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s péripéties de son dernier roman sans exposer et
discuter
toutes les idées qu’elles illustrent. Les personnages discutent certe
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es les idées qu’elles illustrent. Les personnages
discutent
certes, mais leurs actions sont les meilleurs arguments. Et peu à peu
3
vous pas que c’est faire le jeu de vos ennemis de
discuter
avec eux dans leur langue et de crier rouge pour la simple raison qu’
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quences, alors que Ford passe outre et se remet à
discuter
des points de technique. Il n’a pas senti qu’il touchait là le nœud v
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mporaine écœure plus que tout. Plutôt donc que de
discuter
ces thèses, je voudrais suivre leurs prolongements au-delà — au-desso
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nue, qui exprime l’être profond de la race. On ne
discute
pas cet amour, on ne réfute pas cette haine. Ici, la sympathie est un
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t avant tout un art. La nôtre ayant voix au forum
discute
autant qu’elle n’invente ou qu’elle ne stylise. On peut dire, avec pl
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onsidère la « question » sociale et que l’on en «
discute
», c’est irritant, vain et irréductible. Car la question sociale n’ad
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illustre avec un talent qu’il n’est plus temps de
discuter
, une position morale exemplairement ambiguë. Rien de plus légitime qu
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e la culture dans ses rapports avec le peuple. Il
discute
M. Malraux et son goût désespéré de l’action pour elle-même. Il conda
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nue, qui exprime l’être profond de la race. On ne
discute
pas cet amour, on ne réfute pas cette haine. Ici, la sympathie est un
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nue, qui exprime l’être profond de la race. On ne
discute
pas cet amour, on ne réfute pas cette haine. Ici, la sympathie est un
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t pour moins sérieux. Nous étions mal placés pour
discuter
cela, donc en somme pour défendre l’esprit, — qui était pourtant tout
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re ; les traités ne sont guère respectés, mais on
discute
solennellement leurs clauses comme s’ils gardaient quelque importance
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de Dieu : parce qu’avec les hommes, nous pourrons
discuter
… 2. « Mais oui ! malgré l’impopularité du terme ! » 3. Capable de
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les-mêmes. Nous nous refusons, de plus en plus, à
discuter
sur des nuances métaphysiques arbitrairement définies, sur des opposi
17
e gréco-latine. Nous n’avons pas, bien entendu, à
discuter
ici la question des humanités. Nous prendrons le mot humanisme au sen
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a rue la plus animée de la ville, parler, rire et
discuter
avec des bourgeois, des jeunes filles, des balayeurs, des intellectue
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t le succès fut grand et les conclusions vivement
discutées
. L’ouvrage qu’il nous donne aujourd’hui est la suite de cette Vie de
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les-mêmes. Nous nous refusons, de plus en plus, à
discuter
sur des nuances métaphysiques arbitrairement définies, sur des opposi
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e gréco-latine. Nous n’avons pas, bien entendu, à
discuter
ici la question des humanités. Nous prendrons le mot humanisme au sen
22
rendre pleinement justice au communisme. Je puis
discuter
sa théorie économique ; sa conception de l’histoire ; sa dialectique
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les-mêmes. Nous nous refusons, de plus en plus, à
discuter
sur des nuances métaphysiques arbitrairement définies, sur des opposi
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e gréco-latine. Nous n’avons pas, bien entendu, à
discuter
ici la question des humanités. Nous prendrons le mot humanisme au sen
25
rendre pleinement justice au communisme. Je puis
discuter
sa théorie économique ; sa conception de l’histoire ; sa dialectique
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i l’impression, depuis que nous nous sommes mis à
discuter
, qu’aucun de nous ne sait ce qu’il dit. J’entends exactement : aucun
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ésumer notre débat. Quel est le problème que nous
discutons
? C’est le problème inverse de celui d’Hamlet. « Être ou ne pas être
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conforme à sa théologie, on pouvait se risquer à
discuter
avec cet homme de nuit, quand il ne s’agit plus d’agir, mais seulemen
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et que nous n’avons pas le droit ni le pouvoir de
discuter
. Elle nous adresse une vocation. Et alors, nous voici placés dans une
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destiné à servir de club à tous ceux qui voudront
discuter
en public les questions suivantes : a) définition de la culture, de s
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là qui explique le titre du livre. On a plaisir à
discuter
des déclarations aussi franches et pourtant pures de toute espèce de
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ts cantons suisses où les affaires publiques sont
discutées
par l’assemblée plénière des électeurs, ou Landsgemeinde. Mais une te
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doute qu’un Meyerson sont sérieusement compris et
discuté
par beaucoup plus de personnes que Descartes n’en convainquit de son
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l’est pas. Ce n’est pas elle, la ligne, que l’on
discute
. Ce que l’on discute, c’est de savoir si telle œuvre, tel geste ou te
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pas elle, la ligne, que l’on discute. Ce que l’on
discute
, c’est de savoir si telle œuvre, tel geste ou telle théorie est confo
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doute qu’un Meyerson soit sérieusement compris et
discuté
par beaucoup plus de personnes que Descartes n’en convainquit de son
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soviétique, ou la mesure soviétique, ce n’est pas
discuter
telle ou telle modalité de son application ; ce n’est pas prophétiser
38
ue nous pouvons faire, et qui est utile, c’est de
discuter
les propositions générales et théoriques que l’on a voulu déduire de
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doute qu’un Meyerson soit sérieusement compris et
discuté
par beaucoup plus de personnes que Descartes n’en convainquit de son
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soviétique, ou la mesure soviétique, ce n’est pas
discuter
telle ou telle modalité de son application ; ce n’est pas prédire (à
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ce que les plus récentes écoles ont passionnément
discuté
, se trouve déjà posé et défini, avec une ampleur admirable, par ces p
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de tout ce qui n’est pas « intellectuel » — ne «
discute
» pas à proprement parler. Son langage en tout cas s’y prête mal, soi
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hes ! — Et chez eux, les voyez-vous ? Pouvez-vous
discuter
avec eux ? — Guère. Là encore, ce sont surtout les femmes qu’on voit.
44
y viennent ? — Bien sûr, le maire en tête. Et ils
discutent
, et même très bien. Je me rappelle par exemple une discussion sur l’i
45
position. Quant à la doctrine, c’est difficile à
discuter
, d’abord parce qu’ils la connaissent mal, ensuite et surtout parce qu
46
e, violacé d’ordinaire, en est tout pâle. Je vais
discuter
le coup avec lui pour le ravigoter. C’est un de ces Méridionaux qui n
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de qu’ils veillent à tour de rôle, ils sont venus
discuter
dans la remise qui est au-dessous de notre chambre, et leurs éclats d
48
te ou on le refuse, en vertu d’une décision pure.
Discuter
ne peut nous conduire qu’au seuil de cette décision. Et nous n’aurons
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violent, c’est une espèce de brute qui refuse de
discuter
, de donner ses raisons, et qui frappe du poing sur la table. Ainsi vi
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de qu’ils veillent à tour de rôle, ils sont venus
discuter
dans la remise qui est au-dessous de notre chambre, et leurs éclats d
51
t de mensonges, quoi ! Mais ici ils ne savent pas
discuter
. Si vous alliez à F…2 alors, c’est autre chose. Là ça barde, après le
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r de tout cela. M. Palut n’a jamais l’occasion de
discuter
, il se sent terriblement isolé au milieu de cette population bigote o
53
ence. Cet homme trouvait qu’il n’y avait rien à «
discuter
» dans les paroles de l’orateur, parce que c’était « la vérité ». Aut
54
re le conférencier, alors, alors il y aurait eu à
discuter
! Mais je n’ai pas remarqué qu’aucun des auditeurs ait pris la chose
55
hef-lieu, faire rouvrir au passage le sac postal,
discuter
passionnément, trouver une formule d’apaisement qui ménage toutes les
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hef-lieu, faire rouvrir au passage le sac postal,
discuter
passionnément, trouver une formule d’apaisement qui ménage toutes les
57
ement, un simple opportunisme ? Que sert alors de
discuter
, de confronter ? « Rien ne sera juste à cette balance » (Pascal). Je
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hef-lieu, faire rouvrir au passage le sac postal,
discuter
passionnément, trouver une formule d’apaisement qui ménage toutes les
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t de mensonges, quoi ! Mais ici ils ne savent pas
discuter
. Si vous alliez à F…2, alors ! c’est autre chose. Là ça barde, après
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r de tout cela. M. Palut n’a jamais l’occasion de
discuter
, il se sent terriblement isolé au milieu de cette population bigote o
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ence. Cet homme trouvait qu’il n’y avait rien à «
discuter
» dans les paroles de l’orateur, parce que c’était « la vérité ». Aut
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e le conférencier, alors ! alors il y aurait eu à
discuter
! Mais je n’ai pas remarqué qu’aucun des auditeurs ait pris la chose
63
le d’un croquemitaine pour grandes personnes.) On
discute
avec passion des mesures à prendre pour occuper les sans-travail, ou
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de tout ce qui n’est pas « intellectuel » — ne «
discute
» pas à proprement parler. Son langage en tout cas s’y prête mal, soi
65
hes ! — Et chez eux, les voyez-vous ? Pouvez-vous
discuter
avec eux ? — Guère. Là encore, ce sont surtout les femmes qu’on voit
66
y viennent ? — Bien sûr, le maire en tête. Et ils
discutent
, et même très bien. Je me rappelle par exemple une discussion sur l’i
67
position. Quant à la doctrine, c’est difficile de
discuter
, d’abord parce qu’ils la connaissent mal, ensuite et surtout parce qu
68
e, violacé d’ordinaire, en est tout pâle. Je vais
discuter
le coup avec lui pour le ravigoter. C’est un de ces Méridionaux qui n
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de qu’ils veillent à tour de rôle, ils sont venus
discuter
dans la remise qui est au-dessous de notre chambre, et leurs éclats d
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te ou on le refuse, en vertu d’une décision pure.
Discuter
ne peut nous conduire qu’au seuil de cette décision. Et nous n’aurons
71
« de ne point perdre leur temps et leurs forces à
discuter
avec leurs adversaires ». Il leur demande ensuite de prendre le pouvo
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ésarmer autant que possible les adversaires, donc
discuter
. Au surplus, je ne sais pas si le terme d’adversaire convient à M. Pi
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es fausses de faits « prouvés ». La thèse peut se
discuter
. L’illustration m’en paraît convaincante. « Le grand étonnement que p
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git d’une dichotomie, rationnelle, mais dont nous
discuterons
la possibilité humaine — entre un gouvernement issu des groupes humai
75
s en règle avec notre conscience. Il n’y a plus à
discuter
. Le temps des nuances est passé. L’état de siège est proclamé. Et cel
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urelle, et de plus qu’elle est salutaire. Cela se
discute
à l’infini. Et cela nous sera des plus utile dès que les hommes se ré
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ni chez les bourgeois de l’opposition. Notre hôte
discute
brièvement et poliment mes objections (portant surtout sur le danger
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ts cantons suisses où les affaires publiques sont
discutées
par l’assemblée plénière des électeurs (Landsgemeinde). Mais une tell
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ute mentalité « totalitaire » ? C’est le refus de
discuter
. Et de là vient le terrorisme. La Terreur (jacobine, bolchéviste ou f
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publique les « individus », c’est-à-dire ceux qui
discutent
; ceux qui, sans être même des opposants, ne manifestent pas une volo
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uer avant de juger ; c’est-à-dire la nécessité de
discuter
et de déclarer ses critères. Et je précise : non de discuter pour élu
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de déclarer ses critères. Et je précise : non de
discuter
pour éluder la prise de parti, mais au contraire pour situer cette pr
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c un maximum d’efficience. S’ils étaient amenés à
discuter
, par suite à donner les raisons de leur jugement, ils s’apercevraient
84
e refus de reconnaître les faits gênants (donc de
discuter
objectivement) et par la passion de condamner à priori des « tendance
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talitaire. Je revendique pour ma part le droit de
discuter
, et j’en fais même un devoir civique. Si vous me le contestez, je vou
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le dirai encore si vous me contestez le droit de
discuter
le fascisme lui-même. Car je prétends que ma meilleure arme contre lu
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e, mais une conclusion réfléchie. 4. Refuser de
discuter
Hitler, c’est le « tabouer », le considérer comme l’adversaire sacré.
88
e l’adversaire sacré. Le sacré, c’est ce qu’on ne
discute
pas. Mais le sacré est toujours ambigu : l’horreur toujours liée à l’
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hète Elie. Puis les cantons personnifiés viennent
discuter
le renouvellement de l’ancienne alliance confédérale. Nicolas invoque
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en passant la thèse d’Asin Palacios que l’on peut
discuter
— et on l’a fait ! — mais que je n’avais pas le droit d’ignorer. as.
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adrid 1919. Dans une édition ultérieure, l’auteur
discute
les innombrables objections que sa thèse n’a pas manqué d’exciter che
92
t un traité sur le droit de guerre où l’on trouve
discutées
pêle-mêle à coups de textes bibliques et d’articles de droit canoniqu
93
urelle, et de plus qu’elle est salutaire. Cela se
discute
à l’infini. Et cela nous sera des plus utiles dès que les hommes se r
94
ractère distinctif l’intolérance radicale. (On ne
discute
pas ce qui est sacré.) De plus, elle est radicalement grégaire et xén
95
rés de la collectivité. Il revendique le droit de
discuter
, c’est-à-dire le libre examen de toutes choses. Il est assoiffé de gl
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ais vous dire une chose : pendant qu’on est ici à
discuter
, lui, là-haut, il est déjà levé pour ses prières. Il se lève toujours
97
écrites. 44. On la trouvera formulée page 84, et
discutée
plus amplement au chapitre 10. 45. Otto Rahn, Croisade contre le Gra
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t un traité sur le droit de guerre où l’on trouve
discutées
pêle-mêle à coups de textes bibliques et d’articles de droit canoniqu
99
urelle, et de plus qu’elle est salutaire. Cela se
discute
à l’infini… Et cela nous sera des plus utiles dès que les hommes se r
100
crites. 37. On la trouvera formulée page 108, et
discutée
plus amplement au chapitre 10. 38. Otto Rahn, Croisade contre le Gra
101
t un traité sur le droit de guerre où l’on trouve
discutées
pêle-mêle à coups de textes bibliques et d’articles de droit canoniqu
102
ce, l’Amour, le Mariage. En revanche, Kierkegaard
discute
longuement les catégories de « sensualité » et « sexualité » (synonym
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urelle, et de plus qu’elle est salutaire. Cela se
discute
à l’infini. Et cela nous sera des plus utiles dès que les hommes se r
104
sérieux, c’est que nous restons mobilisés. Je ne
discuterai
même pas ici l’argument de l’impartialité morale, qui put jouer un rô
105
été des braves gens. Par exemple, on ne doit plus
discuter
de son administration et de ses rapports avec l’État comme s’il s’agi
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ne sommes pas convaincants quand nous cherchons à
discuter
, à prévenir des objections que la plupart des auditeurs n’auraient pa
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tourmentée de doutes. Elle n’a guère la manie de
discuter
. Elle attend des directions positives. Elle est prête à croire, et el
108
de programmes restreints, bien définis, l’on peut
discuter
entre experts, se compléter, collaborer. Mais les partis unitaires ac
109
st aussi se préparer, peser le pour et le contre,
discuter
… On connaît la devise humoristique du Méridional : « Toujours à gauch
110
ossibilité de nouer des liens personnels. Nous ne
discutons
pas les formules vides d’un quelconque programme de conciliation, mai
111
ractère distinctif l’intolérance radicale. (On ne
discute
pas ce qui est sacré.) De plus, elle est radicalement grégaire et xén
112
rés de la collectivité. Il revendique le droit de
discuter
, c’est-à-dire le libre examen de toutes choses. Il est assoiffé de gl
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lancer des tonnes d’acier sur la tête, au lieu de
discuter
sérieusement leurs affaires ? Que servait de parler et de théoriser d
114
sérieux, c’est que nous restons mobilisés. Je ne
discuterai
même pas ici, l’argument de l’impartialité, qui put jouer un rôle en
115
lois, et par là même soumis au risque de se voir
discuté
. 5. La force des choses — qui n’est qu’une traduction automatique de
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de programmes restreints, bien définis, l’on peut
discuter
entre experts, se compléter, collaborer. Mais les partis unitaires ac
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st aussi se préparer, peser le pour et le contre,
discuter
… On connaît la devise humoristique du Méridional : « Toujours à gauch
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ractère distinctif l’intolérance radicale. (On ne
discute
pas ce qui est sacré.) De plus, elle est radicalement grégaire et xén
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rés de la collectivité. Il revendique le droit de
discuter
, c’est-à-dire le libre examen de toutes choses. Il est assoiffé de gl
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fait d’ailleurs fureur. L’Américain n’aime guère
discuter
, mais il aime faire connaître son opinion. Il délègue donc ce soin à
121
e dans d’autres républiques, l’opinion américaine
discute
réellement les problèmes posés. Elle cherche réellement à les résoudr
122
aux distinctions du Moyen Âge et des époques qui
discutaient
sans fin les cas de possession, c’est-à-dire d’individus particuliers
123
e foudre est le reflet d’une conversion. Il ne se
discute
pas davantage. Vous êtes élu « parce que c’est vous, parce que c’est
124
tre, et ces oiseaux nous attaquaient ! Les hommes
discutaient
à coup de bombes, qui ne prouvaient rien de ce qui était en cause. Il
125
aux distinctions du Moyen Âge et des époques qui
discutaient
sans fin les cas de possession, c’est-à-dire d’individus particuliers
126
e foudre est le reflet d’une conversion. Il ne se
discute
pas davantage. Vous êtes élu « parce que c’est vous, parce que c’est
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tre, et ces oiseaux nous attaquaient ! Les hommes
discutaient
à coup de bombes, qui ne prouvaient rien de ce qui était en cause. Il
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aux distinctions du Moyen Âge et des époques qui
discutaient
sans fin les cas de possession, c’est-à-dire d’individus particuliers
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e foudre est le reflet d’une conversion. Il ne se
discute
pas davantage. Vous êtes élu « parce que c’est vous, parce que c’est
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aux distinctions du Moyen Âge et des époques qui
discutaient
sans fin les cas de possession, c’est-à-dire d’individus particuliers
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a rue la plus animée de la ville, parler, rire et
discuter
avec des bourgeois, des jeunes filles, des balayeurs, des intellectue
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cepte ou le refuse, en vertu d’une décision pure.
Discuter
ne peut nous conduire qu’au seuil de cette décision. Et nous n’aurons
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peut alourdir la démarche de la pensée. Insister,
discuter
, citer sources et faits, ce serait encore de la sincérité, face à l’o
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is autant que cet auteur. Je me méfie, et bientôt
discute
. Et plus l’auteur paraît désireux de me convaincre — au lieu de s’aba
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la Bombe puisse faire sauter la terre ? — Cela se
discute
… Certains de mes collègues ont envisagé l’hypothèse, et sont de l’avi
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es, sillonnées de taxis bondés. Je me disais : on
discute
gentiment dans les salons la possibilité de faire sauter la planète.
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qu’ils ne sont en mesure de les imaginer. Cela se
discuterait
à l’infini. Il n’est qu’une solution, qui est d’aller voir, et d’essa
138
mique démesuré. Le contrôle de la Bombe, que l’on
discute
à longueur de colonne, dans toute la presse, est la plus belle absurd
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qu’ils ne sont en mesure de les imaginer. Cela se
discuterait
à l’infini. Il n’est qu’une solution, qui est d’aller voir, et d’« es
140
déclarés, nous allions enfin pouvoir, entre nous,
discuter
le contenu véritable de la démocratie, sans passer aussitôt pour des
141
mique démesuré. Le contrôle de la Bombe, que l’on
discute
à longueur de colonne, dans toute la presse, est la plus belle absurd
142
nécessaires pour défendre l’indépendance. Cela se
discute
. Ce fut la tendance de Vichy. Par bonheur elle n’a pas prévalu en Sui
143
n article qui doit paraître le lendemain, où l’on
discute
mes idées sur le diable. — Qu’en savez-vous ? Je n’ai pas encore écr
144
nt encore dans ma chambre fumer des cigarettes et
discuter
le coup avec une rigueur inflexible. Il me donne l’impression d’un ce
145
t pour moins sérieux. Nous étions mal placés pour
discuter
cela, donc en somme pour défendre l’esprit, — qui était pourtant tout
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qu’ils ne sont en mesure de les imaginer. Cela se
discuterait
à l’infini. Il n’est qu’une solution, qui est d’aller voir, et d’essa
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ore ; les traités ne sont guère respectés mais on
discute
solennellement leurs clauses comme s’ils gardaient quelque importance