1 1924, Articles divers (1924–1930). M. de Montherlant, le sport et les jésuites (9 février 1924)
1 losophie la morale jésuite, faite de règles et de contraintes imposées dans le but de restreindre la liberté et l’initiative indivi
2 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
2 Notre liberté de penser est absurde au regard des contraintes que subissent nos gestes. Imaginer ce qui se produirait, si par quelq
3 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Une exposition d’artistes protestants modernes (avril 1931)
3 ns, d’appui dans ses tâtonnements, de réactif, de contrainte , de stimulant dans l’atmosphère spirituelle qui préside à l’élaborati
4 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
4 d’existence que la Nature se voit pour ainsi dire contrainte d’assigner à l’homme actif 8, l’on découvre que c’est la magie encore
5 s la vie d’un être jeune et libre encore de toute contrainte sociale, culturelle, voire physiologique ; le dessin se simplifiera j
5 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). À prendre ou à tuer (décembre 1932)
6 rière ces idées une masse volontaire, une pesante contrainte de foi, une pureté terrible et humble. Loin de moi la pensée que par
6 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Une « tasse de thé » au Palais C…
7 e sont pris du désir d’adorer. Du sein de tant de contraintes polies et dans la pose la plus naturellement élégante, j’ai vu des ye
7 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
8 Notre liberté de penser est absurde au regard des contraintes que subissent nos gestes. Imaginer ce qui se produirait, si par quelq
8 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
9 t et franchement des paysans qui s’inclinent sans contrainte . Est-ce là dire que le « retour » à tel état soit souhaitable ? La qu
9 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais C…
10 e sont pris du désir d’adorer. Du sein de tant de contraintes polies et dans la pose la plus naturellement élégante, j’ai vu des ye
10 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
11 Notre liberté de penser est absurde au regard des contraintes que subissent nos gestes. Imaginer ce qui se produirait, si par quelq
11 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
12 t et franchement des paysans qui s’inclinent sans contrainte . Est-ce là dire que le « retour » à tel état soit souhaitable ? La qu
12 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
13 bon sens. C’est l’espoir d’une terre unie, comme contrainte à se fédérer par la menace de la guerre atomique. On m’assure que le
13 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VI
14 charme et de tristesse, ni même de la tension des contraintes morales, dont vécut le roman victorien. Faut-il penser que cette cult
15 e nature trop vantée pour nous troubler ? Que ces contraintes furent ou bien trop pesantes, ou au contraire trop aisément tournées 
14 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Une main, par C. F. Ramuz (juin 1933)
16 petites pages émouvantes, d’une confidence encore contrainte  : « Ah ! comme je suis mal fait pour ma part, si j’ose ainsi parler d
15 1933, Articles divers (1932-1935). Positions d’attaque pour l’ordre nouveau (décembre 1933)
17 u marxiste, viendra immédiatement lui opposer ses contraintes absolues, son cadre de plus en plus rigide, de plus en plus perfectio
16 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
18 ersez les institutions, organisez le monde par la contrainte ou dans la liberté, vous ne ferez pas une société si vous n’avez pas,
17 1934, Articles divers (1932-1935). Où sont les jeunes protestants ? Remarques sur le protestantisme et les doctrines politiques (juillet-août 1934)
19 on réactionnaire, ou statique, la politique de la contrainte armée, de l’ordre immuable, de la mesure (ou hiérarchie) sociale impo
18 1934, Le Semeur, articles (1933–1949). Sur la méthode de M. Goguel (novembre 1934)
20 ulats critiques de l’auteur n’ont aucune force de contrainte . C’est l’Écriture et le dogme qui les jugent, et non l’inverse, comme
19 1934, Politique de la personne. Introduction — L’engagement politique
21 mme moi qui n’ont le goût ni des habiletés ni des contraintes qu’il y faut, puissent quitter ce combat mauvais, et porter ailleurs
20 1934, Politique de la personne. Introduction — Pour une politique à hauteur d’homme
22 e vivant d’un pays n’est pas dans un organisme de contrainte , mais doit être en chacun des citoyens conscients, fussent-ils, et c’
21 1934, Politique de la personne. Introduction — En dernier ressort
23 t le désordre du temps. L’occasion seule, sous la contrainte de la foi, légitime à mes yeux cette action : il fallait que cela par
22 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
24 ersez les institutions, organisez le monde par la contrainte ou dans la liberté, vous ne ferez pas une société si vous n’avez pas,
23 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Personne ou individu ? (D’après une discussion)
25 réelle, rayonnante, et qui ne se fonde pas sur la contrainte matérielle, mais sur le pouvoir créateur, ordonnateur. L’Esprit dont
24 1934, Politique de la personne. Principes d’une politique du pessimisme actif — Ni ange ni bête : ni gauche ni droite (Fondements théologiques d’une action politique)
26 on réactionnaire, ou statique, la politique de la contrainte armée, de l’ordre immuable, de la mesure (ou hiérarchie) sociale impo
25 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
27 rière ces idées une masse volontaire, une pesante contrainte de foi, une pureté terrible et humble. Loin de moi la pensée que par
26 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — L’engagement politique
28 mme moi qui n’ont le goût ni des habiletés ni des contraintes qu’il y faut, puissent quitter ce combat mauvais, et porter ailleurs
27 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — Pour une politique à hauteur d’homme
29 e vivant d’un pays n’est pas dans un organisme de contrainte , mais doit être en chacun des citoyens conscients, fussent-ils, et c’
28 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — En dernier ressort
30 t le désordre du temps. L’occasion seule, sous la contrainte de la foi, légitime à mes yeux cette action : il fallait que cela par
29 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
31 ersez les institutions, organisez le monde par la contrainte ou dans la liberté, vous ne ferez pas une société si vous n’avez pas,
30 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Personne ou individu ? (d’après une discussion)
32 réelle, rayonnante, et qui ne se fonde pas sur la contrainte matérielle, mais sur le pouvoir créateur, ordonnateur. L’Esprit dont
31 1934, Politique de la personne (1946). Principes d’une politique du pessimisme actif — Ni ange ni bête : ni gauche ni droite, (Fondements théologiques d’une action politique)
33 on réactionnaire, ou statique, la politique de la contrainte armée, de l’ordre immuable, de la mesure (ou hiérarchie) sociale impo
32 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
34 rière ces idées une masse volontaire, une pesante contrainte de foi, une pureté terrible et humble. Loin de moi la pensée que par
33 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Quatre indications pour une culture personnaliste (février 1935)
35 es organismes producteurs. Non pas en vertu d’une contrainte ou de quelque plan étatique, mais à partir d’une commune mesure et po
34 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Plébiscite et démocratie (avril 1936)
36 « un peu fort » dans l’application des moyens de contrainte légale, surtout dans les petites localités (vote en masse, en cortège
35 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
37 on très visible et ses moyens d’action ou même de contrainte  : c’est le Plan55. Ainsi donc, la mesure effective à quoi s’ordonne t
38 assure une liberté réelle et plus féconde que la contrainte . Les surréalistes sont fondés à parler du « vent de crétinisation qui
36 1936, Esprit, articles (1932–1962). Erskine Caldwell, Le Petit Arpent du Bon Dieu (novembre 1936)
39 ue c’est enfin la « vraie » nature délivrée de la contrainte « artificielle » des convenances ou du sentiment… Huizinga, dans son
37 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — La mesure soviétique
40 on très visible et ses moyens d’action ou même de contrainte  : c’est le PLAN40. J’insiste : la mesure effective à quoi s’ordonne t
38 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — La mesure nationale-socialiste
41 lequel les productions futures, désirées, seront contraintes de s’ordonner. Règne des films de propagande, des chœurs parlés, des
39 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Leçon des dictatures
42 assure une liberté réelle et plus féconde que la contrainte . Les surréalistes sont fondés à parler du « vent de crétinisation qui
43 s qu’il entraînera nécessairement, le jour où les contraintes policières se relâcheront. ⁂ Les partisans de l’URSS ou de Hitler me
40 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
44 se vulgarisant, pour se vulgariser, elle se voit contrainte à formuler ses postulats. Ils perdent rapidement leur caractère d’hyp
41 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
45 ent, qu’elle la construit de l’extérieur, par une contrainte politique. Le rapport véritable entre les hommes, c’est la communauté
42 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — La mesure soviétique
46 on très visible et ses moyens d’action ou même de contrainte  : c’est le plan 41. J’insiste : la mesure effective à quoi s’ordonne
43 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — La mesure nationale-socialiste
47 lequel les productions futures, désirées, seront contraintes de s’ordonner. Règne des films de propagande, de chœurs parlés, des S
44 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Leçon des dictatures
48 assure une liberté réelle et plus féconde que la contrainte . Les surréalistes sont fondés à parler du « vent de crétinisation qui
49 s qu’il entraînera nécessairement, le jour où les contraintes policières se relâcheront. ⁂ Les partisans de l’URSS ou de Hitler me
45 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
50 se vulgarisant, pour se vulgariser, elle se voit contrainte à formuler ses postulats. Ils perdent rapidement leur caractère d’hyp
46 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
51 ent, qu’elle la construit de l’extérieur, par une contrainte politique. Le rapport véritable entre les hommes, c’est la communauté
47 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Historique du mal capitaliste (janvier 1937)
52 qui sécrète un chômage « technologique » se voit contrainte de fournir aux chômeurs une sportule régulière (« indemnités », comme
53 ien de solidarité humaine authentique. Seules les contraintes et les avantages procurés par l’État font qu’il existe encore un mond
54 es, etc.) qui, par privilège, vivent à l’abri des contraintes municipales67. Les princes interviennent donc dans la vie économique,
48 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). L’autorité assure les libertés (mai 1937)
55 liberté, on enserre le pays dans une armature de contrainte matérielle, contre laquelle la colère des opprimés s’accumule petit à
56 rité spirituelle dépende d’un pouvoir matériel de contrainte , et ne puisse s’exercer sans lui ou contre lui. Toute l’histoire démo
57 ister dans la mesure où elle se transformerait en contrainte uniforme et centralisée. Il n’y aurait plus qu’à renverser les hommes
49 1937, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Violence et brutalité (1er juin 1937)
58 n en est venu à assimiler violence à brutalité, à contrainte par la force matérielle : on parle des « violences policières ». On l
59 tère avant tout matériels. Elle est le fait d’une contrainte purement extérieure, donc incapable en soi de rien créer et animer. C
60 taine brutalité, reconnaissable à un caractère de contrainte externe, comme mécanique, et qui ne tient pas compte de la nature spi
61 e, en ce qu’elle est fondée sur le principe de la contrainte par corps, — même lorsqu’il s’agit des choses de l’esprit. Elle ne dé
62 cherche à obtenir par des moyens brutaux, par des contraintes externes, un « rendement social » immédiat, et l’on ne s’aperçoit pas
63 est lié à l’éducation ; celui des dictatures à la contrainte . Le seul moyen de prévenir cette contrainte, c’est d’orienter l’éduca
64 à la contrainte. Le seul moyen de prévenir cette contrainte , c’est d’orienter l’éducation vers une prise de conscience vigoureuse
50 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
65 a révélation d’une vie saine et délivrée de toute contrainte mauvaise, c’est trahir cette « attente ardente », cette question ango
51 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
66 ’éducation, il n’y a plus d’autre solution que la contrainte . La dictature est un moyen grossier, souvent barbare et toujours désh
52 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
67 ’éducation, il n’y a plus d’autre solution que la contrainte . La dictature est un moyen grossier, souvent barbare et toujours désh
53 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
68 a révélation d’une vie saine et délivrée de toute contrainte mauvaise, c’est trahir cette « attente ardente », cette question ango
54 1938, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La vraie défense contre l’esprit totalitaire (juillet 1938)
69 an où il veut nous mettre, les démocraties seront contraintes d’adopter peu à peu un régime politique qui les transformera automati
55 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
70 is groupes de valeurs qui lui fournissaient ses «  contraintes  » — et c’est précisément dans le jeu de ces contraintes que le mythe
71 intes » — et c’est précisément dans le jeu de ces contraintes que le mythe de Tristan puisait ses moyens d’expression. Or voici que
72 puisait ses moyens d’expression. Or voici que ces contraintes ou se relâchent, ou disparaissent :   1. — Contraintes sacrées. Le ma
73 aintes ou se relâchent, ou disparaissent :   1. —  Contraintes sacrées. Le mariage, chez les peuples païens, s’est toujours entouré
74 ux » d’aller se faire bénir par un prêtre.   2. —  Contraintes sociales. Les questions de rang, de sang, d’intérêts familiaux, et mê
75 de ce qu’on appelle le bonheur des époux.   3. —  Contraintes religieuses. Dans la mesure où la conscience moderne comme telle sait
76 telle sait encore distinguer le christianisme des contraintes sacrées et sociales, elle le repousse avec horreur. Car l’engagement
77 mariage, cessant d’être garanti par un système de contraintes sociales, ne peut plus se fonder, désormais, que sur des déterminatio
78 ons entre les sexes, dans une société libérée des contraintes de classe et d’argent. D’autres enfin s’efforcent de fonder une scien
79 a panique sexuelle provoquée par la décadence des contraintes matrimoniales et du mythe de l’amour mortel. Déjà l’on voyait affleur
56 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
80 te quoi, dans une parfaite liberté d’esprit ? Les contraintes totalitaires nous hypnotisent. Elles nous privent de toute liberté à
57 1938, Journal d’Allemagne. Plébiscite et démocratie. (À propos des « élections » au Reichstag, 29 mars 1936)
81 « un peu fort » dans l’application des moyens de contrainte légale, surtout dans les petites localités (vote en masse, en cortège
58 1939, Esprit, articles (1932–1962). Autour de L’Amour et l’Occident (septembre 1939)
82 e poésie. Que faut-il pour écrire un sonnet ? Des contraintes rhétoriques et de la liberté, disons de l’imagination. De même, pour
59 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
83 telle, n’a pas à proprement parler un pouvoir de contrainte sur le public. Si belle et puissante qu’elle soit, on peut toujours l
84 jouaient bel et bien au xiiie siècle un rôle de contrainte absolue, n’interviennent dans le roman qu’à titre d’obstacle mythique
85 nvahira le subconscient, — appellera de nouvelles contraintes , se les inventera au besoin… Car nous verrons que ce n’est pas seulem
86 sprit, possibilité préformée à la recherche d’une contrainte qui l’exalte, charme, terreur ou idéal : tel est le mythe qui nous to
60 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
87 bon. Mais nous n’oublions pas que ce refus de la contrainte fatale, cette liberté qui fait le prix du don, c’est une des exigence
61 1939, L’Amour et l’Occident. Amour et guerre
88 es d’expression en actes. Elle y était d’ailleurs contrainte par la dépréciation des résistances morales et privées, non moins que
62 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe contre le mariage
89 is groupes de valeurs qui lui fournissaient ses «  contraintes  » — et c’est précisément dans le jeu de ces contraintes que le mythe
90 intes » — et c’est précisément dans le jeu de ces contraintes que le mythe puisait ses moyens d’expression (comme on l’a vu au Livr
91 on (comme on l’a vu au Livre I). Or voici que ces contraintes ou se relâchent, ou disparaissent : 1. — Contraintes sacrées Le maria
92 traintes ou se relâchent, ou disparaissent : 1. —  Contraintes sacrées Le mariage, chez les peuples païens, s’est toujours entouré d
93 ux d’aller se faire « bénir » par un prêtre. 2. —  Contraintes sociales Les questions de rang, de sang, d’intérêts familiaux, et mêm
94 vé de ce qu’on appelle le bonheur des époux. 3. —  Contraintes religieuses Dans la mesure où la conscience moderne comme telle sait
95 telle sait encore distinguer le christianisme des contraintes sacrées et sociales, elle le repousse avec horreur. Car l’engagement
96 mariage cessant d’être garanti par un système de contraintes sociales ne peut plus se fonder, désormais, que sur des détermination
97 ons entre les sexes, dans une société libérée des contraintes de classes et d’argent. D’autres enfin s’efforcent de fonder une scie
98 a panique sexuelle provoquée par la décadence des contraintes matrimoniales et du mythe de l’amour mortel. Déjà l’on voyait affleur
63 1939, Articles divers (1938-1940). Le protestantisme créateur de personnes (1939)
99 et plus solide, où l’individu isolé retrouve des contraintes qui le rassurent, et l’État sa puissance matérielle. C’est Rome alors
100  : souvenirs, mythologies, rites magiques, races, contraintes sacrées. C’est là ce que j’appellerai une communauté régressive. L’au
101 bsolument nouveau, qui ne soit pas fondée sur les contraintes du passé, ni sur des lois, mais sur l’attente commune et enthousiaste
64 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
102 telle, n’a pas à proprement parler un pouvoir de contrainte sur le public. Si belle et puissante qu’elle soit, on peut toujours l
103 jouaient bel et bien au xiiie siècle un rôle de contrainte absolue, n’interviennent dans le roman qu’à titre d’obstacle mythique
104 envahira le subconscient, appellera de nouvelles contraintes , se les inventera au besoin… Car nous verrons que ce n’est pas seulem
105 sprit, possibilité préformée à la recherche d’une contrainte qui l’exalte, charme, terreur ou idéal : tel est le mythe qui nous to
65 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
106 onvergentes, ces condamnations antithétiques, ces contraintes théoriques et pratiques, ces libertés très obscurément pressenties da
107 ntipode spirituel au mariage où elles avaient été contraintes . » Le même auteur ajoute qu’à son avis, « il n’est pas question de vo
66 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
108 bon. Mais nous n’oublions pas que ce refus de la contrainte fatale, cette liberté qui fait le prix du don, c’est une des exigence
67 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Amour et guerre
109 es d’expression en actes. Elle y était d’ailleurs contrainte par la dépréciation des résistances morales et privées, non moins que
68 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe contre le mariage
110 is groupes de valeurs qui lui fournissaient ses «  contraintes  » — et c’est précisément dans le jeu de ces contraintes que le mythe
111 intes » — et c’est précisément dans le jeu de ces contraintes que le mythe puisait ses moyens d’expression (comme on l’a vu au livr
112 on (comme on l’a vu au livre I). Or voici que ces contraintes ou se relâchent, ou disparaissent : 1. — Contraintes sacrées. — Le m
113 raintes ou se relâchent, ou disparaissent : 1. —  Contraintes sacrées. — Le mariage, chez les peuples païens, s’est toujours entour
114 eux » d’aller se faire bénir par un prêtre. 2. —  Contraintes sociales. — Les questions de rang, de sang, d’intérêts familiaux et m
115 é de ce qu’on appelle le bonheur des époux. 3. —  Contraintes religieuses. — Dans la mesure où la conscience moderne comme telle sa
116 telle sait encore distinguer le christianisme des contraintes sacrées et sociales, elle le repousse avec horreur. Car l’engagement
117 mariage cessant d’être garanti par un système de contraintes sociales ne peut plus se fonder, désormais, que sur des détermination
118 ons entre les sexes, dans une société libérée des contraintes de classes et d’argent. D’autres enfin s’efforcent de fonder une scie
119 a panique sexuelle provoquée par la décadence des contraintes matrimoniales et du mythe de l’amour mortel. Déjà l’on voyait affleur
69 1939, L’Amour et l’Occident (1956). L’amour action, ou de la fidélité
120 t né de rêves compensateurs — soit d’une fidélité contrainte et détestée, soit d’une jalousie masochiste, soit enfin d’un début d’
70 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
121 telle, n’a pas à proprement parler un pouvoir de contrainte sur le public. Si belle et puissante qu’elle soit, on peut toujours l
122 jouaient bel et bien au xiiie siècle un rôle de contrainte absolue, n’interviennent dans le roman qu’à titre d’obstacle mythique
123 envahira le subconscient, appellera de nouvelles contraintes , se les inventera au besoin… Car nous verrons que ce n’est pas seulem
124 sprit, possibilité préformée à la recherche d’une contrainte qui l’exalte, charme, terreur ou idéal : tel est le mythe qui nous to
71 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
125 onvergentes, ces condamnations antithétiques, ces contraintes théoriques et pratiques, ces libertés très obscurément pressenties da
126 ntipode spirituel au mariage où elles avaient été contraintes . » Le même auteur ajoute qu’à son avis, « il n’est pas question de vo
72 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
127 bon. Mais nous n’oublions pas que ce refus de la contrainte fatale, cette liberté qui fait le prix du don, c’est une des exigence
73 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Amour et guerre
128 es d’expression en actes. Elle y était d’ailleurs contrainte par la dépréciation des résistances morales et privées, non moins que
74 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe contre le mariage
129 is groupes de valeurs qui lui fournissaient ses «  contraintes  » — et c’est précisément dans le jeu de ces contraintes que le mythe
130 intes » — et c’est précisément dans le jeu de ces contraintes que le mythe puisait ses moyens d’expression (comme on l’a vu au livr
131 on (comme on l’a vu au livre I). Or voici que ces contraintes ou se relâchent, ou disparaissent : 1. — Contraintes sacrées. — Le ma
132 traintes ou se relâchent, ou disparaissent : 1. —  Contraintes sacrées. — Le mariage, chez les peuples païens, s’est toujours entour
133 ieux » d’aller se faire bénir par un prêtre. 2. —  Contraintes sociales. — Les questions de rang, de sang, d’intérêts familiaux et m
134 vé de ce qu’on appelle le bonheur des époux. 3. —  Contraintes religieuses. — Dans la mesure où la conscience moderne comme telle sa
135 telle sait encore distinguer le christianisme des contraintes sacrées et sociales, elle le repousse avec horreur. Car l’engagement
136 mariage cessant d’être garanti par un système de contraintes sociales ne peut plus se fonder, désormais, que sur des détermination
137 ons entre les sexes, dans une société libérée des contraintes de classes et d’argent. D’autres enfin s’efforcent de fonder une scie
138 ue sexuelle provoquée par la double décadence des contraintes matrimoniales et du mythe de l’amour mortel. Déjà l’on voyait affleur
75 1939, L’Amour et l’Occident (1972). L’amour action, ou de la fidélité
139 t né de rêves compensateurs — soit d’une fidélité contrainte et détestée, soit d’une jalousie masochiste, soit enfin d’un début d’
76 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La bataille de la culture (janvier-février 1940)
140 un coude à coude où l’individu isolé retrouve des contraintes qui le rassurent. Appel à une communauté : c’est le secret de toute r
77 1940, Mission ou démission de la Suisse. Le protestantisme créateur de personnes
141 et plus solide, où l’individu isolé retrouve des contraintes qui le rassurent, et l’État sa puissance matérielle. C’est Rome alors
142 bsolument nouveau, qui ne soit pas fondée sur les contraintes du passé, ni sur des lois, mais sur l’attente commune et enthousiaste
78 1940, Mission ou démission de la Suisse. Esquisses d’une politique fédéraliste
143 en question par une propagande agressive se voit contrainte de développer pour sa défense une théorie. Nous vivons ce moment de l
79 1940, Politique de la personne (1946). À la fois libre et engagé — Le protestantisme créateur de personnes
144 et plus solide, où l’individu isolé retrouve des contraintes qui le rassurent, et l’État sa puissance matérielle. C’est Rome alors
145 bsolument nouveau, qui ne soit pas fondée sur les contraintes du passé, ni sur des lois, mais sur l’attente commune et enthousiaste
80 1942, La Part du diable. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
146 n proposant une licence absolue. Or, l’absence de contraintes choisies rend la sexualité insignifiante, et déprime secrètement l’hu
81 1942, La Part du diable. Le Bleu du Ciel
147 s et de l’anonymat, ne sont plus que d’abstraites contraintes , qui d’ailleurs ne contraignent bientôt qu’à la mauvaise humeur, à la
148 devenir totalitaire, c’est-à-dire que l’abstraite contrainte doit se doubler d’une contrainte physique, seule efficace désormais :
149 que l’abstraite contrainte doit se doubler d’une contrainte physique, seule efficace désormais : la police. Mais cet ordre imposé
82 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
150 n proposant une licence absolue. Or, l’absence de contraintes choisies rend la sexualité insignifiante, et déprime secrètement l’hu
83 1942, La Part du diable (1944). Le Bleu du Ciel
151 s et de l’anonymat, ne sont plus que d’abstraites contraintes , qui d’ailleurs ne contraignent bientôt qu’à la mauvaise humeur, à la
152 devenir totalitaire, c’est-à-dire que l’abstraite contrainte doit se doubler d’une contrainte physique, seule efficace désormais :
153 que l’abstraite contrainte doit se doubler d’une contrainte physique, seule efficace désormais : la police. Mais cet ordre imposé
84 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
154 n proposant une licence absolue. Or, l’absence de contraintes choisies rend la sexualité insignifiante, et déprime secrètement l’hu
85 1942, La Part du diable (1982). Le Bleu du Ciel
155 s et de l’anonymat, ne sont plus que d’abstraites contraintes , qui d’ailleurs ne contraignent bientôt qu’à la mauvaise humeur, à la
156 devenir totalitaire, c’est-à-dire que l’abstraite contrainte doit se doubler d’une contrainte physique, seule efficace désormais :
157 que l’abstraite contrainte doit se doubler d’une contrainte physique, seule efficace désormais : la police. Mais cet ordre imposé
86 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable III : diable et sexe (29 octobre 1943)
158 n proposant une licence absolue. Or, l’absence de contraintes choisies rend la sexualité insignifiante, et déprime secrètement l’hu
87 1944, Articles divers (1941-1946). Ars prophetica, ou D’un langage qui ne veut pas être clair (hiver 1944)
159 l’ampleur de ma déraison. Laissez-moi parler sans contrainte mon sabir eschatologique. Je disais donc que la déduction cartésienne
88 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Le silence de Goethe
160 d’existence que la Nature se voit pour ainsi dire contrainte d’assigner à l’homme actif 3, l’on découvre que c’est la magie encore
161 la vie d’un être jeune, et libre encore de toute contrainte sociale et culturelle : le dessin se simplifiera jusqu’au schème uniq
89 1946, Le Semeur, articles (1933–1949). Chances d’action du christianisme (juin-juillet 1946)
162 resque aussi grands que ceux qu’elles eussent été contraintes de subir en se rendant. (Dans ce « presque » est là différence entre
90 1946, Foi et Vie, articles (1928–1977). Fédéralisme et œcuménisme (octobre 1946)
163 et plus solide, où l’individu isolé retrouve des contraintes qui le rassurent, et où l’État reprend sa puissance. C’est Rome alors
91 1946, Journal des deux mondes. Le mauvais temps qui vient
164 bon sens. C’est l’espoir d’une terre unie, comme contrainte à se fédérer par la menace de la guerre atomique. On m’assure que le
92 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Châteaux en Prusse
165 t et franchement des paysans qui s’inclinent sans contrainte . Est-ce là dire que le « retour » à tel état soit souhaitable ? La qu
93 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais c…
166 e sont pris du désir d’adorer. Du sein de tant de contraintes polies et dans la pose la plus naturellement élégante, j’ai vu des ye
94 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
167 Notre liberté de penser est absurde au regard des contraintes que subissent nos gestes. Imaginer ce qui se produirait, si par quelq
95 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Sur l’automne 1932, ou la naissance du personnalisme
168 rière ces idées une masse volontaire, une pesante contrainte de foi, une pureté terrible et humble. Loin de moi la pensée que par
96 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
169 ’éducation, il n’y a plus d’autre solution que la contrainte . La dictature est un moyen grossier, souvent barbare et toujours désh
97 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
170 a révélation d’une vie saine et délivrée de toute contrainte mauvaise, c’est trahir cette « attente ardente », cette question ango
98 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Journal (1935-1936)
171 te quoi, dans une parfaite liberté d’esprit ? Les contraintes totalitaires nous hypnotisent. Elles nous privent de toute liberté à
99 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le mauvais temps qui vient
172 bon sens. C’est l’espoir d’une terre unie, comme contrainte à se fédérer par la menace de la guerre atomique. On m’assure que le
100 1947, Articles divers (1946-1948). La guerre des sexes en Amérique (janvier 1947)
173 , loin de relever d’une dialectique normale entre contrainte et liberté, trahisse un fléchissement vital. Possible aussi, d’un tou