1
nd il s’agit d’adapter des traditions antiques au
dogme
en formation. Au Moyen Âge l’évolution se continue dans le même sens.
2
d’un mystique. Que si l’on vient nous empêtrer de
dogmes
bassement ingénieux : « Si j’essaie un instant de m’élever à la notio
3
la possession, et que j’allais vivre aussi sur le
dogme
l’argent-fait-le-bonheur. En somme, tu croyais que j’allais adhérer à
4
i est une généralisation de l’avarice, et par les
dogmes
démocratiques, qui sont une généralisation de la règle de trois, auss
5
i est une généralisation de l’avarice, et par les
dogmes
démocratiques, qui sont une généralisation de la règle de trois, auss
6
igieuse particulière, antérieure à n’importe quel
dogme
. Je ne crois pas qu’il existe d’autres facultés capables d’équilibrer
7
acilités que donne à sa production l’appareil des
dogmes
spécifiquement catholiques, concernant la Vierge et les saints. En de
8
s ! C’est bien là que nous voulions en venir : le
dogme
ne doit être qu’un stimulant (une difficulté) non pas un poncif. L’id
9
ence n’est que rancœur de faibles accrochés à des
dogmes
, alors que la vraie violence révolutionnaire est une affirmation touj
10
ts, la morale en soi (pas la morale en vertu d’un
dogme
), le nationalisme, l’ironie, le scepticisme, le pompiérisme, — mais i
11
l’esprit humain, quitte à laisser tomber certains
dogmes
décidément incompatibles avec nos plus récentes lumières ? Ou bien do
12
rth, croyons-nous, n’a jamais proposé ni prôné de
dogmes
« si possible immuables » (p. 14). On pourrait dire qu’il fait tout l
13
dèlement, comme le voulait Calvin, le contenu des
dogmes
de l’Église chrétienne. Cette indifférence est si profonde qu’elle re
14
ces non seulement des affirmations renouvelées du
dogme
, mais encore les critiques les plus vives des hérésies qui se sont in
15
ucune force de contrainte. C’est l’Écriture et le
dogme
qui les jugent, et non l’inverse, comme l’a fort bien montré Max Domi
16
seconde, c’est que M. Goguel, loin d’attaquer les
dogmes
, ne démolit que les preuves matérielles dont l’esprit humain voudrait
17
rspective de sa théologie ; le rappel constant du
dogme
suffirait, dans le cas de l’Église protestante, à rétablir la valeur
18
me, sans les rapporter à l’évolution parallèle du
dogme
dans l’Église. De même, John Viénot laisse délibérément de côté tout
19
aussi le Christ. Ainsi l’histoire, la durée, les
dogmes
appris, nous dispenseraient progressivement de faire en présence du V
20
ment que ce soit ». Il y a ceux pour lesquels les
dogmes
sont autant d’occasions de chopper : Quant à ce que la Prédestinatio
21
que ce n’est pas la lettre et la formulation des
dogmes
qui m’importent, mais la manière dont on en use dans l’Église romaine
22
ell., numéro cit., p. 363. 25. Sur des points de
dogme
aussi importants que la prédestination (pour Augustin) ou l’Immaculée
23
disait récemment qu’il atteste la « vérité » des
dogmes
! Hegel, et Spinoza, et Marx ne sont-ils pas plus « cohérents » que t
24
n le voit bien à ce trait : le « développement du
dogme
» n’est en fait qu’une stratification de refus, de défenses contre le
25
ffets étranges. Ainsi je trouve dans Denzinger ce
dogme
: « brûler les hérétiques n’est pas contraire au Saint-Esprit ». C’es
26
révélé par le Fils, et non ce Dieu omnipotent du
dogme
. En effet, Dieu n’est pas dans la Nature, il n’en est ni le maître ni
27
tte « hypothèse de travail » une réaffirmation du
dogme
trinitaire : Dieu est un X qui ne se révèle à l’homme comme le Père q
28
s d’hommes qui font la loi. C’était substituer au
dogme
de la toute-puissance des faits économiques, la croyance au pouvoir c
29
aires pour organiser la société (Comte). Tous les
dogmes
rationalistes qui vont constituer l’armature des idéologies les plus
30
urt à justifier l’inactualité de l’esprit : et ce
dogme
est le seul lieu commun sur lequel s’accordent aujourd’hui les clercs
31
s d’hommes qui font la loi. C’était substituer au
dogme
de la toute-puissance des faits économiques la croyance au pouvoir cr
32
donner carrière au doute public sur la valeur des
dogmes
cléricaux, ne faudrait-il pas essayer de limiter la part du feu à l’a
33
qu’il invoque un ensemble de lois, un ensemble de
dogmes
et de déterminismes figurant à ses yeux la vérité en soi, la mesure d
34
ncarne le moins ; les plus primaires savent cela.
Dogme
nouveau ? Prudence élémentaire, simplement, au siècle de la presse et
35
pothèses prudentes, et deviennent à leur tour des
dogmes
. D’où la mythologie des lois psychologiques, des lois historiques, de
36
a science, cette science, à son tour, secrète des
dogmes
. Elle invente des lois qu’elle dit fatales. Et l’aboutissement normal
37
aires pour organiser la société (Comte). Tous les
dogmes
rationalistes qui vont constituer l’armature des idéologies les plus
38
urt à justifier l’inactualité de l’esprit : et ce
dogme
est le seul lieu commun sur lequel s’accordent aujourd’hui les clercs
39
s d’hommes qui font la loi. C’était substituer au
dogme
de la toute-puissance des faits économiques la croyance au pouvoir cr
40
ves : la religion de la prospérité quantifiée, le
dogme
de la croissance, la société de consommation sont les « Utopies » que
41
donner carrière au doute public sur la valeur des
dogmes
cléricaux, ne faudrait-il pas essayer de limiter d’avance la part du
42
qu’il invoque un ensemble de lois, un ensemble de
dogmes
et de déterminismes figurant à ses yeux la vérité en soi, la mesure d
43
ncarne le moins ; les plus primaires savent cela.
Dogme
nouveau ? Prudence élémentaire, simplement, au siècle de la presse et
44
pothèses prudentes, et deviennent à leur tour des
dogmes
. D’où la mythologie des lois psychologiques, des lois historiques, de
45
a science, cette science, à son tour, secrète des
dogmes
. Elle invente des lois qu’elle dit fatales. Et l’aboutissement normal
46
tous ceux qui tiennent la prédestination pour un
dogme
immoral ou périmé ; ceux qui traduisent : « Paix sur la terre aux hom
47
tère précaire de tous les statuts, constitutions,
dogmes
sociaux… considérés comme normes de la vie politique. Toute déclarati
48
e, et non de l’application quasi automatique d’un
dogme
rigide. Le Conseil suprême n’aura pas seulement pour mission de veill
49
37)q Variations du communisme Opposez les
dogmes
chrétiens aux axiomes de Marx et d’Engels, les communistes vous répon
50
rotestant, répugne absolument à concevoir que les
dogmes
théologiques puissent figurer la théorie d’une pratique49. Le christi
51
tous ceux qui tiennent la prédestination pour un
dogme
immoral ou périmé ; ceux qui traduisent « Paix sur la terre aux homme
52
le christianisme : les obscènes contes juifs, le
dogme
du péché originel (né de la volonté de domination mondiale des juifs)
53
France par le Piémont. Les cathares rejettent le
dogme
de l’incarnation, se fondent sur une interprétation purement spiritua
54
tons nos jugements, et qui ne sont autres que les
dogmes
. — Ça existe, l’amour courtois !… dites-vous. Mais voilà, je le « vid
55
xiie siècle, mais une certaine compréhension des
dogmes
essentiels du christianisme. « L’Amour vient de Dieu, appartient à Di
56
, deux faits surtout doivent être retenus : 1° Le
dogme
fondamental de toutes les sectes manichéennes, c’est la nature divine
57
in de la divinité. Mais le christianisme, par son
dogme
de l’incarnation du Christ dans Jésus, renverse cette dialectique de
58
ossible de reconstituer dans ses grands traits le
dogme
de « l’Église d’Amour ». Dieu est amour. Mais le monde est mauvais. D
59
ence d’un homme40. Les cathares rejettent donc le
dogme
de l’Incarnation, et par suite, le sacrement de la Cène qui le tradui
60
hrétienne » une prédication qui nie plusieurs des
dogmes
fondamentaux de l’Église. Quant à la pureté de mœurs des cathares, no
61
rs ignoraient les analogies de leur lyrisme et du
dogme
cathare, on n’aurait pas encore démontré que l’origine de ce lyrisme
62
nctionner un sentiment qui n’avait pas attendu le
dogme
pour triompher dans tous les arts. 8.Objections Des deux chapit
63
(II, 2) sur la nature essentiellement lyrique des
dogmes
manichéens en général, il apparaît qu’un supplément d’information sur
64
telle nuance ou altération qu’auraient reçues ces
dogmes
dans l’Église du Midi, n’apporterait pas grand-chose pour ou contre m
65
t pas des équivalences rationnelles et exactes du
dogme
qu’il faut chercher dans la rhétorique courtoise, mais bien le dévelo
66
utre chose qu’une transposition terme à terme des
dogmes
catholiques. C’est plutôt une certaine sensibilité (même formelle) qu
67
é (même formelle) qui serait inconcevable sans le
dogme
catholique ; à quoi s’ajoutent des éléments de vocabulaire et de synt
68
ndale, de snobisme et d’intérêt, suscitée par les
dogmes
centraux. Ce qui explique pas mal d’erreurs, variations et contradict
69
e. 8.Crépuscule de l’amour-passion C’est le
dogme
de l’Incarnation qui distingue radicalement la mystique orthodoxe de
70
n effet sont caractérisées par leur opposition au
dogme
trinitaire (du moins sous sa forme orthodoxe) ; par leur spiritualism
71
contre la puissance créatrice de Dieu, contre les
dogmes
de la Trinité et de l’Incarnation… répudiant les définitions théologi
72
hypothèses » humaines pour fonder bibliquement le
dogme
traditionnel. 184. Les gnostiques ont souvent exprimé cette opinion
73
ord un révolté qui oppose ses besoins propres aux
dogmes
sacrés de la collectivité. Il revendique le droit de discuter, c’est-
74
, deux faits surtout doivent être retenus : 1° Le
dogme
fondamental de toutes les sectes manichéennes, c’est la nature divine
75
in de la divinité. Mais le christianisme, par son
dogme
de l’incarnation du Christ dans Jésus, renverse cette dialectique de
76
semble et dans certaines de leurs variations, les
dogmes
de l’« Église d’Amour », nom que l’on a donné parfois à l’hérésie aus
77
e d’un Dieu-Homme. Les cathares rejettent donc le
dogme
de l’Incarnation, et a fortiori sa traduction romaine dans le sacreme
78
hrétienne » une prédication qui nie plusieurs des
dogmes
fondamentaux de son Église. Quant à la pureté de mœurs des cathares,
79
rs ignoraient les analogies de leur lyrisme et du
dogme
cathare, on n’aurait pas encore démontré que l’origine de ce lyrisme
80
(II, 2) sur la nature essentiellement lyrique des
dogmes
manichéens en général, il apparaît qu’un supplément d’information sur
81
telle nuance ou altération qu’auraient reçues ces
dogmes
dans l’Église du Midi, n’apporterait pas grand-chose pour ou contre m
82
t pas des équivalences rationnelles et exactes du
dogme
qu’il faut chercher dans la rhétorique courtoise, mais bien le dévelo
83
utre chose qu’une transposition terme à terme des
dogmes
catholiques. C’est plutôt une certaine sensibilité (même formelle) qu
84
é (même formelle) qui serait inconcevable sans le
dogme
catholique ; à quoi s’ajoutent des éléments de vocabulaire et de synt
85
ndale, de snobisme et d’intérêt, suscitée par les
dogmes
centraux. Ce qui explique pas mal d’erreurs, variations et contradict
86
nctionner un sentiment qui n’avait pas attendu le
dogme
pour triompher dans tous les arts. Enfin, voici un dernier trait dont
87
e. 8.Crépuscule de l’amour-passion C’est le
dogme
de l’Incarnation qui distingue radicalement la mystique orthodoxe de
88
n effet sont caractérisées par leur opposition au
dogme
trinitaire (du moins sous sa forme orthodoxe) ; par leur spiritualism
89
contre la puissance créatrice de Dieu, contre les
dogmes
de la Trinité et de l’Incarnation… répudiant les définitions théologi
90
hypothèses » humaines pour fonder bibliquement le
dogme
traditionnel. 202. Les gnostiques ont souvent exprimé cette opinion
91
ésite pas à écrire que la proclamation en 1950 du
dogme
de l’Assomption de la Vierge marque l’événement religieux le plus imp
92
, deux faits surtout doivent être retenus : 1° Le
dogme
fondamental de toutes les sectes manichéennes, c’est la nature divine
93
in de la divinité. Mais le christianisme, par son
dogme
de l’incarnation du Christ dans Jésus, renverse cette dialectique de
94
semble et dans certaines de leurs variations, les
dogmes
de l’« Église d’Amour », nom que l’on a donné parfois à l’hérésie aus
95
e d’un Dieu-Homme. Les cathares rejettent donc le
dogme
de l’Incarnation, et a fortiori sa traduction romaine dans le sacreme
96
hrétienne » une prédication qui nie plusieurs des
dogmes
fondamentaux de son Église. Quant à la pureté de mœurs des cathares,
97
rs ignoraient les analogies de leur lyrisme et du
dogme
cathare, on n’aurait pas encore démontré que l’origine de ce lyrisme
98
(II, 2) sur la nature essentiellement lyrique des
dogmes
manichéens en général, il apparaît qu’un supplément d’information, su
99
telle nuance ou altération qu’auraient reçue ces
dogmes
dans l’Église du Midi, n’apporterait pas grand-chose pour ou contre m
100
t pas des équivalences rationnelles et exactes du
dogme
qu’il faut chercher dans la rhétorique courtoise, mais bien le dévelo
101
utre chose qu’une transposition terme à terme des
dogmes
catholiques. C’est plutôt une certaine sensibilité (même formelle) qu
102
é (même formelle) qui serait inconcevable sans le
dogme
catholique ; à quoi s’ajoutent des éléments de vocabulaire et de synt
103
ndale, de snobisme et d’intérêt, suscitée par les
dogmes
centraux. Ce qui explique pas mal d’erreurs, variations et contradict
104
nctionner un sentiment qui n’avait pas attendu le
dogme
pour triompher dans tous les arts. Enfin, voici un dernier trait dont
105
e. 8.Crépuscule de l’amour-passion C’est le
dogme
de l’Incarnation qui distingue radicalement la mystique orthodoxe de
106
n effet sont caractérisées par leur opposition au
dogme
trinitaire (du moins sous sa forme orthodoxe) ; par leur spiritualism
107
contre la puissance créatrice de Dieu, contre les
dogmes
de la Trinité et de l’Incarnation… répudiant les définitions théologi
108
hypothèses » humaines pour fonder bibliquement le
dogme
traditionnel. 188. Les gnostiques ont souvent exprimé cette opinion
109
ésite pas à écrire que la proclamation en 1950 du
dogme
de l’Assomption de la Vierge marque l’événement religieux le plus imp
110
propension fondamentale à préférer à la lettre du
dogme
l’esprit qui inspire et qualifie nos actions quotidiennes, fussent-el
111
te morale a bientôt fait de se muer à son tour en
dogme
, et la morale protestante succombe à ce danger plus qu’aucune autre d
112
sur la conduite générale des affaires, tel est le
dogme
fondamental de la mentalité moderne. C’est plus qu’un dogme, c’est un
113
amental de la mentalité moderne. C’est plus qu’un
dogme
, c’est une croyance spontanée et universelle. Et ses effets sont si n
114
exposé et témoignage collectif non seulement des
dogmes
fondamentaux de la foi réformée, mais aussi du drame chrétien dans so
115
du pasteur, elle le situe dans l’ensemble de nos
dogmes
, et elle rappelle notre Credo. Bref, quand le sermon commence, tout l
116
ord un révolté qui oppose ses besoins propres aux
dogmes
sacrés de la collectivité. Il revendique le droit de discuter, c’est-
117
sur la conduite générale des affaires, tel est le
dogme
fondamental de la mentalité moderne. C’est plus qu’un dogme, c’est un
118
amental de la mentalité moderne. C’est plus qu’un
dogme
, c’est une croyance spontanée et universelle. Et ses effets sont si n
119
ord un révolté qui oppose ses besoins propres aux
dogmes
sacrés de la collectivité. Il revendique le droit de discuter, c’est-
120
mportance relative de l’argent et du travail, les
dogmes
chrétiens, etc., etc. 10. Si Staline persévère dans sa ligne actuell
121
mportance relative de l’argent et du travail, les
dogmes
chrétiens, etc., etc. 12. Si Staline persévère dans sa ligne actuell
122
mportance relative de l’argent et du travail, les
dogmes
chrétiens, etc., etc. l. « Quelle guerre cruelle », L’Arche, Alger,
123
tous ceux qui tiennent la prédestination pour un
dogme
immoral ou périmé ; ceux qui traduisent : « Paix sur la terre, bénévo
124
propension fondamentale à préférer à la lettre du
dogme
l’esprit qui inspire et qualifie nos actions quotidiennes, fussent-el
125
te morale a bientôt fait de se muer à son tour en
dogme
, et la morale protestante succombe à ce danger plus qu’aucune autre,
126
ry of Playing Cards, London, 1848. Éliphas Lévi :
Dogme
et rituel de la haute magie, 1860 — Clefs majeures et clavicules de S
127
— à mettre en doute la vérité et la validité des
dogmes
chrétiens. L’ère des argumentations « scientifiques » contre la Genès
128
ie siècle : une certaine manière de proclamer le
dogme
de l’inspiration littérale des Écritures, par exemple, revient à disp
129
re technique s’est transformé, les références aux
dogmes
ont disparu, l’appareil logique emprunté aux sciences physico-mathéma
130
ur objet principal de formuler et de critiquer le
dogme
chrétien dans l’Église, elle est en droit de laisser à d’autres le so
131
est que l’écrivain romantique croit voir dans les
dogmes
autant d’entraves à l’essor créateur, tandis que le classique y trouv
132
le christianisme : les obscènes contes juifs, le
dogme
du péché originel (né de la volonté de domination mondiale des juifs)
133
nt en réalité comme des Églises. L’opposition aux
dogmes
d’une Église s’est toujours vue qualifiée d’hérésie, et non d’opinion
134
l’intégration fédérale des nations, renonçant au
dogme
de leur souveraineté absolue, et acceptant sous une forme ou sous une
135
oint par point, avec une étonnante précision, aux
dogmes
des totalitaires. Tous les systèmes totalitaires, en effet, sont fond
136
hison s’ils transigeaient un seul instant avec le
dogme
de la souveraineté absolue. L’union, la paix, que la plupart d’entre
137
re. Vous allez régenter la peinture au nom de vos
dogmes
, nous fabriquer de l’allégorie, du bergsonisme de Prix de Rome, une m
138
tistiques d’État. Cependant, à peine libérées des
dogmes
religieux, ces masses et ces élites n’ont rien de plus pressé que de
139
s n’ont rien de plus pressé que de s’asservir aux
dogmes
d’un parti. Tout ce qu’a perdu la religion, c’est la politique qui le
140
tous les plans frontières et visas, renoncent au
dogme
meurtrier de la souveraineté absolue, créant ainsi une attitude nouve
141
— à mettre en doute la vérité et la validité des
dogmes
chrétiens. L’ère des argumentations « scientifiques » contre la Genès
142
hison s’ils transigeaient un seul instant avec le
dogme
de la souveraineté absolue. L’union, la paix, que la plupart d’entre
143
nce de survivre que si elles renoncent à temps au
dogme
tyrannique de leur souveraineté absolue, les partis n’ont de chance d
144
tous les plans, frontières et visas, renonçant au
dogme
meurtrier de la souveraineté absolue, créent ainsi une attitude nouve
145
tistiques d’État. Cependant, à peine libérées des
dogmes
religieux, ces masses et ces élites n’ont rien de plus pressé que de
146
s n’ont rien de plus pressé que de s’asservir aux
dogmes
d’un parti. Tout ce qu’a perdu la religion, c’est la politique qui le
147
tous les plans frontières et visas, renoncent au
dogme
meurtrier de la souveraineté absolue, créant ainsi une attitude nouve
148
l’intégration fédérale des nations, renonçant au
dogme
de leur souveraineté absolue, et acceptant, sous une forme ou sous un
149
oint par point, avec une étonnante précision, aux
dogmes
des totalitaires. Tous les systèmes totalitaires, en effet, sont fond
150
hison s’ils transigeaient un seul instant avec le
dogme
de la souveraineté absolue. L’union, la paix, que la plupart d’entre
151
nce de survivre que si elles renoncent à temps au
dogme
tyrannique de leur souveraineté absolue, les partis n’ont de chance d
152
nce de survivre que si elles renoncent à temps au
dogme
tyrannique de leur souveraineté absolue, les partis n’ont de chance d
153
la machine imbécile de l’État, et c’est enfin le
dogme
et la pratique des souverainetés nationales absolues. Et c’est pourqu
154
’elles ne font point partie de la doctrine et des
dogmes
chrétiens. Suárez et les jésuites pensaient différemment, mais c’étai
155
’elles ne font point partie de la doctrine et des
dogmes
chrétiens. Suárez et les jésuites pensaient différemment, mais c’étai
156
me, mais sans foi religieuse, et qui remplace les
dogmes
par quelques bons principes empruntés au libéralisme, au socialisme h
157
Ponce Pilate ». Les Pères ne savaient pas que le
dogme
de l’incarnation — c’est-à-dire du vrai Dieu et vrai homme à la fois
158
diabolique) serait un jour Hiroshima ; ni que le
dogme
de la Trinité — trois fonctions personnelles en un seul Créateur — fo
159
ait sans conteste la religion nationaliste et ses
dogmes
unitaires, absorbant et dénaturant le sentiment patriotique. Aux yeux
160
ichrétien. L’idée même de nation est étrangère au
dogme
et à la foi chrétienne. Le Christ est mort pour le salut des hommes p
161
hiérarchies, leurs ordres, leurs cultes et leurs
dogmes
, et leur Inquisition, plus efficace que l’autre dans l’épuration de l
162
lavien meurt sous les coups de bâton. Au soir, le
dogme
est proclamé, l’erreur de Nestorius vient d’être condamnée, et la pop
163
e d’un mot latin et de contenus helléniques en un
dogme
exprimant la nature triple et une de la Divinité révélée en Jésus. Ai
164
nos sciences. a) La pensée par tensions. — Le
dogme
du Dieu-homme fut le problème crucial de la spéculation des Pères et
165
it être qualifié de matérialisme, en tant que son
dogme
central postule la réalité du corps et de la matière. On vient de voi
166
uvement de dépassement (ou de retrait en deçà) du
dogme
formulé ; mais l’une et l’autre s’appuyaient sur l’objet de leur reno
167
lle suppose avant tout la connaissance précise du
dogme
. Le « mystique à l’état sauvage » — selon l’expression que Claudel ap
168
Rimbaud — vit simplement sur les reflets épars du
dogme
et de la liturgie dans la culture dont il est imprégné. Voilà pourquo
169
est imprégné. Voilà pourquoi la connaissance des
dogmes
et des options fondamentales de nos religions sera demain la première
170
onjonctures actuelles et selon la logique de leur
dogme
d’État. S’ils nous demandaient de leur envoyer des délégations d’écri
171
habituels rattachant tel aspect d’une œuvre à tel
dogme
politique régnant en URSS. Ceci appartient en effet à la définition d
172
éorie biologique sujette à la discussion, mais un
dogme
, et désormais tous ceux qui n’acceptaient pas ce dogme, et, par exemp
173
, et désormais tous ceux qui n’acceptaient pas ce
dogme
, et, par exemple, les partisans de Lamarck, étaient en butte à son mé
174
nctionner un sentiment qui n’avait pas attendu le
dogme
pour triompher dans tous les arts. Enfin, voici un dernier trait don
175
m du même prétexte : la dictature du Prolétariat,
dogme
intangible du marxisme. Mais les crimes de Staline illustraient trop
176
détache » du clan, de la coutume, de la magie, du
dogme
même, devenant hétérodoxe moins par la négation de l’orthodoxie qu’il
177
nt pu conditionner l’allure de l’odyssée. Ôtez le
dogme
de l’Incarnation, formulé au concile de Nicée, et vous ôtez la condit
178
mouvement de dépassement ou de retrait en deçà du
dogme
formulé ; mais l’une et l’autre s’appuyaient sur l’objet de leur reno
179
lle suppose avant tout la connaissance précise du
dogme
. Le « mystique à l’état sauvage » — selon l’expression que Claudel ap
180
Rimbaud — vit simplement sur les reliefs épars du
dogme
et de la liturgie dans la culture dont il est imprégné. Voilà pourquo
181
est imprégné. Voilà pourquoi la connaissance des
dogmes
et des opinions premières de nos religions sera demain la première co
182
ses sur les faits, en est réduite à restaurer des
dogmes
à coups de mensonges. Si les ouvriers de Czepel ne sont pas des « fas
183
rt des religions de l’Orient mais affirmée par le
dogme
de l’Incarnation) et la croyance profonde que le cosmos, créé par Die
184
détache » du clan, de la coutume, de la magie, du
dogme
même, devenant hétérodoxe moins par la négation de l’orthodoxie qu’il
185
lavien meurt sous les coups de bâton. Au soir, le
dogme
est proclamé, l’erreur de Nestorius vient d’être condamnée, et la pop
186
e d’un mot latin et de contenus helléniques en un
dogme
exprimant la nature triple et une de la Divinité révélée en Jésus. Ai
187
blème de logique (sauf s’il s’agit de formuler un
dogme
), parce qu’elle est l’événement de la Médiation. Elle n’est nullement
188
hiérarchies, leurs ordres, leurs cultes et leurs
dogmes
, et leur Inquisition, plus efficace que l’autre dans l’épuration de l
189
de nos sciences. a) La pensée par tensions. — Le
dogme
du Dieu-homme fut le problème crucial de la spéculation des Pères et
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it être qualifié de matérialisme, en tant que son
dogme
central postule la réalité du corps et de la matière. On vient de voi
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mouvement de dépassement ou de retrait en deçà du
dogme
formulé ; mais l’une et l’autre s’appuyaient sur l’objet de leur reno
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lle suppose avant tout la connaissance précise du
dogme
. Le « mystique à l’état sauvage » — selon l’expression que Claudel ap
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Rimbaud — vit simplement sur les reflets épars du
dogme
et de la liturgie dans la culture dont il est imprégné. Voilà pourquo
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est imprégné. Voilà pourquoi la connaissance des
dogmes
et des options premières de nos religions sera demain la première con
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ux qui diffèrent sur des points de doctrine ou de
dogme
, l’opposition rigide aux autres formes de religion, et l’impitoyable
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l’impitoyable exclusion des hérésies. En fait, le
dogme
de l’Église s’est créé à coups d’anathèmes. Si l’on regarde de près l
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, ce culte jacobin dont Hegel et Fichte dirent le
dogme
après coup, fait de la Capitale un centre universel. Ainsi Paris, cen
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ent qu’on n’y pense plus jamais. En proclamant le
dogme
de l’Incarnation, les grands conciles ont reconnu que le corps, et la
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choix ou de ces options de base. En proclamant le
dogme
de la Trinité, c’est-à-dire des Trois Personnes divines, distinguées