1 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Adieu, beau désordre… (mars 1926)
1 veau. (Après tant de cocktails, quelle saveur a l’ eau claire !) Quelques autres se recueillent encore dans l’attente angois
2 1926, Journal de Genève, articles (1926–1982). Le Dépaysement oriental (16 juillet 1926)
2 et islam qu’il qualifie de « religion du fil de l’ eau  », ou de « prodigieux stupéfiant », tandis que « l’attrait du christi
3 1926, Articles divers (1924–1930). Soir de Florence (13 novembre 1926)
3 e côté, c’est le vide, où s’en vont lentement les eaux et les lueurs, vers la mer. Sur le Lungarno trop vaste et nu, les voi
4 euve, plus bas que la Promenade désertée. Sur les eaux , comme immobiles, des nuages rouges et le vert dur des berges : un ma
5 ule une maison blanche est arrêtée tout près de l’ eau . Mais ce n’est pas d’elle que vient cette chanson jamais entendue qui
6 ’Arno, les façades sont jaunes et roses près de l’ eau , puis perdent dans la nuit leurs lignes graves. Toutes ces formes dev
4 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Lettre du survivant (février 1927)
7 reflets sur l’asphalte mouillé. Les pieds dans l’ eau , les jambes fatiguées, les paupières lourdes, et ce chant désespéré q
5 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Quatre incidents (avril 1927)
8 ouvrir, qu’un monde s’est ouvert devant lui. Et l’ eau n’est pas moins somptueuse. Et bien sûr, je n’ai pas bougé. C’est une
6 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La part du feu. Lettres sur le mépris de la littérature (juillet 1927)
9 l se noie dans un verre à liqueur. Poisson dans l’ eau , plumes dans le vent, poète au bar, le paradis n’est pas si cher. Il
10 t. La bouche brûlée d’alcools, vous découvrez à l’ eau un goût étrange. L’eau est incolore, inodore et sans saveur. Mais fra
11 lcools, vous découvrez à l’eau un goût étrange. L’ eau est incolore, inodore et sans saveur. Mais fraîche. Ainsi, jusque dan
7 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
12 sans but. Vous savez, je lance mes filets dans l’ eau des nuits, et quelquefois j’en ramène des animaux aux yeux bizarres o
8 1928, Articles divers (1924–1930). Miroirs, ou Comment on perd Eurydice et soi-même » (décembre 1928)
13 nvient de méditer : la personne se dissout dans l’ eau des miroirs. Stéphane est en train de se perdre pour avoir voulu se
14 centre de pur esprit ? » C’est un premier filet d’ eau vive qui perce le sol aride : mais Stéphane n’entend pas encore grond
15 e : mais Stéphane n’entend pas encore gronder les eaux profondes. Le désir de s’hypnotiser l’irrite toujours vaguement. Mais
9 1929, Journal de Genève, articles (1926–1982). Panorama de Budapest (23 mai 1929)
16 t des après-midi entiers devant les deux verres d’ eau que le garçon renouvelle de temps à autre, à lire des potins tout en
10 1929, Articles divers (1924–1930). La tour de Hölderlin (15 juillet 1929)
17 s heures récite des odes grecques au murmure de l’ eau  ; la Princesse de Homburg lui a fait cadeau d’un piano dont il a coup
18 amateurs de ruines. Je suis descendu au bord de l’ eau , un peu au-dessous de la maison, en attendant l’heure d’ouverture. Il
19 sche » à fond plat. Des saules se penchent vers l’ eau lente. Sur l’autre rive qui est celle d’une longue île, des étudiants
20 t-sept ans dans cette chambre, avec le bruit de l’ eau et cette complainte de malade épuisé après un grand accès de fièvre…
21 ries et des collines basses, de l’autre côté de l’ eau jaune et verte… Quel est donc ce sommeil « dans la nuit de la vie » —
22 ien ramer et qui lisent des magazines au fil de l’ eau , ce qui est le comble des vacances. À une table voisine, des adolesce
23 di, ces musiquettes et ces parfums de fleurs et d’ eau … elle est tellement d’ailleurs… Faut-il donc que l’un des deux soit a
24 fixe. Pourquoi troubler le miroir innocent de ces eaux , ces âmes indulgentes à leur banalité ? Est-ce qu’ils ne soupçonnent
11 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Kikou Yamata, Saisons suisses (mars 1930)
25 lançant parmi les roseaux d’une baie ses poules d’ eaux noires. Il y fallait cette féminité ingénue et précieuse, toujours pr
12 1930, Articles divers (1924–1930). Le prisonnier de la nuit (avril 1930)
26 e les cloches et le scintillement des étoiles les eaux profondes qui échangent leurs douceurs. Tiens moi bien nous allons
13 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
27 à Albert Gyergyai. 1. Le dormeur au fil de l’ eau Où s’asseoir ? Le pont est encombré de jambes de dormeuses ; il fa
28 tendre, et regarder jaillir sans fin contre soi l’ eau de ce beau Danube jaune qui est le plus inodore des fleuves. Dormir.
29 travers ces quartiers si clairs, arbres et jets d’ eau  ; sans avoir pu retrouver, des conversations de ce bal, autre chose q
30 ain n’étant pas encore sortie… Dormir au fil de l’ eau , entre l’étrange nuit d’un autre bal et cette perspective de voyage a
31 le active et créatrice. Le reste : des porteurs d’ eau … Dans l’inextricable confusion d’injustices à quoi devait mener le wi
32 belle carrure ruisselante, il nous sourit, dans l’ eau jusqu’à mi-corps, mythologique. Nous sortons ensemble de la petite vi
14 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
33 fantôme éternel, ton « Désir désiré ». 16. Les eaux fades du Balaton Deux jours après, dégrisé, je nageais dans les ea
34 Deux jours après, dégrisé, je nageais dans les eaux fades du Balaton. Ces eaux, je crois, s’en vont à la mer Noire, et je
35 é, je nageais dans les eaux fades du Balaton. Ces eaux , je crois, s’en vont à la mer Noire, et je n’en connais pas les fées,
15 1932, Articles divers (1932-1935). Les « petits purs » (15 juin 1932)
36 s fripons en peau de bourgeois ou des requins à l’ eau de Coty. Description des « petits purs » De doux jeunes gens tr
16 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Un soir à Vienne avec Gérard
37 sans but. Vous savez, je lance mes filets dans l’ eau des nuits, et quelquefois j’en ramène des animaux aux yeux bizarres o
17 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Une « tasse de thé » au Palais C…
38 au long des trottoirs que le soleil lave à grande eau , et me laisser aller un peu à mes idées. Le commerce du monde mène pl
18 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
39 À Albert Gyergyai i Le dormeur au fil de l’ eau Où s’asseoir ? Le pont est encombré de jambes de dormeuses ; il fa
40 tendre, et regarder jaillir sans fin contre soi l’ eau de ce beau Danube jaune qui est le plus inodore des fleuves. Dormir.
41 travers ces quartiers si clairs, arbres et jets d’ eau  ; sans avoir pu retrouver, des conversations de ce bal, autre chose q
42 ain n’étant pas encore sortie… Dormir au fil de l’ eau , entre l’étrange nuit du bal et cette perspective invraisemblable d’u
43 le active et créatrice. Le reste : des porteurs d’ eau … Dans l’inextricable confusion d’injustices à quoi devait mener le wi
44 belle carrure ruisselante, il nous sourit, dans l’ eau jusqu’à mi-corps, mythologique. Nous sortons ensemble de la petite vi
45 antôme éternel, ton « Désir désiré ». xvi Les eaux fades du Balaton Deux jours après, dégrisé, je nageais dans les ea
46 Deux jours après, dégrisé, je nageais dans les eaux fades du Balaton. Ces eaux, je crois, s’en vont à la mer Noire, et je
47 é, je nageais dans les eaux fades du Balaton. Ces eaux , je crois, s’en vont à la mer Noire, et je n’en connais pas les fées,
19 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
48 s heures récite des odes grecques au murmure de l’ eau  ; la princesse de Homburg lui a fait cadeau d’un piano dont il a coup
49 amateurs de ruines. Je suis descendu au bord de l’ eau , un peu au-dessous de la maison, en attendant l’heure d’ouverture. Il
50 sche » à fond plat. Des saules se penchent vers l’ eau lente. Sur l’autre rive qui est celle d’une longue île, des étudiants
51 e-sept ans dans cette chambre, avec le bruit de l’ eau et cette complainte de malade épuisé après un grand accès de fièvre…
52 ries et des collines basses, de l’autre côté de l’ eau jaune et verte… Quel est donc ce sommeil « dans la nuit de la vie » —
53 di, ces musiquettes et ces parfums de fleurs et d’ eau … elle est tellement d’ailleurs… Faut-il donc que l’un des deux soit a
54 fixe. Pourquoi troubler le miroir innocent de ces eaux , ces âmes indulgentes à leur banalité ? Est-ce qu’ils ne soupçonnent
20 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
55 a rivière. En m’y penchant je puis me voir dans l’ eau plate, élargie en cet endroit, avant l’écluse qui la prend de biais s
56 La vie du pont m’occupe, comme les remous dans l’ eau . Un char traverse lentement. Une belle auto derrière s’impatiente, ta
21 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Le balcon sur l’eau
57 Le balcon sur l’ eau Tu es appuyée debout contre moi, et nous regardons à nos pieds l’ea
58 ebout contre moi, et nous regardons à nos pieds l’ eau vivante. La brume est proche. Une haute muraille derrière nous ferme
59 ce ; mais le silence a des vagues profondes. L’ eau clapote avec tendresse, et se retient… Et l’air chargé d’attente. Nos
60 rume où nous sommes perdus avec ce clapotis d’une eau étrangement vivante et qui rêve ; et rien que nos yeux qui brillent d
61 s confondent leur ombre et leur songe… Odeur de l’ eau , — pour toute la vie. (1929)
22 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais C…
62 au long des trottoirs que le soleil lave à grande eau , et me laisser aller un peu à mes idées. Le commerce du monde mène pl
23 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
63 e à Albert Gyergyai. Le dormeur au fil de l’ eau Où s’asseoir ? Le pont est encombré de jambes de dormeuses ; il fa
64 tendre, et regarder jaillir sans fin contre soi l’ eau de ce beau Danube jaune qui est le plus inodore des fleuves. Dormir.
65 travers ces quartiers si clairs, arbres et jets d’ eau  ; sans avoir pu retrouver, des conversations de ce bal, autre chose q
66 ain n’étant pas encore sortie… Dormir au fil de l’ eau , entre l’étrange nuit du bal et cette perspective invraisemblable d’u
67 le active et créatrice. Le reste : des porteurs d’ eau … Dans l’inextricable confusion d’injustices à quoi devait mener le wi
68 belle carrure ruisselante, il nous sourit, dans l’ eau jusqu’à mi-corps, mythologique. Nous sortons ensemble de la petite vi
69 ton fantôme éternel, ton « Désir désiré ». Les eaux fades du Balaton Deux jours après, dégrisé, je nageais dans les ea
70 Deux jours après, dégrisé, je nageais dans les eaux fades du Balaton. Ces eaux, je crois, s’en vont à la mer Noire, et je
71 é, je nageais dans les eaux fades du Balaton. Ces eaux , je crois, s’en vont à la mer Noire, et je n’en connais pas les fées,
24 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Le balcon sur l’eau
72 Le balcon sur l’ eau Tu es appuyée debout contre moi, et nous regardons à nos pieds l’ea
73 ebout contre moi, et nous regardons à nos pieds l’ eau vivante. La brume est proche. Une haute muraille derrière nous ferme
74 rface ; mais le silence a des vagues profondes. L’ eau clapote avec tendresse, et se retient… Et l’air chargé d’attente. Nos
75 rume où nous sommes perdus avec ce clapotis d’une eau étrangement vivante et qui rêve ; et rien que nos yeux qui brillent d
76 s confondent leur ombre et leur songe… Odeur de l’ eau , — pour toute la vie. Bogliaco, lac de Garde, 1928.
25 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
77 s heures récite des odes grecques au murmure de l’ eau  ; la princesse de Homburg lui a fait cadeau d’un piano dont il a coup
78 amateurs de ruines. Je suis descendu au bord de l’ eau , un peu au-dessous de la maison, en attendant l’heure d’ouverture. Il
79 sche » à fond plat. Des saules se penchent vers l’ eau lente. Sur l’autre rive qui est celle d’une longue île, des étudiants
80 e-sept ans dans cette chambre, avec le bruit de l’ eau et cette complainte de malade épuisé après un grand accès de fièvre…
81 ries et des collines basses, de l’autre côté de l’ eau jaune et verte… Quel est donc ce sommeil « dans la nuit de la vie » —
82 di, ces musiquettes et ces parfums de fleurs et d’ eau … elle est tellement d’ailleurs… Faut-il donc que l’un des deux soit a
83 fixe. Pourquoi troubler le miroir innocent de ces eaux , ces âmes indulgentes à leur banalité ? Est-ce qu’ils ne soupçonnent
26 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
84 a rivière. En m’y penchant je puis me voir dans l’ eau plate, élargie en cet endroit, avant l’écluse qui la prend de biais s
85 La vie du pont m’occupe, comme les remous dans l’ eau . Un char traverse lentement. Une belle auto derrière s’impatiente, ta
27 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
86 chers, à la base d’une paroi verticale, noircie d’ eau . J’avais pu lire sur les longs wagons bruns : Amsterdam-Basel-Milano-
87 qu’à Brooklyn. Un paysage immense de minéral et d’ eau . La rivière sillonnée de remorqueurs toussotants, luit d’un éclat d’é
88 en plein jour. Le seul vestige de nature — car l’ eau même est canalisée — ce sont ces trois îlots de granit noir couverts
28 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VI
89 plongeant sa patte dans un grand seau rempli de l’ eau du lac, était toute ma distraction. » Au même endroit de la ville, ne
90 ine au-dessus du gel, n’ayant devant moi que de l’ eau et de la brume ? J’habiterais ici volontiers. » Il a fallu le prix No
29 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VII
91 ives glauques ! sans rien d’alpestre, et dont les eaux , comme celles d’un marécage, longtemps se mêlent à la terre et filtre
92 entre les roseaux. » (L’Immoraliste.) Près de ces eaux , ma vie sentimentale est née. Et depuis lors elle est restée lacustre
93 epuis lors elle est restée lacustre. « Odeur de l’ eau — pour toute la vie », écrivait un Paysan du Danube, et vingt ans ne
94 lus amers ou des plus seuls a gardé le charme des eaux . Faut-il penser que la souffrance au bord d’un lac n’est jamais sans
95 il aime à s’y retrouver. Je nage à Baveno dans l’ eau tiède et dorée, c’est la fin de l’après-midi, devant la proue de l’Is
96 er la sérénade. Et nous montons à ce balcon sur l’ eau , accroché aux très hautes murailles qui sans raison, grandiloquentes,
97 moments, et dans l’échappée vers la plaine, où l’ eau rejoint presque le ciel, le petit phare de la baie de Sirmione… Sur l
98 des voiles inclinées… Balaton, lac de plaine aux eaux fades, environné de collines pointues et de valses aux jardins public
99 t transparent des montagnes, le scintillement des eaux sous la brume légère, tout était si pur et si frais qu’il semblait qu
100 Saint-Sacrement « pour la pureté lustrale de ses eaux  »… Il me rappelait un peu de tous mes autres lacs, mais il était surt
101 lacs, et la mémoire encore investit du charme des eaux l’adolescence même, aux chagrins taciturnes. Souffrir auprès d’un lac
102 suis sur la jetée, près du hangar des trams, et l’ eau n’est pas plus noire que mon cœur humilié. Dans ce « local » empuanti
103 ine prochaine, l’épreuve recommencera. Odeur de l’ eau qui dort, pénétrante, amicale. Un poisson saute et ride un moment le
104 el — vers l’ouest — que par cet or lointain que l’ eau n’a point doublé, déjà prise de nuit, rêvant jusqu’à mes pieds. Par u
30 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Précisions sur la mort du Grand Pan (avril 1934)
105 ux couché dans un bateau « qui dérive au gré de l’ eau  ». Image assez frappante de l’homme qui conclut avec le monde une pai
31 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Destin du siècle ou destin de l’homme ? (mai 1934)
106 re prétexte qu’ils sont eux-mêmes des requins à l’ eau de Coty. « Les intérêts sont les intérêts », affirment-ils. Voire ! L
32 1934, Esprit, articles (1932–1962). Définition de la personne (décembre 1934)
107 s où nous pouvons, cet esprit qui dansait sur les eaux primitives, et les lois de mon corps sont celles de la poussière ? — 
33 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Soirée chez Nicodème (mai 1935)
108 é, en vérité, je te le dis, si un homme ne naît d’ eau et d’Esprit, il ne peut entrer dans le Royaume de Dieu… Nicodème lui
34 1935, Le Semeur, articles (1933–1949). La cité (avril-mai 1935)
109 et qui vous laisse en fin de compte le bec dans l’ eau  ? J’aurais renoncé à vous parler ce soir si je n’avais eu à vous offr
35 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Lawrence et Brett par Dorothy Brett ; Matinées mexicaines suivi de Pansies (poèmes), par D. H. Lawrence (octobre 1935)
110 ses baquets que vous emplissez sans relâche de l’ eau du puits. J’apporte, moi aussi, quelques seaux. Puis vous partez écri
36 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
111 rêves des conteurs. Ce sera, dans la féerie de l’ eau des lumières et des couleurs, le ballet vertigineux des ondes. Ce ser
112 ilate voyant que le tumulte augmentait, prit de l’ eau , se lava les mains en présence de la foule et dit : Je suis innocent
37 1936, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Sur une page de Bossuet (ou Tradition et Révélation) (janvier 1936)
113  ; pas plus qu’on ne peut faire une synthèse de l’ eau et du feu sans éteindre le feu. Celui qui affirmerait y être parvenu
38 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — L’Arche de l’Alliance
114 dans les cieux, en bas sur la terre, et dans les eaux plus bas que la terre. » Cela condamne toute espèce d’art plastique.
39 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — L’Arche de l’Alliance
115 dans les cieux, en bas sur la terre, et dans les eaux plus bas que la terre. » Cela condamne toute espèce d’art plastique.
40 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Une idée de Law (janvier 1937)
116 de détruire 150 000 ennemis par le feu, le fer, l’ eau , la faim, les fatigues, les maladies. Ainsi, la destruction directe o
41 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
117 coule dans un fort grand bassin rectangulaire aux eaux sombres. La maison du jardinier ferme la cour sur la droite, derrière
118 se jaune brille au bord du bassin. Le reflet de l’ eau tremble au plafond et sur les murs verdâtres de la chambre où j’écris
119 it qu’ici trois maisons seulement, sur 200, ont l’ eau courante. Les femmes vont avec des cruches à la fontaine qui coule so
120 la Seine, au plus profond d’une contemplation des eaux nocturnes. Ma police personnelle m’envoie aussi me coucher. Elle m’y
121 éformes pratiques, qui demandent qu’on installe l’ eau et l’électricité dans les maisons, etc. C’est l’élément réveillé et e
42 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
122 de plaine évoquent l’instant de la séparation des eaux et de la terre, dans un chaos brillant d’où montent des vapeurs d’aub
43 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
123 ge, nouveau pays tout grouillant de merveilles, d’ eaux ruisselantes et de vies monstrueuses, soudain porté à la lumière de m
124 ce territoire compliqué. Nous les suivons, dans l’ eau jusqu’aux genoux, les jambes caressées de courants froids, de courant
125 revettes toutes vivantes, en les jetant dans de l’ eau qui bout. Après des soubresauts terribles — une ou deux sautent hors
44 1937, Esprit, articles (1932–1962). M. Benda nous « cherche », mais ne nous trouve pas (juillet 1937)
126 eur attribuait. Cette tempête autour d’un verre d’ eau , dans la salle étouffante de la rue Visconti, nous apprend tout de mê
45 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Préambule
127 ur la bâche qui couvre l’avant du bateau, et de l’ eau gicle sur nos visages glacés. « Tire le gramophone entre tes jambes,
128 t tout de suite la mer est forte. Un éclair sur l’ eau verte, un gros coup de vent : voilà nos compagnons de voyage, le méde
46 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
129 regard vague et passionné sur l’infini néant des eaux , je considère à mes pieds les dessins du sable qui s’écoule à chaque
130 ait des vagues, et l’usure de mes souliers dont l’ eau salée durcit et fendille le cuir… 1er décembre 1933 Dépenses d
131 (elle ne marche pas mieux depuis, il faut tirer l’ eau avec un seau, au bout d’une corde). Timbres, papier, enveloppes, 45 f
132 déjà il a fallu casser une couche de glace sur l’ eau du puits. J’ai les doigts engourdis par le contact de la corde gelée,
133 fort et de tout faire sauter.) Pas d’évier, ni d’ eau courante, bien entendu. Il faut aller au puits ; filtrer l’eau tant b
134 bien entendu. Il faut aller au puits ; filtrer l’ eau tant bien que mal : se geler les doigts déjà gercés… 12 décembre 1
135 ge, nouveau pays tout grouillant de merveilles, d’ eaux ruisselantes et de vies monstrueuses, soudain porté à la lumière de m
136 ce territoire compliqué. Nous les suivons, dans l’ eau jusqu’aux genoux, les jambes caressées de courants froids, de courant
137 de la rage imbécile : quand on la replonge dans l’ eau elle vous éternue son jet noir cinq ou six fois, jusqu’à épuisement,
138 us attardons encore à chercher dans les flaques d’ eau tiédie ou sous les pierres, des palourdes qu’on reconnaît aux deux pe
139 revettes toutes vivantes, en les jetant dans de l’ eau qui bout. Après des soubresauts terribles — une ou deux sautent hors
140 tent très bien de rouler dans les minces nappes d’ eau que poussent devant elles les grosses vagues. Entre la terre et l’eau
141 ant elles les grosses vagues. Entre la terre et l’ eau mouvante, quand on ne sait plus ce qui bouge et ce qui est fixe, à gr
47 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
142 coule dans un fort grand bassin rectangulaire aux eaux sombres. La maison du jardinier ferme la cour sur la droite, derrière
143 se jaune brille au bord du bassin. Le reflet de l’ eau tremble au plafond et sur les murs verdâtres de la chambre où j’écris
144 ci trois maisons seulement, sur deux-cents, ont l’ eau courante. Les femmes vont avec des cruches à la fontaine qui coule so
145 la Seine, au plus profond d’une contemplation des eaux nocturnes. Ma police personnelle m’envoie aussi me coucher. Elle m’y
146 éformes pratiques, qui demandent qu’on installe l’ eau et l’électricité dans les maisons, etc. C’est l’élément réveillé et e
147 ier passé sous la porte nageait dans une flaque d’ eau de pluie, plusieurs lettres à peine lisibles. Un froid terrible ; la
148 érer d’un travail domestique pénible et monotone ( eau courante au lieu de pompe commune, électricité au lieu de pétrole, et
149 valeur culturelle » que la lampe à pétrole ; et l’ eau courante que la pompe ; — et Babbitt que D. H. Lawrence. Tout ce qui
150 oup plus heureux qu’un bourgeois, avec ma pompe à eau et ma lampe à pétrole. 21 mars 1935 Place aux vieux ! — Je lis
151 de plaine évoquent l’instant de la séparation des eaux et de la terre, dans un chaos brillant d’où montent des vapeurs d’aub
48 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. L’été parisien
152 le remplir au bord de la chaussée, à une prise d’ eau . Il sifflote, il n’est pas pressé. Des enfants courent derrière la pa
153 te en face de très grands prés, on peut pêcher. —  Eau de puits dans la cour actionnée par une pompe — électricité. Commerça
49 1937, Articles divers (1936-1938). Vocation et destin d’Israël (1937)
154 dans les cieux, en bas sur la terre, et dans les eaux plus bas que la terre. » Cela condamne toute espèce d’art plastique.
50 1938, Articles divers (1938-1940). Souvenir d’Esztergom (juin 1938)
155 belle carrure ruisselante, il nous sourit, dans l’ eau jusqu’à mi-corps, mythologique. Nous sortons ensemble de la petite vi
51 1938, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La vraie défense contre l’esprit totalitaire (juillet 1938)
156 ribouille : pour éviter la pluie, on se jette à l’ eau . Autre danger : si l’on accepte de jouer le jeu des armements, l’eff
52 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
157 e. La synthèse catholique s’efforçait de marier l’ eau et le feu, car on pouvait tirer des Écritures et des Pères les thèses
53 1939, Articles divers (1938-1940). Il y a toujours des directeurs de conscience en Occident (juin 1939)
158 qui a soif vienne, que celui qui veut prenne de l’ eau de la vie, gratuitement. » 3. Je ne puis ici que déclarer, sans dé
54 1939, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Billet d’aller et retour (décembre 1939)
159 e grenat des façades de briques renversées dans l’ eau jaune des canaux suffisent à expliquer cette harmonie solide, luxueus
55 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
160 arce que du flanc de Jésus, coula du sang et de l’ eau . Voilà la sanctification de la vie poussée à ses extrêmes limites »55
56 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
161 sel de Salzburg, lorsqu’on jette un rameau dans l’ eau profonde, on le retrouve trois mois après « garni d’une infinité de d
162 à peine féminines de fuites — comme on dit que l’ eau fuit d’un bassin : fissures dans le réel, fuites de rêves. C’est la t
57 1939, L’Amour et l’Occident. Amour et guerre
163 de détruire 150 000 ennemis par le feu, le fer, l’ eau , la faim, les fatigues, les maladies. Ainsi, la destruction directe o
164  beaux sentiments » de série. (Comme une goutte d’ eau « trouble » l’absinthe, et c’est pourquoi Jarry dit que l’eau est imp
165 e » l’absinthe, et c’est pourquoi Jarry dit que l’ eau est impure). De même la guerre était un composé d’excitations de l’op
58 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe contre le mariage
166 e. La synthèse catholique s’efforçait de marier l’ eau et le feu, car on pouvait tirer des Écritures et des Pères les thèses
59 1939, L’Amour et l’Occident. Appendices
167 avale aux crins blancs, ou encore figuration de l’ eau de la chaudière de Cerridwen, qui donne l’inspiration aux bardes, gué
60 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
168 spirituels. Ils rejettent aussi le baptême par l’ eau , et ne reconnaissent que le baptême par l’Esprit consolateur : ce con
169 arce que du flanc de Jésus, coula du sang et de l’ eau . Voilà la sanctification de la vie poussée à ses extrêmes limites57. 
61 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
170 sel de Salzburg, lorsqu’on jette un rameau dans l’ eau profonde, on le retrouve trois mois après « garni d’une infinité de d
171 à peine féminines de fuites — comme on dit que l’ eau fuit d’un bassin : fissures dans le réel, fuites de rêves. C’est la t
62 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Amour et guerre
172 de détruire 150 000 ennemis par le feu, le fer, l’ eau , la faim, les fatigues, les maladies. Ainsi, la destruction directe o
173  beaux sentiments » de série. (Comme une goutte d’ eau « trouble » l’absinthe, et c’est pourquoi Jarry dit que l’eau est imp
174 e » l’absinthe, et c’est pourquoi Jarry dit que l’ eau est impure.) De même la guerre était un composé d’excitations de l’op
63 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe contre le mariage
175 e. La synthèse catholique s’efforçait de marier l’ eau et le feu, car on pouvait tirer des Écritures et des Pères les thèses
64 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
176 spirituels. Ils rejettent aussi le baptême par l’ eau , et ne reconnaissent que le baptême par l’Esprit consolateur : ce con
177 rce que, du flanc de Jésus, coula du sang et de l’ eau . Voilà la sanctification de la vie poussée à ses extrêmes limites. »5
65 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
178 el de Salzbourg, lorsqu’on jette un rameau dans l’ eau profonde, on le retrouve trois mois après « garni d’une infinité de d
179 à peine féminines de fuites — comme on dit que l’ eau fuit d’un bassin : fissures dans le réel, fuites de rêves. C’est la t
66 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Amour et guerre
180 de détruire 150 000 ennemis par le feu, le fer, l’ eau , la faim, les fatigues, les maladies. Ainsi, la destruction directe o
181  beaux sentiments » de série. (Comme une goutte d’ eau « trouble » l’absinthe, et c’est pourquoi Jarry dit que l’eau est imp
182 e » l’absinthe, et c’est pourquoi Jarry dit que l’ eau est impure.) De même la guerre était un composé d’excitations de l’op
67 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe contre le mariage
183 e. La synthèse catholique s’efforçait de marier l’ eau et le feu, car on pouvait tirer des Écritures et des Pères les thèses
68 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Appendices
184 avale aux crins blancs, ou encore figuration de l’ eau de la chaudière de Cerridwen, qui donne l’inspiration aux bardes, gué
69 1940, Articles divers (1938-1940). L’homme au poignard enguirlandé (1940)
185 u vrai réalisme. « Jette ton pain sur la face des eaux , car avec le temps tu le retrouveras ; donnes-en une part à sept et m
70 1942, La Part du diable. Introduction. Que la connaissance du vrai danger nous guérit des fausses peurs
186 esquels « l’existence deviendrait impossible »… L’ eau , remarquait un humoriste, est ce liquide si impur qu’une seule goutte
71 1942, La Part du diable. L’Incognito et la Révélation
187 es. Nous essayons de dissoudre le diable dans les eaux troubles du subconscient. Ce n’est encore qu’une variante scientifiqu
188 ance eût lieu dans un petit pavillon au bord de l’ eau . On sort, la dame la première ; et sitôt dans le jardin, conclut Jung
72 1942, La Part du diable. Le diable démocrate
189 mes heurtés. Ou comme Xerxès, nous flagellons les eaux de l’Hellespont, à grands coups de discours sur les ondes courtes. No
190 iocre, dilué et trop étendu (comme on « étend » d’ eau une solution concentrée) de divinisation prométhéenne. Nos vertus com
73 1942, La Part du diable. Le Bleu du Ciel
191 llement, comme des brutes… Ce sont des nuées sans eau , poussées par les vents ; des arbres d’automne sans fruits, deux fois
192 rs aux déserts qu’il habite, déserts de sables, d’ eaux amères ou de rochers, déserts des foules, ou ceux que porte un cœur d
193 et l’ordre des vertus. Je lui oppose l’Esprit, l’ Eau et le Sang, « qui rendent témoignage et les trois sont d’accord ».24
74 1942, La Part du diable (1944). Introduction. Que la connaissance du vrai danger nous guérit des fausses peurs
194 esquels « l’existence deviendrait impossible »… L’ eau , remarquait un humoriste, est ce liquide si impur qu’une seule goutte
75 1942, La Part du diable (1944). L’Incognito et la Révélation
195 es. Nous essayons de dissoudre le diable dans les eaux troubles du subconscient. Ce n’est encore qu’une variante scientifiqu
196 ance eût lieu dans un petit pavillon au bord de l’ eau . On sort, la dame la première ; et sitôt dans le jardin, conclut Jung
76 1942, La Part du diable (1944). Le diable démocrate
197 mes heurtés. Ou comme Xerxès, nous flagellons les eaux de l’Hellespont, à grands coups de discours sur les ondes courtes. No
198 médiocre, dilué et trop étendu (comme on étend d’ eau une solution concentrée) de divinisation prométhéenne. Nos vertus com
77 1942, La Part du diable (1944). Le Bleu du Ciel
199 llement, comme des brutes… Ce sont des nuées sans eau , poussées par les vents ; des arbres d’automne sans fruits, deux fois
200 rs aux déserts qu’il habite, déserts de sables, d’ eaux amères ou de rochers, déserts des foules, ou ceux que porte un cœur d
201 et l’ordre des vertus. Je lui oppose l’Esprit, l’ Eau et le Sang, « qui rendent témoignage et les trois sont d’accord »36.
78 1942, La Part du diable (1982). Introduction. Que la connaissance du vrai danger nous guérit des fausses peurs
202 esquels « l’existence deviendrait impossible »… L’ eau , remarquait un humoriste, est ce liquide si impur qu’une seule goutte
79 1942, La Part du diable (1982). L’Incognito et la révélation
203 es. Nous essayons de dissoudre le diable dans les eaux troubles du subconscient. Ce n’est encore qu’une variante scientifiqu
204 ance eût lieu dans un petit pavillon au bord de l’ eau . On sort, la dame la première ; et sitôt dans le jardin, conclut Jung
80 1942, La Part du diable (1982). Le diable démocrate
205 mes heurtés. Ou comme Xerxès, nous flagellons les eaux de l’Hellespont, à grands coups de discours sur les ondes courtes. No
206 médiocre, dilué et trop étendu (comme on étend d’ eau une solution concentrée) de divinisation prométhéenne. Nos vertus com
81 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
207 hitectes, les surveillants, les transporteurs par eau et par terre. Et les corporations d’ouvriers. Les uns faisaient la br
82 1942, La Part du diable (1982). Le Bleu du Ciel
208 llement, comme des brutes… Ce sont des nuées sans eau , poussées par les vents ; des arbres d’automne sans fruits, deux fois
209 rs aux déserts qu’il habite, déserts de sables, d’ eaux amères ou de rochers, déserts des foules, ou ceux que porte un cœur d
210 et l’ordre des vertus. Je lui oppose l’Esprit, l’ Eau et le Sang, « qui rendent témoignage et les trois sont d’accord »38.
83 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable IX : « Nous sommes tous coupables » (10 décembre 1943)
211 mes heurtés. Ou comme Xerxès, nous flagellons les eaux de l’Hellespont, à grands coups de discours sur les ondes courtes. No
84 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Le dernier des Mohicans (11 octobre 1945)
212 lentement entre les troncs des pins sur un vert d’ eau limpide. Une grande flèche rouge rase les cimes en silence, devient o
213 du Saint-Sacrement pour la pureté lustrale de ses eaux , se nomme aujourd’hui le Lake George et fut le Horicon de Fenimore Co
85 1945, Articles divers (1941-1946). Présentation du tarot (printemps 1945)
214 Tarot) : Bâtons = Trèfle = Air Coupes = Carreau = Eau Épées = Pique = Terre Deniers = Cœur = Feu Selon le Dr Elizabeth Whit
215 Cœur = Sentiment = Feu Épées = Trèfle = Pensée = Eau Deniers = Pique = Sensation = Terre Enfin, selon R. M. de Marinis (da
216 ion = Terre Coupes = Cœur = Mariage = Sentiment = Eau Épées = Pique = Sociabilité = Intuition = Air Deniers = Carreau = Cré
217 produire, la potentialité d’un événement. Idée d’ eau , de liquide. Astrologie. La Vierge, maison de Mercure. On y considèr
218 eau, Gémeaux, Balance) ; l’Aigle (Scorpion) est l’ Eau (Scorpion, Poissons, Cancer) ; le Taureau (Taureau) est la Terre (Tau
219 s 4 parties de l’homme : Corps (Terre), Émotions ( Eau ), Intelligence (Air), Esprit (Feu), les 4 emblèmes chérubiniques dans
86 1946, Le Figaro, articles (1939–1953). Les nouveaux aspects du problème allemand (30 mai 1946)
220 comme l’autre fois… » Chat échaudé craint même l’ eau froide. Supposons dans ce cas qu’il ait raison. Supposons une Allemag
87 1946, Le Figaro, articles (1939–1953). Demain la bombe, ou une chance d’en finir avec la terre (30 juin 1946)
221 n instantanée de dizaines de millions de litres d’ eau provoquerait un tel raz-de-marée que le Déluge, en comparaison, n’aur
88 1946, Articles divers (1941-1946). La fin du monde (juin 1946)
222 qui a soif vienne, que celui qui veut prenne de l’ eau de la vie, gratuitement. » Car maintenant tout est payé. Tout est gra
89 1946, Articles divers (1941-1946). En 1940, j’ai vu chanceler une civilisation : ce que l’on entendait sur le paquebot entre Lisbonne et New York (21 septembre 1946)
223 ingage, près de moi, et me dit en crachant dans l’ eau entre chaque phrase : « Il y a des gens, des Parisiens, qui trouvent
224 rect, isn’t he ? » À mon tour, j’ai craché dans l’ eau , pour marquer mon approbation. 20 septembre 1940, en rade de New York
90 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Beekman Place (octobre 1946)
225 qu’à Brooklyn. Un paysage immense de minéral et d’ eau . La rivière, sillonnée de remorqueurs toussotants, luit d’un éclat d’
226 en plein jour. Le seul vestige de nature — car l’ eau même est canalisée — ce sont ces trois îlots de granit noir couverts
91 1946, Articles divers (1946-1948). Le supplice de Tantale (octobre 1946)
227 Le supplice de Tantale (octobre 1946)a L’ eau fuit ses lèvres, la branche fuit sa main, et le rocher qui surplombe
228 et non moins chargée de symboles : un corps, une eau , une branche et un rocher. C’est l’homme coupable, environné des embl
229 n délire. À l’instant même, il s’enfonce dans les eaux , il boit à mort, et le rocher l’écrase. Mais c’est précisément ce qui
230 ule crainte de mourir à cette vie temporelle, les eaux vives fuiront ses lèvres ; car il faudrait, pour y être immergé, acce
231 l’acte de porter les lèvres ou la main vers cette eau , vers ces fruits offerts, l’amour de soi domine encore le pur Amour,
92 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
232 n de terre à nu, et plus une ligne indécise, ni d’ eau qui court, ni de feuillages. Tout est pans de brique peinte et de cim
233 qu’à Brooklyn. Un paysage immense de minéral et d’ eau . La rivière, sillonnée de remorqueurs toussotants, luit d’un éclat d’
234 en plein jour. Le seul vestige de nature — car l’ eau même est canalisée — ce sont ces trois îlots de granit noir couverts
235 nné, s’annonce dans les journaux : « Cinq pièces, eau chaude et bain. » Il en existe dans Manhattan des centaines de millie
93 1946, Articles divers (1941-1946). Contribution à l’étude du coup de foudre (1946)
236 ndes artères de Pest, le pont des Chaînes sur les eaux jaunes du Danube, puis ces ruelles de Buda qui montent sur les flancs
94 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
237 e grenat des façades de briques renversées dans l’ eau jaune des canaux suffisent à expliquer cette harmonie solide, luxueus
238 chers, à la base d’une paroi verticale, noircie d’ eau . J’avais pu lire sur les longs wagons bruns : Amsterdam-Basel-Milano-
239 u vrai réalisme. « Jette ton pain sur la face des eaux , car avec le temps tu le retrouveras ; donnes-en une part à sept et m
95 1946, Journal des deux mondes. La route de Lisbonne
240 s plus guère au départ. S’il y avait une goutte d’ eau à boire. Mais le car a stoppé dans une gorge aride, entre deux rocs b
241 intenant, on ne voit plus que le fond. Tristesse, eau tiède et jaune des robinets du Ritz, rues étroites et fétides, pleine
242 ingage, près de moi, et me dit en crachant dans l’ eau entre chaque phrase : — « Il y a des gens, des Parisiens, qui trouven
243 rect, isn’t he ? » À mon tour, j’ai craché dans l’ eau , pour marquer mon approbation. 20 septembre 1940, en rade de New Y
96 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
244 n de terre à nu, et plus une ligne indécise, ni d’ eau qui court, ni de feuillage. Tout est pans de brique peinte et de cime
97 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
245 de brumes dorées au ras des prairies nues et des eaux populeuses, où semblent se mêler encore plusieurs jours de la Créatio
246 anc du quai. Des œillets volent et tombent dans l’ eau noire. C’est une jeune fille aux bras menus qui, du pont, mais en vai
98 1946, Journal des deux mondes. L’Amérique en guerre
247 qu’à Brooklyn. Un paysage immense de minéral et d’ eau . La rivière, sillonnée de remorqueurs toussotants, luit d’un éclat d’
248 en plein jour. Le seul vestige de nature — car l’ eau même est canalisée — ce sont ces trois îlots de granit noir couverts
99 1946, Journal des deux mondes. Le choc de la paix
249 lentement entre les troncs des pins sur un vert d’ eau limpide. Une grande flèche rouge rase les cimes en silence, devient o
250 du Saint-Sacrement pour la pureté lustrale de ses eaux , se nomme aujourd’hui le Lake George et fut le Horicon de Fenimore Co
251 ve a lancé lui aussi sa volée grêle, portée par l’ eau dans le soir clair et chaleureux. J’ai dit : — C’est la paix, cette f
252 nné, s’annonce dans les journaux : « cinq pièces, eau chaude et bain ». Il existe dans Manhattan des centaines de milliers
100 1946, Lettres sur la bombe atomique. La nouvelle
253 n gramme de remède et le dilue dans cent litres d’ eau  ; puis il dilue un gramme de cette solution dans cent autres litres,
254 s même une seule molécule. Il n’y a plus que de l’ eau pure. Et cependant, cette eau n’est pas semblable à celle qui coule d
255 n’y a plus que de l’eau pure. Et cependant, cette eau n’est pas semblable à celle qui coule du robinet. Elle est modifiée p