1 1924, Articles divers (1924–1930). M. de Montherlant, le sport et les jésuites (9 février 1924)
1 ale parfois, un style de sportif, mais qu’on sent humaniste et poète, un style à la fois bref et chaud, imagé et réaliste, M. de
2 1933, Esprit, articles (1932–1962). Protestants (mars 1933)
2 e la foi réformée contre toutes les « synthèses » humanistes . Corruptio optimi pessima : le conformisme des révoltés est le pire.
3 1933, Le Semeur, articles (1933–1949). Humanisme et christianisme (mars 1933)
3 s, marquons-le bien, il s’agit de salut. Certains humanistes le nieront. Ils me diront que, là où le chrétien parle de salut, eux
4 dant à l’humanité, pour les autres, immanent. Les humanistes accusent les chrétiens d’une sorte de lâcheté. Ils les accusent d’avo
5 r pour malade actuellement ? Aux yeux de certains humanistes , peut-être. Aux yeux du chrétien, non ; le conflit est plus grave, ca
6 , et non pour Dieu. C’est maintenant au tour de l’ humaniste d’endosser le reproche de lâcheté. Le chrétien le considère comme un
7 té de se soumettre à ce qui juge la vie. Chez les humanistes , volonté de vivre par eux-mêmes, de vivre à tout prix, le plus possib
8 entrons dans l’ordre de l’éthique quotidienne. L’ humaniste va chercher une solution humaine qui lui permettra d’assurer ce bien
9 a foi, qu’une vaste entreprise d’assurance-vie. L’ humaniste pourra répondre qu’à ses yeux, le christianisme n’est qu’une assuranc
10 étien à cet instant et dans cet acte ; il agit en humaniste . Il témoigne de sa défiance à l’endroit de la Providence. Ce mot peut
11  bonheur » imprévu, pousse en réalité le cri d’un humaniste , c’est-à-dire d’un homme, pour qui la valeur absolue est la vie, non
12 cela est mauvais, immoral, — porte un jugement d’ humaniste , mange du fruit de l’arbre de la connaissance du bien et du mal. Huma
13 de l’arbre de la connaissance du bien et du mal. Humaniste encore, l’homme pieux qui prie pour demander à Dieu des « avantages »
14 n’est pas prier, c’est exprimer un vœu, un vœu d’ humaniste . Si je vous donne ces exemples, c’est dans l’espoir de provoquer quel
15  » réelle et féconde. Mais en face de ce triomphe humaniste , le chrétien ne pourrait-il pas relever maintenant la vraie défense d
4 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Dialectique des fins dernières (juillet 1933)
16 inira par son opposition globale à la dialectique humaniste qui paraît à nos yeux s’en rapprocher le plus. ⁂ Cet acte dont nous p
5 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Saint-Évremond ou L’humaniste impur, par Albert-Marie Schmidt (octobre 1933)
17 Saint-Évremond ou L’ humaniste impur, par Albert-Marie Schmidt (octobre 1933)m Il est plaisant de
18 e critique exemplaire. m. « Saint-Évremond ou L’ humaniste impur, par Albert-Marie Schmidt (Éditions du Cavalier) », La Nouvelle
6 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Précédence ou primauté de l’économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé)
19 rieux de remarquer que, même sur le plan purement humaniste , cette thèse matérialiste ne se soutient guère. Marx l’eût d’ailleurs
7 1934, Politique de la personne. Idoles — Humanisme et christianisme
20 s, marquons-le bien, il s’agit de salut. Certains humanistes le nieront. Ils me diront que, là où le chrétien parle de salut, eux
21 dant à l’humanité, pour les autres, immanent. Les humanistes accusent les chrétiens d’une sorte de lâcheté. Ils les accusent d’avo
22 r pour malade actuellement ? Aux yeux de certains humanistes , peut-être. Aux yeux du chrétien, non ; le conflit est plus grave, ca
23 , et non pour Dieu. C’est maintenant au tour de l’ humaniste d’endosser le reproche de lâcheté. Le chrétien le considère comme un
24 té de se soumettre à ce qui juge la vie. Chez les humanistes , volonté de vivre par eux-mêmes, de vivre à tout prix, le plus possib
25 entrons dans l’ordre de l’éthique quotidienne. L’ humaniste cherchera une solution humaine qui lui permettra d’assurer ce bien ab
26 a foi, qu’une vaste entreprise d’assurance-vie. L’ humaniste pourra répondre qu’à ses yeux, le christianisme n’est qu’une assuranc
27 étien à cet instant et dans cet acte ; il agit en humaniste . Il témoigne de sa défiance à l’endroit de la Providence. Ce mot peut
28  bonheur » imprévu, pousse en réalité le cri d’un humaniste , c’est-à-dire d’un homme pour qui la valeur absolue est la vie, non l
29 cela est mauvais, immoral, — porte un jugement d’ humaniste , mange du fruit de l’arbre de la connaissance du bien et du mal. Huma
30 de l’arbre de la connaissance du bien et du mal. Humaniste encore, l’homme pieux qui prie pour demander à Dieu des « avantages »
31 n’est pas prier, c’est exprimer un vœu, un vœu d’ humaniste . Si je vous donne ces exemples, c’est dans l’espoir de provoquer quel
32  » réelle et féconde. Mais en face de ce triomphe humaniste , le chrétien ne pourrait-il pas relever maintenant la vraie défense d
8 1934, Politique de la personne. Idoles — Antimarxiste parce que chrétien
33 critique reste valable quand on se limite au plan humaniste , au plan psychologique. Qui est précisément le plan du marxisme. Je l
34 d’une chrétienté qui s’endormait dans l’illusion humaniste , que ce monde-ci n’a rien en lui-même qui puisse permettre d’accéder
9 1934, Politique de la personne. Idoles — Fascisme
35 aire est peut-être la plus décevante. L’idole des humanistes (l’homme divinisé) et son culte orthodoxe, le marxisme, exigent de l’
10 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Précédence ou primauté de l’économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé)
36 rieux de remarquer que, même sur le plan purement humaniste , cette thèse matérialiste ne se soutient guère. Marx l’eût d’ailleurs
11 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Humanisme et christianisme
37 s, marquons-le bien, il s’agit de salut. Certains humanistes le nieront. Ils me diront que, là où le chrétien parle de salut, eux
38 ant à l’humanité, pour les autres, immanent. Les humanistes accusent les chrétiens d’une sorte de lâcheté. Ils les accusent d’avo
39 r pour malade actuellement ? Aux yeux de certains humanistes , peut-être. Aux yeux du chrétien, non ; le conflit est plus grave, ca
40 , et non pour Dieu. C’est maintenant au tour de l’ humaniste d’endosser le reproche de lâcheté. Le chrétien le considère comme un
41 té de se soumettre à ce qui juge la vie. Chez les humanistes , volonté de vivre par eux-mêmes, de vivre à tout prix, le plus possib
42 entrons dans l’ordre de l’éthique quotidienne. L’ humaniste cherchera une solution humaine qui lui permettra d’assurer ce bien ab
43 a foi, qu’une vaste entreprise d’assurance-vie. L’ humaniste pourra répondre qu’à ses yeux, le christianisme n’est qu’une assuranc
44 étien à cet instant et dans cet acte ; il agit en humaniste . Il témoigne de sa défiance à l’endroit de la Providence. Ce mot peut
45  bonheur » imprévu, pousse en réalité le cri d’un humaniste , c’est-à-dire d’un homme, pour qui la valeur absolue est la vie, non
46 cela est mauvais, immoral, — porte un jugement d’ humaniste , mange du fruit de l’arbre de la connaissance du bien et du mal. Huma
47 de l’arbre de la connaissance du bien et du mal. Humaniste encore, l’homme pieux qui prie pour demander à Dieu des « avantages »
48 n’est pas prier, c’est exprimer un vœu, un vœu d’ humaniste . Si je vous donne ces exemples, c’est dans l’espoir de provoquer quel
49  » réelle et féconde. Mais en face de ce triomphe humaniste , le chrétien ne pourrait-il pas relever maintenant la vraie défense d
12 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Antimarxiste parce que chrétien
50 critique reste valable quand on se limite au plan humaniste , au plan psychologique. Qui est précisément le plan du marxisme. Je l
51 d’une chrétienté qui s’endormait dans l’illusion humaniste , que ce monde-ci n’a rien en lui-même qui puisse permettre d’accéder
13 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Fascisme
52 aire est peut-être la plus décevante. L’idole des humanistes (l’homme divinisé) et son culte orthodoxe, le marxisme, exigent de l’
14 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Les trois temps de la Parole (mai 1935)
53 « existentiels », qui ont mis à toutes les sauces humanistes et romantiques la notion, chère à Kierkegaard, de saut. 18. ou ciném
15 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Soirée chez Nicodème (mai 1935)
54 rbe blanche et ses joues roses, son grand front d’ humaniste et ses yeux vifs de Méditerranéen lui composent un visage classique,
55 ement dans une de ses réponses aux objections des humanistes  : “Christ n’a pas cru pouvoir sauver les hommes autrement qu’en moura
16 1935, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Trois traités de Jean Calvin (20 juillet 1935)
56 es Périers qui abandonnent la cause pour un idéal humaniste . Or, tous ceux-là se scandalisent à grand bruit, « non tant pour hain
17 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Recherches philosophiques (septembre 1935)
57 des intellectuels révolutionnaires, qu’ils soient humanistes ou chrétiens, marxistes ou personnalistes. Désormais, la philosophie
18 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
58 sionnés du travail bien fait et les conquêtes des humanistes , ouvre les temps modernes et reste la charte de la clarté française,
19 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
59 ance d’un certain humanisme, d’un certain orgueil humaniste , d’une certaine insolence joyeuse à nier les valeurs transcendantes,
20 1936, Esprit, articles (1932–1962). Henri Petit, Un homme veut rester vivant (novembre 1936)
60 omain Rolland) ; enfin le débat plus profond d’un humaniste avec la foi chrétienne, telle qu’il songe que ses pères l’ont eue. No
21 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Fatalités du rationalisme bourgeois
61 ture et qui conduit à l’étatisme. Dès que l’idéal humaniste qui animait le scepticisme rationnel paraît avoir atteint ses objecti
22 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Sur le déclin du Moyen Âge
62 boutit à la Renaissance, au triomphe passager des humanistes , puis à leur chute mémorable : la Réforme. Considérée du point de vue
63 us illustres, les cardinaux Bembo et Sadolet. « L’ humaniste était un personnage absolument indispensable aux républiques aussi bi
23 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — La mesure soviétique
64 ance d’un certain humanisme, d’un certain orgueil humaniste , d’une certaine insolence joyeuse à nier les valeurs transcendantes,
24 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
65 ncore à l’aise. J’ai peut-être parlé de l’acte en humaniste . Je n’ai peut-être pas toujours marqué aussi clairement qu’il le fall
25 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Fatalités du rationalisme bourgeois
66 ture et qui conduit à l’étatisme. Dès que l’idéal humaniste qui animait le scepticisme rationnel paraît avoir atteint ses objecti
26 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Sur le déclin du Moyen Âge
67 boutit à la Renaissance, au triomphe passager des humanistes , puis à leur chute mémorable : la Réforme. Considérée du point de vue
68 us illustres, les cardinaux Bembo et Sadolet. « L’ humaniste était un personnage absolument indispensable aux républiques aussi bi
27 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — La mesure soviétique
69 ance d’un certain humanisme, d’un certain orgueil humaniste , d’une certaine insolence joyeuse à nier les valeurs transcendantes,
28 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
70 ncore à l’aise. J’ai peut-être parlé de l’acte en humaniste . Je n’ai peut-être pas toujours marqué aussi clairement qu’il le fall
29 1937, Foi et Vie, articles (1928–1977). Luther et la liberté (À propos du Traité du serf arbitre) (avril 1937)
71 le dit aux premières pages) par les procédés de l’ humaniste et du sceptique que se vantait d’être Érasme, Luther en vient, de pro
72 comme autant de sophismes. Non seulement tous les humanistes , — des marxistes aux vieux libéraux, — y applaudissent ouvertement, m
30 1937, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Luther contre Érasme (19 juin 1937)
73 e au débat de Luther et d’Érasme. Le trop prudent humaniste eût-il saisi dans son sérieux dernier la réalité d’un dilemme qui sac
31 1937, Esprit, articles (1932–1962). Martin Lamm, Swedenborg (septembre 1937)
74 la négation absolue du personnalisme, chrétien ou humaniste . Ce serait — je simplifie — le cas des mystiques orientales, dont l’i
32 1937, Articles divers (1936-1938). Luther, Traité du serf arbitre (1937)
75 le dit aux premières pages) par les procédés de l’ humaniste et du sceptique que se vantait d’être Érasme, Luther en vient, de pro
76 comme autant de sophismes. Non seulement tous les humanistes — des marxistes aux vieux libéraux — y applaudissent ouvertement, mai
33 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
77 ion et des devoirs moraux qu’elle implique91. Les humanistes reprennent les arguments d’un Goethe ou d’un Engels en faveur du mari
34 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
78 raint de choisir celui qui résiste le mieux ? Cet humaniste tourmenté mais trop habile, serait-il un obstacle sérieux pour l’entr
35 1939, La Vie protestante, articles (1938–1978). Nicolas de Flue et la tradition réformée (1er septembre 1939)
79 nt autant. Joachim von Watt, ou Vadian, le savant humaniste fondateur de l’Église de Saint-Gall, décrit la vie de Nicolas dans un
36 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
80 e, un bon lettré comme Robert Kirk, théologien et humaniste , ait écrit un traité sur les fées, sans trace de scepticisme ou d’iro
37 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe contre le mariage
81 on et des devoirs moraux qu’elle implique190. Les humanistes reprennent les arguments d’un Goethe ou d’un Engels en faveur du mari
38 1939, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Nicolas de Flue et la Réforme (août 1939)
82 chim von Watt, réformateur de Saint-Gall et grand humaniste ) ; d’Œcolampade (réformateur de Bâle) ; d’Ulrich Campell, pasteur de
39 1939, Articles divers (1938-1940). Le protestantisme créateur de personnes (1939)
83 iste, mais aussi et d’abord contre les déviations humanistes de la personne : transformons nos démocraties individualistes en démo
40 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
84 the : l’angoisse de la sensualité, et l’orgueil «  humaniste  » qui la compense. Angoisse : l’instinct sexuel est ressenti comme un
41 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
85 e, un bon lettré comme Robert Kirk, théologien et humaniste , ait écrit un traité sur les fées, sans trace de scepticisme ou d’iro
42 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe contre le mariage
86 on et des devoirs moraux qu’elle implique207. Les humanistes reprennent les arguments d’un Goethe ou d’un Engels en faveur du mari
43 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
87 he : l’angoisse de la sensualité, et l’orgueil, «  humaniste  » qui la compense. Angoisse : l’instinct sexuel est ressenti comme un
44 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
88 e, un bon lettré comme Robert Kirk, théologien et humaniste , ait écrit un traité sur les fées, sans trace de scepticisme ou d’iro
45 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe contre le mariage
89 on et des devoirs moraux qu’elle implique193. Les humanistes reprennent les arguments d’un Goethe ou d’un Engels en faveur du mari
46 1940, Mission ou démission de la Suisse. Le protestantisme créateur de personnes
90 iste, mais aussi et d’abord contre les déviations humanistes de la personne : transformons nos démocraties individualistes en démo
47 1940, Politique de la personne (1946). À la fois libre et engagé — Le protestantisme créateur de personnes
91 iste, mais aussi et d’abord contre les déviations humanistes de la personne : transformons nos démocraties individualistes en démo
48 1944, Les Personnes du drame. Liberté et fatum — Luther et la liberté de la personne
92 e dit aux premières pages ) par les procédés de l’ humaniste et du sceptique que se vantait d’être Érasme, Luther en vient, de pro
93 comme autant de sophismes. Non seulement tous les humanistes — des marxistes au vieux libéraux — y applaudissent ouvertement, mais
94 acte extrême, non pas une médiation flatteuse et humaniste  —, cela fait voir que nous n’avons aucune liberté possible, que dans
49 1945, Le Semeur, articles (1933–1949). La responsabilité culturelle de l’Église (mars 1945)
95 s ne le feront pas au nom de conceptions purement humanistes ou religieusement neutres comme le progrès, la justice sociale (de ga
50 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Journal (1935-1936)
96 raint de choisir celui qui résiste le mieux ? Cet humaniste tourmenté mais trop habile, serait-il un obstacle sérieux pour l’entr
51 1949, Articles divers (1948-1950). Le Centre européen de la culture aura son siège en Suisse (7 juillet 1949)
97 doctrines démocrates ou marxistes, chrétiennes ou humanistes . Elle avait inventé les armes et les lois, et tous les peuples subiss
52 1949, Articles divers (1948-1950). L’Europe ou le cap du destin (1949)
98 concepts dont se réclament, au xxe siècle, les «  humanistes  » aussi bien que les chrétiens, les Américains comme les Russes, les
53 1950, Articles divers (1948-1950). Raisons et buts d’une conférence (janvier 1950)
99 Europe, nous couper de ses sources chrétiennes et humanistes . Notre ambition, c’est de contribuer à l’union de nos pays, qui sera
54 1952, Articles divers (1951-1956). Les foyers de culture et l’Europe (octobre 1952)
100 classe sociale à l’autre. Finalement, la culture humaniste , née comme une création commune de l’Europe, se fragmente en toutes s
55 1953, Preuves, articles (1951–1968). Deux princes danois : Kierkegaard et Hamlet (février 1953)
101 chargé de titres et d’honneurs, un fin lettré, un humaniste , un homme comblé des biens de ce monde. L’appeler témoin de la vérité
56 1953, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Une prise de conscience européenne (novembre-décembre 1953)
102 ps, M. Toynbee, appuyé par l’autorité d’un savant humaniste , M. Löfstedt. Nous avons vu se dessiner l’extraordinaire aventure col
57 1953, La Confédération helvétique. Le peuple et son histoire
103 aumônier dans les campagnes d’Italie. C’était un humaniste , un esprit plus rationaliste que mystique, et un homme d’État né : au
104 Bâle avec Érasme devint le centre des imprimeurs humanistes  ; Zurich avec Zwingli, le centre de la Réforme suisse ; Genève, avec
58 1954, Preuves, articles (1951–1968). La table ronde de l’Europe (janvier 1954)
105 ps, M. Toynbee, appuyé par l’autorité d’un savant humaniste , M. Löfstedt. Nous avons vu se dessiner l’extraordinaire aventure col
59 1955, Journal de Genève, articles (1926–1982). Pour un désarmement moral (19 juillet 1955)
106 positions trop variées d’Occidentaux chrétiens ou humanistes , pour affronter la « redoutable dialectique » du partenaire : ce n’es
60 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Propositions (décembre 1955)
107 victions les mieux motivées soit religieuses soit humanistes , enfin notre désir et notre volonté de paix : tout nous porterait à p
61 1957, Articles divers (1957-1962). De l’unité de culture à l’union politique (mai 1957)
108 ographique, cependant qu’à l’inverse les premiers humanistes commencent à distinguer les deux concepts de christianitas et d’Europ
109 dans les œuvres d’un homme qui fut d’abord grand humaniste sous le nom d’Æneas Silvius Piccolomini, puis grand pape sous le nom
62 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Troisième partie. Où allons-nous ? — Où l’Aventure et la Voie se rejoignent
110 d’hui : « Ne venez pas nous parler de vos valeurs humanistes ou spirituelles, quand par millions nous mourons de faim. Sauvez nos
63 1958, Définition, valeurs, énergie, recherche : quatre essais européens (1958). Comment définir l’Europe ?
111 qu’on la retrouve déjà dans les œuvres des grands humanistes de la Renaissance et de la fin du Moyen Âge. C’est ainsi qu’Æneas Syl
64 1961, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). La règle d’or, ou principe de l’éducation européenne (1960-1961)
112 sation. Une civilisation trop purement classique, humaniste , libérale, au sens ancien, risque de se voir écrasée physiquement par
65 1961, Articles divers (1957-1962). Culture et technique (juillet 1961)
113 ; d’autre part, ceux qui défendent nos traditions humanistes , ceux qui s’opposent de toutes leurs forces instinctives à la techniq
66 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Deux princes danois. Kierkegaard et Hamlet
114 chargé de titres et d’honneurs, un fin lettré, un humaniste , un homme comblé des biens de ce monde. L’appeler témoin de la vérité
67 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
115 siècles, on s’étonne d’observer que deux ou trois humanistes seulement aient osé suggérer que cette tradition étant celle de la ch
68 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Sur plusieurs siècles de silence « européen »
116 d, chez le guerrier François de la Noue et chez l’ humaniste Vives, chez le génial illuminé Guillaume Postel et chez l’astucieux p
69 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Premiers plans d’union
117 Æneas Silvius Piccolomini, l’un des plus glorieux humanistes de son temps71, fut élevé au pontificat sous le nom de Pie II en 1458
70 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — « Têtes de Turcs »
118 itionnel, cause bien vue par les princes. Ainsi l’ humaniste espagnol Jean-Louis Vives (né à Valence en 1492, mort à Bruges en 154
119 in dans ce contexte Guillaume Postel (1510-1581), humaniste excentrique et polyglotte. (Il écrit en français, en italien, en lati
71 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’historisme au pessimisme
120 rdt (1818-1897) a incarné la tradition d’une cité humaniste , allemande par la langue et suisse par le civisme, mais nourrie d’inf
72 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
121 morale ; nous comprenons qu’une culture purement humaniste et occidentale ne nous convient plus ; nous ne pouvons nous satisfair
122 . Simone Weil essayait de les confondre. Un grand humaniste libéral, Salvador de Madariaga, préfère nous les montrer complémentai
123 e la terre. Jérôme Cardan, au grand scandale d’un humaniste tel que Scaliger, classe Archimède, en raison de ses inventions mécan
124 des continents américain et australien. Mais les humanistes révolutionnaires de la Renaissance et les têtes chaudes de la Réforma
73 1962, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Pour une métropole régionale Aix-Marseille-Étang de Berre [interventions] (juillet 1963)
125 sont pas seulement souhaitables d’un point de vue humaniste , mais qu’ils sont vitaux pour la technique et par suite pour l’indust
74 1962, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Principes et méthodes du dialogue entre les cultures (avril 1962)
126 nelles, ainsi : culte de la technique sans freins humanistes ou coutumiers, doctrine marxiste unique imposée sans discussion, part
75 1962, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). L’Europe est d’abord une culture (30 juin 1962)
127 iquer en série au prix de l’éducation générale ou humaniste . C’est ce que fait l’URSS. Mais ce serait tuer la poule aux œufs d’or
128 spécialisation technique, mais aussi la formation humaniste , le matérialisme, mais aussi les valeurs de liberté et de responsabil
76 1962, Articles divers (1957-1962). Calvin (1962)
129 dans des veilles mémorables, célestes », écrira l’ humaniste Ramus — l’un des rares livres qui aient changé le cours de notre hist
77 1963, Articles divers (1963-1969). Apport à la civilisation occidentale (janvier 1963)
130 uilli et Léonard Euler, héritiers de la tradition humaniste et piétiste de Bâle et rivalisant de génie dans les mathématiques et
78 1963, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Mais qui est donc Denis de Rougemont (7 novembre 1963)
131 . C’est à cette époque qu’il élabore une doctrine humaniste … Humaniste ? Je n’aime guère ce terme. On a tendance à opposer humani
132 ette époque qu’il élabore une doctrine humaniste… Humaniste  ? Je n’aime guère ce terme. On a tendance à opposer humanisme et chri
133 me sens plutôt du côté du christianisme. Au mot «  humaniste  », je préfère le mot « moraliste ». … illustrée par son livre : Poli
79 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 4. La responsabilité culturelle de l’Église
134 s ne le feront pas au nom de conceptions purement humanistes ou religieusement neutres comme le progrès, la justice sociale (de ga
80 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 8. La mission de l’artiste
135 r des chrétiens précisément, et non par de vagues humanistes , méritait une sérieuse mise au point. « Mission de l’Art » pour moi,
81 1965, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Un écrivain suisse (20-21 mars 1965)
136 s sûrs artistes, héritiers d’une longue tradition humaniste où se mêlent intimement germanisme et latinité, esprit de la cité et
82 1965, Articles divers (1963-1969). La technique, facteur de paix (6 mars 1965)
137 , comme on a tendance à le croire dans nos élites humanistes , serait-elle un facteur de déshumanisation, qui ne substituerait aux
83 1965, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Le Suisse moyen et quelques autres (mai 1965)
138 , l’Allemagne Goethe et certains phénomènes moins humanistes , la Russie Tolstoï et Staline, l’Espagne Cervantès, Colomb et l’Améri
84 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
139 , l’Allemagne Goethe et certains phénomènes moins humanistes , la Russie Tolstoï et Staline, l’Espagne Cervantès, Colomb et l’Améri
140 intres de l’école rhénane, et les grands éditeurs humanistes , dont le premier est Frobenius. Zurich, avec les réformateurs Zwingli
141 héritiers imprévus mais fidèles de ses traditions humanistes et piétistes, une pléiade de mathématiciens rivalisant de génie : Léo
142 eux mais sûrs artistes, héritiers d’une tradition humaniste où se mêlent intimement germanisme et latinité, esprit de la cité et
143 ngue ; celles de Bâle, Zurich et Berne, d’origine humaniste et réformée et de langue allemande, mais on y donne de nombreux cours
85 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Appendice. Bref historique de la légende de Tell
144 attribue à Tell le prénom de Wilhelm. En 1515, l’ humaniste Glareanus exhorte ses compatriotes à prendre pour modèles les anciens
86 1967, Articles divers (1963-1969). Le civisme européen : notes pour un « Petit Livre rouge » (été 1967)
145 à son exercice ; e) Idéaux directeurs (religieux, humanistes , sociaux, scientifiques) de l’humanité européenne à travers les âges,
87 1970, Le Cheminement des esprits. Historique — Rapport général présenté à la Conférence européenne de la culture, Lausanne, du 8 au 12 décembre 1949
146 l’Europe, le couper de ses sources chrétiennes et humanistes . Notre ambition est de contribuer à l’union de nos pays, qui sera leu
88 1970, Le Cheminement des esprits. Champs d’activité — Culture et technique en Europe et dans le monde
147 ; d’autre part, ceux qui défendent nos traditions humanistes , s’opposent de toutes leurs forces instinctives à la technique, et qu
89 1970, Le Cheminement des esprits. Champs d’activité — Le Dialogue des cultures
148 les, ainsi : le culte de la technique sans freins humanistes ou coutumiers, la doctrine marxiste imposée sans discussion, le parti
90 1970, Articles divers (1970-1973). La place du livre dans l’information de l’homme moderne (1970)
149 ble du mot, au sens de la Renaissance, le livre d’ humaniste , le livre de philosophe, le livre d’essayiste, de romancier, le livre
91 1970, Lettre ouverte aux Européens. I. L’unité de culture
150 ographique, cependant qu’à l’inverse les premiers humanistes commencent à distinguer les deux concepts de christianitas et d’Europ
151 dans les œuvres d’un homme qui fut d’abord grand humaniste sous le nom d’Æneas Sylvius Piccolomini, puis grand pape sous le nom
92 1971, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). L’absence d’une « culture nationale », facteur du développement intellectuel (26-27 septembre 1971)
152 héritiers imprévus mais fidèles de ses traditions humanistes et piétistes, une pléiade de mathématiciens, physiciens et astronomes
93 1974, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). C.J.B. l’Européen, 1891-1974 (printemps 1974)
153 s imaginatifs, héritiers d’une longue tradition d’ humanistes où se mêlent intimement esprit de la cité et cosmopolitisme, mais aus
94 1975, Deux initiatives du CEC : Documents sur l’origine du CERN et de la Fondation européenne de la culture. I. Préhistoire du CERN
154 me en Europe si clairement désigné par ses dons d’ humaniste , sa carrière d’ingénieur et son rôle politique, pour lancer un projet
95 1977, Articles divers (1974-1977). Denis de Rougemont : le retour d’un hérétique (3 octobre 1977)
155 avec le retour en force d’une certaine tradition humaniste et antitotalitaire, vous vous retrouvez, bon gré mal gré, dans l’air
96 1977, Articles divers (1974-1977). L’Avenir est votre affaire (11 octobre 1977)
156 vivre, selon la merveilleuse expression de notre humaniste , « la lenteur au sein du silence »… Un des aspects fascinants de L’A
97 1977, Articles divers (1974-1977). Au tableau d’honneur de Parents : L’Avenir est notre affaire (octobre 1977)
157 l constate. Sévérité du moraliste, tristesse de l’ humaniste , mais ferveur de l’homme : « Tout est encore possible, dit-il, et mêm
158 itre va paraître le livre retentissant d’un grand humaniste . L’interview exclusive de Parents vous montre pourquoi cette œuvre es
98 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Stratégie
159 et religieuse (parfois chrétienne), d’une gauche humaniste , et d’une droite écœurée par le « réalisme » de ses chefs, vont me di
99 1977, Articles divers (1974-1977). Les débuts de la construction européenne (1977)
160 de Bohême, Georges Podiebrad, au xvie siècle, l’ humaniste œcuménique Guillaume Postel appellent à la « reconstruction générale
100 1978, Articles divers (1978-1981). L’Avenir est notre affaire ou la méditation apocalyptique d’un optimiste (février-mars 1978)
161 en face de vous comme devant l’un de ces esprits humanistes ou encyclopédiques que notre siècle ivre de spécialistes semblait avo