1
ique du péché. Le Lépreux, journal apocryphe de l’
empereur
Alexandre Ier de Russie, n’est qu’une suite de méditations sur le thè
2
ignité. Dignité du temps de l’homme. ⁂ Un jour, l’
empereur
de la Chine fait appeler auprès de lui son peintre. « Peins-moi sur c
3
gt ans », dit le peintre. Et pendant vingt ans, l’
empereur
subvient à l’existence du peintre. Cependant l’artiste se promène. Su
4
xtraits de ses œuvres8. Fils d’un conseiller de l’
empereur
et d’une danseuse, Kagawa se convertit au christianisme pendant ses é
5
ignité. Dignité du temps de l’homme. ⁂ Un jour, l’
empereur
de la Chine fait appeler auprès de lui son peintre. « Peins-moi sur c
6
gt ans », dit le peintre. Et pendant vingt ans, l’
empereur
subvient à l’existence du peintre. Cependant l’artiste se promène. Su
7
ignité. Dignité du temps de l’homme. ⁂ Un jour, l’
empereur
de la Chine fait appeler auprès de lui son peintre. « Peins-moi sur c
8
gt ans », dit le peintre. Et pendant vingt ans, l’
empereur
subvient à l’existence du peintre. Cependant l’artiste se promène. Su
9
’aucun doute n’est permis. De Constantin, premier
empereur
chrétien commandant aux chrétiens de faire la guerre, à Charlemagne b
10
u jeune Japon chrétien. Fils d’un conseiller de l’
empereur
et d’une geisha, Kagawa appartient à une classe honorable, et jouit à
11
ups d’État incessants, qui font et renversent les
empereurs
, mais sans jamais toucher à la forme de l’État. De là aussi l’intérêt
12
(héros des guerres d’indépendance.) Portraits d’
empereurs
allemands du Moyen Âge ; Histoire des Allemands Sudètes ; Le soldat
13
inée, et non pas devant Blücher, ce hasard, que l’
empereur
devait succomber. Mais pourquoi cette victoire à Waterloo ? Parce qu’
14
çois la charité. Quand les Romains adoraient leur
empereur
, les chrétiens ne craignaient pas de passer pour athées : ils refusai
15
i par exemple on appelle pape un Léon III qui fut
empereur
. Je ne songe pas à défendre l’inexactitude ni les erreurs typographiq
16
e méprisés. Mais à partir de Constantin, puis des
empereurs
carolingiens, ses doctrines devinrent l’apanage des princes et des cl
17
thèse au nom de laquelle le roi de Prusse devenu
empereur
d’Allemagne revendiquera les provinces allemandes de l’Autriche. Mais
18
agné du pape, il va à Constantinople demander à l’
empereur
ses deux filles : l’aînée, Berthe, épousera Charles, la cadette, Elis
19
d, et de mon peuple qui m’écoute. Hornek. — L’
empereur
t’envoie son salut ! Il se souvient de ta vaillance dans la guerre, q
20
Louis XI, à droite les Autrichiens dominés par l’
empereur
vêtu d’or et couronné.) Nicolas. — Seigneur ! La voix du solitaire
21
e méprisés. Mais à partir de Constantin, puis des
empereurs
carolingiens, ses doctrines devinrent l’apanage des princes et des cl
22
thèse au nom de laquelle le roi de Prusse devenu
empereur
d’Allemagne, revendiquera les provinces allemandes de l’Autriche. Mai
23
e méprisés. Mais à partir de Constantin, puis des
empereurs
carolingiens, ses doctrines devinrent l’apanage des princes et des cl
24
thèse au nom de laquelle le roi de Prusse devenu
empereur
d’Allemagne, revendiquera les provinces allemandes de l’Autriche. Mai
25
agné du page, il va à Constantinople demander à l’
empereur
ses deux filles : l’aînée, Berthe, épousera Charles, la cadette, Elis
26
intérêt du Saint-Empire, et non point parce que l’
empereur
tenait à leur faire un petit plaisir ! Ainsi le fondement même de la
27
rmanique de la liberté armée, la rivalité entre l’
empereur
et les grands vassaux, la nécessité et l’habitude du travail en équip
28
(4 mars 1942)c Peu avant la guerre de 1914, l’
empereur
Guillaume II fit une visite au gouvernement suisse. Au cours des manœ
29
alysé à ce titre. Les figures de la papesse, de l’
empereur
, de la Justice, de l’Ermite, nous apparaissent comme de véritables Ar
30
désire ne gagnera jamais. C’est le sophisme de l’
empereur
: Napoléon n’est pas un Bonaparte comblé, mais quelqu’un qui s’est su
31
ine, à Bonaparte. Le romantique qui rêvait d’être
empereur
est mort le jour du couronnement. Tous nos succès, tous nos actes san
32
lleurs le danger n’est pas grand. Prenez le vieil
empereur
d’Autriche, François-Joseph : tous les cochers d’opérettes viennoises
33
êmes favoris. Cela ne l’empêchait pas de rester l’
empereur
, et un homme parfaitement distingué. X. On affirme, en effet, qu’il
34
désire ne gagnera jamais. C’est le sophisme de l’
empereur
: Napoléon n’est pas un Bonaparte comblé, mais quelqu’un qui s’est su
35
ine, à Bonaparte. Le romantique qui rêvait d’être
empereur
est mort le jour du couronnement. Tous nos succès, tous nos actes san
36
tés. Et ces privilèges avaient été accordés par l’
empereur
afin que le passage du Gothard fût gardé libre pour tout le Saint-Emp
37
iscutant le sexe des anges, sujet sublime, mais l’
empereur
combattait sur les remparts. Je ne connais pas de comparaison plus hu
38
s’éloigner : 10 millions de francs-or, environ. L’
empereur
en versa la moitié, puis se mit à pleurer misère. Les riches ne l’aid
39
ape, les « Waldstätten » cherchèrent l’appui de l’
empereur
. Frédéric II comprit qu’il était de son intérêt de les soutenir. Le c
40
’Empire, le Nord et le Sud. Il était vital pour l’
empereur
de garder libre ce passage, et de le protéger contre les grands vassa
41
it subversif, de mauvaise tête. C’est ainsi que l’
empereur
Maximilien d’Autriche qualifiait de « Schwyzer » tous ses sujets rebe
42
envahirent la Souabe et battirent les armées de l’
empereur
. « Svizzeri, armatissimi et liberissimi ! » s’écriait avec une admira
43
r. Toute la population le soutenait, et lorsque l’
empereur
, inquiet des progrès de la Réforme, voulut attaquer Zurich avec l’aid
44
Suisses déclarassent encore la guerre au nom de l’
empereur
, ils avaient cessé de se faire représenter aux Diètes d’Empire et de
45
ge, du royaume de Naples et des Deux-Siciles, des
empereurs
d’Autriche. C’est à la période du service étranger que se rapporte le
46
tés. 1. Les Habsbourg, comme on sait, devinrent
empereurs
. Ils s’efforcèrent de réduire les Waldstätten en les entourant d’un c
47
à conclure des alliances étrangères avec Rome, l’
empereur
, ou la France, pour assurer les droits de leur minorité menacée. Nous
48
s’éloigner : 10 millions de francs-or, environ. L’
empereur
en versa la moitié, puis se mit à pleurer misère. Les riches ne l’aid
49
onventions de partis en Amérique. Convoqués par l’
empereur
de Byzance, les évêques se rassemblent de tout le Proche-Orient, d’Af
50
artis, entourés de leurs tenants, les légats de l’
empereur
et du pape, font dans la ville choisie des entrées solennelles : la d
51
n siège, tenir compte des pressions opposées de l’
empereur
ou du pape de Rome, déposer ou non le patriarche de Byzance, et souda
52
tolérance. » Ailleurs encore, Voltaire approuve l’
empereur
Yont-Chin, le plus sage et le plus magnanime qu’ait eu la Chine, pour
53
nventions de partis, en Amérique. Convoqués par l’
empereur
de Byzance, les évêques se rassemblent de tout le Proche-Orient, d’Af
54
artis, entourés de leurs tenants, les légats de l’
empereur
et du pape, font dans la ville choisie des entrées solennelles : la d
55
n siège, tenir compte des pressions opposées de l’
empereur
ou du pape de Rome, déposer ou non le patriarche de Byzance — et soud
56
happé voici près de seize siècles des lèvres de l’
empereur
Julien mourant : Tu as vaincu, Galiléen ! Vicisti Galilaeus ! Mais qu
57
r autrement l’accueil fait aux conquistadores ? L’
empereur
aztèque reçoit Cortés comme l’avatar du dieu Quetzalcoatl : c’est que
58
Alexandre n’a pas rejoint Chandragupta, le grand
empereur
du Gange. La mission de Plan Carpin a échoué. Jean de Montecorvino es
59
ens critique d’un Socrate et la raison d’État des
empereurs
romains ; ou enfin, entre les religions syncrétistes du Proche-Orient
60
ique du péché. Le Lépreux, journal apocryphe de l’
empereur
Alexandre Ier de Russie, n’est qu’une suite de méditations sur le thè
61
le Gothard. Lorsque Rodolphe de Habsbourg devint
empereur
, les Waldstätten sentirent la menace grandir contre leurs libertés lo
62
eut pas être d’un homme sage ». En conséquence, l’
empereur
se déclarait partisan d’une « organisation fédérative où chaque canto
63
ndance des cantons. Au lendemain de la chute de l’
empereur
, en 1815, un nouveau Pacte fédéral consacra le retour à l’état de cho
64
Voici le poète de la cour, Angilbert, gendre de l’
empereur
, qui décerne à Charles, en 799, les titres de « tête du monde…, cime
65
s, et sera le champ de l’ambition « romaine » des
empereurs
« de nation germanique » ; tandis que l’unité spirituelle deviendra l
66
s, du long couchant carolingien, sous Henri II. L’
empereur
saxon, fuyant la peste qui ravage l’Italie en 1022, remonte vers les
67
urendo admiserat). Sur le manteau constellé de l’
empereur
était brodée cette inscription : O decus Europae Caesar Heinrice bea
68
oncernant les Imperators aux rois modernes et à l’
empereur
moderne qui, sans doute à l’origine, ne fut considéré que comme génér
69
ques obsédés par l’uniformité, d’autre part les «
empereurs
de la finance ». Ceux-là finiront par réduire toute l’humanité à l’ét
70
unité. Sous la conduite des papes romains et des
empereurs
germains, la communauté des Européens n’a cessé de se développer et d
71
s ses derniers recoins. Alexandre le Grand et les
empereurs
chinois s’imaginèrent qu’ils dominaient le monde entier : c’était moi
72
e de Montebello et Boni, liés à divers titres à l’
empereur
et aux familles influentes de la Double-Monarchie, lui ménagent les c
73
parfois dans ses propos. (Il eût fait un fort bel
empereur
romain-germanique et d’expression française.) Un certain ton de gouai
74
ique du péché. Le Lépreux, journal apocryphe de l’
empereur
Alexandre Ier de Russie, n’est qu’une suite de méditations sur le thè
75
Voici le poète de la cour, Angilbert, gendre de l’
empereur
, qui décerne à Charles, en 799, les titres de « tête du monde…, cime
76
s, et sera le champ de l’ambition « romaine » des
empereurs
« de nation germanique » ; tandis que l’unité spirituelle deviendra l
77
s, du long couchant carolingien, sous Henri II. L’
empereur
saxon, fuyant la peste qui ravage l’Italie en 1022, remonte vers les
78
urendo admiserat). Sur le manteau constellé de l’
empereur
était brodée cette inscription : O decus Europæ Cæsar Heinrice beat
79
pressenti d’une unité qui allait de soi, et que l’
empereur
, pas plus que le pape, ne songeait à mettre en question : il ne voula
80
t de la juridiction des princes et des peuples. L’
empereur
reçoit de lui son autorité temporelle, comme la Lune reçoit du Soleil
81
En face du pape, pourtant, voici que se dresse l’
empereur
. Selon Marsile de Padoue, c’est le peuple qui est le vrai dépositaire
82
positaire de toute autorité, et il la délègue à l’
empereur
. Ce dernier représente donc la plénitude de la juridiction. Hors de l
83
arron : le roi de France, qui se dira plus tard «
empereur
en son royaume » et qui refuse tout autant la suprématie du Saint-Emp
84
e du Souverain Pontife. Philippe le Bel, contre l’
empereur
et contre Boniface VIII, représente pour la première fois les droits
85
mmande sans lui devoir son autorité. Cependant, l’
empereur
est la cause première de l’ordre social, et nul baron ne commande san
86
aire à la paix du genre humain. Et le monarque, l’
empereur
doit dominer les hommes au nom de l’intelligence supérieure qui lui e
87
de la Science ?) C’est pour saluer la marche de l’
empereur
Henri VII qui vient se faire couronner à Rome par Clément V, que Dant
88
dirige ; et ce chef doit être appelé monarque ou
empereur
. Donc il est évident que la bonne existence du monde exige l’existenc
89
son crédit auprès de Philippe. En cette année, l’
empereur
Albert d’Autriche ayant été assassiné, et Clément V se trouvant à Poi
90
roi de profiter de l’occasion pour se faire élire
empereur
… Une fois nommé empereur, le roi se mettra à la tête de la chrétienté
91
sion pour se faire élire empereur… Une fois nommé
empereur
, le roi se mettra à la tête de la chrétienté et marchera sur Jérusale
92
que les ducs de Bourgogne et de Bavière ; mais l’
empereur
et le pape s’en voyaient exclus. C’est donc bien sur une Europe nouve
93
s veuillent obéir. Ni au Souverain Pontife ni à l’
empereur
on ne rend leur dû. Il n’est plus de respect ni d’obéissance. Nous re
94
pect ni d’obéissance. Nous regardons le pape et l’
empereur
comme des noms, des fictions. Chaque cité a son roi, chaque maison a
95
nne des poètes des mains de Frédéric III, dernier
empereur
du Saint-Empire qui ait été couronné à Rome. Grands symboles ! 72.
96
la personne du roi de France et moins encore de l’
empereur
. Que Dieu pardonne aux princes ou à leurs opposants ; mais il ne leur
97
étiens réunis à Augsbourg sous la présidence de l’
empereur
: Ayant basti une telle confédération, il conviendrait encores passe
98
narchies de la terre, de celles du pape, des deux
empereurs
, et du roy d’Hespagne. Il n’est pas loing de France, de Tartarie, Mos
99
ège de l’empire oriental ». Viendront ensuite « l’
empereur
chrestien » puis le roy de France « attendu qu’il commande à un peupl
100
rations humaines. Or, j’ai reconnu que le pape, l’
empereur
, le roi d’Espagne, les archiducs, les princes ecclésiastiques d’Allem
101
n collège composé de huit souverains : le pape, l’
empereur
, les rois de France, d’Espagne, d’Angleterre, du Danemark, de Suède e
102
rappelle qu’au Moyen Âge la double autorité de l’
empereur
et du pape ménageait la liberté des souverainetés fédérées : Dans ce
103
admis que deux magistrats suprêmes, le pape et l’
empereur
, exerçaient le pouvoir de sa part, l’un le pouvoir spirituel, l’autre
104
t, dans le monde chrétien, la majesté sacrée de l’
empereur
romain repose sur cette base, il s’ensuit qu’elle ne doit pas être co
105
princes… Si on agit donc conformément au droit, l’
empereur
doit être investi, dans une grande partie de l’Europe, d’un pouvoir,
106
cidé par un pouvoir public fondé par le pape et l’
empereur
en qualité de chefs de la chrétienté ; donc par le moyen d’une entent
107
de Ministre maintenant qui voudrait proposer à l’
empereur
de renoncer à la succession de l’Espagne, et des Indes. Les Puissance
108
indépendants et à la tête desquelles se trouve l’
empereur
… Lorsque des puissances souveraines s’unissent en des ligues perpétue
109
e quelques droits de certains princes, comme de l’
empereur
, des rois et des autres moindres potents et qu’elles s’accordent surt
110
e vue que j’ai entrepris d’écrire l’Histoire de l’
empereur
Charles-Quint. Ce fut pendant son règne que les Puissances de l’Europ
111
er… 136. W. Robertson : Histoire du règne de l’
empereur
Charles-Quint. Tableau des progrès de la Société en Europe, depuis la
112
oncernant les Imperators aux rois modernes et à l’
empereur
moderne qui, sans doute à l’origine, ne fut considéré que comme génér
113
tiennent l’équilibre de la liberté européenne, l’
empereur
, la Russie et la Prusse sont par le nombre et l’excellence de leurs t
114
n des peuples, et l’ascendant passager du premier
empereur
des Francs, le passage de la vie des anciens Germains à l’état de pol
115
te fois sous l’égide du Premier Consul, puis de l’
empereur
: ainsi le Tableau politique de l’Europe par Echassériaux (1802), Die
116
763-1825). Cet enthousiaste a été jusqu’à louer l’
empereur
d’avoir tenté de transformer le continent tout entier en l’« État com
117
le Europe m’ennuie » ? Tout le monde répète que l’
empereur
n’a « révélé » ses intentions d’unir l’Europe qu’au temps de Sainte-H
118
porte les marques de la pensée et de la main de l’
empereur
. Or on y lit : Nous avions alors pour but d’organiser un grand systè
119
et compté de clerc à maître avec les peuples. L’
empereur
, ajoute Las Cases dans le Mémorial de Sainte-Hélène, passait ensuite
120
5.L’Europe des adversaires de l’
empereur
Napoléon avait raison sur ce dernier point : le seul « équilibre po
121
re n’était pas de ramener à l’obédience de Rome l’
empereur
Alexandre Ier. Pour une négociation de cette nature, de Maistre a peu
122
Novalis. Dans un écrit qu’il adresse en 1814 aux
empereurs
de Russie et d’Autriche, et au roi de Prusse, il propose une fédérati
123
ationaux soumis à la suzeraineté d’un seul roi ou
empereur
; quoique là aussi l’union ne soit pas restée inébranlable, et que la
124
hèse vivante entre l’unité et la diversité, que l’
empereur
avait rêvé de faire revivre : … Ainsi se retira à nouveau du monde l
125
retira à nouveau du monde l’homme qui, en tant qu’
empereur
, avait poursuivi les plus nobles buts dans un combat qu’il mena infat
126
ires à la Richelieu ou à la Robespierre, ou les «
empereurs
de la finance » à la Rothschild. Ce nivellement mortel, qui rendrait
127
é des nations au lieu de la fraternité féroce des
empereurs
; nous aurons la patrie sans la frontière, le budget sans le parasiti
128
se digne du nom : Qu’il se trouve, disait-il, un
empereur
de Russie vaillant, impétueux, capable, en un mot un tsar qui ait de
129
unité. Sous la conduite des papes romains et des
empereurs
germains, la « liaison de l’Europe entière » n’a cessé de se développ
130
ra plus tard Jules Romains : Ni les rois, ni les
empereurs
ni les peuples ne savaient au juste pourquoi ils tenaient tant à se f
131
cœur d’un païen de Rome dans l’hommage rendu à l’
empereur
, ce chrétien aussi est idolâtre.285 Spengler n’est pas moins dur.
132
la paix impériale, reste attaché à l’armure de l’
empereur
; mais, selon la tradition du peuple romain, cet or s’accroît et lors
133
roît et lorsqu’il recouvrira toute la statue de l’
empereur
qui consuma sa vie dans les camps, les expéditions, et sur les champs
134
égnera : ainsi l’Europe a trouvé sa figure dans l’
empereur
protégeant et bénissant la Ville et le Monde. Mais gardons-nous de fu
135
rium romanum fut, par miracle, devenu chrétien, l’
empereur
descendit du rang de dieu au rang de représentant de Dieu. Constantin
136
iens, unique et monolithique, s’hypostasia dans l’
empereur
tout-puissant. Avec le triomphe de la doctrine trinitaire, cette conc
137
taire, cette conception ne fut plus possible. « L’
empereur
n’est pas au-dessus de l’Église mais dans l’Église », rappela duremen
138
roise fut saint Augustin… Faire correspondre à un
empereur
chrétien un régime chrétien fut l’un des buts que se proposa l’auteur
139
Voltaire, Thomas d’Aquin, Descartes et Kant, les
empereurs
médiévaux et les rois « par la grâce de Dieu » de France et d’Espagne
140
nt devenue universelle. Alexandre le Grand et les
empereurs
chinois s’imaginèrent qu’ils dominaient le monde entier : ils se trom
141
ttes meurtrières, opposant l’Église à l’Empire, l’
empereur
et les rois aux féodaux, les cités aux princes et l’orthodoxie aux hé
142
rien Toynbee m’arrête : Alexandre le Grand et les
empereurs
chinois s’imaginaient, eux aussi, qu’ils dominaient le monde entier.
143
ttes meurtrières, opposant l’Église à l’Empire, l’
empereur
et les rois aux féodaux, les cités aux princes et l’orthodoxie aux hé
144
oisième larron dans le conflit entre le pape et l’
empereur
. L’idée de Dante est simple : il préconise l’établissement d’une mona
145
rien Toynbee m’arrête : Alexandre le Grand et les
empereurs
chinois s’imaginaient, eux aussi, qu’ils dominaient le monde entier.
146
de la région, mais, par-dessus leur tête, du seul
empereur
. Leur liberté, c’était ce qu’on nommait alors « l’immédiateté à l’Emp
147
ue générale du genre humain, entre au service des
empereurs
autrichiens puis de la Prusse. Jean-Jacques Rousseau, « citoyen de Ge
148
qui ont suivi, sa reconnaissance officielle par l’
empereur
Constantin (édit de Milan en 313), ses tentatives d’expansion vers l’
149
ère de grand-garde du col du Gothard ; et c’est l’
empereur
qui leur accorde ces franchises, dans les intérêts de l’Empire entier
150
ue les Waldstätten ont reçu leurs franchises de l’
empereur
. N’y avait-il pas là un premier germe de la neutralité « charismatiqu
151
fils d’un « homme libre » du Brisgau, reçoit de l’
empereur
Henri IV le titre de duc de Zähringen et l’avouerie impériale de Zuri
152
nts et du clergé. Le duc Conrad est investi par l’
empereur
du titre de « recteur de Bourgogne ». Son petit-fils, Berthold V, se
153
e famille de la Suisse orientale fut présenté à l’
empereur
et jugea spirituel de lui rappeler que des Habsbourg avaient été vass
154
méridionale de l’Empire. Les protagonistes sont l’
empereur
, les Habsbourg et les Waldstätten. La péripétie initiale est fournie
155
ns les personnages du drame. Frédéric II, dernier
empereur
Hohenstaufen, est aux prises avec Rome et le parti des papes, mais au
156
proportion de leur proximité du Saint-Gothard. L’
empereur
et les communes affranchies pour assurer la liberté de passage du col
157
ais voici le coup de tonnerre : Habsbourg devient
empereur
! Le protecteur lointain et le plus proche ennemi des privilèges impé
158
sortis », avaient porté les armes au service des
empereurs
, fait en Allemagne, en Italie, en Bourgogne leur éducation politique
159
mais non par tous. C’est en 1412 seulement que l’
empereur
Sigismond de Luxembourg proclame éteints les derniers droits des Habs
160
conclusion des guerres de Souabe, menées contre l’
empereur
Maximilien, amène Bâle et Schaffhouse en 1501, puis Appenzell en 1513
161
battu à Grandson et à Morat, tué à Nancy. Enfin l’
empereur
Maximilien qui avait prétendu, non sans justes raisons, que les Suiss
162
l’Autriche n’avaient pu venir à bout, puis sur l’
empereur
lui-même et sur le roi de France, ont fait d’eux la première puissanc
163
iles, états généraux de Hollande, ducs de Savoie,
empereurs
d’Autriche. Les Suisses se battent dans toutes les guerres européenne
164
trois-mille à Milan et deux-mille au service de l’
empereur
. » (E. Gagliardi, op. cit., tome I, p. 415). En 1748, soixante mille
165
p lâche, d’autre part les alliances nouées avec l’
empereur
, le pape, Venise, le roi de France, Mathias Corvin, la Savoie, la Lor
166
vaient opposer à la France, à la Bourgogne ou à l’
empereur
Maximilien des troupes égales en nombre et supérieures en puissance d
167
à conclure des alliances étrangères avec Rome, l’
empereur
, ou la France, pour assurer les droits de leur minorité. C’est Zwingl
168
istes de Philippe le Bel : « Le Roy de France est
empereur
en son royaume », ce qui veut dire que le chef de l’État d’un domaine
169
e de haut en bas (faute d’avoir pu se faire élire
empereur
), fait gifler le pape, puis confisque la papauté elle-même, l’install
170
istes du Philippe de Bel : « Le Roy de France est
empereur
en son royaume », ce qui veut dire que le chef de l’État d’un domaine
171
e de haut en bas (faute d’avoir pu se faire élire
empereur
!), fait gifler le pape, puis confisque la papauté elle-même, l’insta
172
d’égale que « le sang-froid admirable » des deux
empereurs
, et l’énergie de leurs troupes est bien sûr « indomptable ». Tout cel
173
qu’une seule idée en tête, qui est d’approcher l’
empereur
et d’obtenir de lui la permission (refusée par les ministères) d’ache
174
e. Mais d’autres soucis, ce jour-là, retiennent l’
empereur
. Notre jeune bourgeois suisse, 31 ans, se résignera donc à l’attendre
175
et son désir de se rendre utile. Il cherchait un
empereur
et il trouve une idée, aurait pu dire Victor Hugo. Je vois ici la sit
176
s ses derniers recoins. Alexandre le Grand et les
empereurs
chinois s’imaginèrent qu’ils dominaient le monde entier ; c’était moi
177
’éloigner : dix millions de francs or, environ. L’
empereur
en versa la moitié, puis se mit à pleurer misère. Les riches ne l’aid
178
compte de leur maître que « le roi de France est
empereur
en son royaume » et ne reconnaît « aucun supérieur sur la terre ».
179
s ses derniers recoins. Alexandre le Grand et les
empereurs
chinois s’imaginèrent qu’ils dominaient le monde entier ; c’était moi
180
istes de Philippe le Bel : « Le Roy de France est
empereur
en son royaume », ce qui veut dire que le chef de l’État d’un domaine
181
e de haut en bas (faute d’avoir pu se faire élire
empereur
), fait gifler le pape, puis confisque la papauté elle-même, l’install
182
usqu’à la propre tante du duc : Agnès, femme de l’
empereur
Henri III. Elle entretient avec Pierre Damien une correspondance qui
183
çais existe réellement depuis Philippe le Bel — «
empereur
en son royaume » —, il est absolument certain que l’Italie comme État
184
uader par ses légistes que « le roi de France est
empereur
en son royaume ». C’est pour cela que, lorsque de Gaulle est mort, vo
185
honie, l’État veut l’unisson dans la monotonie. L’
empereur
est le recours contre tous les pouvoirs, l’État n’est que leur additi
186
t. Lorsqu’il se fait proclamer par ses légistes «
empereur
en son royaume », et lorsqu’il satellise en Avignon la papauté, Phili
187
ccidentaux. L’ayatollah David a renversé Goliath,
empereur
et chef des armées, « Lumière du monde aryen », et signataire de cont
188
n, philosophique et politique. C’est un appel à l’
empereur
Henri VII, qui vient se faire sacrer à Rome, pour restaurer l’unité d
189
mps qu’il s’est fait proclamer par ses légistes «
empereur
en son royaume… ne reconnaissant aucun supérieur sur ses terres », c’
190
es politiques ou économiques, elles relèvent de l’
empereur
(parfois du roi) et sont donc « immédiates à l’empire », lequel devie
191
une prince napolitain qui est le petit-neveu de l’
empereur
Frédéric Barberousse ; Bonaventure, qui vient de Pise ; Siger de Brab
192
nction d’un monopole d’État43. Le 21 mars 1810, l’
empereur
s’adresse au Conseil d’État : Si mes espérances se réalisent, je veu
193
et l’imam fidèle au Coran, quand l’un protège un
empereur
coupable et quand l’autre menace de tuer des innocents dans une parti
194
ucoup d’uranium dans son sol. (D’où la chute de l’
empereur
, sitôt qu’il a traité avec le « fou d’Allah » qu’est Kadhafi.) Somoza
195
puis à Bruxelles, où il apprend l’abdication de l’
empereur
le 9 avril. Et tout d’un coup, le soir du 15 avril, il note, rapide e
196
vers Nantes, mais cette ville vient de passer à l’
empereur
. Retour à Paris le 28 mars, à la faveur d’une amnistie. Journées de t
197
’être arrêté, Constant reçoit une invitation de l’
empereur
— et s’y rend sur l’heure. Dès lors, tout va très vite. Citons le jou
198
politique en Europe. 14 avril. Entrevue avec l’
empereur
. Longue conversation. C’est un homme étonnant. Demain je lui porte un
199
t d’un coup, malgré lui, tient un rôle décisif. L’
empereur
, notera-t-il plus tard dans son Mémoire sur les Cent-Jours, n’essaya
200
ois, elle exigera la liberté. Elle en aura. Ni l’
empereur
ni Constant n’ont changé. Nul n’est dupe, nul ne cherche à duper l’au
201
parle à la fin des Cent-Jours : 21 juin 1815. L’
empereur
m’a fait demander. Il est toujours calme et spirituel. Il abdiquera d
202
nd il l’établit. Dès le lendemain du départ de l’
empereur
pour Rochefort puis pour Sainte-Hélène, Constant entre en opposition
203
accepte deux semaines plus tard de rédiger pour l’
empereur
une constitution libérale, voilà ce que ses contemporains ont décidé
204
e en l’occurrence, ce n’est pas Constant, c’est l’
empereur
. De Golfe-Juan à Lyon, jusqu’à Paris, Napoléon a été accueilli aux cr
205
is, Napoléon a été accueilli aux cris de « Vive l’
empereur
! » mais aussi de « Vive la liberté ! ». Il sait qu’il doit compter a
206
n, philosophique et politique. C’est un appel à l’
empereur
Henri VII, qui vient se faire sacrer à Rome, pour restaurer l’unité d
207
mps qu’il s’est fait proclamer par ses légistes «
empereur
en son royaume, … ne reconnaissant aucun supérieur sur ses terres »,
208
e monde spirituel, non dans le monde des princes,
empereurs
ou présidents de la République sur la terre : aucun rapport. La puiss
209
cs de Bourgogne et de Bavière ; mais le pape et l’
empereur
en seront exclus. Bien qu’il ait échoué devant l’indifférence de Loui
210
délité en partie double : les uns envers le grand
empereur
français et sa descendance, les autres envers la monarchie prussienne
211
erlin, d’un officier neuchâtelois au service de l’
empereur
et d’une mère d’origine genevoise mais élevée à Londres, Guy de Pourt