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r digne de son rôle et vraiment le coryphée d’une
génération
casquée. Feu consumateur de toute faiblesse, flamme d’une pureté si r
2
du le sens social. Cela devient frappant dans les
générations
nouvelles. Toute la jeune littérature décrit un type d’homme profondé
3
du moi paraissent bien les ancêtres des nouvelles
générations
de héros de roman, lesquels sont tous éperdument égoïstes. Égoïstes a
4
érer de l’universelle hypocrisie accompli par des
générations
qui ne lèguent aux suivantes que leur lassitude : sachons au contrair
5
up sacrifièrent leur jeunesse. (« Nous sommes une
génération
de cobayes » remarque Paul Morand.) Il faut agir, ou bien être agi. D
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ages ne manquent pas sur la détresse morale de la
génération
surréaliste. Mais tandis que la plupart en sont encore à des symboles
7
ition romanesque le trouble caractéristique de sa
génération
. Terrible aveu d’impuissance, il n’a plus même la force de l’hypocris
8
constructive des expériences entreprises par les
générations
précédentes. Parce qu’elles se sont souvent enlisées dans leurs reche
9
turelle a rapproché, dans sa maturité, des jeunes
générations
, en sorte que l’espèce de romantisme à la Nerval auquel il aboutit co
10
ag Il faut souhaiter que ce témoignage sur les
générations
nouvelles et leurs maîtres soit lu par tous ceux qui cherchent à s’or
11
esse ne verrait qu’une abdication. Il décrit la «
génération
nouvelle » avec une intelligente sympathie et un sens rare des direct
12
ne est maniaque, comme tous les jeunes gens de sa
génération
. Seulement chez lui, cela ne s’est pas porté sur les autos. Il préfèr
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savoir ce qu’il est. C’est une autre manie de sa
génération
. Mais là encore il se singularise : il n’écrit pas de livre pour y po
14
al : le « Qui veut faire l’ange… » a autorisé des
générations
de « bourgeois cultivés » à faire la bête dès qu’il s’agit de l’âme.
15
onne. Je ne prétends pas même parler au nom de ma
génération
, ne m’étant pas livré à l’enquête préalable qui seule eût pu, à la ri
16
ousser la difficulté dans l’avenir, d’une ou deux
générations
. Pendant ce temps elle s’aggrave, et nous voici avec l’héritage de ci
17
rds gros de dangers, c’est peut-être à quoi notre
génération
devra limiter l’efficacité de ses efforts. Critiquer le présent au no
18
’en formuler une seconde. Laissons ce soin, à des
générations
plus libres d’imaginer, bénéficiant de notre colère jacobine et de ce
19
onne. Je ne prétends pas même parler au nom de ma
génération
, ne m’étant pas livré à l’enquête préalable qui seule eût pu, à la ri
20
ousser la difficulté dans l’avenir, d’une ou deux
générations
. Pendant ce temps elle s’aggrave, et nous voici avec l’héritage de ci
21
rds gros de dangers, c’est peut-être à quoi notre
génération
devra limiter l’efficacité de ses efforts. Critiquer le présent au no
22
’en formuler une seconde. Laissons ce soin, à des
générations
plus libres d’imaginer, bénéficiant de notre colère jacobine et de ce
23
morale du milieu… Étrange misère que celle d’une
génération
qui, après tant de sarcasmes contre l’enfer bourgeois, n’a trouvé d’a
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inoffensifs. Il se pourrait très bien qu’à cette
génération
ne soit échue qu’une œuvre de critique, impitoyable de rigueur et d’e
25
umanités nous paraissaient devoir transmettre aux
générations
cette notion d’un équilibre proprement humain. Ainsi passèrent quelqu
26
ensée du xixe siècle vient s’incarner dans notre
génération
. Et déjà ce n’est plus qu’à notre situation géographique que nous dev
27
mot d’actualisation. C’est le mot de passe d’une
génération
révolutionnaire. Et en même temps la définition de notre humanisme, s
28
on » concrète chez les meilleurs esprits de notre
génération
, ceux de l’Ordre nouveau (Arnaud Dandieu, Robert Aron), ceux du group
29
is, parisiens au surplus.) Jamais, peut-être, une
génération
n’avait trouvé spontanément pareille communauté d’attitude essentiell
30
ts par la rumeur de la place. Dans toute la jeune
génération
littéraire et philosophique, c’est en vain que l’on chercherait un «
31
nécessaire que se fait l’unanimité de la nouvelle
génération
. Quels que soient par ailleurs les antagonismes qui la divisent — bie
32
aractéristiques de ce double péril qui menace une
génération
: péril de gauche et péril de droite, pourrait-on dire, afin de simpl
33
ve donc ici une prise de parti. Nous sommes une
génération
comblée. Comblée de chances de grandeur, et comblée de risques mortel
34
al : le « Qui veut faire l’ange… » a autorisé des
générations
de bourgeois cultivés à faire la bête dès qu’il s’agit de l’âme. Dans
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al : le « Qui veut faire l’ange… » a autorisé des
générations
de bourgeois cultivés à faire la bête dès qu’il s’agit de l’âme. Dans
36
s trente-deux ancêtres de mon père à la cinquième
génération
, je compte quatorze Neuchâtelois, un Hollandais, deux Allemands, et q
37
s burgs secrets de la Prusse-Orientale, — tant de
générations
aux fortunes diverses ne m’en séparent-elles pas autant qu’elles m’y
38
e son destin se confond avec le problème de notre
génération
. La sécurité ne sera jamais garantie par la signature des vieillards
39
tâche restauratrice de l’esprit, dévolue à notre
génération
, apparaît maintenant évidente : remontant à la racine du mal, nous ré
40
livres fameux proclamant la « mission de la jeune
génération
», la France jusqu’ici s’était bornée à les traduire et à les critiqu
41
s-guerre. Nos deux publicistes appartiennent à la
génération
qui atteint la trentaine et qui s’exprime dans des revues comme L’Or
42
n remarquable l’évolution accomplie par toute une
génération
de protestants, celle qui commence à s’exprimer dans des revues comme
43
grandir un fils, puis les enfants d’une troisième
génération
. (C’est un des grands pouvoirs des romanciers du Nord, que d’introdui
44
t antagonisme radical vient s’incarner dans notre
génération
. Saura-t-elle le pousser jusqu’à ses confins créateurs, — ou va-t-ell
45
onscience révolutionnaire. Lieu commun pour cette
génération
: la violence véritable est celle des constructeurs. Le premier manif
46
ujours plus rageusement ? Nous avons vu plusieurs
générations
mener cette course épuisante, et s’abattre à la fin dans les colonnes
47
grandir un fils, puis les enfants d’une troisième
génération
. (C’est un des grands pouvoirs des romanciers du Nord que d’introduir
48
d’ailleurs considérer comme le bien commun de sa
génération
. 1. L’indéfinissable concret Il ne faut pas estimer que les obje
49
aussi mal engagée que celle que doit jouer notre
génération
, n’est pas de ceux dont on puisse parler avec une légèreté de bon alo
50
avent se faire entendre sans discontinuer par les
générations
successives. Leur voix immortelle se taira sans doute pour vous, quan
51
dans les Conclusions que voici. Nous sommes une
génération
comblée. Comblée de chances de grandeur, et comblée de risques mortel
52
médiate que vous voyez grandir dans les nouvelles
générations
de France et d’Angleterre. Est-ce l’avènement d’un nouvel Ordre europ
53
tâche restauratrice de l’esprit, dévolue à notre
génération
, apparaît maintenant évidente : remontant à la racine du mal, nous ré
54
onscience révolutionnaire. Lieu commun pour cette
génération
: la violence véritable est celle des constructeurs76. Le premier man
55
t antagonisme radical vient s’incarner dans notre
génération
. Saura-t-elle le pousser jusqu’à ses confins créateurs, — ou va-t-ell
56
aussi mal engagée que celle que doit jouer notre
génération
, n’est pas de ceux dont on puisse parler avec une légèreté de bon alo
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avent se faire entendre sans discontinuer par les
générations
successives. Leur voix immortelle se taira sans doute pour vous, quan
58
dans les conclusions que voici. Nous sommes une
génération
comblée. Comblée de chances de grandeur, et comblée de risques mortel
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médiate que vous voyez grandir dans les nouvelles
générations
de France et d’Angleterre. Est-ce l’avènement d’un nouvel Ordre europ
60
tâche restauratrice de l’esprit, dévolue à notre
génération
, apparaît maintenant évidente : remontant à la racine du mal, nous ré
61
t-ce pas ce « Dieu moral » qui détourna plusieurs
générations
des églises où on le prêchait envers et contre tout « honneur de Dieu
62
fin je finis par me dire ; je vois des visages de
générations
passées — cette contrée est couverte par les images d’hommes intrépid
63
ait voir s’attacher les romanciers de la nouvelle
génération
: cet appel à la vie communautaire, ce réalisme plein, ce sens du con
64
res années, l’un des porte-paroles de la nouvelle
génération
en pleine révolte contre la tyrannie bancaire et puritaine, Waldo Fra
65
en appliquant l’astrologie, redécouvrit pour les
générations
futures « l’horizon primordial de la médecine », comme l’écrit le Dr
66
à l’avenir comme le témoin et le symbole de notre
génération
. I. Résidence de l’Esprit dans la cité actuelle En publiant ce
67
ce résultat… apprends d’abord à bien connaître ta
génération
, et surtout ses erreurs, ses plaisirs, ses fièvres, ce qu’elle voudra
68
s dont dispose l’URSS ; la pression des nouvelles
générations
, dont les chefs qui les ont formées avouent déjà qu’elles leur parais
69
ire) ; une longue médiation sur les maîtres d’une
génération
et le passé de la race qu’ils prolongent (Barrès, Péguy, Romain Rolla
70
es j’ai pensé : document sur les déceptions d’une
génération
. Puis j’ai trouvé ce cri : « Tout me concerne », et ce sous-titre, ve
71
e une évasion, encore un exotisme à l’usage d’une
génération
sans foi. 62. Payot, 1932, page 135. v. « Erskine Caldwell, Le Pet
72
Ou pire : ils n’ont jamais été vivants pour cette
génération
sans but. On nous en donnera donc de nouveaux fabriqués à notre mesur
73
» bourgeoises, surtout pendant les deux dernières
générations
qui précédèrent leur chute, se mirent en majeure partie à placer leur
74
Ou pire : ils n’ont jamais été vivants pour cette
génération
sans but. On nous en donnera donc de nouveaux fabriqués à notre mesur
75
ut le régime de Weimar. Partis, régions, classes,
générations
, ville et campagne, Université et peuple : la guerre était partout et
76
s dont dispose l’URSS ; la pression des nouvelles
générations
, dont les chefs qui les ont formées avouent qu’elles leur paraissent
77
nsabilité. » Il faut bien constater que plusieurs
générations
— contemporaines d’un Nietzsche, d’un Ibsen, d’un Rimbaud, d’un Tolst
78
se, sans trop de mauvais goût cette fois, par une
génération
que l’on dit peu subtile, — qui surtout n’a pas envie de se faire ass
79
est ainsi que les clercs distingués ont formé des
générations
à se concevoir en toute honnêteté irresponsables de leur destinée.
80
la pensée occidentale vient s’incarner dans notre
génération
. (Et déjà ce n’est plus qu’à notre situation géographique que nous de
81
t-être aurons-nous fait ce que devait faire notre
génération
. C’est le principe spirituel de la mesure qu’il nous faut tout d’abor
82
» bourgeoises, surtout pendant les deux dernières
générations
qui précédèrent leur chute, se mirent en majeure partie à placer leur
83
Ou pire : ils n’ont jamais été vivants pour cette
génération
sans but. On nous en donnera donc de nouveaux fabriqués à notre mesur
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ut le régime de Weimar. Partis, régions, classes,
générations
, ville et campagne, Université et peuple : la guerre était partout et
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s dont dispose l’URSS ; la pression des nouvelles
générations
, dont les chefs qui les ont formées avouent qu’elles leur paraissent
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nsabilité. » Il faut bien constater que plusieurs
générations
— contemporaines d’un Nietzsche, d’un Ibsen, d’un Rimbaud, d’un Tolst
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se, sans trop de mauvais goût cette fois, par une
génération
que l’on dit peu subtile, — qui surtout n’a pas envie de se faire ass
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est ainsi que les clercs distingués ont formé des
générations
à se concevoir en toute honnêteté irresponsables de leur destinée.
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la pensée occidentale vient s’incarner dans notre
génération
. (Et déjà ce n’est plus qu’à notre situation géographique que nous de
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t-être aurons-nous fait ce que devait faire notre
génération
. C’est le principe spirituel de la mesure qu’il nous faut tout d’abor
91
mmercial. « À nous la liberté ! » s’écriait cette
génération
: elle ignorait apparemment que la liberté est une conquête, et non p
92
évidence. Il y avait des places vides, toute une
génération
tuée à remplacer. Il y avait l’inflation, et la prospérité des nouvea
93
— jusqu’à la crise de 1930. Il nous en reste une
génération
de gloires rapides et sans ampleur, des « noms » qu’un seul livre imp
94
talent dans la durée et vagabondent à travers les
générations
. Notons qu’ils s’attardent presque tous aux générations d’avant-guerr
95
tions. Notons qu’ils s’attardent presque tous aux
générations
d’avant-guerre : le temps de leur jeunesse, remarque Thibaudet. Et il
96
man, pour cette tranche de siècle que meublera la
génération
de 1914. Il est caractéristique que le livre de Thibaudet se termine
97
passant, que par rapport au snobisme furtif d’une
génération
littéraire. Nous sommes heureux de lire enfin un manuel où Rimbaud, S
98
refoulement séculaire de ces questions. Plusieurs
générations
de bourgeoisie, et la crise de cette bourgeoisie ont accouché d’un de
99
préside à cette stérilisation profonde des jeunes
générations
fascistes et staliniennes : on cherche à obtenir par des moyens bruta
100
ie du pays. « Communauté », mot de passe de cette
génération
, n’aurons-nous fait que l’appeler de loin, ne sera-t-elle pour nous q
101
jour à l’Union pour la vérité, une « querelle des
générations
» dont il définissait comme suit les éléments : « L’ancienne générati
102
éfinissait comme suit les éléments : « L’ancienne
génération
, celle dont les membres avaient environ la trentaine en 1900 fut une
103
bres avaient environ la trentaine en 1900 fut une
génération
heureuse ; la génération d’après-guerre, en appelant ainsi l’ensemble
104
rentaine en 1900 fut une génération heureuse ; la
génération
d’après-guerre, en appelant ainsi l’ensemble des hommes qui ont aujou
105
ommes qui ont aujourd’hui de 25 à 40 ans, est une
génération
particulièrement éprouvée par les circonstances. » D’où résulte que l
106
me. Mais lorsqu’un « jeune » fit remarquer que la
génération
des anciens est essentiellement celle de Barrès, de Maurras, de Sorel
107
malheureuse », — M. Benda refusa de répondre. La
génération
des anciens, des heureux, des intellectuels riches, c’est M. Benda, e
108
nda attribue à la jeunesse, convient en fait à la
génération
des « anciens ». À cette erreur totale sur les faits, M. Benda ajoute
109
morale — et sociale — qui s’impose aux nouvelles
générations
. Par les menues expériences d’une vie diminuée et matériellement diff
110
teurs trop pressés ou intéressés, il existe une «
génération
» d’écrivains — prenons ces termes au sens le plus large — qui pour n
111
un poids) qui suffit presque à distinguer cette «
génération
» nouvelle de celle qui s’illustra par le surréalisme. Littérature pr
112
ul jugement métaphysique et théologique de chaque
génération
. 3. Ceci dit, il me paraît utile de poser ce problème, très brièvemen
113
s l’espace d’une seule vie ce romantisme où trois
générations
vont se débattre et s’épuiser. Goethe sera l’homme en relation avec l
114
refoulement séculaire de ces questions. Plusieurs
générations
de bourgeoisie, et la crise de cette bourgeoisie, ont accouché d’un d
115
s ne sommes que les feuilles qui tombent à chaque
génération
) et peut-être réussirons-nous à y croire. Ruine des croyances commun
116
esquisse à peine. Ce sera la tâche de la nouvelle
génération
que de le mener à chef dans le plus court délai. Car il y va de l’exi
117
ais nous aurons du moins sauvé l’honneur de cette
génération
anxieuse. Et pour tout dire, je ne suis pas sans espoir. Les faux die
118
pour « beaux » se produit normalement dans chaque
génération
, de même que chaque époque de la mode préfère soit la tête, soit le b
119
uatrième ou de cinquième année. C’est la dernière
génération
d’avant le régime. Ils connaissent Gide, Claudel, Giraudoux, mieux qu
120
s ne sommes que les feuilles qui tombent à chaque
génération
) et peut-être réussirons-nous à y croire. » Ruine des croyances commu
121
nt le gage d’une vie qui vaille d’être vécue. Les
générations
d’avant-guerre eurent sans doute l’existence plus facile, mais de que
122
menaces, sans résistances, sans vigilance. Notre
génération
trouve, au contraire, dans la connaissance du désordre et des périls
123
aussi, pourrait être sans précédent. Comme toute
génération
sérieusement avertie, par les faits ou par les prophètes. Isaïe révei
124
par un des écrivains les plus intelligents de sa
génération
. Neuchâtelois de naissance — et d’origine. Bel exemple de fédéralisme
125
mantisme, l’Allemagne change de nature. Les trois
générations
de romantiques allemands, individualistes en dehors de toute sociolog
126
e l’involontaire. » Et sur cette base, la seconde
génération
du romantisme va formuler sa fameuse théorie de l’inspiration — telle
127
onnues (au sens total) par plusieurs hommes de ma
génération
: je veux parler du surréalisme et de l’influence de Freud sur ce mou
128
u xiie siècle, c’est à-dire de la toute première
génération
des troubadours ! Donc l’un des inventeurs de ces « formules ». Nous
129
toute la cour de France, et René désola plusieurs
générations
. C’est que pour admirer la nature simple, pour accepter certaines mél
130
pour « beaux » se produit normalement dans chaque
génération
, de même que chaque époque de la mode préfère soit la tête, soit le b
131
de sa plus émouvante saveur. Je sais : toutes les
générations
ont cru qu’elles étaient la dernière à cultiver le romantisme. La nôt
132
nification qu’il eut, en fait, pour les premières
générations
de la Réforme. Ce n’est pas sans un joyeux étonnement que je suis tom
133
onnues (au sens total) par plusieurs hommes de ma
génération
: je veux parler du surréalisme et de l’influence de Freud sur ce mou
134
té que des poètes de la première et de la seconde
génération
des troubadours (1120 à 1180 environ). Au xiiie siècle, ceux de la d
135
0 environ). Au xiiie siècle, ceux de la dernière
génération
expliciteront ce que leurs modèles avaient chanté. « Ce n’est plus de
136
itié du xiie siècle, c’est-à-dire de la première
génération
des troubadours ! Donc l’un des inventeurs de ces « formules ». Nous
137
toute la cour de France, et René désola plusieurs
générations
. C’est que pour admirer la nature simple, pour accepter certaines mél
138
pour « beaux » se produit normalement dans chaque
génération
, de même que chaque époque de la mode préfère soit la tête, soit le b
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onnues (au sens total) par plusieurs hommes de ma
génération
: je veux parler du surréalisme et de l’influence de Freud sur ce mou
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té que des poètes de la première et de la seconde
génération
des troubadours (1120 à 1180 environ). Au xiiie siècle, ceux de la d
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0 environ). Au xiiie siècle, ceux de la dernière
génération
expliciteront ce que leurs modèles avaient chanté. « Ce n’est plus de
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itié du xiie siècle, c’est-à-dire de la première
génération
des troubadours ! Donc l’un des inventeurs de ces « formules ». Nous