1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Hugh Walpole, La Cité secrète (décembre 1925)
1 t si froid que ses dents claquaient. Il quitta sa fenêtre , se traîna jusqu’à l’angle le plus éloigné du réduit, et se blottit l
2 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Pierre Jean Jouve, Paulina 1880 (avril 1926)
2 urs assourdies d’un divan le soir, tandis que les fenêtres s’ouvraient vers le ciel de Florence… « Du sang, de la volupté et de
3 1926, Articles divers (1924–1930). L’atmosphère d’Aubonne : 22-25 mars 1926 (mai 1926)
3 s musicales. Après quoi Richardot, entrant par la fenêtre , vint annoncer qu’on était libre — comme si on l’avait attendu pour l
4 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Quatre incidents (avril 1927)
4 s rues sourdes comme un songe de son enfance. Aux fenêtres du palais s’étoilèrent des halos. Le jour tendre paraissait sous l’ég
5 s statues, dans l’amitié pensive des jardins. Une fenêtre s’était ouverte et des accords échappés tombaient, les ailes coupées.
5 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
6 tre trente pareilles, aux cactus qui ornaient les fenêtres , dans une chambre peinte en bleu vif et ornée de surprenants batiks,
6 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Récit du pickpocket (fragment) (mai 1927)
7 ière et que reflétaient de nombreuses glaces. Les fenêtres que j’ouvris firent tourner des soleils sur les parois claires. Du ba
7 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
8 passant par la Freyung, nous vîmes un palais aux fenêtres illuminées. Des autos attendaient devant le porche grand ouvert. Les
8 1928, Articles divers (1924–1930). Miroirs, ou Comment on perd Eurydice et soi-même » (décembre 1928)
9 leil sur toutes les verreries de la capitale. Les fenêtres battaient. Le soleil et « la mort » se conjuraient pour abaisser tous
9 1929, Articles divers (1924–1930). La tour de Hölderlin (15 juillet 1929)
10 elle portait au mystère de l’amour… Trois petites fenêtres ornées de cactus miséreux, une pipe qui traîne sur l’appui ; le jardi
11 paisible au soleil. Il passait des heures à cette fenêtre , à marmotter. Vingt-sept ans dans cette chambre, avec le bruit de l’e
10 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
12 ne. La petite maison du colonel en retraite a des fenêtres basses, mais défendues par des rosiers sauvages. Laquelle des trois f
11 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
13  : Il appuya son front chaud et malade contre la fenêtre , ferma les yeux et somnola. Le train faisait un bruit épouvantable da
14 nombre incalculable de stations. Regardant par la fenêtre , il vit d’affreux noms de gares tels que Tenman, Tamazukuri, tout à f
12 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Un soir à Vienne avec Gérard
15 passant par la Freyung, nous vîmes un palais aux fenêtres illuminées. Des autos attendaient devant le porche grand ouvert. Les
13 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
16 elle portait au mystère de l’amour. Trois petites fenêtres ornées de cactus miséreux, une pipe qui traîne sur l’appui ; le jardi
17 ble au soleil. Il passait des heures devant cette fenêtre , à marmotter. Trente-sept ans dans cette chambre, avec le bruit de l’
14 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
18 sera sa première habitude. 22 avril 1929 Mes fenêtres donnent sur la rivière. En m’y penchant je puis me voir dans l’eau pl
19 pont Saint-Nikolaus sont bien capons de voir à sa fenêtre la silhouette de l’Étranger. On a laissé sa photo dans ma chambre, « 
20 de balles : — « Je vous ai bien vu, un jour à la fenêtre de mon amie, vous étiez si melancholisch ! » — « À ma fenêtre ? Je ne
21 on amie, vous étiez si melancholisch ! » — « À ma fenêtre  ? Je ne m’en souviens pas », dis-je, mentant. Une grosse averse d’ora
22 ne. La petite maison du colonel en retraite a des fenêtres basses, mais défendues par des rosiers sauvages. Laquelle des trois f
23 s hommes entrent, cherchent une place, ouvrent la fenêtre , ou bien c’est un contrôleur, ou bien c’est encore une gare en gérani
24 etiré ma valise et ne me suis pas serré contre la fenêtre . Elles ont senti cette sourde résistance et se sont assises plus loin
15 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
25 uit luxueux, tout s’éclaire, nous y sommes : cent fenêtres , sur la gauche, dans une façade de grès Louis XV. Nous la longeons, n
16 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
26 lée fait son bruit luxueux, tout s’éclaire : cent fenêtres , sur la gauche, dans une façade de grès Louis XV. Nous la longeons, n
17 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
27 elle portait au mystère de l’amour. Trois petites fenêtres ornées de cactus miséreux, une pipe qui traîne sur l’appui ; le jardi
28 ble au soleil. Il passait des heures devant cette fenêtre , à marmotter. Trente-sept ans dans cette chambre, avec le bruit de l’
18 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
29 sera sa première habitude. 22 avril 1929 Mes fenêtres donnent sur la rivière. En m’y penchant je puis me voir dans l’eau pl
30 pont Saint-Nikolaus sont bien capots de voir à sa fenêtre la silhouette de l’Étranger. On a laissé sa photo dans ma chambre, « 
31 de balles : — « Je vous ai bien vu, un jour à la fenêtre de mon amie, vous étiez si melancholisch ! » — « À ma fenêtre ? Je ne
32 on amie, vous étiez si melancholisch ! » — « À ma fenêtre  ? Je ne m’en souviens pas », dis-je, mentant. Une grosse averse d’ora
33 ne. La petite maison du colonel en retraite a des fenêtres basses, mais défendues par des rosiers sauvages. Laquelle des trois f
34 le lendemain. Le soir montait autour de nous, des fenêtres s’allumaient à nos pieds dans le bourg, et le père Reinecke refusait
35 s hommes entrent, cherchent une place, ouvrent la fenêtre , ou bien c’est un contrôleur, ou bien c’est encore une gare en gérani
36 etiré ma valise et ne me suis pas serré contre la fenêtre . Elles ont senti cette sourde résistance et se sont assises plus loin
19 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
37 cres, de roses, d’argent et d’éclats d’or sur les fenêtres des usines. Des fumées traînent, les ponts s’éteignent, le sommet des
20 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — I
38 efermer les valises entre deux coups d’œil par la fenêtre . Tout va trop vite pour le souvenir. Voici les toits, le clocher de C
21 1934, Esprit, articles (1932–1962). Préface à une littérature (octobre 1934)
39 s la vie moderne, … lui ouvrir toutes grandes les fenêtres sur la magie de l’aventure, l’entraîner loin de son train-train, etc.
22 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Échos (janvier 1936)
40 a doctrine. Autre erreur : je vois passer sous ma fenêtre , deux fois par semaine, des sections d’assaut en ordre de marche. Ils
23 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
41 urs la vie moderne… lui ouvrir toutes grandes des fenêtres sur la magie de l’aventure, l’entrainer loin de son train-train, etc.
24 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
42 urs la vie moderne… lui ouvrir toutes grandes des fenêtres sur la magie de l’aventure, l’entraîner loin de son train-train, etc.
25 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
43 elques tapis sur du carreau rouge. La plupart des fenêtres donnent au midi dans le branchage bleu d’un tilleul. Au bord de la te
44 auriers. Très haute aussi, blanchie, presque sans fenêtres . Un voile vert clôt la porte d’entrée, où l’on accède par quelques ma
26 1937, Articles divers (1936-1938). Chamisso et le Mythe de l’Ombre perdue (mai-juin 1937)
45 ce de rêver d’une jeune femme qu’il perçoit de sa fenêtre . « Mais dans les climats chauds, les choses croissent très vite, et a
27 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
46 mme allait secouer les miettes de la nappe par la fenêtre , au-dessus du poulailler, elle a vu le pigeon et m’a appelé. — Il a v
47 chambre, des lueurs d’incendie passent devant la fenêtre . Je me précipite : ce sont les deux Simard qui font un grand feu dans
48 vez qu’à le leur dire ! » Je passe la tête par la fenêtre . Qu’est-ce que c’est, Simard ? — Il est rouge et boursouflé, tremblan
28 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
49 dans la plate-bande qui borde la maison, sous ma fenêtre . Il soufflait très vite, il avait l’air malade. Le lendemain nous le
29 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
50 anches bien rabotées ; j’ai dressé cela devant la fenêtre ouverte sur les verdures encore vivaces du jardin. Quand je lève le n
51 de table au centre, une autre plus petite vers la fenêtre , sur laquelle travaille le père Renaud. Le sol est de terre battue re
30 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (25 juillet 1937)
52 anches bien rabotées ; j’ai dressé cela devant la fenêtre ouverte sur les verdures encore vivaces du jardin. Quand je lève le n
53 En me retournant à droite, je vois par une autre fenêtre un coin de lande, et de petites dunes broussailleuses qui ferment l’h
54 dans la plate-bande qui borde la maison, sous ma fenêtre . Il soufflait très vite, il avait l’air malade. Le lendemain nous le
31 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
55 anches bien rabotées ; j’ai dressé cela devant la fenêtre ouverte sur les verdures encore vivaces du jardin. Quand je lève le n
56 En me retournant à droite, je vois par une autre fenêtre un coin de lande, et des petites dunes broussailleuses qui ferment l’
57 le village, quand on se sent observé derrière les fenêtres . Ô liberté des villes ! Mais ne point oublier qu’à Paris, c’est chez
58 de table au centre, une autre plus petite vers la fenêtre , sur laquelle travaille le père Renaud. Le sol est de la terre battue
59 continuel le fait ronfler furieusement, mais les fenêtres ferment très mal — comme partout — et nous sentons l’air froid qui so
60 dans la plate-bande qui borde la maison, sous ma fenêtre . Il soufflait très vite, il avait l’air malade. Le lendemain nous le
61 n, dans une vaste pièce vide, aux murs nus et aux fenêtres ouvertes, où passent le vent, une hirondelle, les bruits des champs.
32 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
62 elques tapis sur du carreau rouge. La plupart des fenêtres donnent au midi dans le branchage bleu d’un tilleul. Au bord de la te
63 auriers. Très haute aussi, blanchie, presque sans fenêtres . Un voile vert clôt la porte d’entrée, où l’on accède par quelques ma
64 ur son argent. Même remarque pour les poignées de fenêtres et de serrures. Cette laideur et cette incommodité ne seraient rien d
65 mme allait secouer les miettes de la nappe par la fenêtre , au-dessus du poulailler, elle a vu le pigeon et m’a appelé. — Il a v
66 chambre, des lueurs d’incendie passent devant la fenêtre . Je me précipite : ce sont les deux Simard qui font un grand feu dans
67 vez qu’à le leur dire ! » Je passe la tête par la fenêtre . — Qu’est-ce que c’est, Simard ? Il est rouge et boursouflé, tremblan
33 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. L’été parisien
68 s de lumières çà et là, de linges qui pendent aux fenêtres , et d’une population de couples aux balcons. (Je distingue nos fenêtr
69 ulation de couples aux balcons. (Je distingue nos fenêtres obscures.) Ville aérienne, où la hauteur des murs n’évoque plus les p
70 juillet 1935 Toutes les radios du bloc par les fenêtres grandes ouvertes à l’heure du dîner, si seulement elles vous abrutiss
34 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
71 bre 1935 Les premiers jours, nous courions aux fenêtres chaque fois que la rue retentissait de chants. C’était une troupe noi
72 iscours a été terminé, je me suis précipitée à la fenêtre pour voir s’il n’y avait pas d’avions français dans le ciel ! » Extra
35 1939, Articles divers (1938-1940). Nicolas de Flue vu par Denis de Rougemont (8 juillet 1939)
73 939)n Dans ce studio parisien, dont les larges fenêtres regardent un des boulevards les plus bruyants de Montmartre, deux hom
36 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
74 mangerai rien d’autre ! » et elle se jette par la fenêtre du donjon. On admettra que cette atmosphère suffisait bien à des poèt
37 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
75 er en gros plan, bouchant l’écran et refermant la fenêtre de l’imagination. Toutefois, l’on s’efforcera de donner à cette fin u
38 1939, Nicolas de Flue. ACTE PREMIER.
76 ant devant la maison. Des lumières s’allument aux fenêtres . Il s’approche du bord du plan 2.) Nicolas. —  Qu’ai-je dit ? Adieu
39 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
77 mangerai rien d’autre ! » et elle se jette par la fenêtre du donjon. On admettra que cette atmosphère suffisait bien à des poèt
40 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
78 er en gros plan, bouchant l’écran et refermant la fenêtre de l’imagination. Toutefois, l’on s’efforcera de donner à cette fin u
41 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
79 mangerai rien d’autre ! » et elle se jette par la fenêtre du donjon. On admettra que cette atmosphère suffisait bien à des poèt
42 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
80 er en gros plan, bouchant l’écran et refermant la fenêtre de l’imagination. Toutefois, l’on s’efforcera de donner à cette fin u
43 1940, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Au sujet du Journal d’André Gide (janvier 1940)
81 il entretient. (Jusqu’à masquer parfois de vraies fenêtres par excessive défiance d’une symétrie où l’on serait tenté de s’arrêt
44 1942, La Part du diable. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
82 urer ? Laisse-moi donc seule. Elle le jeta par la fenêtre . Lorsqu’il revint après quelques semaines, il dit : — Mon œil gauche
45 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
83 urer ? Laisse-moi donc seule. Elle le jeta par la fenêtre . Lorsqu’il revint après quelques semaines, il dit : — Mon œil gauche
46 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
84 urer ? Laisse-moi donc seule. Elle le jeta par la fenêtre . Lorsqu’il revint après quelques semaines, il dit : — Mon œil gauche
47 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — Le Journal d’André Gide
85 ou entretient. (Jusqu’à masquer parfois de vraies fenêtres par excessive défiance d’une symétrie où l’on serait tenté de s’arrêt
48 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Le savant et le général (8 novembre 1945)
86 oint la bombe atomique. Tout à l’heure, devant ma fenêtre , un homme en sweater bleu et pantalon de flanelle passait les cheveux
49 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Beekman Place (octobre 1946)
87 de la 51e rue, en brique vernie, tous luisants de fenêtres dépourvues d’ornements. Beekman Place est un de ces lieux où l’exilé
88 res, de roses, d’argents et d’éclats d’or sur les fenêtres des usines. Des fumées traînent, les ponts s’éteignent, le sommet des
50 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Souvenir d’un orage en Virginie (novembre 1946)
89 i jamais vu d’aussi grands, ils montent jusqu’aux fenêtres du deuxième étage. Une odeur écœurante vient de la porte dont un batt
90 lustre enfin s’allume par degrés. Elle court aux fenêtres et ferme avec fracas des volets intérieurs, en chêne clair, puis elle
51 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
91 et-unième rue, en brique vernie, tout luisants de fenêtres dépourvues d’ornements. Beekman Place est un de ces lieux où l’exilé
92 res, de roses, d’argents et d’éclats d’or sur les fenêtres des usines. Des fumées traînent, les ponts s’éteignent, le sommet des
93 re côté de la cuisine, deux petites chambres sans fenêtres ni portes. Au fond, une autre pièce plus claire, sur la cour. Ce logi
94 ur une vingtaine de kilomètres. Je me penche à la fenêtre , au-dessus de la cour. Le sol en est jonché de plâtras, de journaux,
95 fants pleurent parmi les radios nostalgiques, des fenêtres s’allument et s’éteignent. On peut vivre ici comme ailleurs, mais dan
96 ois peinte en jaune clair, ornée de géraniums aux fenêtres . C’est là qu’habite la mère de Robert, une vieille dame maigre et dig
97 i jamais vu d’aussi grands, ils montent jusqu’aux fenêtres du deuxième étage. Une odeur écœurante vient de la porte dont un batt
98 ustre, enfin, s’allume par degrés. Elle court aux fenêtres et ferme avec fracas des volets intérieurs, en chêne clair, puis elle
52 1946, Journal des deux mondes. Anecdotes et aphorismes
99 Me suis levé pensant que c’était commencé. D’une fenêtre donnant au nord, j’ai regardé longtemps la ville, apparemment paisibl
100 is des lueurs. Quelques camions ont passé sous la fenêtre , tous feux éteints, montant lentement vers le Gurten. Pas d’autre bru
53 1946, Journal des deux mondes. La route de Lisbonne
101 pourquoi ces maisons des boulevards n’ont pas de fenêtres et des trous partout dans leurs murs… Je songe à ce que me disait à P
54 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
102 trompettes la saluèrent pendant dix minutes. Des fenêtres de tous les bureaux neigeaient des pages d’annuaires lacérées, éclats
103 sapin enrubannée, dans chaque maison, près de la fenêtre , un petit arbre où des lampes électriques multicolores remplacent les
104 s quais, le long des bâtiments de brique rose aux fenêtres encadrées de pierre et surmontés de clochers fins au bulbe d’or, deva
55 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
105 ait pire que sans rien ! J’ai dû les jeter par la fenêtre . Il me raconte encore quelques histoires du diable. Je prends congé,
56 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
106 s blancs, un plafond vitré. Deux larges et basses fenêtres sur la cour. En face, le haut building d’une imprimerie. À droite, je
57 1946, Journal des deux mondes. L’Amérique en guerre
107 de la 51e rue, en brique vernie, tous luisants de fenêtres dépourvues d’ornements. Beekman Place est un de ces lieux où l’exilé
108 res, de roses, d’argents et d’éclats d’or sur les fenêtres des usines. Des fumées traînent, les ponts s’éteignent, le sommet des
58 1946, Journal des deux mondes. Virginie
109 i jamais vu d’aussi grands, ils montent jusqu’aux fenêtres du deuxième étage. Une odeur écœurante vient de la porte dont un batt
110 lustre enfin s’allume par degrés. Elle court aux fenêtres et ferme avec fracas des volets intérieurs, en chêne clair, puis elle
59 1946, Journal des deux mondes. Le choc de la paix
111 ois peinte en jaune clair, ornée de géraniums aux fenêtres . C’est là qu’habite la mère de Robert, une vieille dame maigre et dig
112 re côté de la cuisine, deux petites chambres sans fenêtres ni portes, suivies d’une autre pièce plus large sur la cour. Ce logis
113 ur une vingtaine de kilomètres. Je me penche à la fenêtre , au-dessus de la cour. Le sol est jonché de platras, de journaux, de
114 fants pleurent parmi les radios nostalgiques, des fenêtres s’allument et s’éteignent. On peut vivre ici comme ailleurs, mais dan
60 1946, Lettres sur la bombe atomique. Le savant et le général
115 oint la bombe atomique. Tout à l’heure, devant ma fenêtre , un homme en sweater bleu et pantalon de flanelle passait les cheveux
61 1946, Lettres sur la bombe atomique. Le savant et le général
116 oint la bombe atomique. Tout à l’heure, devant ma fenêtre , un homme en sweater bleu et pantalon de flanelle passait les cheveux
62 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Préface
117 aisir du conte, et qu’on n’y masque pas de vraies fenêtres pour la dissymétrie en vogue, en revanche on y omet sans scrupules to
63 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Châteaux en Prusse
118 lée fait son bruit luxueux, tout s’éclaire : cent fenêtres dans une façade de grès Louis XV. Nous la longeons, nous montons une
64 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — La tour de Hölderlin
119 elle portait au mystère de l’amour. Trois petites fenêtres ornées de cactus miséreux, une pipe qui traîne sur l’appui ; le jardi
120 ble au soleil. Il passait des heures devant cette fenêtre , à marmotter. Trente-sept ans dans cette chambre, avec le bruit de l’
65 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Petit journal de Souabe
121 sera sa première habitude. 22 avril 1929 Mes fenêtres donnent sur la rivière. En m’y penchant je puis me voir dans l’eau pl
122 pont Saint-Nikolaus sont bien capons de voir à sa fenêtre la silhouette de l’Étranger. On a laissé sa photo dans ma chambre, « 
123 de balles : — « Je vous ai bien vu, un jour à la fenêtre de mon amie, vous étiez si melancholisch ! » — « À ma fenêtre ? Je ne
124 on amie, vous étiez si melancholisch ! » — « À ma fenêtre  ? Je ne m’en souviens pas », dis-je, mentant. Une grosse averse d’ora
125 ne. La petite maison du colonel en retraite a des fenêtres basses, mais défendues par des rosiers sauvages. Laquelle des trois f
126 le lendemain. Le soir montait autour de nous, des fenêtres s’allumaient à nos pieds dans le bourg, et le père Reinecke refusait
127 s hommes entrent, cherchent une place, ouvrent la fenêtre , ou bien c’est un contrôleur, ou bien c’est encore une gare en gérani
128 etiré ma valise et ne me suis pas serré contre la fenêtre . Elles ont senti cette sourde résistance et se sont assises plus loin
66 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Sur l’automne 1932, ou la naissance du personnalisme
129 de villas claires et d’éclats du couchant sur une fenêtre , jusqu’aux jardins abandonnés d’un palais fou au bord du lac de Garde
130 es de la rue Saint-Placide pour écrire près de la fenêtre , dans son petit carnet, les noms et qualités des treize participants.
67 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
131 anches bien rabotées ; j’ai dressé cela devant la fenêtre ouverte sur les verdures encore vivaces du jardin. Quand je lève le n
132 En me retournant à droite, je vois par une autre fenêtre un coin de lande, et des petites dunes broussailleuses qui ferment l’
133 le village, quand on se sent observé derrière les fenêtres . Ô liberté des villes ! Mais ne point oublier qu’à Paris, c’est chez
134 de table au centre, une autre plus petite vers la fenêtre , sur laquelle travaille le père Renaud. Le sol est de la terre battue
135 continuel le fait ronfler furieusement, mais les fenêtres ferment très mal — comme partout — et nous sentons l’air froid qui so
136 dans la plate-bande qui borde la maison, sous ma fenêtre . Il soufflait très vite, il avait l’air malade. Le lendemain nous le
137 n, dans une vaste pièce vide, aux murs nus et aux fenêtres ouvertes, où passent le vent, une hirondelle, les bruits des champs.
68 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
138 elques tapis sur du carreau rouge. La plupart des fenêtres donnent au midi dans le branchage bleu d’un tilleul. Au bord de la te
139 auriers. Très haute aussi, blanchie, presque sans fenêtres . Un voile vert clôt la porte d’entrée, où l’on accède par quelques ma
140 ur son argent. Même remarque pour les poignées de fenêtres et de serrures. Cette laideur et cette incommodité ne seraient rien d
141 mme allait secouer les miettes de la nappe par la fenêtre , au-dessus du poulailler, elle a vu le pigeon et m’a appelé. — Il a v
142 chambre, des lueurs d’incendie passent devant la fenêtre . Je me précipite : ce sont les deux Simard qui font un grand feu dans
143 vez qu’à le leur dire ! » Je passe la tête par la fenêtre . « Qu’est-ce que c’est, Simard ? » Il est rouge et boursouflé, trembl
69 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — L’été parisien
144 s de lumières çà et là, de linges qui pendent aux fenêtres , et d’une population de couples aux balcons. (Je distingue nos fenêtr
145 ulation de couples aux balcons. (Je distingue nos fenêtres obscures.) Ville aérienne, où la hauteur des murs n’évoque plus les p
146 juillet 1935 Toutes les radios du bloc par les fenêtres grandes ouvertes à l’heure du dîner, si seulement elles vous abrutiss
70 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Journal (1935-1936)
147 bre 1935 Les premiers jours, nous courions aux fenêtres chaque fois que la rue retentissait de chants. C’était une troupe noi
148 iscours a été terminé, je me suis précipitée à la fenêtre pour voir s’il n’y avait pas d’avions français dans le ciel ! » Extra
71 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
149 Me suis levé pensant que c’était commencé. D’une fenêtre donnant au nord, j’ai regardé longtemps la ville, apparemment paisibl
150 is des lueurs. Quelques camions ont passé sous la fenêtre , tous feux éteints, montant lentement vers le Gurten. Pas d’autre bru
72 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — La route de Lisbonne
151 pourquoi ces maisons des boulevards n’ont pas de fenêtres et des trous partout dans leurs murs… Je songe à ce que me disait à P
73 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
152 trompettes la saluèrent pendant dix minutes. Des fenêtres de tous les bureaux neigeaient des pages d’annuaires lacérées, éclats
153 sapin enrubannée, dans chaque maison, près de la fenêtre , un petit arbre où des lampes électriques multicolores remplacent les
154 s quais, le long des bâtiments de brique rose aux fenêtres encadrées de pierre et surmontés de clochers fins au bulbe d’or, deva
74 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Voyage en Argentine
155 ait pire que sans rien ! J’ai dû les jeter par la fenêtre . Il me raconte encore quelques histoires du diable. Je prends congé,
75 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
156 it, strié de joints blancs. Deux larges et basses fenêtres sur la cour. Juste en face, le haut building d’une imprimerie. Plus à
76 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — L’Amérique en guerre
157 et unième rue, en brique vernie, tout luisants de fenêtres dépourvues d’ornements. Beckman Place est un de ces lieux où l’exilé
158 res, de roses, d’argents et d’éclats d’or sur les fenêtres des usines. Des fumées traînent, les ponts s’éteignent, le sommet des
77 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Virginie
159 i jamais vu d’aussi grands, ils montent jusqu’aux fenêtres du deuxième étage. Une odeur écœurante vient de la porte dont un batt
160 lustre enfin s’allume par degrés. Elle court aux fenêtres et ferme avec fracas des volets intérieurs, en chêne clair, puis elle
78 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le choc de la paix
161 ois peinte en jaune clair, ornée de géraniums aux fenêtres . C’est là qu’habite la mère de Robert, une vieille dame maigre et dig
162 re côté de la cuisine, deux petites chambres sans fenêtres ni portes, suivies d’une autre pièce plus large sur la cour. Ce logis
163 ur une vingtaine de kilomètres. Je me penche à la fenêtre , au-dessus de la cour. Le sol est jonché de plâtras, de journaux, de
164 fants pleurent parmi les radios nostalgiques, des fenêtres s’allument et s’éteignent. On peut vivre ici comme ailleurs, mais dan
79 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Journal d’un retour
165 de l’Amérique, sur ma droite, au rectangle de ma fenêtre . Levé depuis longtemps, j’attends assis devant ma table que le téléph
80 1947, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Slums (janvier 1947)
166 re côté de la cuisine, deux petites chambres sans fenêtres ni portes, suivies d’une autre pièce plus large sur la cour. Ce logis
167 ur une vingtaine de kilomètres. Je me penche à la fenêtre , au-dessus de la cour. Le sol est jonché de plâtras, de journaux, de
168 fants pleurent parmi les radios nostalgiques, des fenêtres s’allument et s’éteignent. On peut vivre ici comme ailleurs, mais dan
81 1947, Articles divers (1946-1948). Journal d’un intellectuel en exil (mars 1947)
169 s quais, le long des bâtiments de brique rose aux fenêtres encadrées de pierre et surmontés de clochers fins au bulbe d’or, deva
170 s blancs, un plafond vitré. Deux larges et basses fenêtres sur la cour. En face, le haut building d’une imprimerie. À droite, je
82 1947, Articles divers (1946-1948). Drôle de paix (7 juin 1947)
171 lque Américain, un diplomate qui prend l’air à sa fenêtre , un homme qui pense, à sa manière imprévisible. Jamais gouvernement s
83 1947, Articles divers (1946-1948). Einstein, patriarche de l’âge atomique, m’a dit : « C’est pour dissimuler sa pauvreté et sa faiblesse que l’URSS méfiante, s’entoure de secret… » (9 août 1947)
172 que j’y vis, je vois passer chaque jour sous mes fenêtres , à onze heures du matin, quelque temps qu’il fasse, le patriarche du
84 1947, Doctrine fabuleuse. Miroirs, ou Comment on perd Eurydice et soi-même
173 leil sur toutes les verreries de la capitale. Les fenêtres battaient. Le soleil et « la mort » se conjuraient pour abaisser tous
85 1947, Doctrine fabuleuse. L’ombre perdue
174 e de rêver à une jeune femme qu’il aperçoit de sa fenêtre . « Mais dans ces climats chauds, dit Andersen, les choses croissent t
86 1948, Articles divers (1946-1948). Rencontre avec Denis de Rougemont (janvier 1948)
175 e, ce Moïse de la terre atomique passait sous mes fenêtres . Il portait un sweater bleu et un pantalon de flanelle, comme les étu
87 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. I
176 e et le refus de « l’américanisme », cette fausse fenêtre pour la symétrie. Tel est le dialogue qui se poursuit depuis des mois
88 1948, Suite neuchâteloise. I
177 efermer les valises entre deux coups d’œil par la fenêtre . Tout va trop vite pour le souvenir. Voici les toits, le clocher de C
89 1951, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Inde 1951 (décembre 1951)
178 récipité et comme rageur d’un corbeau maigre à ma fenêtre , une ombre nette de vautour traversant lentement la chaussée, des cra
90 1953, Le Figaro, articles (1939–1953). « Nous ne sommes pas des esclaves ! » (25 juin 1953)
179 çades sur le vide, les blocs blanchis aux petites fenêtres myopes des privilégiés du régime, le palais de marbre rose de l’ambas
91 1953, Preuves, articles (1951–1968). « Nous ne sommes pas des esclaves ! » (juillet 1953)
180 çades sur le vide, les blocs blanchis aux petites fenêtres myopes des privilégiés du régime, le palais de marbre rose de l’ambas
92 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — L’Europe des lumières
181 r son champ et sur son pré, et d’un schelling par fenêtre . Vous pourriez bien avoir corrompu la nature ; elle n’est point altér
182 tentiaire aura le visage ou le dos tourné vers la fenêtre , si tel autre fera deux pouces de chemin de plus ou de moins dans une
93 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un problème séculaire : la Russie et l’Europe
183  ; à travers la verdure des fleurs placées sur la fenêtre , un faisceau de rayons obliques frappait la vitre de ma petite chambr
94 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
184 s nationales considérées comme des « monades sans fenêtres  », des entités immuables : elle n’est pas la somme de leurs histoires
95 1962, Articles divers (1957-1962). Journal d’un témoin (23-24 juin 1962)
185 Me suis levé pensant que c’était commencé. D’une fenêtre donnant au nord, j’ai regardé longtemps la ville, apparemment paisibl
186 is des lueurs. Quelques camions ont passé sous la fenêtre , tous feux éteints, montant lentement vers le Gurten. Pas d’autre bru
96 1963, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Universités américaines (12-13 janvier 1963)
187 deux vieillards dans une cuisine regardant par la fenêtre une fin d’automne. Mais le réalisme du sujet — apparemment imposé — d
188 évoqué par une ramure sèche et fragile devant la fenêtre contemplée par le vieux couple. Ces jeunes filles, dont plusieurs son
97 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — « Ce petit peuple égalitaire… »
189 l’autel, boiseries sculptées ; et par les hautes fenêtres sans vitraux, on voit des pentes d’herbe rase, des pans de forêts, de
190 chauves semées de chalets aux toits pointus, aux fenêtres minuscules en rangs serrés, et dont les paysans trapus se fixent à l’
98 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. L’union, sauvegarde de la diversité ou comment fonctionne une fédération — Les paradoxes de la vie économique
191 collègues, il prend un pavé et le jette dans une fenêtre du Palais fédéral, pour forcer l’attention publique. En 1941, il dist
99 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
192 dans un pré. « Où est ta mère ? » Il court à une fenêtre , appelle, une tête paraît et nous répond : « Pour Alberto, c’est la m
193 ans sa petite maison, et il regarde par sa petite fenêtre , et se réjouit de voir les étrangers venir chez lui pour admirer la b
100 1970, Le Cheminement des esprits. Champs d’activité — Le civisme commence au respect des forêts
194  : le bruit atteint 100 décibels dans les écoles, fenêtres fermées, et 114 décibels fenêtres ouvertes. (À partir de 85 décibels,
195 ans les écoles, fenêtres fermées, et 114 décibels fenêtres ouvertes. (À partir de 85 décibels, troubles nerveux chez les enfants