1
ent, mais d’une telle manière que des conclusions
critiques
s’en dégagent avec évidence. Van Gogh fut une proie du génie. L’homme
2
onde par l’Europe intellectuelle. Grand siècle de
critique
pour lequel nos contemporains accumulent les documents. La littératur
3
notation suggestive, telles sont les vertus de sa
critique
. Ce n’est que dans sa discrétion à louer une grande œuvre qu’on trouv
4
peine à l’annexer à son propre corps de doctrines
critiques
. Dirai-je pourtant que je crains qu’il n’ait été incité parfois, et p
5
ment, tout ce qui semble viable et humain dans la
critique
moderne du romantisme, Vinet l’avait trouvé. Mais sa position puremen
6
san va très loin dans ses concessions à de telles
critiques
. Mais c’est pour affirmer avec d’autant plus de force que « en situan
7
re leur déséquilibre. Il serait temps de faire la
critique
des méthodes et des façons de vivre autant que de penser qui les ont
8
e paraît le meilleur de son œuvre : ses récits de
critique
et d’esthétique (Le Coq et l’Arlequin, la Noce massacrée, le Secret p
9
s, d’ailleurs, que l’attitude presque constamment
critique
de M. de Traz diminue l’intérêt vivant de son livre : cette impartial
10
ine chez les jeunes écrivains d’aujourd’hui. La «
critique
philosophique » qu’il voudrait inaugurer « ne se contenterait pas d’é
11
lui faire acquérir droit de cité. Voici enfin un
critique
qui sait tirer une leçon constructive des expériences entreprises par
12
te couronne une série d’expériences négatives. La
critique
de ces expériences négatives est contenue surtout dans ses essais sur
13
intermittences du cœur » dont Fernandez donne une
critique
décisive. Et c’est justement par opposition à la conception proustien
14
et le plus impur qui soit. On n’a pas ménagé les
critiques
à cette œuvre. Cela tient surtout à sa forme : il est parfois agaçant
15
e inhérent, dans une certaine mesure, au genre de
critique
pratiqué par Fernandez. Périlleuse situation que la sienne, en effet,
16
le Chinois s’étonne non sans quelque aigreur, et
critique
avec un mépris tranquille ; le Français riposte sans conviction, et s
17
intelligence européenne libre peut souscrire aux
critiques
du Chinois et sympathiser avec son idéal de culture. Il n’y a pas là
18
se sont mis à gesticuler « gratuitement ». Et les
critiques
d’abord de s’indigner. Aujourd’hui, on les voit assez enchantés de l’
19
re moi et vous, c’est la guerre. » Voilà pour les
critiques
, « punaises glabres et poux barbus », qui perdraient leur temps à rec
20
orains, et qu’il vient appuyer de son autorité de
critique
et surtout de son expérience déjà riche de romancier. Son regard se p
21
t le fait d’un art à sa maturité. Mais ce sont là
critiques
de style. D’ores et déjà, il faut admirer dans les films de René Clai
22
ité miraculeuse des statues7. » Il s’agit bien de
critique
littéraire ! Nous sommes ici en présence d’une des tentatives de libé
23
arches de sa pensée, ses délires, ses visions. Un
critique
qui n’épouse pas le rythme d’une œuvre, mais s’avance à sa rencontre
24
er… d’ailleurs une ancienne connaissance… le Sens
Critique
. Moi (gêné)… Rougemont. Le Sens Critique. — Il y a un certain temps
25
e Sens Critique. Moi (gêné)… Rougemont. Le Sens
Critique
. — Il y a un certain temps déjà que nous ne nous sommes revus. Mais j
26
. Comprenez-moi : submergés, absolument… Le Sens
Critique
. — Justement j’aurais en quelque manière la prétention… Moi. — Que v
27
rès bien fait. Excellente méthode ! (Sort le Sens
Critique
, un peu bousculé.) Moi. — Vous disiez, ma vie ? La Muse (mais oui,
28
ncore s’ils ont tort, envers et contre toutes les
critiques
qu’on pourrait leur adresser, parce que ces « maudits » ont la grâce,
29
couvertes, de snobs, de marchands de tableaux, de
critiques
d’avant-garde, ce monde où tous les extrémismes sont prônés comme ver
30
d’enfance géniaux et prophétiques, ni opinions de
critiques
autorisés. Du benjamin, Eugène Bouvier, qui a 25 ans, jusqu’à André E
31
ne m’accuse donc pas de caricaturer l’objet de ma
critique
pour faciliter l’accusation : je prends pour la juger ce que l’époque
32
ne le croient. Certes il était urgent de faire la
critique
de « cette réalité de premier plan qui nous empêche de bouger », comm
33
et moi et Je suis un homme (janvier 1929)ax Le
critique
se sent désarmé et légèrement absurde en face d’un récit comme celui
34
e quasi inexistant, mais bien y exciter un esprit
critique
fort alerte. Jugez-en à la façon dont il parle de « ses quelques succ
35
ur réformatrice des idées, m’accuser de faire une
critique
dangereuse. 3° que néanmoins je crois à l’efficace de certaines utopi
36
ntre une âme docile, un rassurant défaut d’esprit
critique
, tandis que Sylvie appartient manifestement à la race dangereuse de c
37
’idéologie réactionnaire à la mode. Mais que deux
critiques
de la Démocratie partant de points de vue presque opposés coïncident
38
tits étourdis. Réponse non, c’est un recul. Cette
critique
du fonctionnarisme, vous alliez le dire, est un ramassis de lieux com
39
ur réformatrice des idées, m’accuser de faire une
critique
dangereuse ; 3° que néanmoins je crois à l’efficace de certaines utop
40
ntre une âme docile, un rassurant défaut d’esprit
critique
, tandis que Sylvie appartient manifestement à la race dangereuse de c
41
’idéologie réactionnaire à la mode. Mais que deux
critiques
de la Démocratie partant de points de vue presque opposés coïncident
42
tits étourdis. Réponse non, c’est un recul. Cette
critique
du fonctionnarisme, vous alliez le dire, est un ramassis de lieux com
43
ordre d’ambition convient seule l’activité de la
critique
. Trois ou quatre grands écrivains — Claudel, Gide, Valéry… — suffisen
44
’à cette génération ne soit échue qu’une œuvre de
critique
, impitoyable de rigueur et d’enthousiasme. 5. La critique est aisée,
45
impitoyable de rigueur et d’enthousiasme. 5. La
critique
est aisée, répètent ceux qui en ont peur, ceux-là mêmes, bien sûr, qu
46
encore très mal compris. 6. Il s’agit ici de la
critique
d’un certain état d’esprit moins facile à formuler qu’à décrire dans
47
manquent également de cette énergie créatrice et
critique
qui leur permettrait d’envisager ce problème dans toute son ampleur e
48
us réellement dangereuse. On sent bien ici que le
critique
a dominé son sujet. Mais pourquoi se refuse-t-il à tirer de ces remar
49
le livre le plus significatif de son tempérament
critique
. Le style d’abord : on y retrouve, appliqué aux mots, ce même sens à
50
défaut qui relève de la nature même d’un esprit «
critique
» dans l’exercice de sa probité ? Défaut combien plus précieux que l’
51
érite aujourd’hui l’un des premiers rangs dans la
critique
européenne, l’ampleur du champ qui lui est naturellement nécessaire s
52
en profondeur. Il la possède. On peut dire de sa
critique
qu’elle pose le problème de l’homme dans sa totalité, et c’est je cro
53
qu’elle « approche » : on pourrait l’appeler une
critique
des obstacles. Je veux dire par là que M. Du Bos parvient à recréer c
54
créateur. Car une telle conscience appartient au
critique
avant tout, et c’est pourquoi il fait de la critique en présence des
55
tique avant tout, et c’est pourquoi il fait de la
critique
en présence des obstacles qu’il rencontre, là où le créateur, supposa
56
e l’apercevoir que dans ses servitudes5. Aussi la
critique
du matérialisme entreprise par certains philosophes des sciences fait
57
s « conversations » ne ressortent nullement de la
critique
littéraire ; il arrive qu’elles mettent en jeu de gros problèmes à pr
58
scient des problèmes de ce temps, souscrirait aux
critiques
que M. Nizan fait à l’actuelle civilisation, souffrant comme lui de c
59
re ». Mais alors, se dit-on souvent en lisant les
critiques
marxistes — et c’est ici le nœud de divergence entre eux et nous — si
60
La curiosité d’abord un peu sceptique de certains
critiques
, artistes ou écrivains, s’est muée le soir du premier vernissage en u
61
ivante inspiration. Une remarque encore. Certains
critiques
de cette exposition se sont demandé non sans ironie où était le calvi
62
s n’aient lu eux-mêmes le livre. J’espère que les
critiques
ne le diront pas non plus ; mais je sais que c’est beaucoup leur dema
63
» Eh bien ! non, c’est au contraire décharger ces
critiques
d’une tâche impossible. Car toute la valeur de l’œuvre de Baring rési
64
se lacune de notre histoire littéraire : pour nos
critiques
, les Alpes n’avaient pas d’histoire. Enfin, voici ce livre, point tro
65
peine à se juger impartialement, sans exagérer sa
critique
et sans nulle complaisance. Il n’a pas de terribles remords, il a des
66
le modestie est, d’ailleurs, signe de force : les
critiques
auxquels il adressa les lettres reproduites dans ce recueil en savent
67
Les Lettres au cours desquelles Gide répond à ses
critiques
sont tout à fait significatives à cet égard. L’on est d’abord séduit
68
ibaudet justement : Ceci au moins suffirait à la
critique
pour maintenir à Gide une place instructive, qu’il est, depuis l’édit
69
’analogie historico-littéraire qui caractérise la
critique
de M. Albert Thibaudet, nous ont fait penser qu’il existe bel et bien
70
e épouvanté 27. Il nous manque une étude sur les
critiques
protestants du xixe siècle. L’on serait surpris de constater à ce su
71
à nos yeux, qui aient été émis en leur temps. La
critique
la plus moderne les confirme et les répète bien souvent sans les conn
72
n’est plus étranger au nominalisme qui envahit la
critique
sous l’influence du journal. 2. Ici encore, on ne peut opposer ce co
73
i écrivent ? — Mais voyons d’abord les œuvres. La
critique
à peu près unanime a salué dans Le Scandale la meilleure œuvre de M.
74
rontispice (aux beaux noirs et gris profonds). Un
critique
fort écouté29, à son propos, fit observer que les romanciers protesta
75
stances dans lesquelles Goethe évoluait. Un grand
critique
allemand, Ernst Robert Curtius, rappelait récemment dans un article q
76
ns, le dernier livre de M. Duhamel, consacré à la
critique
des aspects orduriers et bassement mécaniques de la vie moderne, illu
77
la fois trop et trop peu. Car, ou bien M. Duhamel
critique
l’abus des mécaniques, ce qui revient à faire le vain procès de la bê
78
de la révolte ? On serait en droit d’exiger d’un
critique
de son temps qu’il déclare ce qu’il attend de l’homme. Après quoi seu
79
t la vie même de la Révolution, c’est-à-dire : la
critique
violente et constructive de toutes les doctrines régnantes, y compris
80
r quoi se fonderait cette rénovation. M. Maulnier
critique
un monde qui selon lui tend à la suppression de la personne humaine.
81
tend à la suppression de la personne humaine. Sa
critique
nous paraît pertinente, mais elle serait plus efficace si on la senta
82
es politiques, et peut-être aussi sa jeunesse. Il
critique
des erreurs au nom d’une vérité toute statique, au nom de valeurs tou
83
ne de l’égarement, rende efficace et créatrice la
critique
de tout cela qui agite le cœur des hommes. Ce n’est pas une férule :
84
n que celui du démolisseur. ⁂ M. Paul Nizan, lui,
critique
moins à coups de marteau qu’à coups d’épingle. Ce qu’il veut dégonfle
85
clair qu’il tombe par là même sous le coup d’une
critique
semblable à celle que M. Nizan adresse à M. Brunschvicg. L’homme en g
86
en marge de son œuvre romanesque. Un Kierkegaard
critique
ses mesures morales, en donne la référence : ce Dieu terrible. Et sa
87
t de ce point de vue central et seul efficacement
critique
que nous devons envisager les perspectives de la vie publique et priv
88
sordre établi. Mais nous allons plus loin dans la
critique
de ce désordre : jusqu’à ce point où le marxisme, révélant sa vraie n
89
talisme puritain qu’ils veulent combattre ? Cette
critique
semble pouvoir s’appliquer également au groupement tout récent qui s’
90
de Philip, on ne trouvera guère d’écho à l’effort
critique
de la « théologie politique » allemande que dans le mince bulletin du
91
is que soit l’un dans le détail de sa dialectique
critique
, et si généreux que se veuille le second dans ses attaques contre un
92
cents, se verrait décerner le titre de « monument
critique
». Tel qu’il est, un petit chef-d’œuvre d’humanisme poétique. Car l’«
93
tres solutions. À ce moment précis, intervient la
critique
barthienne. Nous disons « la critique » au sens le plus littéral de c
94
tervient la critique barthienne. Nous disons « la
critique
» au sens le plus littéral de ce mot : l’accusation qui met en état d
95
ie Schmidt nous restitue au cours de son essai de
critique
exemplaire. m. « Saint-Évremond ou L’humaniste impur, par Albert-Ma
96
u faire œuvre d’information d’abord mais aussi de
critique
constructive, et ils s’expliquent très franchement là-dessus, dans un
97
but suprême. Si nous avons insisté sur la partie
critique
de cet ouvrage, c’est que les conclusions constructives peuvent sans
98
e qui a besoin, plus que de toute autre chose, de
critiques
lucides. 6. Un volume chez Plon, éditeur. g. « Jeune Europe », Le
99
la plus inquiétante sans doute, pour notre esprit
critique
. Il résulte de cette étude un gros livre que trois éditeurs refusent
100
ermet un humour souvent rude ; de cette puissance
critique
enfin, au sens le plus créateur du terme, et qui met en état de crise
101
ts hautement contradictoires des philosophies. La
critique
postkantienne ayant fait justice de certaines prétentions, survivante
102
et toutes les « formules », en même temps que la
critique
de ces rites et de ces formules, toutes les idolâtries, que ce soit l
103
olue de la logique, de l’histoire et des méthodes
critiques
de M. Goguel ? 3. Si notre civilisation chrétienne n’est pas détruite
104
le texte sacré nous adresse. Tout au contraire du
critique
moderne, qui se pose en juge du texte, Calvin n’admet et ne pratique
105
lier ! Son œuvre déconcerte les catégories de la
critique
: c’est peut-être qu’elle en institue une nouvelle. Le livre qu’il pu
106
; et cependant de vous sentir aux antipodes d’une
critique
universitaire. Ce petit livre a l’aspect d’un chantier, et non point
107
ine spirituelle. Décadence de la nation française
critique
le nationalisme présent au nom de l’instinct qui relie l’homme à son
108
homme concret que Le Cancer américain apporte une
critique
du capitalisme. Critique plus constructive que celle de Marx, parce q
109
er américain apporte une critique du capitalisme.
Critique
plus constructive que celle de Marx, parce qu’elle ne se fonde pas su
110
’il est plus inconscient, que celui de nos essais
critiques
. Mais Ramuz, comme ses héros, s’arrête encore au seuil du Nouveau Tes
111
igue, paraît-il. « Achetez français », disent les
critiques
, à l’instar de l’affiche (dont il faut regretter qu’elle soit elle-mê
112
itue l’introduction, dans l’étude biographique et
critique
de Carl Koch6, qui vient combler la plus grave lacune de la littératu
113
illeurs esprits. À qui faut-il s’en prendre ? Aux
critiques
d’abord, et, en particulier, à cette espèce nouvelle de critiques qu’
114
d, et, en particulier, à cette espèce nouvelle de
critiques
qu’on nomme les « courriéristes littéraires ». Ce n’est un secret pou
115
c’est exactement le contraire qu’on peut voir. Le
critique
qui dispose d’un feuilleton régulier dans un hebdomadaire ou un quoti
116
madaire ou un quotidien n’est, en réalité, pas un
critique
, mais un commentateur des goûts de son public. Bien loin d’avoir à cœ
117
non pas au marxisme ni au fascisme, à conduire la
critique
des hérésies morales que toute la bourgeoisie, et le peuple à sa suit
118
s décrivent assez bien le mouvement général de la
critique
de Scheler. À l’origine de toutes les valeurs bourgeoises il n’y a pa
119
. Est-il besoin de marquer, pour finir, que cette
critique
de l’esprit bourgeois englobe également le socialisme humanitaire et
120
eront pas de voir qu’il y a là les éléments d’une
critique
pénétrante de nos modes de vivre, je dirai plus : quelques-uns des fo
121
et ne tombent nullement sous le coup de la grave
critique
d’incohérence et de sectarisme qu’il faudrait sans cela leur adresser
122
st un volume entier qu’il faudrait consacrer à la
critique
des méfaits de ce préjugé, si profondément enraciné dans le sentiment
123
e la France doit permettre l’économie. Le travail
critique
de l’Ordre nouveau, tel qu’on peut le suivre dans la revue qui paraît
124
ent ses analyses du pouvoir et des valeurs, et sa
critique
du travail. Cette critique se développe en une doctrine économique, d
125
et des valeurs, et sa critique du travail. Cette
critique
se développe en une doctrine économique, dont on trouvera la première
126
de commun avec cela qu’ont voulu voir en elle les
critiques
de droite et de gauche, victimes de la confusion que j’ai dite. « Ce
127
, songeant aux habiletés stériles, idiotes, de la
critique
bien pensante. Si je me suis un peu étendu sur les principes spiritue
128
ffirmations renouvelées du dogme, mais encore les
critiques
les plus vives des hérésies qui se sont introduites dans la piété de
129
vangélique. Voici le jugement qu’un des meilleurs
critiques
de ce temps51 a porté sur l’ensemble de ses écrits : Kierkegaard fut
130
donnée ? La tentation est forte, de passer d’une
critique
des collectivités mensongères de ce temps à l’utopie d’une communauté
131
s qu’il croit à l’essentiel de ce qu’il dit —, la
critique
littéraire de cette littérature n’a plus de sens réel, ni plus d’auto
132
u’ils n’annoncent la venue d’un nouvel ordre. Une
critique
dépourvue de critère indépendant de la littérature est condamnée à ne
133
lle, c’est qu’elle s’est rendue justiciable de la
critique
des marxistes. « L’art pour l’art » reste sa méthode, et lui tient li
134
ques, à l’établissement des bourgeois. Mais cette
critique
« de classe » reste encore négative. Elle se condamne aussi à rendre
135
l’absence de jugement. S’il est un genre que nos
critiques
sont unanimes à condamner sans nul recours, c’est celui du roman à th
136
» Il y aurait bien des choses à compléter dans la
critique
du marxisme par Déat, qui d’ailleurs reste négative. Quant à nous, no
137
ve sont autant de caricatures ou de trahisons. La
critique
plus générale qu’il nous faut faire de ce plan est la suivante : c’es
138
Qu’allons-nous retenir de tous ces plans dont la
critique
est, hélas ! trop aisée ? Deux constatations optimistes : 1° La crise
139
grand livre. Le silence à peu près général de la
critique
à propos d’une telle œuvre donnerait lieu à des conclusions amères. A
140
ait lieu à des conclusions amères. Amères pour la
critique
surtout, je crois. Car Sara Alelia trouvera son public ; c’est un liv
141
et fait de son auteur le maître incontesté de nos
critiques
du Nouveau Testament. C’est l’œuvre d’un savant spécialisé, au premie
142
ecteur se sent autorisé à la plus grande exigence
critique
. À vrai dire, M. Goguel ne paraît pas s’être beaucoup préoccupé de ju
143
aisé de la définir. Elle recourt avant tout à la
critique
interne des textes, mais aussi, nous venons de le voir, à des données
144
prix aux quelques faits qui résistent à l’érosion
critique
, et qui permettent alors de réfuter M. Couchoud. Dirons-nous que cett
145
du point de vue de la foi vivante, les postulats
critiques
de l’auteur n’ont aucune force de contrainte. C’est l’Écriture et le
146
historiens modernes qui ont voulu déduire de leur
critique
la relativité des articles de foi, M. Goguel cherche à débarrasser la
147
ît être, en fin de compte, la justification de la
critique
historique. C’est dire qu’elle triomphe en général au terme des basse
148
1, novembre 1934, p. 29-35. Il s’agit d’une note
critique
de La Foi à la résurrection de Jésus dans le christianisme primitif,
149
bénéficié pendant plusieurs années, auprès de la
critique
bourgeoise, d’une attention d’autant plus sympathique qu’il criait fo
150
s intellectuels est, aujourd’hui, de conduire une
critique
des mythes collectivistes nés de la maladie de la personne. Puis il s
151
aire un système. Un système tout d’abord purement
critique
— et légitime en raison même du grand nombre de faits dont l’argument
152
qui se croyait idéaliste. Puis il systématisa sa
critique
, c’est-à-dire qu’il réduisit systématiquement toute activité humaine
153
un rôle utile et même indispensable. Mais ce rôle
critique
, une fois accompli, le déterminisme s’est révélé incapable de souteni
154
ent les primaires, et qui d’autre part rend toute
critique
malaisée. On ne sait jamais très bien, en présence d’une de ces thèse
155
nsition, il est trop facile de rejeter toutes les
critiques
de fait adressées au plan quinquennal en montrant qu’elles n’atteigne
156
sonnalisé, et mortellement monotone. À toutes ces
critiques
, les marxistes ont répondu pendant longtemps à peu près ceci : « Vous
157
simpliste, valable tout au plus contre certaines
critiques
bourgeoises, ne suffit plus maintenant, et ceci à cause de deux faits
158
’explique : Le fascisme a repris à son compte la
critique
du spirituel bourgeois. Il a su utiliser le rappel à la réalité écono
159
aient les droits de la matière. Maintenant que la
critique
marxiste s’est vulgarisée et que l’on commence à comprendre : 1° que
160
s plus vilipendés par le marxisme dans sa période
critique
virulente. Nous préférons encore le matérialisme le plus plat et le p
161
is que soit l’un dans le détail de sa dialectique
critique
, et si généreux que se veuille le second dans ses attaques contre un
162
méfier du communisme. Je ne reprendrai pas ici la
critique
du capitalisme. Mais je voudrais être assuré que si parmi vous quelqu
163
rt importante de vérité, surtout dans leur aspect
critique
, qui me paraît désormais acquis. Mais le communisme est bien plus que
164
t décelées dans nos beaux sentiments, toute cette
critique
reste valable quand on se limite au plan humaniste, au plan psycholog
165
sordre établi. Mais nous allons plus loin dans la
critique
de ce désordre : jusqu’à ce point où le marxisme, révélant sa vraie n
166
Ordre nouveau, et l’allusion concerne les travaux
critiques
du groupe tout entier. 62. Sans aucun pouvoir contre le capitalisme
167
e monde de leurs moyens et de leurs idéaux, cette
critique
qu’ils nous font est naïve. Quand on travaille dans le médiocre, on a
168
st un volume entier qu’il faudrait consacrer à la
critique
des méfaits de ce préjugé, si profondément enraciné dans le sentiment
169
e la France doit permettre l’économie. Le travail
critique
de L’Ordre nouveau , tel qu’on peut le suivre dans la revue qui para
170
ent une analyse du pouvoir et des valeurs, et une
critique
du travail. Cette critique se développe en une doctrine économique, d
171
et des valeurs, et une critique du travail. Cette
critique
se développe en une doctrine économique, dont on trouvera la première
172
de commun avec cela qu’ont voulu voir en elle les
critiques
de droite et de gauche, victimes de la confusion que j’ai dite. « Ce
173
gaucheries, songeant aux habiletés stériles de la
critique
bien pensante… Il faut citer enfin la Troisième Force, mouvement d’ac
174
. « Ni droite ni gauche » est d’abord une formule
critique
. Elle signifie la condamnation des partis, plus encore : du parti, en
175
s intellectuels est, aujourd’hui, de conduire une
critique
des mythes collectivistes nés de la maladie de la personne. Puis il s
176
aire un système. Un système tout d’abord purement
critique
— et légitime en raison même du grand nombre de faits dont l’argument
177
qui se croyait idéaliste. Puis il systématisa sa
critique
, c’est-à-dire qu’il réduisit systématiquement toute activité humaine
178
un rôle utile et même indispensable. Mais ce rôle
critique
, une fois accompli, le déterminisme s’est révélé incapable de souteni
179
t les primaires, et qui, d’autre part, rend toute
critique
malaisée. On ne sait jamais très bien, en présence d’une de ces thèse
180
nsition, il est trop facile de rejeter toutes les
critiques
de fait adressées au plan quinquennal en montrant qu’elles n’atteigne
181
sonnalisé, et mortellement monotone. À toutes ces
critiques
, les marxistes ont répondu pendant longtemps à peu près ceci : « Vous
182
simpliste, valable tout au plus contre certaines
critiques
bourgeoises, ne suffit plus maintenant, et ceci à cause de deux faits
183
m’explique : Le fascisme a repris à son compte la
critique
du spirituel bourgeois. Il a su utiliser le rappel à la réalité écono
184
aient les droits de la matière. Maintenant que la
critique
marxiste s’est vulgarisée et que l’on commence à comprendre : 1° que
185
s plus vilipendés par le marxisme dans sa période
critique
virulente. Nous préférons encore le matérialisme le plus plat et le p
186
is que soit l’un dans le détail de sa dialectique
critique
, et si généreux que se veuille le second dans ses attaques contre un
187
méfier du communisme. Je ne reprendrai pas ici la
critique
du capitalisme. Mais je voudrais être assuré que si parmi vous quelqu
188
rt importante de vérité, surtout dans leur aspect
critique
, qui me paraît désormais acquis. Mais le communisme est bien plus que
189
t décelées dans nos beaux sentiments, toute cette
critique
reste valable quand on se limite au plan humaniste, au plan psycholog
190
sordre établi. Mais nous allons plus loin dans la
critique
de ce désordre : jusqu’à ce point où le marxisme, révélant sa vraie n
191
Ordre nouveau et l’allusion concerne les travaux
critiques
du groupe tout entier. 54. Sans aucun pouvoir contre le capitalisme
192
e monde de leurs moyens et de leurs idéaux, cette
critique
qu’ils nous font est naïve. Quand on travaille dans le médiocre, on a
193
st un volume entier qu’il faudrait consacrer à la
critique
des méfaits de ce préjugé, si profondément enraciné dans le sentiment
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ait une analyse du pouvoir et des valeurs, et une
critique
du travail. Cette critique se développa en une doctrine économique, d
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et des valeurs, et une critique du travail. Cette
critique
se développa en une doctrine économique, dont on peut trouver la prem
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de commun avec cela qu’ont voulu voir en elle les
critiques
de droite et de gauche, victimes de la confusion que j’ai dite. « Ce
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me, son intelligence, son honneur et ses facultés
critiques
. À la question qui résulte de ce malaise : « faut-il ou non faire de
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81. En 1938, déjà… 82. Baudelaire voulait que la
critique
des poètes — qu’il opposait à celle des philosophes libéraux — fût pa
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ire ?) D’où nous pouvons déduire deux conclusions
critiques
: 1° Lénine a triomphé en vertu d’une tactique qui n’avait rien de «
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me du mauvais Zola), l’intérêt humain faiblit, la
critique
littéraire reprend ses droits et proteste une fois de plus contre les
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pé de soi-même ! Quelle que soit la justesse des
critiques
de Nietzsche — et jusque dans leur injustice, car il y a une manière
202
iquer cette espèce de déception que me procure la
critique
nietzschéenne, je trouve ceci : Nietzsche parle sans autorité. Il a t
203
e mal que je hais. » C’est pourquoi, lorsque Paul
critique
la vie des chrétiens de son temps, il parle avec autorité, tandis que
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son temps, il parle avec autorité, tandis que les
critiques
de Nietzsche feront toujours l’effet de criailleries. L’intensité de
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par ailleurs. Je me bornerai donc à renvoyer à la
critique
décisive de la doctrine de l’analogia entis que Karl Barth poursuit à
206
e polémique, de réponses à ses contradicteurs, de
critique
littéraire ou d’analyses des « actualités ». Non que cela nous parais
207
uil, Les Uns les Autres (avril 1935)m L’un des
critiques
qui aient parlé le mieux, je crois, avec le plus de sympathie et de p
208
n aide à son voisin par son action, par sa pensée
critique
ou créatrice, et cela pour des motifs d’ordre uniquement humain, on d
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ain, à concrétiser sa pensée, à la soumettre à la
critique
souveraine et parfaitement pénétrante de l’amour. Il ne parvient à re
210
e la négligence et la frivolité désastreuse de la
critique
littéraire d’aujourd’hui. Voici un roman qui pose les questions les p
211
e rétablir un peu l’échelle de nos jugements ? La
critique
se tait sur Edschmid, l’Académie refuse Claudel. État de l’élite fran
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rets de notre destin à tous ? L’ostracisme de nos
critiques
est d’ailleurs d’autant plus absurde que ce livre — écrit par un juif
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ature humaine irrépressible, dès que la vigilance
critique
d’une sobre théologie se relâche. ⁂ Nous ne sortirons jamais une fois
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problème, et à formuler, si possible, le principe
critique
qui nous rappellera constamment la vraie nature, le caractère absolu
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ur but de les poser, de nous donner un instrument
critique
qui nous renvoie sans cesse à la réalité, qui nous inquiète, et qui c
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alité humaine. L’important, c’est qu’une instance
critique
impitoyable domine sans cesse ces tentatives inévitables, et déclare
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instant où Christ se révèle. C’est sous ce signe
critique
radical que nous plaçons les essais qui suivent. Nous avons voulu con
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ou tout au moins à m’approcher avec une prudence
critique
extrême, de ce que l’on nomme l’idéal socialiste ? Beaucoup de braves
219
s camarades. Pensant à eux, je résumerai toute ma
critique
dans une seule phrase : un tel compromis n’est possible, comme un dou
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s. Mais je crois qu’un chrétien peut adresser une
critique
encore plus grave à tout parti. L’idée même de parti paraît absolumen
221
s époques de transition des bases culturelles, la
critique
qui ne jaillit pas de la métaphysique et d’une véritable compréhensio