1
e ici à un ton de mage qui ne fera plus longtemps
impression
. C’est grand dommage pour les lettres françaises qui risquent d’y per
2
psychologique. En fermant le livre on a presque l’
impression
qu’il a réussi ce grand roman… Qu’y manque-t-il ? Un style ? L’absenc
3
alité et d’une ironie romantiques, laisse la même
impression
de grandeur désolée qu’un Greco. Mais il n’y a pas les couleurs, ni l
4
ore les hommes politiques, mais on a si souvent l’
impression
qu’ils battent la mesure devant un orchestre qui, sans eux, jouerait
5
ais ce qui est peut-être plus important, on eut l’
impression
, durant les discussions entre de Saussure et Bertrand, que les orateu
6
religieux, il se cherche encore. On a pourtant l’
impression
, à voir ses dernières toiles, d’une plus grande certitude intérieure.
7
poids et nulle lourdeur, tout cela communique une
impression
de puissance domptée et qui semble se faire une volupté de la discipl
8
e dégage de la lecture de Ma vie et mon œuvre une
impression
de netteté, de solidité, de propreté. Si l’on ajoute à cela le plaisi
9
votre séjour ne fera que confirmer cette première
impression
. Vienne : assis sur les banquettes rembourrées de profondes loges, le
10
emblables ? Ainsi le lecteur superficiel aurait l’
impression
que je suis zur Sache, que je parle de mon sujet, — étant admis que m
11
jamais achevée, donne moins que les Poèmes cette
impression
bizarre d’être d’aujourd’hui. C’est qu’elle est de demain plutôt, — t
12
rlé de lui-même. Mais là où d’autres produisent l’
impression
pénible de se montrer, il arrive chez Kierkegaard une chose extraordi
13
lables ? Ainsi le lecteur superficiel aurait-il l’
impression
que je suis zur Sache, que je parle de mon sujet, — étant admis que m
14
je n’en saurais rien, j’ai lieu de supposer que l’
impression
ne serait pas moins forte. Toutes les sources détiennent une puissanc
15
mplement. On le tient encore pour anormal. J’ai l’
impression
qu’on exagère un peu, à cet égard. Mais le reste du monde se charge b
16
lants malentendus, sans cesse renaissants. Il a l’
impression
d’avoir perdu la clef de ce qui lui apparaît, dans ses heures de luci
17
ile d’imaginer un livre plus profond. On a même l’
impression
en le lisant, de lire pour la première fois un livre absolument profo
18
cès d’aucune sorte. À plus d’une reprise, j’eus l’
impression
, qu’on a rarement de nos jours, d’entendre des gens dire la vérité su
19
et presque obsédant, ne suffit pas à expliquer l’
impression
de grandeur brutale et grave à la fois qui demeure dans l’esprit, bie
20
e fait à vrai dire qu’augmenter son angoisse de l’
impression
d’une impuissance. Alors l’objet n’a pas d’autre existence que celle
21
lants malentendus, sans cesse renaissants. Il a l’
impression
d’avoir perdu la clef de ce qui lui apparaît, dans ses heures de luci
22
lants malentendus, sans cesse renaissants. Il a l’
impression
d’avoir perdu la clef de ce qui lui apparaît, dans ses heures de luci
23
les Autres, c’est peut-être qu’il donne parfois l’
impression
d’un livre plus profondément rêvé qu’écrit (fort bien écrit du reste)
24
op poli. Je ne sais trop pourquoi j’ai toujours l’
impression
qu’une certaine politesse bourgeoise stérilise toute réalité chrétien
25
e de Nicodème ne paraissait pas avoir fait grande
impression
sur cette enfant, trop habituée sans doute à la confession paternelle
26
, ici, dans la maison de Nicodème ! Tenez, j’ai l’
impression
, depuis que nous nous sommes mis à discuter, qu’aucun de nous ne sait
27
us étions en train de chercher pour définir notre
impression
: ce palais, ce « sanctuaire », cette « ruche active » où bourdonnera
28
prenais le mot, ne signifie pas « message », ni «
impression
» ou même « forte impression » que l’on est investi d’une « mission »
29
as « message », ni « impression » ou même « forte
impression
» que l’on est investi d’une « mission », mais bien appel de Dieu, ap
30
on culturelle » produit dans les deux cas la même
impression
très pénible de mensonge et de bonne volonté mêlés, d’opportunisme pa
31
point de départ (1936-1937)a Nous partons de l’
impression
qu’il existe, entre certains systèmes qu’on a coutume d’opposer très
32
aujourd’hui, ne donne-t-elle pas exactement cette
impression
? Ne pourrions-nous la caractériser maintenant par un seul mot, qui e
33
on culturelle » produit dans les deux cas la même
impression
très pénible de mensonge et de bonne volonté mêlés, d’opportunisme pa
34
ls trouvent plus commode de donner en surface une
impression
de masse construite. Au lieu d’approfondir un personnage jusqu’au typ
35
perçant toutes choses à jour, et lui-même, d’où l’
impression
qu’il a d’être mal défendu contre les regards qu’il rencontre, transp
36
e sont devenus si complexes et délicats qu’on a l’
impression
que toute intervention d’une nouveauté réelle entraînerait des conséq
37
pas, moi, les engueuler ? Je vous dis ma première
impression
, puisque vous me la demandez. Je sais bien que vous les connaissez be
38
eune Français. » Je retiens de cette journée deux
impressions
(je n’ose pas en dire davantage : tout cela est encore moins clair da
39
un long séjour dans l’île de Ré et en Vendée, ses
impressions
sur la vie des paysans en général et sur leurs aspirations politiques
40
s le silence à peu près absolu. Mais aussi j’ai l’
impression
nette d’utiliser la fin de l’élan intellectuel qui me soutenait à Par
41
dit long sur l’âme de ce peuple discret. C’est l’
impression
que je veux retenir pour le moment des gens d’ici. Elle corrige la ma
42
ère la grille, le long visage de Pédenaud. J’ai l’
impression
que je lui gâte la vie. Trois fois la semaine au moins, il me voit ve
43
mble aussi que c’est concret. Je me dis que cette
impression
et celle de tout à l’heure s’excluent en fait. Mais je n’arrive plus
44
dit long sur l’âme de ce peuple discret. C’est l’
impression
que je veux retenir pour le moment des gens d’ici. Elle corrige la ma
45
ère la grille, le long visage de Pédenaud. J’ai l’
impression
que je lui gâte la vie. Trois fois la semaine au moins, il me voit ve
46
temps ; l’œuvre enfin devient présentable… On a l’
impression
, à lire M. Lamm, qu’il n’eût pas accordé une attention extrême à Swed
47
intellectuels. De tout près, cela peut donner une
impression
d’absurdité troublante. Je lis dans un livre récentc : L’autre jour,
48
s ce silence à peu près absolu. Mais aussi j’ai l’
impression
nette d’utiliser la fin de l’élan intellectuel qui me soutenait à Par
49
dit long sur l’âme de ce peuple discret. C’est l’
impression
que je veux retenir pour le moment des gens d’ici. Elle corrige la ma
50
ère la grille, le long visage de Pédenaud. J’ai l’
impression
que je lui gâte la vie. Trois fois la semaine au moins, il me voit ve
51
pas, moi, les engueuler ! Je vous dis ma première
impression
, puisque vous me la demandez. Je sais bien que vous les connaissez be
52
plus lugubre que l’île avant l’aube. On n’a pas l’
impression
qu’elle dort, mais qu’elle est morte. L’autobus brinquebalant, où nou
53
rais tombé dans le journal intime, la culture des
impressions
ou le pittoresque. Ce séjour, par ailleurs plein d’agrément, ne m’a p
54
vous vous payez ma tête. » Ce qui renforce cette
impression
chez quelques-uns de ceux auxquels j’ai eu affaire, c’est que j’ai l’
55
jeune Français. Je retiens de cette journée deux
impressions
(je n’ose pas en dire davantage : tout cela est encore moins clair da
56
ges « d’avant-garde » donnent dans l’ensemble une
impression
de crampe, de minutie maniaque, de méchanceté d’impuissants qui se to
57
mble aussi que c’est concret. Je me dis que cette
impression
-là et l’inquiétude de tout à l’heure s’excluent en fait. Mais je n’ar
58
oyageurs « autorisés » à se déplacer, tel soir, l’
impression
de n’avoir plus sa liberté. Ce qui change tout, bien entendu, et suff
59
mage des quelques journaux qu’on y lit. Une autre
impression
que j’ai eue cet après-midi sur la place : celle d’être devant un fil
60
s une à une, mais dont l’ensemble me laissait une
impression
assez confuse. Capitalisme et socialisme, bellicisme et passivité, es
61
l’absence d’un élément de commune mesure : d’où l’
impression
d’entrave, de cauchemar. Impossible de savoir qui a gagné, quand une
62
dominants de la psyché occidentale. De là vient l’
impression
d’évidence qu’entraînent de pareils jugements. Cependant, si les conc
63
s une à une, mais dont l’ensemble me laissait une
impression
assez confuse. Capitalisme et socialisme, bellicisme et passivité, es
64
les seuls à savoir toutes les strophes… — Quelle
impression
emportez-vous de l’Allemagne ? me demandaient-ils sur le chemin du re
65
ndis que le jour baissait dans la forêt. — Quelle
impression
? Ah ! si je pouvais garder celle de ce soir, et celle-là seule, la d
66
. C’est un journal où j’ai noté pour moi-même mes
impressions
sur ce que je voyais et sur ce que j’entendais, pendant un séjour de
67
ville d’Allemagne en 1935-1936. Que valaient ces
impressions
? Quand je suis revenu, je n’étais pas sûr qu’elles n’eussent pas déc
68
ière dans ses rapports avec le monde réel. D’où l’
impression
de culpabilité, inacceptable et inavouable (à cause de l’orgueil nati
69
camarade. — Pas trop. Mais pour sûr on y est ! L’
impression
générale, c’est qu’on nous a « mis dedans ». (Je dis on, je ne sais p
70
être persécutée par Dieu comme son ennemie. Cette
impression
provoque une souffrance si pénible, puisque l’âme se croit rejetée pa
71
aturels, et les spirituels » ; enfin, « sur cette
impression
de rejet qui compte parmi les peines les plus dures de l’état de puri
72
e finalement tout un verbiage sur la divinité des
impressions
champêtres du dimanche.) Spinoza définit l’amour : un sentiment de jo
73
: « Le plaisir ne produit pas la moitié autant d’
impression
que la douleur, ensuite, outre ce désagrément dans la quantité d’émot
74
et ses actes sont déterminés beaucoup plus par l’
impression
produite sur les sens que par la pure réflexion. La masse est peu acc
75
dominants de la psyché occidentale. De là vient l’
impression
d’évidence qu’entraînent de pareils jugements. Cependant, si les conc
76
si pareilles à des décors, la nuit, nous avions l’
impression
de circuler sur une scène perpétuelle. Les bons bourgeois n’étaient p
77
re persécutée par Dieu comme son ennemie ». Cette
impression
provoque une souffrance si pénible, puisque l’âme se croit rejetée pa
78
aturels, et les spirituels » ; enfin, « sur cette
impression
de rejet qui compte parmi les peines les plus dures de l’état de puri
79
e finalement tout un verbiage sur la divinité des
impressions
champêtres du dimanche.) Spinoza définit l’amour : un sentiment de jo
80
: « Le plaisir ne produit pas la moitié autant d’
impression
que la douleur, ensuite, outre ce désagrément dans la quantité d’émot
81
et ses actes sont déterminés beaucoup plus par l’
impression
produite sur les sens que par la pure réflexion. La masse est peu acc
82
et d’expériences communes, l’Américain a plutôt l’
impression
qu’il met de l’ordre dans sa vie et qu’il s’ouvre un nouvel avenir. L
83
dominants de la psyché occidentale. De là vient l’
impression
d’évidence qu’entraînent de pareils jugements. Cependant, si les conc
84
re persécutée par Dieu comme son ennemie ». Cette
impression
provoque une souffrance si pénible, puisque l’âme se croit rejetée pa
85
aturels, et les spirituels » ; enfin, « sur cette
impression
de rejet qui compte parmi les peines les plus dures de l’état de puri
86
e finalement tout un verbiage sur la divinité des
impressions
champêtres du dimanche.) Spinoza définit l’amour : un sentiment de jo
87
: « Le plaisir ne produit pas la moitié autant d’
impression
que la douleur, ensuite, outre ce désagrément dans la quantité d’émot
88
et ses actes sont déterminés beaucoup plus par l’
impression
produite sur les sens que par la pure réflexion. La masse est peu acc
89
et d’expériences communes, l’Américain a plutôt l’
impression
qu’il met de l’ordre dans sa vie et qu’il s’ouvre un nouvel avenir. L
90
dominants de la psyché occidentale. De là vient l’
impression
d’évidence qu’entraînent de pareils jugements. Cependant, si les conc
91
plupart vont venir à Paris ou s’y trouvent déjà.
Impression
soudaine, émouvante, d’une société secrète que rassemble l’appréhensi
92
Sont-ils prêts à « partager » autre chose que des
impressions
générales sur le temps et les tristes événements ? Sont-ils vraiment
93
uit sur l’auditeur occasionnel de nos sermons une
impression
fâcheuse de démodé, d’inactuel, d’irréaliste. Il n’y a vraiment aucun
94
a quelques semaines, une parole qui m’a fait de l’
impression
. C’était dans un sermon, et le pasteur disait : « Laissons parler la
95
ses les plus fausses. Ou bien encore, elle aura l’
impression
d’avoir surpris une réunion d’initiés, habitués à un certain langage,
96
ysages » ou des « vues » que l’« Art » dissout en
impressions
, et que la photo durcit et fixe comme nul regard vivant n’a jamais ri
97
Si vous passez du poème au discours, vous avez l’
impression
de changer d’humanité, d’âge historique et de civilisation. Jamais, d
98
soit pessimiste par tempérament — ce n’est pas l’
impression
qu’il donne, pas du tout — mais il est simplement lucide. Il a su voi
99
amais il ne fut plus savant, et jamais il n’eut l’
impression
de comprendre aussi mal ce qui se passe dans son monde. Jamais avec p
100
amais il ne fut plus savant, et jamais il n’eut l’
impression
de comprendre aussi mal ce qui se passe dans son monde. Jamais avec p
101
amais il ne fut plus savant, et jamais il n’eut l’
impression
de comprendre aussi mal ce qui se passe dans son monde. Jamais avec p
102
ile d’imaginer un livre plus profond. On a même l’
impression
, en le lisant, de lire pour la première fois un livre absolument prof
103
’il doit en dire. Je n’ai pu me défendre de cette
impression
à la lecture de Taille de l’homme, petit ouvrage consacré à définir l
104
ette équation fondamentale de l’être. La première
impression
qu’on reçoit de ce portrait serait trop faiblement traduite par le mo
105
des journalistes, et finalement interrogé sur ses
impressions
d’architecte, répondit, m’assure-t-on : « Les maisons sont trop basse
106
à part un arrêt de quelques jours à Paris. Votre
impression
de la capitale française ? J’ai été frappé par son extraordinaire bea
107
lle chez un Européen ? En arrivant là-bas, on a l’
impression
très nette de pénétrer dans une autre civilisation. Une impression be
108
ette de pénétrer dans une autre civilisation. Une
impression
beaucoup plus forte que celle qu’éveillent en nous les livres ou même
109
loufoquerie de la vie américaine. Parfois, on a l’
impression
que les gens sont un peu fous… Ils chantent dans la rue, vous posent
110
e anglo-saxon et le monde russe. On a fortement l’
impression
de l’existence de deux pôles d’attraction : l’Amérique et la Russie.
111
les d’attraction : l’Amérique et la Russie. Cette
impression
est une réalité. Quant à notre continent, il est considéré comme une
112
mplement. On le tient encore pour anormal. J’ai l’
impression
qu’on exagère un peu, à cet égard. Mais le reste du monde se charge d
113
es et ouvrir les frontières. Qui ne partage cette
impression
, avec les masses contemporaines : que les chefs responsables de notre
114
uf, regarder l’Europe. Nous lui avons demandé ses
impressions
sur l’Allemagne d’aujourd’hui. De Suisse, son pays natal, plateforme
115
rs armées, vous attriste visiblement. Vous avez l’
impression
que la civilisation et la culture y perdraient quelque chose de préci
116
en détail. Mais nous avons tenu à recueillir les
impressions
de M. Denis de Rougemont, l’un de nos plus brillants essayistes, dont
117
elque chose d’unique au monde, compensant ainsi l’
impression
qu’elles sont interchangeables à tant d’autres égards.) Le paysage po
118
plupart vont venir à Paris ou s’y trouvent déjà.
Impression
soudaine, émouvante, d’une société secrète que rassemblent l’appréhen
119
camarade. — Pas trop. Mais pour sûr on y est ! L’
impression
générale, c’est qu’on nous a « mis dedans ». (Je dis on, je ne sais p
120
je n’en saurais rien, j’ai lieu de supposer que l’
impression
ne serait pas moins forte. Toutes les sources détiennent une puissanc
121
ysages » ou des « vues » que l’« Art » dissout en
impressions
, et que la photo durcit et fixe comme nul regard vivant n’a jamais ri
122
t publié mon approche, mon arrivée, mes premières
impressions
, le programme de mes conférences, ce que je vais dire dans la prochai
123
une heure par deux fonctionnaires avides de mes «
impressions
» d’Argentine, je suis libéré bon dernier, et je sors du bateau par u
124
elque chose d’unique au monde, compensant ainsi l’
impression
qu’elles sont interchangeables à tant d’autres égards.) Le paysage po
125
mplement. On le tient encore pour anormal. J’ai l’
impression
qu’on exagère un peu, à cet égard. Mais le reste du monde se charge b
126
nt facile à concevoir. Ne partagez-vous pas cette
impression
, avec les masses contemporaines : que les chefs responsables de notre
127
urs armées vous attriste visiblement. Vous avez l’
impression
que la civilisation et la culture y perdraient quelque chose de préci
128
nt facile à concevoir. Ne partagez-vous pas cette
impression
, avec les masses contemporaines : que les chefs responsables de notre
129
urs armées vous attriste visiblement. Vous avez l’
impression
que la civilisation et la culture y perdraient quelque chose de préci
130
rd. Déclics irréguliers de la perforation et de l’
impression
de l’heure et de la minute sur un ticket glissé dans une fente exacte
131
s ce silence à peu près absolu. Mais aussi j’ai l’
impression
nette d’utiliser la fin de l’élan intellectuel qui me soutenait à Par
132
dit long sur l’âme de ce peuple discret. C’est l’
impression
que je veux retenir pour le moment des gens d’ici. Elle corrige la ma
133
ère la grille, le long visage de Pédenaud. J’ai l’
impression
que je lui gâte la vie. Trois fois la semaine au moins, il me voit ve
134
pas, moi, les engueuler ! Je vous dis ma première
impression
, puisque vous me la demandez. Je sais bien que vous les connaissez be
135
plus lugubre que l’île avant l’aube. On n’a pas l’
impression
qu’elle dort, mais qu’elle est morte. L’autobus brinquebalant, où nou
136
rais tombé dans le journal intime, la culture des
impressions
ou le pittoresque. Ce séjour, par ailleurs plein d’agrément, ne m’a p
137
vous vous payez ma tête. » Ce qui renforce cette
impression
chez quelques-uns de ceux auxquels j’ai eu affaire, c’est que j’ai l’
138
jeune Français. Je retiens de cette journée deux
impressions
(je n’ose pas en dire davantage : tout cela est encore moins clair da
139
ges « d’avant-garde » donnent dans l’ensemble une
impression
de crampe, de minutie maniaque, de méchanceté d’impuissants qui se to
140
mble aussi que c’est concret. Je me dis que cette
impression
-là et l’inquiétude de tout à l’heure s’excluent en fait. Mais je n’ar
141
mage des quelques journaux qu’on y lit. Une autre
impression
que j’ai eue cet après-midi sur la place : celle d’être devant un fil
142
ucune autre que de publier après votre retour vos
impressions
. Séduit par l’idée de me voir nommé à titre d’adversaire déclaré du r
143
s une à une, mais dont l’ensemble me laissait une
impression
assez confuse. Capitalisme et socialisme, bellicisme et passivité, es
144
les seuls à savoir toutes les strophes… — Quelle
impression
emportez-vous de l’Allemagne ? me demandaient-ils sur le chemin du re
145
ndis que le jour baissait dans la forêt. — Quelle
impression
? Ah ! si je pouvais garder celle de ce soir, et celle-là seule, la d
146
ition pour chœurs et fanfare étaient prêts pour l’
impression
. J’étais heureux. Je me plaignais seulement de la brièveté des journé
147
plupart vont venir à Paris ou s’y trouvent déjà.
Impression
soudaine, émouvante, d’une société secrète que rassemblent l’appréhen
148
camarade. — Pas trop. Mais pour sûr on y est ! L’
impression
générale, c’est qu’on nous a « mis dedans ». (Je dis on, je ne sais p
149
je n’en saurais rien, j’ai lieu de supposer que l’
impression
ne serait pas moins forte. Toutes les sources détiennent une puissanc
150
ysages » ou des « vues » que l’« Art » dissout en
impressions
, et que la photo durcit et fixe comme nul regard vivant n’a jamais ri
151
r du Gothard ! Notre rêve devient vrai ! Profonde
impression
dans l’armée et dans la population. 1er août 1940 La section «
152
t publié mon approche, mon arrivée, mes premières
impressions
, le programme de mes conférences, ce que je vais dire dans la prochai
153
une heure par deux fonctionnaires avides de mes «
impressions
» d’Argentine, je suis libéré bon dernier, et je sors du bateau par u
154
elque chose d’unique au monde, compensant ainsi l’
impression
qu’elles sont interchangeables à tant d’autres égards.) Le paysage po
155
mplement. On le tient encore pour anormal. J’ai l’
impression
qu’on exagère un peu, à cet égard. Mais le reste du monde se charge b
156
. Et c’est ce qui est grave en ce moment : on a l’
impression
que personne n’est décidé à arrêter la folle machine ou, plutôt, à la
157
dire par son parti communiste. Elle donne ainsi l’
impression
d’être sous une double dépendance. Ce n’est donc pas de ses dirigeant
158
fatal si on ne fait que l’attendre. C’est bien l’
impression
désespérante que nous avons. L’intelligence française est comme paral