1
st créé. Jamais banal, il est parfois facile : la
description
du monde qu’il invente nous lasse quand elle ne l’étonne plus assez l
2
e Mme de Watteville paraît mieux à l’aise dans la
description
du milieu patricien que dans la création d’un caractère de grand pein
3
quel point Montherlant reste poète jusque dans la
description
la plus réaliste de la vie animale. Et n’est-ce pas justement parce q
4
roche de l’inconnu. Nulle part mieux que dans la
description
des taureaux ne se manifeste ce passage du réalisme le plus hardi à u
5
de cet « homme de la Renaissance », pour quelques
descriptions
des prairies espagnoles pleines de simple grandeur, j’ai supporté mil
6
toute mon âme je veux être !… 1. La véritable
description
de l’élan supposé dans le premier exemple, ce serait le récit des ges
7
hie au lyrisme le plus échevelé en passant par la
description
réaliste ou imaginée d’une boîte de nuit, d’une devanture, d’un parc
8
ur Loi. » Le récit grassement pittoresque dans la
description
du milieu juif, prend une âpre rapidité avec l’ascension de Jacob et
9
faits, une discussion d’idées. Il est surtout la
description
d’une angoisse que le nihilisme de M. Malraux veut sans issues : l’an
12
nc, clame son horreur de tant de démesure, et ses
descriptions
des Alpes constituent « le plus violent réquisitoire qu’on ait jamais
13
mode rarement d’une réflexion impartiale et d’une
description
, plume en main, des mobiles personnels, affectifs, voire religieux, q
14
peu commune de petits faits, de personnages et de
descriptions
des lieux où ils vivent. C’est dire que l’œuvre mérite l’effort d’att
15
ar hasard, à une réunion d’évangélisation dont la
description
serait tout entière à citer, dans son inénarrable et cruelle vérité,
16
Kierkegaard, sa pensée paraît réfractaire à toute
description
, car elle opère sur des mythes concrets plutôt que sur des formules e
17
réside à son analyse de l’indiscret nous vaut une
description
inégalable du mal du siècle. Ici le mépris ne porte aucune atteinte à
18
u de bourgeois ou des requins à l’eau de Coty.
Description
des « petits purs » De doux jeunes gens trop bien peignés viennent
19
1932. Est-ce à dire qu’il faille entreprendre une
description
méthodique des circonstances de notre vie concrète, à seule fin d’en
20
t de poursuivre, dissiper un malentendu que cette
description
a pu faire naître dans l’esprit de quelques-uns. Je sais que le bon t
21
ravail, — et mourant de solitude. J’ai terminé ma
description
du siècle. Est-elle pessimiste à l’excès ? Ce n’est pas cela qu’il no
22
ssage de ce genre. Mais si l’on donne raison à sa
description
du ressentiment — ce que je fais pour ma part sans réserve —, il rest
23
haque page le souci des références à l’actuel. La
description
qu’il fait de l’homme moderne réduit à un complexe de fonctions ; ses
24
r hasard qu’on tentait de nous la réduire à cette
description
résignée des altérations du langage. Je ne voudrais pas clore ces que
25
féroce dont il me semble que Léon Bloy a donné la
description
la plus exacte. (Il faudrait être Bloy pour montrer comment cette « p
26
idéalistes ou immoralistes, s’ils ne sont pas les
descriptions
désenchantées d’une société en voie de dissolution atomique. Les civi
27
de sa recherche, en insistant sur le fait que la
description
qu’il va donner ne saurait être prise pour une explication. Je crains
28
la personne en elle-même n’est passible d’aucune
description
objective. Par rapport à l’ensemble humain, la personne est par excel
29
t de poursuivre, dissiper un malentendu que cette
description
a pu faire naître dans l’esprit de quelques-uns. Je sais que le bon t
30
travail — et mourant de solitude. J’ai terminé ma
description
du siècle. Est-elle pessimiste à l’excès ? Ce n’est pas cela qu’il no
31
t de poursuivre, dissiper un malentendu que cette
description
a pu faire naître dans l’esprit de quelques-uns. Je sais que le bon t
32
travail — et mourant de solitude. J’ai terminé ma
description
du siècle. Est-elle pessimiste à l’excès ? Ce n’est pas cela qu’il no
33
tesson, des ulcères, des rochers, deux effarantes
descriptions
du crocodile et de l’hippopotame, le monstre Léviathan, la Grande Our
34
e. Fr. H. Jacobi Nietzsche restera la meilleure
description
de l’anarchie spirituelle du xixe siècle. Il en a souffert si viveme
35
un roman d’aventures, et un roman d’idées, et une
description
étonnante de l’Amérique qu’il nous reste à découvrir : celle du Sud.
36
uel, moins impressionniste et complaisant dans la
description
des douleurs physiques. Au total, Edschmid est plus fort. Attendrons-
37
té avec la Parole de Dieu. Essayons de résumer sa
description
extrêmement précise et vigoureuse des trois temps de la Parole de Die
38
mes ne savent que faire. Il faut lire l’effarante
description
de sa vie telle qu’il l’a racontée dans une espèce d’autobiographie r
39
sormais, la philosophie cessera d’être une simple
description
: elle va devenir action transformatrice, et productrice. L’esprit pu
40
statistique et du pittoresque. Mais où trouver la
description
des journées, des occupations, des manières de réagir d’un homme réel
41
chances ? — Voici alors, entre cent autres, cette
description
d’une journée de Lawrence dans son ranch mexicain (c’est à Lawrence q
42
et peut-être inconsciente : l’esprit est une pure
description
32. On assure ainsi à bon compte la rigueur des constructions intelle
43
Cette obsession de la science, c’est-à-dire de la
description
, est tellement opposée au véritable esprit philosophique qu’elle cond
44
râce à l’élan acquis. (Si le lecteur trouve notre
description
un peu abstraite, qu’il essaie de l’illustrer en remplaçant « esprit
45
e crise. En gros, nous ne pouvons qu’approuver la
description
donnée par l’auteur. Il est bien vrai que le progrès technique a été
46
ion… » ! !) Mais dès que M. Friedmann passe de la
description
au diagnostic, et d’autre part dès qu’il essaie de préciser les persp
47
sur la Nature, des élévations romantiques, telle
description
poignante de réalisme, d’un ensevelissement dans la fosse commune. Le
48
ier ; de cette patience, de cette justice dans la
description
du médiocre, de cette mesure constamment observée — voilà sa ruse— et
49
r paragraphe, il paraîtrait qu’il s’agit là d’une
description
un peu plus qu’amicale du régime de l’URSS, d’une fervente autocritiq
50
la brève idylle de Weimar… tout cela compose une
description
exacte de la jeunesse de Kafka. Quelques faits et deux ou trois dates
51
lle mais initiale, et de l’ordre du spirituel. La
description
historique de de Man se fonde en dernière analyse sur une thèse d’ori
52
ose intéresse Proust, Joyce63… Et c’est encore la
description
sans fin, le procès même de la conscience : se voir sentir ou penser,
53
s hommes, mais qui préfère les réciter ; c’est la
description
« pure et simple ». Pure, marque ici la volonté de ne pas juger, c’es
54
le savant s’en voudrait de poser, au terme de ses
descriptions
, autre chose que de prudentes hypothèses. (Je néglige quelques sectai
55
t-ce dans le meilleur cas, que par le style de sa
description
. Tout portrait porte plus ou moins la ressemblance de son auteur. S’i
56
ar un Rembrandt sont bien davantage pour nous une
description
du regard de Rembrandt, et par là même de son visage, qu’une reproduc
57
xixe siècle au cours de leur vaste entreprise de
description
impartiale de l’homme, et des moyens de décrire l’homme. On est alors
58
u la fin quand on parle de la situation. Sinon la
description
est insensée. J’ai décrit ce que je refuse, au nom d’une attitude fin
59
ose la maxime : penser avec les mains, ce sera la
description
des attitudes morales qui favorisent l’actualité de la pensée, qui en
60
tout cela resterait fort abstrait, resterait une
description
abstraite du concret, si nous n’arrivions pas à situer, à baptiser, l
61
la pensée prolétarisée —, nous avons entrepris la
description
d’un nouvel ordre de valeurs éthiques, suspendu tout entier et relié
62
ous voyons plongés, nous ne pouvons donner qu’une
description
tout empirique, par là même insuffisante. La cause première nous écha
63
t pas photographier un acte, et donner ensuite la
description
de la photo comme la description d’un acte. On pourrait dire tout au
64
onner ensuite la description de la photo comme la
description
d’un acte. On pourrait dire tout au plus (métaphoriquement) que l’act
65
lle mais initiale, et de l’ordre du spirituel. La
description
historique de de Man se fonde en dernière analyse sur une thèse d’ori
66
ose intéresse Proust, Joyce65… Et c’est encore la
description
sans fin, le procès même de la conscience : se voir sentir ou penser,
67
mer les hommes mais préfère les réciter, c’est la
description
« pure et simple ». Pure, marque ici la volonté de ne pas juger, c’es
68
le savant s’en voudrait de poser, au terme de ses
descriptions
, autre chose que de prudentes hypothèses. (Je néglige quelques sectai
69
t-ce dans le meilleur cas, que par le style de sa
description
. Tout portrait porte plus ou moins la ressemblance de son auteur. S’i
70
ar un Rembrandt sont bien davantage pour nous une
description
du regard de Rembrandt, et par là même de son visage, qu’une reproduc
71
xixe siècle au cours de leur vaste entreprise de
description
impartiale de l’homme, et des moyens de décrire l’homme. On est alors
72
u la fin quand on parle de la situation. Sinon la
description
est insensée. J’ai décrit ce que je refuse, au nom d’une attitude fi
73
ose la maxime : penser avec les mains, ce sera la
description
des attitudes morales qui favorisent l’actualité de la pensée, qui en
74
tout cela resterait fort abstrait, resterait une
description
abstraite du concret, si nous n’arrivions pas à situer, à baptiser, l
75
pensée prolétarisée —, nous104 avons entrepris la
description
d’un nouvel ordre de valeurs éthiques, suspendu tout entier et relié
76
ous voyons plongés, nous ne pouvons donner qu’une
description
tout empirique, par là même insuffisante. La cause première nous écha
77
orains ? Ils prétendent faire de pures et simples
descriptions
de la Vie (avec majuscule). Ils ne redoutent rien tant que l’œuvre à
78
tance démesurée que nos romanciers attachent à la
description
des vêtements, des ameublements, des marques d’autos, et même de ciga
79
? Ceci dit, la psychanalyse peut nous donner des
descriptions
utiles, et quelques « trucs » d’observation. Je retiens donc de Freud
80
apparaît maintenant une émouvante et très précise
description
de l’individu romantique, dans ce qu’il a de démissionnaire, d’impuis
81
explications vérifiables, des modes d’emploi, des
descriptions
objectives et utilisables ; et ceci à tous les degrés de la réalité,
82
et c’est une bonne discipline de l’esprit que la
description
objective. Me voici pris dans une expérience forcée de vie pauvre, li
83
et cela nous sera des plus utiles, une minutieuse
description
de la faune et de la flore de l’île, du régime des marées, des couran
84
me posait. Je m’exerçais à cette discipline de la
description
objective, qui est devenue tellement étrangère aux romantiques, aux p
85
nécessités du commerce le plus mal compris. 48.
Descriptions
, rétrospections, coups de théâtre, contrastes, exagérations soutenues
86
et c’est une bonne discipline de l’esprit que la
description
objective. Me voici engagé dans une expérience forcée de vie pauvre,
87
et cela nous sera des plus utiles, une minutieuse
description
de la faune et de la flore de l’île, du régime des marées, des couran
88
explications vérifiables, des modes d’emploi, des
descriptions
objectives et utilisables ; et ceci à tous les degrés de la réalité,
89
leçon de sagesse intérieure qui se dégage de ses
descriptions
et les affecte encore d’un sens certain : « À part l’église Saint-Mar
90
point songer au Procès de Kafka, la plus géniale
description
du mythe de l’arrestationaj. On se rappelle que c’était l’histoire d’
91
quoi dans l’atmosphère qui faisait que toutes les
descriptions
« objectives » de nos journalistes paraissaient, lues d’ici, décrire
92
ente des phénomènes apparents, c’est-à-dire à une
description
. Et dès lors qu’il s’agit de phénomènes aussi complexes, on n’a pas d
93
lexes, on n’a pas de mal à faire « coller » cette
description
avec telle doctrine qu’on voudra : il suffit de choisir ses exemples.
94
s chapitres et sur l’intention qui préside à la «
description
» qu’ils nous offrent. Certes, il est malaisé de se renseigner exacte
95
re un livre entier sur la passion sans achever ma
description
par ce trait qui enfin la situe, non dans l’abstrait où la passion ne
96
quoi dans l’atmosphère qui faisait que toutes les
descriptions
« objectives » de nos journalistes paraissaient, vues d’ici, décrire
97
ente des phénomènes apparents, c’est-à-dire à une
description
. Et dès lors qu’il s’agit de phénomènes aussi complexes, on n’a pas d
98
lexes, on n’a pas de mal à faire « coller » cette
description
avec telle doctrine qu’on voudra : il suffit de choisir ses exemples.
99
e jugement global, je ne le suis guère avec votre
description
. La direction de conscience est affaire de contacts personnels, non d
100
rse : celui d’avoir donné de l’amour courtois une
description
si enthousiaste qu’à la fin, la conception chrétienne que je lui oppo
101
ne diamétralement opposée, et par là il achève la
description
de la passion, car on ne connaît vraiment que les choses dépassées, o
102
renier l’intime évidence. Que la sécheresse d’une
description
réduite à suivre en ses détours la logique interne du Roman puisse pa
103
urs comportent des notations « réalistes » et des
descriptions
précises de la Dame aimée, alors qu’ailleurs on leur reproche de ne r
104
parviendront à l’initiation. Il est clair que la
description
de ces errements et de leurs punitions exigeait la forme du récit, et
105
siècle en fournit le plus inquiétant exemple (sa
description
du lit nuptial et de ce qui s’y passe !) 116. Karl Jaspers a magnifi
106
as amusant comme un roman. C’est tout uniment une
description
exacte et scientifique d’une sorte de folie très rare en France… » St
107
ne croit pas mortel155. Une chose me frappe : sa
description
est admirable de vivacité, d’exactitude, parfois de profondeur ; mais
108
l’atmosphère de rêve du Roman de Tristan que les
descriptions
de tournois qu’on peut lire dans les œuvres de Chastellain et les mém
109
re un livre entier sur la passion sans achever ma
description
par ce trait qui enfin la situe, non dans l’abstrait où la passion ne
110
actériser par quelques traits qui rappelleront ma
description
de la Grèce individualiste. L’individu de la Renaissance est d’abord
111
nte. Je ne fais pas ici, vous le sentez bien, une
description
désintéressée et académique de divers régimes également soutenables d
112
renier l’intime évidence. Que la sécheresse d’une
description
réduite à suivre en ses détours la logique interne du Roman puisse pa
113
urs comportent des notations « réalistes » et des
descriptions
précises de la Dame aimée, alors qu’ailleurs on leur reproche de ne r
114
parviendront à l’initiation. Il est clair que la
description
de ces errements et de leurs punitions exigeait la forme du récit, et
115
es conséquences ». 84. Cf. plus haut (p. 100) la
description
du « service » selon l’école Sahajiya. Cette interprétation de Guirau
116
siècle en fournit le plus inquiétant exemple (sa
description
du lit nuptial et de ce qui s’y passe !). 134. Karl Jaspers a magnif
117
as amusant comme un roman. C’est tout uniment une
description
exacte et scientifique d’une sorte de folie très rare en France… » St
118
ne croit pas mortel173. Une chose me frappe : sa
description
est admirable de vivacité, d’exactitude, parfois de profondeur ; mais
119
l’atmosphère de rêve du Roman de Tristan que les
descriptions
de tournois qu’on peut lire dans les œuvres de Chastellain et les mém
120
rience stalinienne a échoué, si l’on en croit les
descriptions
de l’état présent des mœurs de la jeunesse en URSS. Le nazisme appart
121
re un livre entier sur la passion sans achever ma
description
par ce trait qui enfin la situe, non dans l’abstrait où la passion ne
122
ne diamétralement opposée, et par là il achève la
description
de la passion, car on ne connaît que les choses dépassées, ou du moin
123
renier l’intime évidence. Que la sécheresse d’une
description
réduite à suivre en ses détours la logique interne du Roman puisse pa
124
urs comportent des notations « réalistes » et des
descriptions
précises de la Dame aimée, alors qu’ailleurs on leur reproche de ne r
125
parviendront à l’initiation. Il est clair que la
description
de ces errements et de leurs punitions exigeait la forme du récit, et
126
es conséquences. » 76. Cf. plus haut (p. 129) la
description
du « service » selon l’école Sahajiyâ. Cette interprétation de Guirau
127
siècle en fournit le plus inquiétant exemple (sa
description
du lit nuptial et de ce qui s’y passe !). 123. Karl Jaspers a magnif
128
as amusant comme un roman. C’est tout uniment une
description
exacte et scientifique d’une sorte de folie très rare en France… » St
129
ie tourne au vaudeville. Une chose me frappe ; sa
description
est admirable de vivacité, d’exactitude, parfois de profondeur ; mais
130
l’atmosphère de rêve du Roman de Tristan que les
descriptions
de tournois qu’on peut lire dans les œuvres de Chastellain et les mém
131
ienne n’a qu’à moitié réussi si l’on en croit les
descriptions
de l’état présent des mœurs de la jeunesse en URSS. Le nazisme appart
132
re un livre entier sur la passion sans achever ma
description
par ce trait qui enfin la situe, non dans l’abstrait où la passion ne
133
actériser par quelques traits qui rappelleront ma
description
de la Grèce individualiste. L’individu de la Renaissance est d’abord
134
nte. Je ne fais pas ici, vous le sentez bien, une
description
désintéressée et académique de divers régimes également soutenables d
135
de s’avouer ses partis pris. Il oublie que toute
description
ressemble autant à son auteur qu’à l’objet qu’il voulait décrire. Ain
136
actériser par quelques traits qui rappelleront ma
description
de la Grèce individualiste. L’individu de la Renaissance est d’abord
137
nte. Je ne fais pas ici, vous le sentez bien, une
description
désintéressée et académique de divers régimes également soutenables d
138
rpent ! Dans Mein Kampf, il donnait dès 1924, des
descriptions
d’une surprenante précision du réveil des puissances souterraines qu’
139
être vrai ! nous disions en présence de certaines
descriptions
du mal : trop affreux pour être vrai 7 ! Cependant, c’était vrai, mai
140
nte ; mais il agit partout, il est dans tout… Vos
descriptions
, me dira-t-on, ne sont pas bien claires. Pourquoi ne pas nous donner
141
onduite et les décisions morales d’un tout par la
description
du fonctionnement de quelques-unes de ses parties, les dernières anal
142
nte ici à André Gide une pénétrante et minutieuse
description
de ce glissement du vrai vers le « vital » au secret d’une conscience
143
ns notre chair, il nous appartient de laisser une
description
valable de ce phénomène, pour les générations à venir. Je dis qu’avan
144
erpent ! Dans Mein Kampf, il donnait dès 1924 des
descriptions
d’une surprenante précision du réveil des puissances souterraines qu’
145
être vrai ! nous disions en présence de certaines
descriptions
du mal : trop affreux pour être vrai !14 Cependant, c’était vrai, ma
146
nte ; mais il agit partout, il est dans tout… Vos
descriptions
, me dira-t-on, ne sont pas bien claires. Pourquoi ne pas nous peindre
147
onduite et les décisions morales d’un tout par la
description
du fonctionnement de quelques-unes de ses parties, les dernières anal
148
nte ici à André Gide une pénétrante et minutieuse
description
de ce glissement du vrai vers le « vital » au secret d’une conscience
149
ns notre chair, il nous appartient de laisser une
description
valable de ce phénomène, pour les générations à venir. Je dis qu’avan
150
erpent ! Dans Mein Kampf, il donnait dès 1924 des
descriptions
d’une surprenante précision du réveil des puissances souterraines qu’
151
être vrai ! nous disions en présence de certaines
descriptions
du mal : trop affreux pour être vrai 16 ! Cependant, c’était vrai, ma
152
nte ; mais il agit partout, il est dans tout… Vos
descriptions
, me dira-t-on, ne sont pas bien claires. Pourquoi ne pas nous peindre
153
onduite et les décisions morales d’un tout par la
description
du fonctionnement de quelques-unes de ses parties, les dernières anal
154
nte ici à André Gide une pénétrante et minutieuse
description
de ce glissement du vrai vers le « vital » au secret d’une conscience
155
e se compenser, finissent par se neutraliser. Vos
descriptions
, me dira-t-on, ne sont pas bien claires. Pourquoi ne pas nous donner
156
être vrai ! nous disions en présence de certaines
descriptions
du mal : trop affreux pour être vrai ! Cependant c’était vrai, mais c
157
s analyses kierkegaardiennes. Esquissons donc une
description
du phénomène national-socialiste en partant des catégories que nous v
158
ore Cooper, j’imagine). Ou bien c’était une lente
description
des lieux, introduisant dans l’atmosphère du récit. (Le début de Le R
159
que nous, c’est un grand art du reportage, de la
description
. Ils ont indiscutablement créé le style du grand reportage. Je connai
160
le sujet qui décrit par rapport aux objets de sa
description
, ne fût-ce que pour donner une clé de correction. Car selon que ce su
161
à ne jamais parler de lui se voit déjoué par les
descriptions
mêmes qu’il nous propose, et qui ne sont que les rébus de ce qu’il s’