1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Miguel de Unamuno, Trois nouvelles exemplaires et un prologue (septembre 1925)
1 e volonté presque inhumaine torture et conduit au crime . Et s’ils s’imposent comme types, c’est encore et uniquement par leur
2 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Pierre Jean Jouve, Paulina 1880 (avril 1926)
2 uve a rêvé une histoire de passion mystique et de crime , intense et tragique comme un couchant d’automne, émouvante encore ap
3 Paulina. Le Péché ; le Couvent ; la rechute et le crime  ; et l’étrange apaisement d’une vieillesse au soleil. Jouve semble av
3 1927, Articles divers (1924–1930). Conférence d’Edmond Esmonin sur « La révocation de l’édit de Nantes » (16 février 1927)
4 persécutions contre ceux qui n’ont commis d’autre crime que de « déplaire au roi » vont reprendre de plus belle : la guerre c
4 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 3. Anatomie du monstre
5 inateur4. Nos bourgeois assistent sans honte à ce crime quotidien, et se félicitent du régime des lumières et des compteurs à
5 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 6. La trahison de l’instruction publique
6 par M. Julien Benda. Notre époque paiera cher ce crime contre la civilisation. Elle ne croit plus qu’au péché contre les loi
6 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 3. Anatomie du monstre
7 nateur 4. Nos bourgeois assistent sans honte à ce crime quotidien, et se félicitent du régime des lumières et des compteurs à
7 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 6. La trahison de l’instruction publique
8 par M. Julien Benda. Notre époque paiera cher ce crime contre la civilisation. Elle ne croit plus qu’au péché contre les loi
8 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
9 s prétexte de communisme. Personne n’a dénoncé ce crime , nul n’en ayant tiré profit. 11. Bras de mer intérieur qui s’avanc
9 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
10 tous les ressorts, mobiliser les cœurs… C’est le crime des dictatures : elles ne tuent pas la liberté dans les pays seulemen
10 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le mouvement des groupes — Kagawa (4 août 1934)
11 La société de nos jours manifeste une tendance au crime . Elle est devenue folle par sa faute, Dieu seul peut la guérir. » Les
11 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
12 est personne, et tire de là son assurance dans le crime . « Il ne s’est pas trouvé un seul soldat pour oser porter la main sur
12 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Une histoire de la Réforme en France (15 décembre 1934)
13 tant la chose défendue que la défense qui fait le crime . En face de ces prétentions toutes nouvelles, les réformés de France
13 1934, Politique de la personne. Idoles — Fascisme
14 elle fascisme. Le fascisme, c’est la tyrannie, le crime , la guerre et l’oppression des ouvriers. « Qu’ils y viennent un peu v
15 restent pas indifférents ou complices devant les crimes capitalistes en Indochine par exemple. 48. Le racisme n’est pas esse
14 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Fascisme
16 elle fascisme. Le fascisme, c’est la tyrannie, le crime , la guerre et l’oppression des ouvriers. « Qu’ils y viennent un peu v
17 point rester indifférents ou complices devant les crimes capitalistes en Indochine, par exemple. 42. Le racisme n’est pas ess
15 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). L’édit de Nantes et sa révocation (mars-avril 1935)
18 digieux peuple proscrit, nu, fugitif, errant sans crime … enfin qui, pour comble de toutes horreurs, remplit toutes les provin
16 1935, Le Semeur, articles (1933–1949). La cité (avril-mai 1935)
19 nd mystérieusement sur ces quartiers d’enfer. Les crimes diminuent, les enfants s’instruisent, des misères sont soulagées. C’e
20 publiquement son roi et l’obligeait à réparer ses crimes  ; ce n’est pas au nom d’un parti que Paul ébranle l’Empire romain, ce
17 1935, Esprit, articles (1932–1962). Tristan Tzara, Grains et Issues (juin 1935)
21 glorifie la révolte des puissances obscures, les crimes gratuits, les enthousiasmes collectifs, l’hystérie organisée, bref to
18 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
22 ont aux clercs « spiritualistes » l’honneur et le crime d’avoir prémédités, avec l’appui des Loges et des Sages de Sion. Et p
19 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Échos (janvier 1936)
23 dénoncer sa participation à l’un des plus grands crimes de l’Histoire, ce crime contre la civilisation latine que représente
24 n à l’un des plus grands crimes de l’Histoire, ce crime contre la civilisation latine que représente la résistance des Éthiop
20 1936, Esprit, articles (1932–1962). Vues sur C. F. Ramuz (mai 1936)
25 iel créé par la publicité. (On pousse les gens au crime en les hypnotisant sur la possession de l’argent et les bienfaits qui
21 1936, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le Problème du bien (12 septembre 1936)
26 sauvage, omnivore, amateur de catastrophes et de crimes . Les animaux se mangent entre eux, les hommes périssent par accident,
22 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
27 e, facilité qui consiste à assimiler dictature et crime , discipline sociale et brutalité, volonté de servir et trahison des c
23 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Leçon des dictatures
28 e, facilité qui consiste à assimiler dictature et crime , discipline sociale et brutalité, volonté de servir et trahison des c
24 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Leçon des dictatures
29 e, facilité qui consiste à assimiler dictature et crime , discipline sociale et tyrannie, volonté de servir et trahison des cl
25 1937, Esprit, articles (1932–1962). Défense de la culture (janvier 1937)
30 r la voix d’Aragon, exprime sa juste indignation. Crime contre la culture. Car c’était le parti communiste qui avait pris soi
26 1937, Articles divers (1936-1938). Lénine, Staline et la littérature (17 avril 1937)
31 ’indifférence à sa mémoire et à ses œuvres est un crime . Vous reconnaissez le ton du policier, et du fonctionnaire arrivé. «
32 aire arrivé. « L’indifférence à ses œuvres est un crime . » Heureusement pour lui que Lénine est déjà mort et momifié ! Je ne
27 1937, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Luther contre Érasme (19 juin 1937)
33 n sans apparences de raison : on a commis tant de crimes au nom de la vérité ! On s’en est plus servi qu’on ne l’a servie… L’i
28 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
34 , qu’à la faveur d’une coucherie compliquée, d’un crime ou d’une révolution. Donc à la faveur d’une fiction, et non pas d’un
29 1938, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La vraie défense contre l’esprit totalitaire (juillet 1938)
35 étés. Et cela, des centaines de fois. Comment ces crimes ont-ils pu se produire ? C’est que la police protégeait les fascistes
30 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
36 l’adultère était tout à la fois un sacrilège, un crime contre l’ordre naturel et un crime contre l’ordre social. Car le sacr
37 sacrilège, un crime contre l’ordre naturel et un crime contre l’ordre social. Car le sacrement unissait tout à la fois deux
38 ssant ? Le roi David en volant Bethsabé commet un crime et se rend méprisable. Mais Tristan, s’il enlève Iseut, vit un roman,
39 adique des corps francs dans les pays baltes, les crimes dits « politiques » exécutés par des ligues de jeunes gens, certaines
40 stiques ont souvent exprimé cette opinion : « Les crimes sont un tribut payé à la vie » (Carpocrates, cf. Schultz, Dokumente d
31 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
41 ournal allemand : 1° ne contient pas de récits de crimes  ; 2° ne calomnie que pour des raisons d’État, jamais pour des raisons
32 1939, Le Figaro, articles (1939–1953). Le bon vieux temps présent (20 mars 1939)
42 tous les ressorts, mobiliser les cœurs… C’est le crime des dictatures : elles ne tuent pas seulement la liberté dans les pay
33 1939, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Don Juan (juillet 1939)
43 t prises les rejette, comme si c’était le fait du crime et non le plaisir qu’il cherchait. Polémiste perpétuel, il se trouve
44 auté sans scrupules, toutefois ressentie comme un crime , du fait qu’elle institue un ordre neuf par le décret de sa rigueur.
34 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
45 prose et en vers ce que la religion tient pour un crime , et la Loi pour une contravention, soit au contraire qu’elles s’en am
35 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
46 . 161) : « Adorer Dieu par amour seulement est le crime des manichéens… (ceux-ci) adorent Dieu par amour physique, par l’attr
36 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
47 aux yeux de la société (qui la réprouve comme un crime ) qu’à leurs yeux propres (puisqu’elle les fait mourir). C’est là l’as
37 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
48 tes y sont sévèrement punies : la seule pensée du crime y est regardée avec autant d’horreur que le crime même ; les faibless
49 crime y est regardée avec autant d’horreur que le crime même ; les faiblesses de l’amour y passent pour de vraies faiblesses 
50 e l’amour courtois faisait du viol précisément le crime des crimes, la félonie sans rémission ; et de l’hommage un engagement
51 courtois faisait du viol précisément le crime des crimes , la félonie sans rémission ; et de l’hommage un engagement jusqu’à la
52 engagement jusqu’à la mort. Mais Don Juan aime le crime en soi, et par là se rend tributaire de la morale dont il abuse. Il a
53 es raisons précises de sa révolte. C’est dans les Crimes de l’amour que Sade nous parle de son admiration pour la poésie de Pé
54 e son amour, parce que lui seul est souverain. Le crime d’amour impur sauvera la pureté. Lisons maintenant avec cette clé la
55  bien qu’il fût dès ce moment condamnable  — et «  crime  », « horreurs », « corruption », ce même amour après la possession. L
56 et violence barbare de l’honneur féodal, jusqu’au crime . Isolde veut venger l’affront subi. Le philtre qu’elle offre à Trista
38 1939, L’Amour et l’Occident. Amour et guerre
57 u, croyait qu’on pouvait faire des tragédies sans crime . Le refus de trouver belles les catastrophes, voilà qui peut définir
58 viol sur le plan des nations, mais bien l’acte du crime sadique, la possession d’une victime morte, donc en fait la non-posse
59 sférée à la seule collectivité. Cf. la Défense du crime par Sade, p. 205. 173. Op. cit., I, 37-39. Id., pour les citations
39 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe contre le mariage
60 l’adultère était tout à la fois un sacrilège, un crime contre l’ordre naturel et un crime contre l’ordre social. Car le sacr
61 sacrilège, un crime contre l’ordre naturel et un crime contre l’ordre social. Car le sacrement unissait tout à la fois deux
62 sant ? Le roi David en volant Bethsabée commet un crime et se rend méprisable. Mais Tristan, s’il enlève Iseut, vit un roman,
63 adique des corps francs dans les pays baltes, les crimes dits « politiques » exécutés par des ligues de jeunes gens, certaines
64 stiques ont souvent exprimé cette opinion : « Les crimes sont un tribut payé à la vie. » (Carpocrates, cf. Schultz, Dokumente
65 des vrais cathares, nous l’avons vu, le véritable crime , c’est d’avoir « consommé » dans la chair cet adultère. 186. Sauf pe
40 1939, L’Amour et l’Occident. Appendices
66 e Je trouve une confirmation de mon analyse du crime sadique dans deux études remarquables de Pierre Klossowski : le Mal e
41 1939, Articles divers (1938-1940). Le protestantisme créateur de personnes (1939)
67 épens même de la vie d’autrui. Un grand nombre de crimes furent commis dans l’Italie du xve siècle à seule fin de s’acquérir
68 ystérieuse entre la naissance de l’individu et le crime social. Enfin l’individu de la Renaissance se livre à une activité to
69 à la société. Qu’il s’agisse de libre examen, de crimes , de soif de gloire et de richesses ou d’expériences telles que la dis
42 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
70 prose et en vers ce que la religion tient pour un crime , et la Loi pour une contravention, soit au contraire qu’elles s’en am
43 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
71 . 161) : « Adorer Dieu par amour seulement est le crime des manichéens… (ceux-ci) adorent Dieu par amour physique, par l’attr
44 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
72 aux yeux de la société (qui la réprouve comme un crime ) qu’à leurs yeux propres (puisqu’elle les fait mourir). C’est là l’as
45 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
73 tes y sont sévèrement punies : la seule pensée du crime y est regardée avec autant d’horreur que le crime même ; les faibless
74 crime y est regardée avec autant d’horreur que le crime même ; les faiblesses de l’amour y passent pour de vraies faiblesses 
75 e l’amour courtois faisait du viol précisément le crime des crimes, la félonie sans rémission ; et de l’hommage un engagement
76 courtois faisait du viol précisément le crime des crimes , la félonie sans rémission ; et de l’hommage un engagement jusqu’à la
77 engagement jusqu’à la mort. Mais Don Juan aime le crime en soi, et par là se rend tributaire de la morale dont il abuse. Il a
78 es raisons précises de sa révolte. C’est dans les Crimes de l’amour que Sade nous parle de son admiration pour la poésie de Pé
79 e son amour, parce que lui seul est souverain. Le crime d’amour impur sauvera la pureté. Lisons maintenant avec cette clé la
80 — bien qu’il fût dès ce moment condamnable — et «  crime  », « horreurs », « corruption », ce même amour après la possession. L
81 et violence barbare de l’honneur féodal, jusqu’au crime . Isolde veut venger l’affront subi. Le philtre qu’elle offre à Trista
46 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Amour et guerre
82 u, croyait qu’on pouvait faire des tragédies sans crime . Le refus de trouver belles les catastrophes, voilà qui peut définir
83 viol sur le plan des nations, mais bien l’acte du crime sadique, la possession d’une victime morte, donc en fait la non-posse
84 sférée à la seule collectivité. Cf. la Défense du crime par Sade. 191. Op. cit., I, 37-39. Id. pour les citations qui suive
47 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe contre le mariage
85 l’adultère était tout à la fois un sacrilège, un crime contre l’ordre naturel et un crime contre l’ordre social. Car le sacr
86 sacrilège, un crime contre l’ordre naturel et un crime contre l’ordre social. Car le sacrement unissait tout à la fois deux
87 sant ? Le roi David en volant Bethsabée commet un crime et se rend méprisable. Mais Tristan, s’il enlève Iseut, vit un roman,
88 adique des corps francs dans les pays baltes, les crimes dits « politiques » exécutés par des ligues de jeunes gens, certaines
89 stiques ont souvent exprimé cette opinion : « Les crimes sont un tribut payé à la vie. » (Carpocrates, cf. Schultz, Dokumente
90 des vrais cathares, nous l’avons vu, le véritable crime , c’est d’avoir « consommé » dans la chair cet adultère. 204. L’avent
48 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
91 prose et en vers ce que la religion tient pour un crime , et la loi pour une contravention, soit au contraire qu’elles s’en am
49 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
92 . 161) : « Adorer Dieu par amour seulement est le crime des manichéens… (ceux-ci) adorent Dieu par amour physique, par l’attr
50 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Passion et mystique
93 aux yeux de la société (qui la réprouve comme un crime ) qu’à leurs yeux propres (puisqu’elle les fait mourir). C’est là l’as
51 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
94 tes y sont sévèrement punies : la seule pensée du crime y est regardée avec autant d’horreur que le crime même ; les faibless
95 crime y est regardée avec autant d’horreur que le crime même ; les faiblesses de l’amour y passent pour de vraies faiblesses 
96 e l’amour courtois faisait du viol précisément le crime des crimes, la félonie sans rémission ; et de l’hommage un engagement
97 courtois faisait du viol précisément le crime des crimes , la félonie sans rémission ; et de l’hommage un engagement jusqu’à la
98 engagement jusqu’à la mort. Mais Don Juan aime le crime en soi, et par là se rend tributaire de la morale dont il abuse. Il a
99 es raisons précises de sa révolte. C’est dans les Crimes de l’amour que Sade nous parle de son admiration pour la poésie de Pé
100 e son amour, parce que lui seul est souverain. Le crime d’amour impur sauvera la pureté. Lisons maintenant avec cette clé la
101 — bien qu’il fût dès ce moment condamnable — et «  crime  », « horreurs », « corruption », ce même amour après la possession. L
102 et violence barbare de l’honneur féodal, jusqu’au crime . Isolde veut venger l’affront subi. Le philtre qu’elle offre à Trista
52 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Amour et guerre
103 u, croyait qu’on pouvait faire des tragédies sans crime . Le refus de trouver belles les catastrophes, voilà qui peut définir
104 viol sur le plan des nations, mais bien l’acte du crime sadique, la possession d’une victime morte, donc en fait la non-posse
105 sférée à la seule collectivité. Cf. La Défense du crime par Sade, p. 205. 177. Guichardin, op. cit., I, 37-39. Id. pour les
53 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe contre le mariage
106 l’adultère était tout à la fois un sacrilège, un crime contre l’ordre naturel et un crime contre l’ordre social. Car le sacr
107 sacrilège, un crime contre l’ordre naturel et un crime contre l’ordre social. Car le sacrement unissait tout à la fois deux
108 sant ? Le roi David en volant Bethsabée commet un crime et se rend méprisable. Mais Tristan, s’il enlève Iseut, vit un roman,
109 adique des corps francs dans les pays baltes, les crimes dits « politiques » exécutés par des ligues de jeunes gens, certaines
110 stiques ont souvent exprimé cette opinion : « Les crimes sont un tribut payé à la vie. » (Carpocrate, cf. Schultz, Dokumente d
54 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Appendices
111 e Je trouve une confirmation de mon analyse du crime sadique dans deux études remarquables de Pierre Klossowski : le Mal e
55 1940, Mission ou démission de la Suisse. Le protestantisme créateur de personnes
112 épens même de la vie d’autrui. Un grand nombre de crimes furent commis dans l’Italie du xve siècle à seule fin d’acquérir de
113 ystérieuse entre la naissance de l’individu et le crime social. Enfin l’individu de la Renaissance se livre à une activité to
114 à la société. Qu’il s’agisse de libre examen, de crimes , de soif de gloire et de richesses, ou d’expériences telles que la di
56 1940, Politique de la personne (1946). À la fois libre et engagé — Le protestantisme créateur de personnes
115 épens même de la vie d’autrui. Un grand nombre de crimes furent commis dans l’Italie du xve siècle à seule fin d’acquérir de
116 ystérieuse entre la naissance de l’individu et le crime social. Enfin l’individu de la Renaissance se livre à une activité to
117 à la société. Qu’il s’agisse de libre examen, de crimes , de soif de gloire et de richesses, ou d’expériences telles que la di
57 1942, La Part du diable. L’Incognito et la Révélation
118 lui qui doute du pardon ne peut pas confesser son crime , et celui qui ne le confesse pas n’en connaîtra jamais toute l’étendu
119 à où n’existe plus de goût, comme il n’y a pas de crime possible là où n’existe pas de Loi. Peut-être ici découvrons-nous la
58 1942, La Part du diable. Le diable démocrate
120 forces mauvaises qui les menacent, les causes des crimes , des accidents, de la stérilité ou de la mort. Que ce soit un sorcier
121 cela me condamne. Et puisqu’il faut combattre le crime , je ne dirai pas que je vais laisser courir le criminel d’en face, po
122 nir à mon tour un autre criminel ? Il n’y a qu’un crime , en moi et hors de moi ; qu’un hitlérisme, chez les nazis et chez nou
59 1942, La Part du diable. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
123 ’est personne et tire de là son assurance dans le crime . Il ne s’est pas trouvé un seul soldat pour porter la main sur Caius
124 ribunaux français avaient coutume d’acquitter les crimes passionnels. Aux grandes époques, on eût doublé la peine. Bornons-nou
125 38. L’Éternel féminin L’amour n’est pas un crime , mais le diable s’en sert, et de préférence à toute autre passion, po
60 1942, La Part du diable (1944). L’Incognito et la Révélation
126 à où n’existe plus de goût, comme il n’y a pas de crime possible là où n’existe pas de Loi. Peut-être ici découvrons-nous la
127 lui qui doute du pardon ne peut pas confesser son crime , et celui qui ne le confesse pas n’en connaîtra jamais toute l’étendu
61 1942, La Part du diable (1944). Le diable démocrate
128 forces mauvaises qui les menacent, les causes des crimes , des accidents, de la stérilité ou de la mort. Que ce soit un sorcier
129 cela me condamne. Et puisqu’il faut combattre le crime , je ne dirai pas que je vais laisser courir le criminel d’en face, po
130 nir à mon tour un autre criminel ? Il n’y a qu’un crime , en moi et hors de moi ; qu’un hitlérisme, chez les nazis et chez nou
131 rop aisément à l’occasion de nos malheurs, de nos crimes et de nos drames, il préfère gouverner sous le couvert de la correcti
62 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
132 ’est personne et tire de là son assurance dans le crime . Il ne s’est pas trouvé un seul soldat pour porter la main sur Caius
133 ribunaux français avaient coutume d’acquitter les crimes passionnels. Aux grandes époques, on eût doublé la peine. Bornons-nou
134 54. L’Éternel féminin L’amour n’est pas un crime , mais le diable s’en sert, et de préférence à toute autre passion, po
63 1942, La Part du diable (1982). L’Incognito et la révélation
135 à où n’existe plus de goût, comme il n’y a pas de crime possible là où il n’existe pas de Loi. Peut-être ici découvrons-nous
136 lui qui doute du pardon ne peut pas confesser son crime , et celui qui ne le confesse pas n’en connaîtra jamais toute l’étendu
64 1942, La Part du diable (1982). Le diable démocrate
137 forces mauvaises qui les menacent, les causes des crimes , des accidents, de la stérilité ou de la mort. Que ce soit un sorcier
138 cela me condamne. Et puisqu’il faut combattre le crime , je ne dirai pas que je vais laisser courir le criminel d’en face, po
139 nir à mon tour un autre criminel ? Il n’y a qu’un crime , en moi et hors de moi ; qu’un hitlérisme, chez les nazis et chez nou
140 rop aisément à l’occasion de nos malheurs, de nos crimes et de nos drames, il préfère gouverner sous le couvert de la correcti
65 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
141 ’est personne et tire de là son assurance dans le crime . Il ne s’est pas trouvé un seul soldat pour porter la main sur Caius
142 ibunaux, naguère, avaient coutume d’acquitter les crimes passionnels. Aux grandes époques on eût doublé la peine. Bornons-nous
143 54. L’Éternel féminin L’amour n’est pas un crime , mais le diable s’en sert, et de préférence à toute autre passion, po
66 1943, Articles divers (1941-1946). La gloire (mars 1943)
144 onc l’individu qui se distingue, — n’importe où. ( Crimes commis pour s’acquérir la gloire, fréquents dans l’Italie du xve siè
67 1943, Articles divers (1941-1946). Mémoire de l’Europe : Fragments d’un Journal des Mauvais Temps (septembre 1943)
145 tous les ressorts, mobiliser les cœurs… C’est le crime des dictatures : elles ne tuent pas la liberté dans les pays seulemen
68 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable II : Le menteur (22 octobre 1943)
146 à où n’existe plus de goût comme il n’y a plus de crime possible la où n’existe plus de Loi. Peut-être ici découvrons-nous la
69 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable IV : L’accusateur (5 novembre 1943)
147 lui qui doute du pardon ne peut pas confesser son crime , et celui qui ne le confesse pas n’en connaîtra jamais toute l’étendu
70 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable VI : Le mal du siècle : la dépersonnalisation (19 novembre 1943)
148 ’est personne et tire de là son assurance dans le crime . « Il ne s’est pas trouvé un seul soldat pour porter la main sur Caiu
71 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable IX : « Nous sommes tous coupables » (10 décembre 1943)
149 forces mauvaises qui les menacent, les causes des crimes , des accidents, de la stérilité ou de la mort. Que ce soit un sorcier
150 cela me condamne. Et puisqu’il faut combattre le crime , je ne dirai pas que je vais laisser courir le criminel d’en face, po
151 nir à mon tour un autre criminel ? Il n’y a qu’un crime , en moi et hors de moi. C’est le même diable ! Et ceci n’est qu’un po
72 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Kierkegaard
152 ’est personne et tire de là son assurance dans le crime . « Il ne s’est pas trouvé un seul soldat pour oser porter la main sur
73 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — Vues sur Ramuz
153 iel créé par la publicité. (On pousse les gens au crime en les hypnotisant sur la possession de l’argent et les bienfaits qui
74 1944, Articles divers (1941-1946). Les règles du jeu dans l’art romanesque (1944-1945)
154 puisse expliquer ce succès par un intérêt pour le crime , qui serait particulier à notre époque. Le roman policier est populai
75 1946, Le Figaro, articles (1939–1953). Les nouveaux aspects du problème allemand (30 mai 1946)
155 l’accuse formellement de s’être rendu coupable du crime le plus énorme de l’Histoire. Une conception réaliste et prudente
156 passé, et lui montrer comment il fut complice des crimes qu’il rejette sur Himmler ; ensuite il faut détruire son autarcie mor
157 au suicide, à la stupidité, à l’illuminisme et au crime . Les Alliés sauront-ils choisir entre une politique de camisole de fo
76 1946, Articles divers (1941-1946). Deux lettres sur le gouvernement mondial (4 juin 1946)
158 t de guerre larvé ou déclaré, qui est le pire des crimes sociaux. On ne sortira de ce cercle vicieux qu’en supprimant ce qui p
77 1946, Articles divers (1946-1948). Le supplice de Tantale (octobre 1946)
159 amentales de son être. Tantale avait commis deux crimes , dit la Fable. Admis à la table des dieux, il avait dérobé à ses hôte
160 t deviner qu’il n’est qu’une double réfraction du crime dans l’ordre humain. Parce qu’il a convoité la nourriture des dieux,
161 : c’est que celles-ci n’ont pas changé depuis ses crimes . Nourrissant avec obstination les mêmes désirs et le même orgueil, il
78 1946, Journal des deux mondes. Le bon vieux temps présent
162 tous les ressorts, mobiliser les cœurs… C’est le crime des dictatures : elles ne tuent pas la liberté dans les pays seulemen
79 1946, Journal des deux mondes. L’Amérique en guerre
163 quartier, Beekman section, aussi célèbre par ses crimes que par sa tradition mondaine. L’ornement en est Beekman Place. Para
80 1946, Lettres sur la bombe atomique. L’État-nation
164 t de guerre larvé ou déclaré, qui est le pire des crimes sociaux. On ne sortira de ce cercle vicieux qu’en supprimant ce qui p
81 1946, Lettres sur la bombe atomique. L’État-nation
165 t de guerre larvé ou déclaré, qui est le pire des crimes sociaux. On ne sortira de ce cercle vicieux qu’en supprimant ce qui p
82 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Châteaux en Prusse
166 s prétexte de communisme. Personne n’a dénoncé le crime , personne n’en ayant profité. (Note de 1967.) 3. Bras de mer inté
83 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
167 , qu’à la faveur d’une coucherie compliquée, d’un crime ou d’une révolution. Donc à la faveur d’une fiction, et non pas d’un
84 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Journal (1935-1936)
168 ournal allemand : 1° ne contient pas de récits de crimes  ; 2° ne calomnie que pour des raisons d’État, jamais pour des raisons
85 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le bon vieux temps présent
169 tous les ressorts, mobiliser les cœurs… C’est le crime des dictatures : elles ne tuent pas la liberté dans les pays seulemen
86 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — L’Amérique en guerre
170 quartier, Beekman section, aussi célèbre par ses crimes que par sa tradition mondaine. L’ornement en est Beckman Place. Paral
87 1947, Articles divers (1946-1948). La guerre des sexes en Amérique (janvier 1947)
171 conscient, et qui se vengent. Les statistiques de crimes sadiques, de délinquance juvénile, de cas de névrose ou de folie, vie
88 1947, Carrefour, articles (1945–1947). La France est assez grande pour n’être pas ingrate (26 novembre 1947)
172 … On leur fait un grief d’avoir une politique, un crime d’être en mesure de l’appliquer, un ridicule d’avoir réalisé sans phr
89 1947, Articles divers (1946-1948). La lutte des classes (1947)
173 sponsable et affamée ; et notre âme un cloaque de crimes potentiels, comme l’ont dit Freud, Shakespeare et les Pères de l’Égli
90 1947, Doctrine fabuleuse. Don Juan
174 t prises les rejette, comme si c’était le fait du crime et non le plaisir qu’il cherchait. Polémiste perpétuel, il se trouve
91 1947, Doctrine fabuleuse. La gloire
175 donc l’individu qui se distingue, n’importe où. ( Crimes commis pour s’acquérir la gloire, fréquents dans l’Italie du xve siè
92 1947, Doctrine fabuleuse. Le supplice de Tantale
176 damentales de son être. Tantale avait commis deux crimes , dit la Fable. Admis à la table des dieux, il avait dérobé à ses hôte
177 t deviner qu’il n’est qu’une double réfraction du crime dans l’ordre humain. Parce qu’il a convoité la nourriture des dieux,
178 : c’est que celles-ci n’ont pas changé depuis ses crimes . Nourrissant avec obstination les mêmes désirs et le même orgueil, il
93 1947, Vivre en Amérique. Vie privée
179 conscient, et qui se vengent. Les statistiques de crimes sadiques, de délinquance juvénile, de cas de névrose ou de folie, vie
94 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Troisième lettre aux députés européens : L’orgueil de l’Europe (17 août 1950)
180 bonheur conquis sur le destin, et malgré tant de crimes , l’honneur de l’être humain. Mais cette beauté, ce bonheur, cet honne
95 1950, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Europe et sa culture (novembre 1950)
181 re ; et la science s’arrête quand l’audace est un crime . Si l’Europe disparaît du jeu des forces mondiales, personne ne pourr
96 1950, Lettres aux députés européens. Troisième lettre
182 bonheur conquis sur le destin, et malgré tant de crimes , l’honneur de l’être humain. Mais cette beauté, ce bonheur, cet honne
97 1952, Preuves, articles (1951–1968). Le sens de nos vies, ou l’Europe (juin 1952)
183 yeux qu’indécence, blessure à l’ordre du cosmos, crime absurde. Voyageant en Inde, l’an dernier, j’ai pu vérifier sur place
98 1953, Preuves, articles (1951–1968). Deux princes danois : Kierkegaard et Hamlet (février 1953)
184 en payer le prix. C’est là, dit Kierkegaard, « un crime de lèse-majesté qualifié ». Il y a donc usurpation. Le christianisme
185 était commettre à l’égard de l’absolu chrétien le crime de lèse-majesté qualifié, c’était se moquer de l’Évangile, c’était re
99 1953, Le Figaro, articles (1939–1953). « Nous ne sommes pas des esclaves ! » (25 juin 1953)
186 n’éteindra plus : la tyrannie totalitaire est un crime contre l’homme et ses jours, désormais, sont comptés. L’insurrection
187 là au nom des ouvriers — d’ajouter l’imposture au crime . Il était réservé au régime communiste d’aggraver d’un contrôle polic
100 1953, Preuves, articles (1951–1968). « Nous ne sommes pas des esclaves ! » (juillet 1953)
188 n n’éteindra plus : le système totalitaire est un crime contre l’homme et ses jours désormais sont comptés. L’insurrection de
189 là au nom des ouvriers — d’ajouter l’imposture au crime . C’est en quoi Grotewohl est pire que M. Thiers. Il était réservé au