1
: une leçon d’énergie. Il se pique de n’avoir pas
connu
, jusqu’à ce jour au moins, cette inquiétude libératrice que produit l
2
ier. Vous n’êtes pas couronnés d’olivier. La main
connaît
la main dans la prise du témoin. L’épaule connaît l’épaule dans le ta
3
connaît la main dans la prise du témoin. L’épaule
connaît
l’épaule dans le talonnage du ballon. Le regard connaît le regard dan
4
t l’épaule dans le talonnage du ballon. Le regard
connaît
le regard dans la course d’équipe. Le cœur connaît la présence muette
5
onnaît le regard dans la course d’équipe. Le cœur
connaît
la présence muette et sûre. Toutes ces choses ne se font pas en vain.
6
le peint Paul Colin, est peu intéressant. On en a
connu
bien d’autres de ces jeunes gens prétentieux et sincères qui se croie
7
rce que tout a été essayé. Dégoût, parce qu’on se
connaît
trop, et que plus rien ne retient. (Or on ne crée que contre quelque
8
ir d’abord que les grands traits de sa nature, ne
connaître
que les grands mots de la langue morale, suivre à l’égard de soi-même
9
jours, cela peut paraître excessif à qui n’a pas
connu
l’atmosphère particulière à ces rencontres. Rien de plus aéré, au mor
10
eu frileuse et se permet de bâiller en public. On
connaît
le danger… r. « Wilfred Chopard : Spicilège ironique, poèmes (Spes
11
. Ce fut elle qui m’entraîna sur les stades où je
connus
quelle confiance sourde aux contradictions intimes exige un acte vict
12
naît une modestie que je m’enorgueillis un peu de
connaître
; et de cette volonté d’un meilleur moi, une certaine méfiance vis-à-
13
il écrit : « II y a, en fait, deux manières de se
connaître
, à savoir se concevoir et s’essayer. » Fort bien, mais l’œuvre n’est-
14
on, faire de la psychologie à la volée », et donc
connaître
l’homme dans l’élan qui fait sa véritable unité. Je me borne à signal
15
evel, est la démonstration la plus cynique que je
connaisse
de ces ravages du sincérisme. Dans la solitude qu’il s’acharne à appr
16
tion de l’individu mais avant tout un moyen de se
connaître
. Cependant, n’est-ce pas lui-même qui ajoutait que l’homme sincère «
17
ici tant soit peu russes, et là, gidiennes. Il se
connaît
assez pour savoir ce qui est en lui de l’homme même, ou de l’amateur
18
é, — et ne peut pas nous tromper là-dessus. Il se
connaît
avec une sorte de froideur que l’on dirait désintéressée si elle n’av
19
n peut lire plus haut : Les anges véritables qui
connaissent
les signes Sont moins bons acrobates… (etc.)… Cocteau s’est trop exe
20
préhensible !, trois mots dont l’un savant. Je ne
connais
pas de meilleur remède contre Dieu. Monsieur, vous avez dit : « C’est
21
mais déjà c’est de plus loin qu’il les nargue. Il
connaît
enfin une solitude défendue de tous côtés par ses rires scandaleux, q
22
s, de bravades et de faciles tricheries8 — qu’ait
connue
l’esprit humain. Sens de l’Absolu, sens de la pureté ou fanatisme de
23
dans des choses plus grandes que nous. Nous nous
connaissions
dans les coins et nous mourions d’ennui avec les aspects irrévocablem
24
isme stylisé. C’est d’un art très volontaire, qui
connaît
ses ressources et sait en user avec la sobriété qui produit le maximu
25
s oui, je ne nie rien, je suis sans scrupules, on
connaît
mon orgueil : osez donc me condamner d’être plus fort que cette bourg
26
, je l’embrassai si fort… En un quart d’heure, je
connaissais
l’amour dans ce qu’il a de plus étrangement prosaïque à la fois et bê
27
Pierre Girard,
Connaissez
mieux le cœur des femmes (juillet 1927)am Quand vous avez fermé ce
28
ssède ! Justement, voici Pierre Girard : lui seul
connaît
l’adresse de Patsy, mais il ne veut pas vous la donner. Alors pour vo
29
fraîcheur et de pardon. » am. « Pierre Girard :
Connaissez
mieux le cœur des femmes (Simon Kra, Paris) », Bibliothèque universel
30
s se plient à des exigences sémantiques — dont on
connaît
la portée sociale, — mariant l’utile à l’agréable selon les rites d’u
31
nséquences, puisqu’il n’en est aucune qui ne soit
connue
d’avance et stérilisée par la loi, les mœurs et l’habitude. Nous n’av
32
crois bien, au contraire, que l’histoire n’a pas
connu
de période où les directions d’une civilisation apparaissent plus net
33
nous être rien dit d’autre, comme des amis qui se
connaissent
depuis si longtemps qu’un échange tacite suffit aux petites décisions
34
ue tout revit en un instant dans cette vision, il
connaît
enfin la substance véritable et unique de toutes ses amours, il commu
35
mort, inclusivement, n’étonnera pas ceux qui ont
connu
de semblables mythomanes. Le cas méritait d’être exposé. Je regrette
36
s anciens bellettriens qui ont perdu toute foi ne
connaîtront
pas de pardon. Car ils ont vu, et s’ils n’ont pas cru, c’est qu’ils s
37
Godet restera l’un des rares qui ont réussi à se
connaître
et que cela n’a point stérilisé : sa nature, il est vrai, s’y prêtait
38
y cherche, mais l’anecdote bien tournée, des noms
connus
. Tout est sur le même plan ; le dessin d’ailleurs est élégant. Mais c
39
de sa poésie, — d’une poésie, l’on dirait, qui ne
connaît
pas son auteur. Qui parle par sa bouche ? Il règne dans ses Hymnes un
40
me conduit est le propriétaire actuel. « Monsieur
connaît
Hölderlin ? — questionne-t-il, méfiant — bon, bon, parce qu’il y en a
41
ne savent pas trop qui c’était… Alors vous devez
connaître
ces portraits ? — (et comme je considère un ravissant médaillon de ma
42
ire. Et d’autre part, les lecteurs de cette revue
connaissent
la thèse de la Trahison des Clercs 11, thèse dont la Fin de l’Éternel
43
ces réalités. J’y retrouvai aussi plusieurs têtes
connues
d’anciens camarades d’école primaire. Comme ils avaient changé ! On s
44
oigne de la même maladresse professionnelle. J’en
connaissais
un qui avait coutume de dire à une classe de garçons de 10 à 11 ans :
45
ires. Mais il n’est en aucune façon nécessaire de
connaître
la psychologie des enfants, ni même le contenu des sciences dont on é
46
à ignorer bien plus que par ce qu’elle enseigne à
connaître
, elle constitue la plus grande force antireligieuse de ce temps. L’in
47
is tenté de retirer brusquement ces sièges, farce
connue
et qui ridiculise à coup sûr sa victime. En fait de farces, vous alle
48
oit de la forme sociale que nous appelons sans la
connaître
et qui s’élabore déjà secrètement, que ce mépris et ce scepticisme so
49
ui ignore le réel. C’est justement parce qu’il le
connaît
mieux qu’eux qu’il y a vu des fissures et des possibilités nouvelles.
50
uteur de manuels d’histoire et de géographie bien
connus
, pour l’esprit le plus dangereusement plat qui soit. (Il est plus que
51
ces réalités. J’y retrouvai aussi plusieurs têtes
connues
d’anciens camarades d’école primaire. Comme ils avaient changé ! On s
52
oigne de la même maladresse professionnelle. J’en
connais
un qui avait coutume de dire à une classe de garçons de 10 à 11 ans :
53
ires. Mais il n’est en aucune façon nécessaire de
connaître
la psychologie des enfants, ni même le contenu des sciences dont on é
54
à ignorer bien plus que par ce qu’elle enseigne à
connaître
, elle constitue la plus grande force antireligieuse de ce temps. L’in
55
is tenté de retirer brusquement ces sièges, farce
connue
et qui ridiculise à coup sûr sa victime. En fait de farces, vous alle
56
oit de la forme sociale que nous appelons sans la
connaître
et qui s’élabore déjà secrètement, que ce mépris et ce scepticisme so
57
ui ignore le réel. C’est justement parce qu’il le
connaît
mieux qu’eux qu’il y a vu des fissures et des possibilités nouvelles.
58
uteur de manuels d’histoire et de géographie bien
connus
, pour l’esprit le plus dangereusement plat qui soit. (Il est plus que
59
, de pensers mis à toutes sauces. Si M. Thibaudet
connaissait
l’hôte de céans, il proposerait cette formule du plat idéal : Du Bos
60
ennes, des chansons populaires qui sont ce que je
connais
de plus indiciblement nostalgique. Und solltest du im Leben Ein Mädc
61
nds empêtrés ! me paraît enviable : vous au moins
connaissiez
ce qui causait votre malheur ; moi, non. Barnabooth savait bien ce qu
62
eindre de prendre au sérieux ce que je vois. Ruse
connue
: c’est l’histoire du mot que vous avez sous la langue ; je vous cons
63
core le ton. La littérature hongroise n’est guère
connue
à l’étranger que par quelques pièces légères de Molnár, qui n’ont de
64
x, je crois, s’en vont à la mer Noire, et je n’en
connais
pas les fées, c’est pourquoi je nageais à brasses prudentes avec, aux
65
sse de rencontrer une onde trop légère. Mais pour
connaître
un lac, il faut d’abord s’y plonger ; et ensuite, s’il vous a paru be
66
ves, ma Hongrie intérieure ? Il est vrai que l’on
connaît
depuis toujours ce qu’une fois l’on aimera. Et les uns disent qu’il f
67
ne fois l’on aimera. Et les uns disent qu’il faut
connaître
pour aimer ; les autres, aimer pour connaître, alors qu’au point de p
68
aut connaître pour aimer ; les autres, aimer pour
connaître
, alors qu’au point de perfection, aimer et connaître sont un seul et
69
naître, alors qu’au point de perfection, aimer et
connaître
sont un seul et même acte. Peut-être l’ai-je aimée d’un amour égoïste
70
orte de commun dénominateur… (Le christianisme en
connaît
un, depuis toujours : il le nomme péché.) Tous les modèles que l’homm
71
tre auteur pareil ostracisme. Mais notre monde ne
connaît
plus de sacré que la propriété matérielle. c. « La Voie royale », Fo
72
sayer vers la beauté de nouvelles routes. On nous
connaît
mal. Derrière le mur de notre maison on nous croyait peut-être enferm
73
en du mal parmi les actions d’autrui qu’il estime
connaître
. Simplement, il enregistre les effets d’une justice immanente. En mêm
74
ne d’atteindre la grandeur morale si elle n’a pas
connu
, ne fût-ce que par sa puissance de sympathie, la misère physique et m
75
evues françaises ou suisses nous avaient appris à
connaître
les résultats considérables de l’œuvre sociale, politique et religieu
76
les abandons, les déchéances de l’homme, nous les
connaissons
de reste et la littérature de nos jours n’est que trop habile à les d
77
les confirme et les répète bien souvent sans les
connaître
. Et « le point de vue de Genève » — c’est-à-dire protestant — nous pa
78
s, non de la seule exactitude des pensées —, nous
connaissons
le modèle immortel, le Livre de Job. Il serait curieux d’en suivre la
79
s de préséance, entre philosophes-professeurs qui
connaissent
les règles du jeu… 5. C’est même peut-être la première fois que les
80
nt négligeable, s’agissant de deux êtres que l’on
connaît
par leurs écrits d’abord. Mais, pour en tenir un juste compte, il s’a
81
oin, d’un long abandon à l’erreur. Goethe n’a pas
connu
de tels déchirements. Et c’est lui qui méritera la phrase de la Saiso
82
juger les actions d’un être que nous n’avons pas
connu
, alors que nous-même… Alors que Dieu seul juge. Si nous refusons le n
83
s du sentiment blessé que ces jeunes gens se sont
connus
. Cela crée le sous-entendu fondamental. Ensuite on confronte les buts
84
ion », disais-tu. Formule qu’au même moment, sans
connaître
ton texte, j’utilisais ailleurs pour définir nos tâches immédiates. F
85
roie les villes, où nous sommes peut-être seuls à
connaître
la force et la présence. Nous connaissons la vérité. Qu’elle soit tom
86
e seuls à connaître la force et la présence. Nous
connaissons
la vérité. Qu’elle soit tombée du ciel ou qu’elle éclate dans les cho
87
ence… ». L’ennemi de la violence, tel que nous le
connaissons
, est un monsieur qui soutient la police, chargée de réprimer violemme
88
nt les précédentes — elle éprouve son unité, elle
connaît
une fraternité en ceci : que la pensée n’est plus pour elle une justi
89
tel homme concret et réel que vous ou moi pouvons
connaître
. Mais, en vérité, la lecture du livre de M. Nizan n’inspire pas la ce
90
ntendre ; mais pour cela il faudrait tout d’abord
connaître
la position du calvinisme dialectique en face de l’action humaine. Po
91
es que le présent désordre. Je ne vois pas qu’ils
connaissent
l’homme mieux que nous. Je ne les vois pas plus forts. Je vois bien l
92
cise, de deux notions du tragique. Le monde latin
connaît
un tragique aux arêtes de pierre taillée : conflits d’actes, de faits
93
nous être rien dit d’autre, comme des amis qui se
connaissent
depuis si longtemps qu’un échange tacite suffit aux petites décisions
94
ue tout revit en un instant dans cette vision, il
connaît
enfin la substance unique de ses amours, il communie avec quelque cho
95
C’était la voix de la comtesse Adélaïde, — je la
connais
à cet écho de joie dans mes pensées. Mais quelle approche me saisit ?
96
nds empêtrés ! me paraît enviable : vous au moins
connaissiez
ce qui causait votre malheur ; moi, non. Barnabooth savait bien ce qu
97
eindre de prendre au sérieux ce que je vois. Ruse
connue
: c’est l’histoire du mot que vous avez sous la langue ; je vous cons
98
ore le ton. La littérature hongroise n’est guère
connue
à l’étranger que par quelques pièces légères de Molnar, qui n’ont de
99
x, je crois, s’en vont à la mer Noire, et je n’en
connais
pas les fées, c’est pourquoi je nageais à brasses prudentes avec aux
100
sse de rencontrer une onde trop légère. Mais pour
connaître
un lac, il faut d’abord s’y plonger ; et ensuite, s’il vous a paru be
101
ves, ma Hongrie intérieure ? Il est vrai que l’on
connaît
depuis toujours ce qu’une fois l’on aimera. Et les uns disent qu’il f
102
ne fois l’on aimera. Et les uns disent qu’il faut
connaître
pour aimer ; les autres, aimer pour connaître. Débat qui se résout da
103
aut connaître pour aimer ; les autres, aimer pour
connaître
. Débat qui se résout dans une synthèse, comme toujours : au point de
104
comme toujours : au point de perfection, aimer et
connaître
sont un seul et même acte. Peut-être l’ai-je aimée d’un amour égoïste
105
de sa poésie, — d’une poésie, l’on dirait, qui ne
connaît
pas son auteur. Qui parle par sa bouche ? Il règne dans ses Hymnes un
106
me conduit est le propriétaire actuel. « Monsieur
connaît
Hölderlin ? questionne-t-il, méfiant — bon, bon, parce qu’il y en a q
107
ne savent pas trop qui c’était… Alors vous devez
connaître
ces portraits ? — (et comme je considère un ravissant médaillon de ma
108
par-delà le logique et l’absurde ». Ah bien ! je
connais
quelques êtres entièrement en substance grise qui n’eussent pas mieux
109
hansons du Grand Duché de Bade qui sont ce que je
connais
de plus indiciblement nostalgique. Und solltest du im Leben Ein Madc
110
’un être, dans le domaine sans frontières où l’on
connaît
profondément. Par les yeux d’une femme étrangère, mes yeux possédaien
111
ringe. J’ai répondu : Je ne sais pas si vous avez
connu
ce contentement large de tout l’être devant un verre de vin allemand
112
rythme des marées qui baignent nos membres. J’ai
connu
peu de joies plus hautes que celle-ci : se promener dans les campagne
113
es formes désirables du monde, lorsqu’il veut les
connaître
et les posséder dans sa force. Car la lenteur est chose souveraine, —
114
plaisirs mondains l’aspect absurde que nous leur
connaissons
, cette superstition ne leur est nullement nécessaire. Leurs plaisirs
115
lisé quand je vois se croiser dans la rue sans se
connaître
un patron d’usine et l’un de ses mécanos. Ou encore, quand le patron
116
sent de déverser sur une classe qu’ils ne peuvent
connaître
une haine conventionnelle et bassement démagogique. C’est ainsi que l
117
uer en toi-même leur convenable sens. Et quand tu
connaîtras
où se situe leur lieu, établis en ce lieu la demeure de tes pensées.
118
cise, de deux notions du tragique. Le monde latin
connaît
un tragique aux arêtes de pierre taillée : conflits d’actes, de faits
119
C’était la voix de la comtesse Adélaïde, — je la
connais
à cet écho de joie dans mes pensées. Mais quelle approche me saisit ?
120
nds empêtrés ! me paraît enviable : vous au moins
connaissiez
ce qui causait votre malheur ; moi, non. Barnabooth savait bien ce qu
121
core le ton. La littérature hongroise n’est guère
connue
à l’étranger que par quelques pièces légères de Molnar, qui n’ont de
122
x, je crois, s’en vont à la mer Noire, et je n’en
connais
pas les fées, c’est pourquoi je nageais à brasses prudentes avec aux
123
sse de rencontrer une onde trop légère. Mais pour
connaître
un lac, il faut d’abord s’y plonger ; et ensuite, s’il vous a paru be
124
ves, ma Hongrie intérieure ? Il est vrai que l’on
connaît
depuis toujours ce qu’une fois l’on aimera. Et les uns disent qu’il f
125
ne fois l’on aimera. Et les uns disent qu’il faut
connaître
pour aimer ; les autres, aimer pour connaître. Débat qui se résout da
126
aut connaître pour aimer ; les autres, aimer pour
connaître
. Débat qui se résout dans une synthèse, comme toujours : au point de
127
comme toujours : au point de perfection, aimer et
connaître
sont un seul et même acte. Peut-être l’ai-je aimée d’un amour égoïste
128
plaisirs mondains l’aspect absurde que nous leur
connaissons
, cette superstition ne leur est nullement nécessaire. Leurs plaisirs
129
lisé quand je vois se croiser dans la rue sans se
connaître
un patron d’usine et l’un de ses mécanos. Ou encore, quand le patron
130
sent de déverser sur une classe qu’ils ne peuvent
connaître
une haine conventionnelle et bassement démagogique. C’est ainsi que l
131
de sa poésie, — d’une poésie, l’on dirait, qui ne
connaît
pas son auteur. Qui parle par sa bouche ? Il règne dans ses Hymnes un
132
me qui me conduit est le propriétaire. « Monsieur
connaît
Hölderlin ? questionne-t-il, méfiant — bon, bon, parce qu’il y en a q
133
ne savent pas trop qui c’était… Alors vous devez
connaître
ces portraits ? — (et comme je considère un ravissant médaillon de ma
134
par-delà le logique et l’absurde ». Ah bien ! je
connais
quelques êtres entièrement en substance grise qui n’eussent pas mieux
135
hansons du Grand Duché de Bade qui sont ce que je
connais
de plus indiciblement nostalgique. Und solltest du im Leben Ein Mädc
136
d’un être, dans le domaine sans frontière où l’on
connaît
profondément. Par les yeux d’une femme étrangère, mes yeux possédaien
137
ard. J’ai répondu : « Je ne sais pas si vous avez
connu
ce contentement large de tout l’être devant un verre de vin allemand
138
rythme des marées qui baignent nos membres. J’ai
connu
peu de joies plus hautes que celle-ci : se promener dans les campagne
139
es formes désirables du monde, lorsqu’il veut les
connaître
et les posséder dans sa force. Car la lenteur est chose souveraine, —
140
ces rues les plus émouvantes du monde : il ne les
connaîtra
jamais. Il ne verra que d’aveugles façades. Il s’est privé à tout jam
141
e rappellerai, une fois de retour en Europe. J’en
connais
par avance la nostalgie. Le soir vient dans un luxe américain d’ocres
142
ent et qui s’éloignent. Un autre sentiment que je
connais
d’avance et ne pourrai que retrouver là-bas, c’est celui de ma nostal
143
n sans inquiétude. — Et New York donc ? Si vous y
connaissez
des chambres libres, faites-moi signe. (Comme les Américains paraisse
144
III C’est l’un des traits les moins
connus
de notre pays que la continuité de ses familles, ailleurs rompue par
145
dans ses Mémoires. Mais c’est par le détail qu’on
connaît
une famille, par une famille l’histoire d’un pays, et surtout d’un pe
146
vie — l’une des très rares vies d’homme que j’ai
connues
de près, qui commandât mon absolu respect. Au-delà de l’exemple vivan
147
nt se gâte, la rhétorique n’est plus enseignée ni
connue
. L’histoire et la théologie fuient le discours, ignorent le style. En
148
ceux dont un homme cultivé, dans toute l’Europe,
connaît
au moins le nom. Nous n’avons rien de ce rang-là. Les visiteurs de La
149
i de laisser les étrangers vanter nos vertus bien
connues
et découvrir celles que nous ignorons. Je me borne à l’autocritique.
150
nt pris de nos jours et que leurs pères n’ont pas
connu
, l’accent le plus navrant de tout le domaine français, de Québec à Me
151
ient ces jeunes hommes a pris pour tâche de faire
connaître
et de critiquer toutes les tentatives réformistes ou révolutionnaires
152
ités avec les « forces du monde ». Le chrétien ne
connaît
pas d’autre force réelle que celle de la foi. Or cette unique force n
153
que Dieu, son créateur, ne l’aime ? Car Dieu seul
connaît
l’homme dans son origine et dans sa fin. L’homme étant « séparé » de
154
originel » — il en résulte qu’il ne peut plus se
connaître
entièrement lui-même. Il ne peut plus connaître son bien. Il pose les
155
e connaître entièrement lui-même. Il ne peut plus
connaître
son bien. Il pose les questions les plus absurdes et les plus insolub
156
Dieu des « avantages » humains. (Comment donc les
connaîtrait
-il ? Comment pourrait-il les nommer, s’il n’a d’abord cherché la volo
157
ent-ils, ils cherchent des hommes. L’URSS, qu’ils
connaissent
par ses films, offre à leur rêve toutes les possibilités de contact h
158
a présente corruption du travail. Notre siècle ne
connaît
plus ni le travail ni le loisir depuis qu’il a coupé leurs liens viva
159
sa fantaisie, la plus joyeusement érudite que je
connaisse
. Tel qu’il est, ce petit volume nous offre un jeu serré et subtil, et
160
e-t-on déjà, sous le fard, de vieilles rides bien
connues
? À ces questions, l’ouvrage que René Dupuis et Alexandre Marc vienne
161
delà, jusqu’à saint Paul, tous ceux qui ont su et
connu
ce que nous avons à peu près oublié : que l’homme n’est pas capable p
162
is, ne m’en voudra pas trop de leur vivacité : il
connaît
bien les Neuchâtelois, qui l’ont beaucoup aimé ; il sait que ces Neuc
163
rétentions, survivantes chez certains penseurs, à
connaître
d’une vérité absolue, on put se demander si la philosophie n’allait p
164
ation de la foi ne relève pas d’un « invariant »,
connu
ou inconnu, passé ou à venir, mais bien d’un ordre, reçu hic et nunc,
165
sont extérieures, certes. Mais je n’ai pas à les
connaître
autrement que par la question concrète qu’elles m’adressent ; et cett
166
t Charles-Albert Cingria : La Rose de Thuringe et
Connaissez
mieux le cœur des femmes, de Girard, et de Cingria, ce que vous aurez
167
ment de la terre. Pourtant, certaines époques ont
connu
la grandeur. Ce ne furent pas les moins corrompues de l’histoire, mai
168
rai ! C’est encore un vieux raisonnement que nous
connaissons
trop bien, et dont nous connaissons aussi la signification réelle. C’
169
ment que nous connaissons trop bien, et dont nous
connaissons
aussi la signification réelle. C’est l’argument des gens en place qui
170
i, c’est d’oser les actes qu’il faut, et que nous
connaissons
très bien. Trop souvent, nos maîtres nous ont fourni des méthodes d’é
171
eur vie même. Les noms de ces divinités, vous les
connaissez
bien : ce sont l’État, la nation, la classe, la race, l’argent et l’o
172
-nous être des personnes ? Voilà le mot lâché. Je
connais
la réaction qui l’accueille. Hé quoi ! dit-on, en face de tous ces mo
173
être, là où réside le désespoir de l’homme qui ne
connaît
pas son destin. Après tout, l’homme désespéré, ce qu’il veut, ce n’es
174
sence obsédante de la guerre. Tout cela est assez
connu
, mais peu de personnes en tiennent compte. Si nous le répétons, c’est
175
’individu, d’homme en soi, d’homme type, est trop
connue
pour que nous la reprenions ici. On sait comment cette notion a passé
176
nte majestueuse, mêlée d’orgueil, de l’esprit qui
connaît
son pouvoir et son acte, mesure la grandeur du danger, sait qu’il s’y
177
grandeur du danger, sait qu’il s’y offre armé, et
connaît
ses retraites. Raison géométrique, adoration intellectuelle ou sophis
178
dre sa question — un ordre « humain » — mais sans
connaître
l’Homme — peut être caractérisé dans ses effets bons et mauvais par l
179
n chrétien est d’abord réaliste. Car il faut bien
connaître
la nature et ses abîmes, si l’on veut être à même d’y voir les touche
180
ité de notre condition. Ainsi, le chrétien, seul,
connaît
toute la misère de l’homme : elle lui est révélée par l’Évangile qui
181
agne peut nous faire réfléchir. Les philosophes y
connaissent
des succès dont rien, ici, ne peut donner l’idée ; et même les théolo
182
usions morales dans lesquelles nous vivons. Je ne
connais
pas de plus salutaire leçon pour un chrétien d’aujourd’hui que ce cha
183
ais la misère de l’homme livré à un Dieu qu’il ne
connaît
pas, parce qu’il ne connaît pas le Christ. « Nul ne vient au Père que
184
ré à un Dieu qu’il ne connaît pas, parce qu’il ne
connaît
pas le Christ. « Nul ne vient au Père que par moi ». C’est par le Fil
185
ermet de faire un pas et « d’en sortir » que nous
connaissons
notre état, que nous mesurons le réel, et que nous pouvons l’avouer.
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tat. Nous croyons à la liberté de la Personne. Je
connais
bien la réaction qui accueille d’ordinaire nos déclarations personnal
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r dans le rêve d’un « troisième terme » dont nous
connaissons
désormais le monstrueux visage ? — « Nous sommes sur la terre décisiv
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ositions, sur le plan de l’action publique. On ne
connaît
pas en France de parti protestant comparable aux nombreux groupements
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ange fait la bête. »16 Qu’est l’homme ? Il ne se
connaît
pas. L’Évangile le révèle à lui-même, comme perdu, et par cette révél
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nière du destin de l’homme, en même temps qu’elle
connaît
et saisit l’homme dans sa condition actuelle. Mais il faut savoir aus
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u prend les moyens pour des fins ; la foi ne veut
connaître
que les fins, et en vient à dévaloriser les moyens. Ou encore : pour
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u, prendre parti. Comme le réactionnaire, il veut
connaître
l’homme tel qu’il est — seulement il le connaît mieux. Comme le marxi
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connaître l’homme tel qu’il est — seulement il le
connaît
mieux. Comme le marxiste, il sait que sa doctrine n’a pas à expliquer
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ement dans la réalité qu’un homme incarne. Qui le
connaît
en France ? Claudel, quelques revues protestantes en ont parlé. C’est
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uissance sociale et religieuse dont l’Occident ne
connaît
pas d’exemple. Un récit autobiographique et romancé de sa jeunesse a
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balayeurs, des intellectuels, le petit peuple. On
connaissait
sa silhouette, ses plaisanteries, il avait sa légende d’« original ».
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onné dans la plus complète solitude qu’ait jamais
connue
un grand esprit. Un an plus tard, épuisé par la lutte, il tomba dans
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se tient à l’origine de sa réalité. Celui-là seul
connaît
sa fin et l’ordre éternel de sa vie. Celui-là seul peut juger de ce m
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Un seul utile à tous La phrase de Carlyle est
connue
, résumant l’utilitarisme de Bentham : « Étant donné un monde plein de
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es de l’esprit ? Mais ne fallait-il pas qu’il ait
connu
de grandes aides pour oser nous montrer la vanité de toutes les nôtre
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ajoute M. Benda, qui, en fait de protestants, ne
connaît
guère que Renouvier, son maître… 54. Jean XI, 4. 55. Stades sur le
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ncipe vivant du nouvel ordre. Ce pouvoir, nous le
connaissons
, dans la mesure où nous sommes humains. Mais cette mesure est peut-êt
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, et le bien qui nous les révèle. En vérité, nous
connaissons
bien mieux ce qui nous blesse que la nature des réalités que nous sen
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impensable, appel aux dictateurs ? Mais ceux qui
connaissent
la mesure connaîtront bientôt l’ordre et la culture que nous voulons.
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dictateurs ? Mais ceux qui connaissent la mesure
connaîtront
bientôt l’ordre et la culture que nous voulons. Nous rejoignons ici l
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yen de vivre par son travail, dans un cadre qu’il
connaît
et qu’il accepte, dans une société à laquelle il peut collaborer. » —
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ette aussi compromettante ? À parler franc, je ne
connais
qu’un seul roman moderne authentiquement « réformé ». Un grand roman,
208
n chrétien est d’abord réaliste. Car il faut bien
connaître
la nature et ses abîmes, si l’on veut être à même d’y voir les marque
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aimer : Colette a décrit cela dans la Chatte. On
connaît
ces faits. On les connaît bien dans le détail. Je ne vois pas qu’on a
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cela dans la Chatte. On connaît ces faits. On les
connaît
bien dans le détail. Je ne vois pas qu’on ait tiré de leur ensemble a