1
ai-je que l’abus des points d’exclamation — trait
commun
à presque toutes les femmes auteur, et qui plaît aux lectrices — m’ag
2
oût 1927)an Ces trois nouvelles n’ont guère de
commun
entre elles que la forme : ce sont de lentes réminiscences, des évoca
3
d’exception, et les réduit avec acharnement à son
commun
dénominateur4. Nos bourgeois assistent sans honte à ce crime quotidie
4
se le développement de leurs penchants les plus «
communs
» : jalousie, vanité, panurgisme, concurrence sournoise, admiration d
5
ve ? L’instruction publique est la forme la plus
commune
de la peste rationaliste qui sévit dans le monde depuis le xviiie (d
6
d’exception, et les réduit avec acharnement à son
commun
dénominateur 4. Nos bourgeois assistent sans honte à ce crime quotidi
7
se le développement de leurs penchants les plus «
communs
» : jalousie, vanité, panurgisme, concurrence sournoise, admiration d
8
rve ? L’instruction publique est la forme la plus
commune
de la peste rationaliste qui sévit dans le monde depuis le xviiie (d
9
rire dans ses effets, et qui paraît affecter d’un
commun
penchant au libertinage mental trois phénomènes littéraires partout a
10
des connaissances plus complètes que l’expérience
commune
?” Depuis (et même avant) que Saint-Augustin a formulé cette question
11
fuite : n’est-il pas cet Objet qui n’ait rien de
commun
avec ce que tu sais de toi-même en cette vie ? Mais le voir, ce serai
12
ons celui des races de la Terre. Non plus une foi
commune
, mais une moyenne de nos manières d’être. Une sorte de commun dénomin
13
une moyenne de nos manières d’être. Une sorte de
commun
dénominateur… (Le christianisme en connaît un, depuis toujours : il l
14
met de les identifier au premier coup d’œil, ce «
commun
dénominateur » d’expression et de masques si dissemblables, n’est-ce
15
qui menace ». Mais partout ailleurs, qu’en cette
commune
antipathie, M. Marcel et M. Nizan s’opposent avec une netteté d’autan
16
e rechercher ce que ces artistes peuvent avoir de
commun
, ce qu’ils doivent à leur origine ou à leur foi réformée, — et si ces
17
égligent volontiers ce qui les rend semblables au
commun
des mortels ; bref, plus ou moins inconsciemment, ils contribuent à c
18
itude qui se dégage lentement d’une profusion peu
commune
de petits faits, de personnages et de descriptions des lieux où ils v
19
ue formulèrent les romantiques allemands. Rien de
commun
avec un Renan, un France. a. « Les Éléments de la grandeur humaine,
20
romantiques et de frissons anarchiques. Le thème
commun
, c’est sans doute l’atrocité de la « vie normale », ou si l’on préfèr
21
a mort, la peur, la maladie. Et la joie, ce point
commun
, « ce point qui est au-delà de la vie ». Le communisme qui règne au j
22
s leur habitus individuel bien plus que dans leur
commune
grandeur. Seule la croyance en une analogie universelle des réactions
23
t divergentes, une attitude humaine qui me paraît
commune
. Que Goethe ait pratiqué « le devis des choses grandes et secrètes »
24
ours renouvelées. Mais il y faut une prudence peu
commune
, et même tellement soutenue qu’elle informe peu à peu une sorte d’ins
26
tre part, elles définissent suffisamment la cause
commune
de la jeunesse européenne. L’humanisme n’est rien s’il n’est commun c
27
sse européenne. L’humanisme n’est rien s’il n’est
commun
comme le péril qui nous menace ; s’il ne considère avant tout la comm
28
qui nous menace ; s’il ne considère avant tout la
commune
condition humaine et sa défense contre un système dont l’action disso
29
inséparable d’un ordre humain total. b. « Cause
commune
», Présence, Lausanne et Genève, n° 2, avril-juin 1932, p. 12-15. Pré
30
les deux termes, faute d’être assumés sur le plan
commun
de la conscience où ils s’exalteraient en s’opposant franchement, tir
31
insisterais pas, si ces traits ne me paraissaient
communs
à beaucoup de jeunes intellectuels marxistes, en France particulièrem
32
in, finalement n’en donnent jamais. Nous avons en
commun
avec eux certains mots d’ordre immédiats : lutte contre le capitalism
33
re 1932)i Est-il possible de définir une cause
commune
de la jeunesse française, une communauté d’attitude essentielle ? Il
34
; et certains de leurs objectifs respectifs sont
communs
… Déjà s’affirme dans l’attitude de tous ces groupes un véritable acte
35
fuite : n’est-il pas cet objet qui n’ait rien de
commun
avec ce que tu sais de toi-même en cette vie ? Mais le voir, ce serai
36
fuite : n’est-il pas cet objet qui n’ait rien de
commun
avec que ce que tu sais de toi-même en cette vie ? Mais le voir, ce s
37
iennent pour responsable, et par l’erreur la plus
commune
, l’en nomment si bien le représentant qu’il lui faut à la fin se la r
38
ives sont intactes, minutieusement tenues par les
communes
les plus modestes, et tenues depuis plusieurs siècles pour une beauco
39
s. Je note pourtant que l’un des traits qu’ont en
commun
presque toutes les anciennes familles de ce pays manque à la mienne :
40
e l’Église comme de deux choses qui n’ont rien en
commun
. » Il constate que l’Église est intervenue dans la vie quotidienne en
41
bération ». La liberté fait plus peur qu’envie au
commun
des mortels. Ils n’osent pas la considérer en face. Tant qu’elle rest
42
; si le labeur et le repos n’ont plus de finalité
commune
; s’il n’y a plus de loisir dans le travail ni de travail dans le loi
43
Par cet acte, travail et loisir retrouveront leur
commun
sens : dans l’actualité de l’être, où ils ne seront plus que les temp
44
désignent des réalités éthiques qui n’ont rien de
commun
avec l’acte, le risque et le choix dont parle la théologie dans sa di
45
n de tout ce qui n’est pas l’État : départements,
communes
, corporations, familles, individus. Dans le premier cas il doit accom
46
ns, combien d’intellectuels parmi les lecteurs de
Commune
? h. « Pour qui écrivez-vous ? », Commune, Paris, n° 5-6, janvier-f
47
rs de Commune ? h. « Pour qui écrivez-vous ? »,
Commune
, Paris, n° 5-6, janvier-février 1934, p. 571-572. Le texte de Rougemo
49
blique. Elles ont encore un autre nom, et qui est
commun
à toutes : c’est le Nombre, c’est peut-être Légion… Sans doute n’avon
50
vice civil de l’autre. Tension organique entre la
commune
et la région d’une part, et la fédération de l’autre.) Les principes
51
hommes qui se rencontrent pour exécuter une tâche
commune
, soit que l’un vienne en aide à l’autre (c’est la définition chrétien
52
ion ce lyrisme de l’isolement, c’est un des tours
communs
de l’orgueil romantique. On a coutume d’en rendre Rousseau responsabl
53
mme Nietzsche, avec lequel il a pas mal de traits
communs
, Kierkegaard nous laisse un ouvrage d’autocritique2 où il dégage le s
54
t les coutumes du citoyen moderne ont perdu toute
commune
mesure. Que se passerait-il si un beau jour le public se mettait à l’
55
é d’une prise de conscience révolutionnaire. Lieu
commun
pour cette génération : la violence véritable est celle des construct
56
méro une conception spiritualiste qui n’a rien de
commun
avec cela qu’ont voulu voir en elle les critiques de droite et de gau
57
l n’en reste pas moins que le fondement spirituel
commun
à ces deux groupes se confond presque intégralement avec celui qu’un
58
même d’évangélisation. Il s’agissait de mettre en
commun
des difficultés intimes, d’entrer dans le concret du christianisme. U
59
rait en citer quelques autres. Qu’ont-ils donc de
commun
, génie à part ? Peut-être leurs souffrances seulement. Mais s’il n’es
60
e, nous allons quelquefois à l’église déplorer en
commun
l’athéisme du monde. « Le Nouveau Testament suppose sans autre que le
61
elle te méprisera sans doute, mais c’est le sort
commun
, tu ne cours pas grand risque. Si tu dis non, si tu agis, elle te tue
62
e efficace — que si elle ordonne ses œuvres à une
commune
mesure humaine. Mais notre siècle est justement le siècle de la décad
63
rier, écrit Rudolf Kassner, n’ont presque plus en
commun
que des banalités. » Mais quelle est la nature de ces banalités ? L’a
64
pensable, c’est avouer qu’il n’y a plus de mesure
commune
à la pensée et à l’action, — hors la monnaie. Un monde sans mesure, c
65
— et d’autant plus profondément enraciné dans la
commune
condition humaine. Rendez à l’écrivain la responsabilité de ses écrit
66
les masses, parce qu’elle restaure une conscience
commune
. Nous voyons aussi le bourgeois s’émerveiller de ce rajeunissement. C
67
de l’humain et qu’elle créera dans la perspective
commune
. Restaurer le prestige de la culture, cela ne va pas à la spéculation
68
un roman d’aventures, et même d’une intensité peu
commune
. Mais cet aspect-là, qui suffit d’ailleurs à rendre le livre passionn
69
ment15. Empressons-nous de dire qu’il n’a rien de
commun
avec le vague fantôme qu’évoquent les magiciens du Plan. Enfin, le Pl
70
teur voudrait d’ailleurs considérer comme le bien
commun
de sa génération. 1. L’indéfinissable concret Il ne faut pas est
71
ommun, ou plus exactement une réalité d’existence
commune
à des concepts très diversement définis par les philosophes de l’écol
72
e, mais bien, et quoi qu’on veuille, jouer le jeu
commun
. C’est condamner ou absoudre après coup des passions collectives sur
73
relative, vouée dès sa naissance à la dégradation
commune
. Et l’on retombe alors dans l’idéologie désespérante du Progrès. Pour
74
de circonstance qui n’ont parfois rien d’autre en
commun
pour la forme que les défauts de l’improvisation, je ne crois pas un
75
blique. Elles ont encore un autre nom, et qui est
commun
à toutes : c’est le Nombre, c’est peut-être Légion… Sans doute n’avon
76
l’individu et la suppression de l’État, sont sans
commune
mesure avec les moyens qu’il met en œuvre. Ou mieux encore : les moye
77
ent que la vie, ils savent trop bien jouer le jeu
commun
. Le croyant rit un peu de ces adresses. Il s’amuse parfois à perdre
78
ons, il n’y a ni passage, ni compromis, ni points
communs
, ni rien. Il n’y a que la mort. Tout ce que je viens de dire, je voud
79
l. Je crois littéralement qu’il n’y a aucun point
commun
de doctrine entre un communiste sincère et un chrétien obéissant. Ils
80
le plan des doctrines, qu’une seule revendication
commune
: l’étatisme. Tout ce qui n’est pas accidentel dans le fascisme et l’
81
s termes : Est-il possible de définir une cause
commune
de la jeunesse française, une communauté d’attitude essentielle ? Il
82
appuis occasionnels ; et certains objectifs sont
communs
… Déjà s’affirme dans l’attitude de tous ces groupes un acte de présen
83
in, finalement n’en donnent jamais. Nous avons en
commun
avec eux certains mots d’ordre immédiats : lutte contre le capitalism
84
vice civil de l’autre. Tension organique entre la
commune
ou la région d’une part, et la fédération de l’autre.) Je ne puis m’a
85
hommes qui se rencontrent pour exécuter une tâche
commune
, soit que l’un vienne en aide à l’autre (c’est la définition chrétien
86
veté primaire n’auraient-ils pas quelque chose en
commun
? Vous voulez seulement « réussir », mais vous ne voulez pas qu’on vo
87
uent d’humour.) Anonymat Ils ont un « front
commun
», mais ils n’ont plus de visages particuliers. Deux mythes Le
88
iction et leur sincérité. Fondés sur cette erreur
commune
, ils nous reprochent d’être sans « force » au service de nos vérités.
89
es oriente et leur donne à la fois une expression
commune
— des mots d’ordre — et une finalité vraiment nouvelle. C’est la doct
90
bération ». La liberté fait plus peur qu’envie au
commun
des mortels. Ils n’osent pas la considérer en face. Tant qu’elle rest
91
; si le labeur et le repos n’ont plus de finalité
commune
; s’il n’y a plus de loisir dans le travail ni de travail dans le loi
92
Par cet acte, travail et loisir retrouveront leur
commun
sens : dans l’actualité de l’être, où ils ne seront plus que les temp
93
é d’une prise de conscience révolutionnaire. Lieu
commun
pour cette génération : la violence véritable est celle des construct
94
méro une conception spiritualiste qui n’a rien de
commun
avec cela qu’ont voulu voir en elle les critiques de droite et de gau
95
t , mais qui n’a pas tardé à dévier vers le Front
commun
de M. Bergery. 75. Et depuis peu, plusieurs mouvements d’action pub
96
exercer sans nul intermédiaire, que ce soient les
communes
ou les corporations, les syndicats ou les fédérations. Les attardés q
97
e, mais bien, et quoi qu’on veuille, jouer le jeu
commun
. C’est condamner ou absoudre après coup des passions collectives sur
98
relative, vouée dès sa naissance à la dégradation
commune
. Et l’on retombe alors dans l’idéologie désespérante du Progrès. Pour
99
de circonstance qui n’ont parfois rien d’autre en
commun
pour la forme que les défauts de l’improvisation, je ne crois pas un
100
e. Elles ont encore un autre nom, et qui leur est
commun
à toutes : c’est le Nombre, c’est peut-être Légion… Sans doute n’avon
101
l’individu et la suppression de l’État, sont sans
commune
mesure avec les moyens qu’il met en œuvre. Ou mieux encore : les moye
102
ent que la vie, ils savent trop bien jouer le jeu
commun
. Le croyant rit un peu de ces adresses. Il s’amuse parfois à perdre q
103
ons, il n’y a ni passage, ni compromis, ni points
communs
, ni rien. Il n’y a que la mort. Tout ce que je viens de dire, je voud
104
l. Je crois littéralement qu’il n’y a aucun point
commun
de doctrine entre un communiste sincère et un chrétien obéissant. Ils
105
le plan des doctrines, qu’une seule revendication
commune
: l’étatisme. Tout ce qui n’est pas accidentel dans le fascisme et l
106
s termes : Est-il possible de définir une cause
commune
de la jeunesse française, une communauté d’attitude essentielle ? Il
107
appuis occasionnels ; et certains objectifs sont
communs
… Déjà s’affirme dans l’attitude de tous ces groupes un acte de présen
108
in, finalement n’en donnent jamais. Nous avons en
commun
avec eux certains mots d’ordre immédiats : lutte contre le capitalism
109
vice civil de l’autre. Tension organique entre la
commune
ou la région d’une part, et la fédération de l’autre.) Je ne puis m’a
110
hommes qui se rencontrent pour exécuter une tâche
commune
, soit que l’un vienne en aide à l’autre (c’est la définition chrétien
111
veté primaire n’auraient-ils pas quelque chose en
commun
? Vous voulez seulement « réussir », mais vous ne voulez pas qu’on vo
112
uent d’humour.) Anonymat Ils ont un « front
commun
», mais ils n’ont plus de visages particuliers. Deux mythes Le
113
iction et leur sincérité. Fondés sur cette erreur
commune
, ils nous reprochent d’être sans « force » au service de nos vérités.
114
es oriente et leur donne à la fois une expression
commune
— des mots d’ordre — et une finalité vraiment nouvelle. C’est la doct
115
bération ». La liberté fait plus peur qu’envie au
commun
des mortels. Ils n’osent pas la considérer en face. Tant qu’elle rest
116
; si le labeur et le repos n’ont plus de finalité
commune
; s’il n’y a plus de loisir dans le travail ni de travail dans le loi
117
Par cet acte, travail et loisir retrouveront leur
commun
sens : dans l’actualité de l’être, où ils ne seront plus que les temp
118
méro une conception spiritualiste qui n’a rien de
commun
avec cela qu’ont voulu voir en elle les critiques de droite et de gau
119
er la fidélité au parti avant la fidélité au bien
commun
de la nation. Ainsi, quand tout va bien, quand la machine paraît roul
120
itoyens de se désintéresser, en pratique, du bien
commun
. Et l’on admet alors qu’il existe deux morales, l’une privée et l’aut
121
rt du temps contradictoires, ou en tous cas, sans
commune
mesure. 5. Pour nous, personnalistes, c’est tout le contraire : la v
122
’État — secteur organisé — et de la nation, idéal
commun
. Elle implique une hiérarchie : l’organisation devant être normalemen
123
e réponse efficace, donneront du même coup un but
commun
aux efforts de tous les citoyens, par-dessus les partis et leurs pauv
124
ront enfin une base, une perspective et un avenir
commun
à la politique, à la culture, à toutes les forces créatrices de ce pa
125
ganiquement articulé, c’est-à-dire dominé par une
commune
mesure. 3. — La culture ayant une mesure commune avec l’économique,
126
ommune mesure. 3. — La culture ayant une mesure
commune
avec l’économique, le social et le politique, la création intellectue
127
ou de quelque plan étatique, mais à partir d’une
commune
mesure et pour des fins dernières identiques. 4. — L’autorité cultu
128
glorification sans réserve de l’écrasement de la
Commune
fédéraliste, et à l’exaltation de l’étatisme actuel. Serait-ce tout s
129
Lettre à la rédaction de
Commune
(mai 1935)p Monsieur, Votre petite note sur mon livre illustre une
130
ivre illustre une fois de plus la mauvaise foi de
Commune
. Si vous aviez lu ce livre vous sauriez : 1° que je combats violemmen
131
courant du terme. p. « Lettre à la rédaction »,
Commune
, Paris, n° 21, mai 1935, p. 1059. Publiée en réponse à une recension
132
té des villes modernes, privés de toute espèce de
commune
mesure. L’un devenait tout petit, l’autre énorme. En effet, la cité d
133
qu’en tant que chrétiens nous échappons aux lois
communes
? Non pas ! Et gardons-nous ici de toute illusion optimiste ! Chrétie
134
a, et personne ne sait où il va. Il n’y a plus de
commune
mesure entre la pensée et l’action. La cité n’est plus dominée par un
135
a cité n’est plus dominée par une norme et un but
commun
. Ce sont les bases culturelles qui sont atteintes ! Et c’est pourquoi
136
n’aura pas reconstruit ces bases, et retrouvé la
commune
mesure. Donner de la soupe aux chômeurs, c’est très bien, mais cela n
137
’est bien une tâche spirituelle : retrouver cette
commune
mesure de la pensée et de l’action, de la culture et de l’économie ;
138
es civilisations, c’est l’histoire de leur mesure
commune
, de leur règle centrale de pensée et d’action, ou si l’on veut, pour
139
is ce n’est pas là, n’est-ce pas, ce qu’on veut à
Commune
, revue officielle du PC. Il veut que le langage s’assouplisse au poin
140
historique capital sur lequel se fonde l’attitude
commune
des intellectuels révolutionnaires, qu’ils soient humanistes ou chrét
141
séparer de ces réalités trop terre-à-terre où le
commun
risquerait fort de ne le point distinguer nettement ? À coup sûr, il
142
’est plus utile aux « réalistes » que la croyance
commune
à la valeur en soi de l’idéal. Cependant ces discours hypocrites ne f
143
déalistes romantiques) peut encore figurer la foi
commune
des clercs, pourtant molestés par l’époque avec une vigueur qui devra
144
f qu’un seul trait — à mon sens le seul décisif —
commun
à toutes les disciplines que l’on enseigne aux jeunes clercs : et c’e
145
a se plaindre à son député. Lequel interpelle les
communes
. Qui à leur tour infligent un blâme à l’inspecteur ; car si l’École s
146
et qui ne manque pas de féliciter la Chambre des
communes
. (Gazette de Francfort, du 31 juillet). On dirait une « histoire idio
147
à un autre, car où est l’étalon, où est la mesure
commune
, et qui connaît le modèle idéal ? Le malfaisant nationalisme n’est ri
148
à la question, n’indique d’urgence une direction
commune
, les anciennes habitudes vont se réveiller, et la houlette de Léon Bl
149
Il est temps de donner à ces troupes une volonté
commune
constructive, un programme qu’elles puissent opposer aux entreprises
150
de la Rocque. 28. Par exemple un essai de front
commun
allant des Volontaires nationaux à Doriot, en passant par le front so
151
t animal, et soumis à la forme des choses, — à la
commune
dégradation. Ceux qui ne croient pas à l’acte, c’est qu’ils ne connai
152
de tradition universelle — dont quinze nous sont
communs
d’ailleurs avec l’Église romaine — à quatre siècles d’une tradition q
153
ire anglican, dans ce qu’il a de spécifique et de
commun
au sein de sa diversité ? L’on verrait mieux alors, que l’opposition
154
érieux qu’on leur accorde en fait, mais l’opinion
commune
qu’elles sont censées enregistrer. Cette opinion commune, je suis cer
155
qu’elles sont censées enregistrer. Cette opinion
commune
, je suis certain de la traduire sans la fausser quand je dis que le c
156
e l’antithèse lorsque j’affirme que cette opinion
commune
est un négatif absolu des positions fondamentales de la Réforme. Voil
157
si de ce que la Cène sacrée est séparée du souper
commun
! Mais plutôt ne vous étonnez jamais de ce que l’Église fait. Instrui
158
oi qu’il fait, par occasion, d’un terme roturier,
commun
, non littéraire. Ramuz, c’est le contraire : s’il écrit « Autarchie »
159
veau, puis retrouvé pour un instant) : où on a en
commun
un Père et une Mère, où la grande parenté des hommes est entr’aperçue
160
er la fidélité au parti avant la fidélité au bien
commun
de la nation. Ainsi, quand tout va bien, quand la machine paraît roul
161
itoyens de se désintéresser, en pratique, du bien
commun
. Et l’on admet alors qu’il existe deux morales, l’une privée et l’aut
162
rt du temps contradictoires, ou en tous cas, sans
commune
mesure. 5. Pour nous, personnalistes, c’est tout le contraire : la v
163
’État — secteur organisé — et de la nation, idéal
commun
. Elle implique une hiérarchie : l’organisation devant être normalemen
164
e réponse efficace, donneront du même coup un but
commun
aux efforts de tous les citoyens, par-dessus les partis et leurs pauv
165
nt enfin une base et une perspective et un avenir
communs
à la politique, à la culture, à toutes forces créatrices de ce pays.
166
d’un tout autre progrès. Que si les staliniens de
Commune
ou d’Europe, comme c’est l’usage, ne répondent que par des injures à
167
e de réalisme, d’un ensevelissement dans la fosse
commune
. Le mérite capital de cette vision totalitaire du réel, c’est qu’elle
168
vivement engagée, que tout nous porte à souhaiter
commune
. Quelle que soit notre méfiance à l’endroit des synthèses tactiques o
170
l faut alors définir la culture comme « une forme
commune
de la vie, dont l’activité économique et politique ne constitue qu’un
171
rtout la pensée — doivent s’ordonner à une mesure
commune
en vue de réaliser cette fin commune qu’est l’univers socialisé. ⁂ On
172
à une mesure commune en vue de réaliser cette fin
commune
qu’est l’univers socialisé. ⁂ On connaît le nom de cette mesure, son
173
sses le rôle d’un permanent rappel de la finalité
commune
à toutes les œuvres spirituelles et matérielles ? La réponse me paraî
174
core dans les pays capitalistes. L’avantage d’une
commune
mesure donnant un sens aux moindres tâches individuelles qu’elle situ
175
ent de Marx, et dont il entendait faire la mesure
commune
de la pensée et de l’action : « Donnez d’abord le pain à tous, et le
176
isée contre elle-même. Elle n’est plus réellement
commune
, encore qu’elle soit réellement imposée. Et je ne préjuge rien de l’a
177
ici dans leur tentative de créer par la force une
commune
mesure pour la pensée et l’action. La démonstration que j’ai esquissé
178
ous ferez du collectivisme. C’est la seule « base
commune
» puissante pour toute action culturelle future. Je réponds à ces deu
179
l’extérieur, si nous voulons rétablir une mesure
commune
à la pensée et à l’action. Car un ordre extérieur n’est solide et féc
180
ui n’est pas moins actuelle. III. L’appel à la
commune
mesure, ou l’Europe du xxe siècle Je ne connais qu’un moyen de ré
181
lisaient leur grandeur. Et l’histoire des mesures
communes
ordonnées à ces grands desseins et ordonnant toutes choses à leur ser
182
n grand dessein, c’est l’incarnation d’une mesure
commune
à tous les ordres et qui les harmonise. La question de la mesure d’un
183
l’autre en résulte et s’en souvient. L’ersatz de
commune
mesure, dans les régimes bourgeois capitalistes, c’était l’argent. Ma
184
ieuses et urgentes, enfin solides de s’aimer ? La
commune
mesure des États neufs, c’est au contraire une mystique conquérante.
185
nos corps signifie sans erreur possible que toute
commune
mesure est morte parmi nous, et que nulle mesure vraie n’est encore r
186
emps ou l’espace, peuvent en appeler à une mesure
commune
. Seul l’homme déterminé par ses relations prochaines et actives peut
187
git de l’inconscient des peuples vers une réalité
commune
, communautaire. La puissance de cet appel ne saurait être comparée qu
188
qui croient, et qui revient à la doctrine du bien
commun
. Elle agit dans le mouvement œcuménique. Et dans le mouvement des Gro
189
de forces totales, de crise totale, et de destins
communs
: forces, crise et destins qui sont tout à la fois politiques et cult
190
de nos voisins ; — ou bien nous recréerons notre
commune
mesure originale, à la faveur d’une révolution qui nous apporte au mo
191
ont fondé des religions dont le but est la force
commune
. Ils ont su se créer des symboles grandioses. Ces symboles nous parai
192
sonnelle, celle que donne la vérité. Notre mesure
commune
ne sera pas collective, extérieure à notre personne : cela n’a pas de
193
t les Allemands : du déshonneur. s. « Culture et
commune
mesure », Esprit, Paris, n° 50, novembre 1936, p. 251-273. Une note p
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er des canons esthétiques, ni même une rhétorique
commune
, ou un jargon d’équipe, ou je ne sais quel sabir personnaliste. Au jo
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s. Pour qu’une école se crée, il faut qu’une base
commune
existe, qui n’existe plus aujourd’hui, qu’il faut commencer par refai
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passion de construire, d’une vision grande du but
commun
. Bien écrit, mal écrit, talent ou pas talent, original, influencé, et
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a partie comme il le peut, sans souci de la règle
commune
, et la terreur domine cette anarchie, distribuant des condamnations d
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e sens des fins vienne à faiblir et que la mesure
commune
cesse d’être effectivement perçue et observée, l’on assiste à la même
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e l’homme qu’il séduit et qu’il trompe. Cette fin
commune
, cet idéal commun que nous devions servir ensemble dans la fraternité
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uit et qu’il trompe. Cette fin commune, cet idéal
commun
que nous devions servir ensemble dans la fraternité que crée l’œuvre
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ormisme enthousiaste qui tient lieu de conscience
commune
aux grandes masses européennes, quel que soit leur régime politique.
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ur le besoin de camaraderie, de partage et de vie
commune
. » On ricanait quand Berdiaev prophétisait l’apparition prochaine, en
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partout évanouissant n’en est pas moins le sens «
commun
» — voire même, par antiphrase, le sens « courant ». Dans cette affai
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par la politique, ont peu à peu fait passer pour
communes
des significations qui à vrai dire, et dans le fait, ruinent les base
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enant il faut donner à toute l’Allemagne un idéal
commun
, des haines communes, et pour cela fonder un parti unitaire qui s’app
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r à toute l’Allemagne un idéal commun, des haines
communes
, et pour cela fonder un parti unitaire qui s’appuiera sur une mystiqu
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— Là encore, Hitler va trouver une base de haines
communes
sur laquelle puisse s’unifier la nation. Le Diktat de Versailles, sig
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e des mots, c’est que l’on doute en réalité de la
commune
mesure de la culture et de l’importance qu’il y aurait à la traduire
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tion, subordination de l’une à l’autre ou origine
commune
. Nous y reviendrons. Prendre conscience de la crise culturelle, c’est
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allottés entre l’opinion, qui traduit l’ignorance
commune
, et quelques principes sacro-saints5 dont ils ont perdu le secret : c
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s en déduire que l’erreur d’une telle éthique est
commune
aux uns et aux autres, aux patrons et aux ouvriers ? L’examen des tri