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eintes transparentes, et minces en regard de leur
hauteur
, entourant de leurs multiples « redents » des terrains de jeux et des
2
raliste de grande race, qui peut nous mener à des
hauteurs
où devient naturel ce cri de sagesse orgueilleuse : « Qu’avons-nous b
3
tuelle ou de courage moral, nous avons élevé à la
hauteur
d’une vertu première — et qui légitime tous les dénis de morale à quo
4
place vraiment royale. Vide, elle prend toute sa
hauteur
. Silencieuse, solennelle de nudité, entre le Palais du Régent et celu
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aussi loin qu’il le veut. On peut tomber dans la
hauteur
tout comme dans la profondeur ». Comment ne point songer ici au génie
6
’homme que ces poètes viennent interroger sur les
hauteurs
, mais une sombre et surhumaine fatalité (Byron), ou « la secrète forc
7
re de mon œuvre sait que c’est une atmosphère des
hauteurs
, que l’air y est vif. Il faut être créé pour cette atmosphère, sinon
8
ton souverain. Pour la première fois, le ton des
hauteurs
, le ton de celui qui les a conquises, physiquement aussi. Toute l’œuv
9
ssai que Robert de Traz intitula Nietzsche et les
hauteurs
23, et qui, posé en face du tableau franco-anglais, fournit un contra
10
ité lente de la réflexion, un alliage précieux de
hauteur
, de rigueur et de pitié humaine, une retenue presque solennelle mais
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place vraiment royale. Vide, elle prend toute sa
hauteur
. Silencieuse, solennelle de nudité, entre le Palais du Régent et celu
12
e de brume bleue, dans une grande paix. Vue de la
hauteur
, sous un ciel pâle avec des nuages blancs qui s’en vont. Un vent froi
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encore, quand le patron salue avec ce mélange de
hauteur
, de méfiance et de gêne auquel répond chez l’inférieur un mélange de
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place vraiment royale. Vide, elle prend toute sa
hauteur
. Silencieuse, solennelle de nudité, entre le Palais du Régent et celu
15
encore, quand le patron salue avec ce mélange de
hauteur
, de méfiance et de gêne auquel répond chez l’inférieur un mélange de
16
e de brume bleue, dans une grande paix. Vue de la
hauteur
, sous un ciel pâle avec des nuages blancs qui s’en vont. Un vent froi
17
re par des lacets immenses, passait enfin à notre
hauteur
, puis courait s’engouffrer dans les rochers, à la base d’une paroi ve
18
brique est chaude encore sous mes pieds nus. À ma
hauteur
, et un peu plus bas, et puis beaucoup plus bas dans les buildings voi
19
io-poétique s’étant heureusement dénouée dans les
hauteurs
du ciel arctique, nous montâmes en spirale à 5000 mètres, au-dessus d
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su t’en apercevoir ! — Toi qui t’assieds sur les
hauteurs
et qui dis en toi-même : Qui me précipitera jusqu’à terre ? — Quand t
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problèmes de notre siècle. Le ton s’y élève à la
hauteur
de l’invective prophétique : Plains-toi, l’Éternel ne craint rien, i
22
ue — ni trop bas — erreur soviétique. Mais bien à
hauteur
d’homme, et c’est la vérité personnaliste. Enseigner, c’est rappeler
23
u à citer ces passages pour faire sentir à quelle
hauteur
se situe le drame de ce livre. Nous sommes bien loin de la « propagan
24
4.Pour une politique à
hauteur
d’homme Toute la question est de savoir à quel niveau l’on situe le
25
dans « l’optique parlementaire ». Une politique à
hauteur
d’homme, c’est une politique dont le principe de cohérence s’appelle
26
su t’en apercevoir ! — Toi qui t’assieds sur les
hauteurs
et qui dis en toi-même : Qui me précipitera jusqu’à terre ? — Quand t
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4.Pour une politique à
hauteur
d’homme Toute la question est de savoir à quel niveau l’on situe le
28
dans « l’optique parlementaire ». Une politique à
hauteur
d’homme, c’est une politique dont le principe de cohérence s’appelle
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su t’en apercevoir ! — Toi qui t’assieds sur les
hauteurs
et qui dis en toi-même : Qui me précipitera jusqu’à terre ? — Quand t
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e nouveau ou un surhomme, mais un ordre nouveau à
hauteur
d’homme. Voilà le point de notre différend. Nous n’y insisterons jama
31
s clercs. C’est pour avoir refusé de s’abaisser à
hauteur
d’homme, au niveau du réel, que notre culture se défait. Immortalité
32
nt que la culture, faute de s’être montrée « à la
hauteur
» d’une tâche humaine a voulu se hisser au sublime, où le siècle bien
33
e, mais la plus haute vérité. Qui est la vérité à
hauteur
d’homme. Et j’ajouterai : à portée de la main. 55. Voir 1re partie,
34
qu’il s’agisse d’élever des blocs de pierre à la
hauteur
d’un cintre, de labourer la terre ou d’écrire un ouvrage dont la néce
35
s clercs. C’est pour avoir refusé de s’abaisser à
hauteur
d’homme, au niveau du réel, que notre culture se défait. Faute de s’ê
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culture se défait. Faute de s’être montrée « à la
hauteur
» d’une tâche humaine, elle a voulu se hisser au sublime, où le siècl
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e, mais la plus haute vérité. Qui est la vérité à
hauteur
d’homme. Et j’ajouterai : à portée de la main. 57. Voir 1re partie,
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qu’il s’agisse d’élever des blocs de pierre à la
hauteur
d’un cintre, de labourer la terre ou d’écrire un ouvrage dont la néce
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tient là ; car il n’y a jamais eu de congrès « à
hauteur
d’homme ». C’est une rencontre improvisée, un rendez-vous de chasse p
40
versant nord d’un vallon qui vient mourir à notre
hauteur
sur la droite, tandis que le versant sud, avec ses restanques touffue
41
aisin bleu. Nous y sommes allés hier au soir. Des
hauteurs
, on voyait la plaine rose et violacée entre des monticules pointus to
42
vieux nid d’aigle, une pierraille couronnant des
hauteurs
ventées. Les rues sont étroites et caillouteuses, pleines d’odeurs dè
43
quelques-unes de ses plus folles illusions, à la
hauteur
du mythe, et de la Fable, plus profondément vrais que la vie. (Plus r
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qu’il s’agisse d’élever des blocs de pierre à la
hauteur
d’un cintre, de labourer la terre, ou d’écrire un ouvrage dont la néc
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cessé de nous séduire : nous posons nos regards à
hauteur
d’homme. Et nous voyons un monde neuf où la pensée avait perdu, depui
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versant nord d’un vallon qui vient mourir à notre
hauteur
sur la droite, tandis que le versant sud, avec ses restanques touffue
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aisin bleu. Nous y sommes allés hier au soir. Des
hauteurs
, on voyait la plaine rose et violacée entre des monticules pointus to
48
vieux nid d’aigle, une pierraille couronnant des
hauteurs
ventées. Les rues sont étroites et caillouteuses, pleines d’odeurs dè
49
gue nos fenêtres obscures.) Ville aérienne, où la
hauteur
des murs n’évoque plus les parois d’un puits sale, mais plutôt une fa
50
iment », celui d’une société qu’il faut bâtir « à
hauteur
d’homme » et non pas à hauteur d’idéologies. Peut-être ai-je trop ins
51
’il faut bâtir « à hauteur d’homme » et non pas à
hauteur
d’idéologies. Peut-être ai-je trop insisté sur l’actualité politique
52
lument sur la voûte, pointant vers une porte à la
hauteur
des premières galeries. Un coup de projecteur fait apparaître sur le
53
emiker » (étudiant de l’Université) planait à une
hauteur
infinie au-dessus de l’ouvrier d’usine, et où n’importe quelle ridicu
54
lument sur la voûte, pointant vers une porte à la
hauteur
des premières galeries. Un coup de projecteur fait apparaître sur le
55
forment une rampe clignotante et rougeoyante à la
hauteur
des chemises brunes ou noires, des blouses blanches. Au-dessus, sur l
56
les projecteurs dont le faisceau se perd dans la
hauteur
. Nous nous sommes assis sur l’herbe, à côté des porte-drapeaux de la
57
eille garde du Parti, quatre civils honteux, à la
hauteur
des bottes. Derrière nous, la plaine est vide, parfois parcourue de m
58
l’action des partis : elle veut être une action à
hauteur
d’homme, et non pas au niveau de l’opinion. 10. Ceux qui doutent de s
59
éfi. Nietzsche attend dans la nuit désertique des
hauteurs
. Une aube vient. C’est encore l’aube de la terre. Personne n’a parlé.
60
uveraineté que celle d’une âme qui portée à cette
hauteur
par Dieu lui-même, considère toutes choses sans être enchaînée par au
61
rs sont plus féroces. Il faut élever l’amour à la
hauteur
d’un rite, la violence débordante de la passion l’exige. À moins que
62
escaliers, et deux petites scènes latérales à la
hauteur
du plan 2. 3. C’est un autre acteur qui tient ce rôle.
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uveraineté que celle d’une âme qui portée à cette
hauteur
par Dieu lui-même, considère toutes choses sans être enchaînée par au
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rs sont plus féroces. Il faut élever l’amour à la
hauteur
d’un rite, la violence débordante de la passion l’exige. À moins que
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veraineté que celle d’une âme qui, portée à cette
hauteur
par Dieu lui-même, considère toutes choses sans être enchaînée par au
66
rs sont plus féroces. Il faut élever l’amour à la
hauteur
d’un rite, la violence débordante de la passion l’exige. À moins que
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Les Suisses sont-ils « à la
hauteur
» de la Suisse ? (20 janvier 1940)u La Suisse est neutre. La Suiss
68
itude superbe, il s’agit d’être moralement « à la
hauteur
». Non, ce n’est pas si facile que cela d’habiter et de posséder un p
69
us fut donnée ! u. « Les Suisses sont-ils “à la
hauteur
” de la Suisse ? », La Coopération, Bâle, n° 3, 20 janvier 1940, p. 1.
70
urrions-nous rebâtir un monde qui soit vraiment à
hauteur
d’homme ? Un monde où la pensée, la culture et l’esprit soient de nou
71
elle-même et tolérante ! Sachons nous élever à la
hauteur
de l’idéal forgé par notre histoire. Rendons la Suisse digne d’elle-m
72
jours les plus actuelles, et qui sont seules à la
hauteur
de la situation présente. Ce ne sont jamais nos idées personnelles, n
73
compte avec l’esprit, — avec la profondeur et la
hauteur
sans quoi toute vie demeure plate et basse. ⁂ Quanta bella giovinezz
74
urrions-nous rebâtir un monde qui soit vraiment à
hauteur
d’homme ? Un monde où la pensée, la culture et l’esprit, soient de no
75
ains prétextes à la violer. Sommes-nous « à la
hauteur
» de notre nature ? La Suisse est belle, c’est entendu, c’est conn
76
as de chanter. Il s’agit d’être moralement « à la
hauteur
». Non, ce n’est pas si facile que cela d’habiter et de posséder un p
77
donc que les Suisses deviennent et restent « à la
hauteur
» de leur géographie. Mais il faut aussi qu’ils deviennent et qu’ils
78
ut aussi qu’ils deviennent et qu’ils restent à la
hauteur
de leur histoire. Et à ce propos, voici quelques remarques sur nos fa
79
t acte seul nous rend humains et nous maintient à
hauteur
d’homme. (Pas question de monter jusqu’à l’ange ; nous avons bien ass
80
terre à terre, mais au niveau de notre action, à
hauteur
d’homme. 3. Promouvoir une fédération, ce n’est pas créer un nouvel o
81
emier soir, quand le soleil couchant flambait les
hauteurs
des gratte-ciel, de cette couleur orangée aérienne qu’on voit aux crê
82
emeure hanté par on ne sait quelle sauvagerie des
hauteurs
; et ce lieu d’extrême densité humaine demeure baigné d’une atmosphèr
83
aust : « L’Éternel féminin nous entraîne vers les
hauteurs
»… En vérité, la femme n’est porte de l’Enfer que pour ceux qui se la
84
ctible, c’est le saint. Seul un saint serait à la
hauteur
de cette espèce d’héroïsme dans le mal que déploie de nos jours l’adv
85
a marque du prestige démocratique n’étant plus la
hauteur
d’allure, mais au contraire la familiarité. Il serait amusant de comp
86
aust : « L’Éternel féminin nous entraîne vers les
hauteurs
»… En vérité, la femme n’est porte de l’Enfer que pour ceux qui se la
87
ctible, c’est le saint. Seul un saint serait à la
hauteur
de cette espèce d’héroïsme dans le mal que déploie de nos jours l’adv
88
a marque du prestige démocratique n’étant plus la
hauteur
d’allure, mais au contraire la familiarité. Il serait amusant de comp
89
aust : « L’Éternel féminin nous entraîne vers les
hauteurs
»… En vérité, la femme n’est porte de l’Enfer que pour ceux qui se la
90
ctible, c’est le Saint. Seul un saint serait à la
hauteur
de cette espèce d’héroïsme dans le mal que déploie de nos jours l’adv
91
moniques, au vertige des titans, au vertige de la
hauteur
: « On peut tomber dans la hauteur comme dans la profondeur. » Nous a
92
vertige de la hauteur : « On peut tomber dans la
hauteur
comme dans la profondeur. » Nous aurons une antithèse presque parfait
93
me qui choisit parmi les choses qui se tiennent à
hauteur
d’homme, et qui résistent à la pénétration d’un regard ferme et appuy
94
es à l’ombrage des pins cascadant en désordre des
hauteurs
, jusqu’aux bouleaux enchevêtrés des rives, parcourus d’écureuils et d
95
io-poétique s’étant heureusement dénouée dans les
hauteurs
du ciel arctique, nous montâmes en spirale à 5000 mètres. J’allais éc
97
le d’un parti. Bref, nous voulons une politique à
hauteur
d’homme. Celle des partis passe par-dessus les têtes ou vise trop bas
98
? Une première réalisation Une politique à
hauteur
d’homme, axée sur la réalité de la personne à la fois libre et engagé
99
opéen de la course à la reconstruction. a. « À
hauteur
d’homme », Réforme, Paris, n° 63, 1er juin 1946, p. 1.
100
t la Terre où le diable sévit, se réfugie sur les
hauteurs
et découvre que Dieu y est plus dangereux encore, d’une autre sorte,
101
onde ? Mais il est de toujours ! Non sans quelque
hauteur
, Denis de Rougemont pulvérise le problème. »
102
brique est chaude encore sous mes pieds nus. À ma
hauteur
, et un peu plus bas, et puis beaucoup plus bas, dans les buildings vo
103
d’octobre, quand le soleil couchant flambait les
hauteurs
des gratte-ciel, de cette couleur orangée aérienne qu’on voit aux crê
104
emeure hanté par on ne sait quelle sauvagerie des
hauteurs
; et ce lieu d’extrême densité humaine demeure baigné dans une atmosp
105
. Les arbres cachent les façades, moutonnent à la
hauteur
des toits, et la rivière ouvre l’espace, double le ciel, qui règne se
106
brique est chaude encore sous mes pieds nus. À ma
hauteur
, et un peu plus bas, et puis beaucoup plus bas, dans les buildings vo
107
re par des lacets immenses, passait enfin à notre
hauteur
, puis courait s’engouffrer dans les rochers, à la base d’une paroi ve
108
compte avec l’esprit, — avec la profondeur et la
hauteur
sans quoi toute vie demeure plate et basse. ⁂ Quanto bella giovinezz
109
d’octobre, quand le soleil couchant flambait les
hauteurs
des gratte-ciel, de cette couleur orangée, aérienne qu’on voit aux cr
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emeure hanté par on ne sait quelle sauvagerie des
hauteurs
; et ce lieu d’extrême densité humaine demeure baigné dans une atmosp
111
. Les arbres cachent les façades, moutonnent à la
hauteur
des toits, et la rivière ouvre l’espace, double le ciel, qui règne se
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brique est chaude encore sous mes pieds nus. À ma
hauteur
, et un peu plus bas, et puis beaucoup plus bas, dans les buildings vo
113
es à l’ombrage des pins cascadant en désordre des
hauteurs
, jusqu’aux bouleaux enchevêtrés des rives, parcourus d’écureuils et d
114
io-poétique s’étant heureusement dénouée dans les
hauteurs
du ciel arctique, nous montâmes en spirale à 5000 mètres, au-dessus d
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encore, quand le patron salue avec ce mélange de
hauteur
, de méfiance et de gêne auquel répond chez l’inférieur un mélange de
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place vraiment royale. Vide, elle prend toute sa
hauteur
. Silencieuse, solennelle de nudité, entre le Palais du Régent et celu
117
e de brume bleue, dans une grande paix. Vue de la
hauteur
, sous un ciel pâle avec des nuages blancs qui s’en vont. Un vent froi
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cessé de nous séduire : nous posons nos regards à
hauteur
d’homme. Et nous voyons un monde neuf où la pensée avait perdu, depui
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versant nord d’un vallon qui vient mourir à notre
hauteur
sur la droite, tandis que le versant sud, avec ses restanques touffue
120
aisin bleu. Nous y sommes allés hier au soir. Des
hauteurs
, on voyait la plaine rose et violacée entre des monticules pointus to
121
vieux nid d’aigle, une pierraille couronnant des
hauteurs
ventées. Les rues sont étroites et caillouteuses, pleines d’odeurs dè
122
gue nos fenêtres obscures.) Ville aérienne, où la
hauteur
des murs n’évoque plus les parois d’un puits sale, mais plutôt une fa
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emiker » (étudiant de l’Université) planait à une
hauteur
infinie au-dessus de l’ouvrier d’usine, et où n’importe quelle ridicu
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lument sur la voûte, pointant vers une porte à la
hauteur
des premières galeries. Un coup de projecteur fait apparaître sur le
125
forment une rampe clignotante et rougeoyante à la
hauteur
des chemises brunes ou noires, des blouses blanches. Au-dessus, sur l
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les projecteurs dont le faisceau se perd dans la
hauteur
. Nous nous sommes assis sur l’herbe, à côté des porte-drapeaux de la
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eille garde du Parti, quatre civils honteux, à la
hauteur
des bottes. Derrière nous, la plaine est vide, parfois parcourue de m
128
d’un livre de Léon Blum) : « Pour une politique à
hauteur
d’homme. » En 1936, Penser avec les mains traite tout au long des c
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re par des lacets immenses, passait enfin à notre
hauteur
, puis courait s’engouffrer dans les rochers, à la base d’une paroi ve
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compte avec l’esprit, — avec la profondeur et la
hauteur
sans quoi toute vie demeure plate et basse. ⁂ Quanto bella giovinezz
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d’octobre, quand le soleil couchant flambait les
hauteurs
des gratte-ciel de cette couleur orangée aérienne qu’on voit aux crêt
132
emeure hanté par on ne sait quelle sauvagerie des
hauteurs
; et ce lieu d’extrême densité humaine demeure baigné dans une atmosp
133
. Les arbres cachent les façades, moutonnent à la
hauteur
des toits, et la rivière ouvre l’espace, double le ciel, qui règne se
134
ots prennent tout leur sens, les problèmes sont à
hauteur
d’homme, les solutions à dimensions de jeu. Des « masses » ne peuvent
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brique est chaude encore sous mes pieds nus. À ma
hauteur
, et un peu plus bas, et puis beaucoup plus bas dans les buildings voi
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es à l’ombrage des pins cascadant en désordre des
hauteurs
, jusqu’aux bouleaux enchevêtrés des rives, parcourus d’écureuils et d
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l’eau. Entre les troncs des pins, nus jusqu’à la
hauteur
du toit, le regard embrasse et caresse la perspective lointaine des m
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io-poétique s’étant heureusement dénouée dans les
hauteurs
du ciel arctique, nous montâmes en spirale à 5000 mètres, au-dessus d
139
quelques-unes de ses plus folles illusions, à la
hauteur
du mythe, ou de la Fable, plus profondément vrais que la vie (plus ri
140
éfi. Nietzsche attend dans la nuit désertique des
hauteurs
. Une aube vient. C’est encore l’aube de la terre. Personne n’a parlé.
141
t la Terre où le diable sévit, se réfugie sur les
hauteurs
et découvre que Dieu y est plus dangereux encore, d’une autre sorte,
142
e la personne. Et ces institutions à sa mesure, à
hauteur
d’homme, traduisant dans la vie de la culture, comme dans les structu
143
sont décidés à fournir l’effort d’invention à la
hauteur
du siècle. Je disais à Montreux en septembre dernier, lors du congrès
144
ls suivent une route en do dièse dans la nuit des
hauteurs
. ⁂ Que chacun donc découvre ses symboles et la voie que lui seul peut
145
e la personne. Et ces institutions à sa mesure, à
hauteur
d’homme, traduisant dans la vie de la culture, comme dans les structu