cette commune mesure de la pensée et de l’action, de la culture et de l’économie ;
138 es civilisations, c’est l’histoire de leur mesure commune , de leur règle centrale de pensée et d’action, ou si l’on veut, pour
81 1935, Esprit, articles (1932–1962). Tristan Tzara, Grains et Issues (juin 1935)
139 is ce n’est pas là, n’est-ce pas, ce qu’on veut à Commune , revue officielle du PC. Il veut que le langage s’assouplisse au poin
82 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Recherches philosophiques (septembre 1935)
140 historique capital sur lequel se fonde l’attitude commune des intellectuels révolutionnaires, qu’ils soient humanistes ou chrét
83 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
141 séparer de ces réalités trop terre-à-terre où le commun risquerait fort de ne le point distinguer nettement ? À coup sûr, il
142 ’est plus utile aux « réalistes » que la croyance commune à la valeur en soi de l’idéal. Cependant ces discours hypocrites ne f
143 déalistes romantiques) peut encore figurer la foi commune des clercs, pourtant molestés par l’époque avec une vigueur qui devra
144 f qu’un seul trait — à mon sens le seul décisif — commun à toutes les disciplines que l’on enseigne aux jeunes clercs : et c’e
84 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). « Le plus beau pays du monde » (octobre 1935)
145 a se plaindre à son député. Lequel interpelle les communes . Qui à leur tour infligent un blâme à l’inspecteur ; car si l’École s
146 et qui ne manque pas de féliciter la Chambre des communes . (Gazette de Francfort, du 31 juillet). On dirait une « histoire idio
147 à un autre, car où est l’étalon, où est la mesure commune , et qui connaît le modèle idéal ? Le malfaisant nationalisme n’est ri
85 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). La situation politique en France (octobre 1935)
148 à la question, n’indique d’urgence une direction commune , les anciennes habitudes vont se réveiller, et la houlette de Léon Bl
149 Il est temps de donner à ces troupes une volonté commune constructive, un programme qu’elles puissent opposer aux entreprises
150 de la Rocque. 28. Par exemple un essai de front commun allant des Volontaires nationaux à Doriot, en passant par le front so
86 1936, Articles divers (1936-1938). Forme et transformation, ou l’acte selon Kierkegaard (janvier 1936)
151 t animal, et soumis à la forme des choses, — à la commune dégradation. Ceux qui ne croient pas à l’acte, c’est qu’ils ne connai
87 1936, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Sur une page de Bossuet (ou Tradition et Révélation) (janvier 1936)
152 de tradition universelle — dont quinze nous sont communs d’ailleurs avec l’Église romaine — à quatre siècles d’une tradition q
153 ire anglican, dans ce qu’il a de spécifique et de commun au sein de sa diversité ? L’on verrait mieux alors, que l’opposition
154 érieux qu’on leur accorde en fait, mais l’opinion commune qu’elles sont censées enregistrer. Cette opinion commune, je suis cer
155 qu’elles sont censées enregistrer. Cette opinion commune , je suis certain de la traduire sans la fausser quand je dis que le c
156 e l’antithèse lorsque j’affirme que cette opinion commune est un négatif absolu des positions fondamentales de la Réforme. Voil
157 si de ce que la Cène sacrée est séparée du souper commun  ! Mais plutôt ne vous étonnez jamais de ce que l’Église fait. Instrui
88 1936, Esprit, articles (1932–1962). Vues sur C. F. Ramuz (mai 1936)
158 oi qu’il fait, par occasion, d’un terme roturier, commun , non littéraire. Ramuz, c’est le contraire : s’il écrit « Autarchie »
159 veau, puis retrouvé pour un instant) : où on a en commun un Père et une Mère, où la grande parenté des hommes est entr’aperçue
89 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Qu’est-ce que la politique ? (juin 1936)
160 er la fidélité au parti avant la fidélité au bien commun de la nation. Ainsi, quand tout va bien, quand la machine paraît roul
161 itoyens de se désintéresser, en pratique, du bien commun . Et l’on admet alors qu’il existe deux morales, l’une privée et l’aut
162 rt du temps contradictoires, ou en tous cas, sans commune mesure. 5. Pour nous, personnalistes, c’est tout le contraire : la v
163 ’État — secteur organisé — et de la nation, idéal commun . Elle implique une hiérarchie : l’organisation devant être normalemen
164 e réponse efficace, donneront du même coup un but commun aux efforts de tous les citoyens, par-dessus les partis et leurs pauv
165 nt enfin une base et une perspective et un avenir communs à la politique, à la culture, à toutes forces créatrices de ce pays.
90 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Du danger de confondre la bonne foi et le stalinisme (juillet 1936)
166 d’un tout autre progrès. Que si les staliniens de Commune ou d’Europe, comme c’est l’usage, ne répondent que par des injures à
91 1936, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le Problème du bien (12 septembre 1936)
167 e de réalisme, d’un ensevelissement dans la fosse commune . Le mérite capital de cette vision totalitaire du réel, c’est qu’elle
92 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Manifeste au service du personnalisme par Emmanuel Mounier (octobre 1936)
168 vivement engagée, que tout nous porte à souhaiter commune . Quelle que soit notre méfiance à l’endroit des synthèses tactiques o
93 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
169 Culture et commune mesure (novembre 1936)s I. La culture soviétique Lorsqu’on cr
170 l faut alors définir la culture comme « une forme commune de la vie, dont l’activité économique et politique ne constitue qu’un
171 rtout la pensée — doivent s’ordonner à une mesure commune en vue de réaliser cette fin commune qu’est l’univers socialisé. ⁂ On
172 à une mesure commune en vue de réaliser cette fin commune qu’est l’univers socialisé. ⁂ On connaît le nom de cette mesure, son
173 sses le rôle d’un permanent rappel de la finalité commune à toutes les œuvres spirituelles et matérielles ? La réponse me paraî
174 core dans les pays capitalistes. L’avantage d’une commune mesure donnant un sens aux moindres tâches individuelles qu’elle situ
175 ent de Marx, et dont il entendait faire la mesure commune de la pensée et de l’action : « Donnez d’abord le pain à tous, et le
176 isée contre elle-même. Elle n’est plus réellement commune , encore qu’elle soit réellement imposée. Et je ne préjuge rien de l’a
177 ici dans leur tentative de créer par la force une commune mesure pour la pensée et l’action. La démonstration que j’ai esquissé
178 ous ferez du collectivisme. C’est la seule « base commune  » puissante pour toute action culturelle future. Je réponds à ces deu
179 l’extérieur, si nous voulons rétablir une mesure commune à la pensée et à l’action. Car un ordre extérieur n’est solide et féc
180 ui n’est pas moins actuelle. III. L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle Je ne connais qu’un moyen de ré
181 lisaient leur grandeur. Et l’histoire des mesures communes ordonnées à ces grands desseins et ordonnant toutes choses à leur ser
182 n grand dessein, c’est l’incarnation d’une mesure commune à tous les ordres et qui les harmonise. La question de la mesure d’un
183 l’autre en résulte et s’en souvient. L’ersatz de commune mesure, dans les régimes bourgeois capitalistes, c’était l’argent. Ma
184 ieuses et urgentes, enfin solides de s’aimer ? La commune mesure des États neufs, c’est au contraire une mystique conquérante.
185 nos corps signifie sans erreur possible que toute commune mesure est morte parmi nous, et que nulle mesure vraie n’est encore r
186 emps ou l’espace, peuvent en appeler à une mesure commune . Seul l’homme déterminé par ses relations prochaines et actives peut
187 git de l’inconscient des peuples vers une réalité commune , communautaire. La puissance de cet appel ne saurait être comparée qu
188 qui croient, et qui revient à la doctrine du bien commun . Elle agit dans le mouvement œcuménique. Et dans le mouvement des Gro
189 de forces totales, de crise totale, et de destins communs  : forces, crise et destins qui sont tout à la fois politiques et cult
190 de nos voisins ; — ou bien nous recréerons notre commune mesure originale, à la faveur d’une révolution qui nous apporte au mo
191 ont fondé des religions dont le but est la force commune . Ils ont su se créer des symboles grandioses. Ces symboles nous parai
192 sonnelle, celle que donne la vérité. Notre mesure commune ne sera pas collective, extérieure à notre personne : cela n’a pas de
193 t les Allemands : du déshonneur. s. « Culture et commune mesure », Esprit, Paris, n° 50, novembre 1936, p. 251-273. Une note p
94 1936, Esprit, articles (1932–1962). Note sur nos notes (novembre 1936)
194 er des canons esthétiques, ni même une rhétorique commune , ou un jargon d’équipe, ou je ne sais quel sabir personnaliste. Au jo
195 s. Pour qu’une école se crée, il faut qu’une base commune existe, qui n’existe plus aujourd’hui, qu’il faut commencer par refai
196 passion de construire, d’une vision grande du but commun . Bien écrit, mal écrit, talent ou pas talent, original, influencé, et
95 1936, Articles divers (1936-1938). Décadence des lieux communs (décembre 1936)
197 a partie comme il le peut, sans souci de la règle commune , et la terreur domine cette anarchie, distribuant des condamnations d
198 e sens des fins vienne à faiblir et que la mesure commune cesse d’être effectivement perçue et observée, l’on assiste à la même
199 e l’homme qu’il séduit et qu’il trompe. Cette fin commune , cet idéal commun que nous devions servir ensemble dans la fraternité
200 uit et qu’il trompe. Cette fin commune, cet idéal commun que nous devions servir ensemble dans la fraternité que crée l’œuvre
201 ormisme enthousiaste qui tient lieu de conscience commune aux grandes masses européennes, quel que soit leur régime politique.
96 1936, Esprit, articles (1932–1962). André Gide, Retour de l’URSS (décembre 1936)
202 ur le besoin de camaraderie, de partage et de vie commune . » On ricanait quand Berdiaev prophétisait l’apparition prochaine, en
97 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). L’Art poétique ou Qu’il faut penser avec les mains (décembre 1936)
203 partout évanouissant n’en est pas moins le sens «  commun  » — voire même, par antiphrase, le sens « courant ». Dans cette affai
204 par la politique, ont peu à peu fait passer pour communes des significations qui à vrai dire, et dans le fait, ruinent les base
98 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Les jacobins en chemise brune (décembre 1936)
205 enant il faut donner à toute l’Allemagne un idéal commun , des haines communes, et pour cela fonder un parti unitaire qui s’app
206 r à toute l’Allemagne un idéal commun, des haines communes , et pour cela fonder un parti unitaire qui s’appuiera sur une mystiqu
207 — Là encore, Hitler va trouver une base de haines communes sur laquelle puisse s’unifier la nation. Le Diktat de Versailles, sig
99 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Le problème de la culture
208 e des mots, c’est que l’on doute en réalité de la commune mesure de la culture et de l’importance qu’il y aurait à la traduire
100 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — D’une culture qui parle dans le vide
209 tion, subordination de l’une à l’autre ou origine commune . Nous y reviendrons. Prendre conscience de la crise culturelle, c’est
210 allottés entre l’opinion, qui traduit l’ignorance commune , et quelques principes sacro-saints5 dont ils ont perdu le secret : c
211 s en déduire que l’erreur d’une telle éthique est commune aux uns et aux autres, aux patrons et aux ouvriers ? L’examen des tri