1
e principe. Jusqu’ici, rien d’original dans cette
conception
simpliste du monde, qui n’est en rien différente de celle de l’Action
2
, de se voir vivre, dans son œuvre ? C’est ici la
conception
même de la littérature, telle qu’elle apparaît chez les émules de Bar
3
de rechercher ici les origines historiques d’une
conception
qui, de plus en plus, se révèle à la base de tous les problèmes moder
4
décisive. Et c’est justement par opposition à la
conception
proustienne de la personnalité — « mosaïque de sensations juxtaposées
5
ent angoissé qu’on y apporte, l’on en vient à une
conception
de la sincérité qui me paraît proprement inhumaine. Tout dire, vraime
6
, ce qu’il y a de profondément antihumain dans la
conception
fordienne de l’oisiveté. Ford a créé un second dimanche dans la semai
7
ment !) Serons-nous longtemps encore dupes d’une
conception
de la littérature si pédante qu’elle exclut un de nos plus grands con
8
e qu’il y a de schématique et de monotone dans la
conception
démocratique du monde. Entrons, c’est pire encore. Beaucoup d’enfants
9
re nature exige une discipline sévère. D’où notre
conception
pénitentiaire de l’école. Mais, s’il est des disciplines qui renforc
10
s à la profession de chauffeurs de taxi. Si cette
conception
du pratique prévaut, il est à craindre que l’école nouvelle n’apporte
11
e qu’il y a de schématique et de monotone dans la
conception
démocratique du monde. Entrons, c’est pire encore. Beaucoup d’enfants
12
re nature exige une discipline sévère. D’où notre
conception
pénitentiaire de l’école. Mais, s’il est des disciplines qui renforce
13
s à la profession de chauffeurs de taxi. Si cette
conception
du pratique prévaut, il est à craindre que l’école nouvelle n’apporte
14
inconsciemment et qui n’est rien de moins qu’une
conception
nouvelle de l’amour-passion : il apparaît ici sous la forme d’une obs
15
la définition d’un art protestant est liée à une
conception
dogmatique de la foi. Nous pensons même que la renaissance et l’épano
16
es étoiles filantes. ») Mais plus encore que leur
conception
de l’« existence » et que leur ironie, ce qui rapproche Kassner et so
17
es mains complices à des œuvres qui relevaient de
conceptions
nettement a-chrétiennes de la « moralité publique » par exemple. Et q
18
t libéré de l’idéologie bourgeoise, que Ramuz. Sa
conception
tragique du sort de l’homme suffirait à l’attester. Mais plus sûremen
19
à la faveur du secret, et dans la profondeur, des
conceptions
s’opèrent. C’est ainsi que la magie reniée extérieurement au profit d
20
re que l’ensemble des lois de la nature. Ainsi la
conception
de la transcendance divine aboutit pratiquement, chez Goethe, à des a
21
r. » Et certes, on ne voit guère en quoi pareille
conception
pourrait choquer certains protestants libéraux par exemple. Mais c’es
22
e, mais alors elle implique la condamnation d’une
conception
du monde à la fois libérale et inconsciemment matérialiste qui permet
23
qui permet et favorise tout ce dont il s’indigne,
conception
à laquelle, par ailleurs, M. Duhamel semble fort attaché. Pourquoi ré
24
itales, peu importe. Ce n’est pas la pureté d’une
conception
cohérente et rationnelle que nous défendons, c’est l’homme en tant qu
25
e moins une chaste fille de Montmartre. C’est une
conception
de Français né paillard, décoré, et qui ne sait pas la géographie. Il
26
article de la Revue d’Allemagne (oct. 1932), à la
conception
kierkegaardienne du désespoir. Elle ne désigne en réalité qu’un des m
27
ans un monde athée. Quelle que soit d’ailleurs la
conception
historique que l’on ait, il faut pourtant reconnaître que la personne
28
rialisme, c’est l’opium de la révolution. 3e — La
conception
personnaliste est seule capable d’édifier un monde culturel, économiq
29
sentimentalisme subjectif qui rend impossible la
conception
toute classique, objective, latine, spatiale et statique, qui présida
30
ien, Sonnette : Vos actions et vos pensées, votre
conception
de l’amour se réfèrent en vérité à une carte postale en couleurs. Et
31
sentimentalisme subjectif que rend impossible la
conception
toute classique, objective, latine, spatiale et statique, qui présida
32
du changement à vue qui s’opère dans toute notre
conception
du monde. Dans une époque qui a vu les frontières et les peuples de l
33
e fondaient toutes, et se fondent encore, sur une
conception
antichrétienne de la foi. La foi, pour elles, est une « force » que l
34
s plus général, non moins précis, qui désigne une
conception
générale de vie — politique, économique, éthique — fondée sur la croy
35
e pour mieux vivre. Mais alors, en quoi les deux
conceptions
s’opposent-elles si radicalement ? C’est en ceci que, pour les uns, l
36
à quel point l’humanisme, loin d’être une simple
conception
philosophique, est une attitude devant la « vie pratique » — comme on
37
la machine. Cette assimilation en dit long sur la
conception
du travail qui domine aujourd’hui. Elle en fait d’ailleurs immédiatem
38
n vice interne, vice qui affecte dès l’origine sa
conception
de la valeur du travail et conséquemment du loisir. Il ne semble pas
39
tique bourgeoise du travail-vertu, associée à une
conception
purement quantitative de l’activité, n’est plus une mystique de class
40
d’une culture, c’est vicier à la base toutes les
conceptions
du loisir qui découlent de cette erreur spirituelle ; et principaleme
41
e cette erreur spirituelle ; et principalement la
conception
abstraite et négative qui sévit aujourd’hui. On peut en dater l’origi
42
individualisme libéral, procédant par ailleurs de
conceptions
positives et pseudo-scientifiques qui étaient déjà contenues dans la
43
danger est beaucoup plus profond : il est dans la
conception
rationaliste de l’État moderne et dans la conception abstraite de l’h
44
ception rationaliste de l’État moderne et dans la
conception
abstraite de l’homme considéré comme individu atomique. Or ces deux c
45
me considéré comme individu atomique. Or ces deux
conceptions
sont également à la base de tout le système marxiste-stalinien. Elles
46
on prolétarienne ». Il est bon de noter que cette
conception
dépasse les rêveries marxistes dans leur domaine de prédilection. Mai
47
ations humaines. Tout ordre terrestre suppose une
conception
de l’homme, tel qu’il est ou tel qu’il devrait être. Tel qu’il est :
48
tel qu’il devrait être. Tel qu’il est : c’est la
conception
réactionnaire, ou statique, la politique de la contrainte armée, de l
49
sole de force. Tel qu’il devrait être : c’est la
conception
révolutionnaire, ou dynamique, la politique du devenir et de l’évolut
50
. L’analyse du pouvoir aboutit d’autre part à une
conception
de l’organisation politique radicalement antiétatiste, fédéraliste, o
51
la revue, définissait dès son premier numéro une
conception
spiritualiste qui n’a rien de commun avec cela qu’ont voulu voir en e
52
ielles et commerciales. » C’est l’amorce de notre
conception
du service civil, mais entreprise à rebours, et dans un sens qui ne p
53
rnier alinéa). Mais il y manque l’essentiel : une
conception
nette et honnête de la corporation. Je ne trouve là-dessus que six li
54
uveau, avant toute construction, se fonde sur une
conception
totale de l’homme et sur une absolue intransigeance morale : en un mo
55
ra son patriotisme. Le danger, c’est que ces deux
conceptions
partielles, qui comportent chacune leur vérité, ne viennent à s’oppos
56
que et organisée (thèse de Marx et de Lasalle) la
conception
personnaliste oppose mieux qu’un scepticisme : elle renverse de fond
57
lamée par toute la pensée bourgeoise aboutit à la
conception
brutale d’une politique stalinienne ou fasciste, qui ne connaît plus
58
à la divergence irréductible qui existe entre la
conception
chrétienne et la conception marxiste-hégélienne de la réalité humaine
59
e qui existe entre la conception chrétienne et la
conception
marxiste-hégélienne de la réalité humaine et de l’histoire. On peut d
60
ations humaines. Tout ordre terrestre suppose une
conception
de l’homme, tel qu’il est ou tel qu’il devrait être. Tel qu’il est :
61
tel qu’il devrait être. Tel qu’il est : c’est la
conception
réactionnaire, ou statique, la politique de la contrainte armée, de l
62
sole de force. Tel qu’il devrait être : c’est la
conception
révolutionnaire, ou dynamique, la politique du devenir et de l’évolut
63
article de la Revue d’Allemagne (oct. 1932), à la
conception
kierkegaardienne du désespoir. Cette formule ne désigne en réalité qu
64
e fondaient toutes, et se fondent encore, sur une
conception
antichrétienne de la foi. La foi, pour elles, est une « force » que l
65
s plus général, non moins précis, qui désigne une
conception
générale de la vie — politique, économique, éthique — fondée sur la c
66
re pour mieux vivre. Mais alors, en quoi les deux
conceptions
s’opposent-elles si radicalement ? C’est en ceci que, pour les uns, l
67
à quel point l’humanisme, loin d’être une simple
conception
philosophique, est une attitude devant la « vie pratique » — comme on
68
isme. Je puis discuter sa théorie économique ; sa
conception
de l’histoire ; sa dialectique ; ses méthodes politiques et sociales.
69
toutes ces choses réunies. Il est avant tout une
conception
totale de la destinée humaine. Et c’est à cette conception totale, à
70
n totale de la destinée humaine. Et c’est à cette
conception
totale, à cette vie, que je ne puis participer même en imagination, d
71
prendre sur soi et assumer en toute conscience la
conception
communiste, il y a un abîme. Seul, un acte d’adhésion, une sorte d’ac
72
istorique, — ou mieux : évolutive. Entre ces deux
conceptions
, il n’y a ni passage, ni compromis, ni points communs, ni rien. Il n’
73
uelles il faudra revenir, le fascisme n’a pas une
conception
totale et cohérente de la vie humaine. Ou plutôt, il n’est cohérent q
74
ans un monde athée. Quelle que soit d’ailleurs la
conception
historique que l’on ait, il faut pourtant reconnaître que la personne
75
térialisme, c’est l’opium de la révolution. 3° La
conception
personnaliste est seule capable d’édifier un monde culturel, économiq
76
danger est beaucoup plus profond : il est dans la
conception
rationaliste de l’État moderne et dans la conception abstraite de l’h
77
ception rationaliste de l’État moderne et dans la
conception
abstraite de l’homme considéré comme individu atomique. Or ces deux c
78
me considéré comme individu atomique. Or ces deux
conceptions
sont également à la base de tout le système marxiste-stalinien. Elles
79
des gardiens de l’ordre. De part et d’autre, une
conception
très vague de l’ordre ; de part et d’autre, aucun pouvoir réel, aucun
80
la machine. Cette assimilation en dit long sur la
conception
du travail qui domine aujourd’hui. Elle en fait d’ailleurs immédiatem
81
n vice interne, vice qui affecte dès l’origine sa
conception
de la valeur du travail et, conséquemment, du loisir. Il ne semble pa
82
tique bourgeoise du travail-vertu, associée à une
conception
purement quantitative de l’activité, n’est plus une mystique de class
83
d’une culture, c’est vicier à la base toutes les
conceptions
du loisir qui découlent de cette erreur spirituelle ; et principaleme
84
e cette erreur spirituelle ; et principalement la
conception
abstraite et négative qui sévit aujourd’hui. On peut en dater l’origi
85
. L’analyse du pouvoir aboutit d’autre part à une
conception
de l’organisation politique radicalement antiétatiste, fédéraliste, o
86
la revue, définissait dès son premier numéro une
conception
spiritualiste qui n’a rien de commun avec cela qu’ont voulu voir en e
87
on prolétarienne ». Il est bon de noter que cette
conception
dépasse les rêveries marxistes dans leur domaine de prédilection. Mai
88
kegaard est si peu séparable de l’ensemble de ses
conceptions
, qu’en vérité, celui qui la rejette, rejette aussi sa raison d’être e
89
lamée par toute la pensée bourgeoise aboutit à la
conception
brutale d’une politique stalinienne ou fasciste, qui ne connaît plus
90
à la divergence irréductible qui existe entre la
conception
chrétienne et la conception marxiste-hégélienne de la réalité humaine
91
e qui existe entre la conception chrétienne et la
conception
marxiste-hégélienne de la réalité humaine et de l’histoire. On peut d
92
ations humaines. Tout ordre terrestre suppose une
conception
de l’homme, tel qu’il est ou tel qu’il devrait être. Tel qu’il est :
93
tel qu’il devrait être. Tel qu’il est : c’est la
conception
réactionnaire, ou statique, la politique de la contrainte armée, de l
94
sole de force. Tel qu’il devrait être : c’est la
conception
révolutionnaire, ou dynamique, la politique du devenir et de l’évolut
95
article de la Revue d’Allemagne (oct. 1932), à la
conception
kierkegaardienne du désespoir. Cette formule ne désigne en réalité qu
96
e fondaient toutes, et se fondent encore, sur une
conception
antichrétienne de la foi. La foi, pour elles, est une « force » que l
97
s plus général, non moins précis, qui désigne une
conception
générale de la vie — politique, économique, éthique — fondée sur la c
98
re pour mieux vivre. Mais alors, en quoi les deux
conceptions
s’opposent-elles si radicalement ? C’est en ceci que, pour les uns, l
99
à quel point l’humanisme, loin d’être une simple
conception
philosophique, est une attitude devant la « vie pratique » — comme on
100
isme. Je puis discuter sa théorie économique ; sa
conception
de l’histoire ; sa dialectique ; ses méthodes politiques et sociales.
101
toutes ces choses réunies. Il est avant tout une
conception
totale de la destinée humaine. Et c’est à cette conception totale, à
102
n totale de la destinée humaine. Et c’est à cette
conception
totale, à cette vie, que je ne puis participer, même en imagination,
103
prendre sur soi et assumer en toute conscience la
conception
communiste, il y a un abîme. Seul, un acte d’adhésion, une sorte d’ac
104
istorique — ou mieux : évolutive. Entre ces deux
conceptions
, il n’y a ni passage, ni compromis, ni points communs, ni rien. Il n’
105
talitaire dont il s’orne, le fascisme n’a pas une
conception
totale et cohérente de la vie humaine. Ou plutôt, il n’est cohérent q
106
ans un monde athée. Quelle que soit d’ailleurs la
conception
historique que l’on ait, il faut pourtant reconnaître que la personne
107
rialisme, c’est l’opium de la révolution. 3° La
conception
personnaliste est seule capable d’édifier un monde culturel, économiq
108
danger est beaucoup plus profond : il est dans la
conception
rationaliste de l’État moderne et dans la conception abstraite de l’h
109
ception rationaliste de l’État moderne et dans la
conception
abstraite de l’homme considéré comme individu indifférencié. Or ces d
110
nsidéré comme individu indifférencié. Or ces deux
conceptions
sont également à la base de tout le système marxiste-stalinien. Elles
111
des gardiens de l’ordre. De part et d’autre, une
conception
très vague de l’ordre ; de part et d’autre, aucun pouvoir réel, aucun
112
la machine. Cette assimilation en dit long sur la
conception
du travail qui domine aujourd’hui. Elle en fait d’ailleurs immédiatem
113
n vice interne, vice qui affecte dès l’origine sa
conception
de la valeur du travail et, conséquemment, du loisir. Il ne semble pa
114
tique bourgeoise du travail-vertu, associée à une
conception
purement quantitative de l’activité, n’est plus une mystique de class
115
d’une culture, c’est vicier à la base toutes les
conceptions
du loisir qui découlent de cette erreur spirituelle ; et principaleme
116
e cette erreur spirituelle ; et principalement la
conception
abstraite et négative qui sévit aujourd’hui. On peut en dater l’origi
117
il78. L’analyse du aboutissait d’autre part à une
conception
de l’organisation politique radicalement antiétatiste, fédéraliste, o
118
la revue, définissait dès son premier numéro une
conception
spiritualiste qui n’a rien de commun avec cela qu’ont voulu voir en e
119
ns le cas d’autres pays, qui auraient conservé la
conception
traditionnelle de la politique, l’homme se voit entraîné dans la vie
120
ouvent ainsi déterminées. C’est en vertu de notre
conception
de la personne que nous voulons subordonner l’État à la liberté créat
121
ux qui forment la nation. C’est en vertu de notre
conception
de la personne que nous voulons assurer à chacun un « minimum vital »
122
tution du service civil.) C’est en vertu de notre
conception
de la personne que nous voulons restaurer le sens de la mission natio
123
n nationale des Français. C’est en vertu de notre
conception
de la personne, enfin, que nous jugeons désirable et féconde la plura
124
sances la mettent au défi de jouer ? A-t-elle une
conception
de l’homme qui lui soit propre, et qu’elle puisse opposer victorieuse
125
re, et qu’elle puisse opposer victorieusement aux
conceptions
nouvelles ou rétrogrades que les autres puissances exaltent ? Toutes
126
dre qu’en renvoyant au livre de M. Thurneysen. La
conception
« dialectique » de l’homme illustrée par les personnages de Dostoïevs
127
ne poésie philosophique par Kierkegaard, c’est la
conception
même de la vie du chrétien selon Calvin, c’est surtout le simul pecca
128
de tout le romantisme allemand de cette grandiose
conception
d’un univers où tout est correspondance organique, où la réalité naît
129
i subsiste de l’Organismusgedanke, une fois cette
conception
débarrassée des équivoques métaphysiques, c’est un irrationalisme con
130
de préférence à physiognomonie, pour désigner une
conception
du monde, ou plutôt une image du monde, dont l’étude du visage n’est
131
elieu — dernières luttes du fédéralisme contre la
conception
maniaque de l’unité —, on est fondé à dire que les principes qui fure
132
sion établie par quelque unité dominante entre la
conception
de l’unité d’une part, sa réalisation concrète de l’autre. Il est de
133
chanalyse. Paracelse s’était formé de l’homme une
conception
spirituelle et organique (théologique-astrologique) à laquelle notre
134
tion réelle de la vie », Henri de Man y voit « la
conception
courante des masses populaires ». (L’Idée socialiste, p. 33). Le fait
135
incontestable, mais il faut l’interpréter : cette
conception
n’est pas seulement spontanée dans le peuple — ce ne serait pas grave
136
symbolise celle de notre culture : il part d’une
conception
spiritualiste dont il escompte le triomphe temporel automatique (par
137
oulait dire l’inspecteur (à moins qu’il n’ait une
conception
conquérante de la beauté ?). « Démodé » : on se demande dans quel pay
138
peu importe. La vérité, c’est que nous avons une
conception
héroïque de la vie. Tout dépend de cela. Moi. — Nous y voilà. Je ne
139
i. — Nous y voilà. Je ne vais pas combattre votre
conception
du monde dans la mesure où elle se veut héroïque, comme celle des fas
140
’une éthique héroïque. Seulement, nous avons deux
conceptions
radicalement opposées de l’héroïsme. Vous mettez vos bottes et vous a
141
errait mieux que l’opposition réelle est entre la
conception
« évangélique » et la conception papale ; entre la foi à la Révélatio
142
lle est entre la conception « évangélique » et la
conception
papale ; entre la foi à la Révélation parfaite et suffisante, et le r
143
la prédestination (pour Augustin) ou l’Immaculée
Conception
de la Vierge (pour Thomas d’Aquin), par exemple. 26. Le plus étonnan
144
uelle ont depuis lors amené les Messageries à une
conception
moins vorace de leur rôle d’intermédiaire et leurs décrets ont subi q
145
ns le cas d’autres pays, qui auraient conservé la
conception
traditionnelle de la politique, l’homme se voit entraîné dans la vie
146
ouvent ainsi déterminées. C’est en vertu de notre
conception
de la personne que nous voulons subordonner l’État à la liberté créat
147
qui forment la nation46. C’est en vertu de notre
conception
de la personne que nous voulons assurer à chacun un « minimum vital »
148
tution du service civil.) C’est en vertu de notre
conception
de la personne que nous voulons restaurer le sens de la mission natio
149
nationale des Français47. C’est en vertu de notre
conception
de la personne, enfin, que nous jugeons désirable et féconde la plura
150
sances la mettent au défi de jouer ? A-t-elle une
conception
de l’homme qui lui soit propre, et qu’elle puisse opposer victorieuse
151
re, et qu’elle puisse opposer victorieusement aux
conceptions
nouvelles ou rétrogrades que les autres puissances exaltent ? Toutes
152
hristianisme n’est pas précisément opposé à « une
conception
dramatique de l’homme » (p. 226) ; enfin que, contrairement aux affir
153
ction » en général. Étonnante réaction contre les
conceptions
bourgeoises qui assimilaient de plus en plus la culture à la « jouiss
154
des activités spirituelles et pratiques. Mais la
conception
qui assimile l’élévation du niveau de la culture à l’épaisseur des se
155
idicule et vain de tirer une « condamnation » des
conceptions
culturelles russes ou allemandes60. Ces entreprises, d’une envergure
156
trahison des clercs, etc., tout cela au nom d’une
conception
de l’esprit pur dont la faiblesse philosophique égale l’hypocrisie pr
157
, de grandes œuvres représentatives des nouvelles
conceptions
proclamées, — autant de facteurs d’indétermination, ou tout au moins
158
e est apparue : celle d’une image du monde, d’une
conception
du monde fondée sur la raison, l’individu et la science cartésienne.
159
x conventions de l’amour courtois, et à y voir la
conception
naturaliste de l’amour, en opposition avec la conception romantique.
160
ion naturaliste de l’amour, en opposition avec la
conception
romantique. Or la gauloiserie, aussi bien que la courtoisie, est une
161
ementales. Dès le xiiie siècle était apparue une
conception
du travail et de la culture qui va caractériser la nouvelle classe op
162
a dans ses postulats de départ, à la base de ses
conceptions
provisoirement réunies en vue d’une conquête précise, un vice profond
163
e Man oppose des éthiques, des styles de vie, des
conceptions
d’ordre moral. C’est ici qu’une question plus profonde me paraît devo
164
ypothèse est aujourd’hui démodée. On revient à la
conception
ancienne : un chef hébreu — celui que la Bible appelle Moïse — aurait
165
veulent l’un et l’autre imposer à leur peuple une
conception
et une pratique de la vie qui obéissent à un but commun, au service d
166
duction en général. Étonnante réaction contre les
conceptions
bourgeoises, qui assimilaient de plus en plus la culture à la « jouis
167
des activités spirituelles et manuelles. Mais la
conception
qui assimile l’élévation du niveau de la culture à celui de l’épaisse
168
tuelles nous montrent que seule la victoire d’une
conception
du monde unifiée peut permettre une collaboration judicieuse de tous
169
discours où il s’élève avec violence contre toute
conception
ascétique ou moyenâgeuse de la vie : « Nous condamnons tous les systè
170
idicule et vain de tirer une « condamnation » des
conceptions
culturelles russes ou allemandes. Ces entreprises, d’une envergure sa
171
trahison des clercs, etc., tout cela au nom d’une
conception
de l’esprit pur, dont la faiblesse philosophique égale l’hypocrisie p
172
, de grandes œuvres représentatives des nouvelles
conceptions
proclamées — voilà autant de facteurs d’indétermination. Le seul fait
173
e est apparue : celle d’une image du monde, d’une
conception
du monde fondée sur la raison, l’individu, et la science cartésienne.
174
gnant l’opposition que cette formule implique aux
conceptions
courantes de « l’esprit », de l’intelligence, et de la culture. Par c
175
quement une impasse absolue, nous contraint à une
conception
proprement révolutionnaire (ou « changement de plan »), qui seule nou
176
ous disions tout à l’heure éprouver en face d’une
conception
purement critique, ou idéaliste, ou relativiste, de l’activité du phi
177
ementales. Dès le xiiie siècle était apparue une
conception
du travail et de la culture qui va caractériser la nouvelle classe op
178
a dans ses postulats de départ, à la base de ses
conceptions
provisoirement réunies en vue d’une conquête précise, un vice profond
179
e Man oppose des éthiques, des styles de vie, des
conceptions
d’ordre moral. C’est ici qu’une question plus profonde me paraît devo
180
ypothèse est aujourd’hui démodée. On revient à la
conception
ancienne : un chef hébreu — celui que la Bible appelle Moïse — aurait
181
veulent l’un et l’autre imposer à leur peuple une
conception
et une pratique de la vie qui obéissent à un but commun, au service d
182
duction en général. Étonnante réaction contre les
conceptions
bourgeoises, qui assimilaient de plus en plus la culture à la « jouis
183
des activités spirituelles et manuelles. Mais la
conception
qui assimile l’élévation du niveau de la culture à celui de l’épaisse
184
tuelles nous montrent que seule la victoire d’une
conception
du monde unifiée peut permettre une collaboration judicieuse de tous
185
discours où il s’élève avec violence contre toute
conception
ascétique ou moyenâgeuse de la vie : « Nous condamnons tous les systè
186
idicule et vain de tirer une « condamnation » des
conceptions
culturelles russes ou allemandes. Ces entreprises, d’une envergure sa
187
trahison des clercs, etc., tout cela au nom d’une
conception
de l’esprit pur dont la faiblesse philosophique égale l’hypocrisie pr
188
, de grandes œuvres représentatives des nouvelles
conceptions
proclamées — voilà autant de facteurs d’indétermination. Le seul fait
189
e est apparue : celle d’une image du monde, d’une
conception
du monde fondée sur la raison, l’individu, et la science cartésienne.