1
e volonté presque inhumaine torture et conduit au
crime
. Et s’ils s’imposent comme types, c’est encore et uniquement par leur
2
uve a rêvé une histoire de passion mystique et de
crime
, intense et tragique comme un couchant d’automne, émouvante encore ap
3
Paulina. Le Péché ; le Couvent ; la rechute et le
crime
; et l’étrange apaisement d’une vieillesse au soleil. Jouve semble av
4
persécutions contre ceux qui n’ont commis d’autre
crime
que de « déplaire au roi » vont reprendre de plus belle : la guerre c
5
inateur4. Nos bourgeois assistent sans honte à ce
crime
quotidien, et se félicitent du régime des lumières et des compteurs à
6
par M. Julien Benda. Notre époque paiera cher ce
crime
contre la civilisation. Elle ne croit plus qu’au péché contre les loi
7
nateur 4. Nos bourgeois assistent sans honte à ce
crime
quotidien, et se félicitent du régime des lumières et des compteurs à
8
par M. Julien Benda. Notre époque paiera cher ce
crime
contre la civilisation. Elle ne croit plus qu’au péché contre les loi
9
s prétexte de communisme. Personne n’a dénoncé ce
crime
, nul n’en ayant tiré profit. 11. Bras de mer intérieur qui s’avanc
10
tous les ressorts, mobiliser les cœurs… C’est le
crime
des dictatures : elles ne tuent pas la liberté dans les pays seulemen
11
La société de nos jours manifeste une tendance au
crime
. Elle est devenue folle par sa faute, Dieu seul peut la guérir. » Les
12
est personne, et tire de là son assurance dans le
crime
. « Il ne s’est pas trouvé un seul soldat pour oser porter la main sur
13
tant la chose défendue que la défense qui fait le
crime
. En face de ces prétentions toutes nouvelles, les réformés de France
14
elle fascisme. Le fascisme, c’est la tyrannie, le
crime
, la guerre et l’oppression des ouvriers. « Qu’ils y viennent un peu v
15
restent pas indifférents ou complices devant les
crimes
capitalistes en Indochine par exemple. 48. Le racisme n’est pas esse
16
elle fascisme. Le fascisme, c’est la tyrannie, le
crime
, la guerre et l’oppression des ouvriers. « Qu’ils y viennent un peu v
17
point rester indifférents ou complices devant les
crimes
capitalistes en Indochine, par exemple. 42. Le racisme n’est pas ess
18
digieux peuple proscrit, nu, fugitif, errant sans
crime
… enfin qui, pour comble de toutes horreurs, remplit toutes les provin
19
nd mystérieusement sur ces quartiers d’enfer. Les
crimes
diminuent, les enfants s’instruisent, des misères sont soulagées. C’e
20
publiquement son roi et l’obligeait à réparer ses
crimes
; ce n’est pas au nom d’un parti que Paul ébranle l’Empire romain, ce
21
glorifie la révolte des puissances obscures, les
crimes
gratuits, les enthousiasmes collectifs, l’hystérie organisée, bref to
22
ont aux clercs « spiritualistes » l’honneur et le
crime
d’avoir prémédités, avec l’appui des Loges et des Sages de Sion. Et p
23
dénoncer sa participation à l’un des plus grands
crimes
de l’Histoire, ce crime contre la civilisation latine que représente
24
n à l’un des plus grands crimes de l’Histoire, ce
crime
contre la civilisation latine que représente la résistance des Éthiop
25
iel créé par la publicité. (On pousse les gens au
crime
en les hypnotisant sur la possession de l’argent et les bienfaits qui
26
sauvage, omnivore, amateur de catastrophes et de
crimes
. Les animaux se mangent entre eux, les hommes périssent par accident,
27
e, facilité qui consiste à assimiler dictature et
crime
, discipline sociale et brutalité, volonté de servir et trahison des c
28
e, facilité qui consiste à assimiler dictature et
crime
, discipline sociale et brutalité, volonté de servir et trahison des c
29
e, facilité qui consiste à assimiler dictature et
crime
, discipline sociale et tyrannie, volonté de servir et trahison des cl
30
r la voix d’Aragon, exprime sa juste indignation.
Crime
contre la culture. Car c’était le parti communiste qui avait pris soi
31
’indifférence à sa mémoire et à ses œuvres est un
crime
. Vous reconnaissez le ton du policier, et du fonctionnaire arrivé. «
32
aire arrivé. « L’indifférence à ses œuvres est un
crime
. » Heureusement pour lui que Lénine est déjà mort et momifié ! Je ne
33
n sans apparences de raison : on a commis tant de
crimes
au nom de la vérité ! On s’en est plus servi qu’on ne l’a servie… L’i
34
, qu’à la faveur d’une coucherie compliquée, d’un
crime
ou d’une révolution. Donc à la faveur d’une fiction, et non pas d’un
35
étés. Et cela, des centaines de fois. Comment ces
crimes
ont-ils pu se produire ? C’est que la police protégeait les fascistes
36
l’adultère était tout à la fois un sacrilège, un
crime
contre l’ordre naturel et un crime contre l’ordre social. Car le sacr
37
sacrilège, un crime contre l’ordre naturel et un
crime
contre l’ordre social. Car le sacrement unissait tout à la fois deux
38
ssant ? Le roi David en volant Bethsabé commet un
crime
et se rend méprisable. Mais Tristan, s’il enlève Iseut, vit un roman,
39
adique des corps francs dans les pays baltes, les
crimes
dits « politiques » exécutés par des ligues de jeunes gens, certaines
40
stiques ont souvent exprimé cette opinion : « Les
crimes
sont un tribut payé à la vie » (Carpocrates, cf. Schultz, Dokumente d
41
ournal allemand : 1° ne contient pas de récits de
crimes
; 2° ne calomnie que pour des raisons d’État, jamais pour des raisons
42
tous les ressorts, mobiliser les cœurs… C’est le
crime
des dictatures : elles ne tuent pas seulement la liberté dans les pay
43
t prises les rejette, comme si c’était le fait du
crime
et non le plaisir qu’il cherchait. Polémiste perpétuel, il se trouve
44
auté sans scrupules, toutefois ressentie comme un
crime
, du fait qu’elle institue un ordre neuf par le décret de sa rigueur.
45
prose et en vers ce que la religion tient pour un
crime
, et la Loi pour une contravention, soit au contraire qu’elles s’en am
46
. 161) : « Adorer Dieu par amour seulement est le
crime
des manichéens… (ceux-ci) adorent Dieu par amour physique, par l’attr
47
aux yeux de la société (qui la réprouve comme un
crime
) qu’à leurs yeux propres (puisqu’elle les fait mourir). C’est là l’as
48
tes y sont sévèrement punies : la seule pensée du
crime
y est regardée avec autant d’horreur que le crime même ; les faibless
49
crime y est regardée avec autant d’horreur que le
crime
même ; les faiblesses de l’amour y passent pour de vraies faiblesses
50
e l’amour courtois faisait du viol précisément le
crime
des crimes, la félonie sans rémission ; et de l’hommage un engagement
51
courtois faisait du viol précisément le crime des
crimes
, la félonie sans rémission ; et de l’hommage un engagement jusqu’à la
52
engagement jusqu’à la mort. Mais Don Juan aime le
crime
en soi, et par là se rend tributaire de la morale dont il abuse. Il a
53
es raisons précises de sa révolte. C’est dans les
Crimes
de l’amour que Sade nous parle de son admiration pour la poésie de Pé
54
e son amour, parce que lui seul est souverain. Le
crime
d’amour impur sauvera la pureté. Lisons maintenant avec cette clé la
55
bien qu’il fût dès ce moment condamnable — et «
crime
», « horreurs », « corruption », ce même amour après la possession. L
56
et violence barbare de l’honneur féodal, jusqu’au
crime
. Isolde veut venger l’affront subi. Le philtre qu’elle offre à Trista
57
u, croyait qu’on pouvait faire des tragédies sans
crime
. Le refus de trouver belles les catastrophes, voilà qui peut définir
58
viol sur le plan des nations, mais bien l’acte du
crime
sadique, la possession d’une victime morte, donc en fait la non-posse
59
sférée à la seule collectivité. Cf. la Défense du
crime
par Sade, p. 205. 173. Op. cit., I, 37-39. Id., pour les citations
60
l’adultère était tout à la fois un sacrilège, un
crime
contre l’ordre naturel et un crime contre l’ordre social. Car le sacr
61
sacrilège, un crime contre l’ordre naturel et un
crime
contre l’ordre social. Car le sacrement unissait tout à la fois deux
62
sant ? Le roi David en volant Bethsabée commet un
crime
et se rend méprisable. Mais Tristan, s’il enlève Iseut, vit un roman,
63
adique des corps francs dans les pays baltes, les
crimes
dits « politiques » exécutés par des ligues de jeunes gens, certaines
64
stiques ont souvent exprimé cette opinion : « Les
crimes
sont un tribut payé à la vie. » (Carpocrates, cf. Schultz, Dokumente
65
des vrais cathares, nous l’avons vu, le véritable
crime
, c’est d’avoir « consommé » dans la chair cet adultère. 186. Sauf pe
66
e Je trouve une confirmation de mon analyse du
crime
sadique dans deux études remarquables de Pierre Klossowski : le Mal e
67
épens même de la vie d’autrui. Un grand nombre de
crimes
furent commis dans l’Italie du xve siècle à seule fin de s’acquérir
68
ystérieuse entre la naissance de l’individu et le
crime
social. Enfin l’individu de la Renaissance se livre à une activité to
69
à la société. Qu’il s’agisse de libre examen, de
crimes
, de soif de gloire et de richesses ou d’expériences telles que la dis
70
prose et en vers ce que la religion tient pour un
crime
, et la Loi pour une contravention, soit au contraire qu’elles s’en am
71
. 161) : « Adorer Dieu par amour seulement est le
crime
des manichéens… (ceux-ci) adorent Dieu par amour physique, par l’attr
72
aux yeux de la société (qui la réprouve comme un
crime
) qu’à leurs yeux propres (puisqu’elle les fait mourir). C’est là l’as
73
tes y sont sévèrement punies : la seule pensée du
crime
y est regardée avec autant d’horreur que le crime même ; les faibless
74
crime y est regardée avec autant d’horreur que le
crime
même ; les faiblesses de l’amour y passent pour de vraies faiblesses
75
e l’amour courtois faisait du viol précisément le
crime
des crimes, la félonie sans rémission ; et de l’hommage un engagement
76
courtois faisait du viol précisément le crime des
crimes
, la félonie sans rémission ; et de l’hommage un engagement jusqu’à la
77
engagement jusqu’à la mort. Mais Don Juan aime le
crime
en soi, et par là se rend tributaire de la morale dont il abuse. Il a
78
es raisons précises de sa révolte. C’est dans les
Crimes
de l’amour que Sade nous parle de son admiration pour la poésie de Pé
79
e son amour, parce que lui seul est souverain. Le
crime
d’amour impur sauvera la pureté. Lisons maintenant avec cette clé la
80
— bien qu’il fût dès ce moment condamnable — et «
crime
», « horreurs », « corruption », ce même amour après la possession. L
81
et violence barbare de l’honneur féodal, jusqu’au
crime
. Isolde veut venger l’affront subi. Le philtre qu’elle offre à Trista
82
u, croyait qu’on pouvait faire des tragédies sans
crime
. Le refus de trouver belles les catastrophes, voilà qui peut définir
83
viol sur le plan des nations, mais bien l’acte du
crime
sadique, la possession d’une victime morte, donc en fait la non-posse
84
sférée à la seule collectivité. Cf. la Défense du
crime
par Sade. 191. Op. cit., I, 37-39. Id. pour les citations qui suive
85
l’adultère était tout à la fois un sacrilège, un
crime
contre l’ordre naturel et un crime contre l’ordre social. Car le sacr
86
sacrilège, un crime contre l’ordre naturel et un
crime
contre l’ordre social. Car le sacrement unissait tout à la fois deux
87
sant ? Le roi David en volant Bethsabée commet un
crime
et se rend méprisable. Mais Tristan, s’il enlève Iseut, vit un roman,
88
adique des corps francs dans les pays baltes, les
crimes
dits « politiques » exécutés par des ligues de jeunes gens, certaines
89
stiques ont souvent exprimé cette opinion : « Les
crimes
sont un tribut payé à la vie. » (Carpocrates, cf. Schultz, Dokumente
90
des vrais cathares, nous l’avons vu, le véritable
crime
, c’est d’avoir « consommé » dans la chair cet adultère. 204. L’avent
91
prose et en vers ce que la religion tient pour un
crime
, et la loi pour une contravention, soit au contraire qu’elles s’en am
92
. 161) : « Adorer Dieu par amour seulement est le
crime
des manichéens… (ceux-ci) adorent Dieu par amour physique, par l’attr
93
aux yeux de la société (qui la réprouve comme un
crime
) qu’à leurs yeux propres (puisqu’elle les fait mourir). C’est là l’as
94
tes y sont sévèrement punies : la seule pensée du
crime
y est regardée avec autant d’horreur que le crime même ; les faibless
95
crime y est regardée avec autant d’horreur que le
crime
même ; les faiblesses de l’amour y passent pour de vraies faiblesses
96
e l’amour courtois faisait du viol précisément le
crime
des crimes, la félonie sans rémission ; et de l’hommage un engagement
97
courtois faisait du viol précisément le crime des
crimes
, la félonie sans rémission ; et de l’hommage un engagement jusqu’à la
98
engagement jusqu’à la mort. Mais Don Juan aime le
crime
en soi, et par là se rend tributaire de la morale dont il abuse. Il a
99
es raisons précises de sa révolte. C’est dans les
Crimes
de l’amour que Sade nous parle de son admiration pour la poésie de Pé
100
e son amour, parce que lui seul est souverain. Le
crime
d’amour impur sauvera la pureté. Lisons maintenant avec cette clé la
101
— bien qu’il fût dès ce moment condamnable — et «
crime
», « horreurs », « corruption », ce même amour après la possession. L
102
et violence barbare de l’honneur féodal, jusqu’au
crime
. Isolde veut venger l’affront subi. Le philtre qu’elle offre à Trista
103
u, croyait qu’on pouvait faire des tragédies sans
crime
. Le refus de trouver belles les catastrophes, voilà qui peut définir
104
viol sur le plan des nations, mais bien l’acte du
crime
sadique, la possession d’une victime morte, donc en fait la non-posse
105
sférée à la seule collectivité. Cf. La Défense du
crime
par Sade, p. 205. 177. Guichardin, op. cit., I, 37-39. Id. pour les
106
l’adultère était tout à la fois un sacrilège, un
crime
contre l’ordre naturel et un crime contre l’ordre social. Car le sacr
107
sacrilège, un crime contre l’ordre naturel et un
crime
contre l’ordre social. Car le sacrement unissait tout à la fois deux
108
sant ? Le roi David en volant Bethsabée commet un
crime
et se rend méprisable. Mais Tristan, s’il enlève Iseut, vit un roman,
109
adique des corps francs dans les pays baltes, les
crimes
dits « politiques » exécutés par des ligues de jeunes gens, certaines
110
stiques ont souvent exprimé cette opinion : « Les
crimes
sont un tribut payé à la vie. » (Carpocrate, cf. Schultz, Dokumente d
111
e Je trouve une confirmation de mon analyse du
crime
sadique dans deux études remarquables de Pierre Klossowski : le Mal e
112
épens même de la vie d’autrui. Un grand nombre de
crimes
furent commis dans l’Italie du xve siècle à seule fin d’acquérir de
113
ystérieuse entre la naissance de l’individu et le
crime
social. Enfin l’individu de la Renaissance se livre à une activité to
114
à la société. Qu’il s’agisse de libre examen, de
crimes
, de soif de gloire et de richesses, ou d’expériences telles que la di
115
épens même de la vie d’autrui. Un grand nombre de
crimes
furent commis dans l’Italie du xve siècle à seule fin d’acquérir de
116
ystérieuse entre la naissance de l’individu et le
crime
social. Enfin l’individu de la Renaissance se livre à une activité to
117
à la société. Qu’il s’agisse de libre examen, de
crimes
, de soif de gloire et de richesses, ou d’expériences telles que la di
118
lui qui doute du pardon ne peut pas confesser son
crime
, et celui qui ne le confesse pas n’en connaîtra jamais toute l’étendu
119
à où n’existe plus de goût, comme il n’y a pas de
crime
possible là où n’existe pas de Loi. Peut-être ici découvrons-nous la
120
forces mauvaises qui les menacent, les causes des
crimes
, des accidents, de la stérilité ou de la mort. Que ce soit un sorcier
121
cela me condamne. Et puisqu’il faut combattre le
crime
, je ne dirai pas que je vais laisser courir le criminel d’en face, po
122
nir à mon tour un autre criminel ? Il n’y a qu’un
crime
, en moi et hors de moi ; qu’un hitlérisme, chez les nazis et chez nou
123
’est personne et tire de là son assurance dans le
crime
. Il ne s’est pas trouvé un seul soldat pour porter la main sur Caius
124
ribunaux français avaient coutume d’acquitter les
crimes
passionnels. Aux grandes époques, on eût doublé la peine. Bornons-nou
125
38. L’Éternel féminin L’amour n’est pas un
crime
, mais le diable s’en sert, et de préférence à toute autre passion, po
126
à où n’existe plus de goût, comme il n’y a pas de
crime
possible là où n’existe pas de Loi. Peut-être ici découvrons-nous la
127
lui qui doute du pardon ne peut pas confesser son
crime
, et celui qui ne le confesse pas n’en connaîtra jamais toute l’étendu
128
forces mauvaises qui les menacent, les causes des
crimes
, des accidents, de la stérilité ou de la mort. Que ce soit un sorcier
129
cela me condamne. Et puisqu’il faut combattre le
crime
, je ne dirai pas que je vais laisser courir le criminel d’en face, po
130
nir à mon tour un autre criminel ? Il n’y a qu’un
crime
, en moi et hors de moi ; qu’un hitlérisme, chez les nazis et chez nou
131
rop aisément à l’occasion de nos malheurs, de nos
crimes
et de nos drames, il préfère gouverner sous le couvert de la correcti
132
’est personne et tire de là son assurance dans le
crime
. Il ne s’est pas trouvé un seul soldat pour porter la main sur Caius
133
ribunaux français avaient coutume d’acquitter les
crimes
passionnels. Aux grandes époques, on eût doublé la peine. Bornons-nou
134
54. L’Éternel féminin L’amour n’est pas un
crime
, mais le diable s’en sert, et de préférence à toute autre passion, po
135
à où n’existe plus de goût, comme il n’y a pas de
crime
possible là où il n’existe pas de Loi. Peut-être ici découvrons-nous
136
lui qui doute du pardon ne peut pas confesser son
crime
, et celui qui ne le confesse pas n’en connaîtra jamais toute l’étendu
137
forces mauvaises qui les menacent, les causes des
crimes
, des accidents, de la stérilité ou de la mort. Que ce soit un sorcier
138
cela me condamne. Et puisqu’il faut combattre le
crime
, je ne dirai pas que je vais laisser courir le criminel d’en face, po
139
nir à mon tour un autre criminel ? Il n’y a qu’un
crime
, en moi et hors de moi ; qu’un hitlérisme, chez les nazis et chez nou
140
rop aisément à l’occasion de nos malheurs, de nos
crimes
et de nos drames, il préfère gouverner sous le couvert de la correcti
141
’est personne et tire de là son assurance dans le
crime
. Il ne s’est pas trouvé un seul soldat pour porter la main sur Caius
142
ibunaux, naguère, avaient coutume d’acquitter les
crimes
passionnels. Aux grandes époques on eût doublé la peine. Bornons-nous
143
54. L’Éternel féminin L’amour n’est pas un
crime
, mais le diable s’en sert, et de préférence à toute autre passion, po
144
onc l’individu qui se distingue, — n’importe où. (
Crimes
commis pour s’acquérir la gloire, fréquents dans l’Italie du xve siè
145
tous les ressorts, mobiliser les cœurs… C’est le
crime
des dictatures : elles ne tuent pas la liberté dans les pays seulemen
146
à où n’existe plus de goût comme il n’y a plus de
crime
possible la où n’existe plus de Loi. Peut-être ici découvrons-nous la
147
lui qui doute du pardon ne peut pas confesser son
crime
, et celui qui ne le confesse pas n’en connaîtra jamais toute l’étendu
148
’est personne et tire de là son assurance dans le
crime
. « Il ne s’est pas trouvé un seul soldat pour porter la main sur Caiu
149
forces mauvaises qui les menacent, les causes des
crimes
, des accidents, de la stérilité ou de la mort. Que ce soit un sorcier
150
cela me condamne. Et puisqu’il faut combattre le
crime
, je ne dirai pas que je vais laisser courir le criminel d’en face, po
151
nir à mon tour un autre criminel ? Il n’y a qu’un
crime
, en moi et hors de moi. C’est le même diable ! Et ceci n’est qu’un po
152
’est personne et tire de là son assurance dans le
crime
. « Il ne s’est pas trouvé un seul soldat pour oser porter la main sur
153
iel créé par la publicité. (On pousse les gens au
crime
en les hypnotisant sur la possession de l’argent et les bienfaits qui
154
puisse expliquer ce succès par un intérêt pour le
crime
, qui serait particulier à notre époque. Le roman policier est populai
155
l’accuse formellement de s’être rendu coupable du
crime
le plus énorme de l’Histoire. Une conception réaliste et prudente
156
passé, et lui montrer comment il fut complice des
crimes
qu’il rejette sur Himmler ; ensuite il faut détruire son autarcie mor
157
au suicide, à la stupidité, à l’illuminisme et au
crime
. Les Alliés sauront-ils choisir entre une politique de camisole de fo
158
t de guerre larvé ou déclaré, qui est le pire des
crimes
sociaux. On ne sortira de ce cercle vicieux qu’en supprimant ce qui p
159
amentales de son être. Tantale avait commis deux
crimes
, dit la Fable. Admis à la table des dieux, il avait dérobé à ses hôte
160
t deviner qu’il n’est qu’une double réfraction du
crime
dans l’ordre humain. Parce qu’il a convoité la nourriture des dieux,
161
: c’est que celles-ci n’ont pas changé depuis ses
crimes
. Nourrissant avec obstination les mêmes désirs et le même orgueil, il
162
tous les ressorts, mobiliser les cœurs… C’est le
crime
des dictatures : elles ne tuent pas la liberté dans les pays seulemen
163
quartier, Beekman section, aussi célèbre par ses
crimes
que par sa tradition mondaine. L’ornement en est Beekman Place. Para
164
t de guerre larvé ou déclaré, qui est le pire des
crimes
sociaux. On ne sortira de ce cercle vicieux qu’en supprimant ce qui p
165
t de guerre larvé ou déclaré, qui est le pire des
crimes
sociaux. On ne sortira de ce cercle vicieux qu’en supprimant ce qui p
166
s prétexte de communisme. Personne n’a dénoncé le
crime
, personne n’en ayant profité. (Note de 1967.) 3. Bras de mer inté
167
, qu’à la faveur d’une coucherie compliquée, d’un
crime
ou d’une révolution. Donc à la faveur d’une fiction, et non pas d’un
168
ournal allemand : 1° ne contient pas de récits de
crimes
; 2° ne calomnie que pour des raisons d’État, jamais pour des raisons
169
tous les ressorts, mobiliser les cœurs… C’est le
crime
des dictatures : elles ne tuent pas la liberté dans les pays seulemen
170
quartier, Beekman section, aussi célèbre par ses
crimes
que par sa tradition mondaine. L’ornement en est Beckman Place. Paral
171
conscient, et qui se vengent. Les statistiques de
crimes
sadiques, de délinquance juvénile, de cas de névrose ou de folie, vie
172
… On leur fait un grief d’avoir une politique, un
crime
d’être en mesure de l’appliquer, un ridicule d’avoir réalisé sans phr
173
sponsable et affamée ; et notre âme un cloaque de
crimes
potentiels, comme l’ont dit Freud, Shakespeare et les Pères de l’Égli
174
t prises les rejette, comme si c’était le fait du
crime
et non le plaisir qu’il cherchait. Polémiste perpétuel, il se trouve
175
donc l’individu qui se distingue, n’importe où. (
Crimes
commis pour s’acquérir la gloire, fréquents dans l’Italie du xve siè
176
damentales de son être. Tantale avait commis deux
crimes
, dit la Fable. Admis à la table des dieux, il avait dérobé à ses hôte
177
t deviner qu’il n’est qu’une double réfraction du
crime
dans l’ordre humain. Parce qu’il a convoité la nourriture des dieux,
178
: c’est que celles-ci n’ont pas changé depuis ses
crimes
. Nourrissant avec obstination les mêmes désirs et le même orgueil, il
179
conscient, et qui se vengent. Les statistiques de
crimes
sadiques, de délinquance juvénile, de cas de névrose ou de folie, vie
180
bonheur conquis sur le destin, et malgré tant de
crimes
, l’honneur de l’être humain. Mais cette beauté, ce bonheur, cet honne
181
re ; et la science s’arrête quand l’audace est un
crime
. Si l’Europe disparaît du jeu des forces mondiales, personne ne pourr
182
bonheur conquis sur le destin, et malgré tant de
crimes
, l’honneur de l’être humain. Mais cette beauté, ce bonheur, cet honne
183
yeux qu’indécence, blessure à l’ordre du cosmos,
crime
absurde. Voyageant en Inde, l’an dernier, j’ai pu vérifier sur place
184
en payer le prix. C’est là, dit Kierkegaard, « un
crime
de lèse-majesté qualifié ». Il y a donc usurpation. Le christianisme
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était commettre à l’égard de l’absolu chrétien le
crime
de lèse-majesté qualifié, c’était se moquer de l’Évangile, c’était re
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n’éteindra plus : la tyrannie totalitaire est un
crime
contre l’homme et ses jours, désormais, sont comptés. L’insurrection
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là au nom des ouvriers — d’ajouter l’imposture au
crime
. Il était réservé au régime communiste d’aggraver d’un contrôle polic
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n n’éteindra plus : le système totalitaire est un
crime
contre l’homme et ses jours désormais sont comptés. L’insurrection de
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là au nom des ouvriers — d’ajouter l’imposture au
crime
. C’est en quoi Grotewohl est pire que M. Thiers. Il était réservé au