1
« qu’entre les êtres, le bonheur est un lien sans
durée
. Seules la souffrance ou de secrètes anomalies ont un pouvoir d’étern
2
compris par soi-même, la liberté et une certaine
durée
normale et capricieuse dans le plaisir, la conscience de ses besoins
3
très lisse nous délivra de notre conquête pour la
durée
des danses. Gérard bâillait : « Voilà ce que c’est que de prendre des
4
ute la valeur de l’œuvre de Baring réside dans sa
durée
, dans son atmosphère et dans le son qu’elle rend. Il ne s’y passe rie
5
ntir et « réaliser » au lecteur le tragique de la
durée
d’une vie. M. Baring nous fait suivre de sa naissance à sa mort toute
6
, d’une volonté, d’une âme virile, trouve dans sa
durée
même l’élément le plus convaincant de sa grandeur, et le plus tonique
7
utrement de l’histoire d’une vie sentimentale. La
durée
est l’élément tragique par excellence du sentiment, parce qu’elle le
8
elle, ses manifestations dans notre vie — dans la
durée
— sont nécessairement douloureuses. Certains, peut-être, verront-là u
9
i, nul homme n’est capable de la posséder dans la
durée
; elle « survient », et jamais nous ne pouvons en tirer argument, com
10
é dans la mesure où elle existe en sol et dans sa
durée
propre, comme un 3e terme, en réalité, supprime l’un des deux premier
11
très lisse nous délivra de notre conquête pour la
durée
des danses. Gérard bâillait : « Voilà ce que c’est que de prendre des
12
éternité, mais prolongés par l’acte de piété à la
durée
des siècles écoulés et futurs de ce « pays que Dieu nous donne ».
13
moment où il semblait qu’elle dût s’occuper de la
durée
du travail, de la question des salaires, etc. Cette carence subite da
14
er, apprivoiser, réglementer, administrer dans la
durée
. C’est une force que l’Église aurait, une fois pour toutes. Et cette
15
Elle n’est jamais entrée en collusion avec aucune
durée
, étant la rupture de toute durée. Mais dès lors nous savons le vérita
16
sion avec aucune durée, étant la rupture de toute
durée
. Mais dès lors nous savons le véritable nom de la rupture, son lieu,
17
Ce oui, c’est l’éternité, et ce non, c’est notre
durée
. Car notre durée n’est sans doute que notre perpétuel refus de l’éter
18
éternité, et ce non, c’est notre durée. Car notre
durée
n’est sans doute que notre perpétuel refus de l’éternité. Dieu dit ou
19
ue par ce centre. Elle est le rayonnement dans la
durée
de l’acte instantané qui unit un je et un tu par un lien de responsab
20
-à-dire dans l’instant présent, non point dans la
durée
psychologique et descriptible ; c’est pourquoi des généralités abstra
21
voirs des romanciers du Nord, que d’introduire la
durée
d’une vie comme protagoniste du drame.) Des fragments émouvants du jo
22
re, d’un certain aménagement des activités, de la
durée
, des créations humaines. Tout ordre terrestre suppose une conception
23
sé par une politique est dans l’histoire, dans la
durée
. Mais il faut que l’ordre reçu s’insère aussitôt dans l’histoire ; et
24
ge universel intégral (femmes comprises) pour une
durée
de 6 ans. Le vote sera obligatoire sous peine d’amende. » Vous voyez
25
oir ni les lois ne peuvent compter sur une longue
durée
ou sur une action un peu féconde, s’ils ne sont pas en rapport avec l
26
uvoirs des romanciers du Nord que d’introduire la
durée
d’une vie comme protagoniste du drame.) Des fragments du journal de S
27
uls s’opèrent ces transformations qui scandent la
durée
, qui marquent nos mémoires, qui nient le temps, mais aussi nous perme
28
i. L’ai-je accepté ? Déjà tout recommence. Car la
durée
n’ajoute rien à l’éternel. Ce pas petit et triomphal à peine fait, je
29
ont, d’ores et déjà, une existence concrète, une
durée
d’action et de réaction. Elles modèlent l’homme, elles créent des hab
30
re, d’un certain aménagement des activités, de la
durée
, des créations humaines. Tout ordre terrestre suppose une conception
31
é par une politique est dans l’évolution, dans la
durée
. Mais il faut que l’ordre reçu s’insère aussitôt dans l’histoire ; et
32
i, nul homme n’est capable de la posséder dans la
durée
; elle « survient », et jamais nous ne pouvons en tirer argument, com
33
er, apprivoiser, réglementer, administrer dans la
durée
. C’est une force que l’Église aurait, une fois pour toutes. Et cette
34
Elle n’est jamais entrée en collusion avec aucune
durée
, étant la rupture de toute durée. Mais dès lors, nous savons le vérit
35
sion avec aucune durée, étant la rupture de toute
durée
. Mais dès lors, nous savons le véritable nom de la rupture, son lieu,
36
é dans la mesure où elle existe en soi et dans sa
durée
propre, comme un 3e terme, en réalité, supprime l’un des deux premier
37
et propre au plus à écœurer celui qui veut non la
durée
mais l’éternel, non la raison mais la révélation, non la pensée qui s
38
ont, d’ores et déjà, une existence concrète, une
durée
d’action et de réaction. Elles modèlent l’homme, elles créent des hab
39
re, d’un certain aménagement des activités, de la
durée
, des créations humaines. Tout ordre terrestre suppose une conception
40
é par une politique est dans l’évolution, dans la
durée
. Mais il faut que l’ordre reçu s’insère aussitôt dans l’histoire ; et
41
i, nul homme n’est capable de la posséder dans la
durée
; elle « survient », et jamais nous ne pouvons en tirer argument, com
42
er, apprivoiser, réglementer, administrer dans la
durée
. C’est une force que l’Église aurait, une fois pour toutes. Et cette
43
Elle n’est jamais entrée en collusion avec aucune
durée
, étant la rupture de toute durée. Mais dès lors, nous savons le vérit
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sion avec aucune durée, étant la rupture de toute
durée
. Mais dès lors, nous savons le véritable nom de la rupture, son lieu,
45
é dans la mesure où elle existe en soi et dans sa
durée
propre, comme un 3e terme, en réalité, supprime l’un des deux premier
46
Jésus était aussi le Christ. Ainsi l’histoire, la
durée
, les dogmes appris, nous dispenseraient progressivement de faire en p
47
férences et pour les congrès, il sera, pendant la
durée
de l’Exposition, le centre de ces « journées », de ces « semaines » c
48
st ce contact impensable de l’éternité avec notre
durée
, et l’on n’en peut n’en dire sinon qu’il s’est produit, et qu’il peut
49
rtissez-vous et revenez ! » La forme du monde est
durée
, et c’est la forme du péché, du refus de l’instant éternel12, — le te
50
né vit dans le temps comme à contre-courant de sa
durée
, vit d’acte en acte. Et son temps n’est plus son péché, mais on pourr
51
plutôt puisque l’acte est à contre-courant de la
durée
: entre la mort et la naissance — toute la réalité de l’homme est dan
52
de désir qui veut que l’acte — l’instant ! — soit
durée
… Mais l’absolu qui vient jucher nos vies nous meut parce qu’il est un
53
es symptômes imperceptibles répandus sur toute la
durée
fastidieuse d’un long règne. La longue imbécilité d’un monarque caduc
54
nir, de relancer vers sa vraie fin tout ce qu’une
durée
mauvaise a disjoint et altéré. « Car l’attente ardente de la création
55
gement d’autorité. Et pour marquer le point de la
durée
où sa réalité entre en vigueur, je me borne à constater ceci : la rév
56
part de ceux qui ont exercé une action de quelque
durée
sur leur temps, — qu’il suffise de citer Marx et Sorel — restera le p
57
d’un Ibsen, d’un Rimbaud, d’un Tolstoï ! mais la
durée
du monde, sa survie, est faite de telles compensations — cultivèrent
58
je l’ai déjà noté — n’est pas une inversion de la
durée
, une extension de notre propre absence de style, à des époques de gra
59
ou le devienne. Certes, quand nous parlons d’une
durée
de l’histoire, faut-il entendre qu’elle relève de la seule patience d
60
édiat, de l’instant actuel, du risque vrai. Notre
durée
agit comme Une force centrifuge : nous remettons à demain les conclus
61
ré le temps qui nous dissout ; de durer malgré la
durée
. Notre être véritable est donc discontinu : nous ne sommes que par in
62
cte de l’expression, à la parole qui scande notre
durée
muette et qui témoigne de notre humanité. Rien n’est, que ce qui s’ex
63
tte séparation ; elle va dans le même sens que la
durée
, et c’est sans doute pourquoi elle est capable d’un progrès visible d
64
t, c’est-à-dire dans l’instant, non point dans la
durée
psychologique et descriptible. C’est pourquoi des généralités abstrai
65
es, dont nous savons qu’elles conditionnent notre
durée
. Mais la force de notre attaque a suscité des obstacles plus grands e
66
ions qui, elles, se manifestent dans une certaine
durée
de vibration. Le sentiment qui accompagne l’acte, c’est le sentiment
67
gement d’autorité. Et pour marquer le point de la
durée
où sa réalité entre en vigueur, je me borne à constater ceci : la rév
68
part de ceux qui ont exercé une action de quelque
durée
sur leur temps, — qu’il suffise de citer Marx et Sorel — restera le p
69
d’un Ibsen, d’un Rimbaud, d’un Tolstoï ! mais la
durée
du monde, sa survie, est faite de telles compensations — cultivèrent
70
je l’ai déjà noté — n’est pas une inversion de la
durée
, une extension de notre propre absence de style à des époques de gran
71
ou le devienne. Certes, quand nous parlons d’une
durée
de l’histoire, faut-il entendre qu’elle relève de la seule patience d
72
édiat, de l’instant actuel, du risque vrai. Notre
durée
agit comme une force centrifuge : nous remettons à demain les conclus
73
ré le temps qui nous dissout ; de durer malgré la
durée
. Notre être véritable est donc discontinu : nous ne sommes que par in
74
cte de l’expression, à la parole qui scande notre
durée
muette et qui témoigne de notre humanité. Rien n’est, que ce qui s’ex
75
tte séparation ; elle va dans le même sens que la
durée
, et c’est sans doute pourquoi elle est capable d’un progrès visible d
76
t, c’est-à-dire dans l’instant, non point dans la
durée
psychologique et descriptible. C’est pourquoi des généralités abstrai
77
es, dont nous savons qu’elles conditionnent notre
durée
. Mais la force de notre attaque a suscité des obstacles plus grands e
78
onné de l’histoire sociale, ils s’étalent dans la
durée
et vagabondent à travers les générations. Notons qu’ils s’attardent p
79
t il attribue ce phénomène de « refoulement de la
durée
vers l’amont » à l’incertitude du lendemain (et du présent), à la néc
80
même inefficace sur le « peuple ». Elle manque de
durée
. Évitant méticuleusement les reprises, les retours, elle s’accorde tr
81
séparable de la création, de l’avènement et de la
durée
d’un ordre social personnaliste. Elle se fait en faisant, par ce mouv
82
même inefficace sur le « peuple ». Elle manque de
durée
. Évitant méticuleusement les reprises, les retours, elle s’accorde tr
83
ui qui n’a pas accepté l’éternité, qui n’a pas de
durée
. Apprentissage de la pauvreté : devant la table sainte, où tout ce
84
sentiments qui sont en train de se nouer dans une
durée
étale et trop sereine. C’est qu’il faut recréer des obstacles pour po
85
tature exactement consciente des conditions de sa
durée
. Staline s’est assigné pour but prochain de refaire des cadres à sa n
86
r qui nous apprit à considérer notre vie dans une
durée
biographique et historique où l’instant se relativise. Ainsi les déci
87
as destiné aux époux ? Alors, pourquoi limiter sa
durée
? Trois ans, ce n’est guère pour le bonheur d’un couple. Et quand Tri
88
L’« amistié » dont il est question à propos de la
durée
du philtre est le contraire d’une amitié réelle. Bien plus, si l’amit
89
sse du vieux Béroul, c’est d’avoir limité à cette
durée
l’action du philtre : « La mère Iseut qui le bollit — À trois anz d’a
90
présence est inexprimable, elle ne possède aucune
durée
sensible, elle ne peut être qu’un instant de grâce — le duo de Don Ju
91
, précédait cette initiation, et un autre d’égale
durée
lui succédait. « Il arrivait fréquemment, nous dit Rahn, que les cath
92
par le premier acte, introduisent la lutte et la
durée
, qui sont les éléments du drame. Mais le drame ne peut pas tout dire,
93
est un poème qui n’exprime plus l’instant mais la
durée
. 158. Surtout les décors réalistes que nos metteurs en scène s’obsti
94
sentiments qui sont en train de se nouer dans une
durée
étale et trop sereine. C’est qu’il faut recréer des obstacles pour po
95
tature exactement consciente des conditions de sa
durée
. Staline s’est assigné pour but prochain de refaire des cadres à sa n
96
as destiné aux époux ? Alors, pourquoi limiter sa
durée
? Trois ans, ce n’est guère pour le bonheur d’un couple. Et quand Tri
97
L’« amistié » dont il est question à propos de la
durée
du philtre est le contraire d’une amitié réelle. Bien plus, si l’amit
98
sse du vieux Béroul, c’est d’avoir limité à cette
durée
l’action du philtre : « La mère Iseut qui le bollit. — À trois anz d’
99
présence est inexprimable, elle ne possède aucune
durée
sensible, elle ne peut être qu’un instant de grâce — le duo de Don Ju
100
s41 précédait l’initiation et qu’un autre d’égale
durée
lui succédait. (Plus tard, au xive siècle, ce jeûne rituel ou endura
101
par le premier acte, introduisent la lutte et la
durée
, qui sont les éléments du drame. Mais le drame ne peut pas tout dire,
102
est un poème qui n’exprime plus l’instant mais la
durée
. 176. Surtout les décors réalistes que nos metteurs en scène s’obst
103
sentiments qui sont en train de se nouer dans une
durée
étale et trop sereine. C’est qu’il faut recréer des obstacles pour po
104
tature exactement consciente des conditions de sa
durée
. Staline s’est assigné pour but prochain de refaire des cadres à sa n
105
lequel il se brisera presque toujours : c’est la
durée
. Or le mariage est une institution faite pour durer — ou il n’a pas d
106
raments. Si l’on veut le mariage, c’est-à-dire la
durée
, il serait normal d’en assurer les conditions. Mais ces réformes n’au
107
as destiné aux époux ? Alors, pourquoi limiter sa
durée
? Trois ans, ce n’est guère pour le bonheur d’un couple. Et quand Tri
108
L’« amistié » dont il est question à propos de la
durée
du philtre est le contraire d’une amitié réelle. Bien plus, si l’amit
109
sse du vieux Béroul, c’est d’avoir limité à cette
durée
l’action du philtre : « La mère Iseut qui le bollit. — À trois anz d’
110
présence est inexprimable, elle ne possède aucune
durée
sensible, elle ne peut être qu’un instant de grâce — le duo de Don Ju
111
s34 précédait l’initiation et qu’un autre d’égale
durée
lui succédait. (Plus tard, au xive siècle, ce jeûne rituel ou endura
112
par le premier acte, introduisent la lutte et la
durée
, qui sont les éléments du drame. Mais le drame ne peut pas tout dire,
113
est un poème qui n’exprime plus l’instant mais la
durée
. 164. Surtout les décors réalistes que nos metteurs en scène s’obst
114
sentiments qui sont en train de se nouer dans une
durée
étale et trop sereine. C’est qu’il faut recréer des obstacles pour po
115
tature exactement consciente des conditions de sa
durée
. Staline s’est assigné pour but prochain de refaire des cadres à sa n
116
lequel il se brisera presque toujours : c’est la
durée
. Or le mariage est une institution faite pour durer — ou n’a pas de s
117
raments. Si l’on veut le mariage, c’est-à-dire la
durée
, il serait normal d’en assurer les conditions. Mais ces réformes n’au
118
ais quel espoir, alors, pourrait rythmer toute la
durée
de notre vie, jusqu’à la mort, — sinon l’espoir d’un rendez-vous au-d
119
un puissant tonique pour la jeunesse suisse et la
durée
relativement courte de l’entraînement permet à chaque recrue de retro
120
ns une idée naturelle, le bonheur, le progrès, la
durée
vers le mieux… Mais nous mourons, c’est toujours surprenant. Cela par
121
ns une idée naturelle, le bonheur, le progrès, la
durée
vers le mieux… Mais nous mourons, c’est toujours surprenant. Cela par
122
ns une idée naturelle, le bonheur, le progrès, la
durée
vers le mieux… Mais nous mourons, c’est toujours surprenant. Cela par
123
st ce contact impensable de l’éternité avec notre
durée
, et l’on n’en peut rien dire sinon qu’il s’est produit, et qu’il peut
124
rtissez-vous et revenez ! » La forme du monde est
durée
, et c’est la forme du péché, du refus de l’instant éternel, — le temp
125
né vit dans le temps comme à contre-courant de sa
durée
, vit d’acte en acte. Et son temps n’est plus son péché, mais on pourr
126
nir, de relancer vers sa vraie fin tout ce qu’une
durée
mauvaise a disjoint et altéré. « Car l’attente ardente de la Création
127
anesque, sera toujours insuffisant pour égaler la
durée
réelle d’une vie. Quelque chose de méthodiquement insignifiant. Car l
128
ges ? Ils vont mourir aussi, avec la poésie de la
durée
, de la distance et de la nostalgie. Jusqu’au jour où l’humanité, sur
129
le nœud d’un coup d’épée, ramassa le prix pour la
durée
de la saison. (Tous les joueurs perdent.) Ce coup d’épée a fondé le m
130
dire de la mort ? Et sans la Fin, que dire de la
durée
? Mais tout se mêle encore confusément. Nous sommes là comme en rêve,
131
à l’autre. Un seul exemple : en Europe, la longue
durée
d’une liaison l’officialise presque ; en Amérique, c’est elle qui fai
132
ais quel espoir, alors, pourrait rythmer toute la
durée
de notre vie, jusqu’à la mort, — sinon l’espoir d’un rendez-vous au-d
133
orte au début de la rue : vous pouvez calculer la
durée
du trajet si vous êtes invité, par exemple, au numéro 20.751 de la pl
134
ges ? Ils vont mourir aussi, avec la poésie de la
durée
, de la distance et de la nostalgie. Jusqu’au jour où l’humanité, sur
135
e moderne préfère le mesurer à la réduction de la
durée
d’agonie d’une population. L’idéal de nos contemporains paraît bien ê
136
et cent étages. On le mettrait à la cave, pour la
durée
du raid. Solution aussi chère qu’absurde, car il y a tout à parier qu
137
ges ? Ils vont mourir aussi, avec la poésie de la
durée
, de la distance et de la nostalgie. Jusqu’au jour où l’humanité, sur
138
e moderne préfère le mesurer à la réduction de la
durée
d’agonie d’une population. L’idéal de nos contemporains paraît bien ê
139
et cent étages. On le mettrait à la cave, pour la
durée
du raid. Solution aussi chère qu’absurde, car il y a tout à parier qu
140
é dans la mesure où elle existe en soi et dans sa
durée
propre, comme un troisième terme, en réalité, supprime l’un des deux
141
même inefficace sur le « peuple ». Elle manque de
durée
. Évitant méticuleusement les reprises, les retours, elle s’accorde tr
142
ui qui n’a pas accepté l’éternité, qui n’a pas de
durée
. Apprentissage de la pauvreté : devant la table sainte, où tout ce
143
r qui nous apprit à considérer notre vie dans une
durée
biographique et historique où l’instant se relativise. Ainsi les déci
144
ais quel espoir, alors, pourrait rythmer toute la
durée
de notre vie, jusqu’à la mort, — sinon l’espoir d’un rendez-vous au-d
145
orte au début de la rue : vous pouvez calculer la
durée
du trajet si vous êtes invité, par exemple, au n° 20 751 de la plus l
146
t dire sans doute qu’à eux deux ils assuraient la
durée
de la France physique et de la France idéale. Samedi dernier, partant
147
stances qui les causent. Il n’a pas le goût de la
durée
intense. C’est tout de suite ou jamais. C’est OK ou ce n’est rien. Si
148
e qu’en 1848, au terme d’une crise d’assez courte
durée
, et en dépit d’une opposition très importante dans la population, dou
149
le nœud d’un coup d’épée, ramassa le prix pour la
durée
de la saison. (Tous les joueurs perdent.) Ce coup d’épée a fondé le m
150
dire de la mort ? Et sans la Fin, que dire de la
durée
? Mais tout se mêle encore confusément. Nous sommes là comme en rêve,
151
s l’ensemble, malgré les illusions de santé et de
durée
que peuvent entretenir encore dans nos vies certains îlots d’inconsci
152
raison irrationnelle, de croire à nos chances de
durée
, ne peut ni ne doit vous suffire. J’en indiquerai rapidement quelques
153
e soient des noms à retenir. Mais ce n’est pas la
durée
d’un nom qui compte ici, c’est son éclat instantané, le chiffre du ti
154
e œuvre. Et sans la moindre considération pour sa
durée
probable : le succès immédiat compte seul. Un livre qui ne s’est pas
155
stances qui les causent. Il n’a pas le goût de la
durée
intense. C’est tout de suite ou jamais. C’est OK ou ce n’est rien. Si
156
’ampleur des décolletés, le port du sweater ou la
durée
maxima des baisers à l’écran, parce qu’il essaie de satisfaire des ex
157
éricaine surtout, considère, au contraire, que la
durée
d’une affair mesure sa perversité. Il s’agit avant tout, là-bas, de n
158
mes ne couvrent que le dernier cinquantième de la
durée
généralement admise de l’humanité sur la planète. D’où il résulte que
159
s l’ensemble, malgré les illusions de santé et de
durée
que peuvent encore entretenir dans nos vies certains îlots d’inconsci
160
e raison irrationnelle de croire à nos chances de
durée
, ne peut ni ne doit nous suffire. J’en indiquerai rapidement quelques
161
e qu’en 1848, au terme d’une crise d’assez courte
durée
, et en dépit d’une opposition très importante dans la population, dou
162
t matériel, la vitesse de nos déplacements, et la
durée
moyenne de la vie. L’effort métaphysique et religieux s’est relâché à
163
éternité, mais prolongés par l’acte de piété à la
durée
des siècles écoulés et futurs de ce « pays que Dieu nous donne ».
164
voir que le maintien du statu quo, que la vie, la
durée
de notre Europe divisée, devant toutes les menaces que vous savez : u
165
voir que le maintien du statu quo, que la vie, la
durée
de notre Europe divisée, devant toutes les menaces que vous savez : u
166
efois qu’un « pur délice » pouvait entrer dans la
durée
, — ce dont plusieurs doutaient, de ma génération. (D’où quelque résis