1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Paul Colin, Van Gogh (août 1925)
1 ent, mais d’une telle manière que des conclusions critiques s’en dégagent avec évidence. Van Gogh fut une proie du génie. L’homme
2 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Les Appels de l’Orient (septembre 1925)
2 onde par l’Europe intellectuelle. Grand siècle de critique pour lequel nos contemporains accumulent les documents. La littératur
3 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Miguel de Unamuno, Trois nouvelles exemplaires et un prologue (septembre 1925)
3 notation suggestive, telles sont les vertus de sa critique . Ce n’est que dans sa discrétion à louer une grande œuvre qu’on trouv
4 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Ernest Seillière, Alexandre Vinet, historien de la pensée française (octobre 1925)
4 peine à l’annexer à son propre corps de doctrines critiques . Dirai-je pourtant que je crains qu’il n’ait été incité parfois, et p
5 ment, tout ce qui semble viable et humain dans la critique moderne du romantisme, Vinet l’avait trouvé. Mais sa position puremen
5 1926, Articles divers (1924–1930). Conférence de René Guisan « Sur le Saint » (2 février 1926)
6 san va très loin dans ses concessions à de telles critiques . Mais c’est pour affirmer avec d’autant plus de force que « en situan
6 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Adieu, beau désordre… (mars 1926)
7 re leur déséquilibre. Il serait temps de faire la critique des méthodes et des façons de vivre autant que de penser qui les ont
7 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jean Cocteau, Rappel à l’ordre (mai 1926)
8 e paraît le meilleur de son œuvre : ses récits de critique et d’esthétique (Le Coq et l’Arlequin, la Noce massacrée, le Secret p
8 1926, Journal de Genève, articles (1926–1982). Le Dépaysement oriental (16 juillet 1926)
9 s, d’ailleurs, que l’attitude presque constamment critique de M. de Traz diminue l’intérêt vivant de son livre : cette impartial
9 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Ramon Fernandez, Messages (juillet 1926)
10 ine chez les jeunes écrivains d’aujourd’hui. La «  critique philosophique » qu’il voudrait inaugurer « ne se contenterait pas d’é
11 lui faire acquérir droit de cité. Voici enfin un critique qui sait tirer une leçon constructive des expériences entreprises par
12 te couronne une série d’expériences négatives. La critique de ces expériences négatives est contenue surtout dans ses essais sur
13 intermittences du cœur » dont Fernandez donne une critique décisive. Et c’est justement par opposition à la conception proustien
14 et le plus impur qui soit. On n’a pas ménagé les critiques à cette œuvre. Cela tient surtout à sa forme : il est parfois agaçant
15 e inhérent, dans une certaine mesure, au genre de critique pratiqué par Fernandez. Périlleuse situation que la sienne, en effet,
10 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). André Malraux, La Tentation de l’Occident (décembre 1926)
16 le Chinois s’étonne non sans quelque aigreur, et critique avec un mépris tranquille ; le Français riposte sans conviction, et s
17 intelligence européenne libre peut souscrire aux critiques du Chinois et sympathiser avec son idéal de culture. Il n’y a pas là
11 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
18 se sont mis à gesticuler « gratuitement ». Et les critiques d’abord de s’indigner. Aujourd’hui, on les voit assez enchantés de l’
12 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Louis Aragon, Le Paysan de Paris (janvier 1927)
19 re moi et vous, c’est la guerre. » Voilà pour les critiques , « punaises glabres et poux barbus », qui perdraient leur temps à rec
13 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Edmond Jaloux, Ô toi que j’eusse aimée… (mars 1927)
20 orains, et qu’il vient appuyer de son autorité de critique et surtout de son expérience déjà riche de romancier. Son regard se p
14 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Entr’acte de René Clair, ou L’éloge du Miracle (mars 1927)
21 t le fait d’un art à sa maturité. Mais ce sont là critiques de style. D’ores et déjà, il faut admirer dans les films de René Clai
15 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Louis Aragon, le beau prétexte (avril 1927)
22 ité miraculeuse des statues7. » Il s’agit bien de critique littéraire ! Nous sommes ici en présence d’une des tentatives de libé
23 arches de sa pensée, ses délires, ses visions. Un critique qui n’épouse pas le rythme d’une œuvre, mais s’avance à sa rencontre
24 er… d’ailleurs une ancienne connaissance… le Sens Critique . Moi (gêné)… Rougemont. Le Sens Critique. — Il y a un certain temps
25 e Sens Critique. Moi (gêné)… Rougemont. Le Sens Critique . — Il y a un certain temps déjà que nous ne nous sommes revus. Mais j
26 . Comprenez-moi : submergés, absolument… Le Sens Critique . — Justement j’aurais en quelque manière la prétention… Moi. — Que v
27 rès bien fait. Excellente méthode ! (Sort le Sens Critique , un peu bousculé.) Moi. — Vous disiez, ma vie ? La Muse (mais oui,
28 ncore s’ils ont tort, envers et contre toutes les critiques qu’on pourrait leur adresser, parce que ces « maudits » ont la grâce,
16 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
29 couvertes, de snobs, de marchands de tableaux, de critiques d’avant-garde, ce monde où tous les extrémismes sont prônés comme ver
30 d’enfance géniaux et prophétiques, ni opinions de critiques autorisés. Du benjamin, Eugène Bouvier, qui a 25 ans, jusqu’à André E
17 1928, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le péril Ford (février 1928)
31 ne m’accuse donc pas de caricaturer l’objet de ma critique pour faciliter l’accusation : je prends pour la juger ce que l’époque
18 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Pierre Naville, La Révolution et les intellectuels (novembre 1928)
32 ne le croient. Certes il était urgent de faire la critique de « cette réalité de premier plan qui nous empêche de bouger », comm
19 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Sherwood Anderson, Mon père et moi et Je suis un homme (janvier 1929)
33 et moi et Je suis un homme (janvier 1929)ax Le critique se sent désarmé et légèrement absurde en face d’un récit comme celui
20 1929, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Souvenirs d’enfance et de jeunesse, par Philippe Godet (avril 1929)
34 e quasi inexistant, mais bien y exciter un esprit critique fort alerte. Jugez-en à la façon dont il parle de « ses quelques succ
21 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. Avant-propos
35 ur réformatrice des idées, m’accuser de faire une critique dangereuse. 3° que néanmoins je crois à l’efficace de certaines utopi
22 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 3. Anatomie du monstre
36 ntre une âme docile, un rassurant défaut d’esprit critique , tandis que Sylvie appartient manifestement à la race dangereuse de c
23 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 5. La machine à fabriquer des électeurs
37 ’idéologie réactionnaire à la mode. Mais que deux critiques de la Démocratie partant de points de vue presque opposés coïncident
24 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 7. L’Instruction publique contre le progrès
38 tits étourdis. Réponse non, c’est un recul. Cette critique du fonctionnarisme, vous alliez le dire, est un ramassis de lieux com
25 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Avant-propos
39 ur réformatrice des idées, m’accuser de faire une critique dangereuse ; 3° que néanmoins je crois à l’efficace de certaines utop
26 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 3. Anatomie du monstre
40 ntre une âme docile, un rassurant défaut d’esprit critique , tandis que Sylvie appartient manifestement à la race dangereuse de c
27 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 5. La machine à fabriquer des électeurs
41 ’idéologie réactionnaire à la mode. Mais que deux critiques de la Démocratie partant de points de vue presque opposés coïncident
28 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 7. L’instruction publique contre le progrès
42 tits étourdis. Réponse non, c’est un recul. Cette critique du fonctionnarisme, vous alliez le dire, est un ramassis de lieux com
29 1930, Articles divers (1924–1930). Au sujet « d’un certain esprit français » (1er mai 1930)
43 ordre d’ambition convient seule l’activité de la critique . Trois ou quatre grands écrivains — Claudel, Gide, Valéry… — suffisen
44 ’à cette génération ne soit échue qu’une œuvre de critique , impitoyable de rigueur et d’enthousiasme. 5. La critique est aisée,
45 impitoyable de rigueur et d’enthousiasme. 5. La critique est aisée, répètent ceux qui en ont peur, ceux-là mêmes, bien sûr, qu
46 encore très mal compris. 6. Il s’agit ici de la critique d’un certain état d’esprit moins facile à formuler qu’à décrire dans
47 manquent également de cette énergie créatrice et critique qui leur permettrait d’envisager ce problème dans toute son ampleur e
30 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Léon Pierre-Quint, Le Comte de Lautréamont et Dieu (septembre 1930)
48 us réellement dangereuse. On sent bien ici que le critique a dominé son sujet. Mais pourquoi se refuse-t-il à tirer de ces remar
31 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Charles Du Bos, Approximations, 4e série (novembre 1930)
49 le livre le plus significatif de son tempérament critique . Le style d’abord : on y retrouve, appliqué aux mots, ce même sens à
50 défaut qui relève de la nature même d’un esprit «  critique  » dans l’exercice de sa probité ? Défaut combien plus précieux que l’
51 érite aujourd’hui l’un des premiers rangs dans la critique européenne, l’ampleur du champ qui lui est naturellement nécessaire s
52 en profondeur. Il la possède. On peut dire de sa critique qu’elle pose le problème de l’homme dans sa totalité, et c’est je cro
53 qu’elle « approche » : on pourrait l’appeler une critique des obstacles. Je veux dire par là que M. Du Bos parvient à recréer c
54 créateur. Car une telle conscience appartient au critique avant tout, et c’est pourquoi il fait de la critique en présence des
55 tique avant tout, et c’est pourquoi il fait de la critique en présence des obstacles qu’il rencontre, là où le créateur, supposa
32 1930, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Pour un humanisme nouveau » [Réponse à une enquête] (1930)
56 e l’apercevoir que dans ses servitudes5. Aussi la critique du matérialisme entreprise par certains philosophes des sciences fait
33 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Sécularisme (mars 1931)
57 s « conversations » ne ressortent nullement de la critique littéraire ; il arrive qu’elles mettent en jeu de gros problèmes à pr
58 scient des problèmes de ce temps, souscrirait aux critiques que M. Nizan fait à l’actuelle civilisation, souffrant comme lui de c
59 re ». Mais alors, se dit-on souvent en lisant les critiques marxistes — et c’est ici le nœud de divergence entre eux et nous — si
34 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Une exposition d’artistes protestants modernes (avril 1931)
60 La curiosité d’abord un peu sceptique de certains critiques , artistes ou écrivains, s’est muée le soir du premier vernissage en u
61 ivante inspiration. Une remarque encore. Certains critiques de cette exposition se sont demandé non sans ironie où était le calvi
35 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Au sujet d’un grand roman : La Princesse Blanche par Maurice Baring (mai 1931)
62 s n’aient lu eux-mêmes le livre. J’espère que les critiques ne le diront pas non plus ; mais je sais que c’est beaucoup leur dema
63 » Eh bien ! non, c’est au contraire décharger ces critiques d’une tâche impossible. Car toute la valeur de l’œuvre de Baring rési
36 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Littérature alpestre (juillet 1931)
64 se lacune de notre histoire littéraire : pour nos critiques , les Alpes n’avaient pas d’histoire. Enfin, voici ce livre, point tro
37 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
65 peine à se juger impartialement, sans exagérer sa critique et sans nulle complaisance. Il n’a pas de terribles remords, il a des
38 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Gide ou le style exquis (à propos de Divers) (octobre 1931)
66 le modestie est, d’ailleurs, signe de force : les critiques auxquels il adressa les lettres reproduites dans ce recueil en savent
67 Les Lettres au cours desquelles Gide répond à ses critiques sont tout à fait significatives à cet égard. L’on est d’abord séduit
39 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le protestantisme jugé (octobre 1931)
68 ibaudet justement : Ceci au moins suffirait à la critique pour maintenir à Gide une place instructive, qu’il est, depuis l’édit
69 ’analogie historico-littéraire qui caractérise la critique de M. Albert Thibaudet, nous ont fait penser qu’il existe bel et bien
70 e épouvanté 27. Il nous manque une étude sur les critiques protestants du xixe siècle. L’on serait surpris de constater à ce su
71 à nos yeux, qui aient été émis en leur temps. La critique la plus moderne les confirme et les répète bien souvent sans les conn
40 1931, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Éléments de la grandeur humaine, par Rudolf Kassner (octobre 1931)
72 n’est plus étranger au nominalisme qui envahit la critique sous l’influence du journal. 2. Ici encore, on ne peut opposer ce co
41 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Romanciers protestants (janvier 1932)
73 i écrivent ? — Mais voyons d’abord les œuvres. La critique à peu près unanime a salué dans Le Scandale la meilleure œuvre de M.
74 rontispice (aux beaux noirs et gris profonds). Un critique fort écouté29, à son propos, fit observer que les romanciers protesta
42 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Goethe, chrétien, païen (avril 1932)
75 stances dans lesquelles Goethe évoluait. Un grand critique allemand, Ernst Robert Curtius, rappelait récemment dans un article q
43 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Querelles de famille, par Georges Duhamel (mai 1932)
76 ns, le dernier livre de M. Duhamel, consacré à la critique des aspects orduriers et bassement mécaniques de la vie moderne, illu
77 la fois trop et trop peu. Car, ou bien M. Duhamel critique l’abus des mécaniques, ce qui revient à faire le vain procès de la bê
78 de la révolte ? On serait en droit d’exiger d’un critique de son temps qu’il déclare ce qu’il attend de l’homme. Après quoi seu
44 1932, Articles divers (1932-1935). Les « petits purs » (15 juin 1932)
79 t la vie même de la Révolution, c’est-à-dire : la critique violente et constructive de toutes les doctrines régnantes, y compris
45 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Penser dangereusement (juin 1932)
80 r quoi se fonderait cette rénovation. M. Maulnier critique un monde qui selon lui tend à la suppression de la personne humaine.
81 tend à la suppression de la personne humaine. Sa critique nous paraît pertinente, mais elle serait plus efficace si on la senta
82 es politiques, et peut-être aussi sa jeunesse. Il critique des erreurs au nom d’une vérité toute statique, au nom de valeurs tou
83 ne de l’égarement, rende efficace et créatrice la critique de tout cela qui agite le cœur des hommes. Ce n’est pas une férule :
84 n que celui du démolisseur. ⁂ M. Paul Nizan, lui, critique moins à coups de marteau qu’à coups d’épingle. Ce qu’il veut dégonfle
85 clair qu’il tombe par là même sous le coup d’une critique semblable à celle que M. Nizan adresse à M. Brunschvicg. L’homme en g
46 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Éloge de l’imprudence, par Marcel Jouhandeau (septembre 1932)
86 en marge de son œuvre romanesque. Un Kierkegaard critique ses mesures morales, en donne la référence : ce Dieu terrible. Et sa
47 1932, Esprit, articles (1932–1962). On oubliera les juges (novembre 1932)
87 t de ce point de vue central et seul efficacement critique que nous devons envisager les perspectives de la vie publique et priv
48 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). À prendre ou à tuer (décembre 1932)
88 sordre établi. Mais nous allons plus loin dans la critique de ce désordre : jusqu’à ce point où le marxisme, révélant sa vraie n
49 1933, Esprit, articles (1932–1962). Protestants (mars 1933)
89 talisme puritain qu’ils veulent combattre ? Cette critique semble pouvoir s’appliquer également au groupement tout récent qui s’
90 de Philip, on ne trouvera guère d’écho à l’effort critique de la « théologie politique » allemande que dans le mince bulletin du
50 1933, Le Semeur, articles (1933–1949). Humanisme et christianisme (mars 1933)
91 is que soit l’un dans le détail de sa dialectique critique , et si généreux que se veuille le second dans ses attaques contre un
51 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Pétrarque, par Charles-Albert Cingria (avril 1933)
92 cents, se verrait décerner le titre de « monument critique  ». Tel qu’il est, un petit chef-d’œuvre d’humanisme poétique. Car l’«
52 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Dialectique des fins dernières (juillet 1933)
93 tres solutions. À ce moment précis, intervient la critique barthienne. Nous disons « la critique » au sens le plus littéral de c
94 tervient la critique barthienne. Nous disons « la critique  » au sens le plus littéral de ce mot : l’accusation qui met en état d
53 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Saint-Évremond ou L’humaniste impur, par Albert-Marie Schmidt (octobre 1933)
95 ie Schmidt nous restitue au cours de son essai de critique exemplaire. m. « Saint-Évremond ou L’humaniste impur, par Albert-Ma
54 1933, Articles divers (1932-1935). Jeune Europe (4 décembre 1933)
96 u faire œuvre d’information d’abord mais aussi de critique constructive, et ils s’expliquent très franchement là-dessus, dans un
97 but suprême. Si nous avons insisté sur la partie critique de cet ouvrage, c’est que les conclusions constructives peuvent sans
98 e qui a besoin, plus que de toute autre chose, de critiques lucides. 6. Un volume chez Plon, éditeur. g. « Jeune Europe », Le
55 1933, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Parole de Dieu et parole humaine, par Karl Barth (30 décembre 1933)
99 la plus inquiétante sans doute, pour notre esprit critique . Il résulte de cette étude un gros livre que trois éditeurs refusent
100 ermet un humour souvent rude ; de cette puissance critique enfin, au sens le plus créateur du terme, et qui met en état de crise
56 1933, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Petites notes sur les vérités éternelles (1932-1933)
101 ts hautement contradictoires des philosophies. La critique postkantienne ayant fait justice de certaines prétentions, survivante
102 et toutes les « formules », en même temps que la critique de ces rites et de ces formules, toutes les idolâtries, que ce soit l
103 olue de la logique, de l’histoire et des méthodes critiques de M. Goguel ? 3. Si notre civilisation chrétienne n’est pas détruite
57 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). L’Humanité de Jésus d’après Calvin, par Max Dominicé (24 mars 1934)
104 le texte sacré nous adresse. Tout au contraire du critique moderne, qui se pose en juge du texte, Calvin n’admet et ne pratique
58 1934, Présence, articles (1932–1946). L’œuvre et la mort d’Arnaud Dandieu (1934)
105 lier ! Son œuvre déconcerte les catégories de la critique  : c’est peut-être qu’elle en institue une nouvelle. Le livre qu’il pu
106 ; et cependant de vous sentir aux antipodes d’une critique universitaire. Ce petit livre a l’aspect d’un chantier, et non point
107 ine spirituelle. Décadence de la nation française critique le nationalisme présent au nom de l’instinct qui relie l’homme à son
108 homme concret que Le Cancer américain apporte une critique du capitalisme. Critique plus constructive que celle de Marx, parce q
109 er américain apporte une critique du capitalisme. Critique plus constructive que celle de Marx, parce qu’elle ne se fonde pas su
59 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Précisions sur la mort du Grand Pan (avril 1934)
110 ’il est plus inconscient, que celui de nos essais critiques . Mais Ramuz, comme ses héros, s’arrête encore au seuil du Nouveau Tes
60 1934, Journal de Genève, articles (1926–1982). Sara Alelia (25 mai 1934)
111 igue, paraît-il. « Achetez français », disent les critiques , à l’instar de l’affiche (dont il faut regretter qu’elle soit elle-mê
61 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Quelques œuvres et une biographie de Kierkegaard (26 mai 1934)
112 itue l’introduction, dans l’étude biographique et critique de Carl Koch6, qui vient combler la plus grave lacune de la littératu
62 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Deux essais de philosophes chrétiens (mai 1934)
113 illeurs esprits. À qui faut-il s’en prendre ? Aux critiques d’abord, et, en particulier, à cette espèce nouvelle de critiques qu’
114 d, et, en particulier, à cette espèce nouvelle de critiques qu’on nomme les « courriéristes littéraires ». Ce n’est un secret pou
115 c’est exactement le contraire qu’on peut voir. Le critique qui dispose d’un feuilleton régulier dans un hebdomadaire ou un quoti
116 madaire ou un quotidien n’est, en réalité, pas un critique , mais un commentateur des goûts de son public. Bien loin d’avoir à cœ
117 non pas au marxisme ni au fascisme, à conduire la critique des hérésies morales que toute la bourgeoisie, et le peuple à sa suit
118 s décrivent assez bien le mouvement général de la critique de Scheler. À l’origine de toutes les valeurs bourgeoises il n’y a pa
119 . Est-il besoin de marquer, pour finir, que cette critique de l’esprit bourgeois englobe également le socialisme humanitaire et
120 eront pas de voir qu’il y a là les éléments d’une critique pénétrante de nos modes de vivre, je dirai plus : quelques-uns des fo
63 1934, Articles divers (1932-1935). Où sont les jeunes protestants ? Remarques sur le protestantisme et les doctrines politiques (juillet-août 1934)
121 et ne tombent nullement sous le coup de la grave critique d’incohérence et de sectarisme qu’il faudrait sans cela leur adresser
122 st un volume entier qu’il faudrait consacrer à la critique des méfaits de ce préjugé, si profondément enraciné dans le sentiment
123 e la France doit permettre l’économie. Le travail critique de l’Ordre nouveau, tel qu’on peut le suivre dans la revue qui paraît
124 ent ses analyses du pouvoir et des valeurs, et sa critique du travail. Cette critique se développe en une doctrine économique, d
125 et des valeurs, et sa critique du travail. Cette critique se développe en une doctrine économique, dont on trouvera la première
126 de commun avec cela qu’ont voulu voir en elle les critiques de droite et de gauche, victimes de la confusion que j’ai dite. « Ce
127 , songeant aux habiletés stériles, idiotes, de la critique bien pensante. Si je me suis un peu étendu sur les principes spiritue
64 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Éditorial (juillet 1934)
128 ffirmations renouvelées du dogme, mais encore les critiques les plus vives des hérésies qui se sont introduites dans la piété de
65 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notice biographique [Kierkegaard] (août 1934)
129 vangélique. Voici le jugement qu’un des meilleurs critiques de ce temps51 a porté sur l’ensemble de ses écrits : Kierkegaard fut
66 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
130 donnée ? La tentation est forte, de passer d’une critique des collectivités mensongères de ce temps à l’utopie d’une communauté
67 1934, Esprit, articles (1932–1962). Préface à une littérature (octobre 1934)
131 s qu’il croit à l’essentiel de ce qu’il dit —, la critique littéraire de cette littérature n’a plus de sens réel, ni plus d’auto
132 u’ils n’annoncent la venue d’un nouvel ordre. Une critique dépourvue de critère indépendant de la littérature est condamnée à ne
133 lle, c’est qu’elle s’est rendue justiciable de la critique des marxistes. « L’art pour l’art » reste sa méthode, et lui tient li
134 ques, à l’établissement des bourgeois. Mais cette critique « de classe » reste encore négative. Elle se condamne aussi à rendre
135 l’absence de jugement. S’il est un genre que nos critiques sont unanimes à condamner sans nul recours, c’est celui du roman à th
68 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Plans de réforme (octobre 1934)
136 » Il y aurait bien des choses à compléter dans la critique du marxisme par Déat, qui d’ailleurs reste négative. Quant à nous, no
137 ve sont autant de caricatures ou de trahisons. La critique plus générale qu’il nous faut faire de ce plan est la suivante : c’es
138 Qu’allons-nous retenir de tous ces plans dont la critique est, hélas ! trop aisée ? Deux constatations optimistes : 1° La crise
69 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Au sujet d’un roman : Sara Alelia (3 novembre 1934)
139 grand livre. Le silence à peu près général de la critique à propos d’une telle œuvre donnerait lieu à des conclusions amères. A
140 ait lieu à des conclusions amères. Amères pour la critique surtout, je crois. Car Sara Alelia trouvera son public ; c’est un liv
70 1934, Le Semeur, articles (1933–1949). Sur la méthode de M. Goguel (novembre 1934)
141 et fait de son auteur le maître incontesté de nos critiques du Nouveau Testament. C’est l’œuvre d’un savant spécialisé, au premie
142 ecteur se sent autorisé à la plus grande exigence critique . À vrai dire, M. Goguel ne paraît pas s’être beaucoup préoccupé de ju
143 aisé de la définir. Elle recourt avant tout à la critique interne des textes, mais aussi, nous venons de le voir, à des données
144 prix aux quelques faits qui résistent à l’érosion critique , et qui permettent alors de réfuter M. Couchoud. Dirons-nous que cett
145 du point de vue de la foi vivante, les postulats critiques de l’auteur n’ont aucune force de contrainte. C’est l’Écriture et le
146 historiens modernes qui ont voulu déduire de leur critique la relativité des articles de foi, M. Goguel cherche à débarrasser la
147 ît être, en fin de compte, la justification de la critique historique. C’est dire qu’elle triomphe en général au terme des basse
148  1, novembre 1934, p. 29-35. Il s’agit d’une note critique de La Foi à la résurrection de Jésus dans le christianisme primitif,
71 1934, Esprit, articles (1932–1962). André Breton, Point du jour (décembre 1934)
149 bénéficié pendant plusieurs années, auprès de la critique bourgeoise, d’une attention d’autant plus sympathique qu’il criait fo
72 1934, Politique de la personne. Introduction — Le vrai pouvoir des intellectuels et son usage
150 s intellectuels est, aujourd’hui, de conduire une critique des mythes collectivistes nés de la maladie de la personne. Puis il s
73 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Précédence ou primauté de l’économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé)
151 aire un système. Un système tout d’abord purement critique — et légitime en raison même du grand nombre de faits dont l’argument
152 qui se croyait idéaliste. Puis il systématisa sa critique , c’est-à-dire qu’il réduisit systématiquement toute activité humaine
153 un rôle utile et même indispensable. Mais ce rôle critique , une fois accompli, le déterminisme s’est révélé incapable de souteni
154 ent les primaires, et qui d’autre part rend toute critique malaisée. On ne sait jamais très bien, en présence d’une de ces thèse
155 nsition, il est trop facile de rejeter toutes les critiques de fait adressées au plan quinquennal en montrant qu’elles n’atteigne
156 sonnalisé, et mortellement monotone. À toutes ces critiques , les marxistes ont répondu pendant longtemps à peu près ceci : « Vous
157 simpliste, valable tout au plus contre certaines critiques bourgeoises, ne suffit plus maintenant, et ceci à cause de deux faits
158 ’explique : Le fascisme a repris à son compte la critique du spirituel bourgeois. Il a su utiliser le rappel à la réalité écono
159 aient les droits de la matière. Maintenant que la critique marxiste s’est vulgarisée et que l’on commence à comprendre : 1° que
160 s plus vilipendés par le marxisme dans sa période critique virulente. Nous préférons encore le matérialisme le plus plat et le p
74 1934, Politique de la personne. Idoles — Humanisme et christianisme
161 is que soit l’un dans le détail de sa dialectique critique , et si généreux que se veuille le second dans ses attaques contre un
75 1934, Politique de la personne. Idoles — Antimarxiste parce que chrétien
162 méfier du communisme. Je ne reprendrai pas ici la critique du capitalisme. Mais je voudrais être assuré que si parmi vous quelqu
163 rt importante de vérité, surtout dans leur aspect critique , qui me paraît désormais acquis. Mais le communisme est bien plus que
164 t décelées dans nos beaux sentiments, toute cette critique reste valable quand on se limite au plan humaniste, au plan psycholog
76 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
165 sordre établi. Mais nous allons plus loin dans la critique de ce désordre : jusqu’à ce point où le marxisme, révélant sa vraie n
77 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Communauté révolutionnaire
166 Ordre nouveau, et l’allusion concerne les travaux critiques du groupe tout entier. 62. Sans aucun pouvoir contre le capitalisme
78 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Tactique personnaliste
167 e monde de leurs moyens et de leurs idéaux, cette critique qu’ils nous font est naïve. Quand on travaille dans le médiocre, on a
79 1934, Politique de la personne. Appendice — Groupements personnalistes
168 st un volume entier qu’il faudrait consacrer à la critique des méfaits de ce préjugé, si profondément enraciné dans le sentiment
169 e la France doit permettre l’économie. Le travail critique de L’Ordre nouveau , tel qu’on peut le suivre dans la revue qui para
170 ent une analyse du pouvoir et des valeurs, et une critique du travail. Cette critique se développe en une doctrine économique, d
171 et des valeurs, et une critique du travail. Cette critique se développe en une doctrine économique, dont on trouvera la première
172 de commun avec cela qu’ont voulu voir en elle les critiques de droite et de gauche, victimes de la confusion que j’ai dite. « Ce
173 gaucheries, songeant aux habiletés stériles de la critique bien pensante… Il faut citer enfin la Troisième Force, mouvement d’ac
80 1934, Politique de la personne. Appendice — Ni droite ni gauche
174 . « Ni droite ni gauche » est d’abord une formule critique . Elle signifie la condamnation des partis, plus encore : du parti, en
81 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — Le vrai pouvoir des intellectuels et son usage
175 s intellectuels est, aujourd’hui, de conduire une critique des mythes collectivistes nés de la maladie de la personne. Puis il s
82 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Précédence ou primauté de l’économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé)
176 aire un système. Un système tout d’abord purement critique — et légitime en raison même du grand nombre de faits dont l’argument
177 qui se croyait idéaliste. Puis il systématisa sa critique , c’est-à-dire qu’il réduisit systématiquement toute activité humaine
178 un rôle utile et même indispensable. Mais ce rôle critique , une fois accompli, le déterminisme s’est révélé incapable de souteni
179 t les primaires, et qui, d’autre part, rend toute critique malaisée. On ne sait jamais très bien, en présence d’une de ces thèse
180 nsition, il est trop facile de rejeter toutes les critiques de fait adressées au plan quinquennal en montrant qu’elles n’atteigne
181 sonnalisé, et mortellement monotone. À toutes ces critiques , les marxistes ont répondu pendant longtemps à peu près ceci : « Vous
182 simpliste, valable tout au plus contre certaines critiques bourgeoises, ne suffit plus maintenant, et ceci à cause de deux faits
183 m’explique : Le fascisme a repris à son compte la critique du spirituel bourgeois. Il a su utiliser le rappel à la réalité écono
184 aient les droits de la matière. Maintenant que la critique marxiste s’est vulgarisée et que l’on commence à comprendre : 1° que
185 s plus vilipendés par le marxisme dans sa période critique virulente. Nous préférons encore le matérialisme le plus plat et le p
83 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Humanisme et christianisme
186 is que soit l’un dans le détail de sa dialectique critique , et si généreux que se veuille le second dans ses attaques contre un
84 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Antimarxiste parce que chrétien
187 méfier du communisme. Je ne reprendrai pas ici la critique du capitalisme. Mais je voudrais être assuré que si parmi vous quelqu
188 rt importante de vérité, surtout dans leur aspect critique , qui me paraît désormais acquis. Mais le communisme est bien plus que
189 t décelées dans nos beaux sentiments, toute cette critique reste valable quand on se limite au plan humaniste, au plan psycholog
85 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
190 sordre établi. Mais nous allons plus loin dans la critique de ce désordre : jusqu’à ce point où le marxisme, révélant sa vraie n
86 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Communauté révolutionnaire
191 Ordre nouveau et l’allusion concerne les travaux critiques du groupe tout entier. 54. Sans aucun pouvoir contre le capitalisme
87 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Tactique personnaliste
192 e monde de leurs moyens et de leurs idéaux, cette critique qu’ils nous font est naïve. Quand on travaille dans le médiocre, on a
88 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Groupements personnalistes
193 st un volume entier qu’il faudrait consacrer à la critique des méfaits de ce préjugé, si profondément enraciné dans le sentiment
194 ait une analyse du pouvoir et des valeurs, et une critique du travail. Cette critique se développa en une doctrine économique, d
195 et des valeurs, et une critique du travail. Cette critique se développa en une doctrine économique, dont on peut trouver la prem
196 de commun avec cela qu’ont voulu voir en elle les critiques de droite et de gauche, victimes de la confusion que j’ai dite. « Ce
89 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Qu’est-ce que la politique ?
197 me, son intelligence, son honneur et ses facultés critiques . À la question qui résulte de ce malaise : « faut-il ou non faire de
90 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Trop d’irresponsables s’engagent ! (Responsabilité des intellectuels)
198 81. En 1938, déjà… 82. Baudelaire voulait que la critique des poètes — qu’il opposait à celle des philosophes libéraux — fût pa
91 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Un exemple de tactique révolutionnaire chez Lénine (janvier 1935)
199 ire ?) D’où nous pouvons déduire deux conclusions critiques  : 1° Lénine a triomphé en vertu d’une tactique qui n’avait rien de « 
92 1935, Esprit, articles (1932–1962). Albert Soulillou, Nitro (février 1935)
200 me du mauvais Zola), l’intérêt humain faiblit, la critique littéraire reprend ses droits et proteste une fois de plus contre les
93 1935, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notes en marge de Nietzsche (mars 1935)
201 pé de soi-même ! Quelle que soit la justesse des critiques de Nietzsche — et jusque dans leur injustice, car il y a une manière
202 iquer cette espèce de déception que me procure la critique nietzschéenne, je trouve ceci : Nietzsche parle sans autorité. Il a t
203 e mal que je hais. » C’est pourquoi, lorsque Paul critique la vie des chrétiens de son temps, il parle avec autorité, tandis que
204 son temps, il parle avec autorité, tandis que les critiques de Nietzsche feront toujours l’effet de criailleries. L’intensité de
94 1935, Articles divers (1932-1935). Mystère de la Vision (fragments d’un Traité de la vision physionomique du monde) (mars 1935)
205 par ailleurs. Je me bornerai donc à renvoyer à la critique décisive de la doctrine de l’analogia entis que Karl Barth poursuit à
95 1935, Articles divers (1932-1935). Les autres et nous : I — Esprit (avril 1935)
206 e polémique, de réponses à ses contradicteurs, de critique littéraire ou d’analyses des « actualités ». Non que cela nous parais
96 1935, Esprit, articles (1932–1962). Roger Breuil, Les Uns les Autres (avril 1935)
207 uil, Les Uns les Autres (avril 1935)m L’un des critiques qui aient parlé le mieux, je crois, avec le plus de sympathie et de p
97 1935, Présence, articles (1932–1946). Contre Nietzsche (avril-mai 1935)
208 n aide à son voisin par son action, par sa pensée critique ou créatrice, et cela pour des motifs d’ordre uniquement humain, on d
209 ain, à concrétiser sa pensée, à la soumettre à la critique souveraine et parfaitement pénétrante de l’amour. Il ne parvient à re
98 1935, Esprit, articles (1932–1962). Kasimir Edschmid, Destin allemand (mai 1935)
210 e la négligence et la frivolité désastreuse de la critique littéraire d’aujourd’hui. Voici un roman qui pose les questions les p
211 e rétablir un peu l’échelle de nos jugements ? La critique se tait sur Edschmid, l’Académie refuse Claudel. État de l’élite fran
212 rets de notre destin à tous ? L’ostracisme de nos critiques est d’ailleurs d’autant plus absurde que ce livre — écrit par un juif
99 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Les trois temps de la Parole (mai 1935)
213 ature humaine irrépressible, dès que la vigilance critique d’une sobre théologie se relâche. ⁂ Nous ne sortirons jamais une fois
214 problème, et à formuler, si possible, le principe critique qui nous rappellera constamment la vraie nature, le caractère absolu
215 ur but de les poser, de nous donner un instrument critique qui nous renvoie sans cesse à la réalité, qui nous inquiète, et qui c
216 alité humaine. L’important, c’est qu’une instance critique impitoyable domine sans cesse ces tentatives inévitables, et déclare
217 instant où Christ se révèle. C’est sous ce signe critique radical que nous plaçons les essais qui suivent. Nous avons voulu con
100 1935, Le Semeur, articles (1933–1949). La cité (avril-mai 1935)
218 ou tout au moins à m’approcher avec une prudence critique extrême, de ce que l’on nomme l’idéal socialiste ? Beaucoup de braves
219 s camarades. Pensant à eux, je résumerai toute ma critique dans une seule phrase : un tel compromis n’est possible, comme un dou
220 s. Mais je crois qu’un chrétien peut adresser une critique encore plus grave à tout parti. L’idée même de parti paraît absolumen
221 s époques de transition des bases culturelles, la critique qui ne jaillit pas de la métaphysique et d’une véritable compréhensio