1
ous trouvons le moyen de « suppléer à l’éducation
historique
des peuples chrétiens qui n’ont pas eu de Moyen Âge », nous pourrons
2
n’est pas question de rechercher ici les origines
historiques
d’une conception qui, de plus en plus, se révèle à la base de tous le
3
s œuvres pour elles-mêmes dans leur signification
historique
ou technique, mais tâcherait d’épouser le dynamisme spirituel qu’elle
4
personne. On me l’a dit, c’est vrai : cette ville
historique
est aussi l’autre « Rome protestante ». Mais d’avoir vu ses profondes
5
eligieuse concrète d’une part, et le matérialisme
historique
de l’autre. La preuve, je m’amuse à la voir dans le fait que le pamp
6
olutionnaire — ère spirituelle — dont l’avènement
historique
est dans nos mains. On nous a menés à ce point — il n’est question de
7
ngels et Feuerbach devaient tirer le matérialisme
historique
, manifestent la seule opposition réellement profonde qui ait divisé l
8
ont on ne saurait exagérer l’importance à la fois
historique
et symbolique : les premiers contacts de Goethe avec le mysticisme pr
9
estion sous l’angle de la curiosité littéraire ou
historique
. Elle pose cependant un problème que la conscience intellectuelle des
10
a notion de personne ! — aux forces politiques et
historiques
qui selon eux déterminent entièrement le devenir révolutionnaire. Mai
11
e athée. Quelle que soit d’ailleurs la conception
historique
que l’on ait, il faut pourtant reconnaître que la personne est un fac
12
a matière abandonnée à elle-même ? La dialectique
historique
à trois temps est une arbitraire projection dans les choses d’un méca
13
de la réussite, à un fatalisme, à un pragmatisme
historique
dont le fondement matérialiste n’exige rien de moins qu’un acte de fo
14
personne. On me l’a dit, c’est vrai : cette ville
historique
est aussi l’autre « Rome protestante ». Mais d’avoir vu ses profondes
15
personne. On me l’a dit, c’est vrai : cette ville
historique
est aussi l’autre « Rome protestante ». Mais d’avoir vu ses profondes
16
je sais pas mal de choses sur ce lieu et son rôle
historique
. (J’en ai même beaucoup écrit.) Je sais que ce nœud de fleuves et de
17
venu pour vous apporter un exposé systématique ou
historique
, mais bien pour poser devant vous quelques questions, définir à grand
18
est ailleurs. Il est précis. Il se pose en termes
historiques
bien définis : c’est le problème de la destruction des tyrannies état
19
de Phèdre comme un archéologue, auteur de drames
historiques
. Que cherche Ramuz ? Une connaissance du particulier qui introduise à
20
prennent au sérieux la mythologie du déterminisme
historique
et économique, dépôt honteux du xixe siècle. Philosophiquement, ils
21
el les soviets n’échappent pas. 3° La dialectique
historique
ne peut que rendre compte du passé — mais seul l’acte créateur opère
22
e socialiste est née des théories philosophiques,
historiques
, économiques élaborées par certains représentants instruits des class
23
el les soviets n’échappent pas. 3° La dialectique
historique
ne peut que rendre compte du passé — mais seul l’acte créateur opère
24
ue les théologiens aient mené à bien leur travail
historique
? Et qu’arriverait-il si le résultat en était par exemple, de démontr
25
le par exemple, nous entendons par là une réalité
historique
très composite, très générale, qui englobe toute l’humanité, et dont
26
passe dans le monde obéit à des lois générales et
historiques
qui échappent à notre volonté et sur lesquelles nos révoltes sont san
27
énologues. Ce sont toujours des réalités passées,
historiques
, achevées, mortes comme toutes les moyennes, et dans ce sens, abstrai
28
abstraites. Sur quoi peut bien se fonder une loi
historique
? Sur ce qui a été fait. Toute loi qu’on découvre dans la société hum
29
e. ⁂ Destin du siècle ou destin de l’homme ? Loi
historique
ou acte personnel ? Irresponsable ou responsable ? Telle est, je croi
30
t de ce cheval de Troie qui se nomme déterminisme
historique
. Il faut croire qu’ils ont la vie dure, et que le mieux à faire pour
31
est au fond de notre désespoir. Les grandes lois
historiques
et révolutionnaires peuvent bien nous servir de refuge, de prétextes
32
le capital, la nation, les fameux « déterminismes
historiques
» ne sont rien que des créations de l’homme. Et de quel homme ? De ce
33
démission de la personne devant les déterminismes
historiques
tient lieu de méthode politique. N’a-t-il pas été l’un des premiers à
34
toutes les « sciences » qui étudient ses « lois »
historiques
ou sociologiques sont comme une inversion de la théologie, sont une t
35
de Marx, et plus précisément dans sa dialectique
historique
: « Je ne puis me résigner à cette espèce de fatalisme par lequel nou
36
sionnantes. Quelle fut la genèse psychologique et
historique
de la croyance à la résurrection de Jésus ? C’est ainsi que M. Goguel
37
enons de le voir, à des données psychologiques et
historiques
dont le dosage et la valeur sont très variables. Il semble qu’un de s
38
à débarrasser la foi de la relativité des preuves
historiques
. En nous montrant qu’elles peuvent être contestées, pour la plupart,
39
en fin de compte, la justification de la critique
historique
. C’est dire qu’elle triomphe en général au terme des basses époques t
40
e saurait assez louer la science et les scrupules
historiques
de Viénot. La réserve dont il fait preuve dans tous ses jugements, l’
41
ssant de ce gros volume. Mais aussi, la substance
historique
qu’il nous offre est de celles qui n’ont pas besoin de condiments pou
42
tologique, si la Révélation n’en attestait l’acte
historique
. L’incarnation totale de Dieu dans l’Homme, l’humanité parfaite de Jé
43
ersonne. Ils réputent abstraites ces « nécessités
historiques
» qui, selon l’opinion de nos maîtres, dicteraient à l’homme ses dest
44
eul l’absolu console, mais que jamais aucun homme
historique
n’a existé dans l’absolu, ni n’a pu être imaginé dans un absolu exist
45
le par exemple, nous entendons par là une réalité
historique
très composite, très générale, qui englobe toute l’humanité, et dont
46
passe dans le monde obéit à des lois générales et
historiques
qui échappent à notre volonté et sur lesquelles nos révoltes sont san
47
énologues. Ce sont toujours des réalités passées,
historiques
, achevées, mortes comme toutes les moyennes et, dans ce sens, abstrai
48
abstraites. Sur quoi peut bien se fonder une loi
historique
? Sur ce qui a été fait. Toute loi qu’on découvre dans la société hum
49
e. ⁂ Destin du siècle ou destin de l’homme ? Loi
historique
ou acte personnel ? Irresponsable ou responsable ? Telle est, je croi
50
t de ce cheval de Troie qui se nomme déterminisme
historique
. Il faut croire qu’ils ont la vie dure, et que le mieux à faire pour
51
est au fond de notre désespoir. Les grandes lois
historiques
et révolutionnaires peuvent bien nous servir de refuge, de prétextes
52
es thèses marxistes reposent sur une constatation
historique
ou sur une espérance utopique, leur systématisation très poussée leur
53
’abord, ce d’abord n’a pas le même sens temporel,
historique
, que dans l’économique d’abord des marxistes. Il a un sens de primaut
54
salut qui m’est promis29, salut gagé sur le fait
historique
de la mort et de la résurrection de Jésus-Christ. Ce fait existe. Mon
55
venu pour vous apporter un exposé systématique ou
historique
, mais bien pour poser devant vous quelques questions, définir à grand
56
», meurent au monde, et Le suivent. Les unes sont
historiques
, les autres éternelles. En somme, ce qui oppose irréductiblement, fo
57
, tandis que le marxiste croit à une sempiternité
historique
, — ou mieux : évolutive. Entre ces deux conceptions, il n’y a ni pass
58
a notion de personne ! — aux forces politiques et
historiques
qui selon eux déterminent entièrement le devenir révolutionnaire. Mai
59
e athée. Quelle que soit d’ailleurs la conception
historique
que l’on ait, il faut pourtant reconnaître que la personne est un fac
60
a matière abandonnée à elle-même ? La dialectique
historique
à trois temps est une arbitraire projection dans les choses d’un méca
61
de la réussite, à un fatalisme, à un pragmatisme
historique
dont le fondement matérialiste n’exige rien de moins qu’un acte de fo
62
nne. Proudhon qui dénonçait, dans le matérialisme
historique
, la croyance optimiste et inhumaine en une synthèse, en un « troisièm
63
ersonne. Ils réputent abstraites ces « nécessités
historiques
» qui, selon l’opinion de nos maîtres, dicteraient à l’homme ses dest
64
eul l’absolu console, mais que jamais aucun homme
historique
n’a existé dans l’absolu, ni n’a pu être imaginé dans un absolu exist
65
e, par exemple, nous entendons par là une réalité
historique
très composite, très générale, qui englobe toute l’humanité, et dont
66
passe dans le monde obéit à des lois générales et
historiques
qui échappent à notre volonté et sur lesquelles nos révoltes sont san
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énologues. Ce sont toujours des réalités passées,
historiques
, achevées, mortes comme toutes les moyennes et, dans ce sens, abstrai
68
abstraites. Sur quoi peut bien se fonder une loi
historique
? Sur ce qui a été fait. Toute loi qu’on découvre dans la société hum
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e. ⁂ Destin du siècle ou destin de l’homme ? Loi
historique
ou acte personnel ? Irresponsable ou responsable ? Telle est, je croi
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t de ce cheval de Troie qui se nomme déterminisme
historique
. Il faut croire qu’ils ont la vie dure, et que le mieux à faire pour
71
est au fond de notre désespoir. Les grandes lois
historiques
et révolutionnaires peuvent bien nous servir de refuge, de prétextes
72
es thèses marxistes reposent sur une constatation
historique
ou sur une espérance utopique, leur systématisation très poussée leur
73
’abord, ce d’abord n’a pas le même sens temporel,
historique
, que dans l’économique d’abord des marxistes. Il a un sens de primaut
74
salut qui m’est promis22, salut gagé sur le fait
historique
de la mort et de la résurrection de Jésus-Christ. Ce fait existe. Mon
75
venu pour vous apporter un exposé systématique ou
historique
, mais bien pour poser devant vous quelques questions, définir à grand
76
», meurent au monde, et le suivent. Les unes sont
historiques
, les autres éternelles. En somme, ce qui oppose irréductiblement, fo
77
, tandis que le marxiste croit à une sempiternité
historique
— ou mieux : évolutive. Entre ces deux conceptions, il n’y a ni pass
78
a notion de personne ! — aux forces politiques et
historiques
qui, selon eux, déterminent entièrement le devenir révolutionnaire. M
79
e athée. Quelle que soit d’ailleurs la conception
historique
que l’on ait, il faut pourtant reconnaître que la personne est un fac
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a matière abandonnée à elle-même ? La dialectique
historique
à trois temps est une arbitraire projection dans les choses d’un méca
81
de la réussite, à un fatalisme, à un pragmatisme
historique
dont le fondement matérialiste n’exige rien de moins qu’un acte de fo
82
nne. Proudhon qui dénonçait, dans le matérialisme
historique
, la croyance optimiste et inhumaine en une synthèse, en un « troisièm
83
aphorismes dans l’édition de M. Bolle. ⁂ Le sens
historique
n’est qu’une théologie masquée : “nous atteindrons un jour des buts m
84
imens rares et réussis, est de fond en comble non
historique
, parce qu’il nie que les millénaires à venir puissent produire quelqu
85
époque actuelle est, dans son esprit, tout à fait
historique
, elle témoigne par ce fait que l’humanité n’est plus courbée sous le
86
ble au christianisme en le traitant d’agent « non
historique
». Il faut croire que cet adversaire de Hegel était encore bien mal p
87
au ont adopté sa vraie théologie : la dialectique
historique
de Karl Marx. En vertu de cet acte de foi, fait en révolte contre la
88
aucoup plus de vraisemblance et même de « sérieux
historique
». Parmi toutes les criailleries de Nietzsche, certaines prennent u
89
elle perd aussi toute valeur soit actuelle, soit
historique
, soit même eschatologique. On démontrerait aisément — ou pour mieux d
90
Kierkegaard est dirigée contre un certain esprit
historique
ou historiciste, qui tend à nous faire croire qu’après 19 siècles de
91
pare de son apparition terrestre. Notre formation
historique
et psychologique nous y invite. Bien plus, la pente naturelle de notr
92
ansporter par la pensée » à l’époque et aux lieux
historiques
où la vie de Jésus s’est écoulée. D’autre part, nous ne pouvons nous
93
ment par l’éloignement des siècles et l’évolution
historique
de l’humanité. Ils résultent d’attitudes différentes que Dieu adopte
94
ces trois temps ne sont pas dans le prolongement
historique
l’un de l’autre ; ce ne sont pas trois portions successives du même t
95
xemple fait sentir l’échec final de toute méthode
historique
qui voudrait nous rendre « contemporains » de Christ. Car cette métho
96
s pas à nous préoccuper outre mesure d’exactitude
historique
, archéologique, etc. La plus grande fantaisie nous est permise dans n
97
ent par l’adoption des hypothèses du matérialisme
historique
. Cette croyance que la vie se fera toute seule et que des « lois » in
98
r d’accord, d’où aussi l’adoption du matérialisme
historique
qui décharge le sujet de son actualité. 23. Voir toutefois page 297
99
ctuelle des Recherches une sorte de justification
historique
de grande envergure. Löwith voit en Hegel l’achèvement de la philosop
100
des réalités humaines élémentaires, voilà le fait
historique
capital sur lequel se fonde l’attitude commune des intellectuels révo
101
mais la confirmation tout ingénue de son origine
historique
. J’avais omis d’en citer quelques lignes qui trouvent ici leur opport
102
st-il laissé guider dans son choix par un préjugé
historique
que le « Mage du Nord » eût trop évidemment déconcerté. Ce préjugé co
103
nous pas aujourd’hui, maintenant — au double sens
historique
et éternel du mot nunc —, une situation décisive, c’est-à-dire une si
104
s de l’acte de foi qui, supprimant toute distance
historique
, nous rend contemporains de Son incarnation. Ainsi l’acte de foi détr
105
en vertu de ce paradoxe impensable, l’Incarnation
historique
de Dieu. Pas de réponse rationnelle au « Cur Deux Homo ? » de saint A
106
emps. Ne serait-il pas plus conforme à la probité
historique
et plus fécond pour la théologie de mettre en regard du catholicisme
107
mais la suite des témoignages rendus par l’Église
historique
à son chef, qui lui fut révélé dans l’Écriture, et non ailleurs. Il r
108
t, un tel mouvement n’aurait aucune justification
historique
dans un pays qui a fait la Révolution de 89, et qui est déjà une nati
109
, qui est la tentation fasciste, n’a plus de sens
historique
ni spirituel. Il importe d’insister sur cette conclusion, au moment o
110
velle et la réalité d’une ère dominée par ce fait
historique
: l’Incarnation de la Parole. Les grands docteurs chrétiens l’ont su
111
ire autre chose. Nos circonstances économiques et
historiques
étaient telles qu’il fallait une dictature pour y mettre un minimum d
112
traire. Mais si nous ne marquons pas notre avance
historique
par des créations aussi fortes que celles qui nous défient là-bas, no
113
inguons leurs raisons profondes, leurs nécessités
historiques
, critiquons même de ce point de vue certaines erreurs que commettent
114
sciste : un homme « de gauche » Cette fatalité
historique
, à laquelle cèdent tous les mouvements de masses55, se reproduit dans
115
urmand, aurait choisi Venise, en dépit du progrès
historique
.) ⁂ Pour qui lirait, sans bien connaître Gide, l’avant-propos de son
116
dissocier la doctrine de Marx de ses applications
historiques
, c’est en définitive critiquer le marxisme lui-même. En effet, dès lo
117
elle est comptable de ses déviations humaines et
historiques
. Elle est jugée par ces déviations. Elle est jugée par ce que les hom
118
n’est pas là toucher le fond réel de la situation
historique
. Et la droite, si elle était honnête, serait encore plus gênée que la
119
nnaires (séparatistes). Seulement, faute de bases
historiques
, il doit recourir à une propagande d’autant plus virulente et démagog
120
temporains qui ait étudié sérieusement les causes
historiques
de cette situation : Henri de Man, dans l’Idée socialiste. Cet ouvrag
121
tiale, et de l’ordre du spirituel. La description
historique
de de Man se fonde en dernière analyse sur une thèse d’origine marxis
122
ne espèce d’évidence jaillie de toutes les images
historiques
et polémiques qu’il évoque : c’est le mot de rationalisme. De même qu
123
ts gouvernent les vivants : c’est le déterminisme
historique
. Organiser scientifiquement la société : c’est le socialisme, le soci
124
a logique interne de celui-ci détermine le destin
historique
de celle-là. Connaître cette logique interne, c’est se mettre en mesu
125
tion d’une commune mesure Au cours des analyses
historiques
qui précèdent, nous avons vu comment les grandes cultures, et les com
126
de la notion chrétienne de personne.) Mission
historique
d’une partie de la population, considérée comme destinée d’avance, co
127
ire autre chose. Nos circonstances économiques et
historiques
étaient telles qu’il fallait une dictature pour y mettre un minimum d
128
il a « réussi » en Russie, et qu’il ouvre une ère
historique
, je poserais encore ma question : est-ce un système dont le télos est
129
traire. Mais si nous ne marquons pas notre avance
historique
par des créations aussi fortes que celles qui nous défient là-bas, no
130
inguons leurs raisons profondes, leurs nécessités
historiques
, critiquons même de ce point de vue certaines erreurs que commettent
131
ù la mythologie des lois psychologiques, des lois
historiques
, des lois économiques, qui encombrent la mentalité du citoyen moderne
132
moins de tension et d’action que d’une évolution
historique
nécessaire, d’une succession inévitable, d’un héritage à recueillir,
133
l’on sait utiliser la méthode définie par l’école
historique
de la fin du xixe siècle. Par contre l’Art poétique de Claudel n’est
134
la défient sont prêts à enregistrer cette carence
historique
. Tout dépend aujourd’hui de l’attitude de quelques pays — France, Ang
135
ngels et Feuerbach devaient tirer le matérialisme
historique
, — attaques reprises sur le plan politique par Proudhon dans sa polém
136
mouvement destiné toutefois à revêtir une ampleur
historique
. À eux de compenser par leur intransigeance spirituelle une dispropor
137
es. Pour éviter de nous perdre dans des jugements
historiques
pour lesquels nous ne serons jamais assez documentés, ramenons cet ex
138
re désordre universel. J’en ai cherché les causes
historiques
lointaines, j’ai critiqué certains ordres qu’on lui oppose. Restreign
139
de mon corps — ou à une objectivation du devenir
historique
, ou encore à une autonomie de la raison critique. Division qui a pour
140
temporains qui ait étudié sérieusement les causes
historiques
de cette situation : Henri de Man, dans L’Idée socialiste. Cet ouvrag
141
tiale, et de l’ordre du spirituel. La description
historique
de de Man se fonde en dernière analyse sur une thèse d’origine marxis
142
ne espèce d’évidence jaillie de toutes les images
historiques
et polémiques qu’il évoque : c’est le mot de rationalisme. De même q
143
ts gouvernent les vivants : c’est le déterminisme
historique
. Organiser scientifiquement la société : c’est le socialisme, le soci
144
a logique interne de celui-ci détermine le destin
historique
de celle-là. Connaître cette logique interne, c’est se mettre en mesu
145
tion d’une commune mesure Au cours des analyses
historiques
qui précèdent, nous avons vu comment les grandes cultures, et les com
146
de la notion chrétienne de personne.) Mission
historique
d’une partie de la population, considérée comme destinée d’avance, co
147
ire autre chose. Nos circonstances économiques et
historiques
étaient telles qu’il fallait une dictature pour y mettre un minimum d
148
il a « réussi » en Russie, et qu’il ouvre une ère
historique
, je poserais encore ma question : est-ce un système dont le télos est
149
traire. Mais si nous ne marquons pas notre avance
historique
par des créations aussi fortes que celles qui nous défient là-bas, no
150
inguons leurs raisons profondes, leurs nécessités
historiques
, critiquons même de ce point de vue certaines erreurs que commettent
151
ù la mythologie des lois psychologiques, des lois
historiques
, des lois économiques, qui encombrent la mentalité du citoyen moderne
152
moins de tension et d’action que d’une évolution
historique
nécessaire, d’une succession inévitable, d’un héritage à recueillir,
153
l’on sait utiliser la méthode définie par l’école
historique
de la fin du xixe siècle. Par contre l’Art poétique de Claudel n’est
154
la défient sont prêts à enregistrer cette carence
historique
. Tout dépend aujourd’hui de l’attitude de quelques pays — France, Ang
155
’où Marx et Engels devaient tirer le matérialisme
historique
, — attaques doublées sur le plan politique par Proudhon dans ses polé
156
mouvement destiné toutefois à revêtir une ampleur
historique
. À eux de compenser par leur intransigeance spirituelle une dispropor
157
es. Pour éviter de nous perdre dans des jugements
historiques
pour lesquels nous ne serons jamais assez documentés, ramenons cet ex
158
el désordre universel. J’en ai cherché les causes
historiques
lointaines, j’ai critiqué certains ordres qu’on lui oppose. Restreign
159
tirages invraisemblables des Allemands ? Un roman
historique
en 3 volumes sur Paracelse, coûtant 25 marks, soit près de 200 fr., a
161
ue nous ont dit le nécessaire sur ce point. z. «
Historique
du mal capitaliste », L’Ordre nouveau, Paris, n° 37, janvier 1937, p.
162
s toi-même agi par de puissantes forces sociales,
historiques
et économiques ? Toute ta science ne s’occupe-t-elle pas, justement,
163
matériel. Et quiconque sait interpréter les faits
historiques
d’un point de vue humain ne peut manquer de reconnaître l’existence d
164
(Je ne fais là, bien entendu, qu’une constatation
historique
.) Remercions donc le courageux éditeur qui vient d’entreprendre la ré
165
Elle nous permet de connaître l’une des origines
historiques
de cette opposition fondamentale, de cette discussion séculaire, de c
166
ès-midi dessus. — Cela commence par une chronique
historique
dont l’essentiel est naturellement l’énumération des débarquements qu
167
si, décrits l’un après l’autre, tous les éléments
historiques
, décors, personnages et coutumes, que les romans mettront en œuvre :
168
e autre chose, de par sa nature même, physique et
historique
. Gardiens des cols, gardiens de la papauté, gardiens du siège de la S
169
ains ; un quart à des sujets divers, littéraires,
historiques
, anecdotiques. Voici la liste des titres contenant le mot ou l’idée d
170
vérités éternelles. Placez-vous donc sur ce plan
historique
. Voyagez en URSS par exemple. Constatez, comme beaucoup l’ont fait (q
171
nfond, comme on nous l’affirmait, avec ses effets
historiques
. On vous répond que vous vous trompez du tout au tout ; que vous n’en
172
d’irréductibles à toute détermination sociale ou
historique
imaginable, dans le passé, le présent ou l’avenir53. Le problème d
173
en soi, que d’une critique politique, économique,
historique
, etc.55 Et je ne vois pas que le chrétien comme tel ait des lumières
174
ative61. Or il ne s’agit plus ici de contingences
historiques
. C’est le fond même de la doctrine calviniste qui s’exprime par cette
175
près-midi dessus. Cela commence par une chronique
historique
, dont l’essentiel est naturellement l’énumération des débarquements q
176
Elle n’est pas le produit normal d’une évolution
historique
fécondée et cristallisée par l’intervention d’un grand chef. Elle est
177
aïque. C’est précisément ce sens de la continuité
historique
et de la solidarité sociale qui distingua l’église chrétienne des rel
178
s toi-même agi par de puissantes forces sociales,
historiques
et économiques ? Toute ta science ne s’occupe-t-elle pas, justement,
179
Le seul espoir (juin 1938)a La mission
historique
de notre Confédération, c’est de garder libres pour tous, les cols du
180
pression des « masses ». Dans une telle situation
historique
, les réformes vont toujours à l’encontre des buts allégués. Chacun se
181
oral est le plus solide. Quand on lit les travaux
historiques
les plus sérieux sur la naissance des trois grandes dictatures, on co
182
tures, on constate l’existence d’une sorte de loi
historique
: le totalitarisme n’est fort que dans la mesure où le civisme est fa
183
est au contraire fédéral. Un État dont les bases
historiques
et la tradition ancestrale sont la négation même du totalitarisme. Un