1 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Henry de Montherlant, Les Bestiaires (septembre 1926)
1 es prairies célestes, pour avoir donné une grande gloire aux jeunes hommes ! » Mais ce jeune homme qui écrivit naguère sur les
2 vrais puissants, je compte qu’il saura fonder sa gloire future sur des valeurs plus humaines. x. « Henry de Montherlant : L
2 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Louis Aragon, le beau prétexte (avril 1927)
3 acquises, sièges faits, autorités fondées sur la gloire et la sénilité, etc., etc. Et certes ce n’étaient pas des êtres, mais
3 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Récit du pickpocket (fragment) (mai 1927)
4 sur lequel je fis graver : Prêté — rendu, pour la gloire de l’Église. (Ici, il but une gorgée et prit un temps.) » Je vous fai
4 1928, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le péril Ford (février 1928)
5 tive, on fabrique, on transporte. » « Toute notre gloire est dans nos œuvres, dans le prix que nous payons à la terre la satis
5 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Julien Benda, La Fin de l’Éternel (novembre 1929)
6 sse vivre, c’est l’impossible. Mais justement, la gloire de M. Benda sera d’avoir soutenu que l’humanité a besoin qu’on lui de
6 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
7 lace de la Concorde. Notre conteur est vêtu de la gloire d’un pourpoint « plus rouge que rouge ». On assure qu’il possède enco
7 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
8 de Noël aux amples branches rayonnantes, dans une gloire de dorures, — et massées tout autour, frileuses dans leurs dessous ro
8 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Romanciers protestants (janvier 1932)
9 Romanciers protestants (janvier 1932)m Nos gloires nous jugent C’est un fait digne d’intérêt, et que personne, croyon
10 ins d’une confession, de faire le compte de leurs gloires  ? Ne doivent-ils pas au contraire considérer celles-ci comme leur acc
11 on a de chances d’en tenir… C’est ainsi que nos gloires passées, martyrs, camisards et prophètes, nous condamnent dans la mes
9 1932, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Principe d’une politique du pessimisme actif (novembre 1932)
12 ze millions de morts sacrifiés en quatre ans à sa gloire . Moins redoutable, en apparence, le dieu-production se contente des m
10 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
13 de deux mondes dont la synthèse constituerait la gloire de ce temps, et, accessoirement, notre salut.   Parmi les traits tout
11 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Une « tasse de thé » au Palais C…
14 aît son étrange impuissance : tous ces accords de gloire et de génie ne font qu’une rumeur informe, insignifiante. Tout se dég
12 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
15 de Noël aux amples branches rayonnantes, dans une gloire de dorures, — et massées tout autour, frileuses dans leurs dessous ro
13 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Appendice. Les Soirées du Brambilla-Club, (1930)
16 lace de la Concorde. Notre conteur est vêtu de la gloire d’un pourpoint « plus rouge que rouge ». On assure qu’il possède enco
14 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Introduction. Le sentiment de l’Europe centrale
17 de deux mondes dont la synthèse constituerait la gloire de ce temps, et, accessoirement, notre salut. Parmi les traits tout q
15 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais C…
18 aît son étrange impuissance : tous ces accords de gloire et de génie ne font qu’une rumeur informe, insignifiante. Tout se dég
16 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
19 de Noël aux amples branches rayonnantes, dans une gloire de dorures, — et massées tout autour, frileuses dans leurs dessous ro
17 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
20 oir d’été, après l’orage, avant la nuit, dans une gloire déchirante et délicieuse comme les secondes voix de Schumann. Un myth
21 nt nous. En deux minutes nous sommes passés de la gloire aux ténèbres denses. Il n’y a plus, tout près sur nos têtes, que les
18 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VI
22 es conjonctions clandestines, à l’incognito de la gloire . Je voudrais qu’on y élève un monument dédié à l’Illustre Inconnu. Il
19 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VIII
23 er par les oreilles. J’imaginai en une seconde la gloire que me vaudrait cette aventure, ma rentrée triomphale à la maison. (F
24 ont peut-être celles qui m’ont le plus appris. Ma gloire ou mon plaisir en ont pâti, mais j’en tire une satisfaction plus secr
20 1933, Esprit, articles (1932–1962). Comment rompre ? (mars 1933)
25 s toute politique humaine organisée — fût-ce à la gloire de Dieu ! — qui poursuivrait son plan sans se soucier de la justice d
21 1934, Esprit, articles (1932–1962). Préface à une littérature (octobre 1934)
26 oltes et ses rêves. Ils lui en font une espèce de gloire . Le voilà justifié dans sa mauvaise conscience. Jeunesse se passe, an
22 1934, Politique de la personne. Principes d’une politique du pessimisme actif — Sur la devise du Taciturne
27 ze millions de morts sacrifiés en quatre ans à sa gloire . Moins redoutable, en apparence, le dieu-production se contente des m
23 1934, Politique de la personne. Idoles — Comment rompre ?
28 s toute politique humaine organisée — fût-ce à la gloire de Dieu ! — qui poursuivrait son plan sans se soucier de la justice d
24 1934, Politique de la personne (1946). Principes d’une politique du pessimisme actif — Sur la devise du Taciturne
29 ze millions de morts sacrifiés en quatre ans à sa gloire . Moins redoutable, en apparence, le dieu-production se contente des m
25 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Comment rompre ?
30 s toute politique humaine organisée — fût-ce à la gloire de Dieu ! — qui poursuivrait son plan sans se soucier de la justice d
26 1935, Articles divers (1932-1935). Mystère de la Vision (fragments d’un Traité de la vision physionomique du monde) (mars 1935)
31 age découvert contemplons comme dans un miroir la gloire du Seigneur, nous sommes transformés en la même image, de clarté en c
27 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Paracelse, par Frédéric Gundolf (septembre 1935)
32 populaire et grossier30. Il faut se méfier de la gloire qu’on lui a faite. On nous rapporte par exemple que « déjà vieux et n
28 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
33 mis à part, et honoré en soi. Un écrivain fameux, gloire du roman français à l’étranger, vient confirmer de son côté que ce Pa
34 rêts » injustes des puissants, qu’ils refusent la gloire , ou le pouvoir, ou la richesse qui seraient le prix de leur intervent
29 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Conversation avec un SA (décembre 1935)
35 village des Alpes : je vous demande un peu quelle gloire et quel bénéfice en retirent les survivants ! Allez-vous déclencher e
30 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Le problème de la culture
36 académique2, faux sublime officiel, envolées à la gloire d’un Descartes symbolique, on renonce à la comparaison trop belle du
31 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
37 ’une évolution fatale ; tous ceux qui se font une gloire de découvrir des déterminations basses ou hautes selon qu’il faut jug
32 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
38 ’une évolution fatale ; tous ceux qui se font une gloire de découvrir des déterminations basses ou hautes selon qu’il faut jug
33 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). Condition de l’écrivain (I) (15 février 1937)
39 un troisième « fait les théâtres », besogne sans gloire et de maigre profit, un quatrième enfin, malgré ses quatre-vingts ans
34 1937, Articles divers (1936-1938). Vers une littérature personnaliste (20 mars 1937)
40 beaucoup de noms y sont omis, que beaucoup de nos gloires y sont traitées cavalièrement (Maurois-Mauriac : « manque de substanc
41 crise de 1930. Il nous en reste une génération de gloires rapides et sans ampleur, des « noms » qu’un seul livre imposa, et l’o
35 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
42 nde ! » Ô merveille du pathos révolutionnaire ! ô gloire de la phraséologie marxiste ! Ô triomphe des mots d’ordre sur l’inert
36 1937, Articles divers (1936-1938). Chamisso et le Mythe de l’Ombre perdue (mai-juin 1937)
43 — reviendra s’asservir le poète… ⁂ C’est une des gloires du romantisme allemand que d’avoir su élever les faiblesses de l’homm
37 1937, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Selma Lagerlöf, conteur de légende (3 juillet 1937)
44 l’auteur s’amuse de sa maîtrise : Lagerlöf, ou la gloire de conter ! Plusieurs douzaines de personnages, des familles et des i
38 1937, Esprit, articles (1932–1962). Martin Lamm, Swedenborg (septembre 1937)
45 ècle eussent rejeté avec mépris et pitié. Mais la gloire posthume est un « titre » ; « l’intérêt » s’accumule avec le temps ;
39 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Gösta Berling, par Selma Lagerlöf (novembre 1937)
46 de ce génie de la fable nordique. Lagerlöf ou la gloire de conter ! Jusqu’au moment où l’imagination, ranimant les grands ryt
47 c’est aussi au peuple entier qu’ils ont appris sa gloire quotidienne. Rien de plus profondément moderne que cette légende, mal
40 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
48 la corruption pour avoir part à la liberté de la gloire des enfants de Dieu. Or nous savons que jusqu’à ce jour, la création
41 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
49 nde ! » Ô merveille du pathos révolutionnaire ! Ô gloire de la phraséologie électorale ! Ô triomphe des mots d’ordre sur l’ine
42 1938, Articles divers (1936-1938). Søren Kierkegaard (février 1938)
50 Nynster venait de mourir, comblé d’honneurs et de gloire mondaine. Sur sa tombe son successeur le qualifia, selon l’usage, de
43 1938, Articles divers (1938-1940). Souvenir d’Esztergom (juin 1938)
51 enfance dans l’air… ⁂ N’est-ce pas cela, la vraie gloire d’un poète : que son souvenir se confonde — inoubliable, inséparable
44 1938, Articles divers (1938-1940). Réponse à l’enquête « Littérature et christianisme » (20 novembre 1938)
52 is tout ce que fait un chrétien, il le dédie à la gloire de Dieu, et c’est là toute la différence. Dira-t-on qu’elle n’est guè
45 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
53 village des Alpes : je vous demande un peu quelle gloire et quel bénéfice en retirent les survivants ! Allez-vous déclencher e
46 1939, Articles divers (1938-1940). Qui est Hitler ? (24 février 1939)
54 ce aux hommes le règne de l’Homme fort, et non la gloire du Dieu vivant. C’est pourquoi notre vraie défense contre lui ne peut
47 1939, Le Figaro, articles (1939–1953). Le bon vieux temps présent (20 mars 1939)
55 oir d’été, après l’orage, avant la nuit, dans une gloire déchirante et délicieuse comme les secondes voix de Schumann. Un myth
48 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
56 e grâce et de vérité ; et nous avons contemplé sa gloire , une gloire comme la gloire du Fils unique venu du Père (I, 14-15).
57 e vérité ; et nous avons contemplé sa gloire, une gloire comme la gloire du Fils unique venu du Père (I, 14-15). L’incarnatio
58 us avons contemplé sa gloire, une gloire comme la gloire du Fils unique venu du Père (I, 14-15). L’incarnation de la Parole d
49 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
59 vin, de faussement transcendant — une illusion de gloire libératrice dont la douleur serait encore le signe ! Ainsi s’opère le
60 que les exaltations d’un crépuscule, promesses de gloire jamais tenues… 86. Philippe de Félice, Poisons sacrés, ivresses di
50 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
61 libération du désir, l’anathème sur le désir, la gloire crépusculaire, immensément plaintive et bienheureuse de l’âme sauvée
51 1939, L’Amour et l’Occident. Amour et guerre
62 n’étaient donc animés « ni par aucun sentiment de gloire ni par aucun motif extérieur », l’armée française se présentait comme
63 de multiplient les récits de tueries inouïes ; la gloire d’un chevalier est faite du nombre de ses adversaires pourfendus et d
64 flatte la vraie passion de l’homme du Moyen Âge. Gloire du sang ! Mais le xviiie siècle considéra comme une réussite glorieu
65 u. Elle veut (sans le savoir) qu’au-delà de cette gloire , sa mort soit véritablement la fin de tout. L’ardeur nationaliste, el
52 1939, L’Amour et l’Occident. Appendices
66 e des poèmes publicitaires, destinés à attirer la gloire et la foule à tel pèlerinage ou abbaye en magnifiant ses reliques mir
53 1939, Articles divers (1938-1940). Quel est le rôle de l’Université dans le pays ? (1939)
67 u romantisme et des féconds loisirs qui a fait la gloire d’une Heidelberg, d’une Tubingue, et de tant d’autres petites cités o
54 1939, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Nicolas de Flue et la Réforme (août 1939)
68 d’hui me persécutent, parce que je leur enlève la gloire de se justifier… J’imposais à mon corps plus d’efforts qu’il n’en pou
69 sais en toute simplicité, par pur zèle et pour la gloire de Dieu. Toute ma vie n’était que jeûnes, veilles, oraisons, sueurs… 
55 1939, Articles divers (1938-1940). Le protestantisme créateur de personnes (1939)
70 teurs non protestants ou incroyants nous font une gloire peut-être intempestive ? Le problème est, je crois, d’autant plus act
71 isions sacrées de l’État) ; — d’où les notions de gloire et de record. Et Alcibiade coupe la queue de son chien pour qu’on par
72 libre examen de toutes choses. Il est assoiffé de gloire et de richesse, de sa propre gloire et de sa propre richesse, fussent
73 t assoiffé de gloire et de richesse, de sa propre gloire et de sa propre richesse, fussent-elles acquises aux dépens de sa fam
74 l s’agisse de libre examen, de crimes, de soif de gloire et de richesses ou d’expériences telles que la dissection du corps hu
75 n et une ambiance protestante. Il y a trop de ces gloires dites protestantes qu’on annexe, qu’on recense par une sorte de natio
56 1939, Nicolas de Flue. ACTE II.
76 essein de l’abattre ! À nous la guerre, à vous la gloire , c’est ton marché ? Hornek. —  Réfléchis, frère Claus ! Diesbac
77 ages. Nous, d’ici, voyons une aurore éclatante de gloire et d’or. Toi, de là-haut, vois l’orage futur et la dévastation des li
78 du Téméraire. La voyez-vous ? Ah ! Ah ! péril et gloire  ! Hardi ! Taillez et culbutez, Terreur au loin par votre cri de guerr
57 1939, Nicolas de Flue. ACTE III.
79 Une autre partie des compagnons. —  Hourrah ! la gloire  ! La suite de Savoie. —  Notre vengeance ! 3e partie des compag
80 s. Seigneur, Non pas à nous, Mais à ton nom donne gloire . Chœur céleste. (Plan 3.) Gloria in excelsis Deo ! Chœur fina
58 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
81 e grâce et de vérité ; et nous avons contemplé sa gloire , une gloire comme la gloire du Fils unique venu du Père. (I, 14-15.)
82 e vérité ; et nous avons contemplé sa gloire, une gloire comme la gloire du Fils unique venu du Père. (I, 14-15.) L’incarnati
83 us avons contemplé sa gloire, une gloire comme la gloire du Fils unique venu du Père. (I, 14-15.) L’incarnation de la Parole
84 é ou non, qui écoute les troubadours et fait leur gloire mondaine dans toute l’Europe. Or nous voyons cette religion de l’amou
59 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
85 vin, de faussement transcendant — une illusion de gloire libératrice dont la douleur serait encore le signe ! Ainsi s’opère le
86 que les exaltations d’un crépuscule, promesses de gloire jamais tenues… 104. Philippe de Félice, Poisons sacrés, ivresses d
60 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
87 libération du désir, l’anathème sur le désir, la gloire crépusculaire, immensément plaintive et bienheureuse de l’âme sauvée
61 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Amour et guerre
88 n’étaient donc animés « ni par aucun sentiment de gloire ni par aucun motif extérieur », l’armée française se présentait comme
89 de multiplient les récits de tueries inouïes ; la gloire d’un chevalier est faite du nombre de ses adversaires pourfendus et d
90 flatte la vraie passion de l’homme du Moyen Âge. Gloire du sang ! Mais le xviiie siècle considéra comme une réussite glorieu
91 u. Elle veut (sans le savoir) qu’au-delà de cette gloire , sa mort soit véritablement la fin de tout. L’ardeur nationaliste, el
62 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
92 e grâce et de vérité ; et nous avons contemplé sa gloire , une gloire comme la gloire du Fils unique venu du Père. » (I, 14-15.
93 e vérité ; et nous avons contemplé sa gloire, une gloire comme la gloire du Fils unique venu du Père. » (I, 14-15.) L’incarna
94 us avons contemplé sa gloire, une gloire comme la gloire du Fils unique venu du Père. » (I, 14-15.) L’incarnation de la Parol
95 é ou non, qui écoute les troubadours et fait leur gloire mondaine dans toute l’Europe. Or nous voyons cette religion de l’amou
63 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Passion et mystique
96 vin, de faussement transcendant — une illusion de gloire libératrice dont la douleur serait encore le signe ! Ainsi s’opère le
97 que les exaltations d’un crépuscule, promesses de gloire jamais tenues… 96. Philippe de Félice, Poisons sacrés, ivresses di
64 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
98 libération du désir, l’anathème sur le désir, la gloire crépusculaire, immensément plaintive et bienheureuse de l’âme sauvée
65 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Amour et guerre
99 n’étaient donc animés « ni par aucun sentiment de gloire ni par aucun motif extérieur », l’armée française se présentait comme
100 de multiplient les récits de tueries inouïes ; la gloire d’un chevalier est faite du nombre de ses adversaires pourfendus et d
101 flatte la vraie passion de l’homme du Moyen Âge. Gloire du sang ! Mais le xviiie siècle considéra comme une réussite glorieu
102 u. Elle veut (sans le savoir) qu’au-delà de cette gloire , sa mort soit véritablement la fin de tout. L’ardeur nationaliste, el
66 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Appendices
103 te des poèmes publicitaires destinés à attirer la gloire et la foule à tel pèlerinage ou abbaye en magnifiant ses reliques mir
67 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’Église et la Suisse (août 1940)
104 cale, chant spontané d’une strophe du Te Deum : «  Gloire soit au Saint-Esprit… » Puis bénédiction.) Telle est cette liturgie,
68 1940, Articles divers (1938-1940). L’homme au poignard enguirlandé (1940)
105 vers la conquête et la richesse ; au comble de sa gloire , et de son risque. Elle n’a jamais été moins neutre, moins confinée d
106 nant c’est le sceau des poèmes qu’il dédie « à la gloire de Dieu ». ⁂ Quand on dit chez nous de quelqu’un « qu’il a fait un pe
69 1940, Mission ou démission de la Suisse. Le protestantisme créateur de personnes
107 , et dont tant d’auteurs incroyants nous font une gloire peut-être intempestive ? Le problème est, je crois, d’autant plus act
108 isions sacrées de l’État) ; — d’où les notions de gloire et de record. Et Alcibiade coupe la queue de son chien pour qu’on par
109 libre examen de toutes choses. Il est assoiffé de gloire et de richesse, de sa propre gloire, et de sa propre richesse, fussen
110 t assoiffé de gloire et de richesse, de sa propre gloire , et de sa propre richesse, fussent-elles acquises aux dépens de sa fa
111 l s’agisse de libre examen, de crimes, de soif de gloire et de richesses, ou d’expériences telles que la dissection du corps h
112 nce protestante. Nous n’en avons que trop, de ces gloires « protestantes », laborieusement annexées et recensées par une sorte
70 1940, Politique de la personne (1946). À la fois libre et engagé — Le protestantisme créateur de personnes
113 , et dont tant d’auteurs incroyants nous font une gloire peut-être intempestive ? Depuis une dizaine d’années, une discussion
114 isions sacrées de l’État) ; — d’où les notions de gloire et de record. Et Alcibiade coupe la queue de son chien pour qu’on par
115 libre examen de toutes choses. Il est assoiffé de gloire et de richesse, de sa propre gloire, et de sa propre richesse, fussen
116 t assoiffé de gloire et de richesse, de sa propre gloire , et de sa propre richesse, fussent-elles acquises aux dépens de sa fa
117 l s’agisse de libre examen, de crimes, de soif de gloire et de richesses, ou d’expériences telles que la dissection du corps h
118 nce protestante. Nous n’en avons que trop, de ces gloires « protestantes », laborieusement annexées et recensées par une sorte
71 1942, La Part du diable. L’Incognito et la Révélation
119 Esprit et les esprits, mais non plus la fin et la gloire à laquelle ils sont destinés. Ayant refusé de servir Dieu, de servir
120 signe et la condition nécessaire. Elle est notre gloire équivoque. C’est par la liberté, à cause d’elle, et dans elle, que no
121 n’aurait pu pécher, ni Adam après elle. Ainsi la gloire de l’homme étant sa liberté, il est clair que c’est en ce point que l
72 1942, La Part du diable. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
122 er, et poursuivit son chemin. Il marchait dans la gloire , et sa conscience resplendissait comme un sou neuf. « Tu n’as pas peu
73 1942, La Part du diable. Le Bleu du Ciel
123 vertueux. Il nous suffit de rendre à la vertu sa gloire . Certes, nous avions fait de la vertu si triste chose qu’il paraissai
124 e. Elles ne vont pas à un happy ending, mais à la gloire de la Vérité. J’imagine, je ne rêve pas : je me prépare à marcher. Je
74 1942, La Part du diable (1944). L’Incognito et la Révélation
125 ope christianisée. Les moines font autant pour sa gloire que les rabbins en avaient fait pour sa naissance. On lui attribue de
126 Esprit et les esprits, mais non plus la fin et la gloire à laquelle ils sont destinés. Ayant refusé de servir Dieu, de servir
127 signe et la condition nécessaire. Elle est notre gloire équivoque. C’est par la liberté, à cause d’elle, et dans elle, que no
128 n’aurait pu pécher, ni Adam après elle. Ainsi la gloire de l’homme étant sa liberté, il est clair que c’est en ce point que l
75 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
129 er, et poursuivit son chemin. Il marchait dans la gloire , et sa conscience resplendissait comme un sou neuf. « Tu n’as pas peu
76 1942, La Part du diable (1944). Le Bleu du Ciel
130 vertueux. Il nous suffit de rendre à la vertu sa gloire . Certes, nous avions fait de la vertu si triste chose qu’il paraissai
131 e. Elles ne vont pas à un happy ending, mais à la gloire de la Vérité. J’imagine, je ne rêve pas : je me prépare à marcher. Je
77 1942, La Part du diable (1982). L’Incognito et la révélation
132 ope christianisée. Les moines font autant pour sa gloire que les rabbins en avaient fait pour sa naissance. On lui attribue de
133 Esprit et les esprits, mais non plus la fin et la gloire à laquelle ils sont destinés. Ayant refusé de servir Dieu, de servir
134 signe et la condition nécessaire. Elle est notre gloire équivoque. C’est par la liberté, à cause d’elle, et dans elle, que no
135 n’aurait pu pécher, ni Adam après elle. Ainsi la gloire de l’homme étant sa liberté, il est clair que c’est en ce point que l
78 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
136 ar, et poursuivit son chemin. Il marchait dans la gloire , et sa conscience resplendissait comme un sou neuf. « Tu n’as pas peu
79 1942, La Part du diable (1982). Le Bleu du Ciel
137 vertueux. Il nous suffit de rendre à la vertu sa gloire . Certes, nous avions fait de la vertu si triste chose qu’il paraissa
138 e. Elles ne vont pas à un happy ending, mais à la gloire de la Vérité. J’imagine, je ne rêve pas : Je me prépare à marcher. Je
80 1943, Articles divers (1941-1946). La gloire (mars 1943)
139 La gloire (mars 1943)e (Nous le connaissions un peu, et pensions le connaîtr
140 itude aussi profondément ambiguë, vis-à-vis de la gloire , n’est pas sans entretenir les plus curieux malentendus entre un aute
141 upart des écrivains modernes.) J’ai vécu pour la gloire — dit le prince André — et qu’est-ce que la gloire, si ce n’est aussi
142 loire — dit le prince André — et qu’est-ce que la gloire , si ce n’est aussi l’amour du prochain, le désir de lui être utile et
143 copiant, je n’y vois plus que sophismes. Non, la gloire , ce n’est pas l’amour mais au contraire le mépris du prochain. Le Pri
144 herché qu’un public. C’est le public qui donne la gloire à celui qui le méprise assez pour le flatter. Tandis que la princesse
145 vraiment aimé son prochain, n’en n’a pas reçu de gloire et n’en demandait point. Aussi ne pense-t-elle pas qu’elle a « perdu
146 cela va sans dire. » C’est à cela qu’on donne la gloire . Et ceux qui ne la briguent point risquent fort de se rendre antipath
147 n’a jugé ridicule que l’on affiche un amour de la gloire même excessif pour le talent qu’on a. La foule ne tient pour glorieux
148 x que ceux qui prennent le soin de parler de leur gloire . Chateaubriand eut de la gloire, mais non Stendhal. Madame de Staël e
149 de parler de leur gloire. Chateaubriand eut de la gloire , mais non Stendhal. Madame de Staël en eut, mais non Constant (comme
150 n’entraîne pas que l’on change le jugement sur la gloire . La gloire est donc un mythe : j’entends que son pouvoir et sa grande
151 pas que l’on change le jugement sur la gloire. La gloire est donc un mythe : j’entends que son pouvoir et sa grandeur ne dépen
152 ma crescit eundo : minuit praesentia famam. Toute gloire est donc aliénée. Celle d’un Chateaubriand n’est pas à lui, ni à son
153 t se complique et se retourne ! Celui qui veut la gloire , est-ce qu’il manquerait d’orgueil ? Serait-il plus humble que moi ?
154 nt d’elle plus de noblesse ? Dire : je néglige la gloire , c’est dire : je vous néglige, vous qui donnez la gloire pour prix d’
155 c’est dire : je vous néglige, vous qui donnez la gloire pour prix d’une complaisance. Mais c’est dire aussi : je vous aime, p
156 lgaires que vous n’êtes. Celui qui ne veut pas la gloire telle que la donne une foule à qui la flatte, n’est-ce pas qu’il veut
157 foule à qui la flatte, n’est-ce pas qu’il veut la gloire telle que lui seul serait capable de se la décerner ? L’idée moderne
158 capable de se la décerner ? L’idée moderne de la gloire nous vient, dit-on, de la Renaissance. Glorieux est celui qui s’affir
159 — n’importe où. (Crimes commis pour s’acquérir la gloire , fréquents dans l’Italie du xve siècle.) Le besoin de la gloire est
160 ts dans l’Italie du xve siècle.) Le besoin de la gloire est donc né d’une sorte de maladie du sens social. C’est le contraire
161 de l’amour du prochain. L’individu qui cherche la gloire n’a plus souci ni même conscience du voisin qu’il pourrait aider (c’e
162 qui l’entourent ne songerait pas à rechercher la gloire . Car la gloire est ce qui sépare. Mais il chercherait l’excellence, à
163 t ne songerait pas à rechercher la gloire. Car la gloire est ce qui sépare. Mais il chercherait l’excellence, à son rang et se
164 observe ; c’est ce que donne la foule qui fait la gloire d’un homme.) La gloire antique était virile, comme le don. Alexandre
165 donne la foule qui fait la gloire d’un homme.) La gloire antique était virile, comme le don. Alexandre exemplaire, plus beau q
166 x que tous, n’était pas séparé mais au sommet. Sa gloire était dans son destin, gagée par une mesure universelle que ses actio
167 que ses actions comblaient exactement. Mais notre gloire ne saurait être mesurée : c’est une rumeur, c’est une publicité, une
168 chose de vulgaire. De fait, je ne connais pas de gloire moderne dont on ne puisse démontrer par quels moyens elle fut acquise
169 s la beauté de son œuvre, que s’est constituée sa gloire .) Et cependant, je me suis surpris à désirer une gloire qui ne m’ennu
170 .) Et cependant, je me suis surpris à désirer une gloire qui ne m’ennuierait pas. Non point la leur, mais celle que je pourrai
171 c’est bien là le privilège d’un dieu. Et la vraie gloire . Qu’est-ce que l’incognito ? Il y a là quelqu’un qui a de la valeur 
172 lqu’un qui a de la valeur ; on ne le sait pas. La gloire moderne, c’est à peu près l’inverse. Mais ne serait-ce pas aussi le m
173 précisément, d’y renoncer ? Autre avantage de la gloire  : elle confère le droit d’être banal. Tant pis si beaucoup en abusent
174 n abusent… Hypothèse : l’expérience intime de la gloire précède toujours sa manifestation. L’ambitieux ne vaut rien pour la
175 manifestation. L’ambitieux ne vaut rien pour la gloire . Il ne peut aboutir qu’au succès. Il reste sous l’empire de la compar
176 e. » Ce serait instructif et amusant. Je veux ma gloire , et je ne l’avoue jamais, — je fais le modeste — d’où vient cette pud
177 ste — d’où vient cette pudeur ? Je ne veux pas la gloire pour vous éblouir, vous que j’aime et qui me connaissez. Vous savez c
178 suis, et si vous appreniez un jour que j’ai de la gloire , que sauriez-vous alors d’essentiel que dès maintenant vous ne sachie
179 une erreur —, je veux cela. Qu’est-ce donc que «  gloire  », dont la prononciation, pour peu d’emphase que j’y prête, me fait v
180 ue j’y prête, me fait venir les larmes aux yeux ? Gloire et lumière, gloire ou mystère, gloire et mort lumineuse, gloire et ce
181 it venir les larmes aux yeux ? Gloire et lumière, gloire ou mystère, gloire et mort lumineuse, gloire et ce triomphal accord c
182 aux yeux ? Gloire et lumière, gloire ou mystère, gloire et mort lumineuse, gloire et ce triomphal accord clamé, ou cet instan
183 ère, gloire ou mystère, gloire et mort lumineuse, gloire et ce triomphal accord clamé, ou cet instant plutôt qui est au seuil
184 se que mon nom est : mensonge, que je voudrais la gloire et ne sais pas pourquoi ? Ou n’ose pas savoir pourquoi… Ce que je n’o
185 mon adversaire. C’est lui seul qui s’oppose à ma gloire , et qui me sauve malgré moi de mon triomphe. Il n’y a qu’un seul Dieu
186 , et tout sera. Ainsi, ô Dieu, délivrez-moi de la gloire  ! Mais cette prière m’émeut encore comme la gloire ! 1938 e. « La
187 loire ! Mais cette prière m’émeut encore comme la gloire  ! 1938 e. « La gloire », VVV, New York, n° 2-3, mars 1943, p. 71-
188 m’émeut encore comme la gloire ! 1938 e. « La gloire  », VVV, New York, n° 2-3, mars 1943, p. 71-73.
81 1943, Articles divers (1941-1946). Mémoire de l’Europe : Fragments d’un Journal des Mauvais Temps (septembre 1943)
189 oir d’été, après l’orage, avant la nuit, dans une gloire déchirante et délicieuse comme les secondes voix de Schumann. Un myth
82 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable II : Le menteur (22 octobre 1943)
190 signe et la condition nécessaire. Elle est notre gloire équivoque. C’est par la liberté, à cause d’elle, et dans elle, que no
191 n’aurait pu pécher, ni Adam après elle. Ainsi la gloire de l’homme étant sa liberté, il est clair que c’est en ce point que l
83 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable XI : Le diable dans nos dieux (24 décembre 1943)
192 ce, et poursuivit son chemin. Il marchait dans la gloire , et sa conscience resplendissait comme un sou neuf. « Tu n’as pas peu
84 1946, Carrefour, articles (1945–1947). Deux presses, deux méthodes : l’Américain expose, le Français explique (4 avril 1946)
193 ricain cherche à faire voir, il tend au roman. Sa gloire et son statut social éclipsent bien souvent ceux des grands romancier
85 1946, Journal de Genève, articles (1926–1982). Journal d’un retour (11-12 mai 1946)
194 nt nous. En deux minutes nous sommes passés de la gloire aux ténèbres denses. Il n’y a plus que, tout près sur nos têtes, les
86 1946, Journal de Genève, articles (1926–1982). Journal d’un retour (fin) (18-19 mai 1946)
195 visse entraîné à Cointrin, où se posait dans une gloire de lumière le premier appareil arrivant de New York. Il repartit tren
87 1946, Carrefour, articles (1945–1947). Une bureaucratie sans ronds-de-cuir (23 mai 1946)
196 ue le coming man va nous sortir. S’il réussit, sa gloire sera grande pendant plusieurs semaines au moins, à condition que la p
88 1946, Articles divers (1941-1946). La fin du monde (juin 1946)
197 t de toute la création, son terme monumental à la gloire du Dieu Tout-Puissant, — l’Amen du Temps qui s’agenouille et s’abîme
89 1946, Foi et Vie, articles (1928–1977). Fédéralisme et œcuménisme (octobre 1946)
198 el : la volonté de bâtir un monument visible à la gloire de l’unité des hommes, conduisit à la division de leur langage. Il co
90 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
199 ont de l’autostrade au long de l’horizon porte la gloire . Manhattan — Suite Le bel hiver. — J’ai retrouvé New York glac
91 1946, Journal des deux mondes. Le bon vieux temps présent
200 oir d’été, après l’orage, avant la nuit, dans une gloire déchirante et délicieuse comme les secondes voix de Schumann. Un myth
92 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
201 vers la conquête et la richesse, au comble de sa gloire et de son risque. Elle n’a jamais été moins neutre, moins confinée da
202 nant c’est le sceau des poèmes qu’il dédie « à la gloire de Dieu ». ⁂ Quand on dit chez nous de quelqu’un « qu’il a fait un pe
93 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
203 nt de l’autostrade au fond de l’horizon porte la’ gloire . Princeton, fin d’octobre 1940 À une heure de New York, nous so
204 ie des taudis ou des petits deux-pièces proprets. Gloire du grand chœur final largement déployé sur de hauts escaliers évoquan
94 1946, Journal des deux mondes. L’Amérique en guerre
205 a signification. À partir d’un certain moment, la gloire d’un homme confère de l’importance à la moindre opinion qu’il exprime
206 exprime — par position. (Et c’est le signe de la gloire moderne.) Il entre dans le domaine public, dans la banalité au sens p
207 Goethe ; d’un Valéry et d’un Gide, parmi nous. La gloire est devenue le droit d’énoncer des banalités mais qui ne passent plus
95 1946, Journal des deux mondes. Journal d’un retour
208 nt nous. En deux minutes nous sommes passés de la gloire aux ténèbres denses. Il n’y a plus que, tout près sur nos têtes, les
96 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais c…
209 aît son étrange impuissance : tous ces accords de gloire et de génie ne font qu’une rumeur informe, insignifiante. Tout se dég
97 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
210 de Noël aux amples branches rayonnantes, dans une gloire de dorures, — et massées tout autour, frileuses dans leurs dessous ro
98 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
211 la corruption pour avoir part à la liberté de la gloire des enfants de Dieu. Or nous savons que jusqu’à ce jour, la création
99 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Journal (1935-1936)
212 village des Alpes : je vous demande un peu quelle gloire et quel bénéfice en retirent les survivants ! Allez-vous déclencher e
100 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le bon vieux temps présent
213 oir d’été, après l’orage, avant la nuit, dans une gloire déchirante et délicieuse comme les secondes voix de Schumann. Un myth