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us avons un corps, et c’est très beau, Breton, de
crier
« Révolution toujours » — tant qu’il y a des gens pour vous faire du
2
rcel Arland). 9. Ce serait au moins la liberté !
crieront
les surréalistes. Voire. On est moins libre à Moscou qu’à Montparnass
3
k de La Coupe et les Lèvres, à qui ses compagnons
criaient
: « Te fais-tu le bouffon de ta propre détresse ? » Tant d’insistance
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comme pour le film 1905, on a sans cesse envie de
crier
: « Trop de gestes ! » C’est une question d’épuration des moyens. Ren
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ontre votre raison. Et avec Aragon lorsqu’il vous
crie
: « À bas le clair génie français. » Alors la voix de Rimbardk à la c
6
irai pas, comme on a fait, que c’est très joli de
crier
merde pour Horace, Montaigne, Descartes, Schiller, Voltaire, etc., et
7
nemis de discuter avec eux dans leur langue et de
crier
rouge pour la simple raison qu’ils ont dit blanc ? Pensez-vous combat
8
rs une rage s’empara de mon corps tout entier, je
criai
un juron, claquai la porte et courus dans ma chambre. Une demi-heure
9
ante, — j’ai tué un amour naissant, à force de le
crier
sur les toits. Ainsi, parler littérature, c’est faire la part du feu.
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noirs. Mais les rideaux étaient baissés. Déjà on
criait
les journaux du matin, des triporteurs passèrent à toute vitesse, m’é
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plus efficace. Aragon se retourne sans cesse pour
crier
: Lâches, vous refusez d’avancer ! Mais il reste à portée de voix du
12
ellence du principe de l’instruction publique, on
crie
sur tous les bancs : « Alors, vous êtes pour un retour à la barbarie
13
ellence du principe de l’instruction publique, on
crie
sur tous les bancs : « Alors, vous êtes pour un retour à la barbarie
14
ne regardait, il se jeta par terre sur la route,
criant
à son corps : “Meurs !”, mais sans résultat ». C’est dans un tel état
15
veulent bien voir la révolte chez ceux-là qui la
crient
, et la magie chez ceux qui vaticinent, ayant été moins loin que Goeth
16
ne âme qui se refuse encore à la souffrance et la
crie
sur la place. Un peu plus de souffrance, plus intimement ancrée, et v
17
puisque écrire signifie pour lui révéler, parler,
crier
, miraculer le réel. Au contraire l’on peut considérer sans paradoxe q
18
ains, au lendemain de la guerre, ont trop souvent
crié
au loup, par goût des atmosphères tragiques. Littérature et mauvais c
19
irs. Mais les rideaux étaient baissés. Déjà on
criait
les journaux du matin, des triporteurs passèrent à toute vitesse, m’é
20
s que le maître la sienne : car à peine arrivé il
crie
le nom d’un des enfants et celui-ci récite une courte prière, durant
21
s que le maître la sienne : car à peine arrivé il
crie
le nom d’un des enfants et celui-ci récite une courte prière, durant
22
s Américains pendant la guerre… — Taisez-vous, me
crie-t
-elle, je retrouve l’Europe ! Ce n’est pas le moment d’être objectif !
23
t d’autres sons… Si ! Je ne rêve pas : un coq qui
crie
, tout là-bas vers les Invalides. L’or pâle du dôme s’avive au-dessus
24
Entendrons-nous un jour quelqu’un qui chante, ou
crie
, après des siècles où nul n’a prononcé un mot plus haut que l’autre,
25
contraire, avant un rendez-vous ? Cette envie de
crier
: « J’accours ! Attends !… » Ah ! mais qu’est-ce qu’il m’arrive ? se
26
wa ! C’est un révolutionnaire redoutable. » Ainsi
criait
-on contre les prophètes. Kagawa est aussi un grand mystique, c’est-à-
27
la galerie plus qu’à eux-mêmes, je le crains. Ils
criaient
, mais restaient dans la salle, où l’on pouvait les applaudir. On les
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ais, ici déjà, le vague de ces formules nous fait
crier
casse-cou : « compter avec le fait-nation », « se replier sur le cadr
29
est défini par la seule puissance de l’État, nous
crions
au « fascisme » et à la contre-révolution. Tout élan révolutionnaire
30
, d’une attention d’autant plus sympathique qu’il
criait
fort et bien, mais mordait peu. C’est le surréalisme, en somme, qui d
31
bon sens. Mais j’ai ma petite folie aussi, qui ne
crie
pas avec les leurs, et qui se croit dans son bon sens, à elle ! Les h
32
ains, au lendemain de la guerre, ont trop souvent
crié
au loup, par goût des atmosphères tragiques. Littérature et mauvais c
33
ait simplement que l’homme s’arrête de penser, et
crie
avec les loups. Le « réalisme » ainsi conçu et certaine naïveté prima
34
bon sens. Mais j’ai ma petite folie aussi, qui ne
crie
pas avec les leurs, et qui se croit dans son bon sens, à elle ! Les h
35
ains, au lendemain de la guerre, ont trop souvent
crié
au loup, par goût des atmosphères tragiques. Littérature et mauvais c
36
ait simplement que l’homme s’arrête de penser, et
crie
avec les loups. Le « réalisme » ainsi conçu et certaine naïveté prima
37
sme. On prêche, on s’attendrit, on excommunie, on
crie
au blasphème, on dénonce les obscurantistes, on prophétise le règne d
38
ose, s’il croit que la nature est bonne, pourquoi
crie-t
-il si fort que « l’homme est quelque chose qui doit être surmonté » ?
39
e veut plus rien voir au-delà. Trop de chefs nous
crient
: en avant ! sans avoir osé regarder plus loin que le bout des semell
40
lante prophétie de l’invisible. De Séir, une voix
crie
au prophète11 : « Sentinelle, que dis-tu de la nuit ? Sentinelle, que
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de Pilate et des docteurs nationalistes juifs qui
criaient
avec la populace : Crucifie ! et relâche Barabbas — opposition qui se
42
ains ne risque pas de faire le jeu des clercs qui
crient
avec les loups, et de trahir de la sorte doublement, étant admis tout
43
sme. On prêche, on s’attendrit, on excommunie, on
crie
au blasphème, on dénonce les obscurantistes, on prophétise le règne d
44
surréalistes, etc. Ce sont des êtres isolés, qui
crient
très fort parce qu’ils se sentent très loin de ceux qu’ils interpelle
45
s plus clairs, ni personne, du côté stalinien, de
crier
au trotskiste, au bourgeois ? (Si toutefois c’est encore une injure…)
46
int que vous n’en êtes même plus conscients. Vous
criez
au nationalisme, c’est-à-dire à l’orgueil impérialiste je pense, dès
47
surréalistes, etc. Ce sont des êtres isolés, qui
crient
très fort parce qu’ils se sentent très loin de ceux qu’ils interpelle
48
chiré par l’insurmontable ironie ! Et sinon je ne
crierais
point. Mais le silence n’est pas donné à l’homme par son effort. Le s
49
ux. C’est pourquoi ils la prennent au tragique et
crient
comme s’ils étaient saisis d’une crampe. Je constate que les gens du
50
s d’autorité, autant se taire si l’on ne veut pas
crier
avec les loups87 dans les meetings politiques. » Cette objection repo
51
surréalistes, etc. Ce sont des êtres isolés, qui
crient
très fort parce qu’ils se sentent très loin de ceux qu’ils interpelle
52
chiré par l’insurmontable ironie ! Et sinon je ne
crierais
point. Mais le silence n’est pas donné à l’homme par son effort. Le s
53
ux. C’est pourquoi ils la prennent au tragique et
crient
comme s’ils étaient saisis d’une crampe. Je constate que les gens du
54
s d’autorité, autant se taire si l’on ne veut pas
crier
avec les loups89 dans les meetings politiques. » Cette objection repo
55
e du spectateur.) Ce qui ne manquera pas de faire
crier
au dogmatisme. Tout se passe ici « à l’intérieur » du christianisme,
56
s d’aube d’été. « Un vrai temps de Pâques ! », me
crie
Simard. ⁂ Hier il pleuvait. Vendredi, c’était grand soleil. Et les bo
57
oursouflé, tremblant de colère et gesticulant. Il
crie
: « Je l’ai dit à madame Calixte, je ne veux pas qu’on lave aujourd’h
58
pe, et non pas un », — Prenez la multiplication !
cria
l’abbé V. qui était dans la salle. 70. Que ne connaît pas le grand c
59
du fond ont applaudi brièvement. Mellouin a même
crié
: Très bien ! Les jeunes trouvent qu’« il cause bien ». Pour terminer
60
e, Charlotte Löwensköld. En la quittant, il lui a
crié
qu’il n’épouserait qu’une femme que Dieu lui aurait désignée. La prem
61
de s’y comporter selon les usages du forum, et de
crier
avec les loups. « Préservant » ainsi la raison, autant que leur sécur
62
entendre et à vivre heureux ? « Changer la vie »,
criait
l’enfant Rimbaud ! Et les intellectuels de gauche reprennent aujourd’
63
du fond ont applaudi brièvement. Mellouin a même
crié
: Très bien ! Les jeunes trouvent qu’« il cause bien ». Pour terminer
64
vateurs, au travail sur leurs petits champs, nous
crient
quand nous passons : — Alors, on se promène ? 14 juin 1934 Il v
65
s d’aube d’été. « Un vrai temps de Pâques ! », me
crie
Simard. ⁂ Hier il pleuvait. Vendredi, c’était grand soleil. Et les bo
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oursouflé, tremblant de colère et gesticulant. Il
crie
: Je l’ai dit à Madame Calixte, je ne veux pas qu’on lave aujourd’hui
67
ompe, et non pas un. » Prenez la multiplication !
cria
l’abbé V… qui était dans la salle. 15. Voir plus haut, p. 59-65.
68
1935 Scepticisme et politique. — « J’entends
crier
de toutes parts à l’impiété. Le chrétien est impie en Asie, le musulm
69
tre la politique, notre superstition. « J’entends
crier
de toutes parts au mauvais citoyen. Le capitaliste est l’ennemi publi
70
e du spectateur.) Ce qui ne manquera pas de faire
crier
au dogmatisme. Tout se passe ici « à l’intérieur » du christianisme,
71
t en tant que ministres. Le Parti communiste fait
crier
: « À bas Blum ! » au Vélodrome d’Hiver, et le lendemain, fait publie
72
place de l’Opéra, hier vers minuit, des camelots
criaient
une édition spéciale du journal local du Parti : « Convocation du Rei
73
z les voisins. Je distingue le mot « Frankreich »
crié
à plusieurs reprises. Déjà des drapeaux paraissent aux balcons. Qu’a-
74
int que vous n’en êtes plus même conscients. Vous
criez
au nationalisme, c’est-à-dire à l’orgueil impérialiste je pense, dès
75
ami dans ses bras jusqu’à ce que le guetteur ait
crié
: « Dieu ! c’est l’aube. Qu’elle vient donc vite ! » Dans le Tristan
76
er, le guetteur, c’est Brengaine invisible et qui
crie
du haut du balcon : « Prenez garde ! Prenez garde ! Voici que la nuit
77
feu lorsque étroitement j’embrasse mon Seigneur,
criant
: l’amour de l’Amour me consume, je m’unis à l’Amour, enivré d’amour.
78
our. Dans les flammes, je brûle et je languis, en
criant
; en vivant, je meurs, et en mourant, je vis. Pourtant, je n’aime pas
79
Nuova, cette strophe au sublime départ : Un ange
crie
en l’Intelligence divine et dit : — Seigneur, dans le monde se voit u
80
Dieu dans le fracas de la colère. Là-bas, tous
crient
: Ensemble ! Ensemble ! Il reste seul. Tous crient : De l’or !
81
: Ensemble ! Ensemble ! Il reste seul. Tous
crient
: De l’or ! Il reste pauvre et seul. Tous crient : La guerre !
82
nt : De l’or ! Il reste pauvre et seul. Tous
crient
: La guerre ! Et lui tout seul dit : Paix ! Chœur céleste. Pa
83
héros et notre saint nous parle. Là-bas, tous
crient
: Ensemble ! Ensemble ! Il reste seul. Tous crient : À mort !
84
: Ensemble ! Ensemble ! Il reste seul. Tous
crient
: À mort ! Et lui nous dit : Amour ! Tous crient : La guerre !
85
nt : À mort ! Et lui nous dit : Amour ! Tous
crient
: La guerre ! Et lui, tout seul encore Nous dit : Courage, ô peuple
86
justice pour les pauvres en Suisse ! (Il sort en
criant
, entraîné par les gardes. Remue-ménage parmi les assistants.) Nicol
87
e lui et disparaissent plus bas, dans l’ombre, en
criant
. La lumière faiblit de nouveau jusqu’à la quatrième station.) Nicol
88
) Nicolas. — Mes ennemis ont reculé quand j’ai
crié
! Je sais que Dieu me défendra ! Car il a délivré mon âme de la mort.
89
r la souffrance d’un et d’un, mille et mille vont
crier
: Louez l’Éternel ! Tutti. Louez l’Éternel du haut des cieux et
90
re chef ? Le pèlerin. — Écoute ! Notre misère
crie
jusqu’au ciel ! Le temps de la révolte est là. Si tu marches devant,
91
Tu nous payes de bonnes paroles, et nos enfants
crient
pour avoir du pain ! Tous. — Du pain ! Du pain ! Nicolas. — I
92
i Dieu par moi, mais le Tentateur exécrable ! (Il
crie
.) Confédérés ! Confédérés ! réveillez-vous, n’écoutez pas le Tentateu
93
re paix ! Dans la détresse, c’est vers toi que je
crie
! Seigneur, aie pitié de nous ! Scène vii. (Le groupe des Suis
94
nt ? Qui fuit ? Et que vois-tu ? L’astrologue (
criant
). — Je vois de l’or, de l’or, du sang, des morts, de l’or, de l’or,
95
lancent des sacs d’or à l’astrologue.) Nicolas (
criant
du plan 3). — Marchand de vent ! Impie ! Voyez qui l’a payé ! Il n’o
96
s le couchant ! Diesbach. — Il fait signe, il
crie
! Écoutez ! Hornek. — Alerte ! Je l’entends ! Il crie : Alerte !
97
coutez ! Hornek. — Alerte ! Je l’entends ! Il
crie
: Alerte ! Diesbach. — Aux armes, les Suisses ! L’armée du duc a
98
guerre, provoqué par ces paysans, Charles faisait
crier
devant l’armée : « Le lion ne se couchera plus qu’il n’ait dévoré sa
99
de la Follevie. Des meneurs les excitent et leurs
crient
: « Allez à Berne et à Genève réclamer le trésor de Bourgogne ! » Alo
100
Mes deux fils partent pour la guerre ! Ils l’ont
crié
: Demain la guerre ! Réveillez-le ! Un seul peut nous sauver ! La
101
là, Monsieur le curé, il est sorti. Dorothée (
criant
). — Ô Dieu ! Mes fils ! Ô seul espoir, tout est perdu ! (Nuit. À dr
102
isseras sur le bord du chemin. Et tu courras leur
crier
: Paix ! Paix !… Viens près de moi. Écris ce que je dis ! (Haimo écr
103
ami dans ses bras jusqu’à ce que le guetteur ait
crié
: Dieu ! c’est l’aube. Qu’elle vient donc vite ! — Combien je voudrai
104
tiques et lecteurs trop pressés se jetteraient en
criant
: « Des preuves ! » ou « Comme c’est vrai ! » ⁂ 1. La Révolution psyc
105
onté, par qui le monde entier est illuminé, je te
crie
merci. Contre ces clameurs gémissantes, défends-moi, de peur que je n
106
feu lorsque étroitement j’embrasse mon Seigneur,
criant
: L’amour de l’Amour me consume, je m’unis à l’Amour, enivré d’amour.
107
our. Dans les flammes, je brûle et je languis, en
criant
; en vivant, je meurs, et en mourant, je vis. Pourtant, je n’aime pas
108
Nuova, cette strophe au sublime départ : Un ange
crie
en l’Intelligence divine et dit : — Seigneur, dans le monde se voit u
109
ami dans ses bras jusqu’à ce que le guetteur ait
crié
: Dieu ! c’est l’aube. Qu’elle vient donc vite ! — Combien je voudrai
110
tiques et lecteurs trop pressés se jetteraient en
criant
: « Des preuves ! » ou « Comme c’est vrai ! » ⁂ 1. La Révolution psyc
111
onté, par qui le monde entier est illuminé, je te
crie
merci. Contre ces clameurs gémissantes, défends-moi, de peur que je n
112
feu lorsque étroitement j’embrasse mon Seigneur,
criant
: l’amour de l’Amour me consume, je m’unis à l’Amour, enivré d’amour.
113
our. Dans les flammes, je brûle et je languis, en
criant
; en vivant, je meurs, et en mourant, je vis. Pourtant, je n’aime pas
114
Nuova, cette strophe au sublime départ : Un ange
crie
en l’Intelligence divine et dit : — Seigneur, dans le monde se voit u
115
sse vis-à-vis de l’Europe, nombreux sont ceux qui
crient
à l’utopie. Beaucoup de gens s’imaginent que les petites raisons sont
116
ille la cité, assiste à la défaite de la Bicoque,
crie
son indignation dans un furieux poème, et s’en revient à Berne pour y
117
sse vis-à-vis de l’Europe, nombreux sont ceux qui
crient
à l’utopie. Eh bien, j’estime qu’un chrétien est l’homme qui doit sav
118
du bureau directorial. J’entre comme un fou et je
crie
: — Pourquoi ? Le directeur était assis face à la porte et me regarda
119
du bureau directorial. J’entre comme un fou et je
crie
: — Pourquoi ? Le directeur était assis face à la porte et me regarda
120
du bureau directorial. J’entre comme un fou et je
crie
: — Pourquoi ? Le directeur était assis face à la porte et me regarda
121
te du bureau directorial. J’entre comme fou et je
crie
: — Pourquoi ? Le directeur était assis face à la porte et me regard
122
et sans cesse corrigée par les faits. Mais où je
crie
à la tricherie, c’est quand le philosophe ou l’essayiste, séduits par
123
s vos propos : je vois que vous allez passer sans
crier
gare à des propositions théologiques. Souffrez alors que je m’avoue i
124
veulent bien voir la révolte chez ceux-là qui la
crient
, et la magie chez ceux qui vaticinent, ayant été moins loin que Goeth
125
ne âme qui se refuse encore à la souffrance et la
crie
sur le toit. Un peu plus de souffrance, et plus intimement ancrée, vo
126
lante prophétie de l’invisible. De Séir, une voix
crie
au prophète35 : « Sentinelle que dis-tu de la nuit ? Sentinelle que d
127
e du spectateur.) Ce qui ne manquera pas de faire
crier
au dogmatisme. Tous se passe ici à « l’intérieur » du christianisme,
128
à ce point l’Américain : « Ce que vous dites là,
crie-t
-il, ce ne sont que des mensonges propagés à l’étranger par les Juifs,
129
ar moments, le vaudou, et, quand ils se mettent à
crier
, on les croirait au bord du délire collectif. Mais la danse prend fin
130
e perdre ? Je me rappelle cette voix, dans Isaïe,
criant
de Séir au prophète : « Sentinelle, que dis-tu de la nuit ? Sentinell
131
e la rupture des liens. ⁂ Et depuis lors, je vais
criant
: Renouez-le ! Renouez-le ! Car il y va de tout, du sens même de nos
132
éricains pendant la guerre… » — « Taisez-vous, me
crie-t
-elle, je retrouve l’Europe ! Ce n’est pas le moment d’être objectif !
133
t d’autres sons… Si ! je ne rêve pas : un coq qui
crie
, tout là-bas vers les Invalides. L’or pâle du Dôme s’avive au-dessus
134
e perdre ? Je me rappelle cette voix, dans Isaïe,
criant
de Séir au prophète : « Sentinelle, que dis-tu de la nuit ? Sentinell
135
fait d’une sophistique assez gratuite. Ma nature
crie
à l’utopie devant ma mort. De là vient que l’humanité, dans son ensem
136
et chaque homme forcé à l’extrémité de son choix,
cria
le « terme » de sa vie, la proféra tout entière dans ce cri, réponse
137
servante les poursuit armée d’une cravache. Elle
crie
qu’ils viennent encore de manger les bougies du carrosse de George Wa
138
el intendant. « Je vous retrouve à la maison ! »,
crie-t
-elle. Et, piquant son cheval, penchée sur l’encolure, elle disparaît
139
servante les poursuit armée d’une cravache. Elle
crie
qu’ils viennent encore de manger les bougies du carrosse de George Wa
140
el intendant. « Je vous retrouve à la maison ! »,
crie-t
-elle. Et piquant son cheval, penchée sur l’encolure, elle disparaît d
141
ille la cité, assiste à la défaite de la Bicoque,
crie
son indignation dans un furieux poème, et s’en revient à Berne pour y
142
. Hitler entra dans une rage folle. « Vous voyez,
cria-t
-il, il faut bien que je fasse la guerre à la Pologne, puisqu’on écrit
143
a vu d’autres, et de plus graves, et personne n’a
crié
au fou. ⁂ R. vient d’être reçu au palais de Venise et me raconte sa v
144
Rappelé à la troupe. Les hommes gonflés à bloc
crient
: « À Stuttgart ! » La Hollande écrasée. Je traîne encore la jambe ga
145
tauge dans les flaques du quai, j’entends mon nom
crié
du pont lugubrement au mégaphone, je gravis la passerelle, on la relè
146
passants, et voilà l’épouvante et l’horreur. Mais
criez
donc ! Que quelqu’un crie ! C’est un cauchemar ! Il manque seulement
147
nte et l’horreur. Mais criez donc ! Que quelqu’un
crie
! C’est un cauchemar ! Il manque seulement cette chose très vague, la
148
servante les poursuit armée d’une cravache. Elle
crie
qu’ils viennent encore de manger les bougies du carrosse de Georges W
149
intendant. — « Je vous retrouve à la maison ! »,
crie-t
-elle. Et piquant son cheval, penchée sur l’encolure, elle disparaît d
150
à ce point l’Américain : « Ce que vous dites là,
crie-t
-il, ce ne sont que des mensonges propagés à l’étranger par les Juifs,
151
s Américains pendant la guerre… — Taisez-vous, me
crie-t
-elle, je retrouve l’Europe ! Ce n’est pas le moment d’être objectif !
152
t d’autres sons… Si ! Je ne rêve pas : un coq qui
crie
, tout là-bas vers les Invalides. L’or pâle du dôme s’avive au-dessus
153
ut près de nous. « Voilà la bombe anatomique ! »,
cria
le docteur tandis qu’une vague submergeait la jetée, dispersant les a
154
saper le moral des cadres. Voilà pourquoi, si je
crie
« au loup ! » le colonel me traite d’élément de désordre, et pense qu
155
e perdre ? Je me rappelle cette voix, dans Isaïe,
criant
de Séir au prophète : « Sentinelle, que dis-tu de la nuit ? Sentinell