1 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Le Corbusier, Urbanisme (juin 1926)
1 l s’est d’ailleurs inspiré de lui dans son fameux discours aux édiles de Rome). Urbanisme est une étude technique et un pamphle
2 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Avant-propos (décembre 1926)
2 ’air nous proposerait de débuter par l’inévitable discours sur les difficultés du temps, en général, et sur celles en particulie
3 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Pierre Naville, La Révolution et les intellectuels (novembre 1928)
3 mal de tant de gesticulations, de gros mots et de discours en très beau style contre un monde très laid dont ils n’ont pas encor
4 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 6. La trahison de l’instruction publique
4 étique sont capables d’absorber sans fou rire les discours de tirs fédéraux. On a comparé le monde moderne à un vaste établissem
5 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 6. La trahison de l’instruction publique
5 étique sont capables d’absorber sans fou rire les discours de tirs fédéraux. On a comparé le monde moderne à un vaste établissem
6 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
6 t langage de bourse. Pour moi, je poursuivrai mon discours en faveur de l’inutile, et ceci à la face des bouffons qui plongent i
7 1930, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Pour un humanisme nouveau » [Réponse à une enquête] (1930)
7 icon défendant l’Empire. 7. Or, Bergson, dans un discours prononcé à l’Académie des sciences morales et politiques, en 1914, a
8 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Malraux, La Voie royale (février 1931)
8 Ainsi apparaissent au travers des actions et des discours d’un Garine, d’un Perken, les traits d’une individualité morale qui n
9 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kierkegaard (mai 1931)
9 , le successeur présumé de Mynster, prononçant un discours sur la tombe de l’évêque, le loua d’avoir été l’un des « grands déten
10 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Penser dangereusement (juin 1932)
10 omme, est-elle dirigée réellement, et non plus en discours et croyances, en faveur des hommes concrets ? À quoi sert cette philo
11 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
11 t langage de bourse. Pour moi, je poursuivrai mon discours en faveur de l’inutile, et ceci à la face des bouffons qui plongent i
12 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VI
12 e ni connue. L’histoire et la théologie fuient le discours , ignorent le style. Entendrons-nous un jour quelqu’un qui chante, ou
13 1933, Esprit, articles (1932–1962). Comment rompre ? (mars 1933)
13 ’une nation « chrétienne » revendiquer dans leurs discours la défense des « valeurs » chrétiennes, pour appuyer des décrets-lois
14 chercher si loin. Ouvrons un journal de Paris. Un discours chaleureux du Père de la Brière4 voudrait nous enflammer contre une e
14 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Dialectique des fins dernières (juillet 1933)
15 t la vérité vivante, le contenu décisif d’un vrai discours sur Dieu. Mais comment établir le rapport nécessaire de ces deux aspe
15 1933, Articles divers (1932-1935). Positions d’attaque pour l’ordre nouveau (décembre 1933)
16 me. Nous ne combattrons pas le Parlement avec des discours , mais bien en créant un monde où il apparaîtra sous son vrai jour, co
16 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). D’un humour romand (24 février 1934)
17 as glisser, entre l’auteur d’Adolphe et celui des Discours religieux, par exemple, cet excellent Toepffer dont on peut espérer q
17 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le mouvement des groupes — Kagawa (4 août 1934)
18 des yeux, il arrive qu’il s’effondre pendant ses discours . Il écrit une Psychologie de la pauvreté et un roman dont le tirage a
18 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
19 ité et devant Dieu, — car c’est la foi, — que les discours des réalistes et l’enthousiasme populaire ; que la justice, enfin, et
20 l l’a flétrie, plus charitables cependant que les discours en l’honneur du progrès, car tout l’honneur de notre temps sera peut-
21 ’est l’acte de Dieu, ou bien je l’imagine, et mon discours est vain. À qui pressent, dans sa réalité brutale, dans son sérieux d
19 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Plans de réforme (octobre 1934)
22 de. C’est bien pourquoi nous en parlons. 1. Les discours des « Néos »12 Inutile de rappeler les circonstances anecdotiques
23 peut dire — qui pourraient être dégagés des deux discours du président sont tirés en effet du Plan du 9 juillet. Emprunts timid
24 e volonté en service commandé qui éclate dans ces discours ne rend que plus sensible l’impuissance du régime à se sauver par ses
25 e. Mais on ne se défend bien qu’en attaquant. Les discours de Doumergue sont à nos yeux les plus claires déclarations de cette d
20 1934, Esprit, articles (1932–1962). André Breton, Point du jour (décembre 1934)
26 ui le prend de si haut ? Son livre s’ouvre par un discours lyrique « sur le peu de réalité » et se termine par des considération
27 aint. Le ton bien plus modeste (trop modeste) des discours de Breton devant les communistes conviendrait mieux, peut-être, à ces
21 1934, Politique de la personne. Idoles — Comment rompre ?
28 ’une nation « chrétienne » revendiquer dans leurs discours la défense des « valeurs » chrétiennes, pour appuyer des décrets-lois
29 chercher si loin. Ouvrons un journal de Paris. Un discours chaleureux du père de la Brière34 voudrait nous enflammer contre une
22 1934, Politique de la personne. Idoles — Fascisme
30 comment concevoir l’avènement d’un fascisme sans discours diffusés par les postes d’État ? Dès qu’il s’agit de propagande de ma
23 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
31 sans théories. Vous savez bien utiliser dans vos discours Machiavel ou Rousseau, Robespierre ou Proudhon, Marx, Sorel ou Maurra
32 ez la vérité politique, et nous, nous voulons des discours , du « pratique », c’est-à-dire quelque chose d’électoral. Être « o
33 tiques… Mais eux, ils veulent de la mystique, des discours et des revendications « excitantes ». Toute la politique qu’on leur s
24 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Comment rompre ?
34 ’une nation « chrétienne » revendiquer dans leurs discours la défense des « valeurs » chrétiennes, pour appuyer des décrets-lois
35 chercher si loin. Ouvrons un journal de Paris. Un discours chaleureux du Père de la Brière27 voudrait nous enflammer contre une
25 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Fascisme
36 comment concevoir l’avènement d’un fascisme sans discours diffusés par les postes d’État ? Dès qu’il s’agit de propagande de m
26 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
37 sans théories. Vous savez bien utiliser dans vos discours Machiavel ou Rousseau, Robespierre ou Proudhon, Marx, Sorel ou Maurra
38 ez la vérité politique, et nous, nous voulons des discours , du « pratique », c’est-à-dire quelque chose d’électoral. Être « o
39 tiques… Mais eux, ils veulent de la mystique, des discours et des revendications « excitantes ». Toute la politique qu’on leur s
27 1935, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Trois traités de Jean Calvin (20 juillet 1935)
40 ue préconçue, mais il adopte toujours la forme de discours la plus propre, sinon à charmer du moins à toucher son antagoniste ;
28 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
41 te espèce de « basse » réalité qui alimentent les discours des parlements et des académies. La bibliothèque-sanctuaire-ruche act
42 n musée. Et les objets qu’on y conservera, et les discours qu’on y « diffusera » seront aussi peu de l’esprit que nos commissair
43 nts ans plus tôt, en 1637 exactement, publiait le Discours de la méthode. C’est une attention bienveillante de la chronologie. L
44 mune à la valeur en soi de l’idéal. Cependant ces discours hypocrites ne font en somme que célébrer une situation de fait. Je ré
45 le vénèrent officiellement, déléguant le soin des discours à ces touchants et graves coryphées parlementaires ou bicornés dont o
46 sprit. 29. De ce mépris de la pensée pure et des discours vient l’engouement pour ceux qu’on nomme les « techniciens ». Cette m
29 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). « Le plus beau pays du monde » (octobre 1935)
47 tente de le rationaliser : il en fait un objet de discours . Par là même il le rend absurde. Il le « mystifie ». Qui dit discours
48 e il le rend absurde. Il le « mystifie ». Qui dit discours dit raison ; qui dit raison suppose comparaison, et rien n’est plus a
30 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Conversation avec un SA (décembre 1935)
49 dans tous les articles de journaux, dans tous les discours politiques, à tout propos. J’admire votre « Œuvre du secours d’hiver 
31 1936, Esprit, articles (1932–1962). Francfort, 16 mars 1936 (avril 1936)
50 érémonies de la religion nouvelle. Par exemple un discours du Führer à son peuple. Je roulais ces pensées, hier soir, debout par
32 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Plébiscite et démocratie (avril 1936)
51 te démocratique. Le Führer, dans plusieurs de ses discours , a longuement insisté sur ce point. Les démocraties de l’Ouest, disai
52 n peut en retrouver le texte exact dans plusieurs discours de Hitler imprimés et traduits en français.) Je ne puis pas me mettre
33 1936, Esprit, articles (1932–1962). Vues sur C. F. Ramuz (mai 1936)
53 notre état social, qu’un patriote qui, entre deux discours nationalistes, s’occupe à faire passer ses capitaux à l’étranger pour
34 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Kierkegaard en France (juin 1936)
54 ? Tout simplement ceci : l’époque s’engoue de tes discours et tu deviens son favori. Tu es alors au début de ton supplice. Il s’
55 . Tisseau a publié ces quatre petits volumes de «  discours édifiants » et d’essais religieux : La Pureté du cœur, Le Droit de mo
56 on centrale et unitive. Il me semble que les neuf discours traduits par M. Paul Tisseau en reviennent tous à la même question, q
57 s peut-on y répondre par des mots ? Plusieurs des Discours religieux ayant pour objet de « préparer à la Communion », je ne vois
35 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
58 t à lire leurs livres, et viennent acclamer leurs discours , au lieu de croire aux sornettes des popes. En somme, ce qu’ils admir
59 nation l’épithète de matérialistes. 57. Voir les discours de Malraux au « congrès pour la défense de la culture » de juin 1935.
36 1936, Articles divers (1936-1938). Décadence des lieux communs (décembre 1936)
60 uant au mot patrie, on le voit confondu, dans les discours et les articles de journaux, avec état, nation, mystique raciale, peu
37 1936, Esprit, articles (1932–1962). André Gide, Retour de l’URSS (décembre 1936)
61 lié dans nos esprits au destin même de l’URSS » ( discours aux obsèques de Gorki). Point d’arrivée : « Rien, plus que cet état d
38 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). L’Art poétique ou Qu’il faut penser avec les mains (décembre 1936)
62 e mot qui profère son sens. » C’est un univers du discours , où les objets qui « veulent dire » s’assemblent en propositions (à l
63  » s’assemblent en propositions (à l’homme), seul discours proprement cohérent, puisqu’il ne tire ses règles et sa nécessité que
39 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Le problème de la culture
64 ces vestales, gardiennes du sens et de l’usage du discours  ? Mariées, vendues, traîtresses à leurs vœux, ou bien, qu’on me pardo
40 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Hegel, Comte, Marx, ou la rationalisation
65 utel. Mais les mots dissimulent le paradoxe. 13. Discours du Trône, mars 1830. 14. Voir sur ce point ma Politique de la perso
41 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — L’Arche de l’Alliance
66 dominée par l’élément biblique.) Seuls les grands discours prophétiques parmi tous les chants de la terre, ont réellement rythmé
42 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Sur le déclin du Moyen Âge
67 nt la rhétorique prétend dominer le sens même des discours qui ordonnent l’action : dictature des instruments, qui se traduit en
68 oncours pour la rédaction des lettres et pour les discours publics et solennels31. » Ainsi le glissement de la mesure est accomp
69 latiniste de l’époque n’aboutissent qu’à orner un discours dont l’ornement paraît enfin tout le sujet. Mais de la réponse de Cal
43 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Décadence des lieux communs
70 uant au mot patrie, on le voit confondu, dans les discours et les articles de journaux, avec état, nation, mystique raciale, peu
44 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — La mesure soviétique
71 t à lire leurs livres, et viennent acclamer leurs discours , au lieu de croire aux sornettes des popes. En somme, ce qu’ils admir
72 nation l’épithète de matérialistes. 43. Voir les discours de Malraux au « Congrès pour la défense de la culture » de juin 1935.
45 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — La mesure nationale-socialiste
73 ue sur tout autre facteur. On s’ingénia, dans les discours de propagande, à faire de nécessité vertu. On se servit du « spiritue
74 ne a été fort bien exprimée par Rosenberg dans un discours où il s’élève avec violence contre toute conception ascétique ou moye
46 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Leçon des dictatures
75 ent avec une insistance expresse dans les récents discours d’Hitler.
47 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
76 e lui opposer le génie de la liberté. Saint-Just ( Discours du 12 février 1793) L’on pourrait sans difficulté multiplier les gra
48 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
77 nathème prononcé sur ceux que j’ai dits et sur ce discours déplorable. Et me tenant sous le joug, cependant, je déclare et répèt
49 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
78 tout à l’écrivain qui parle de la culture ; à son discours . Nous allons donc raisonner à partir de cet acte indicible, et c’est
79 décroître dans la mesure où croît la quantité des discours , des journaux. Ce serait donc le premier office d’une pensée modestem
80 une réalité éthique immédiate à chaque progrès du discours et qu’il n’en sorte pas intact ! « Ne rien écrire d’autre que ce qui
81 nder une banque, conduire un camion, prononcer un discours , sortir sans pardessus par un froid extraordinaire, cueillir une fleu
50 1936, Articles divers (1936-1938). L’Acte comme point de départ (1936-1937)
82 de l’acte dans un langage arrêté ou détendu. Tout discours sur l’acte contiendra nécessairement des mots tels que « départ », « 
83 « départ », « partir » et « tout de suite ». Tout discours sur l’acte manifestera ce trouble, cette vibration, cette « nouveauté
84 créante. Force nous est de reconnaître qu’un tel discours , dans l’état de notre philosophie, paraîtra peu philosophique. Person
51 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Le problème de la culture
85 ces vestales, gardiennes du sens et de l’usage du discours  ? Mariées, vendues, traîtresses à leurs vœux, ou bien, qu’on me pardo
52 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Hegel, Comte, Marx, ou la rationalisation
86 utel. Mais les mots dissimulent le paradoxe. 14. Discours du Trône, mars 1830. 15. Voir sur ce point ma Politique de la perso
53 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — L’Arche de l’Alliance
87 dominée par l’élément biblique.) Seuls les grands discours prophétiques parmi tous les chants de la terre, ont réellement rythmé
54 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Sur le déclin du Moyen Âge
88 nt la rhétorique prétend dominer le sens même des discours qui ordonnent l’action : dictature des instruments, qui se traduit en
89 oncours pour la rédaction des lettres et pour les discours publics et solennels32. » Ainsi le glissement de la mesure est accomp
90 latiniste de l’époque n’aboutissent qu’à orner un discours dont l’ornement paraît enfin tout le sujet. Mais de la réponse de Cal
55 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Décadence des lieux communs
91 uant au mot patrie, on le voit confondu, dans les discours et les articles de journaux, avec État, nation, mystique raciale, peu
56 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — La mesure soviétique
92 t à lire leurs livres, et viennent acclamer leurs discours , au lieu de croire aux sornettes des popes. En somme, ce qu’ils croie
93 nation l’épithète de matérialistes. 44. Voir les discours de Malraux au « Congrès pour la défense de la culture » de juin 1935.
57 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — La mesure nationale-socialiste
94 ue sur tout autre facteur. On s’ingénia, dans les discours de propagande, à faire de nécessité vertu. On se servit du « spiritue
95 ne a été fort bien exprimée par Rosenberg dans un discours où il s’élève avec violence contre toute conception ascétique ou moye
58 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Leçon des dictatures
96 ent avec une insistance expresse dans les récents discours d’Hitler.
59 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
97 lui opposer le génie de la liberté. Saint-Just. ( Discours du 12 février 1793.) On pourrait sans difficulté multiplier les gran
60 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
98 nathème prononcé sur ceux que j’ai dits et sur ce discours déplorable. Et me tenant sous le joug, cependant, je déclare et répèt
61 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
99 tout à l’écrivain qui parle de la culture ; à son discours . Nous allons donc raisonner à partir de cet acte indicible, et c’est
100 décroître dans la mesure où croît la quantité des discours , des journaux. Ce serait donc le premier office d’une pensée modestem
101 une réalité éthique immédiate à chaque progrès du discours et qu’il n’en sorte pas intact ! « Ne rien écrire d’autre que ce qui
102 nder une banque, conduire un camion, prononcer un discours , sortir sans pardessus par un froid extraordinaire, cueillir une fleu
62 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). L’Âme romantique et le rêve (23 mars 1937)
103 xaltée je me disais : Qu’est-ce que tout cela, ce discours , ces clameurs, sinon les phantasmes d’un rêve, d’un rêve de vie tendu
63 1937, Articles divers (1936-1938). Lénine, Staline et la littérature (17 avril 1937)
104 s tard, à cette déclaration totalitaire ; dans un discours aux cadets de l’Académie de l’Armée rouge, il s’écrie : « Chez nous,
64 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
105 e l’Ouest (15 juin 1937)a 10 décembre 1933 Un discours de l’instituteur. — Hier soir, séance de Pathé-Baby organisée par l’i
106 ononcer, comme chaque semaine désormais, un petit discours . « Je serai bref ! » C’est un jeune homme d’allure énergique et de vi
107 senter l’orateur qui va vous faire un intéressant discours sur le sujet… Je ne connais pas beaucoup M. Palut, n’est-ce pas, c’es
108 inquiet de mon opinion d’« intellectuel » sur son discours . « C’était sûrement beaucoup trop simple pour vous, ce que je leur ai
109 les connais. Ils aiment qu’on leur fasse un beau discours . Ah ! c’est terrible, je vous assure. Bien sûr, il faudrait parler au
110 u peuple. Troisième constatation : la plupart des discours que l’on tient au peuple lui sont incompréhensibles ; mais ceux qui l
111 rtie de l’éloquence. Et l’éloquence est le but du discours , dont le sujet n’est que le prétexte. Je constate. Je conclus que les
112 ait se débrouiller à Paris et peut faire de beaux discours . Dans ces conditions, qu’un intellectuel aille parler au peuple, on l
65 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
113 abitants, pour la plupart jacobins. Plusieurs des discours de leurs chefs ont été consignés par miracle : ils ne le cèdent en ri
66 1937, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Comment savoir à quoi ils pensent (Quelques remarques sur la méthode) (1er novembre 1937)
114 loi imprévu qu’il en fait dans le contexte de son discours , de son milieu, de sa vie quotidienne, que vous pourrez deviner comme
67 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
115 abitants, pour la plupart jacobins. Plusieurs des discours de leurs chefs ont été consignés par miracle : ils ne le cèdent en ri
116 eu engourdi lui aussi. 10 décembre 1933 Un discours de l’instituteur. — Hier soir, séance de Pathé-Baby organisée par l’i
117 ononcer, comme chaque semaine désormais, un petit discours . « Je serai bref ! » C’est un jeune homme d’allure énergique et de vi
118 senter l’orateur qui va vous faire un intéressant discours sur le sujet… Je ne connais pas beaucoup M. Palut, n’est-ce pas, c’es
119 inquiet de mon opinion « d’intellectuel » sur son discours . « C’était sûrement beaucoup trop simple pour vous, ce que je leur ai
120 les connais. Ils aiment qu’on leur fasse un beau discours . Ah ! c’est terrible, je vous assure. Bien sûr, il faudrait parler au
121 u peuple… Troisième constatation : la plupart des discours que l’on tient au peuple lui sont incompréhensibles ; mais ceux qui l
122 rtie de l’éloquence. Et l’éloquence est le but du discours , dont le sujet n’est que le prétexte. Je constate. Je conclus que les
123 ait se débrouiller à Paris et peut faire de beaux discours . Dans ces conditions, qu’un intellectuel aille parler au peuple, on l
68 1937, Articles divers (1936-1938). Vocation et destin d’Israël (1937)
124 dominée par l’élément biblique.) Seuls les grands discours prophétiques, parmi tous les chants de la terre, ont réellement rythm
69 1938, Articles divers (1936-1938). Søren Kierkegaard (février 1938)
125 tion, Crainte et Tremblement) et deux recueils de Discours édifiants, signés de son nom. Mais à mesure qu’il faisait mieux voir
126 isme, christianisme et confort moral, témoignage, discours académiques. L’évêque Nynster venait de mourir, comblé d’honneurs et
70 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Du danger de s’unir (15 avril 1938)
127 comme d’un prétexte pour légitimer des coups bas. Discours à part, que fait-on depuis un mois pour préparer les voies de la réco
71 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Vues sur le national-socialisme (1er juin 1938)
128 onde : d’où le didactisme pesant des innombrables discours politiques et des leaders de la presse mise au pas. Certes, les Allem
72 1938, Esprit, articles (1932–1962). L’amour action, ou de la fidélité (novembre 1938)
129 choses-là sont trop simples et totales pour qu’un discours vienne mettre ses délais entre la question qu’elles nous posent et la
73 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
130 s encore pris l’habitude du geste par lequel tout discours officiel doit réglementairement se terminer. 6 novembre 1935 Le
131 onde : d’où le didactisme pesant des innombrables discours politiques et des leaders de la presse mise au pas. Certes, les Allem
132 vel ordre social. Ce qui était révoltant dans les discours lancés comme des défis à l’étranger, devient presque touchant, à forc
133 dans tous les articles de journaux, dans tous les discours politiques, à tout propos. J’admire votre « Secours d’hiver », mais j
134 étage supérieur, sans comprendre. Ce doit être le discours du Führer. Personne dans la maison ne répond plus aux sonneries, et t
135 rtes ont été fermées à double tour. Une heure. Le discours vient de prendre fin. Un chant : le Deutschland über alles. Des porte
136 dame me téléphone, encore anxieuse : « Dès que le discours a été terminé, je me suis précipitée à la fenêtre pour voir s’il n’y
137 libérateur invincible…   J’ai envoyé un récit du discours à des amis de France : copie des notes de ce journal. Je n’ai ajouté
138 itique et de droit. Lorsque j’essaie d’évoquer ce discours qui m’a révélé « leur » secret, pour peu de passion que j’y mette, on
139 la surhumaine énergie qu’il développe pendant un discours . Une énergie de cette nature, on sent très bien qu’elle n’est pas de
140 Robespierre. La Convention fit éditer l’un de ses discours dont Gardère nous donne l’analyse. Il s’agit de répondre à cette ques
141 titude saisissante, après quelques minutes de son discours  : voici un homme qui parle sérieusement. Chacun de ces mots qu’il dét
142 une que nous ne voyons pas. (J’ai déjà entendu ce discours , et le résume d’avance pour mes voisins, Emmanuel Mounier et sa femme
143 voisins, Emmanuel Mounier et sa femme.) C’est le discours classique du chef local, anthologie de « paroles » du Führer. Mais vo
74 1938, Journal d’Allemagne. Instruction spirituelle donnée aux étudiants hitlériens, (Extrait de lettre d’un étudiant allemand)
144 icielle du Parti et du Führer. » À la suite de ce discours , l’étudiant et deux de ses camarades allèrent trouver le chef du camp
75 1938, Journal d’Allemagne. Plébiscite et démocratie. (À propos des « élections » au Reichstag, 29 mars 1936)
145 te démocratique. Le Führer, dans plusieurs de ses discours , a longuement insisté sur ce point. Les démocraties de l’Ouest, disai
146 n peut retrouver les textes exacts dans plusieurs discours de Hitler imprimés et traduits en français.) Je ne puis me mettre dan
76 1939, Articles divers (1938-1940). Un quart d’heure avec M. Denis de Rougemont : Hitler, grand-prêtre de l’Allemagne (11 janvier 1939)
147 st imposée à moi que le jour où j’ai assisté à un discours du Führer, en présence de 40 000 personnes. Mais, ce jour-là, ce fut
77 1939, Le Figaro, articles (1939–1953). L’ère des religions (22 février 1939)
148 mbat dans l’invisible spirituel, à la veille d’un discours qui devait être un acte, nous laisse tous en suspens sur le mystère d
78 1939, Articles divers (1938-1940). Qui est Hitler ? (24 février 1939)
149 la surhumaine énergie qu’il développe pendant un discours . Une énergie de cette nature, on sent très bien qu’elle n’appartient
79 1939, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Âme romantique et le rêve (15 août 1939)
150 nt faire autre chose que de saluer là l’écho d’un discours divin. » Alors le doute n’est plus permis : l’analogie purement forme
151 la dont ils voulaient parler, cet Indicible ou ce discours sans mots entendu dans la nuit de la passivité, comment l’eussent-ils
152 é, refoulé avec force et bruyamment nié (tous les discours d’Hitler proclament, dès le début, que les Allemands n’ont pas perdu
153 C’est la Recherche du temps perdu, de Proust. 9. Discours du 18 juin 1939, à Dantzig. b. « L’Âme romantique et le rêve », La R
80 1939, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La Poésie scientifique en France au xvie siècle, par Albert-Marie Schmidt (septembre 1939)
154 der. La création entière, disait Hamann, est « un discours adressé à la créature au moyen de la créature : car un jour le redit
81 1939, L’Amour et l’Occident. Avertissement
155 ils ne s’en lassent jamais, si commun que soit le discours  ; mais ils redoutent que l’on définisse la passion, pour peu de rigue
82 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
156 ais grandiloquentes ou plaintives, les figures du discours passionné, les « couleurs » de sa rhétorique ne seront jamais que les
83 1939, L’Amour et l’Occident. L’Amour action, ou de la fidélité
157 choses-là sont trop simples et totales pour qu’un discours vienne mettre ses délais entre la question qu’elles nous posent et la
84 1939, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Nicolas de Flue et la Réforme (août 1939)
158 édérés, en prononçant devant la Diète de Stans un discours plein d’élévation. Comment prendre vraiment au sérieux un drame qui s
159 as faite : sa venue en personne à la Diète, et le discours qu’il y aurait prononcé !) La piété du Frère Claus Ce résumé d’
85 1939, Nicolas de Flue. ACTE III.
160 st au délégué des villes. Waldmann (lisant son discours ). —  Considérant la malice des temps, mais aussi la valeur de nos arm
86 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
161 ais grandiloquentes ou plaintives, les figures du discours passionné, les « couleurs » de sa rhétorique ne seront jamais que les
87 1939, L’Amour et l’Occident (1956). L’amour action, ou de la fidélité
162 choses-là sont trop simples et totales pour qu’un discours vienne mettre ses délais entre la question qu’elles nous posent et la
88 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Avertissement
163 ils ne s’en lassent jamais, si commun que soit le discours  ; mais ils redoutent que l’on définisse la passion, pour peu de rigue
89 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Passion et mystique
164 ais grandiloquentes ou plaintives, les figures du discours passionné, les « couleurs » de sa rhétorique ne seront jamais que les
90 1939, L’Amour et l’Occident (1972). L’amour action, ou de la fidélité
165 choses-là sont trop simples et totales pour qu’un discours vienne mettre ses délais entre la question qu’elles nous posent et la
91 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La bataille de la culture (janvier-février 1940)
166 nons trois mots parmi les plus fréquents dans les discours et les écrits de notre époque : esprit, liberté et ordre. Je constate
92 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. I : Les voix que rien n’arrête (24 février 1940)
167 des nouvelles beaucoup moins rassurantes que les discours patriotiques et officiels ? Figurez-vous que vous êtes, en cet instan
93 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. II : Sommes-nous libres ? (2 mars 1940)
168 s défendrons nos libertés, répétons-nous dans nos discours patriotiques, — ces libertés que nos pères nous ont acquises au prix
94 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. IV : Notre « mission spéciale » (16 mars 1940)
169 la Suisse des manuels, des cartes postales et des discours , n’est pas la Suisse qui se vante de ses beautés, de ses libertés et
95 1940, La Vie protestante, articles (1938–1978). « Dieu premier servi » (26 avril 1940)
170 triotisme. Si certains n’hésitent pas, dans leurs discours , à invoquer « le Dieu de nos pères », il semble parfois que ce soit m
96 1940, Articles divers (1938-1940). L’homme au poignard enguirlandé (1940)
171 e la messe, on vante à Berne la modération de ses discours lors des débats de religion. Ce dernier trait achève de peindre le sé
97 1940, Mission ou démission de la Suisse. La bataille de la culture
172 de moins organique dans sa structure qu’un de ces discours de propagande que nous déverse la radio… Si vous passez du poème au d
173 nous déverse la radio… Si vous passez du poème au discours , vous avez l’impression de changer d’humanité, d’âge historique et de
174 uissante sur les lois fatales de l’action. Si les discours ne trompent plus personne, si les mots n’ont plus de pouvoir, si les
175 nons trois mots parmi les plus fréquents dans les discours et les écrits de notre époque : esprit, liberté et ordre. Je constate
98 1940, Mission ou démission de la Suisse. La Suisse que nous devons défendre
176 des nouvelles beaucoup moins rassurantes que les discours patriotiques et officiels ? Figurez-vous que vous êtes, en cet instan
177 dégonflage de ces clichés. Notre assemblée, et ce discours , seraient inutiles, si nous ne cherchions pas ensemble, et si nous ne
178 défendrons nos libertés — répétons-nous dans nos discours patriotiques — ces libertés que nos pères nous ont acquises au prix d
179 triotisme. Si certains n’hésitent pas, dans leurs discours , à invoquer le Dieu de nos pères, il semble parfois que c’est moins p
180 s la Suisse des manuels, des cartes postales, des discours de tirs fédéraux ; n’est pas la Suisse qui se vante de ses beautés, d
99 1940, Articles divers (1938-1940). Henri le Vert ou l’âme alémanique (1940)
181 te ou un Monsieur de Berne ! C’est un fragment de discours patrio­tique que Gottfried Keller — encore lui ! — met dans la bouche
100 1941, Journal de Genève, articles (1926–1982). Religion et vie publique aux États-Unis (18 février 1941)
182 meurent : la Foi, l’Espérance et la Charité… » Le discours inaugural terminé, et à peine les applaudissements se sont-ils apaisé