1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jules Supervielle, Gravitations (décembre 1925)
1 st créé. Jamais banal, il est parfois facile : la description du monde qu’il invente nous lasse quand elle ne l’étonne plus assez l
2 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Alix de Watteville, La Folie de l’espace (avril 1926)
2 e Mme de Watteville paraît mieux à l’aise dans la description du milieu patricien que dans la création d’un caractère de grand pein
3 1926, Articles divers (1924–1930). Les Bestiaires, par Henry de Montherlant (10 juillet 1926)
3 quel point Montherlant reste poète jusque dans la description la plus réaliste de la vie animale. Et n’est-ce pas justement parce q
4 roche de l’inconnu. Nulle part mieux que dans la description des taureaux ne se manifeste ce passage du réalisme le plus hardi à u
4 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Henry de Montherlant, Les Bestiaires (septembre 1926)
5 de cet « homme de la Renaissance », pour quelques descriptions des prairies espagnoles pleines de simple grandeur, j’ai supporté mil
5 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
6 toute mon âme je veux être !… 1. La véritable description de l’élan supposé dans le premier exemple, ce serait le récit des ges
6 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Louis Aragon, Le Paysan de Paris (janvier 1927)
7 hie au lyrisme le plus échevelé en passant par la description réaliste ou imaginée d’une boîte de nuit, d’une devanture, d’un parc
7 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Bernard Lecache, Jacob (mai 1927)
8 ur Loi. » Le récit grassement pittoresque dans la description du milieu juif, prend une âpre rapidité avec l’ascension de Jacob et
8 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). André Malraux, Les Conquérants (décembre 1928)
9 faits, une discussion d’idées. Il est surtout la description d’une angoisse que le nihilisme de M. Malraux veut sans issues : l’an
9 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 2. Description du monstre
10 2. Description du monstre Le service militaire me permit de retrouver quelques-une
10 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 2. Description du monstre
11 2. Description du monstre Le service militaire me permit de retrouver quelques-une
11 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Littérature alpestre (juillet 1931)
12 nc, clame son horreur de tant de démesure, et ses descriptions des Alpes constituent « le plus violent réquisitoire qu’on ait jamais
12 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
13 mode rarement d’une réflexion impartiale et d’une description , plume en main, des mobiles personnels, affectifs, voire religieux, q
14 peu commune de petits faits, de personnages et de descriptions des lieux où ils vivent. C’est dire que l’œuvre mérite l’effort d’att
15 ar hasard, à une réunion d’évangélisation dont la description serait tout entière à citer, dans son inénarrable et cruelle vérité,
13 1931, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Éléments de la grandeur humaine, par Rudolf Kassner (octobre 1931)
16 Kierkegaard, sa pensée paraît réfractaire à toute description , car elle opère sur des mythes concrets plutôt que sur des formules e
17 réside à son analyse de l’indiscret nous vaut une description inégalable du mal du siècle. Ici le mépris ne porte aucune atteinte à
14 1932, Articles divers (1932-1935). Les « petits purs » (15 juin 1932)
18 u de bourgeois ou des requins à l’eau de Coty. Description des « petits purs » De doux jeunes gens trop bien peignés viennent
15 1932, Esprit, articles (1932–1962). On oubliera les juges (novembre 1932)
19 1932. Est-ce à dire qu’il faille entreprendre une description méthodique des circonstances de notre vie concrète, à seule fin d’en
16 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
20 t de poursuivre, dissiper un malentendu que cette description a pu faire naître dans l’esprit de quelques-uns. Je sais que le bon t
21 ravail, — et mourant de solitude. J’ai terminé ma description du siècle. Est-elle pessimiste à l’excès ? Ce n’est pas cela qu’il no
17 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Deux essais de philosophes chrétiens (mai 1934)
22 ssage de ce genre. Mais si l’on donne raison à sa description du ressentiment — ce que je fais pour ma part sans réserve —, il rest
23 haque page le souci des références à l’actuel. La description qu’il fait de l’homme moderne réduit à un complexe de fonctions ; ses
18 1934, Articles divers (1932-1935). La Révolution nécessaire, par Arnaud Dandieu et Robert Aron (juin 1934)
24 r hasard qu’on tentait de nous la réduire à cette description résignée des altérations du langage. Je ne voudrais pas clore ces que
25 féroce dont il me semble que Léon Bloy a donné la description la plus exacte. (Il faudrait être Bloy pour montrer comment cette « p
19 1934, Esprit, articles (1932–1962). Préface à une littérature (octobre 1934)
26 idéalistes ou immoralistes, s’ils ne sont pas les descriptions désenchantées d’une société en voie de dissolution atomique. Les civi
20 1934, Le Semeur, articles (1933–1949). Sur la méthode de M. Goguel (novembre 1934)
27 de sa recherche, en insistant sur le fait que la description qu’il va donner ne saurait être prise pour une explication. Je crains
21 1934, Esprit, articles (1932–1962). Définition de la personne (décembre 1934)
28 la personne en elle-même n’est passible d’aucune description objective. Par rapport à l’ensemble humain, la personne est par excel
22 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
29 t de poursuivre, dissiper un malentendu que cette description a pu faire naître dans l’esprit de quelques-uns. Je sais que le bon t
30 travail — et mourant de solitude. J’ai terminé ma description du siècle. Est-elle pessimiste à l’excès ? Ce n’est pas cela qu’il no
23 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
31 t de poursuivre, dissiper un malentendu que cette description a pu faire naître dans l’esprit de quelques-uns. Je sais que le bon t
32 travail — et mourant de solitude. J’ai terminé ma description du siècle. Est-elle pessimiste à l’excès ? Ce n’est pas cela qu’il no
24 1935, Articles divers (1932-1935). Mystère de la Vision (fragments d’un Traité de la vision physionomique du monde) (mars 1935)
33 tesson, des ulcères, des rochers, deux effarantes descriptions du crocodile et de l’hippopotame, le monstre Léviathan, la Grande Our
25 1935, Présence, articles (1932–1946). Contre Nietzsche (avril-mai 1935)
34 e. Fr. H. Jacobi Nietzsche restera la meilleure description de l’anarchie spirituelle du xixe siècle. Il en a souffert si viveme
26 1935, Esprit, articles (1932–1962). Kasimir Edschmid, Destin allemand (mai 1935)
35 un roman d’aventures, et un roman d’idées, et une description étonnante de l’Amérique qu’il nous reste à découvrir : celle du Sud.
36 uel, moins impressionniste et complaisant dans la description des douleurs physiques. Au total, Edschmid est plus fort. Attendrons-
27 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Les trois temps de la Parole (mai 1935)
37 té avec la Parole de Dieu. Essayons de résumer sa description extrêmement précise et vigoureuse des trois temps de la Parole de Die
28 1935, Le Semeur, articles (1933–1949). La cité (avril-mai 1935)
38 mes ne savent que faire. Il faut lire l’effarante description de sa vie telle qu’il l’a racontée dans une espèce d’autobiographie r
29 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Recherches philosophiques (septembre 1935)
39 sormais, la philosophie cessera d’être une simple description  : elle va devenir action transformatrice, et productrice. L’esprit pu
30 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Lawrence et Brett par Dorothy Brett ; Matinées mexicaines suivi de Pansies (poèmes), par D. H. Lawrence (octobre 1935)
40 statistique et du pittoresque. Mais où trouver la description des journées, des occupations, des manières de réagir d’un homme réel
41 chances ? — Voici alors, entre cent autres, cette description d’une journée de Lawrence dans son ranch mexicain (c’est à Lawrence q
31 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
42 et peut-être inconsciente : l’esprit est une pure description 32. On assure ainsi à bon compte la rigueur des constructions intelle
43 Cette obsession de la science, c’est-à-dire de la description , est tellement opposée au véritable esprit philosophique qu’elle cond
32 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Qu’est-ce que l’autorité ? (mai 1936)
44 râce à l’élan acquis. (Si le lecteur trouve notre description un peu abstraite, qu’il essaie de l’illustrer en remplaçant « esprit
33 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Du danger de confondre la bonne foi et le stalinisme (juillet 1936)
45 e crise. En gros, nous ne pouvons qu’approuver la description donnée par l’auteur. Il est bien vrai que le progrès technique a été
46 ion… » ! !) Mais dès que M. Friedmann passe de la description au diagnostic, et d’autre part dès qu’il essaie de préciser les persp
34 1936, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le Problème du bien (12 septembre 1936)
47 sur la Nature, des élévations romantiques, telle description poignante de réalisme, d’un ensevelissement dans la fosse commune. Le
35 1936, Esprit, articles (1932–1962). Henri Petit, Un homme veut rester vivant (novembre 1936)
48 ier ; de cette patience, de cette justice dans la description du médiocre, de cette mesure constamment observée — voilà sa ruse— et
36 1936, Esprit, articles (1932–1962). André Gide, Retour de l’URSS (décembre 1936)
49 r paragraphe, il paraîtrait qu’il s’agit là d’une description un peu plus qu’amicale du régime de l’URSS, d’une fervente autocritiq
37 1936, Articles divers (1936-1938). Max Brod, Le Royaume enchanté de l’amour (1936)
50 la brève idylle de Weimar… tout cela compose une description exacte de la jeunesse de Kafka. Quelques faits et deux ou trois dates
38 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — D’une culture qui parle dans le vide
51 lle mais initiale, et de l’ordre du spirituel. La description historique de de Man se fonde en dernière analyse sur une thèse d’ori
39 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
52 ose intéresse Proust, Joyce63… Et c’est encore la description sans fin, le procès même de la conscience : se voir sentir ou penser,
53 s hommes, mais qui préfère les réciter ; c’est la description « pure et simple ». Pure, marque ici la volonté de ne pas juger, c’es
54 le savant s’en voudrait de poser, au terme de ses descriptions , autre chose que de prudentes hypothèses. (Je néglige quelques sectai
55 t-ce dans le meilleur cas, que par le style de sa description . Tout portrait porte plus ou moins la ressemblance de son auteur. S’i
56 ar un Rembrandt sont bien davantage pour nous une description du regard de Rembrandt, et par là même de son visage, qu’une reproduc
57 xixe siècle au cours de leur vaste entreprise de description impartiale de l’homme, et des moyens de décrire l’homme. On est alors
40 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
58 u la fin quand on parle de la situation. Sinon la description est insensée. J’ai décrit ce que je refuse, au nom d’une attitude fin
59 ose la maxime : penser avec les mains, ce sera la description des attitudes morales qui favorisent l’actualité de la pensée, qui en
60 tout cela resterait fort abstrait, resterait une description abstraite du concret, si nous n’arrivions pas à situer, à baptiser, l
61 la pensée prolétarisée —, nous avons entrepris la description d’un nouvel ordre de valeurs éthiques, suspendu tout entier et relié
62 ous voyons plongés, nous ne pouvons donner qu’une description tout empirique, par là même insuffisante. La cause première nous écha
41 1936, Articles divers (1936-1938). L’Acte comme point de départ (1936-1937)
63 t pas photographier un acte, et donner ensuite la description de la photo comme la description d’un acte. On pourrait dire tout au
64 onner ensuite la description de la photo comme la description d’un acte. On pourrait dire tout au plus (métaphoriquement) que l’act
42 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — D’une culture qui parle dans le vide
65 lle mais initiale, et de l’ordre du spirituel. La description historique de de Man se fonde en dernière analyse sur une thèse d’ori
43 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
66 ose intéresse Proust, Joyce65… Et c’est encore la description sans fin, le procès même de la conscience : se voir sentir ou penser,
67 mer les hommes mais préfère les réciter, c’est la description « pure et simple ». Pure, marque ici la volonté de ne pas juger, c’es
68 le savant s’en voudrait de poser, au terme de ses descriptions , autre chose que de prudentes hypothèses. (Je néglige quelques sectai
69 t-ce dans le meilleur cas, que par le style de sa description . Tout portrait porte plus ou moins la ressemblance de son auteur. S’i
70 ar un Rembrandt sont bien davantage pour nous une description du regard de Rembrandt, et par là même de son visage, qu’une reproduc
71 xixe siècle au cours de leur vaste entreprise de description impartiale de l’homme, et des moyens de décrire l’homme. On est alors
44 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
72 u la fin quand on parle de la situation. Sinon la description est insensée. J’ai décrit ce que je refuse, au nom d’une attitude fi
73 ose la maxime : penser avec les mains, ce sera la description des attitudes morales qui favorisent l’actualité de la pensée, qui en
74 tout cela resterait fort abstrait, resterait une description abstraite du concret, si nous n’arrivions pas à situer, à baptiser, l
75 pensée prolétarisée —, nous104 avons entrepris la description d’un nouvel ordre de valeurs éthiques, suspendu tout entier et relié
76 ous voyons plongés, nous ne pouvons donner qu’une description tout empirique, par là même insuffisante. La cause première nous écha
45 1937, Articles divers (1936-1938). Romanciers publicitaires ou la contagion romanesque (13 mars 1937)
77 orains ? Ils prétendent faire de pures et simples descriptions de la Vie (avec majuscule). Ils ne redoutent rien tant que l’œuvre à
78 tance démesurée que nos romanciers attachent à la description des vêtements, des ameublements, des marques d’autos, et même de ciga
46 1937, Articles divers (1936-1938). Chamisso et le Mythe de l’Ombre perdue (mai-juin 1937)
79  ? Ceci dit, la psychanalyse peut nous donner des descriptions utiles, et quelques « trucs » d’observation. Je retiens donc de Freud
80 apparaît maintenant une émouvante et très précise description de l’individu romantique, dans ce qu’il a de démissionnaire, d’impuis
47 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
81 explications vérifiables, des modes d’emploi, des descriptions objectives et utilisables ; et ceci à tous les degrés de la réalité,
48 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
82 et c’est une bonne discipline de l’esprit que la description objective. Me voici pris dans une expérience forcée de vie pauvre, li
83 et cela nous sera des plus utiles, une minutieuse description de la faune et de la flore de l’île, du régime des marées, des couran
49 1937, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Introduction au Journal d’un intellectuel en chômage (août 1937)
84 me posait. Je m’exerçais à cette discipline de la description objective, qui est devenue tellement étrangère aux romantiques, aux p
50 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Gösta Berling, par Selma Lagerlöf (novembre 1937)
85 nécessités du commerce le plus mal compris. 48. Descriptions , rétrospections, coups de théâtre, contrastes, exagérations soutenues
51 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
86 et c’est une bonne discipline de l’esprit que la description objective. Me voici engagé dans une expérience forcée de vie pauvre,
87 et cela nous sera des plus utiles, une minutieuse description de la faune et de la flore de l’île, du régime des marées, des couran
88 explications vérifiables, des modes d’emploi, des descriptions objectives et utilisables ; et ceci à tous les degrés de la réalité,
89 leçon de sagesse intérieure qui se dégage de ses descriptions et les affecte encore d’un sens certain : « À part l’église Saint-Mar
52 1938, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le Monastère noir, par Aladár Kuncz (janvier 1938)
90 point songer au Procès de Kafka, la plus géniale description du mythe de l’arrestationaj. On se rappelle que c’était l’histoire d’
53 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Vues sur le national-socialisme (1er juin 1938)
91 quoi dans l’atmosphère qui faisait que toutes les descriptions « objectives » de nos journalistes paraissaient, lues d’ici, décrire
92 ente des phénomènes apparents, c’est-à-dire à une description . Et dès lors qu’il s’agit de phénomènes aussi complexes, on n’a pas d
93 lexes, on n’a pas de mal à faire « coller » cette description avec telle doctrine qu’on voudra : il suffit de choisir ses exemples.
54 1938, Articles divers (1938-1940). Le Relèvement de l’Allemagne (1918-1938) par Albert Rivaud (28 octobre 1938)
94 s chapitres et sur l’intention qui préside à la «  description  » qu’ils nous offrent. Certes, il est malaisé de se renseigner exacte
55 1938, Esprit, articles (1932–1962). L’amour action, ou de la fidélité (novembre 1938)
95 re un livre entier sur la passion sans achever ma description par ce trait qui enfin la situe, non dans l’abstrait où la passion ne
56 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
96 quoi dans l’atmosphère qui faisait que toutes les descriptions « objectives » de nos journalistes paraissaient, vues d’ici, décrire
57 1938, Journal d’Allemagne. Conclusion 1938
97 ente des phénomènes apparents, c’est-à-dire à une description . Et dès lors qu’il s’agit de phénomènes aussi complexes, on n’a pas d
98 lexes, on n’a pas de mal à faire « coller » cette description avec telle doctrine qu’on voudra : il suffit de choisir ses exemples.
58 1939, Articles divers (1938-1940). Il y a toujours des directeurs de conscience en Occident (juin 1939)
99 e jugement global, je ne le suis guère avec votre description . La direction de conscience est affaire de contacts personnels, non d
59 1939, Esprit, articles (1932–1962). Autour de L’Amour et l’Occident (septembre 1939)
100 rse : celui d’avoir donné de l’amour courtois une description si enthousiaste qu’à la fin, la conception chrétienne que je lui oppo
60 1939, L’Amour et l’Occident. Avertissement
101 ne diamétralement opposée, et par là il achève la description de la passion, car on ne connaît vraiment que les choses dépassées, o
61 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
102 renier l’intime évidence. Que la sécheresse d’une description réduite à suivre en ses détours la logique interne du Roman puisse pa
62 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
103 urs comportent des notations « réalistes » et des descriptions précises de la Dame aimée, alors qu’ailleurs on leur reproche de ne r
104 parviendront à l’initiation. Il est clair que la description de ces errements et de leurs punitions exigeait la forme du récit, et
63 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
105 siècle en fournit le plus inquiétant exemple (sa description du lit nuptial et de ce qui s’y passe !) 116. Karl Jaspers a magnifi
64 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
106 as amusant comme un roman. C’est tout uniment une description exacte et scientifique d’une sorte de folie très rare en France… » St
107 ne croit pas mortel155. Une chose me frappe : sa description est admirable de vivacité, d’exactitude, parfois de profondeur ; mais
65 1939, L’Amour et l’Occident. Amour et guerre
108 l’atmosphère de rêve du Roman de Tristan que les descriptions de tournois qu’on peut lire dans les œuvres de Chastellain et les mém
66 1939, L’Amour et l’Occident. L’Amour action, ou de la fidélité
109 re un livre entier sur la passion sans achever ma description par ce trait qui enfin la situe, non dans l’abstrait où la passion ne
67 1939, Articles divers (1938-1940). Le protestantisme créateur de personnes (1939)
110 actériser par quelques traits qui rappelleront ma description de la Grèce individualiste. L’individu de la Renaissance est d’abord
111 nte. Je ne fais pas ici, vous le sentez bien, une description désintéressée et académique de divers régimes également soutenables d
68 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
112 renier l’intime évidence. Que la sécheresse d’une description réduite à suivre en ses détours la logique interne du Roman puisse pa
69 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
113 urs comportent des notations « réalistes » et des descriptions précises de la Dame aimée, alors qu’ailleurs on leur reproche de ne r
114 parviendront à l’initiation. Il est clair que la description de ces errements et de leurs punitions exigeait la forme du récit, et
115 es conséquences ». 84. Cf. plus haut (p. 100) la description du « service » selon l’école Sahajiya. Cette interprétation de Guirau
70 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
116 siècle en fournit le plus inquiétant exemple (sa description du lit nuptial et de ce qui s’y passe !). 134. Karl Jaspers a magnif
71 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
117 as amusant comme un roman. C’est tout uniment une description exacte et scientifique d’une sorte de folie très rare en France… » St
118 ne croit pas mortel173. Une chose me frappe : sa description est admirable de vivacité, d’exactitude, parfois de profondeur ; mais
72 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Amour et guerre
119 l’atmosphère de rêve du Roman de Tristan que les descriptions de tournois qu’on peut lire dans les œuvres de Chastellain et les mém
73 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe contre le mariage
120 rience stalinienne a échoué, si l’on en croit les descriptions de l’état présent des mœurs de la jeunesse en URSS. Le nazisme appart
74 1939, L’Amour et l’Occident (1956). L’amour action, ou de la fidélité
121 re un livre entier sur la passion sans achever ma description par ce trait qui enfin la situe, non dans l’abstrait où la passion ne
75 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Avertissement
122 ne diamétralement opposée, et par là il achève la description de la passion, car on ne connaît que les choses dépassées, ou du moin
76 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
123 renier l’intime évidence. Que la sécheresse d’une description réduite à suivre en ses détours la logique interne du Roman puisse pa
77 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
124 urs comportent des notations « réalistes » et des descriptions précises de la Dame aimée, alors qu’ailleurs on leur reproche de ne r
125 parviendront à l’initiation. Il est clair que la description de ces errements et de leurs punitions exigeait la forme du récit, et
126 es conséquences. » 76. Cf. plus haut (p. 129) la description du « service » selon l’école Sahajiyâ. Cette interprétation de Guirau
78 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Passion et mystique
127 siècle en fournit le plus inquiétant exemple (sa description du lit nuptial et de ce qui s’y passe !). 123. Karl Jaspers a magnif
79 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
128 as amusant comme un roman. C’est tout uniment une description exacte et scientifique d’une sorte de folie très rare en France… » St
129 ie tourne au vaudeville. Une chose me frappe ; sa description est admirable de vivacité, d’exactitude, parfois de profondeur ; mais
80 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Amour et guerre
130 l’atmosphère de rêve du Roman de Tristan que les descriptions de tournois qu’on peut lire dans les œuvres de Chastellain et les mém
81 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe contre le mariage
131 ienne n’a qu’à moitié réussi si l’on en croit les descriptions de l’état présent des mœurs de la jeunesse en URSS. Le nazisme appart
82 1939, L’Amour et l’Occident (1972). L’amour action, ou de la fidélité
132 re un livre entier sur la passion sans achever ma description par ce trait qui enfin la situe, non dans l’abstrait où la passion ne
83 1940, Mission ou démission de la Suisse. Le protestantisme créateur de personnes
133 actériser par quelques traits qui rappelleront ma description de la Grèce individualiste. L’individu de la Renaissance est d’abord
134 nte. Je ne fais pas ici, vous le sentez bien, une description désintéressée et académique de divers régimes également soutenables d
84 1940, Mission ou démission de la Suisse. La bataille de la culture
135 de s’avouer ses partis pris. Il oublie que toute description ressemble autant à son auteur qu’à l’objet qu’il voulait décrire. Ain
85 1940, Politique de la personne (1946). À la fois libre et engagé — Le protestantisme créateur de personnes
136 actériser par quelques traits qui rappelleront ma description de la Grèce individualiste. L’individu de la Renaissance est d’abord
137 nte. Je ne fais pas ici, vous le sentez bien, une description désintéressée et académique de divers régimes également soutenables d
86 1942, La Part du diable. Hitler ou l’alibi
138 rpent ! Dans Mein Kampf, il donnait dès 1924, des descriptions d’une surprenante précision du réveil des puissances souterraines qu’
87 1942, La Part du diable. Le diable démocrate
139 être vrai ! nous disions en présence de certaines descriptions du mal : trop affreux pour être vrai 7 ! Cependant, c’était vrai, mai
140 nte ; mais il agit partout, il est dans tout… Vos descriptions , me dira-t-on, ne sont pas bien claires. Pourquoi ne pas nous donner
88 1942, La Part du diable. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
141 onduite et les décisions morales d’un tout par la description du fonctionnement de quelques-unes de ses parties, les dernières anal
142 nte ici à André Gide une pénétrante et minutieuse description de ce glissement du vrai vers le « vital » au secret d’une conscience
89 1942, La Part du diable (1944). Hitler ou l’alibi
143 ns notre chair, il nous appartient de laisser une description valable de ce phénomène, pour les générations à venir. Je dis qu’avan
144 erpent ! Dans Mein Kampf, il donnait dès 1924 des descriptions d’une surprenante précision du réveil des puissances souterraines qu’
90 1942, La Part du diable (1944). Le diable démocrate
145 être vrai ! nous disions en présence de certaines descriptions du mal : trop affreux pour être vrai !14 Cependant, c’était vrai, ma
146 nte ; mais il agit partout, il est dans tout… Vos descriptions , me dira-t-on, ne sont pas bien claires. Pourquoi ne pas nous peindre
91 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
147 onduite et les décisions morales d’un tout par la description du fonctionnement de quelques-unes de ses parties, les dernières anal
148 nte ici à André Gide une pénétrante et minutieuse description de ce glissement du vrai vers le « vital » au secret d’une conscience
92 1942, La Part du diable (1982). Hitler ou l’alibi
149 ns notre chair, il nous appartient de laisser une description valable de ce phénomène, pour les générations à venir. Je dis qu’avan
150 erpent ! Dans Mein Kampf, il donnait dès 1924 des descriptions d’une surprenante précision du réveil des puissances souterraines qu’
93 1942, La Part du diable (1982). Le diable démocrate
151 être vrai ! nous disions en présence de certaines descriptions du mal : trop affreux pour être vrai 16 ! Cependant, c’était vrai, ma
152 nte ; mais il agit partout, il est dans tout… Vos descriptions , me dira-t-on, ne sont pas bien claires. Pourquoi ne pas nous peindre
94 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
153 onduite et les décisions morales d’un tout par la description du fonctionnement de quelques-unes de ses parties, les dernières anal
154 nte ici à André Gide une pénétrante et minutieuse description de ce glissement du vrai vers le « vital » au secret d’une conscience
95 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable VII : La cinquième colonne (26 novembre 1943)
155 e se compenser, finissent par se neutraliser. Vos descriptions , me dira-t-on, ne sont pas bien claires. Pourquoi ne pas nous donner
96 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable VIII : Le diable démocrate (3 décembre 1943)
156 être vrai ! nous disions en présence de certaines descriptions du mal : trop affreux pour être vrai ! Cependant c’était vrai, mais c
97 1944, Les Personnes du drame. Une maladie de la personne — Le romantisme allemand
157 s analyses kierkegaardiennes. Esquissons donc une description du phénomène national-socialiste en partant des catégories que nous v
98 1944, Articles divers (1941-1946). Les règles du jeu dans l’art romanesque (1944-1945)
158 ore Cooper, j’imagine). Ou bien c’était une lente description des lieux, introduisant dans l’atmosphère du récit. (Le début de Le R
99 1946, Articles divers (1941-1946). « Selon Denis de Rougemont, le centre de gravité du monde s’est déplacé d’Europe en Amérique » (16 mai 1946)
159 que nous, c’est un grand art du reportage, de la description . Ils ont indiscutablement créé le style du grand reportage. Je connai
100 1946, Journal des deux mondes. Avertissement
160 le sujet qui décrit par rapport aux objets de sa description , ne fût-ce que pour donner une clé de correction. Car selon que ce su
161 à ne jamais parler de lui se voit déjoué par les descriptions mêmes qu’il nous propose, et qui ne sont que les rébus de ce qu’il s’