1 1924, Articles divers (1924–1930). M. de Montherlant, le sport et les jésuites (9 février 1924)
1 : une leçon d’énergie. Il se pique de n’avoir pas connu , jusqu’à ce jour au moins, cette inquiétude libératrice que produit l
2 ier. Vous n’êtes pas couronnés d’olivier. La main connaît la main dans la prise du témoin. L’épaule connaît l’épaule dans le ta
3 connaît la main dans la prise du témoin. L’épaule connaît l’épaule dans le talonnage du ballon. Le regard connaît le regard dan
4 t l’épaule dans le talonnage du ballon. Le regard connaît le regard dans la course d’équipe. Le cœur connaît la présence muette
5 onnaît le regard dans la course d’équipe. Le cœur connaît la présence muette et sûre. Toutes ces choses ne se font pas en vain.
2 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Paul Colin, Van Gogh (août 1925)
6 le peint Paul Colin, est peu intéressant. On en a connu bien d’autres de ces jeunes gens prétentieux et sincères qui se croie
3 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Adieu, beau désordre… (mars 1926)
7 rce que tout a été essayé. Dégoût, parce qu’on se connaît trop, et que plus rien ne retient. (Or on ne crée que contre quelque
8 ir d’abord que les grands traits de sa nature, ne connaître que les grands mots de la langue morale, suivre à l’égard de soi-même
4 1926, Articles divers (1924–1930). Conférences d’Aubonne (7 avril 1926)
9 jours, cela peut paraître excessif à qui n’a pas connu l’atmosphère particulière à ces rencontres. Rien de plus aéré, au mor
5 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Wilfred Chopard, Spicilège ironique (mai 1926)
10 eu frileuse et se permet de bâiller en public. On connaît le danger… r. « Wilfred Chopard  : Spicilège ironique, poèmes (Spes
6 1926, Articles divers (1924–1930). Confession tendancieuse (mai 1926)
11 . Ce fut elle qui m’entraîna sur les stades où je connus quelle confiance sourde aux contradictions intimes exige un acte vict
12 naît une modestie que je m’enorgueillis un peu de connaître  ; et de cette volonté d’un meilleur moi, une certaine méfiance vis-à-
7 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Ramon Fernandez, Messages (juillet 1926)
13 il écrit : « II y a, en fait, deux manières de se connaître , à savoir se concevoir et s’essayer. » Fort bien, mais l’œuvre n’est-
14 on, faire de la psychologie à la volée », et donc connaître l’homme dans l’élan qui fait sa véritable unité. Je me borne à signal
8 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
15 evel, est la démonstration la plus cynique que je connaisse de ces ravages du sincérisme. Dans la solitude qu’il s’acharne à appr
16 tion de l’individu mais avant tout un moyen de se connaître . Cependant, n’est-ce pas lui-même qui ajoutait que l’homme sincère « 
9 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Guy de Pourtalès, Montclar (février 1927)
17 ici tant soit peu russes, et là, gidiennes. Il se connaît assez pour savoir ce qui est en lui de l’homme même, ou de l’amateur
18 é, — et ne peut pas nous tromper là-dessus. Il se connaît avec une sorte de froideur que l’on dirait désintéressée si elle n’av
10 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Orphée sans charme (février 1927)
19 n peut lire plus haut : Les anges véritables qui connaissent les signes Sont moins bons acrobates… (etc.)… Cocteau s’est trop exe
11 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Louis Aragon, le beau prétexte (avril 1927)
20 préhensible !, trois mots dont l’un savant. Je ne connais pas de meilleur remède contre Dieu. Monsieur, vous avez dit : « C’est
21 mais déjà c’est de plus loin qu’il les nargue. Il connaît enfin une solitude défendue de tous côtés par ses rires scandaleux, q
22 s, de bravades et de faciles tricheries8 — qu’ait connue l’esprit humain. Sens de l’Absolu, sens de la pureté ou fanatisme de
23 dans des choses plus grandes que nous. Nous nous connaissions dans les coins et nous mourions d’ennui avec les aspects irrévocablem
12 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
24 isme stylisé. C’est d’un art très volontaire, qui connaît ses ressources et sait en user avec la sobriété qui produit le maximu
13 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Bernard Lecache, Jacob (mai 1927)
25 s oui, je ne nie rien, je suis sans scrupules, on connaît mon orgueil : osez donc me condamner d’être plus fort que cette bourg
14 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Récit du pickpocket (fragment) (mai 1927)
26 , je l’embrassai si fort… En un quart d’heure, je connaissais l’amour dans ce qu’il a de plus étrangement prosaïque à la fois et bê
15 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Pierre Girard, Connaissez mieux le cœur des femmes (juillet 1927)
27 Pierre Girard, Connaissez mieux le cœur des femmes (juillet 1927)am Quand vous avez fermé ce
28 ssède ! Justement, voici Pierre Girard : lui seul connaît l’adresse de Patsy, mais il ne veut pas vous la donner. Alors pour vo
29 fraîcheur et de pardon. » am. « Pierre Girard : Connaissez mieux le cœur des femmes (Simon Kra, Paris) », Bibliothèque universel
16 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La part du feu. Lettres sur le mépris de la littérature (juillet 1927)
30 s se plient à des exigences sémantiques — dont on connaît la portée sociale, — mariant l’utile à l’agréable selon les rites d’u
17 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Adieu au lecteur (juillet 1927)
31 nséquences, puisqu’il n’en est aucune qui ne soit connue d’avance et stérilisée par la loi, les mœurs et l’habitude. Nous n’av
18 1928, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le péril Ford (février 1928)
32 crois bien, au contraire, que l’histoire n’a pas connu de période où les directions d’une civilisation apparaissent plus net
19 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
33 nous être rien dit d’autre, comme des amis qui se connaissent depuis si longtemps qu’un échange tacite suffit aux petites décisions
34 ue tout revit en un instant dans cette vision, il connaît enfin la substance véritable et unique de toutes ses amours, il commu
20 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Daniel-Rops, Le Prince menteur (décembre 1928)
35 mort, inclusivement, n’étonnera pas ceux qui ont connu de semblables mythomanes. Le cas méritait d’être exposé. Je regrette
21 1929, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). « Belles-Lettres, c’est la clé des champs… » (janvier 1929)
36 s anciens bellettriens qui ont perdu toute foi ne connaîtront pas de pardon. Car ils ont vu, et s’ils n’ont pas cru, c’est qu’ils s
22 1929, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Souvenirs d’enfance et de jeunesse, par Philippe Godet (avril 1929)
37 Godet restera l’un des rares qui ont réussi à se connaître et que cela n’a point stérilisé : sa nature, il est vrai, s’y prêtait
38 y cherche, mais l’anecdote bien tournée, des noms connus . Tout est sur le même plan ; le dessin d’ailleurs est élégant. Mais c
23 1929, Articles divers (1924–1930). La tour de Hölderlin (15 juillet 1929)
39 de sa poésie, — d’une poésie, l’on dirait, qui ne connaît pas son auteur. Qui parle par sa bouche ? Il règne dans ses Hymnes un
40 me conduit est le propriétaire actuel. « Monsieur connaît Hölderlin ? — questionne-t-il, méfiant — bon, bon, parce qu’il y en a
41 ne savent pas trop qui c’était… Alors vous devez connaître ces portraits ? — (et comme je considère un ravissant médaillon de ma
24 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Julien Benda, La Fin de l’Éternel (novembre 1929)
42 ire. Et d’autre part, les lecteurs de cette revue connaissent la thèse de la Trahison des Clercs 11, thèse dont la Fin de l’Éternel
25 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 2. Description du monstre
43 ces réalités. J’y retrouvai aussi plusieurs têtes connues d’anciens camarades d’école primaire. Comme ils avaient changé ! On s
44 oigne de la même maladresse professionnelle. J’en connaissais un qui avait coutume de dire à une classe de garçons de 10 à 11 ans :
26 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 3. Anatomie du monstre
45 ires. Mais il n’est en aucune façon nécessaire de connaître la psychologie des enfants, ni même le contenu des sciences dont on é
27 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 6. La trahison de l’instruction publique
46 à ignorer bien plus que par ce qu’elle enseigne à connaître , elle constitue la plus grande force antireligieuse de ce temps. L’in
28 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 7. L’Instruction publique contre le progrès
47 is tenté de retirer brusquement ces sièges, farce connue et qui ridiculise à coup sûr sa victime. En fait de farces, vous alle
48 oit de la forme sociale que nous appelons sans la connaître et qui s’élabore déjà secrètement, que ce mépris et ce scepticisme so
29 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. Appendice. Utopie
49 ui ignore le réel. C’est justement parce qu’il le connaît mieux qu’eux qu’il y a vu des fissures et des possibilités nouvelles.
50 uteur de manuels d’histoire et de géographie bien connus , pour l’esprit le plus dangereusement plat qui soit. (Il est plus que
30 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 2. Description du monstre
51 ces réalités. J’y retrouvai aussi plusieurs têtes connues d’anciens camarades d’école primaire. Comme ils avaient changé ! On s
52 oigne de la même maladresse professionnelle. J’en connais un qui avait coutume de dire à une classe de garçons de 10 à 11 ans :
31 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 3. Anatomie du monstre
53 ires. Mais il n’est en aucune façon nécessaire de connaître la psychologie des enfants, ni même le contenu des sciences dont on é
32 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 6. La trahison de l’instruction publique
54 à ignorer bien plus que par ce qu’elle enseigne à connaître , elle constitue la plus grande force antireligieuse de ce temps. L’in
33 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 7. L’instruction publique contre le progrès
55 is tenté de retirer brusquement ces sièges, farce connue et qui ridiculise à coup sûr sa victime. En fait de farces, vous alle
56 oit de la forme sociale que nous appelons sans la connaître et qui s’élabore déjà secrètement, que ce mépris et ce scepticisme so
34 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Appendice. Utopie
57 ui ignore le réel. C’est justement parce qu’il le connaît mieux qu’eux qu’il y a vu des fissures et des possibilités nouvelles.
58 uteur de manuels d’histoire et de géographie bien connus , pour l’esprit le plus dangereusement plat qui soit. (Il est plus que
35 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
59 , de pensers mis à toutes sauces. Si M. Thibaudet connaissait l’hôte de céans, il proposerait cette formule du plat idéal : Du Bos
60 ennes, des chansons populaires qui sont ce que je connais de plus indiciblement nostalgique. Und solltest du im Leben Ein Mädc
36 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
61 nds empêtrés ! me paraît enviable : vous au moins connaissiez ce qui causait votre malheur ; moi, non. Barnabooth savait bien ce qu
62 eindre de prendre au sérieux ce que je vois. Ruse connue  : c’est l’histoire du mot que vous avez sous la langue ; je vous cons
63 core le ton. La littérature hongroise n’est guère connue à l’étranger que par quelques pièces légères de Molnár, qui n’ont de
37 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
64 x, je crois, s’en vont à la mer Noire, et je n’en connais pas les fées, c’est pourquoi je nageais à brasses prudentes avec, aux
65 sse de rencontrer une onde trop légère. Mais pour connaître un lac, il faut d’abord s’y plonger ; et ensuite, s’il vous a paru be
66 ves, ma Hongrie intérieure ? Il est vrai que l’on connaît depuis toujours ce qu’une fois l’on aimera. Et les uns disent qu’il f
67 ne fois l’on aimera. Et les uns disent qu’il faut connaître pour aimer ; les autres, aimer pour connaître, alors qu’au point de p
68 aut connaître pour aimer ; les autres, aimer pour connaître , alors qu’au point de perfection, aimer et connaître sont un seul et
69 naître, alors qu’au point de perfection, aimer et connaître sont un seul et même acte. Peut-être l’ai-je aimée d’un amour égoïste
38 1930, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Pour un humanisme nouveau » [Réponse à une enquête] (1930)
70 orte de commun dénominateur… (Le christianisme en connaît un, depuis toujours : il le nomme péché.) Tous les modèles que l’homm
39 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Malraux, La Voie royale (février 1931)
71 tre auteur pareil ostracisme. Mais notre monde ne connaît plus de sacré que la propriété matérielle. c. « La Voie royale », Fo
40 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Une exposition d’artistes protestants modernes (avril 1931)
72 sayer vers la beauté de nouvelles routes. On nous connaît mal. Derrière le mur de notre maison on nous croyait peut-être enferm
41 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Au sujet d’un grand roman : La Princesse Blanche par Maurice Baring (mai 1931)
73 en du mal parmi les actions d’autrui qu’il estime connaître . Simplement, il enregistre les effets d’une justice immanente. En mêm
42 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
74 ne d’atteindre la grandeur morale si elle n’a pas connu , ne fût-ce que par sa puissance de sympathie, la misère physique et m
75 evues françaises ou suisses nous avaient appris à connaître les résultats considérables de l’œuvre sociale, politique et religieu
43 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Gide ou le style exquis (à propos de Divers) (octobre 1931)
76 les abandons, les déchéances de l’homme, nous les connaissons de reste et la littérature de nos jours n’est que trop habile à les d
44 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le protestantisme jugé (octobre 1931)
77 les confirme et les répète bien souvent sans les connaître . Et « le point de vue de Genève » — c’est-à-dire protestant — nous pa
45 1931, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Éléments de la grandeur humaine, par Rudolf Kassner (octobre 1931)
78 s, non de la seule exactitude des pensées —, nous connaissons le modèle immortel, le Livre de Job. Il serait curieux d’en suivre la
46 1932, Présence, articles (1932–1946). Penser avec les mains (fragments) (janvier 1932)
79 s de préséance, entre philosophes-professeurs qui connaissent les règles du jeu… 5. C’est même peut-être la première fois que les
47 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
80 nt négligeable, s’agissant de deux êtres que l’on connaît par leurs écrits d’abord. Mais, pour en tenir un juste compte, il s’a
81 oin, d’un long abandon à l’erreur. Goethe n’a pas connu de tels déchirements. Et c’est lui qui méritera la phrase de la Saiso
48 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Goethe, chrétien, païen (avril 1932)
82 juger les actions d’un être que nous n’avons pas connu , alors que nous-même… Alors que Dieu seul juge. Si nous refusons le n
49 1932, Présence, articles (1932–1946). Cause commune (avril-juin 1932)
83 s du sentiment blessé que ces jeunes gens se sont connus . Cela crée le sous-entendu fondamental. Ensuite on confronte les buts
84 ion », disais-tu. Formule qu’au même moment, sans connaître ton texte, j’utilisais ailleurs pour définir nos tâches immédiates. F
85 roie les villes, où nous sommes peut-être seuls à connaître la force et la présence. Nous connaissons la vérité. Qu’elle soit tom
86 e seuls à connaître la force et la présence. Nous connaissons la vérité. Qu’elle soit tombée du ciel ou qu’elle éclate dans les cho
50 1932, Articles divers (1932-1935). Sur la violence bourgeoise (15 mai 1932)
87 ence… ». L’ennemi de la violence, tel que nous le connaissons , est un monsieur qui soutient la police, chargée de réprimer violemme
51 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Penser dangereusement (juin 1932)
88 nt les précédentes — elle éprouve son unité, elle connaît une fraternité en ceci : que la pensée n’est plus pour elle une justi
89 tel homme concret et réel que vous ou moi pouvons connaître . Mais, en vérité, la lecture du livre de M. Nizan n’inspire pas la ce
52 1932, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Principe d’une politique du pessimisme actif (novembre 1932)
90 ntendre ; mais pour cela il faudrait tout d’abord connaître la position du calvinisme dialectique en face de l’action humaine. Po
53 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). À prendre ou à tuer (décembre 1932)
91 es que le présent désordre. Je ne vois pas qu’ils connaissent l’homme mieux que nous. Je ne les vois pas plus forts. Je vois bien l
54 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
92 cise, de deux notions du tragique. Le monde latin connaît un tragique aux arêtes de pierre taillée : conflits d’actes, de faits
55 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Un soir à Vienne avec Gérard
93 nous être rien dit d’autre, comme des amis qui se connaissent depuis si longtemps qu’un échange tacite suffit aux petites décisions
94 ue tout revit en un instant dans cette vision, il connaît enfin la substance unique de ses amours, il communie avec quelque cho
56 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Une « tasse de thé » au Palais C…
95 C’était la voix de la comtesse Adélaïde, — je la connais à cet écho de joie dans mes pensées. Mais quelle approche me saisit ?
57 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
96 nds empêtrés ! me paraît enviable : vous au moins connaissiez ce qui causait votre malheur ; moi, non. Barnabooth savait bien ce qu
97 eindre de prendre au sérieux ce que je vois. Ruse connue  : c’est l’histoire du mot que vous avez sous la langue ; je vous cons
98 ore le ton. La littérature hongroise n’est guère connue à l’étranger que par quelques pièces légères de Molnar, qui n’ont de
99 x, je crois, s’en vont à la mer Noire, et je n’en connais pas les fées, c’est pourquoi je nageais à brasses prudentes avec aux
100 sse de rencontrer une onde trop légère. Mais pour connaître un lac, il faut d’abord s’y plonger ; et ensuite, s’il vous a paru be
101 ves, ma Hongrie intérieure ? Il est vrai que l’on connaît depuis toujours ce qu’une fois l’on aimera. Et les uns disent qu’il f
102 ne fois l’on aimera. Et les uns disent qu’il faut connaître pour aimer ; les autres, aimer pour connaître. Débat qui se résout da
103 aut connaître pour aimer ; les autres, aimer pour connaître . Débat qui se résout dans une synthèse, comme toujours : au point de
104 comme toujours : au point de perfection, aimer et connaître sont un seul et même acte. Peut-être l’ai-je aimée d’un amour égoïste
58 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
105 de sa poésie, — d’une poésie, l’on dirait, qui ne connaît pas son auteur. Qui parle par sa bouche ? Il règne dans ses Hymnes un
106 me conduit est le propriétaire actuel. « Monsieur connaît Hölderlin ? questionne-t-il, méfiant — bon, bon, parce qu’il y en a q
107 ne savent pas trop qui c’était… Alors vous devez connaître ces portraits ? — (et comme je considère un ravissant médaillon de ma
59 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
108  par-delà le logique et l’absurde ». Ah bien ! je connais quelques êtres entièrement en substance grise qui n’eussent pas mieux
109 hansons du Grand Duché de Bade qui sont ce que je connais de plus indiciblement nostalgique. Und solltest du im Leben Ein Madc
110 ’un être, dans le domaine sans frontières où l’on connaît profondément. Par les yeux d’une femme étrangère, mes yeux possédaien
111 ringe. J’ai répondu : Je ne sais pas si vous avez connu ce contentement large de tout l’être devant un verre de vin allemand
112 rythme des marées qui baignent nos membres. J’ai connu peu de joies plus hautes que celle-ci : se promener dans les campagne
113 es formes désirables du monde, lorsqu’il veut les connaître et les posséder dans sa force. Car la lenteur est chose souveraine, —
60 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
114 plaisirs mondains l’aspect absurde que nous leur connaissons , cette superstition ne leur est nullement nécessaire. Leurs plaisirs
115 lisé quand je vois se croiser dans la rue sans se connaître un patron d’usine et l’un de ses mécanos. Ou encore, quand le patron
116 sent de déverser sur une classe qu’ils ne peuvent connaître une haine conventionnelle et bassement démagogique. C’est ainsi que l
61 1932, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La pluie et le beau temps (Dialogue dans une tête) (1932)
117 uer en toi-même leur convenable sens. Et quand tu connaîtras où se situe leur lieu, établis en ce lieu la demeure de tes pensées.
62 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Introduction. Le sentiment de l’Europe centrale
118 cise, de deux notions du tragique. Le monde latin connaît un tragique aux arêtes de pierre taillée : conflits d’actes, de faits
63 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais C…
119 C’était la voix de la comtesse Adélaïde, — je la connais à cet écho de joie dans mes pensées. Mais quelle approche me saisit ?
64 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
120 nds empêtrés ! me paraît enviable : vous au moins connaissiez ce qui causait votre malheur ; moi, non. Barnabooth savait bien ce qu
121 core le ton. La littérature hongroise n’est guère connue à l’étranger que par quelques pièces légères de Molnar, qui n’ont de
122 x, je crois, s’en vont à la mer Noire, et je n’en connais pas les fées, c’est pourquoi je nageais à brasses prudentes avec aux
123 sse de rencontrer une onde trop légère. Mais pour connaître un lac, il faut d’abord s’y plonger ; et ensuite, s’il vous a paru be
124 ves, ma Hongrie intérieure ? Il est vrai que l’on connaît depuis toujours ce qu’une fois l’on aimera. Et les uns disent qu’il f
125 ne fois l’on aimera. Et les uns disent qu’il faut connaître pour aimer ; les autres, aimer pour connaître. Débat qui se résout da
126 aut connaître pour aimer ; les autres, aimer pour connaître . Débat qui se résout dans une synthèse, comme toujours : au point de
127 comme toujours : au point de perfection, aimer et connaître sont un seul et même acte. Peut-être l’ai-je aimée d’un amour égoïste
65 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
128 plaisirs mondains l’aspect absurde que nous leur connaissons , cette superstition ne leur est nullement nécessaire. Leurs plaisirs
129 lisé quand je vois se croiser dans la rue sans se connaître un patron d’usine et l’un de ses mécanos. Ou encore, quand le patron
130 sent de déverser sur une classe qu’ils ne peuvent connaître une haine conventionnelle et bassement démagogique. C’est ainsi que l
66 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
131 de sa poésie, — d’une poésie, l’on dirait, qui ne connaît pas son auteur. Qui parle par sa bouche ? Il règne dans ses Hymnes un
132 me qui me conduit est le propriétaire. « Monsieur connaît Hölderlin ? questionne-t-il, méfiant — bon, bon, parce qu’il y en a q
133 ne savent pas trop qui c’était… Alors vous devez connaître ces portraits ? — (et comme je considère un ravissant médaillon de ma
67 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
134  par-delà le logique et l’absurde ». Ah bien ! je connais quelques êtres entièrement en substance grise qui n’eussent pas mieux
135 hansons du Grand Duché de Bade qui sont ce que je connais de plus indiciblement nostalgique. Und solltest du im Leben Ein Mädc
136 d’un être, dans le domaine sans frontière où l’on connaît profondément. Par les yeux d’une femme étrangère, mes yeux possédaien
137 ard. J’ai répondu : « Je ne sais pas si vous avez connu ce contentement large de tout l’être devant un verre de vin allemand
138 rythme des marées qui baignent nos membres. J’ai connu peu de joies plus hautes que celle-ci : se promener dans les campagne
139 es formes désirables du monde, lorsqu’il veut les connaître et les posséder dans sa force. Car la lenteur est chose souveraine, —
68 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
140 ces rues les plus émouvantes du monde : il ne les connaîtra jamais. Il ne verra que d’aveugles façades. Il s’est privé à tout jam
141 e rappellerai, une fois de retour en Europe. J’en connais par avance la nostalgie. Le soir vient dans un luxe américain d’ocres
142 ent et qui s’éloignent. Un autre sentiment que je connais d’avance et ne pourrai que retrouver là-bas, c’est celui de ma nostal
143 n sans inquiétude. — Et New York donc ? Si vous y connaissez des chambres libres, faites-moi signe. (Comme les Américains paraisse
69 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — III
144 III C’est l’un des traits les moins connus de notre pays que la continuité de ses familles, ailleurs rompue par
70 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — IV
145 dans ses Mémoires. Mais c’est par le détail qu’on connaît une famille, par une famille l’histoire d’un pays, et surtout d’un pe
146 vie — l’une des très rares vies d’homme que j’ai connues de près, qui commandât mon absolu respect. Au-delà de l’exemple vivan
71 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VI
147 nt se gâte, la rhétorique n’est plus enseignée ni connue . L’histoire et la théologie fuient le discours, ignorent le style. En
148 ceux dont un homme cultivé, dans toute l’Europe, connaît au moins le nom. Nous n’avons rien de ce rang-là. Les visiteurs de La
72 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VIII
149 i de laisser les étrangers vanter nos vertus bien connues et découvrir celles que nous ignorons. Je me borne à l’autocritique.
150 nt pris de nos jours et que leurs pères n’ont pas connu , l’accent le plus navrant de tout le domaine français, de Québec à Me
73 1933, Esprit, articles (1932–1962). Protestants (mars 1933)
151 ient ces jeunes hommes a pris pour tâche de faire connaître et de critiquer toutes les tentatives réformistes ou révolutionnaires
74 1933, Esprit, articles (1932–1962). Comment rompre ? (mars 1933)
152 ités avec les « forces du monde ». Le chrétien ne connaît pas d’autre force réelle que celle de la foi. Or cette unique force n
75 1933, Le Semeur, articles (1933–1949). Humanisme et christianisme (mars 1933)
153 que Dieu, son créateur, ne l’aime ? Car Dieu seul connaît l’homme dans son origine et dans sa fin. L’homme étant « séparé » de
154  originel » — il en résulte qu’il ne peut plus se connaître entièrement lui-même. Il ne peut plus connaître son bien. Il pose les
155 e connaître entièrement lui-même. Il ne peut plus connaître son bien. Il pose les questions les plus absurdes et les plus insolub
156 Dieu des « avantages » humains. (Comment donc les connaîtrait -il ? Comment pourrait-il les nommer, s’il n’a d’abord cherché la volo
76 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). La Légion étrangère soviétique (juin 1933)
157 ent-ils, ils cherchent des hommes. L’URSS, qu’ils connaissent par ses films, offre à leur rêve toutes les possibilités de contact h
77 1933, Esprit, articles (1932–1962). Loisir ou temps vide ? (juillet 1933)
158 a présente corruption du travail. Notre siècle ne connaît plus ni le travail ni le loisir depuis qu’il a coupé leurs liens viva
78 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Saint-Évremond ou L’humaniste impur, par Albert-Marie Schmidt (octobre 1933)
159 sa fantaisie, la plus joyeusement érudite que je connaisse . Tel qu’il est, ce petit volume nous offre un jeu serré et subtil, et
79 1933, Articles divers (1932-1935). Jeune Europe (4 décembre 1933)
160 e-t-on déjà, sous le fard, de vieilles rides bien connues  ? À ces questions, l’ouvrage que René Dupuis et Alexandre Marc vienne
80 1933, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Parole de Dieu et parole humaine, par Karl Barth (30 décembre 1933)
161 delà, jusqu’à saint Paul, tous ceux qui ont su et connu ce que nous avons à peu près oublié : que l’homme n’est pas capable p
81 1933, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Petites notes sur les vérités éternelles (1932-1933)
162 is, ne m’en voudra pas trop de leur vivacité : il connaît bien les Neuchâtelois, qui l’ont beaucoup aimé ; il sait que ces Neuc
163 rétentions, survivantes chez certains penseurs, à connaître d’une vérité absolue, on put se demander si la philosophie n’allait p
164 ation de la foi ne relève pas d’un « invariant », connu ou inconnu, passé ou à venir, mais bien d’un ordre, reçu hic et nunc,
82 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Grammaire de la personne (janvier 1934)
165 sont extérieures, certes. Mais je n’ai pas à les connaître autrement que par la question concrète qu’elles m’adressent ; et cett
83 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). D’un humour romand (24 février 1934)
166 t Charles-Albert Cingria : La Rose de Thuringe et Connaissez mieux le cœur des femmes, de Girard, et de Cingria, ce que vous aurez
84 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
167 ment de la terre. Pourtant, certaines époques ont connu la grandeur. Ce ne furent pas les moins corrompues de l’histoire, mai
168 rai ! C’est encore un vieux raisonnement que nous connaissons trop bien, et dont nous connaissons aussi la signification réelle. C’
169 ment que nous connaissons trop bien, et dont nous connaissons aussi la signification réelle. C’est l’argument des gens en place qui
170 i, c’est d’oser les actes qu’il faut, et que nous connaissons très bien. Trop souvent, nos maîtres nous ont fourni des méthodes d’é
171 eur vie même. Les noms de ces divinités, vous les connaissez bien : ce sont l’État, la nation, la classe, la race, l’argent et l’o
172 -nous être des personnes ? Voilà le mot lâché. Je connais la réaction qui l’accueille. Hé quoi ! dit-on, en face de tous ces mo
173 être, là où réside le désespoir de l’homme qui ne connaît pas son destin. Après tout, l’homme désespéré, ce qu’il veut, ce n’es
85 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Communauté révolutionnaire (février 1934)
174 sence obsédante de la guerre. Tout cela est assez connu , mais peu de personnes en tiennent compte. Si nous le répétons, c’est
175 ’individu, d’homme en soi, d’homme type, est trop connue pour que nous la reprenions ici. On sait comment cette notion a passé
86 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Précisions sur la mort du Grand Pan (avril 1934)
176 nte majestueuse, mêlée d’orgueil, de l’esprit qui connaît son pouvoir et son acte, mesure la grandeur du danger, sait qu’il s’y
177 grandeur du danger, sait qu’il s’y offre armé, et connaît ses retraites. Raison géométrique, adoration intellectuelle ou sophis
178 dre sa question — un ordre « humain » — mais sans connaître l’Homme — peut être caractérisé dans ses effets bons et mauvais par l
87 1934, Journal de Genève, articles (1926–1982). Sara Alelia (25 mai 1934)
179 n chrétien est d’abord réaliste. Car il faut bien connaître la nature et ses abîmes, si l’on veut être à même d’y voir les touche
88 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Quelques œuvres et une biographie de Kierkegaard (26 mai 1934)
180 ité de notre condition. Ainsi, le chrétien, seul, connaît toute la misère de l’homme : elle lui est révélée par l’Évangile qui
89 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Deux essais de philosophes chrétiens (mai 1934)
181 agne peut nous faire réfléchir. Les philosophes y connaissent des succès dont rien, ici, ne peut donner l’idée ; et même les théolo
182 usions morales dans lesquelles nous vivons. Je ne connais pas de plus salutaire leçon pour un chrétien d’aujourd’hui que ce cha
90 1934, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le Procès, par Franz Kafka (mai 1934)
183 ais la misère de l’homme livré à un Dieu qu’il ne connaît pas, parce qu’il ne connaît pas le Christ. « Nul ne vient au Père que
184 ré à un Dieu qu’il ne connaît pas, parce qu’il ne connaît pas le Christ. « Nul ne vient au Père que par moi ». C’est par le Fil
185 ermet de faire un pas et « d’en sortir » que nous connaissons notre état, que nous mesurons le réel, et que nous pouvons l’avouer.
91 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Destin du siècle ou destin de l’homme ? (mai 1934)
186 tat. Nous croyons à la liberté de la Personne. Je connais bien la réaction qui accueille d’ordinaire nos déclarations personnal
92 1934, Articles divers (1932-1935). La Révolution nécessaire, par Arnaud Dandieu et Robert Aron (juin 1934)
187 r dans le rêve d’un « troisième terme » dont nous connaissons désormais le monstrueux visage ? — « Nous sommes sur la terre décisiv
93 1934, Articles divers (1932-1935). Où sont les jeunes protestants ? Remarques sur le protestantisme et les doctrines politiques (juillet-août 1934)
188 ositions, sur le plan de l’action publique. On ne connaît pas en France de parti protestant comparable aux nombreux groupements
189 ange fait la bête. »16 Qu’est l’homme ? Il ne se connaît pas. L’Évangile le révèle à lui-même, comme perdu, et par cette révél
190 nière du destin de l’homme, en même temps qu’elle connaît et saisit l’homme dans sa condition actuelle. Mais il faut savoir aus
191 u prend les moyens pour des fins ; la foi ne veut connaître que les fins, et en vient à dévaloriser les moyens. Ou encore : pour
192 u, prendre parti. Comme le réactionnaire, il veut connaître l’homme tel qu’il est — seulement il le connaît mieux. Comme le marxi
193 connaître l’homme tel qu’il est — seulement il le connaît mieux. Comme le marxiste, il sait que sa doctrine n’a pas à expliquer
94 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le mouvement des groupes — Kagawa (4 août 1934)
194 ement dans la réalité qu’un homme incarne. Qui le connaît en France ? Claudel, quelques revues protestantes en ont parlé. C’est
195 uissance sociale et religieuse dont l’Occident ne connaît pas d’exemple. Un récit autobiographique et romancé de sa jeunesse a
95 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notice biographique [Kierkegaard] (août 1934)
196 balayeurs, des intellectuels, le petit peuple. On connaissait sa silhouette, ses plaisanteries, il avait sa légende d’« original ».
197 onné dans la plus complète solitude qu’ait jamais connue un grand esprit. Un an plus tard, épuisé par la lutte, il tomba dans
96 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
198 se tient à l’origine de sa réalité. Celui-là seul connaît sa fin et l’ordre éternel de sa vie. Celui-là seul peut juger de ce m
199 Un seul utile à tous La phrase de Carlyle est connue , résumant l’utilitarisme de Bentham : « Étant donné un monde plein de
200 es de l’esprit ? Mais ne fallait-il pas qu’il ait connu de grandes aides pour oser nous montrer la vanité de toutes les nôtre
201 ajoute M. Benda, qui, en fait de protestants, ne connaît guère que Renouvier, son maître… 54. Jean XI, 4. 55. Stades sur le
97 1934, Esprit, articles (1932–1962). Préface à une littérature (octobre 1934)
202 ncipe vivant du nouvel ordre. Ce pouvoir, nous le connaissons , dans la mesure où nous sommes humains. Mais cette mesure est peut-êt
203 , et le bien qui nous les révèle. En vérité, nous connaissons bien mieux ce qui nous blesse que la nature des réalités que nous sen
204 impensable, appel aux dictateurs ? Mais ceux qui connaissent la mesure connaîtront bientôt l’ordre et la culture que nous voulons.
205 dictateurs ? Mais ceux qui connaissent la mesure connaîtront bientôt l’ordre et la culture que nous voulons. Nous rejoignons ici l
98 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Plans de réforme (octobre 1934)
206 yen de vivre par son travail, dans un cadre qu’il connaît et qu’il accepte, dans une société à laquelle il peut collaborer. » —
99 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Au sujet d’un roman : Sara Alelia (3 novembre 1934)
207 ette aussi compromettante ? À parler franc, je ne connais qu’un seul roman moderne authentiquement « réformé ». Un grand roman,
208 n chrétien est d’abord réaliste. Car il faut bien connaître la nature et ses abîmes, si l’on veut être à même d’y voir les marque
100 1934, Articles divers (1932-1935). Jeunesse déracinée (novembre 1934)
209 aimer : Colette a décrit cela dans la Chatte. On connaît ces faits. On les connaît bien dans le détail. Je ne vois pas qu’on a
210 cela dans la Chatte. On connaît ces faits. On les connaît bien dans le détail. Je ne vois pas qu’on ait tiré de leur ensemble a