1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jean Prévost, Tentative de solitude (septembre 1925)
1 t éliminer de soi tout ce qui est déterminé par l’ extérieur , — ce fou que nous portons tous en nous, — il l’a isolé, incarné, nom
2 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Miguel de Unamuno, Trois nouvelles exemplaires et un prologue (septembre 1925)
2 ine difficilement un art plus dépouillé de détail extérieur ou d’enjolivure. La lecture de ces trois tragédies, d’une classique s
3 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Adieu, beau désordre… (mars 1926)
3 sser quelque chose ; à la merci des circonstances extérieures qu’il méprise toutes également ; n’attendant rien que de ses impulsio
4 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Daniel-Rops, Notre inquiétude (avril 1927)
4 ais peut-être M. Rops a-t-il trop négligé le rôle extérieur , que je crois décisif, des conditions de la vie moderne.) Après avoir
5 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jean Cassou, La Clef des songes (août 1929)
5 s intermèdes ; pur de tout souci de vraisemblance extérieure  ; qui ne serait qu’invention, qui inventerait sa vérité. Ce serait un
6 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Malraux, La Voie royale (février 1931)
6 qu’on ait pu distinguer nettement à quels mobiles extérieurs obéissait son action. C’est peut-être qu’il n’y en a pas. Perken, com
7 st plus fortement marqué que leurs particularités extérieures , et c’est sans doute le tempérament de leur auteur. Qui n’a pas remar
7 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Au sujet d’un grand roman : La Princesse Blanche par Maurice Baring (mai 1931)
8 t, cette vie dénuée d’aventures ou de difficultés extérieures , permet à notre intérêt de se concentrer uniquement sur les sentiment
8 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Littérature alpestre (juillet 1931)
9 nostalgie d’une vie qui comporterait des risques extérieurs . Mais c’est là se contenter à bon marché, et personne ne croit plus à
9 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
10 and-Duché. « J’ai toujours considéré mon activité extérieure et ma production comme purement symboliques, et, au fond, il m’est as
10 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Goethe, chrétien, païen (avril 1932)
11 ant l’insondable mystère de Dieu devient, vu de l’ extérieur , orgueil de la raison qui juge ce monde comme si Dieu n’existait pas,
11 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
12 aux couronnes mortuaires et à toute autre marque extérieure de deuil ; par contre je voudrais que l’on joue sur ma tombe : Schon
12 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
13 aux couronnes mortuaires et à toute autre marque extérieure de deuil ; par contre je voudrais que l’on joue sur ma tombe : « Scho
13 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
14 l’occupation. Un conquérant n’occupe jamais que l’ extérieur , mais l’étranger s’infiltre au cœur de l’être. Comment lui résisterai
15 Et ce n’est pas toujours au galop.) Les quartiers extérieurs des villes intacts, et si parfaits dans le propret-coquet-scolaire-19
14 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Dialectique des fins dernières (juillet 1933)
16 izarrement au xviiie siècle l’idée de Progrès. L’ extérieur déçoit, l’intérieur égare ; l’objet pur opprime, le sujet pur s’évade
15 1933, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Parole de Dieu et parole humaine, par Karl Barth (30 décembre 1933)
17 e. Et c’est par là même qu’elle lui apporte, de l’ extérieur , le gage de la résurrection. (La grâce n’est pas accordée aux « juste
16 1933, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Petites notes sur les vérités éternelles (1932-1933)
18 é (pauvreté en esprit, absence de toute assurance extérieure , dénuement, vision absolument sobre et désillusionnée de la condition
17 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Grammaire de la personne (janvier 1934)
19 le je aux prises avec le tu. Ses données me sont extérieures , certes. Mais je n’ai pas à les connaître autrement que par la questi
20 ividu transformé, orienté, animé par une présence extérieure . Face à face avec le prochain que j’aime, je ne suis plus un isolé9,
18 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Communauté révolutionnaire (février 1934)
21 ne repose plus, aujourd’hui, que sur des valeurs extérieures à l’homme. Il n’est plus assuré par la responsabilité de chacun, mais
19 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Précisions sur la mort du Grand Pan (avril 1934)
22 choix, et qui le considère comme une alternative extérieure à son être, un vis-à-vis dont il pourrait se détourner, cette indiffé
20 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Deux essais de philosophes chrétiens (mai 1934)
23 t je viens d’indiquer l’un des symptômes les plus extérieurs  ? Supposez, maintenant, que la collusion se produise. (L’hypothèse n’
21 1934, Articles divers (1932-1935). La Révolution nécessaire, par Arnaud Dandieu et Robert Aron (juin 1934)
24 eutes sanglantes, bien au contraire : la violence extérieure mesure, simplement, un défaut de préparation doctrinale, — ce mot dev
22 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notice biographique [Kierkegaard] (août 1934)
25 en « saluant tous les hommes ». Le seul événement extérieur de sa vie fut la rupture de ses fiançailles avec Régine Olsen. Mais s
23 1934, Esprit, articles (1932–1962). Préface à une littérature (octobre 1934)
26 deur. Telle est notre médiocrité. La seule mesure extérieure qui subsiste est à nos yeux la plus dégradante qui soit. Il faut donc
24 1934, Articles divers (1932-1935). Jeunesse déracinée (novembre 1934)
27 s, dispersez-les dans les casernes des boulevards extérieurs , dans le cadre anonyme des petits « deux pièces » qu’on loue sans bai
25 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Personne ou individu ? (D’après une discussion)
28 s cas, la vocation est une mission qui vient de l’ extérieur , qui est d’abord tout objective, mais qu’il faut aussitôt s’approprie
29 s envoûter par l’exemple des dictatures ! L’ordre extérieur imposé par l’État, au moyen des violences qu’on sait, peut très bien
26 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Communauté révolutionnaire
30 ne repose plus, aujourd’hui, que sur des valeurs extérieures à l’homme. Il n’est plus assuré par la responsabilité de chacun, mais
27 1934, Politique de la personne. Appendice —  La Révolution nécessaire
31 eutes sanglantes, bien au contraire : la violence extérieure mesure, simplement, un défaut de préparation doctrinale, — ce mot dev
28 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Personne ou individu ? (d’après une discussion)
32 s cas, la vocation est une mission qui vient de l’ extérieur , qui est d’abord tout objective, mais qu’il faut aussitôt s’approprie
33 s envoûter par l’exemple des dictatures ! L’ordre extérieur imposé par l’État, au moyen des violences qu’on sait, peut très bien
29 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Communauté révolutionnaire
34 ne repose plus, aujourd’hui, que sur des valeurs extérieures à l’homme. Il n’est plus assuré par la responsabilité de chacun, mais
30 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Qu’est-ce que la politique ?
35 ts de la nation et des autres nations — politique extérieure . Dans le cas de la France, si un homme se sent poussé à l’action publ
36 de la nation. La politique reste quelque chose d’ extérieur à son être véritable. D’où la distinction bien connue entre la vie pu
37 n ne sont que les émanations, les représentations extérieures de la tension personnelle de chaque homme, de chaque membre d’une com
31 1935, Articles divers (1932-1935). Mystère de la Vision (fragments d’un Traité de la vision physionomique du monde) (mars 1935)
38 ut que le costume, la grimace, ce qu’on nomme « l’ extérieur  » de l’homme, mais non pas son visage. Pour lui comme pour tous les a
32 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). L’édit de Nantes et sa révocation (mars-avril 1935)
39 peut valoir un « ordre » imposé brutalement de l’ extérieur à deux partis, sans tenir compte des exigences spirituelles fondament
33 1935, Le Semeur, articles (1933–1949). La cité (avril-mai 1935)
40 re. Il y a aussi des voix qui nous appellent de l’ extérieur , et qui nous montrent, ici et maintenant, des possibilités d’action d
34 1935, Esprit, articles (1932–1962). Tristan Tzara, Grains et Issues (juin 1935)
41 mène de mimétisme par son assimilation à un objet extérieur  » (p. 283). Autrement dit, le sujet se désiste de sa responsabilité a
35 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Recherches philosophiques (septembre 1935)
42 ierkegaard qui pensent « à la banalité soucieuse, extérieure et intérieure, de l’homme ». Et je ne dis pas que le parallèle Marx-K
36 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
43 e, que la pensée n’est guère qu’un luxe — « signe extérieur  » de la richesse, ou d’une condition sociale privilégiée — le pas est
37 1936, Esprit, articles (1932–1962). Vues sur C. F. Ramuz (mai 1936)
44 s que ces bonshommes ne sont point décrits « de l’ extérieur  » — comme le voudrait certaine formule naturaliste — mais qu’ils sont
45 aduisent. ⁂ Une forme, une image vivante : est-ce extérieur ou intérieur ? L’artiste répondra : ni l’un ni l’autre. Car il se tie
38 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Qu’est-ce que l’autorité ? (mai 1936)
46 paravent cédera à la première poussée venue de l’ extérieur . Ni Louis XVI, ni Kerensky, ni Schleicher n’ont su faire usage de la
39 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Qu’est-ce que la politique ? (juin 1936)
47 ts de la nation et des autres nations — politique extérieure . Dans le cas de la France, si un homme se sent poussé à l’action publ
48 de la nation. La politique reste quelque chose d’ extérieur à son être véritable. D’où la distinction bien connue entre la vie pu
49 n ne sont que les émanations, les représentations extérieures de la tension personnelle de chaque homme, de chaque membre d’une com
40 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
50 ès lors que cette création vient s’« insérer de l’ extérieur  » ; en dépit de la Force des Choses ; en vertu d’un esprit étranger…
51 rez bien forcés de commencer par rétablir l’ordre extérieur . Et vous ferez du collectivisme. C’est la seule « base commune » puis
52 nt une révolution qui soit nôtre, sans brutalités extérieures , sans destructions aveugles, sans propagande de masse abêtissante. Au
53 t faux que nous soyons obligés de commencer par l’ extérieur , si nous voulons rétablir une mesure commune à la pensée et à l’actio
54 e commune à la pensée et à l’action. Car un ordre extérieur n’est solide et fécond que s’il résulte d’un ordre intérieur. Et cet
55 libérales, elles constituent cependant une menace extérieure matériellement considérable. Elles impriment aux masses qui les suive
56 ité. Notre mesure commune ne sera pas collective, extérieure à notre personne : cela n’a pas de sens pour nous. Elle ne sera pas n
41 1936, Articles divers (1936-1938). Décadence des lieux communs (décembre 1936)
57 dividu à des calculs de masses, à des disciplines extérieures , à des ambitions inhumaines. Nous vivons à l’âge des mots d’ordre. L’
42 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Décadence des lieux communs
58 dividu à des calculs de masses, à des disciplines extérieures , à des ambitions inhumaines. Nous vivons à l’âge des mots d’ordre. L’
43 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — La mesure soviétique
59 ès lors que cette création vient s’« insérer de l’ extérieur  » ; en dépit de la Force des Choses ; en vertu d’un esprit étranger…
44 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Leçon des dictatures
60 rez bien forcés de commencer par rétablir l’ordre extérieur . Et vous ferez du collectivisme. C’est la seule « base commune » puis
61 nt une révolution qui soit nôtre, sans brutalités extérieures , sans destructions aveugles, sans propagande de masse abêtissante. Au
62 t faux que nous soyons obligés de commencer par l’ extérieur , si nous voulons rétablir une mesure commune à la pensée et à l’actio
63 e commune à la pensée et à l’action. Car un ordre extérieur n’est solide et fécond que s’il résulte d’un ordre intérieur. Et cet
45 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — commune mesure et acte de foi
64 uver de ce désordre. Car, ou bien elle nous reste extérieure , ou bien elle est complice de nos faiblesses. Elle n’est pas vraie en
65 e ou à la mesure hitlérienne, c’est qu’elles sont extérieures à la personne. Elles soumettent le tout de l’homme à une partie de so
46 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
66 libérales, elles constituent cependant une menace extérieure matériellement considérable. Elles impriment aux masses qui les suive
67 ité. Notre mesure commune ne sera pas collective, extérieure à notre personne : cela n’a pas de sens pour nous. Elle ne sera pas n
47 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
68 avec quelle maladresse. Surtout, elle attend de l’ extérieur les violences qu’elle n’ose pas initier. Elle attend avec une angoiss
69 au pas » des dictatures. Mais ce sont là brimades extérieures , dont l’injustice ou la sottise ne confèrent pas nécessairement quelq
70 avec son entourage humain98. Ses données me sont extérieures , certes. Mais je n’ai pas à les connaître autrement que par la questi
71 a « figure » seulement, qu’elle la construit de l’ extérieur , par une contrainte politique. Le rapport véritable entre les hommes,
72 apport, le nous. Le groupe ainsi est défini par l’ extérieur , disons par sa circonférence. Et comme le veut la géométrie, il est p
73 ividu transformé, orienté, animé par une présence extérieure qui le questionne99. Face à face avec le prochain, responsable vis-à-
48 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Décadence des lieux communs
74 dividu à des calculs de masses, à des disciplines extérieures , à des ambitions inhumaines. Nous vivons à l’âge des mots d’ordre. On
49 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — La mesure soviétique
75 dès lors que cette création vint s’« insérer de l’ extérieur  » ; en dépit de la Force des Choses ; en vertu d’un esprit étranger…
50 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Leçon des dictatures
76 rez bien forcés de commencer par rétablir l’ordre extérieur . Et vous ferez du collectivisme. C’est la seule « base commune » puis
77 nt une révolution qui soit nôtre, sans brutalités extérieures , sans destructions aveugles, sans propagande de masse abêtissante. Au
78 t faux que nous soyons obligés de commencer par l’ extérieur , si nous voulons rétablir une mesure commune à la pensée et à l’actio
79 e commune à la pensée et à l’action. Car un ordre extérieur n’est solide et fécond que s’il résulte d’un ordre intérieur. Et cet
51 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — commune mesure et acte de foi
80 uver de ce désordre. Car, ou bien elle nous reste extérieure , ou bien elle est complice de nos faiblesses. Elle n’est pas vraie en
81 e ou à la mesure hitlérienne, c’est qu’elles sont extérieures à la personne. Elles soumettent le tout de l’homme à une partie de so
52 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
82 s libérales, elles n’en sont pas moins une menace extérieure matériellement considérable. Elles impriment aux masses qui les suive
83 ité. Notre mesure commune ne sera pas collective, extérieure à notre personne : cela n’a pas de sens pour nous. Elle ne sera pas n
53 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
84 avec quelle maladresse. Surtout, elle attend de l’ extérieur les violences qu’elle n’ose pas initier. Elle attend avec une angoiss
85 au pas » des dictatures. Mais ce sont là brimades extérieures , dont l’injustice ou la sottise ne confèrent pas nécessairement quelq
86 avec son entourage humain101. Ses données me sont extérieures , certes. Mais je n’ai pas à les connaître autrement que par la questi
87 a « figure » seulement, qu’elle la construit de l’ extérieur , par une contrainte politique. Le rapport véritable entre les hommes,
88 apport, le nous. Le groupe ainsi est défini par l’ extérieur , disons par sa circonférence. Et comme le veut la géométrie, il est p
89 ividu transformé, orienté, animé par une présence extérieure qui le questionne102. Face à face avec le prochain, responsable vis-à
54 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Historique du mal capitaliste (janvier 1937)
90 s vaincus. À partir du iie siècle, les conquêtes extérieures n’ont plus d’autres causes. L’arrêt de l’expansion impérialiste eût é
55 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). L’autorité assure les libertés (mai 1937)
91 nt absurde, de vouloir imposer une mesure commune extérieure et unifiée à une fédération dont le principe commun est justement « p
56 1937, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Violence et brutalité (1er juin 1937)
92 riels. Elle est le fait d’une contrainte purement extérieure , donc incapable en soi de rien créer et animer. C’est la brimade, la
57 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
93 ntiment ou d’un pressentiment et d’un hasard tout extérieur , à cause d’un certain jeu que je poursuis, sans trop le savoir, avec
94 oute politique est normative, mais seulement de l’ extérieur . Une politique saine ne saurait donc partir de la personne, mais au c
58 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
95 s’unir. Ils n’ont pas à faire face à des menaces extérieures . Et surtout ils n’ont nulle envie d’entreprendre une conquête quelcon
59 1937, Esprit, articles (1932–1962). Brève introduction à quelques témoignages littéraires (septembre 1937)
96 — qui pour n’être point asservis aux disciplines extérieures d’un parti, ne considèrent pas l’acte d’écrire comme un divertissemen
60 1937, Articles divers (1936-1938). Changer la vie ou changer l’homme ? (1937)
97 er « l’intérieur » se gardent bien de toucher à l’ extérieur . Marx dira donc, contre eux, qu’il faut d’abord transformer l’extérie
98 onc, contre eux, qu’il faut d’abord transformer l’ extérieur — et le reste suivra nécessairement. Pour sauver le reste — disons :
61 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
99 pas encore été étudié, ni de l’intérieur, ni de l’ extérieur , en tant que fait psychologique. 3 — Cependant, il est difficile, à l
100 ses sociologiques, etc. Tout cela reste forcément extérieur à la réalité humaine et présente du chômage. 4 — Qui donc pourrait ét
101 iculière de chômage pur : certaines circonstances extérieures sont capables de tuer en certains hommes jusqu’à l’activité de la pen
102 ommes qui l’entourent. Il le dépouille des signes extérieurs de son état, de cet habitus bourgeois qui, hélas, est encore chez nou
103 s’unir. Ils n’ont pas à faire face à des menaces extérieures . Et surtout ils n’ont nulle envie d’entreprendre une conquête quelcon
104 s. Le problème se ramènerait à trouver des signes extérieurs aisément vérifiables qui permettraient de répartir les hommes grosso
105 l aussi solide et organique que celui qui régit l’ extérieur . Voilà le sens qu’il va donner à ses relations avec le monde : le com
106 dre en nous que dans le monde. Le vertige est à l’ extérieur . Et lorsque éclate le conflit entre notre moi et le monde c’est au mo
62 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
107 ntiment ou d’un pressentiment et d’un hasard tout extérieur , à cause d’un certain jeu que je poursuis, sans trop le savoir, avec
108 oute politique est normative, mais seulement de l’ extérieur . Une politique saine ne saurait donc partir de la personne, mais au c
63 1938, Articles divers (1936-1938). Søren Kierkegaard (février 1938)
109 rt, je les aimais bien, tous… » Le seul événement extérieur de sa vie avait été la rupture de ses fiançailles. Mais l’acte qui ré
64 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Vues sur le national-socialisme (1er juin 1938)
110 t-ce la plus dure discipline, pourvu qu’elle soit extérieure au foyer. Je ne dirai plus que le « fascisme » tue l’esprit d’initiat
111 eich apparaissent, annoncés par les clameurs de l’ extérieur . Goering, Blomberg, des généraux, salués par des heil joyeux. Le gouv
112 e malheur ne peuvent expliquer que des phénomènes extérieurs . La raison profonde d’un mouvement comme le nôtre est irrationnelle.
65 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
113 e des obstacles sociaux, développé sans violences extérieures , n’avait que plus gravement miné l’éthique matrimoniale de la jeuness
114 rimer dans un langage symbolique (ésotérique et d’ extérieur rassurant) les éléments plastiques, militaires et sacrés, qui lui fon
66 1938, Articles divers (1938-1940). Le Relèvement de l’Allemagne (1918-1938) par Albert Rivaud (28 octobre 1938)
115 nt gênant dans le chapitre final sur la politique extérieure . Le résumé des événements de l’après-guerre tel que le donne l’auteur
67 1938, Esprit, articles (1932–1962). L’amour action, ou de la fidélité (novembre 1938)
116 cisent les exigences individuelles94, ces données extérieures perdent en importance, et les impondérables deviennent décisifs. Le s
68 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
117 t-ce la plus dure discipline, pourvu qu’elle soit extérieure au foyer. Je ne dirai plus que le « fascisme » tue l’esprit d’initiat
118 Anas. — L’avocat me questionnait sur la politique extérieure de la France. Le pacte avec les Soviets l’irrite vivement. « Si la Fr
119 eich apparaissent, annoncés par les clameurs de l’ extérieur . Goering, Blomberg, des généraux, salués par des heil joyeux. Le gouv
69 1938, Journal d’Allemagne. Conclusion 1938
120 e malheur ne peuvent expliquer que des phénomènes extérieurs . La raison profonde d’un mouvement comme le nôtre est irrationnelle.
70 1939, Articles divers (1938-1940). Un quart d’heure avec M. Denis de Rougemont : Hitler, grand-prêtre de l’Allemagne (11 janvier 1939)
121 e malheur ne peuvent expliquer que des phénomènes extérieurs . La raison profonde d’un mouvement comme le nôtre est irrationnelle.
71 1939, La Vie protestante, articles (1938–1978). Nicolas de Flue et la tradition réformée (1er septembre 1939)
122 atholiques cherchent leur salut dans des soutiens extérieurs , et les publicistes jésuites, pour la plupart étrangers, tentent d’él
72 1939, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Non, Tristan et Iseut ne s’aiment pas, nous dit Denis de Rougemont (12 février 1939)
123 e société. Mais la passion, par définition, reste extérieure au mariage, puisqu’elle a besoin d’obstacles, et ne résiste pas à la
73 1939, Le Figaro, articles (1939–1953). L’ère des religions (22 février 1939)
124 érémonies et lieux communs qui étaient les signes extérieurs d’une communion tacite entre les hommes. Nous sommes là, petits indiv
74 1939, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Âme romantique et le rêve (15 août 1939)
125 travers lui que la conscience perçoit la réalité extérieure  ; comme lui donc, cette réalité apparaîtra blessée et douloureuse. Se
75 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
126 saires et, particulièrement, au roi. Aucune force extérieure ne saurait donc l’empêcher d’enlever Iseut et d’obéir à son destin. L
127 ur qui se place, par un effort d’abstraction, à l’ extérieur du phénomène commun au romancier et au lecteur, pour qui assiste à le
128 e ses intentions. Nous avons vu que les obstacles extérieurs qui s’opposent à l’amour de Tristan sont dans un certain sens gratuit
129 de séparation sont de deux sortes ; circonstances extérieures adverses, entraves inventées par Tristan. Tristan ne se comportera pa
130 . Mais tant que le péril n’est qu’une menace tout extérieure , la prouesse par laquelle Tristan le surmonte est une affirmation de
131 autre est l’attitude du chevalier lorsque rien d’ extérieur à eux-mêmes ne sépare plus les amants. C’est même l’inverse qui se pr
132 l. Il s’agit donc toujours de ramener la fatalité extérieure à une fatalité interne, librement assumée par les amants. C’est le ra
76 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
133 l’on verra que d’un côté, c’est une fatalité tout extérieure qui provoque la catastrophe, tandis que de l’autre, c’est la volonté
77 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
134 e contre le Dieu du roi, deux fois trompé. ⁂ Pour extérieures et formelles qu’elles soient, de telles correspondances ne sauraient
135 ns une sorte d’indifférence à son objet vivant et extérieur . Ainsi nous avons vu que Tristan aime Iseut non point dans sa réalité
78 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
136 entiment de joie accompagné de l’idée d’une cause extérieure . C’est juste en un seul cas, d’ailleurs le seul prévu par ce mystique
137 leurs le seul prévu par ce mystique : si la cause extérieure est un Dieu auquel notre âme pourrait s’identifier139. Mais Spinoza n
138 ous détermine purement. Entre la joie et sa cause extérieure , il y a toujours quelque séparation et quelque obstacle : la société,
139 e Tristan. Le contraste est d’abord dans l’allure extérieure des personnages, dans leur rythme. On imagine Don Juan toujours dress
140 is obstacles. Et le mythe, appauvri de ses formes extérieures , deviendra ce qu’il est en son principe : une autodestruction voluptu
141 sychologique, de la dégradation de « l’obstacle » extérieure , et de la reconnaissance lucide — par là même, antiromanesque — de sa
79 1939, L’Amour et l’Occident. Amour et guerre
142 par aucun sentiment de gloire ni par aucun motif extérieur  », l’armée française se présentait comme une armée nationale : « Les
143 base, on stérilise les problèmes personnels, à l’ extérieur et au sommet le potentiel de passion s’accroît de jour en jour. L’eug
80 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe contre le mariage
144 s sociaux, pour s’y être développé sans violences extérieures , n’avait que plus gravement miné l’éthique matrimoniale de la jeuness
145 rimer dans un langage symbolique (ésotérique et d’ extérieur rassurant) les éléments plastiques, militaires et sacrés qui lui font
81 1939, L’Amour et l’Occident. L’Amour action, ou de la fidélité
146 isent les exigences individuelles197, ces données extérieures perdent en importance, et les impondérables deviennent décisifs. Le s
82 1939, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Nicolas de Flue et la Réforme (août 1939)
147 re raffermi dans sa Primauté. Mais une discipline extérieure ne pouvait pas tromper les âmes. Et la vie même de Nicolas de Flue no
148 te. (Il ne sait ni lire ni écrire.) Mais sous cet extérieur équilibré, et malgré l’apaisement que devraient lui donner les pratiq
83 1939, Articles divers (1938-1940). Le protestantisme créateur de personnes (1939)
149 met de constituer un bloc puissant vis-à-vis de l’ extérieur  ; un bloc qui prend l’allure d’une armée. Le vice d’un tel système, c
150 au sens romain, un rôle, un masque, une fonction extérieure , c’est-à-dire un individu embrigadé, et non pas une vocation. Millier
151 qu’il porte en lui-même. Car un ennemi visible et extérieur , ce n’est jamais que l’incarnation d’une possibilité secrète, d’une t
84 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
152 saires et, particulièrement, au roi. Aucune force extérieure ne saurait donc l’empêcher d’enlever Iseut et d’obéir à son destin. L
153 ur qui se place, par un effort d’abstraction, à l’ extérieur du phénomène commun au romancier et au lecteur, pour qui assiste à le
154 e ses intentions. Nous avons vu que les obstacles extérieurs qui s’opposent à l’amour de Tristan sont dans un certain sens gratuit
155 de séparation sont de deux sortes : circonstances extérieures adverses, entraves inventées par Tristan. Tristan ne se comportera pa
156 . Mais tant que le péril n’est qu’une menace tout extérieure , la prouesse par laquelle Tristan le surmonte est une affirmation de
157 autre est l’attitude du chevalier lorsque rien d’ extérieur à eux-mêmes ne sépare plus les amants. C’est même l’inverse qui se pr
158 l. Il s’agit donc toujours de ramener la fatalité extérieure à une fatalité interne, librement assumée par les amants. C’est le ra
85 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
159 l’on verra que d’un côté, c’est une fatalité tout extérieure qui provoque la catastrophe, tandis que de l’autre, c’est la volonté
86 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
160 e contre le Dieu du roi, deux fois trompé. ⁂ Pour extérieures et formelles qu’elles soient, de telles correspondances ne sauraient
161 ns une sorte d’indifférence à son objet vivant et extérieur . Ainsi nous avons vu que Tristan aime Iseut non point dans sa réalité
87 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
162 entiment de joie accompagné de l’idée d’une cause extérieure . C’est juste en un seul cas, d’ailleurs le seul prévu par ce mystique
163 leurs le seul prévu par ce mystique : si la cause extérieure est un Dieu auquel notre âme pourrait s’identifier157. Mais Spinoza n
164 ous détermine purement. Entre la joie et sa cause extérieure il y a toujours quelque séparation et quelque obstacle : la société,
165 e Tristan. Le contraste est d’abord dans l’allure extérieure des personnages, dans leur rythme. On imagine Don Juan toujours dress
166 is obstacles. Et le mythe, appauvri de ses formes extérieures , deviendra ce qu’il est en son principe : une autodestruction voluptu
167 sychologique, de la dégradation de « l’obstacle » extérieur , et de la reconnaissance lucide — par là même, antiromanesque — de sa
88 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Amour et guerre
168 par aucun sentiment de gloire ni par aucun motif extérieur  », l’armée française se présentait comme une armée nationale : « Les
169 base, on stérilise les problèmes personnels, à l’ extérieur et au sommet le potentiel de passion s’accroît de jour en jour. L’eug
89 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe contre le mariage
170 s sociaux, pour s’y être développé sans violences extérieures , n’avait que plus gravement miné l’éthique matrimoniale de la jeuness
90 1939, L’Amour et l’Occident (1956). L’amour action, ou de la fidélité
171 isent les exigences individuelles215, ces données extérieures perdent en importance, et les impondérables deviennent décisifs. Le s
91 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe de Tristan
172 saires et, particulièrement, au roi. Aucune force extérieure ne saurait donc l’empêcher d’enlever Iseut et d’obéir à son destin. L
173 ur qui se place, par un effort d’abstraction, à l’ extérieur du phénomène commun au romancier et au lecteur, pour qui assiste à le
174 e ses intentions. Nous avons vu que les obstacles extérieurs qui s’opposent à l’amour de Tristan sont dans un certain sens gratuit
175 de séparation sont de deux sortes : circonstances extérieures adverses, entraves inventées par Tristan. Tristan ne se comportera pa
176 . Mais tant que le péril n’est qu’une menace tout extérieure , la prouesse par laquelle Tristan le surmonte est une affirmation de
177 autre est l’attitude du chevalier lorsque rien d’ extérieur à eux-mêmes ne sépare plus les amants. C’est même l’inverse qui se pr
178 l. Il s’agit donc toujours de ramener la fatalité extérieure à une fatalité interne, librement assumée par les amants. C’est le ra
92 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
179 l’on verra que d’un côté, c’est une fatalité tout extérieure qui provoque la catastrophe, tandis que de l’autre, c’est la volonté
93 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Passion et mystique
180 e contre le Dieu du roi, deux fois trompé. ⁂ Pour extérieures et formelles qu’elles soient, de telles correspondances ne sauraient
181 ns une sorte d’indifférence à son objet vivant et extérieur . Ainsi nous avons vu que Tristan aime Iseut non point dans sa réalité
94 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
182 entiment de joie accompagné de l’idée d’une cause extérieure . C’est juste en un seul cas, d’ailleurs le seul prévu par ce mystique
183 leurs le seul prévu par ce mystique : si la cause extérieure est un Dieu auquel notre âme pourrait s’identifier146. Mais Spinoza n
184 ous détermine purement. Entre la joie et sa cause extérieure il y a toujours quelque séparation et quelque obstacle : la société,
185 e Tristan. Le contraste est d’abord dans l’allure extérieure des personnages, dans leur rythme. On imagine Don Juan toujours dress
186 is obstacles. Et le mythe, appauvri de ses formes extérieures , deviendra ce qu’il est en son principe : une autodestruction voluptu
187 sychologique, de la dégradation de « l’obstacle » extérieure , et de la reconnaissance lucide — par là même, antiromanesque — de sa
95 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Amour et guerre
188 par aucun sentiment de gloire ni par aucun motif extérieur  », l’armée française se présentait comme une armée nationale : « Les
189 base, on stérilise les problèmes personnels, à l’ extérieur et au sommet le potentiel de passion s’accroît de jour en jour. L’eug
96 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe contre le mariage
190 s sociaux, pour s’y être développé sans violences extérieures , n’avait que plus gravement miné l’éthique matrimoniale de la jeuness
97 1939, L’Amour et l’Occident (1972). L’amour action, ou de la fidélité
191 isent les exigences individuelles201, ces données extérieures perdent en importance, et les impondérables deviennent décisifs. Le s
98 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La bataille de la culture (janvier-février 1940)
192 l, c’est-à-dire l’adversaire, est devant eux, à l’ extérieur . Or, notre civilisation, sous l’influence du christianisme, s’est eff
99 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. II : Sommes-nous libres ? (2 mars 1940)
193 ue par des esprits libres. » Les deux libertés, l’ extérieure et l’intérieure, ont toujours été liées dans notre histoire. C’est pa
100 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’Église et la Suisse (août 1940)
194 me toute société humaine, elle a besoin de signes extérieurs et de symboles collectifs qui manifestent publiquement sa cohésion sp