1 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Adieu, beau désordre… (mars 1926)
1 us avons un corps, et c’est très beau, Breton, de crier « Révolution toujours » — tant qu’il y a des gens pour vous faire du
2 rcel Arland). 9. Ce serait au moins la liberté ! crieront les surréalistes. Voire. On est moins libre à Moscou qu’à Montparnass
2 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Louis Aragon, Le Paysan de Paris (janvier 1927)
3 k de La Coupe et les Lèvres, à qui ses compagnons criaient  : « Te fais-tu le bouffon de ta propre détresse ? » Tant d’insistance
3 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Entr’acte de René Clair, ou L’éloge du Miracle (mars 1927)
4 comme pour le film 1905, on a sans cesse envie de crier  : « Trop de gestes ! » C’est une question d’épuration des moyens. Ren
4 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Louis Aragon, le beau prétexte (avril 1927)
5 ontre votre raison. Et avec Aragon lorsqu’il vous crie  : « À bas le clair génie français. » Alors la voix de Rimbardk à la c
6 irai pas, comme on a fait, que c’est très joli de crier merde pour Horace, Montaigne, Descartes, Schiller, Voltaire, etc., et
7 nemis de discuter avec eux dans leur langue et de crier rouge pour la simple raison qu’ils ont dit blanc ? Pensez-vous combat
5 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Récit du pickpocket (fragment) (mai 1927)
8 rs une rage s’empara de mon corps tout entier, je criai un juron, claquai la porte et courus dans ma chambre. Une demi-heure
6 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La part du feu. Lettres sur le mépris de la littérature (juillet 1927)
9 ante, — j’ai tué un amour naissant, à force de le crier sur les toits. Ainsi, parler littérature, c’est faire la part du feu.
7 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
10 noirs. Mais les rideaux étaient baissés. Déjà on criait les journaux du matin, des triporteurs passèrent à toute vitesse, m’é
8 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Aragon, Traité du style (août 1928)
11 plus efficace. Aragon se retourne sans cesse pour crier  : Lâches, vous refusez d’avancer ! Mais il reste à portée de voix du
9 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. Avant-propos
12 ellence du principe de l’instruction publique, on crie sur tous les bancs : « Alors, vous êtes pour un retour à la barbarie 
10 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Avant-propos
13 ellence du principe de l’instruction publique, on crie sur tous les bancs : « Alors, vous êtes pour un retour à la barbarie 
11 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
14 ne regardait, il se jeta par terre sur la route, criant à son corps : “Meurs !”, mais sans résultat ». C’est dans un tel état
12 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
15 veulent bien voir la révolte chez ceux-là qui la crient , et la magie chez ceux qui vaticinent, ayant été moins loin que Goeth
16 ne âme qui se refuse encore à la souffrance et la crie sur la place. Un peu plus de souffrance, plus intimement ancrée, et v
17 puisque écrire signifie pour lui révéler, parler, crier , miraculer le réel. Au contraire l’on peut considérer sans paradoxe q
13 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). À prendre ou à tuer (décembre 1932)
18 ains, au lendemain de la guerre, ont trop souvent crié au loup, par goût des atmosphères tragiques. Littérature et mauvais c
14 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Un soir à Vienne avec Gérard
19 irs. Mais les rideaux étaient baissés. Déjà on criait les journaux du matin, des triporteurs passèrent à toute vitesse, m’é
15 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
20 s que le maître la sienne : car à peine arrivé il crie le nom d’un des enfants et celui-ci récite une courte prière, durant
16 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
21 s que le maître la sienne : car à peine arrivé il crie le nom d’un des enfants et celui-ci récite une courte prière, durant
17 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
22 s Américains pendant la guerre… — Taisez-vous, me crie-t -elle, je retrouve l’Europe ! Ce n’est pas le moment d’être objectif !
23 t d’autres sons… Si ! Je ne rêve pas : un coq qui crie , tout là-bas vers les Invalides. L’or pâle du dôme s’avive au-dessus
18 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VI
24 Entendrons-nous un jour quelqu’un qui chante, ou crie , après des siècles où nul n’a prononcé un mot plus haut que l’autre,
19 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VII
25 contraire, avant un rendez-vous ? Cette envie de crier  : « J’accours ! Attends !… » Ah ! mais qu’est-ce qu’il m’arrive ? se
20 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le mouvement des groupes — Kagawa (4 août 1934)
26 wa ! C’est un révolutionnaire redoutable. » Ainsi criait -on contre les prophètes. Kagawa est aussi un grand mystique, c’est-à-
21 1934, Esprit, articles (1932–1962). Préface à une littérature (octobre 1934)
27 la galerie plus qu’à eux-mêmes, je le crains. Ils criaient , mais restaient dans la salle, où l’on pouvait les applaudir. On les
22 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Plans de réforme (octobre 1934)
28 ais, ici déjà, le vague de ces formules nous fait crier casse-cou : « compter avec le fait-nation », « se replier sur le cadr
29 est défini par la seule puissance de l’État, nous crions au « fascisme » et à la contre-révolution. Tout élan révolutionnaire
23 1934, Esprit, articles (1932–1962). André Breton, Point du jour (décembre 1934)
30 , d’une attention d’autant plus sympathique qu’il criait fort et bien, mais mordait peu. C’est le surréalisme, en somme, qui d
24 1934, Politique de la personne. Introduction — Le vrai pouvoir des intellectuels et son usage
31 bon sens. Mais j’ai ma petite folie aussi, qui ne crie pas avec les leurs, et qui se croit dans son bon sens, à elle ! Les h
25 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
32 ains, au lendemain de la guerre, ont trop souvent crié au loup, par goût des atmosphères tragiques. Littérature et mauvais c
26 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
33 ait simplement que l’homme s’arrête de penser, et crie avec les loups. Le « réalisme » ainsi conçu et certaine naïveté prima
27 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — Le vrai pouvoir des intellectuels et son usage
34 bon sens. Mais j’ai ma petite folie aussi, qui ne crie pas avec les leurs, et qui se croit dans son bon sens, à elle ! Les h
28 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
35 ains, au lendemain de la guerre, ont trop souvent crié au loup, par goût des atmosphères tragiques. Littérature et mauvais c
29 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
36 ait simplement que l’homme s’arrête de penser, et crie avec les loups. Le « réalisme » ainsi conçu et certaine naïveté prima
30 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Qu’est-ce que la politique ?
37 sme. On prêche, on s’attendrit, on excommunie, on crie au blasphème, on dénonce les obscurantistes, on prophétise le règne d
31 1935, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notes en marge de Nietzsche (mars 1935)
38 ose, s’il croit que la nature est bonne, pourquoi crie-t -il si fort que « l’homme est quelque chose qui doit être surmonté » ?
32 1935, Le Semeur, articles (1933–1949). La cité (avril-mai 1935)
39 e veut plus rien voir au-delà. Trop de chefs nous crient  : en avant ! sans avoir osé regarder plus loin que le bout des semell
33 1936, Articles divers (1936-1938). Forme et transformation, ou l’acte selon Kierkegaard (janvier 1936)
40 lante prophétie de l’invisible. De Séir, une voix crie au prophète11 : « Sentinelle, que dis-tu de la nuit ? Sentinelle, que
34 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Sur l’esprit incarné (février 1936)
41 de Pilate et des docteurs nationalistes juifs qui criaient avec la populace : Crucifie ! et relâche Barabbas — opposition qui se
42 ains ne risque pas de faire le jeu des clercs qui crient avec les loups, et de trahir de la sorte doublement, étant admis tout
35 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Qu’est-ce que la politique ? (juin 1936)
43 sme. On prêche, on s’attendrit, on excommunie, on crie au blasphème, on dénonce les obscurantistes, on prophétise le règne d
36 1936, Articles divers (1936-1938). Décadence des lieux communs (décembre 1936)
44 surréalistes, etc. Ce sont des êtres isolés, qui crient très fort parce qu’ils se sentent très loin de ceux qu’ils interpelle
37 1936, Esprit, articles (1932–1962). André Gide, Retour de l’URSS (décembre 1936)
45 s plus clairs, ni personne, du côté stalinien, de crier au trotskiste, au bourgeois ? (Si toutefois c’est encore une injure…)
38 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Les jacobins en chemise brune (décembre 1936)
46 int que vous n’en êtes même plus conscients. Vous criez au nationalisme, c’est-à-dire à l’orgueil impérialiste je pense, dès
39 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Décadence des lieux communs
47 surréalistes, etc. Ce sont des êtres isolés, qui crient très fort parce qu’ils se sentent très loin de ceux qu’ils interpelle
40 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
48 chiré par l’insurmontable ironie ! Et sinon je ne crierais point. Mais le silence n’est pas donné à l’homme par son effort. Le s
41 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
49 ux. C’est pourquoi ils la prennent au tragique et crient comme s’ils étaient saisis d’une crampe. Je constate que les gens du
50 s d’autorité, autant se taire si l’on ne veut pas crier avec les loups87 dans les meetings politiques. » Cette objection repo
42 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Décadence des lieux communs
51 surréalistes, etc. Ce sont des êtres isolés, qui crient très fort parce qu’ils se sentent très loin de ceux qu’ils interpelle
43 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
52 chiré par l’insurmontable ironie ! Et sinon je ne crierais point. Mais le silence n’est pas donné à l’homme par son effort. Le s
44 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
53 ux. C’est pourquoi ils la prennent au tragique et crient comme s’ils étaient saisis d’une crampe. Je constate que les gens du
54 s d’autorité, autant se taire si l’on ne veut pas crier avec les loups89 dans les meetings politiques. » Cette objection repo
45 1937, Foi et Vie, articles (1928–1977). Luther et la liberté (À propos du Traité du serf arbitre) (avril 1937)
55 e du spectateur.) Ce qui ne manquera pas de faire crier au dogmatisme. Tout se passe ici « à l’intérieur » du christianisme,
46 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
56 s d’aube d’été. « Un vrai temps de Pâques ! », me crie Simard. ⁂ Hier il pleuvait. Vendredi, c’était grand soleil. Et les bo
57 oursouflé, tremblant de colère et gesticulant. Il crie  : « Je l’ai dit à madame Calixte, je ne veux pas qu’on lave aujourd’h
58 pe, et non pas un », — Prenez la multiplication ! cria l’abbé V. qui était dans la salle. 70. Que ne connaît pas le grand c
47 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
59 du fond ont applaudi brièvement. Mellouin a même crié  : Très bien ! Les jeunes trouvent qu’« il cause bien ». Pour terminer
48 1937, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Selma Lagerlöf, conteur de légende (3 juillet 1937)
60 e, Charlotte Löwensköld. En la quittant, il lui a crié qu’il n’épouserait qu’une femme que Dieu lui aurait désignée. La prem
49 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Au dossier d’une vieille querelle (novembre 1937)
61 de s’y comporter selon les usages du forum, et de crier avec les loups. « Préservant » ainsi la raison, autant que leur sécur
50 1937, Articles divers (1936-1938). Changer la vie ou changer l’homme ? (1937)
62 entendre et à vivre heureux ? « Changer la vie », criait l’enfant Rimbaud ! Et les intellectuels de gauche reprennent aujourd’
51 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
63 du fond ont applaudi brièvement. Mellouin a même crié  : Très bien ! Les jeunes trouvent qu’« il cause bien ». Pour terminer
64 vateurs, au travail sur leurs petits champs, nous crient quand nous passons : — Alors, on se promène ? 14 juin 1934 Il v
52 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
65 s d’aube d’été. « Un vrai temps de Pâques ! », me crie Simard. ⁂ Hier il pleuvait. Vendredi, c’était grand soleil. Et les bo
66 oursouflé, tremblant de colère et gesticulant. Il crie  : Je l’ai dit à Madame Calixte, je ne veux pas qu’on lave aujourd’hui
67 ompe, et non pas un. » Prenez la multiplication ! cria l’abbé V… qui était dans la salle. 15. Voir plus haut, p. 59-65.
53 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. L’été parisien
68 1935 Scepticisme et politique. — « J’entends crier de toutes parts à l’impiété. Le chrétien est impie en Asie, le musulm
69 tre la politique, notre superstition. « J’entends crier de toutes parts au mauvais citoyen. Le capitaliste est l’ennemi publi
54 1937, Articles divers (1936-1938). Luther, Traité du serf arbitre (1937)
70 e du spectateur.) Ce qui ne manquera pas de faire crier au dogmatisme. Tout se passe ici « à l’intérieur » du christianisme,
55 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Du danger de s’unir (15 avril 1938)
71 t en tant que ministres. Le Parti communiste fait crier  : « À bas Blum ! » au Vélodrome d’Hiver, et le lendemain, fait publie
56 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
72 place de l’Opéra, hier vers minuit, des camelots criaient une édition spéciale du journal local du Parti : « Convocation du Rei
73 z les voisins. Je distingue le mot « Frankreich » crié à plusieurs reprises. Déjà des drapeaux paraissent aux balcons. Qu’a-
57 1938, Journal d’Allemagne. Les jacobins en chemise brune
74 int que vous n’en êtes plus même conscients. Vous criez au nationalisme, c’est-à-dire à l’orgueil impérialiste je pense, dès
58 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
75 ami dans ses bras jusqu’à ce que le guetteur ait crié  : « Dieu ! c’est l’aube. Qu’elle vient donc vite ! » Dans le Tristan
76 er, le guetteur, c’est Brengaine invisible et qui crie du haut du balcon : « Prenez garde ! Prenez garde ! Voici que la nuit
59 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
77 feu lorsque étroitement j’embrasse mon Seigneur, criant  : l’amour de l’Amour me consume, je m’unis à l’Amour, enivré d’amour.
78 our. Dans les flammes, je brûle et je languis, en criant  ; en vivant, je meurs, et en mourant, je vis. Pourtant, je n’aime pas
60 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
79 Nuova, cette strophe au sublime départ : Un ange crie en l’Intelligence divine et dit : — Seigneur, dans le monde se voit u
61 1939, Nicolas de Flue. PROLOGUE
80 Dieu dans le fracas de la colère. Là-bas, tous crient  : Ensemble ! Ensemble ! Il reste seul. Tous crient : De l’or !
81  : Ensemble ! Ensemble ! Il reste seul. Tous crient  : De l’or ! Il reste pauvre et seul. Tous crient : La guerre !
82 nt : De l’or ! Il reste pauvre et seul. Tous crient  : La guerre ! Et lui tout seul dit : Paix ! Chœur céleste. Pa
83 héros et notre saint nous parle. Là-bas, tous crient  : Ensemble ! Ensemble ! Il reste seul. Tous crient : À mort !
84  : Ensemble ! Ensemble ! Il reste seul. Tous crient  : À mort ! Et lui nous dit : Amour ! Tous crient : La guerre !
85 nt : À mort ! Et lui nous dit : Amour ! Tous crient  : La guerre ! Et lui, tout seul encore Nous dit : Courage, ô peuple
62 1939, Nicolas de Flue. ACTE PREMIER.
86 justice pour les pauvres en Suisse ! (Il sort en criant , entraîné par les gardes. Remue-ménage parmi les assistants.) Nicol
87 e lui et disparaissent plus bas, dans l’ombre, en criant . La lumière faiblit de nouveau jusqu’à la quatrième station.) Nicol
88 ) Nicolas. —  Mes ennemis ont reculé quand j’ai crié  ! Je sais que Dieu me défendra ! Car il a délivré mon âme de la mort.
89 r la souffrance d’un et d’un, mille et mille vont crier  : Louez l’Éternel ! Tutti. Louez l’Éternel du haut des cieux et
63 1939, Nicolas de Flue. ACTE II.
90 re chef ? Le pèlerin. —  Écoute ! Notre misère crie jusqu’au ciel ! Le temps de la révolte est là. Si tu marches devant,
91   Tu nous payes de bonnes paroles, et nos enfants crient pour avoir du pain ! Tous. —  Du pain ! Du pain ! Nicolas. —  I
92 i Dieu par moi, mais le Tentateur exécrable ! (Il crie .) Confédérés ! Confédérés ! réveillez-vous, n’écoutez pas le Tentateu
93 re paix ! Dans la détresse, c’est vers toi que je crie  ! Seigneur, aie pitié de nous ! Scène vii. (Le groupe des Suis
94 nt ? Qui fuit ? Et que vois-tu ? L’astrologue ( criant ). —  Je vois de l’or, de l’or, du sang, des morts, de l’or, de l’or,
95 lancent des sacs d’or à l’astrologue.) Nicolas ( criant du plan 3). —  Marchand de vent ! Impie ! Voyez qui l’a payé ! Il n’o
96 s le couchant ! Diesbach. —  Il fait signe, il crie  ! Écoutez ! Hornek. —  Alerte ! Je l’entends ! Il crie : Alerte !
97 coutez ! Hornek. —  Alerte ! Je l’entends ! Il crie  : Alerte ! Diesbach. —  Aux armes, les Suisses ! L’armée du duc a
64 1939, Nicolas de Flue. ACTE III.
98 guerre, provoqué par ces paysans, Charles faisait crier devant l’armée : « Le lion ne se couchera plus qu’il n’ait dévoré sa
99 de la Follevie. Des meneurs les excitent et leurs crient  : « Allez à Berne et à Genève réclamer le trésor de Bourgogne ! » Alo
100 Mes deux fils partent pour la guerre ! Ils l’ont crié  : Demain la guerre ! Réveillez-le ! Un seul peut nous sauver ! La
101 là, Monsieur le curé, il est sorti. Dorothée ( criant ). —  Ô Dieu ! Mes fils ! Ô seul espoir, tout est perdu ! (Nuit. À dr
102 isseras sur le bord du chemin. Et tu courras leur crier  : Paix ! Paix !… Viens près de moi. Écris ce que je dis ! (Haimo écr
65 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
103 ami dans ses bras jusqu’à ce que le guetteur ait crié  : Dieu ! c’est l’aube. Qu’elle vient donc vite ! — Combien je voudrai
104 tiques et lecteurs trop pressés se jetteraient en criant  : « Des preuves ! » ou « Comme c’est vrai ! » ⁂ 1. La Révolution psyc
105 onté, par qui le monde entier est illuminé, je te crie merci. Contre ces clameurs gémissantes, défends-moi, de peur que je n
66 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
106 feu lorsque étroitement j’embrasse mon Seigneur, criant  : L’amour de l’Amour me consume, je m’unis à l’Amour, enivré d’amour.
107 our. Dans les flammes, je brûle et je languis, en criant  ; en vivant, je meurs, et en mourant, je vis. Pourtant, je n’aime pas
67 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
108 Nuova, cette strophe au sublime départ : Un ange crie en l’Intelligence divine et dit : — Seigneur, dans le monde se voit u
68 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
109 ami dans ses bras jusqu’à ce que le guetteur ait crié  : Dieu ! c’est l’aube. Qu’elle vient donc vite ! — Combien je voudrai
110 tiques et lecteurs trop pressés se jetteraient en criant  : « Des preuves ! » ou « Comme c’est vrai ! » ⁂ 1. La Révolution psyc
111 onté, par qui le monde entier est illuminé, je te crie merci. Contre ces clameurs gémissantes, défends-moi, de peur que je n
69 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Passion et mystique
112 feu lorsque étroitement j’embrasse mon Seigneur, criant  : l’amour de l’Amour me consume, je m’unis à l’Amour, enivré d’amour.
113 our. Dans les flammes, je brûle et je languis, en criant  ; en vivant, je meurs, et en mourant, je vis. Pourtant, je n’aime pas
70 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
114 Nuova, cette strophe au sublime départ : Un ange crie en l’Intelligence divine et dit : — Seigneur, dans le monde se voit u
71 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. IV : Notre « mission spéciale » (16 mars 1940)
115 sse vis-à-vis de l’Europe, nombreux sont ceux qui crient à l’utopie. Beaucoup de gens s’imaginent que les petites raisons sont
72 1940, Articles divers (1938-1940). L’homme au poignard enguirlandé (1940)
116 ille la cité, assiste à la défaite de la Bicoque, crie son indignation dans un furieux poème, et s’en revient à Berne pour y
73 1940, Mission ou démission de la Suisse. La Suisse que nous devons défendre
117 sse vis-à-vis de l’Europe, nombreux sont ceux qui crient à l’utopie. Eh bien, j’estime qu’un chrétien est l’homme qui doit sav
74 1941, Articles divers (1941-1946). Trois paraboles (1er octobre 1941)
118 du bureau directorial. J’entre comme un fou et je crie  : — Pourquoi ? Le directeur était assis face à la porte et me regarda
75 1942, La Part du diable. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
119 du bureau directorial. J’entre comme un fou et je crie  : — Pourquoi ? Le directeur était assis face à la porte et me regarda
76 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
120 du bureau directorial. J’entre comme un fou et je crie  : — Pourquoi ? Le directeur était assis face à la porte et me regarda
77 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
121 te du bureau directorial. J’entre comme fou et je crie  : — Pourquoi ? Le directeur était assis face à la porte et me regard
78 1944, Articles divers (1941-1946). Ars prophetica, ou D’un langage qui ne veut pas être clair (hiver 1944)
122 et sans cesse corrigée par les faits. Mais où je crie à la tricherie, c’est quand le philosophe ou l’essayiste, séduits par
123 s vos propos : je vois que vous allez passer sans crier gare à des propositions théologiques. Souffrez alors que je m’avoue i
79 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Le silence de Goethe
124 veulent bien voir la révolte chez ceux-là qui la crient , et la magie chez ceux qui vaticinent, ayant été moins loin que Goeth
125 ne âme qui se refuse encore à la souffrance et la crie sur le toit. Un peu plus de souffrance, et plus intimement ancrée, vo
80 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Kierkegaard
126 lante prophétie de l’invisible. De Séir, une voix crie au prophète35 : « Sentinelle que dis-tu de la nuit ? Sentinelle que d
81 1944, Les Personnes du drame. Liberté et fatum — Luther et la liberté de la personne
127 e du spectateur.) Ce qui ne manquera pas de faire crier au dogmatisme. Tous se passe ici à « l’intérieur » du christianisme,
82 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Le mensonge allemand (16 août 1945)
128 à ce point l’Américain : « Ce que vous dites là, crie-t -il, ce ne sont que des mensonges propagés à l’étranger par les Juifs,
83 1945, Carrefour, articles (1945–1947). Le rêve américain (9 novembre 1945)
129 ar moments, le vaudou, et, quand ils se mettent à crier , on les croirait au bord du délire collectif. Mais la danse prend fin
84 1946, Articles divers (1941-1946). Dialogues sur la bombe atomique : La paix ou la bombe (20 avril 1946)
130 e perdre ? Je me rappelle cette voix, dans Isaïe, criant de Séir au prophète : « Sentinelle, que dis-tu de la nuit ? Sentinell
85 1946, Présence, articles (1932–1946). Le Nœud gordien renoué (avril 1946)
131 e la rupture des liens. ⁂ Et depuis lors, je vais criant  : Renouez-le ! Renouez-le ! Car il y va de tout, du sens même de nos
86 1946, Journal de Genève, articles (1926–1982). Journal d’un retour (11-12 mai 1946)
132 éricains pendant la guerre… » — « Taisez-vous, me crie-t -elle, je retrouve l’Europe ! Ce n’est pas le moment d’être objectif !
133 t d’autres sons… Si ! je ne rêve pas : un coq qui crie , tout là-bas vers les Invalides. L’or pâle du Dôme s’avive au-dessus
87 1946, Réforme, articles (1946–1980). Deux lettres sur la fin du monde (29 juin 1946)
134 e perdre ? Je me rappelle cette voix, dans Isaïe, criant de Séir au prophète : « Sentinelle, que dis-tu de la nuit ? Sentinell
88 1946, Articles divers (1941-1946). La fin du monde (juin 1946)
135 fait d’une sophistique assez gratuite. Ma nature crie à l’utopie devant ma mort. De là vient que l’humanité, dans son ensem
136 et chaque homme forcé à l’extrémité de son choix, cria le « terme » de sa vie, la proféra tout entière dans ce cri, réponse
89 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Souvenir d’un orage en Virginie (novembre 1946)
137 servante les poursuit armée d’une cravache. Elle crie qu’ils viennent encore de manger les bougies du carrosse de George Wa
138 el intendant. « Je vous retrouve à la maison ! », crie-t -elle. Et, piquant son cheval, penchée sur l’encolure, elle disparaît
90 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
139 servante les poursuit armée d’une cravache. Elle crie qu’ils viennent encore de manger les bougies du carrosse de George Wa
140 el intendant. « Je vous retrouve à la maison ! », crie-t -elle. Et piquant son cheval, penchée sur l’encolure, elle disparaît d
91 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
141 ille la cité, assiste à la défaite de la Bicoque, crie son indignation dans un furieux poème, et s’en revient à Berne pour y
92 1946, Journal des deux mondes. Anecdotes et aphorismes
142 . Hitler entra dans une rage folle. « Vous voyez, cria-t -il, il faut bien que je fasse la guerre à la Pologne, puisqu’on écrit
143 a vu d’autres, et de plus graves, et personne n’a crié au fou. ⁂ R. vient d’être reçu au palais de Venise et me raconte sa v
144 Rappelé à la troupe. Les hommes gonflés à bloc crient  : « À Stuttgart ! » La Hollande écrasée. Je traîne encore la jambe ga
93 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
145 tauge dans les flaques du quai, j’entends mon nom crié du pont lugubrement au mégaphone, je gravis la passerelle, on la relè
94 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
146 passants, et voilà l’épouvante et l’horreur. Mais criez donc ! Que quelqu’un crie ! C’est un cauchemar ! Il manque seulement
147 nte et l’horreur. Mais criez donc ! Que quelqu’un crie  ! C’est un cauchemar ! Il manque seulement cette chose très vague, la
95 1946, Journal des deux mondes. Virginie
148 servante les poursuit armée d’une cravache. Elle crie qu’ils viennent encore de manger les bougies du carrosse de Georges W
149 intendant. — « Je vous retrouve à la maison ! », crie-t -elle. Et piquant son cheval, penchée sur l’encolure, elle disparaît d
96 1946, Journal des deux mondes. Le choc de la paix
150 à ce point l’Américain : « Ce que vous dites là, crie-t -il, ce ne sont que des mensonges propagés à l’étranger par les Juifs,
97 1946, Journal des deux mondes. Journal d’un retour
151 s Américains pendant la guerre… — Taisez-vous, me crie-t -elle, je retrouve l’Europe ! Ce n’est pas le moment d’être objectif !
152 t d’autres sons… Si ! Je ne rêve pas : un coq qui crie , tout là-bas vers les Invalides. L’or pâle du dôme s’avive au-dessus
98 1946, Lettres sur la bombe atomique. La nouvelle
153 ut près de nous. « Voilà la bombe anatomique ! », cria le docteur tandis qu’une vague submergeait la jetée, dispersant les a
99 1946, Lettres sur la bombe atomique. Le goût de la guerre
154 saper le moral des cadres. Voilà pourquoi, si je crie « au loup ! » le colonel me traite d’élément de désordre, et pense qu
100 1946, Lettres sur la bombe atomique. La paix ou la mort
155 e perdre ? Je me rappelle cette voix, dans Isaïe, criant de Séir au prophète : « Sentinelle, que dis-tu de la nuit ? Sentinell