1 1926, Articles divers (1924–1930). Conférence de René Guisan « Sur le Saint » (2 février 1926)
1 nd il s’agit d’adapter des traditions antiques au dogme en formation. Au Moyen Âge l’évolution se continue dans le même sens.
2 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Louis Aragon, le beau prétexte (avril 1927)
2 d’un mystique. Que si l’on vient nous empêtrer de dogmes bassement ingénieux : « Si j’essaie un instant de m’élever à la notio
3 1927, Articles divers (1924–1930). Dés ou la clef des champs (1927)
3 la possession, et que j’allais vivre aussi sur le dogme l’argent-fait-le-bonheur. En somme, tu croyais que j’allais adhérer à
4 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 1. Mes prisons
4 i est une généralisation de l’avarice, et par les dogmes démocratiques, qui sont une généralisation de la règle de trois, auss
5 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 1. Mes prisons
5 i est une généralisation de l’avarice, et par les dogmes démocratiques, qui sont une généralisation de la règle de trois, auss
6 1930, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Pour un humanisme nouveau » [Réponse à une enquête] (1930)
6 igieuse particulière, antérieure à n’importe quel dogme . Je ne crois pas qu’il existe d’autres facultés capables d’équilibrer
7 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Une exposition d’artistes protestants modernes (avril 1931)
7 acilités que donne à sa production l’appareil des dogmes spécifiquement catholiques, concernant la Vierge et les saints. En de
8 s ! C’est bien là que nous voulions en venir : le dogme ne doit être qu’un stimulant (une difficulté) non pas un poncif. L’id
8 1932, Articles divers (1932-1935). Les « petits purs » (15 juin 1932)
9 ence n’est que rancœur de faibles accrochés à des dogmes , alors que la vraie violence révolutionnaire est une affirmation touj
9 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Pétrarque, par Charles-Albert Cingria (avril 1933)
10 ts, la morale en soi (pas la morale en vertu d’un dogme ), le nationalisme, l’ironie, le scepticisme, le pompiérisme, — mais i
10 1933, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Parole de Dieu et parole humaine, par Karl Barth (30 décembre 1933)
11 l’esprit humain, quitte à laisser tomber certains dogmes décidément incompatibles avec nos plus récentes lumières ? Ou bien do
11 1933, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Petites notes sur les vérités éternelles (1932-1933)
12 rth, croyons-nous, n’a jamais proposé ni prôné de dogmes « si possible immuables » (p. 14). On pourrait dire qu’il fait tout l
12 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Éditorial (juillet 1934)
13 dèlement, comme le voulait Calvin, le contenu des dogmes de l’Église chrétienne. Cette indifférence est si profonde qu’elle re
14 ces non seulement des affirmations renouvelées du dogme , mais encore les critiques les plus vives des hérésies qui se sont in
13 1934, Le Semeur, articles (1933–1949). Sur la méthode de M. Goguel (novembre 1934)
15 ucune force de contrainte. C’est l’Écriture et le dogme qui les jugent, et non l’inverse, comme l’a fort bien montré Max Domi
16 seconde, c’est que M. Goguel, loin d’attaquer les dogmes , ne démolit que les preuves matérielles dont l’esprit humain voudrait
14 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Une histoire de la Réforme en France (15 décembre 1934)
17 rspective de sa théologie ; le rappel constant du dogme suffirait, dans le cas de l’Église protestante, à rétablir la valeur
18 me, sans les rapporter à l’évolution parallèle du dogme dans l’Église. De même, John Viénot laisse délibérément de côté tout
15 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Les trois temps de la Parole (mai 1935)
19 aussi le Christ. Ainsi l’histoire, la durée, les dogmes appris, nous dispenseraient progressivement de faire en présence du V
16 1935, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Trois traités de Jean Calvin (20 juillet 1935)
20 ment que ce soit ». Il y a ceux pour lesquels les dogmes sont autant d’occasions de chopper : Quant à ce que la Prédestinatio
17 1936, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Sur une page de Bossuet (ou Tradition et Révélation) (janvier 1936)
21 que ce n’est pas la lettre et la formulation des dogmes qui m’importent, mais la manière dont on en use dans l’Église romaine
22 ell., numéro cit., p. 363. 25. Sur des points de dogme aussi importants que la prédestination (pour Augustin) ou l’Immaculée
23 disait récemment qu’il atteste la « vérité » des dogmes  ! Hegel, et Spinoza, et Marx ne sont-ils pas plus « cohérents » que t
24 n le voit bien à ce trait : le « développement du dogme  » n’est en fait qu’une stratification de refus, de défenses contre le
25 ffets étranges. Ainsi je trouve dans Denzinger ce dogme  : « brûler les hérétiques n’est pas contraire au Saint-Esprit ». C’es
18 1936, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le Problème du bien (12 septembre 1936)
26 révélé par le Fils, et non ce Dieu omnipotent du dogme . En effet, Dieu n’est pas dans la Nature, il n’en est ni le maître ni
27 tte « hypothèse de travail » une réaffirmation du dogme trinitaire : Dieu est un X qui ne se révèle à l’homme comme le Père q
19 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
28 s d’hommes qui font la loi. C’était substituer au dogme de la toute-puissance des faits économiques, la croyance au pouvoir c
20 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Hegel, Comte, Marx, ou la rationalisation
29 aires pour organiser la société (Comte). Tous les dogmes rationalistes qui vont constituer l’armature des idéologies les plus
30 urt à justifier l’inactualité de l’esprit : et ce dogme est le seul lieu commun sur lequel s’accordent aujourd’hui les clercs
21 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — La mesure soviétique
31 s d’hommes qui font la loi. C’était substituer au dogme de la toute-puissance des faits économiques la croyance au pouvoir cr
22 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
32 donner carrière au doute public sur la valeur des dogmes cléricaux, ne faudrait-il pas essayer de limiter la part du feu à l’a
33 qu’il invoque un ensemble de lois, un ensemble de dogmes et de déterminismes figurant à ses yeux la vérité en soi, la mesure d
34 ncarne le moins ; les plus primaires savent cela. Dogme nouveau ? Prudence élémentaire, simplement, au siècle de la presse et
35 pothèses prudentes, et deviennent à leur tour des dogmes . D’où la mythologie des lois psychologiques, des lois historiques, de
36 a science, cette science, à son tour, secrète des dogmes . Elle invente des lois qu’elle dit fatales. Et l’aboutissement normal
23 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Hegel, Comte, Marx, ou la rationalisation
37 aires pour organiser la société (Comte). Tous les dogmes rationalistes qui vont constituer l’armature des idéologies les plus
38 urt à justifier l’inactualité de l’esprit : et ce dogme est le seul lieu commun sur lequel s’accordent aujourd’hui les clercs
24 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — La mesure soviétique
39 s d’hommes qui font la loi. C’était substituer au dogme de la toute-puissance des faits économiques la croyance au pouvoir cr
25 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
40 ves : la religion de la prospérité quantifiée, le dogme de la croissance, la société de consommation sont les « Utopies » que
26 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
41 donner carrière au doute public sur la valeur des dogmes cléricaux, ne faudrait-il pas essayer de limiter d’avance la part du
42 qu’il invoque un ensemble de lois, un ensemble de dogmes et de déterminismes figurant à ses yeux la vérité en soi, la mesure d
43 ncarne le moins ; les plus primaires savent cela. Dogme nouveau ? Prudence élémentaire, simplement, au siècle de la presse et
44 pothèses prudentes, et deviennent à leur tour des dogmes . D’où la mythologie des lois psychologiques, des lois historiques, de
45 a science, cette science, à son tour, secrète des dogmes . Elle invente des lois qu’elle dit fatales. Et l’aboutissement normal
27 1937, Foi et Vie, articles (1928–1977). Luther et la liberté (À propos du Traité du serf arbitre) (avril 1937)
46  tous ceux qui tiennent la prédestination pour un dogme immoral ou périmé ; ceux qui traduisent : « Paix sur la terre aux hom
28 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). L’autorité assure les libertés (mai 1937)
47 tère précaire de tous les statuts, constitutions, dogmes sociaux… considérés comme normes de la vie politique. Toute déclarati
48 e, et non de l’application quasi automatique d’un dogme rigide. Le Conseil suprême n’aura pas seulement pour mission de veill
29 1937, Articles divers (1936-1938). Changer la vie ou changer l’homme ? (1937)
49 37)q Variations du communisme Opposez les dogmes chrétiens aux axiomes de Marx et d’Engels, les communistes vous répon
50 rotestant, répugne absolument à concevoir que les dogmes théologiques puissent figurer la théorie d’une pratique49. Le christi
30 1937, Articles divers (1936-1938). Luther, Traité du serf arbitre (1937)
51 tous ceux qui tiennent la prédestination pour un dogme immoral ou périmé ; ceux qui traduisent « Paix sur la terre aux homme
31 1938, Journal d’Allemagne. Instruction spirituelle donnée aux étudiants hitlériens, (Extrait de lettre d’un étudiant allemand)
52 le christianisme : les obscènes contes juifs, le dogme du péché originel (né de la volonté de domination mondiale des juifs)
32 1939, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Non, Tristan et Iseut ne s’aiment pas, nous dit Denis de Rougemont (12 février 1939)
53 France par le Piémont. Les cathares rejettent le dogme de l’incarnation, se fondent sur une interprétation purement spiritua
33 1939, Esprit, articles (1932–1962). Autour de L’Amour et l’Occident (septembre 1939)
54 tons nos jugements, et qui ne sont autres que les dogmes . — Ça existe, l’amour courtois !… dites-vous. Mais voilà, je le « vid
55 xiie siècle, mais une certaine compréhension des dogmes essentiels du christianisme. « L’Amour vient de Dieu, appartient à Di
34 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
56 , deux faits surtout doivent être retenus : 1° Le dogme fondamental de toutes les sectes manichéennes, c’est la nature divine
57 in de la divinité. Mais le christianisme, par son dogme de l’incarnation du Christ dans Jésus, renverse cette dialectique de
58 ossible de reconstituer dans ses grands traits le dogme de « l’Église d’Amour ». Dieu est amour. Mais le monde est mauvais. D
59 ence d’un homme40. Les cathares rejettent donc le dogme de l’Incarnation, et par suite, le sacrement de la Cène qui le tradui
60 hrétienne » une prédication qui nie plusieurs des dogmes fondamentaux de l’Église. Quant à la pureté de mœurs des cathares, no
61 rs ignoraient les analogies de leur lyrisme et du dogme cathare, on n’aurait pas encore démontré que l’origine de ce lyrisme
62 nctionner un sentiment qui n’avait pas attendu le dogme pour triompher dans tous les arts. 8.Objections Des deux chapit
63 (II, 2) sur la nature essentiellement lyrique des dogmes manichéens en général, il apparaît qu’un supplément d’information sur
64 telle nuance ou altération qu’auraient reçues ces dogmes dans l’Église du Midi, n’apporterait pas grand-chose pour ou contre m
65 t pas des équivalences rationnelles et exactes du dogme qu’il faut chercher dans la rhétorique courtoise, mais bien le dévelo
66 utre chose qu’une transposition terme à terme des dogmes catholiques. C’est plutôt une certaine sensibilité (même formelle) qu
67 é (même formelle) qui serait inconcevable sans le dogme catholique ; à quoi s’ajoutent des éléments de vocabulaire et de synt
68 ndale, de snobisme et d’intérêt, suscitée par les dogmes centraux. Ce qui explique pas mal d’erreurs, variations et contradict
35 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
69 e. 8.Crépuscule de l’amour-passion C’est le dogme de l’Incarnation qui distingue radicalement la mystique orthodoxe de
36 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
70 n effet sont caractérisées par leur opposition au dogme trinitaire (du moins sous sa forme orthodoxe) ; par leur spiritualism
71 contre la puissance créatrice de Dieu, contre les dogmes de la Trinité et de l’Incarnation… répudiant les définitions théologi
37 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe contre le mariage
72 hypothèses » humaines pour fonder bibliquement le dogme traditionnel. 184. Les gnostiques ont souvent exprimé cette opinion 
38 1939, Articles divers (1938-1940). Le protestantisme créateur de personnes (1939)
73 ord un révolté qui oppose ses besoins propres aux dogmes sacrés de la collectivité. Il revendique le droit de discuter, c’est-
39 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
74 , deux faits surtout doivent être retenus : 1° Le dogme fondamental de toutes les sectes manichéennes, c’est la nature divine
75 in de la divinité. Mais le christianisme, par son dogme de l’incarnation du Christ dans Jésus, renverse cette dialectique de
76 semble et dans certaines de leurs variations, les dogmes de l’« Église d’Amour », nom que l’on a donné parfois à l’hérésie aus
77 e d’un Dieu-Homme. Les cathares rejettent donc le dogme de l’Incarnation, et a fortiori sa traduction romaine dans le sacreme
78 hrétienne » une prédication qui nie plusieurs des dogmes fondamentaux de son Église. Quant à la pureté de mœurs des cathares,
79 rs ignoraient les analogies de leur lyrisme et du dogme cathare, on n’aurait pas encore démontré que l’origine de ce lyrisme
80 (II, 2) sur la nature essentiellement lyrique des dogmes manichéens en général, il apparaît qu’un supplément d’information sur
81 telle nuance ou altération qu’auraient reçues ces dogmes dans l’Église du Midi, n’apporterait pas grand-chose pour ou contre m
82 t pas des équivalences rationnelles et exactes du dogme qu’il faut chercher dans la rhétorique courtoise, mais bien le dévelo
83 utre chose qu’une transposition terme à terme des dogmes catholiques. C’est plutôt une certaine sensibilité (même formelle) qu
84 é (même formelle) qui serait inconcevable sans le dogme catholique ; à quoi s’ajoutent des éléments de vocabulaire et de synt
85 ndale, de snobisme et d’intérêt, suscitée par les dogmes centraux. Ce qui explique pas mal d’erreurs, variations et contradict
86 nctionner un sentiment qui n’avait pas attendu le dogme pour triompher dans tous les arts. Enfin, voici un dernier trait dont
40 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
87 e. 8.Crépuscule de l’amour-passion C’est le dogme de l’Incarnation qui distingue radicalement la mystique orthodoxe de
41 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
88 n effet sont caractérisées par leur opposition au dogme trinitaire (du moins sous sa forme orthodoxe) ; par leur spiritualism
89 contre la puissance créatrice de Dieu, contre les dogmes de la Trinité et de l’Incarnation… répudiant les définitions théologi
42 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe contre le mariage
90 hypothèses » humaines pour fonder bibliquement le dogme traditionnel. 202. Les gnostiques ont souvent exprimé cette opinion 
91 ésite pas à écrire que la proclamation en 1950 du dogme de l’Assomption de la Vierge marque l’événement religieux le plus imp
43 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
92 , deux faits surtout doivent être retenus : 1° Le dogme fondamental de toutes les sectes manichéennes, c’est la nature divine
93 in de la divinité. Mais le christianisme, par son dogme de l’incarnation du Christ dans Jésus, renverse cette dialectique de
94 semble et dans certaines de leurs variations, les dogmes de l’« Église d’Amour », nom que l’on a donné parfois à l’hérésie aus
95 e d’un Dieu-Homme. Les cathares rejettent donc le dogme de l’Incarnation, et a fortiori sa traduction romaine dans le sacreme
96 hrétienne » une prédication qui nie plusieurs des dogmes fondamentaux de son Église. Quant à la pureté de mœurs des cathares,
97 rs ignoraient les analogies de leur lyrisme et du dogme cathare, on n’aurait pas encore démontré que l’origine de ce lyrisme
98 (II, 2) sur la nature essentiellement lyrique des dogmes manichéens en général, il apparaît qu’un supplément d’information, su
99 telle nuance ou altération qu’auraient reçue ces dogmes dans l’Église du Midi, n’apporterait pas grand-chose pour ou contre m
100 t pas des équivalences rationnelles et exactes du dogme qu’il faut chercher dans la rhétorique courtoise, mais bien le dévelo
101 utre chose qu’une transposition terme à terme des dogmes catholiques. C’est plutôt une certaine sensibilité (même formelle) qu
102 é (même formelle) qui serait inconcevable sans le dogme catholique ; à quoi s’ajoutent des éléments de vocabulaire et de synt
103 ndale, de snobisme et d’intérêt, suscitée par les dogmes centraux. Ce qui explique pas mal d’erreurs, variations et contradict
104 nctionner un sentiment qui n’avait pas attendu le dogme pour triompher dans tous les arts. Enfin, voici un dernier trait dont
44 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Passion et mystique
105 e. 8.Crépuscule de l’amour-passion C’est le dogme de l’Incarnation qui distingue radicalement la mystique orthodoxe de
45 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
106 n effet sont caractérisées par leur opposition au dogme trinitaire (du moins sous sa forme orthodoxe) ; par leur spiritualism
107 contre la puissance créatrice de Dieu, contre les dogmes de la Trinité et de l’Incarnation… répudiant les définitions théologi
46 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe contre le mariage
108 hypothèses » humaines pour fonder bibliquement le dogme traditionnel. 188. Les gnostiques ont souvent exprimé cette opinion 
109 ésite pas à écrire que la proclamation en 1950 du dogme de l’Assomption de la Vierge marque l’événement religieux le plus imp
47 1940, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Au sujet du Journal d’André Gide (janvier 1940)
110 propension fondamentale à préférer à la lettre du dogme l’esprit qui inspire et qualifie nos actions quotidiennes, fussent-el
111 te morale a bientôt fait de se muer à son tour en dogme , et la morale protestante succombe à ce danger plus qu’aucune autre d
48 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La bataille de la culture (janvier-février 1940)
112 sur la conduite générale des affaires, tel est le dogme fondamental de la mentalité moderne. C’est plus qu’un dogme, c’est un
113 amental de la mentalité moderne. C’est plus qu’un dogme , c’est une croyance spontanée et universelle. Et ses effets sont si n
49 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’Église et la Suisse (août 1940)
114 exposé et témoignage collectif non seulement des dogmes fondamentaux de la foi réformée, mais aussi du drame chrétien dans so
115 du pasteur, elle le situe dans l’ensemble de nos dogmes , et elle rappelle notre Credo. Bref, quand le sermon commence, tout l
50 1940, Mission ou démission de la Suisse. Le protestantisme créateur de personnes
116 ord un révolté qui oppose ses besoins propres aux dogmes sacrés de la collectivité. Il revendique le droit de discuter, c’est-
51 1940, Mission ou démission de la Suisse. La bataille de la culture
117 sur la conduite générale des affaires, tel est le dogme fondamental de la mentalité moderne. C’est plus qu’un dogme, c’est un
118 amental de la mentalité moderne. C’est plus qu’un dogme , c’est une croyance spontanée et universelle. Et ses effets sont si n
52 1940, Politique de la personne (1946). À la fois libre et engagé — Le protestantisme créateur de personnes
119 ord un révolté qui oppose ses besoins propres aux dogmes sacrés de la collectivité. Il revendique le droit de discuter, c’est-
53 1942, La Part du diable (1944). Hitler ou l’alibi
120 mportance relative de l’argent et du travail, les dogmes chrétiens, etc., etc. 10. Si Staline persévère dans sa ligne actuell
54 1942, La Part du diable (1982). Hitler ou l’alibi
121 mportance relative de l’argent et du travail, les dogmes chrétiens, etc., etc. 12. Si Staline persévère dans sa ligne actuell
55 1944, Articles divers (1941-1946). Quelle guerre cruelle (octobre-novembre 1944)
122 mportance relative de l’argent et du travail, les dogmes chrétiens, etc., etc. l. « Quelle guerre cruelle », L’Arche, Alger,
56 1944, Les Personnes du drame. Liberté et fatum — Luther et la liberté de la personne
123  tous ceux qui tiennent la prédestination pour un dogme immoral ou périmé ; ceux qui traduisent : « Paix sur la terre, bénévo
57 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — Le Journal d’André Gide
124 propension fondamentale à préférer à la lettre du dogme l’esprit qui inspire et qualifie nos actions quotidiennes, fussent-el
125 te morale a bientôt fait de se muer à son tour en dogme , et la morale protestante succombe à ce danger plus qu’aucune autre,
58 1945, Articles divers (1941-1946). Présentation du tarot (printemps 1945)
126 ry of Playing Cards, London, 1848. Éliphas Lévi : Dogme et rituel de la haute magie, 1860 — Clefs majeures et clavicules de S
59 1946, Le Semeur, articles (1933–1949). Chances d’action du christianisme (juin-juillet 1946)
127 — à mettre en doute la vérité et la validité des dogmes chrétiens. L’ère des argumentations « scientifiques » contre la Genès
60 1946, Foi et Vie, articles (1928–1977). Fédéralisme et œcuménisme (octobre 1946)
128 ie siècle : une certaine manière de proclamer le dogme de l’inspiration littérale des Écritures, par exemple, revient à disp
61 1946, Articles divers (1946-1948). Théologie et littérature (1946)
129 re technique s’est transformé, les références aux dogmes ont disparu, l’appareil logique emprunté aux sciences physico-mathéma
130 ur objet principal de formuler et de critiquer le dogme chrétien dans l’Église, elle est en droit de laisser à d’autres le so
131 est que l’écrivain romantique croit voir dans les dogmes autant d’entraves à l’essor créateur, tandis que le classique y trouv
62 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Journal (1935-1936)
132 le christianisme : les obscènes contes juifs, le dogme du péché originel (né de la volonté de domination mondiale des juifs)
63 1947, Le Figaro, articles (1939–1953). Le droit d’opposition (3 avril 1947)
133 nt en réalité comme des Églises. L’opposition aux dogmes d’une Église s’est toujours vue qualifiée d’hérésie, et non d’opinion
64 1947, Articles divers (1946-1948). L’attitude fédéraliste (octobre 1947)
134 l’intégration fédérale des nations, renonçant au dogme de leur souveraineté absolue, et acceptant sous une forme ou sous une
135 oint par point, avec une étonnante précision, aux dogmes des totalitaires. Tous les systèmes totalitaires, en effet, sont fond
136 hison s’ils transigeaient un seul instant avec le dogme de la souveraineté absolue. L’union, la paix, que la plupart d’entre
65 1947, Doctrine fabuleuse. Deuxième dialogue sur la carte postale. La beauté physique
137 re. Vous allez régenter la peinture au nom de vos dogmes , nous fabriquer de l’allégorie, du bergsonisme de Prix de Rome, une m
66 1947, Articles divers (1946-1948). Les maladies de l’Europe (1947)
138 tistiques d’État. Cependant, à peine libérées des dogmes religieux, ces masses et ces élites n’ont rien de plus pressé que de
139 s n’ont rien de plus pressé que de s’asservir aux dogmes d’un parti. Tout ce qu’a perdu la religion, c’est la politique qui le
140 tous les plans frontières et visas, renoncent au dogme meurtrier de la souveraineté absolue, créant ainsi une attitude nouve
67 1947, Articles divers (1946-1948). L’opportunité chrétienne (1947)
141 — à mettre en doute la vérité et la validité des dogmes chrétiens. L’ère des argumentations « scientifiques » contre la Genès
68 1948, Réforme, articles (1946–1980). L’Europe, aventure du xxe siècle (1er mai 1948)
142 hison s’ils transigeaient un seul instant avec le dogme de la souveraineté absolue. L’union, la paix, que la plupart d’entre
69 1948, Articles divers (1948-1950). Pour sauver nos diversités (le sens de La Haye) (juin 1948)
143 nce de survivre que si elles renoncent à temps au dogme tyrannique de leur souveraineté absolue, les partis n’ont de chance d
70 1948, Esprit, articles (1932–1962). Thèses du fédéralisme (novembre 1948)
144 tous les plans, frontières et visas, renonçant au dogme meurtrier de la souveraineté absolue, créent ainsi une attitude nouve
71 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. I
145 tistiques d’État. Cependant, à peine libérées des dogmes religieux, ces masses et ces élites n’ont rien de plus pressé que de
146 s n’ont rien de plus pressé que de s’asservir aux dogmes d’un parti. Tout ce qu’a perdu la religion, c’est la politique qui le
147 tous les plans frontières et visas, renoncent au dogme meurtrier de la souveraineté absolue, créant ainsi une attitude nouve
72 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. II
148 l’intégration fédérale des nations, renonçant au dogme de leur souveraineté absolue, et acceptant, sous une forme ou sous un
149 oint par point, avec une étonnante précision, aux dogmes des totalitaires. Tous les systèmes totalitaires, en effet, sont fond
150 hison s’ils transigeaient un seul instant avec le dogme de la souveraineté absolue. L’union, la paix, que la plupart d’entre
73 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. III
151 nce de survivre que si elles renoncent à temps au dogme tyrannique de leur souveraineté absolue, les partis n’ont de chance d
74 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. IV
152 nce de survivre que si elles renoncent à temps au dogme tyrannique de leur souveraineté absolue, les partis n’ont de chance d
75 1949, Articles divers (1948-1950). Commencer par l’Europe (février 1949)
153 la machine imbécile de l’État, et c’est enfin le dogme et la pratique des souverainetés nationales absolues. Et c’est pourqu
76 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Quatrième lettre aux députés européens : En lisant le pamphlet du Labour Party (18 août 1950)
154 ’elles ne font point partie de la doctrine et des dogmes chrétiens. Suárez et les jésuites pensaient différemment, mais c’étai
77 1950, Lettres aux députés européens. Quatrième lettre
155 ’elles ne font point partie de la doctrine et des dogmes chrétiens. Suárez et les jésuites pensaient différemment, mais c’étai
78 1951, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Inde 1951 (décembre 1951)
156 me, mais sans foi religieuse, et qui remplace les dogmes par quelques bons principes empruntés au libéralisme, au socialisme h
79 1953, Articles divers (1951-1956). Des conciles à la bombe atomique ou la fin dans le commencement (janvier 1953)
157 Ponce Pilate ». Les Pères ne savaient pas que le dogme de l’incarnation — c’est-à-dire du vrai Dieu et vrai homme à la fois
158 diabolique) serait un jour Hiroshima ; ni que le dogme de la Trinité — trois fonctions personnelles en un seul Créateur — fo
80 1954, Articles divers (1951-1956). Fédéralisme et nationalisme (septembre-octobre 1954)
159 ait sans conteste la religion nationaliste et ses dogmes unitaires, absorbant et dénaturant le sentiment patriotique. Aux yeux
160 ichrétien. L’idée même de nation est étrangère au dogme et à la foi chrétienne. Le Christ est mort pour le salut des hommes p
81 1955, Preuves, articles (1951–1968). Le Château aventureux : passion, révolution, nation (mai 1955)
161 hiérarchies, leurs ordres, leurs cultes et leurs dogmes , et leur Inquisition, plus efficace que l’autre dans l’épuration de l
82 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure occidentale de l’homme : L’exploration de la matière (août 1955)
162 lavien meurt sous les coups de bâton. Au soir, le dogme est proclamé, l’erreur de Nestorius vient d’être condamnée, et la pop
163 e d’un mot latin et de contenus helléniques en un dogme exprimant la nature triple et une de la Divinité révélée en Jésus. Ai
164 nos sciences.   a) La pensée par tensions. — Le dogme du Dieu-homme fut le problème crucial de la spéculation des Pères et
165 it être qualifié de matérialisme, en tant que son dogme central postule la réalité du corps et de la matière. On vient de voi
83 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure technique (octobre 1955)
166 uvement de dépassement (ou de retrait en deçà) du dogme formulé ; mais l’une et l’autre s’appuyaient sur l’objet de leur reno
167 lle suppose avant tout la connaissance précise du dogme . Le « mystique à l’état sauvage » — selon l’expression que Claudel ap
168 Rimbaud — vit simplement sur les reflets épars du dogme et de la liturgie dans la culture dont il est imprégné. Voilà pourquo
169 est imprégné. Voilà pourquoi la connaissance des dogmes et des options fondamentales de nos religions sera demain la première
84 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Propositions (décembre 1955)
170 onjonctures actuelles et selon la logique de leur dogme d’État. S’ils nous demandaient de leur envoyer des délégations d’écri
171 habituels rattachant tel aspect d’une œuvre à tel dogme politique régnant en URSS. Ceci appartient en effet à la définition d
85 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Aperçu historique des relations culturelles Europe-Russie (des débuts à la guerre de 1914) (décembre 1955)
172 éorie biologique sujette à la discussion, mais un dogme , et désormais tous ceux qui n’acceptaient pas ce dogme, et, par exemp
173 , et désormais tous ceux qui n’acceptaient pas ce dogme , et, par exemple, les partisans de Lamarck, étaient en butte à son mé
86 1956, Articles divers (1951-1956). Tableau du phénomène courtois (janvier 1956)
174 nctionner un sentiment qui n’avait pas attendu le dogme pour triompher dans tous les arts. Enfin, voici un dernier trait don
87 1956, Preuves, articles (1951–1968). Les joyeux butors du Kremlin (août 1956)
175 m du même prétexte : la dictature du Prolétariat, dogme intangible du marxisme. Mais les crimes de Staline illustraient trop
88 1957, Articles divers (1957-1962). La voie et l’aventure (janvier 1957)
176 détache » du clan, de la coutume, de la magie, du dogme même, devenant hétérodoxe moins par la négation de l’orthodoxie qu’il
89 1957, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La découverte du temps ou l’aventure occidentale (mars 1957)
177 nt pu conditionner l’allure de l’odyssée. Ôtez le dogme de l’Incarnation, formulé au concile de Nicée, et vous ôtez la condit
90 1957, Arts, articles (1952-1965). L’ère des loisirs commence (10 avril 1957)
178 mouvement de dépassement ou de retrait en deçà du dogme formulé ; mais l’une et l’autre s’appuyaient sur l’objet de leur reno
179 lle suppose avant tout la connaissance précise du dogme . Le « mystique à l’état sauvage » — selon l’expression que Claudel ap
180 Rimbaud — vit simplement sur les reliefs épars du dogme et de la liturgie dans la culture dont il est imprégné. Voilà pourquo
181 est imprégné. Voilà pourquoi la connaissance des dogmes et des opinions premières de nos religions sera demain la première co
91 1957, Articles divers (1957-1962). La fin du pessimisme (juin 1957)
182 ses sur les faits, en est réduite à restaurer des dogmes à coups de mensonges. Si les ouvriers de Czepel ne sont pas des « fas
92 1957, Articles divers (1957-1962). Le rôle mondial des valeurs occidentales (octobre 1957)
183 rt des religions de l’Orient mais affirmée par le dogme de l’Incarnation) et la croyance profonde que le cosmos, créé par Die
93 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Où les voies se séparent
184 détache » du clan, de la coutume, de la magie, du dogme même, devenant hétérodoxe moins par la négation de l’orthodoxie qu’il
94 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — La spire et l’axe
185 lavien meurt sous les coups de bâton. Au soir, le dogme est proclamé, l’erreur de Nestorius vient d’être condamnée, et la pop
186 e d’un mot latin et de contenus helléniques en un dogme exprimant la nature triple et une de la Divinité révélée en Jésus. Ai
187 blème de logique (sauf s’il s’agit de formuler un dogme ), parce qu’elle est l’événement de la Médiation. Elle n’est nullement
95 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Le Château aventureux
188 hiérarchies, leurs ordres, leurs cultes et leurs dogmes , et leur Inquisition, plus efficace que l’autre dans l’épuration de l
96 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’exploration de la matière
189 de nos sciences. a) La pensée par tensions. — Le dogme du Dieu-homme fut le problème crucial de la spéculation des Pères et
190 it être qualifié de matérialisme, en tant que son dogme central postule la réalité du corps et de la matière. On vient de voi
97 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’aventure technique
191 mouvement de dépassement ou de retrait en deçà du dogme formulé ; mais l’une et l’autre s’appuyaient sur l’objet de leur reno
192 lle suppose avant tout la connaissance précise du dogme . Le « mystique à l’état sauvage » — selon l’expression que Claudel ap
193 Rimbaud — vit simplement sur les reflets épars du dogme et de la liturgie dans la culture dont il est imprégné. Voilà pourquo
194 est imprégné. Voilà pourquoi la connaissance des dogmes et des options premières de nos religions sera demain la première con
98 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Troisième partie. Où allons-nous ? — Où l’Aventure et la Voie se rejoignent
195 ux qui diffèrent sur des points de doctrine ou de dogme , l’opposition rigide aux autres formes de religion, et l’impitoyable
196 l’impitoyable exclusion des hérésies. En fait, le dogme de l’Église s’est créé à coups d’anathèmes. Si l’on regarde de près l
99 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur un centre qui doit être partout (mai 1958)
197 , ce culte jacobin dont Hegel et Fichte dirent le dogme après coup, fait de la Capitale un centre universel. Ainsi Paris, cen
100 1958, Définition, valeurs, énergie, recherche : quatre essais européens (1958). Comment définir l’Europe ?
198 ent qu’on n’y pense plus jamais. En proclamant le dogme de l’Incarnation, les grands conciles ont reconnu que le corps, et la
199 choix ou de ces options de base. En proclamant le dogme de la Trinité, c’est-à-dire des Trois Personnes divines, distinguées