1
cle, qu’elle paraît parfois, lorsque la tourmente
humaine
ne la moleste ni ne l’avive plus, cruelle et désolée comme cette « fl
2
d vaudois. Vraiment, tout ce qui semble viable et
humain
dans la critique moderne du romantisme, Vinet l’avait trouvé. Mais sa
3
t, nous fîmes le procès de toutes les jouissances
humaines
. L’espèce de sincérité terroriste dans laquelle nous nous obstinions
4
développé en nous un goût furieux de l’expérience
humaine
. » (Aragon) 4. « Lorsque tout est fini » dans Libertinage. (NRF) 5.
5
et conduit lentement l’usure des milliers d’êtres
humains
». Elle n’est plus adaptée aux conditions nouvelles de travail ou de
6
s sanglants. Pour ma part, je le trouve assez peu
humain
et comme obsédé par une idée de violence tonique certes, mais décidém
7
qu’elle révèle, puis de les situer dans l’univers
humain
». M. Fernandez a tout le talent qu’il faut pour lui faire acquérir d
8
aura fonder sa gloire future sur des valeurs plus
humaines
. x. « Henry de Montherlant : Les Bestiaires (Grasset, Paris) », Bib
9
brume, une vie étrangère, une paix qui n’est pas
humaine
, et qui nous laisse gourds et faibles, caressant en nous la lâche vol
10
nous, érigeait l’image de la lutte et des forces
humaines
, et rendait sous des coups un son qui nous évoqua les rumeurs de vill
11
’est bien plutôt une unité supérieure de l’esprit
humain
que nous découvrons, et qui nous permettra de juger à notre tour cert
12
orel, est-elle moins révélatrice du fond de l’âme
humaine
? Que si l’on s’étonne de me voir donner ici la préférence à l’acte v
13
sse point oublier que ce livre d’une résonance si
humaine
, est mieux que charmant, — douloureux et désinvolte, glacé, passionné
14
— comme dit Gide — qui serait aussi la part de l’
humain
, l’imperfection secrète qui fait naître l’amour. Parce que la créatio
15
t de faciles tricheries8 — qu’ait connue l’esprit
humain
. Sens de l’Absolu, sens de la pureté ou fanatisme de l’esprit. Jusqu’
16
être pas eu d’expression plus haute de l’angoisse
humaine
, et vous aurez beau rire, pharisiens, et dire qu’elle est née dans un
17
n son nom l’on mesurait odieusement une sympathie
humaine
pour nous sans prix ? Mais nous avions besoin de révolution pour vivr
18
ure, à ces natures remises à neuf, l’imperfection
humaine
qui touche. Mais l’atmosphère pure de ces espaces définis par quelque
19
’inquiétude actuelle. Sous couleur de démasquer l’
humain
, et par l’acharnement angoissé qu’on y apporte, l’on en vient à une c
20
ravade qui donne à ce livre sa valeur de document
humain
, nuit à sa valeur littéraire. Je n’aime guère ce style abstrait, semé
21
e René Crevel un sens de la douleur et un sérieux
humain
qui forcent la sympathie. ai. « René Crevel : La Mort difficile (S.
22
où le fracas des machines couvre déjà la plainte
humaine
. Il y a ceux qui pleurent le passé et ceux qui prophétisent, ceux qui
23
peut subsister qu’en progressant. Mais la nature
humaine
a des limites. Et le temps approche où elles seront atteintes. On peu
24
ournant de l’essentiel une grande part des forces
humaines
, il travaille contre l’Esprit. Rien n’est gratuit. Nous payons notre
25
l, de nos jours, on tranche les grandes questions
humaines
est une des manifestations les plus frappantes de notre régression. C
26
le d’en comprendre les correspondances divines et
humaines
, insensible même à sa déchéance, abandonné à la lutte tragique et abs
27
conscience de ses besoins et de ses buts propres,
humains
et divins. Mauvais loisirs. Ford lui a donné une auto pour admirer la
28
a perdu le sens religieux, cosmique, de l’effort
humain
. Il ne peut plus situer son effort individuel dans le monde, lui attr
29
tanées du plaisir qui seules faisaient sa dignité
humaine
, parce qu’elles le rattachaient aux buts les plus hauts de notre vie.
30
e) : « Il me semble que je lutte contre l’absurde
humain
, en faisant ce que je fais ici… » L’évasion dans l’action — révolutio
31
s autos. Il préfère s’intéresser aux divers types
humains
. Mais on lui sait peu de grés de sa curiosité. Sans doute est-il trop
32
n, dont la spécialité était l’assassinat du corps
humain
, mais qui raconte dans son autobiographie que son désir constant étai
33
grave — car il vécut dans ces marches de l’esprit
humain
qui confinent peut-être à l’Esprit et dont certains des plus purs d’e
34
âne… Écoutons plutôt Bettina — la vérité est plus
humaine
, est plus divine, quand c’est une telle femme qui la confesse : « Cel
35
d’être complices dans cet attentat à l’intégrité
humaine
qu’est en fait l’esprit démocratique. Là-dessus, ces messieurs se lam
36
rbitraire et le sens de la relativité des décrets
humains
. Le prix de mes souffrances était donc ce conformisme indispensable a
37
des titres pour mépriser toute valeur simplement
humaine
, et une honte secrète qui exaspérait ce mépris et le rendait agressif
38
besoins ; enfin des rythmes naturels de l’esprit
humain
, qu’il se trouve que le Créateur n’a point accordés à l’actuelle divi
39
nc sur une tranquille méconnaissance de la nature
humaine
. L’histoire enregistre bien une ou deux autres bêtises de cette épais
40
lève soit celui qui sait utiliser pour son profit
humain
la petite somme de connaissances indispensables qu’on lui donne à l’é
41
eux le traitement scolaire ; celui dont la valeur
humaine
subsiste intacte au milieu des conditions anormales créées par l’écol
42
nversion méthodique de toutes les lois divines et
humaines
. C’est-à-dire : une méthode d’abâtardissement de la race. D’autre par
43
ies naturelles (je ne fais le procès de la bêtise
humaine
qu’en tant qu’elle est cultivée par l’État), l’École, après avoir ent
44
e soi-disant progrès social correspond à un recul
humain
. Par exemple, est-ce un progrès que d’avoir remplacé les hiérarchies
45
iste, tout ce qui est violemment et intégralement
humain
. L’anarchie est un degré d’intensité dans la vie, non pas un parti. T
46
d’être complices dans cet attentat à l’intégrité
humaine
qu’est en fait l’esprit démocratique. Là-dessus, ces messieurs se lam
47
rbitraire et le sens de la relativité des décrets
humains
. Le prix de mes souffrances était donc ce conformisme indispensable a
48
des titres pour mépriser toute valeur simplement
humaine
, et une honte secrète qui exaspérait ce mépris et le rendait agressif
49
besoins ; enfin des rythmes naturels de l’esprit
humain
, qu’il se trouve que le Créateur n’a point accordés à l’actuelle divi
50
nc sur une tranquille méconnaissance de la nature
humaine
. L’histoire enregistre bien une ou deux autres bêtises de cette épais
51
lève soit celui qui sait utiliser pour son profit
humain
la petite somme de connaissances indispensables qu’on lui donne à l’é
52
eux le traitement scolaire ; celui dont la valeur
humaine
subsiste intacte au milieu des conditions anormales créées par l’écol
53
nversion méthodique de toutes les lois divines et
humaines
. C’est-à-dire : une méthode d’abâtardissement du peuple. D’autre part
54
ies naturelles (je ne fais le procès de la bêtise
humaine
qu’en tant qu’elle est cultivée par l’État), l’École, après avoir ent
55
e soi-disant progrès social correspond à un recul
humain
. Par exemple, est-ce un progrès que d’avoir remplacé les hiérarchies
56
iste, tout ce qui est violemment et intégralement
humain
. L’anarchie est un degré d’intensité dans la vie, non pas un parti. T
57
’une des époques les plus violentes de l’histoire
humaine
; ils assistent à des bouleversements sociaux, moraux et surtout spir
58
« tracé peut-être pour toujours les limites de l’
humaine
liberté ». Simond réclame « un parti pris…, un ordre de valeurs, si a
59
int oublier que l’existence du Christ donne à « l’
humaine
liberté » des limites d’une nature que Léonard ne soupçonna même pas
60
esclaves, hors de quoi je ne sais pas de commerce
humain
qui vaille la peine, qui vaille l’amour. Durant cette méditation, nou
61
st celui qui passe toutes les mesures de l’esprit
humain
, parle aux dieux avec orgueil, et finit par succomber à son « hybris
62
n apparence, je me découvre localisé dans un type
humain
. Immobile, j’étais presque infiniment variable, indéterminé. Et c’est
63
Deux menaces mortelles assiègent notre condition
humaine
: la liberté de l’esprit et les lois de la matière. Pris entre une an
64
énérations cette notion d’un équilibre proprement
humain
. Ainsi passèrent quelques siècles ; ainsi passa le xixe . On le laiss
65
tant et toujours plus de mal à prouver la liberté
humaine
? C’est que l’on s’est trop bien assimilé les tours de la pensée scie
66
t. C’est qu’il y apporte un peu plus d’expérience
humaine
qu’on n’a coutume d’en attendre aujourd’hui d’un jeune écrivain. Son
67
La Voie royale, mérite mieux que notre curiosité
humaine
, ou que notre admiration littéraire11. Le courage presque agressif q
68
nographie en outre violations des lois divines et
humaines
, n’eussent vraisemblablement pas fait encourir à notre auteur pareil
69
élé de bonnes raisons brutales, de bonnes raisons
humaines
, de nous intéresser à l’Asie : les grèves à Bombay, les révolutions e
70
ion radicale des conditions matérielles de la vie
humaine
. Je crois que l’homme ne peut être transformé que spirituellement. Et
71
on. » Triste carence d’un jugement qui se prétend
humain
! Pensez-y M. Nizan : quelle que soit la Tchéka régnante, il y aura t
72
nstituer en dehors de Dieu sur des bases purement
humaines
». Aux yeux du « séculariste », bien entendu, la question religieuse
73
graphique, expose un portrait frappant de réalité
humaine
. Mais l’œuvre maîtresse de l’exposition est sans doute la « Crucifixi
74
car c’est à cette condition seulement que la vie
humaine
gardera sa signification. En somme, on pourrait résumer la pensée de
75
peur du monde-termitière qui sauvera la condition
humaine
menacée par le matérialisme : c’est un idéal positif, immédiat parce
76
aussi, il ne lui est pas inférieur par l’intérêt
humain
, et sa qualité d’émotion n’est pas moins pure. C’est l’histoire de la
77
nstitue un milieu privilégié pour l’étude du cœur
humain
. Si le rôle de l’art est d’affiner nos âmes au contact de réalités pl
78
ut-être, verront-là une condamnation des passions
humaines
, et comme la morale du roman. Mais nous ne croyons pas qu’une œuvre d
79
lle est l’expression concrète d’une loi divine et
humaine
, et c’est ici que l’on peut voir sa profonde ressemblance avec les Af
80
e de nous en libérer. Car au-dessus des fatalités
humaines
, ce qui compte chez les personnages de Baring, c’est la manière d’acc
81
e en général (du fait précisément que les mobiles
humains
sont ici entièrement suffisants et rendent superflue l’action de la g
82
acte suprême, à cette grâce. Aussi notre bonheur
humain
n’est-il en aucune mesure le signe de la vérité. Personne, peut-être,
83
r d’immoralisme tout acte qui entraîne des ruines
humaines
. Mais la vérité, elle, est indifférente à ce que nous appelons bonheu
84
misère est plus que je ne peux supporter. La vie
humaine
me paraît intolérable. — Elle l’est presque, mais pas tout à fait. Il
85
. Ils ont tous étudié presque exclusivement l’âme
humaine
. La montagne qui repousse l’homme, la montagne farouche, effrayante,
86
force et délicatesse, éprouve tous les penchants
humains
, s’y soustrait quand il le faut pour mieux vivre et n’en fait jamais
87
rce à méditer chrétiennement le fait de la misère
humaine
, — cela ne saurait être sans fruits. 24. Ceux qui veulent assimiler
88
t les aurait ainsi fouillées ? Je ne sais ; l’âme
humaine
, je pense, depuis qu’elle existe, n’a pas changé de nature, et, si el
89
ne trouve aucune paix dans une intimité purement
humaine
: Et l’homme seul répond à l’homme épouvanté 27. Il nous manque une
90
Les Éléments de la grandeur
humaine
, par Rudolf Kassner (octobre 1931)a Si l’existence — le degré d’êt
91
exprime un tourment, c’est en tant que la réalité
humaine
, non sa pensée privée, est tourmentée.) Penser n’est pas non plus s’i
92
liage précieux de hauteur, de rigueur et de pitié
humaine
, une retenue presque solennelle mais qui sans cesse frôle l’humour, e
93
nan, un France. a. « Les Éléments de la grandeur
humaine
, par Rudolf Kassner, traduit de l’allemand (Éditions de la NRF) », La
94
normale », ou si l’on préfère, l’amertume du cœur
humain
découvrant son impuissance à susciter dans le monde l’amour dont il a
95
la grâce et son optimisme vis-à-vis de la nature
humaine
, qui, selon cette vue, serait bonne, ou du moins meilleure, si on la
96
pas seule responsable d’un divorce que la nature
humaine
désirait de toute sa lâcheté. Mais l’exemple de Descartes est l’un de
97
du verbe penser. On a noté d’abord qu’une espèce
humaine
est en voie de disparaître, en partie par vice interne, en partie du
98
er sur la Croix, qui est le Signe de la condition
humaine
déchirée entre le Temps et l’Éternité. 1. Kierkegaard : « Conclusio
99
cette confrontation et me persuade de son intérêt
humain
. Et si tout cela reste absurde aux yeux de ceux pour qui seule compte
100
on des voies totalement divergentes, une attitude
humaine
qui me paraît commune. Que Goethe ait pratiqué « le devis des choses
101
extra-terrestre, peut s’intégrer dans l’équilibre
humain
. Incident décisif qui figure en raccourci tout le drame dialectique d
102
fois que Goethe invoque la catégorie sacrée de l’
humain
, comprenons qu’il y va de tout. Mais les anges enfin élèvent Faust au
103
ne des « conditions ». C’est la vision du travail
humain
, inexorable et dégoûtant, mais comment échapper ? L’hallucination est
104
émesurée de Rimbaud qui nous juge, et la grandeur
humaine
de Goethe. Et qui voudrait les opposer ? Que signifierait un choix do
105
st d’autres recours, d’autres points de vision qu’
humains
. La révélation chrétienne déborde notre condition, si elle la comble
106
alectique autoriserait à des jugements de valeurs
humaines
. Mais il faudrait mettre en balance une longue fidélité peut-être org
107
ié du seul instant où tu l’aurais aimé Et les
humains
leur nombre dans la pluie Autour de toi les visages qui fuient —
108
’en outrepassant les limites normales de l’esprit
humain
. La transcendance de Dieu est absolue, par rapport à notre pensée nat
109
Goethe, prônant dans Faust le salut par l’effort
humain
au sein d’une nature harmonieuse — et quand bien même il fait interve
110
ues constitue précisément à nos yeux leur intérêt
humain
? Dans leur simplicité, elles suffiront longtemps encore à provoquer
111
s’il ne considère avant tout la commune condition
humaine
et sa défense contre un système dont l’action dissolvante s’étend à t
112
« actuelle » de la pensée, inséparable d’un ordre
humain
total. b. « Cause commune », Présence, Lausanne et Genève, n° 2, avr
113
e qui revient à faire le vain procès de la bêtise
humaine
. Ou bien sa réaction de dégoût est véritablement profonde, mais alors
114
t à fonder quelque chose de neuf, de concret et d’
humain
. Petits purs, conformistes à rebours, qu’ils aillent grossir les rang
115
l’état social actuel l’empêche atrocement d’être
humain
. Seule cette revendication perpétuelle de l’humain contre l’inhumain
116
umain. Seule cette revendication perpétuelle de l’
humain
contre l’inhumain portera toujours en elle-même une garantie révoluti
117
ui selon lui tend à la suppression de la personne
humaine
. Sa critique nous paraît pertinente, mais elle serait plus efficace s
118
le de rendre une force offensive à cette personne
humaine
. Le choix des sujets abordés dans son livre montre un esprit averti d
119
nsée purement conceptuelle et dépourvue d’intérêt
humain
concret. On lui dira que ce n’est pas si grave, que le monde n’est pl
120
s profond que le sien à l’endroit des résultats «
humains
» de toute philosophie.) Mais ensuite, et à notre tour, nous demander
121
M. Nizan si son appel à une philosophie vraiment
humaine
, dont les pensées concernent chaque homme dans chaque situation de sa
122
’ont posée sur un plan où nul arrêt de la justice
humaine
désormais ne saurait l’esquiver. Personne n’a réfuté ces témoignages,
123
n et la psychologie, pour réfuter par des raisons
humaines
ces démons que seule la prière peut délivrer d’eux-mêmes ; en face d’
124
le divin au « surhumain » (c’est-à-dire au « trop
humain
»), le transcendant au temporel, il y a lieu et ordre d’attester que
125
uvoir nous sauver de l’angoisse en fondant l’être
humain
sur soi-même, sur l’intelligence et la volonté supposées non déchues,
126
seul désespoir réel : celui qui dévaste la nature
humaine
jusqu’à ces profondeurs dernières où l’attend l’espoir éclatant de la
127
ondition, et que, enfermant les conflits purement
humains
dans le jeu de synthèses successives, il achemine l’espèce vers un éq
128
ion du calvinisme dialectique en face de l’action
humaine
. Position, marquons-le tout de suite, intenable in abstracto, intenab
129
de la foi. Qu’est-ce donc, en effet, que l’effort
humain
? Sinon l’exercice nécessaire de l’âme, son actualisation, la raison
130
c’est-à-dire de contempteurs absolus des mérites
humains
, pourraient-ils, s’ils prennent au sérieux leur foi, participer à un
131
t la vie naturelle, mais l’ensemble des relations
humaines
, la foi est ce qui rend la vie impossible (par ses exigences absolues
132
s dividendes ; ils réclament aussi des sacrifices
humains
. Le dieu-nation respire la bonne odeur d’onze millions de morts sacri
133
’est-à-dire à un effort pour durer par des moyens
humains
, comme à l’abri des touches fulgurantes du Saint-Esprit. La politique
134
a recherche d’une harmonie statique des relations
humaines
, d’un visible « principe d’union » (terme de l’encyclique Quadragesim
135
rêts réels d’un être aux prises avec la condition
humaine
? Ni pour le mensonge d’hier, ni pour celui de demain nous ne versero
136
est véritablement l’élément décisif de la réalité
humaine
, toute révolution est vaine qui se fonde sur des faits mortels pour l
137
elles d’Esprit ou de Combat, il réduit l’aventure
humaine
à un déroulement indéfini de changements, justiciables tout au plus d
138
riompher à la fois des bourgeois, et de la vérité
humaine
de nos doctrines antibourgeoises. Mais ils ne donnent pas de pain. Ce
139
sitôt cette fièvre caractéristique des organismes
humains
isolés de la vie végétale. C’est ainsi que Berlin réglemente la circu
140
e, cette déficience est inhérente à toute réalité
humaine
; elle est la marque même de sa validité, la preuve d’humanité pourra
141
otion germanique et la notion latine. Le paradoxe
humain
revêt aux yeux du philosophe moderne une valeur métaphysique alors qu
142
hirant ») et fondé sur cette vision de la réalité
humaine
: la vie est manque et compensation de ce manque ; contradictions et
143
nte le sens du péché — c’est-à-dire de la réalité
humaine
— celui-là résiste rarement à la tentation de cultiver le péché. Car
144
tanées du plaisir qui seules faisaient sa dignité
humaine
, parce qu’elles le rattachaient aux buts les plus hauts de notre vie.
145
n apparence, je me découvre localisé dans un type
humain
. Immobile, j’étais presque infiniment variable, indéterminé. Et c’est
146
grave — car il vécut dans ces marches de l’esprit
humain
qui confinent peut-être à l’Esprit et dont certains des plus purs d’e
147
âne… Écoutons plutôt Bettina — la vérité est plus
humaine
, est plus divine, quand c’est une telle femme qui la confesse : « Cel
148
couvre l’univers dans chaque organe de la machine
humaine
. L’autre enseigne que chacun des anges est un miroir du ciel entier.
149
cause de ce mépris qu’elle a perdu le secret de l’
humain
? Car voici bien le monde qu’on nous a fait. Tout encombré d’idées sa
150
6. Or, pour l’être situé en un tel lieu — le lieu
humain
par excellence —, il devient aussitôt patent que toute réalité spirit
151
denborg des passages sur l’amour des anges et des
humains
, — l’amour, qui est le lieu des correspondances, qui est le degré sup
152
oduction à la vie lente — celle que mène l’esprit
humain
parmi les formes désirables du monde, lorsqu’il veut les connaître et
153
btilité. Double mouvement dont l’axe se nomme : l’
humain
. 10 août 1929 Le retour en troisième classe. Cinquième arrêt !
154
us aimés. Et j’ai compris que la grandeur du cœur
humain
, c’est de donner sans mesure un amour dont notre vie, peut-être, n’a
155
tation, leur nostalgie, c’est de revêtir un corps
humain
. 17. Tel fut bien, d’ailleurs, son dessein, qu’il avoue dans les ent
156
ffrayer le gibier sensible au moindre son de voix
humaine
. (Tout cela c’était pour préparer quelque battue prochaine.) Visiblem
157
exemple. J’y vois, au contraire, des avantages «
humains
» peu contestables : des rapports personnels de maître à serviteur, d
158
ret, dépourvue de sens. Mais au nom de la dignité
humaine
, je demande que les journalistes cessent de déverser sur une classe q
159
esclaves, hors de quoi je ne sais pas de commerce
humain
qui vaille la peine, qui vaille l’amour. Durant cette méditation, nou
160
sitôt cette fièvre caractéristique des organismes
humains
isolés de la vie végétale. C’est ainsi que Berlin réglemente la circu
161
e, cette déficience est inhérente à toute réalité
humaine
; elle est la marque même de sa validité, la preuve d’humanité pourra
162
otion germanique et la notion latine. Le paradoxe
humain
revêt aux yeux du philosophe moderne une valeur métaphysique alors qu
163
hirant ») et fondé sur cette vision de la réalité
humaine
: la vie est manque et compensation de ce manque ; contradictions et
164
nte le sens du péché — c’est-à-dire de la réalité
humaine
— celui-là résiste rarement à la tentation de cultiver le péché. Car
165
n apparence, je me découvre localisé dans un type
humain
. Immobile, j’étais presque infiniment variable, indéterminé. Et c’est
166
ffrayer le gibier sensible au moindre son de voix
humaine
. (Tout cela pour préparer quelque battue prochaine.) Visiblement, ils
167
exemple. J’y vois, au contraire, des avantages «
humains
» peu contestables : des rapports personnels de maître à serviteur, d
168
ret, dépourvue de sens. Mais au nom de la dignité
humaine
, je demande que les journalistes cessent de déverser sur une classe q
169
grave — car il vécut dans ces marches de l’esprit
humain
qui confinent peut-être à l’Esprit et dont certains des plus purs d’e
170
âne… Écoutons plutôt Bettina — la vérité est plus
humaine
, est plus divine quand c’est une telle femme qui la confesse : « Celu
171
couvre l’univers dans chaque organe de la machine
humaine
. L’autre enseigne que chacun des anges est un miroir du ciel entier.
172
cause de ce mépris qu’elle a perdu le secret de l’
humain
? Car voici bien le monde qu’on nous a fait. Tout encombré d’idées sa
173
tation, leur nostalgie, c’est de revêtir un corps
humain
. Or, pour l’être situé en un tel lieu — le lieu humain par excellenc
174
. Or, pour l’être situé en un tel lieu — le lieu
humain
par excellence —, il devient aussitôt patent que toute réalité spirit
175
denborg des passages sur l’amour des anges et des
humains
, — l’amour, qui est le lieu des correspondances, qui est le degré sup
176
oduction à la vie lente — celle que mène l’esprit
humain
parmi les formes désirables du monde, lorsqu’il veut les connaître et
177
btilité. Double mouvement dont l’axe se nomme : l’
humain
. 10 août 1929 Le retour en troisième classe. Cinquième arrêt !
178
us aimés. Et j’ai compris que la grandeur du cœur
humain
, c’est de donner sans mesure un amour dont notre vie, peut-être, n’a
179
charme qu’elle fait régner. Des lois adroites et
humaines
ne suffiront jamais à l’assurer : il y faut ce climat sentimental, ce
180
ut, dans nos cœurs, ce droit d’aimer, cette bonté
humaine
, plus inutile que jamais, dominatrice et bafouée. Demain, la guerr
181
l’Apostat contre les chrétiens, quand tout espoir
humain
semblait perdu, tout horizon bouché, Athanase prononça ces mots : nub
182
triomphe ne vaut pour eux la moindre des réalités
humaines
qu’ils ont tuées. “… car ils ne savent ce qu’ils font.” » Ce texte pa
183
u monde se charge bien de rétablir un équilibre «
humain
», sur les modèles récemment présentés par MM. Hitler et Staline. Je
184
cente, mais déjà démodée, pensa réduire l’orgueil
humain
en plaçant aux racines des arbres les plus nobles, au lieu d’un demi-
185
i fut donné de l’exercer dans d’autres dimensions
humaines
que celles du petit État de ses aïeux, aussi riche en coutumes fort s
186
autour du problème de l’humanisme (Conversion à l’
humain
, de J. Guéhenno, enquête de Foi et Vie sur l’humanisme nouveau, ouv
187
ns son établissement, nous trouvons ce désir trop
humain
de parler des choses de la foi dans le langage du bonheur terrestre.
188
on n’est pas le lieu des décisions et des calculs
humains
; il est à l’intérieur de la religion. Les églises qui se crurent en
189
rte garantie par des institutions de plus en plus
humaines
, de plus en plus semblables — oh ! tout extérieurement ! —à celles qu
190
programme prétendu chrétien, dans toute politique
humaine
organisée — fût-ce à la gloire de Dieu ! — qui poursuivrait son plan
191
je lui répondrai : Ta révolte est la mienne, mon
humaine
révolte. Mais j’en ai une autre plus profonde : celle de voir qualifi
192
possible, entre autres ! Comme si les situations
humaines
comportaient, en général, une solution chrétienne et des solutions hu
193
général, une solution chrétienne et des solutions
humaines
, également prévisibles et classées d’avance ! Comme si la foi était u
194
tiques, vous n’avez pas compris la gravité du cas
humain
. Nous n’avons à guérir personne, mais à montrer que la maladie est sé
195
eriez de la réponse, vous y offrant sans défenses
humaines
. Nous avons aussi, à ce moment, à montrer que les rôles se renversent
196
royance au salut de l’homme par les seules forces
humaines
. Croyance qui s’oppose rigoureusement au christianisme, s’il est avan
197
s dispense de mettre en œuvre toutes leurs forces
humaines
. Ils les accusent de faire appel à une Volonté dont l’opération, à le
198
ation, à leurs yeux, anéantit celle de la volonté
humaine
, ou la rend absolument vaine. En somme, ils les accusent de diminuer
199
quotidienne. L’humaniste va chercher une solution
humaine
qui lui permettra d’assurer ce bien absolu qu’est sa vie. Le chrétien
200
» doit être payé ici-bas du mépris des garanties
humaines
les plus élémentaires, — et toute l’histoire des martyrs en témoigne.
201
x qui prie pour demander à Dieu des « avantages »
humains
. (Comment donc les connaîtrait-il ? Comment pourrait-il les nommer, s
202
ue semble devoir commander une foi véritable en l’
humain
. Le communisme est le véritable humanisme de notre temps. La seule te
203
finitivement asservie. Cet homme sera-t-il encore
humain
? Que fera-t-il, une fois son triomphe assuré par sa victoire sur les
204
pittoresque, c’est-à-dire, dans ce cas, de traits
humains
révélateurs, ce qui est tout de même aller un peu loin, puisque ainsi
205
elle le monde bourgeois prétend fonder la dignité
humaine
. Nous dénoncerons sans cesse l’hypocrisie plus ou moins consciente de
206
patrie on a fait la nation, — et des attachements
humains
, des chaînes sociales. Du travailleur on a fait un salarié, — et de s
207
réalité perpétuellement réparatrice et proprement
humaine
: la personne. 1. But d’ailleurs de plus en plus irréel, car la my
208
ra au contraire la revendication universelle de l’
humain
contre tout ce que l’homme invente pour se mettre à l’abri du risque
209
onsidéré comme une promesse nouvelle de communion
humaine
. On s’en voudrait de condamner en trois formules une démarche qui ent
210
re à leur rêve toutes les possibilités de contact
humain
dont le monde bourgeois nous prive. Mais quoi ? les hommes qu’il faut
211
tion et la consommation. Cette division n’est pas
humaine
. Elle nous asservit. Je veux dire que nous en pâtissons dans une mesu
212
ne peut être prise ailleurs que dans la capacité
humaine
d’utiliser les effets du travail. Mais nous savons le vrai nom du « t
213
l’on veut sauvegarder l’acte créateur, fondement
humain
de la personne, il faut légiférer à partir de cet acte. Il ne peut so
214
ctée de la dégradation immanente à toute solution
humaine
. Cette sagesse dit oui à toutes les contradictions du monde. Elle les
215
e, mais qui tombe perpendiculairement sur le plan
humain
et rien qu’humain où opère la méthode. Accusation qui consiste simple
216
perpendiculairement sur le plan humain et rien qu’
humain
où opère la méthode. Accusation qui consiste simplement à rapporter t
217
te, est paradoxe par définition. Tel est l’aspect
humain
de la dialectique dont il est question chez Barth ; et que cela suffi
218
un Calvin, ce sont alors ces appréciations toutes
humaines
qui trahissent une vanité, et la vraie joie n’est pas avec ceux qui n
219
insister davantage sur ce fait : nos dialectiques
humaines
et la dialectique chrétienne sont séparées par la mort éternelle. Qu’
220
dictatures ? Nous trouvons une certaine attitude
humaine
. Cette attitude, qu’on appelle capitaliste, est, en réalité, pour qui
221
acte personnel, c’est-à-dire ce qu’il y a de plus
humain
dans l’homme, le sommet de ses hiérarchies, le fondement réel de sa l
222
divisibles. Tel est le fondement de toute dignité
humaine
. Ceci posé, nous constatons immédiatement que, lorsqu’on édifie un sy
223
es convaincus que si le principe de toute liberté
humaine
ne se trouve pas à l’origine d’un système, il ne se trouvera pas non
224
alisme. Le spirituel de L’Ordre nouveau veut être
humain
et rien qu’humain. Certes, il transcende l’égoïsme individuel, mais i
225
el de L’Ordre nouveau veut être humain et rien qu’
humain
. Certes, il transcende l’égoïsme individuel, mais il ne s’agit pas ic
226
mais il ne s’agit pas ici de transcender le plan
humain
, la condition humaine. C’est donc faire le plus grand tort au christi
227
s ici de transcender le plan humain, la condition
humaine
. C’est donc faire le plus grand tort au christianisme de certains mem
228
en déca ou au-delà du désespoir, dans les mesures
humaines
ou dans la folie divine ? Il semble bien que Saint-Évremond ait jusqu
229
assement, tout ce qui fonde la dignité proprement
humaine
. Où est le remède ? Les auteurs de Jeune Europe n’hésitent pas à le v
230
Parole de Dieu et parole
humaine
, par Karl Barth (30 décembre 1933)a La théologie chrétienne a-t-el
231
d’intégrer largement les découvertes de l’esprit
humain
, quitte à laisser tomber certains dogmes décidément incompatibles ave
232
. Lavanchy sous le titre Parole de Dieu et Parole
humaine
donneraient une idée sinon de la pensée barthienne dans son plein dév
233
». Distinction radicale entre toutes les paroles
humaines
sur Dieu, et la Parole qui vient de Dieu à l’homme. Universalité du r
234
à d’elle-même. Nous n’avons rien dit des qualités
humaines
de ce livre, de son éloquence martelante (que les traducteurs ont for
235
ce de sérieux, de prise au sérieux des situations
humaines
telles qu’elles sont, qui seule permet un humour souvent rude ; de ce
236
même temps un regard qui dépasse les contingences
humaines
, et qui interroge virilement. Personne n’est plus loin de « l’inquiét
237
vient au Christ, peut seule répondre à l’angoisse
humaine
, tandis que l’optimisme naturiste, plongeant l’humanité dans un deven
238
15 septembre 1933. a. « Parole de Dieu et parole
humaine
, par Karl Barth. Traduit de l’allemand par Pierre Maury et Alexandre
239
ois, passer outre. Dans ce déchaînement d’orgueil
humain
, de scientisme primaire, dans cette frénésie de bonne humeur, il y a
240
que seule cette question-là rétablit la communion
humaine
. n. « Le Deuxième Jour de la Création, par Ilya Ehrenbourg », La No
241
» permanente de la révolution, c’est la personne
humaine
telle que nous l’avons définie. 5° Dans l’« Ordre nouveau », les inst
242
ous suspendons toutes nos constructions à un fait
humain
central, la personne — telle que nous la définirons tout à l’heure —
243
e conflit, étendu à tous les ordres de l’activité
humaine
: politique, économique et culturel. Telle est la base de notre ordre
244
té réelle et créatrice, partant, de toute dignité
humaine
. ⁂ Pour faire sentir tout de suite le concret d’une telle doctrine, v
245
cause de la machine, mais parce qu’aucun contrôle
humain
, aucune doctrine totale et transcendante ne pouvait intervenir au xix
246
e, et assuré, en fonction cette fois d’une mesure
humaine
, le minimum de vie matérielle qui permet à la personne de courir sa c
247
» permanente de la révolution, c’est la personne
humaine
telle que nous l’avons définie. 5° Dans « l’Ordre nouveau », les inst
248
bsolument sobre et désillusionnée de la condition
humaine
) qui est l’état dans lequel la vérité ne peut opérer dans notre exist
249
siste précisément à rejeter toutes les assurances
humaines
contre Dieu, tous les « rites » et toutes les « formules », en même t
250
antes de déformation de l’Évangile au contact des
humains
. Et puis, que ferions-nous en attendant que les théologiens aient men
251
ussi de sa miséricorde. Il n’y a pas de communion
humaine
hors l’unanime attente trébuchante, hors la Promesse accordée à notre
252
yme, tout autant qu’à l’individu atomique. Le vœu
humain
paraît comblé… Mais ce nous est-il autre chose qu’une moyenne entre l
253
t ce groupe ne sont plus des hommes véritablement
humains
, puisque l’un des pôles de leur être n’est plus visible ni concret, é
254
férence. Et c’est l’histoire de toute association
humaine
: on s’unit par la force d’un principe transcendant, — et tant qu’il
255
et c’est en elle seule, qu’ils provoquent un écho
humain
. C’est en elle enfin que s’opère l’acte d’une communion réelle. La pe
256
s compte de l’être personnel, ni d’aucune réalité
humaine
. ⁂ Ces considérations peuvent paraître assez arides, et curieusement
257
gique d’une analyse qui peut paraître strictement
humaine
. On peut parler en termes de philosophie du rapport d’un je à un tu.
258
réfère au rapport primitif qui fonde la personne
humaine
: le rapport de l’homme à son Créateur. Le Droit romain a peut-être r
259
t, aimable, macaronique, pétrarquisant, musicien,
humain
, enfin maître d’un style incomparable de précision et de verve, Cingr
260
gences, qui sont la foi aveugle et les sacrifices
humains
. Ces dieux ont même leur théologie, scientifique, bien entendu, et do
261
té fait. Toute loi qu’on découvre dans la société
humaine
repose sur le principe démissionnaire par excellence du déterminisme,
262
uvant dans leur élan vers une nouvelle communauté
humaine
. Mais ils se sont cruellement trompés de porte en s’adressant aux myt
263
uvé le rapport primitif, le rapport véritablement
humain
, celui qui unit l’homme à son prochain. Or, ce prochain, l’Évangile s
264
l nous est donné de le faire, rétablit le rapport
humain
, fonde notre destin personnel, et fonde aussi la seule société possib
265
’homme, ayant cru remarquer que tous les conflits
humains
naissaient des différences entre les hommes, conçurent cette utopie d
266
ce fait ait contribué à dégrader les différences
humaines
et à faire croire qu’elles étaient accidentelles et méprisables. Les
267
, on eut recours à des mots d’ordre véritablement
humains
, mais que cette action même rendait inefficaces : l’Égalité parut glo
268
e part, il exprime un espoir fondé sur la réalité
humaine
telle qu’elle est, alors que l’utopie individualiste fondait son espo
269
es composent en une force nouvelle. L’homme n’est
humain
que lorsqu’il manifeste sa raison d’être particulière. Mais dès qu’il
270
oit de Berlin ou de Moscou. C’est l’homme le plus
humain
. C’est aussi l’homme le plus utile. La morale de l’Ordre nouveau, ce
271
lons pas un chef, ni des meneurs, mais des hommes
humains
. On ne refait un monde qu’avec des responsables. 7. Sans aucun pouv
272
tés : les vrais sont des ordonnateurs, solidement
humains
. Sa force était réelle, et peu démonstrative. Car la tension d’un esp
273
ourt les domaines les plus variés de la recherche
humaine
. Jamais Dandieu n’y dispersa ses puissances d’évaluation novatrice. O
274
fait entendre un langage qui n’est pas celui des
humains
, c’est à la raison seule qu’il se révèle, et ce n’est plus la peur du
275
ivers antique, ne pouvait se résoudre sur le plan
humain
et rien qu’humain. Elle devait conduire l’humanité à des impasses mor
276
pouvait se résoudre sur le plan humain et rien qu’
humain
. Elle devait conduire l’humanité à des impasses mortelles, celles-là
277
e — mais sans comprendre sa question — un ordre «
humain
» — mais sans connaître l’Homme — peut être caractérisé dans ses effe
278
f à l’infortuné qu’on a « retranché de la société
humaine
, et qui ne peut plus rien faire ici-bas d’utile et de bon pour autrui