1
selle sont signes que l’époque a senti en lui son
incarnation
la plus parfaite. Qu’on ne m’accuse donc pas de caricaturer l’objet d
2
ui montre vivantes dans la même minute toutes les
incarnations
d’un amour dont l’être éternel apparaît peu à peu, à travers la simul
3
chrétien. Comment un astronome peut-il croire à l’
Incarnation
ou aller à la Messe ? On n’aura d’autre ressource que de nous opposer
4
comme son contemporain ; en tant qu’il croit à l’
Incarnation
et qu’il va à la Messe, il se comporte en homme du xiiie siècle — ou
5
et par un acte intérieur contraignant, un acte d’
incarnation
. Il y a là une exigence immédiate et par conséquent plus troublante q
6
comme le voudrait le vocabulaire du xixe , mais d’
incarnation
de la pensée. Ni moralisme, ni socialisme. ⁂ Moralisme. Il y a des
7
ée, et c’est là l’héroïsme de l’esprit. Car toute
incarnation
s’opère au prix d’un héroïsme, l’on veut dire : d’une souffrance et d
8
Occident. » L’Occident, c’est l’Esprit incarné. L’
incarnation
entraîne des « conditions ». C’est la vision du travail humain, inexo
9
estituant vivantes dans la même minute toutes les
incarnations
d’un amour dont l’être éternel peu à peu transparaît au travers de se
10
tés occultes, de leur symbolisme concret, de leur
incarnation
, qu’il est possible de lire les Affinités « sans y rien voir », comme
11
tés occultes, de leur symbolisme concret, de leur
incarnation
, qu’il est possible de lire les Affinités « sans y rien voir », comme
12
ors, si nous voulons parler en vérité d’une telle
incarnation
du oui dans le non, nous ne pouvons que recourir au langage du parado
13
rnière, dont l’existence déborde les limites de l’
incarnation
personnelle. On songe ici tout de suite à la question sociale. On se
14
qu’elle est le lieu, l’origine et la fin de toute
incarnation
, de toute création, de tout risque. La personne est aussi, par conséq
15
imites, ici et maintenant ? C’est là le sens de l’
Incarnation
, en même temps que de la véritable transcendance. C’est là le point d
16
a pas à se défendre, mais bien à témoigner de son
incarnation
; on ferait bien d’aller à ceux pour qui l’esprit n’est pas une espèc
17
riment difficilement. Seul Pillau, le ministre, l’
incarnation
de leur nation, saura leur dire le mot de ce destin. « Nous avons per
18
toire, présence, illustration et non explication,
incarnation
et non concept. Mais la psychologie fait de l’homme son « objet », et
19
, fût-ce au prix de la vie de mon individu. 7.
Incarnation
À la série d’« implications inexplicables » que nous venons de par
20
rme qui la résume tout entière : c’est le terme d’
incarnation
. Si toute présence est l’événement de l’éternel dans le temps, par le
21
me, on peut dire que la personne est l’impensable
incarnation
de l’éternité dans le temps. La personne pure serait ainsi la coïncid
22
la Révélation n’en attestait l’acte historique. L’
incarnation
totale de Dieu dans l’Homme, l’humanité parfaite de Jésus-Christ est
23
orer ; il a compris le fait — sinon l’acte — de l’
incarnation
. Il y a une santé dans le matérialisme, et une humilité où la personn
24
veut, c’est vrai. Mais la vocation est avant tout
incarnation
de l’Esprit. Et l’incarnation est soumise aux nécessités de la « chai
25
tion est avant tout incarnation de l’Esprit. Et l’
incarnation
est soumise aux nécessités de la « chair », qui ne sont pas variées à
26
veut, c’est vrai. Mais la vocation est avant tout
incarnation
de l’Esprit. Et l’incarnation est soumise aux nécessités de la « chai
27
tion est avant tout incarnation de l’Esprit. Et l’
incarnation
est soumise aux nécessités de la « chair », qui ne sont pas variées à
28
sique de la Nouvelle Alliance, qui est celle de l’
Incarnation
, est dominée par la vision ; il semble que tout s’y ramène à l’opposi
29
tiques et les poètes ont, de tout temps, depuis l’
Incarnation
, connu ce grand mystère de la vision. C’est parfois une connaissance
30
de la vision ? Ou la vie éternelle, négation de l’
incarnation
? Nullement, mais accomplissement, et splendeur de ce qui n’est pour
31
de l’idée platonicienne. Mais dans le monde de l’
incarnation
— le monde chrétien —, la forme pure est la parole que chacun de nous
32
ation. Mais nous tenons ici la clef du monde de l’
incarnation
, le secret de l’image physionomique de l’univers. Imaginer, c’est se
33
perdre de vue la réalité spécifique du monde de l’
Incarnation
, où la philosophie de l’organique peut trouver ses mesures humaines e
34
nt que l’origine vivante de notre action, c’est l’
incarnation
de la justice en Jésus-Christ ressuscité. À la question : Où allons-n
35
ndant que la « menace fasciste » trouve enfin son
incarnation
— quel soulagement — dans le brave colonel de la Rocque. 2. — Une
36
s croire au Christ, c’est croire au Paradoxe de l’
incarnation
, c’est croire que Dieu a revêtu la forme de ce monde, c’est croire do
37
stance historique, nous rend contemporains de Son
incarnation
. Ainsi l’acte de foi détruit le temps où il a lieu mais comme la plén
38
K. entend : en vertu de ce paradoxe impensable, l’
Incarnation
historique de Dieu. Pas de réponse rationnelle au « Cur Deux Homo ? »
39
e une fois pour toutes par Dieu lui-même dans son
incarnation
unique, dont l’Écriture témoigne. — C’est, rétorque Bossuet, que vous
40
ont jamais prétendu que leur politique fût une «
incarnation
» de l’esprit ; 2° au cas où ils l’auraient fait, ce que j’ignore car
41
ou en langage théologique, ce blasphème ; 3° si l’
incarnation
de l’Esprit, c’est-à-dire Jésus-Christ, fils de Dieu, a jamais « port
42
lité d’une ère dominée par ce fait historique : l’
Incarnation
de la Parole. Les grands docteurs chrétiens l’ont su ; et Paracelse ;
43
ne un pouvoir créateur, c’est-à-dire un pouvoir d’
incarnation
, vous le lirez toujours sur les traits de sa face. (Encore faut-il av
44
ble et significatif. Nous sommes ici au lieu de l’
incarnation
des images — ou de la création imaginée. Il faut rendre à ce mot d’im
45
⁂ « Car le phénomène de l’art est un phénomène d’
incarnation
(ce que l’école ne comprend pas). » Toute l’esthétique de Ramuz me pa
46
logique, c’est toujours revenir au phénomène de l’
incarnation
, c’est retrouver la langue à cet état naissant dont la chimie nous di
47
és par la cour de Louis XIV). ⁂ La même volonté d’
incarnation
se manifeste dans l’allure de la phrase chez Ramuz. On a pu croire qu
48
faculté d’imaginer et de penser dans l’ordre de l’
incarnation
, devait le conduire à créer un milieu où tout « être » se traduisît i
49
a terre qu’ils travaillent. Tous participent de l’
incarnation
du mythe. ⁂ Voyez Les Signes parmi nous. Dans la simplicité de son su
50
ne se révèle à l’homme comme le Père que par son
incarnation
dans le Fils, reconnue grâce au Saint-Esprit. Laissons l’aspect théol
51
cialisé. ⁂ On connaît le nom de cette mesure, son
incarnation
très visible et ses moyens d’action ou même de contrainte : c’est le
52
utable de la présence d’un grand dessein, c’est l’
incarnation
d’une mesure commune à tous les ordres et qui les harmonise. La quest
53
cialisé. ⁂ On connaît le nom de cette mesure, son
incarnation
très visible et ses moyens d’action ou même de contrainte : c’est le
54
ciateur de la nation allemande à venir. C’était l’
incarnation
de la commune mesure, la fin de l’angoisse, et l’inauguration d’un Tr
55
lemagne c’est Hitler. » — Voilà la mesure, et son
incarnation
visible à tous. « La nation est le contenu et la substance de l’empir
56
pourquoi j’ai borné mon étude à celle de quelques
incarnations
ou symboles de mesures communes. J’ai choisi ces signes à dessein aus
57
utable de la présence d’un grand dessein, c’est l’
incarnation
d’une mesure commune à tous les ordres et qui les harmonise. Il était
58
tuel dans la perspective de l’acte créateur, de l’
incarnation
des idées, de la pensée manifestée, c’est-à-dire, pensée avec les mai
59
l’existence. On préfère l’idée d’un massacre à l’
incarnation
d’une idée ! Il faut en prendre son parti : cet écrit n’apportera rie
60
du réel à l’image d’une vision commune, un acte d’
incarnation
dans nos limites finies. Nous avons grand besoin d’une cure d’assobri
61
dès leur origine et à jamais, sans nul pouvoir d’
incarnation
. Seule, détient le pouvoir de s’incarner, l’idée qui crée un risque d
62
donnatrice. Cinquième vertu : l’originalité
Incarnation
et risque ne sont pas séparables. L’origine même de l’homme est dans
63
esprit » que l’individu se développe, mais par l’
incarnation
de plus en plus complexe du spirituel, c’est-à-dire par l’extension c
64
érale, nous posons ici le principe d’une ascèse d’
incarnation
: volonté d’assumer dans une prise unique tout ce que notre péché sép
65
r pouvoir, leur impatience propre, leur volonté d’
incarnation
? On pourrait prévoir dans le détail une philologie et une étymologie
66
non point d’une ingéniosité. Dialectique de l’
incarnation
Tout ce que j’ai dit contre une certaine pensée, puis en faveur d’
67
aine éthique, vise uniquement à désigner l’acte d’
incarnation
qu’est penser avec les mains. Or cet acte en définitive est un mystèr
68
tuelles menacent de déprimer en nous la volonté d’
incarnation
, c’est-à-dire de transformation du monde. Ce sont le conformisme et l
69
sme et l’évasion s’opposent absolument à l’acte d’
incarnation
d’une pensée ; car celui-ci n’est pas une évasion puisqu’il cherche t
70
econnaître sa présence. Nous appellerons dès lors
incarnation
un acte qui ne sera réductible ni à un conformisme, ni à une évasion,
71
a question du langage revient à celle de l’exacte
incarnation
des idées dans les mots : c’est d’abord une question de véracité. Tou
72
; leur lieu commun, définissable : c’est l’acte d’
incarnation
de la pensée, le geste profond, spécifique et ordonnateur de la puiss
73
, si nous n’arrivions pas à situer, à baptiser, l’
incarnation
de cette mesure spirituelle. L’Arche de l’Alliance, l’Église, le Césa
74
dre nouveau, communautaire, que nous appelons.
Incarnation
de la mesure occidentale : la personne Je ne reprendrai pas ici la
75
qu’elle est le lieu, l’origine et la fin de toute
incarnation
, de toute création, de tout risque. La personne est aussi, par conséq
76
ée, et c’est là l’héroïsme de l’esprit. Car toute
incarnation
s’opère au prix d’un héroïsme, d’une passion solitaire et féconde. Te
77
ginelles de toute existence. Cette dynamique de l’
incarnation
, nous avons essayé d’en surprendre le fait dans l’expression écrite.
78
l’abîme de la Séparation, la pensée a reçu, par l’
incarnation
de l’esprit, une nouvelle puissance de salut. C’est l’acte. Car l’act
79
nateur obéissant, et ses limites sont celles de l’
incarnation
personnelle. C’est là son ordre et sa réalité, et le lieu de sa rédem
80
e trop souvent aujourd’hui que c’est la volonté d’
incarnation
de la vérité qui est « l’âme » de l’Europe. Ce n’est pas la science q
81
sécularisation — ce négatif ou cet incognito de l’
incarnation
? 18. « Le prophète n’a pas de biographie. Il se lève et tombe avec
82
cialisé. ⁂ On connaît le nom de cette mesure, son
incarnation
très visible et ses moyens d’action ou même de contrainte : c’est le
83
ciateur de la nation allemande à venir. C’était l’
incarnation
de la commune mesure, la fin de l’angoisse, et l’inauguration d’un Tr
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emagne, c’est Hitler. » — Voilà la mesure, et son
incarnation
visible à tous. « La nation est le contenu et la substance de l’empir
85
pourquoi j’ai borné mon étude à celle de quelques
incarnations
ou symboles de mesures communes. J’ai choisi ces signes à dessein aus
86
utable de la présence d’un grand dessein, c’est l’
incarnation
d’une mesure commune à tous les ordres et qui les harmonise. Il était
87
tuel dans la perspective de l’acte créateur, de l’
incarnation
des idées, de la pensée manifestée, c’est-à-dire, pensée avec les mai
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l’existence. On préfère l’idée d’un massacre à l’
incarnation
d’une idée ! Il faut en prendre son parti : cet écrit n’apportera rie
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du réel à l’image d’une vision commune, un acte d’
incarnation
dans nos limites finies. Nous avons grand besoin d’une cure d’assobri
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dès leur origine et à jamais, sans nul pouvoir d’
incarnation
. Seule, détient le pouvoir de s’incarner, l’idée qui crée un risque d
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donnatrice. Cinquième vertu : l’originalité
Incarnation
et risque ne sont pas séparables. L’origine même de l’homme est dans
92
esprit » que l’individu se développe, mais par l’
incarnation
de plus en plus complexe du spirituel, c’est-à-dire par l’extension c
93
érale, nous posons ici le principe d’une ascèse d’
incarnation
: volonté d’assumer dans une prise unique tout ce que notre péché sép
94
r pouvoir, leur impatience propre, leur volonté d’
incarnation
? On pourrait prévoir dans le détail une philologie et une étymologie
95
non point d’une ingéniosité. Dialectique de l’
incarnation
Tout ce que j’ai dit contre une certaine pensée, puis en faveur d’
96
aine éthique, vise uniquement à désigner l’acte d’
incarnation
qu’est penser avec les mains. Or cet acte en définitive est un mystèr
97
tuelles menacent de déprimer en nous la volonté d’
incarnation
, c’est-à-dire de transformation du monde. Ce sont le conformisme et l
98
sme et l’évasion s’opposent absolument à l’acte d’
incarnation
d’une pensée ; car celui-ci n’est pas une évasion puisqu’il cherche t
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econnaître sa présence. Nous appellerons dès lors
incarnation
un acte qui ne sera réductible ni à un conformisme, ni à une évasion,
100
a question du langage revient à celle de l’exacte
incarnation
des idées dans les mots : c’est d’abord une question de véracité. Tou
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; leur lieu commun, définissable : c’est l’acte d’
incarnation
de la pensée, le geste profond, spécifique et ordonnateur de la puiss
102
, si nous n’arrivions pas à situer, à baptiser, l’
incarnation
de cette mesure spirituelle. L’Arche de l’Alliance, l’Église, le Césa
103
dre nouveau, communautaire, que nous appelons.
Incarnation
de la mesure occidentale : la personne Je ne reprendrai pas ici la
104
qu’elle est le lieu, l’origine et la fin de toute
incarnation
, de toute création, de tout risque. La personne est aussi, par conséq
105
ée, et c’est là l’héroïsme de l’esprit. Car toute
incarnation
s’opère au prix d’un héroïsme, d’une passion solitaire et féconde. Te
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inelles de toute existence. Cette dynamique de l’
incarnation
, nous avons essayé d’en surprendre le fait dans l’expression écrite.
107
l’abîme de la Séparation, la pensée a reçu, par l’
incarnation
de l’esprit, une nouvelle puissance de salut. C’est l’acte. Car l’act
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nateur obéissant, et ses limites sont celles de l’
incarnation
personnelle. C’est là son ordre et sa réalité, et le lieu de sa rédem
109
e trop souvent aujourd’hui que c’est la volonté d’
incarnation
de la vérité qui est « l’âme » de l’Europe. Ce n’est pas la science q
110
et d’évasif devant sa vocation : le mystère de l’
incarnation
. Chamisso a donné à son Peter tous les traits physiques et moraux de
111
service », mais au service de la vérité. Le mot d’
incarnation
résume cette position. On nageait en pleine confusion. Les anciens se
112
i la Bible n’a pas d’autre sens que de désigner l’
Incarnation
qui est son centre, au-delà d’elle-même. Tolle Christum e scripturis,
113
’est « en vertu de l’absurde », c’est-à-dire de l’
incarnation
de Dieu en Christ. On ne peut pas le comprendre : on le souffre. On l
114
le Piémont. Les cathares rejettent le dogme de l’
incarnation
, se fondent sur une interprétation purement spiritualiste des évangil
115
rique, autour d’un chef qui ne veut être que leur
incarnation
et leur symbole. Des masses qui communient avec elles-mêmes dans un c
116
s qualités ni défauts bien marqués a pu devenir l’
incarnation
du rêve des masses, c’est uniquement parce qu’il a su répondre à l’at
117
gloire du Fils unique venu du Père (I, 14-15). L’
incarnation
de la Parole dans le monde — de la Lumière dans les Ténèbres —, tel e
118
et « naturellement » incroyable. Car le fait de l’
Incarnation
est la négation radicale de toute espèce de religion. Il est le suprê
119
vinité. Mais le christianisme, par son dogme de l’
incarnation
du Christ dans Jésus, renverse cette dialectique de fond en comble. A
120
s par l’amour de son Fils abaissé jusqu’à nous. L’
Incarnation
est le signe historique d’une création renouvelée, où le croyant se t
121
nt s’opposait au christianisme par son refus de l’
Incarnation
, précisément ! Je ne donnerai pour l’instant qu’un seul exemple de ce
122
omme40. Les cathares rejettent donc le dogme de l’
Incarnation
, et par suite, le sacrement de la Cène qui le traduit (et qu’ils remp
123
llement. Mais les « parfaits » ne croyaient pas l’
Incarnation
, et ne pouvaient connaître ce retour de l’âme à une vie rénovée. « Je
124
, la clé de l’opposition est dans le mystère de l’
Incarnation
. Le Roman est baigné par l’atmosphère celtique de l’orgueil chevalere
125
e et de contenu chrétiens, c’est l’événement de l’
Incarnation
. Dès que l’on s’écarte un tant soit peu de ce foyer, l’on encourt le
126
avec leur doctrine de l’union ou leur foi dans l’
Incarnation
. Ruysbroek, Thérèse et Jean de la Croix sont très nettement « christo
127
puscule de l’amour-passion C’est le dogme de l’
Incarnation
qui distingue radicalement la mystique orthodoxe de l’hérétique. C’es
128
de Dieu, contre les dogmes de la Trinité et de l’
Incarnation
… répudiant les définitions théologiques traditionnelles qui ne trouva
129
la seule nouveauté absolue de tous les temps : l’
incarnation
de Dieu dans l’homme fondant une société absolument nouvelle : l’Égli
130
nnemi visible et extérieur, ce n’est jamais que l’
incarnation
d’une possibilité secrète, d’une tentation que chacun souffre dans so
131
loire du Fils unique venu du Père. (I, 14-15.) L’
incarnation
de la Parole dans le monde — de la Lumière dans les Ténèbres —, tel e
132
et « naturellement » incroyable. Car le fait de l’
Incarnation
est la négation radicale de toute espèce de religion. Il est le suprê
133
vinité. Mais le christianisme, par son dogme de l’
incarnation
du Christ dans Jésus, renverse cette dialectique de fond en comble. A
134
s par l’amour de son Fils abaissé jusqu’à nous. L’
Incarnation
est le signe historique d’une création renouvelée, où le croyant se t
135
nt s’opposait au christianisme par son refus de l’
Incarnation
, précisément ! Je ne donnerai pour l’instant qu’un seul exemple de ce
136
-Homme. Les cathares rejettent donc le dogme de l’
Incarnation
, et a fortiori sa traduction romaine dans le sacrement de la messe :
137
la femme devient elle-même une chose sacrée, une
incarnation
de la Mère. L’apothéose religieuse de la femme est commune d’ailleurs
138
ement. Mais les « parfaits » ne croyaient pas à l’
Incarnation
, et ne pouvaient connaître ce retour de l’âme à une vie rénovée. « Je
139
, la clé de l’opposition est dans le mystère de l’
Incarnation
. Le Roman est baigné par l’atmosphère celtique de l’orgueil chevalere
140
e et de contenu chrétiens, c’est l’événement de l’
Incarnation
. Dès que l’on s’écarte un tant soit peu de ce foyer, l’on encourt le
141
avec leur doctrine de l’union ou leur foi dans l’
Incarnation
. Ruysbroek, Thérèse et Jean de la Croix sont très nettement « christo
142
puscule de l’amour-passion C’est le dogme de l’
Incarnation
qui distingue radicalement la mystique orthodoxe de l’hérétique. C’es
143
de Dieu, contre les dogmes de la Trinité et de l’
Incarnation
… répudiant les définitions théologiques traditionnelles qui ne trouva
144
ire du Fils unique venu du Père. » (I, 14-15.) L’
incarnation
de la Parole dans le monde — de la Lumière dans les Ténèbres —, tel e
145
et « naturellement » incroyable. Car le fait de l’
Incarnation
est la négation radicale de toute espèce de religion. Il est le suprê
146
vinité. Mais le christianisme, par son dogme de l’
incarnation
du Christ dans Jésus, renverse cette dialectique de fond en comble. A
147
s par l’amour de son Fils abaissé jusqu’à nous. L’
Incarnation
est le signe historique d’une création renouvelée, où le croyant se t
148
nt s’opposait au christianisme par son refus de l’
Incarnation
, précisément ! Je ne donnerai pour l’instant qu’un seul exemple de ce
149
-Homme. Les cathares rejettent donc le dogme de l’
Incarnation
, et a fortiori sa traduction romaine dans le sacrement de la messe :
150
la femme devient elle-même une chose sacrée, une
incarnation
de la Mère. L’apothéose religieuse de la femme est commune d’ailleurs
151
llement. Mais les « parfaits » ne croyaient pas l’
Incarnation
, et ne pouvaient connaître ce retour de l’âme à une vie rénovée. « Je
152
, la clé de l’opposition est dans le mystère de l’
Incarnation
. Le Roman est baigné par l’atmosphère celtique de l’orgueil chevalere
153
e et de contenu chrétiens, c’est l’événement de l’
Incarnation
. Dès que l’on s’écarte un tant soit peu de ce foyer, l’on encourt le
154
avec leur doctrine de l’union ou leur foi dans l’
Incarnation
. Ruysbroek, Thérèse et Jean de la Croix sont très nettement « christo
155
puscule de l’amour-passion C’est le dogme de l’
Incarnation
qui distingue radicalement la mystique orthodoxe de l’hérétique. C’es
156
de Dieu, contre les dogmes de la Trinité et de l’
Incarnation
… répudiant les définitions théologiques traditionnelles qui ne trouva
157
la seule nouveauté absolue de tous les temps : l’
incarnation
de Dieu dans l’homme fondant une société absolument nouvelle : l’Égli
158
nnemi visible et extérieur, ce n’est jamais que l’
incarnation
d’une possibilité secrète, d’une tentation que chacun souffre dans so
159
la seule nouveauté absolue de tous les temps : l’
incarnation
de Dieu dans l’homme fondant une société absolument nouvelle : l’Égli
160
nnemi visible et extérieur, ce n’est jamais que l’
incarnation
d’une possibilité secrète, d’une tentation que chacun souffre dans so
161
s, il existe aussi un incognito divin, et c’est l’
Incarnation
, c’est-à-dire Dieu caché autant que révélé dans l’homme Jésus. Et que
162
n d’une réalité éternelle dans le temps : ainsi l’
Incarnation
et le miracle. Caricaturé par le diable, l’absurde est au contraire l
163
s, il existe aussi un incognito divin, et c’est l’
Incarnation
, c’est-à-dire Dieu caché autant que révélé dans l’homme Jésus. Et que
164
n d’une réalité éternelle dans le temps : ainsi l’
Incarnation
et le miracle. Caricaturé par le diable, l’absurde est au contraire l
165
s, il existe aussi un incognito divin, et c’est l’
Incarnation
, c’est-à-dire Dieu caché autant que révélé dans l’homme Jésus. Et que
166
is il existe aussi un incognito divin, et c’est l’
Incarnation
, c’est-à-dire Dieu caché autant que révélé dans l’homme Jésus. Quelqu
167
xistence de la personne. ⁂ Il me semble que toute
incarnation
d’une pensée dans une vie ou d’une vocation dans un individu « figure
168
ccident. ». L’Occident, c’est l’esprit incarné. L’
incarnation
entraîne des « conditions ». C’est la vision du travail humain, inexo
169
is croire au Christ c’est croire au paradoxe de l’
incarnation
, c’est croire que Dieu a revêtu la forme de ce monde, c’est croire qu
170
stance historique, nous rend contemporains de son
incarnation
. Ainsi l’acte de foi détruit le temps où il a lieu, mais comme la plé
171
a pas à se défendre, mais bien à témoigner de son
incarnation
; on ferait bien d’aller à ceux pour qui l’esprit n’est pas une espèc
172
K. entend : en vertu de ce paradoxe impensable, l’
Incarnation
historique de Dieu. Pas de réponse rationnelle au « Cur Deus Homo ? »
173
Il n’y a pas de fait accompli : il n’y a pas eu d’
incarnation
. Reste une clairvoyance ironique et lassée, et peut-être un dernier e
174
e morale du Second Faust : comme une éthique de l’
Incarnation
, comme une œuvre exprimant la foi dans l’ordre provisoire du monde dé
175
lité d’une ère dominée par ce fait historique : l’
incarnation
de la Parole. Les clercs s’écrient : Esprit ! Esprit ! Mais je regard
176
ne un pouvoir créateur, c’est-à-dire un pouvoir d’
incarnation
, vous le lirez toujours sur les traits de sa face. (Encore faut-il av
177
significatif. Nous sommes au foyer permanent de l’
incarnation
des images — ou de la création imaginée. Il faut rendre à ce mot son
178
⁂ « Car le phénomène de l’art est un phénomène d’
incarnation
(ce que l’école ne comprend pas) ». Toute l’esthétique de Ramuz me pa
179
ens étymologique, c’est revenir au phénomène de l’
incarnation
, c’est retrouver la langue à son état naissant, dont la chimie nous d
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le goût n’est plus que poncif.) La même volonté d’
incarnation
se manifeste dans l’allure de la phrase chez Ramuz. On a pu croire qu
181
faculté d’imaginer et de penser dans l’ordre de l’
incarnation
, devait le conduire à créer un milieu où tout être se traduisît imméd
182
a terre qu’ils travaillent. Tous participent de l’
incarnation
du mythe. ⁂ Voyez les Signes parmi nous. Dans la simplicité de son su
183
totalitaire — se produit l’événement unique de l’
Incarnation
. Et il apporte à la question des temps la réponse éternelle de l’Égli
184
tés occultes, de leur symbolisme concret, de leur
incarnation
, qu’il est possible de lire les Affinités « sans y rien voir », comme
185
rique, autour d’un chef qui ne veut être que leur
incarnation
et leur symbole. Des masses qui communient avec elles-mêmes dans un c
186
gnance à séparer les valeurs spirituelles et leur
incarnation
dans les réalités humaines. J’essaierai donc de définir l’esprit fédé
187
e chemin qui va du signe à l’être, le chemin de l’
incarnation
. Longues pluies de printemps sur la campagne recueillie, tempêtes sur
188
et d’évasif devant sa vocation : le mystère de l’
incarnation
. Chamisso a donné à son Peter tous les traits physiques et moraux de
189
gnance à séparer les valeurs spirituelles de leur
incarnation
dans les réalités humaines. J’essaierai donc de définir l’esprit fédé
190
donné au monde la notion totalement nouvelle de l’
incarnation
de l’esprit dans un homme particulier, la Judée. Toute l’histoire de
191
élai. 2° Il n’y a pas de culture vivante sans une
incarnation
, une implantation locale. Un foyer local ne peut être appelé foyer de
192
re que s’il réalise à la fois cette possibilité d’
incarnation
de la culture et cette ouverture aux échanges universels. Il n’y a pa
193
te ». Les Pères ne savaient pas que le dogme de l’
incarnation
— c’est-à-dire du vrai Dieu et vrai homme à la fois — fondait toute l
194
, échec fatal dès que l’âme se refuse à la totale
incarnation
, à l’abaissement dans le monde fini, lieu de notre expérience salutai
195
vertige de l’âme en proie au refus manichéen de l’
Incarnation
. La Révolution, ou la passion socialisée Quand le catastrophism
196
isme indifférencié, évacuant le fait central de l’
Incarnation
, et un trithéisme mythologique ou rationalisé ? Pour résoudre en doct
197
spects dialectiques du problème. La doctrine de l’
Incarnation
, précisée à l’extrême par les Pères grecs, et maintenue par des soins
198
le monde manifesté de la Nature. La doctrine de l’
Incarnation
, qui est son fondement toujours actuel, le lui interdirait à elle seu
199
la femme devient elle-même une chose sacrée, une
incarnation
de la mère. L’apothéose religieuse de la femme est commune d’ailleurs
200
e, qui fut pendant tout le temps de notre débat l’
incarnation
incontestée du communisme, n’étaient pas ceux de la fin que Staline a
201
té difficile, qui est l’enjeu de son aventure. b)
Incarnation
et Excarnation. — Si nous passons au plan des réalités vécues, métaph
202
a première opération signifie en termes humains l’
Incarnation
(la naissance), et la seconde l’Excarnation (la mort). » Je voudrais
203
tructures.) Le danger, pour l’Occidental, c’est l’
incarnation
trop complète. (On se perd soi-même dans la matière et ses structures
204
tionner l’allure de l’odyssée. Ôtez le dogme de l’
Incarnation
, formulé au concile de Nicée, et vous ôtez la condition des sciences
205
ifestée par une suite d’événements révélateurs. L’
incarnation
du Christ vint accomplir cette vocation unique du peuple d’Israël. Et
206
istance extraordinaire sur l’unicité absolue de l’
Incarnation
salvatrice, et cet « une fois pour toutes » qui sert de leitmotiv à l
207
s ce monde des religions antiques du message de l’
Incarnation
figure donc le Scandale absolu, la nouveauté totale, proprement impen
208
gions de l’Orient mais affirmée par le dogme de l’
Incarnation
) et la croyance profonde que le cosmos, créé par Dieu, n’est pas absu
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é difficile, qui est l’enjeu de son aventure. b)
Incarnation
et Excarnation. — Si nous passons au plan des réalités vécues, métaph
210
a première opération signifie en termes humains l’
Incarnation
(la naissance), et la seconde l’Ex-carnation (la mort). » Je voudrais
211
tructures.) Le danger, pour l’Occidental, c’est l’
incarnation
trop complète. (On se perd soi-même dans la matière et ses structures
212
t informée dans les catégories de la Dialectique.
Incarnation
, dialectique, ecclesia — Jérusalem, Athènes, Rome — ces trois mots in
213
oire, et l’Orient du Silence, où Dieu parle. Or l’
Incarnation
c’est le Verbe entré par la chair dans l’Histoire. L’avatar hindouist
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temps sombres et catastrophiques : ainsi les dix
incarnations
de Vishnu (dont neuf déjà réalisées) sont motivées par le déluge, la
215
lité de deux castes, etc. Bouddha fut la neuvième
incarnation
; et la dixième, Kalki, sera le destructeur de notre monde radicaleme
216
pal, et dans ce sens, an-historique, tandis que l’
Incarnation
, comme l’affirment avec force saint Paul et l’Épître aux Hébreux, s’e
217
ie de l’Apôtre est d’avoir résumé les effets de l’
Incarnation
en un fulgurant raccourci : la Foi succédant à la Loi. Car cette Loi
218
re. Partant du fait central et initial que pose l’
Incarnation
, la Parole faite chair, retraçons maintenant la Quête occidentale dan
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teur de l’homme à la fois libre et responsable. L’
Incarnation
de Dieu dans l’espace et le temps, dans le corps d’un homme à telle d
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isme indifférencié, évacuant le fait central de l’
Incarnation
, et un trithéisme mythologique ou rationalisé ? Pour résoudre en doct
221
res… C’est ici qu’intervient le christianisme. L’
Incarnation
, je l’ai dit, ne « résulte » de rien. Isaïe l’avait vue, mais les Jui
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ues missionnaires, il y a le fait historique de l’
Incarnation
. L’Incarnation ne pose pas un problème de logique (sauf s’il s’agit d
223
es, il y a le fait historique de l’Incarnation. L’
Incarnation
ne pose pas un problème de logique (sauf s’il s’agit de formuler un d
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, échec fatal dès que l’âme se refuse à la totale
incarnation
, à l’abaissement dans le monde fini, lieu de notre expérience salutai
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vertige de l’âme en proie au refus manichéen de l’
Incarnation
. La Révolution, ou la passion socialisée Quand le catastrophism
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ifestée par une suite d’événements révélateurs. L’
Incarnation
du Christ vint accomplir cette vocation unique du peuple d’Israël. Et
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istance extraordinaire sur l’unicité absolue de l’
Incarnation
salvatrice, et cet « une fois pour toutes » qui sert de leitmotiv à l
228
s ce monde des religions antiques du message de l’
Incarnation
figure donc le Scandale absolu, la nouveauté totale, proprement impen
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aspects proprement dialectiques. La doctrine de l’
Incarnation
, précisée à l’extrême par les Pères grecs, et maintenue par des soins
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le monde manifesté de la Nature. La doctrine de l’
Incarnation
, qui est son fondement toujours actuel, le lui interdirait à elle seu
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y revient avec insistance. 90. Le Dieu-homme, l’
Incarnation
, le concept de personne. Aimer Dieu et le prochain — comme soi-même.
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aient besoin de croire en Dieu et surtout en Son
Incarnation
. Combien de femmes solitaires et trahies ont étendu leur ressentiment
233
’y pense plus jamais. En proclamant le dogme de l’
Incarnation
, les grands conciles ont reconnu que le corps, et la matière qui le c
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eux hindous s’incarnent « chaque fois que » cette
incarnation
est rendue nécessaire par des catastrophes ou des crises. C’est à par
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, le temps, depuis la création du monde jusqu’à l’
Incarnation
, et de là jusqu’au Jugement dernier, prend un sens et un sens unique.
236
ymbole de cette différence est dans le dogme de l’
Incarnation
. En effet, lorsqu’ils ont proclamé le dogme de l’Incarnation, c’est-à
237
. En effet, lorsqu’ils ont proclamé le dogme de l’
Incarnation
, c’est-à-dire Dieu lui-même se manifestant à nous dans un corps d’hom
238
e l’Inde et les conséquences « dramatiques » de l’
incarnation
de la Parole : par leurs images plutôt que leurs concepts ; sans conc
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i est souffrance et vision, tension et sacrifice,
incarnation
de la Parole dans l’histoire. Maintenant, comment passer de cette réa
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damentaux sur Dieu, le Christ, le Saint-Esprit, l’
Incarnation
et la Résurrection, sont communément professés ; qu’un même Credo y e
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modèle de toute personne humaine est donné par l’
incarnation
du Christ, fils de Dieu, en Jésus, fils de Marie — Jésus Christ étant
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iers conciles, ses modèles de pensée en tension :
Incarnation
, personnes divines à la fois distinctes et reliées. D’où la définitio