1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Henry de Montherlant, Chant funèbre pour les morts de Verdun (mars 1925)
1 uis la vie l’exalte de nouveau d’un large vent de joie . a. « Henry de Montherlant : Chant funèbre pour les morts de Verdun
2 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Adieu, beau désordre… (mars 1926)
2 ntir plus fort encore et de la vaincre. — Mais la joie d’une si haute victoire — n’est pas si douce encore, n’est pas si bon
3 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Le Corbusier, Urbanisme (juin 1926)
3 s sous la lumière ». Cristallisation d’un rêve de joie et de raison où de grandes ordonnances élèvent leur chant. Utopie ! O
4 1926, Articles divers (1924–1930). Confession tendancieuse (mai 1926)
4 sourd en moi de trop grand pour ma vie — toute ma joie  ! » Ce n’était plus une douleur rare que j’aimais dans ces brutalité
5 scillations silencieuses dans ma demi-conscience. Joie , dégoût, lueurs éteintes dans une nuit froide. Les notes d’un chant q
6 , qu’ils l’emportent d’un flot fou ! Revenez, mes joies du large !… Tiens, j’écoute le vent ; je pense au monde. Chant des ho
5 1926, Articles divers (1924–1930). Soir de Florence (13 novembre 1926)
7 es lumières. Architectures ! langage des dieux, ô joies pour notre joie mesurées, courbes qu’épousent nos ferveurs, angles pu
8 itectures ! langage des dieux, ô joies pour notre joie mesurées, courbes qu’épousent nos ferveurs, angles purs, repos de l’e
6 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
9 ce moi idéal que j’appelle en chaque minute de ma joie est plus réel que celui qu’une analyse désolée s’imaginait retenir. D
10 aimée ; d’autres soirs, alors qu’une symphonie de joies émanait de toute la vie : chaque chose proposait une ferveur nouvelle
11 ue être un plus prenant sourire. Cependant que ma joie — un état de grâce, un amour — ne pouvait se satisfaire de telle poss
7 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Lettre du survivant (février 1927)
12 endez-vous au thé du Printemps. J’ai rôdé dans la joie féminine des grands magasins, n’osant pas repasser trop souvent devan
13 e phrases incohérentes. Je voyais avec une sombre joie les employés et les voyageurs s’inquiéter. Bientôt on m’entraîna de f
8 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Louis Aragon, le beau prétexte (avril 1927)
14 ir. Le dernier rire d’Aragon, c’est l’éclat de sa joie brusque d’être seul sur un faux sommet vers quoi des faibles s’efforc
15 dans nos actions à la limite de nos forces, notre joie parmi vous fut une très grande joie. Saint-John Perse. Nous appelion
16 forces, notre joie parmi vous fut une très grande joie . Saint-John Perse. Nous appelions une Révolution perpétuelle une per
17 êtent miraculeusement d’aigrettes de folies et de joies  ; n’allez pas nous toucher, nous sommes dangereux. Un orage de tendre
9 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). René Crevel, La Mort difficile (mai 1927)
18 resse cachée ; elle fait bientôt considérer toute joie comme illusoire et livre l’individu pieds et poings liés à l’obsessio
10 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Récit du pickpocket (fragment) (mai 1927)
19 t. » Mes parents me savaient vierge et c’était la joie de leur vie, car ils aimaient en moi par-dessus tout la vertu que je
20 me levai sans payer, je partis par les rues, une joie violente commençait à m’envahir, contre laquelle je luttais obscuréme
21 vengeance. Ne m’avait-on pas dérobé des années de joie au profit d’une vertu que tout en moi reniait obscurément. Je sentais
22 morale dont je fus la victime, ce vol de quelques joies parfaites de ma jeunesse… Mais il est trop tard, Monsieur, pour criti
11 1927, Articles divers (1924–1930). Dés ou la clef des champs (1927)
23 ement. Les couleurs du bar me remplissaient d’une joie inconnue. Et je me refusais sans cesse aux questions qu’en moi-même p
24 ans l’autre, de douleurs en ivresses avec la même joie , mon cheval fou, mon beau Désir s’ébroue et part sitôt que je vais m’
25 t à me regarder bizarrement et j’étais possédé de joies et de peurs. Il fallut se lever, traverser le café dans la musique et
26 épris et de désespoir, ô vie sans faute, vie sans joie … Ah ! plus amère, plus amère encore, saurai-je un jour te désirer, te
12 1928, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le péril Ford (février 1928)
27 ssé se détendre, ou il a cassé les ressorts de sa joie  : l’effort libre et généreux, le sentiment d’avoir inventé ou compris
13 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Marguerite Allotte de la Fuye, Jules Verne, sa vie, son œuvre (juin 1928)
28 les inventions se suffisent et suffisent à notre joie . Ce ne sont pas les savants qui sont prophètes, mais les poètes. Or J
14 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Sherwood Anderson, Mon père et moi et Je suis un homme (janvier 1929)
29 raison, ce monde où l’on ne sait plus créer avec joie des formes belles, ce monde qui devient impuissant. Impossible d’évoq
15 1929, Articles divers (1924–1930). La tour de Hölderlin (15 juillet 1929)
30 vre… L’agrément de ce monde, je l’ai vécu. Les joies de la jeunesse, voilà si longtemps, si longtemps qu’elles ont fui.
16 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 7. L’Instruction publique contre le progrès
31 n restera toujours assez pour allumer des feux de joie , etc. Bon. Supposons tout cela fait. Respirons. Mais déjà vous m’atte
17 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 7. L’instruction publique contre le progrès
32 n restera toujours assez pour allumer des feux de joie , etc. Bon. Supposons tout cela fait. Respirons. Mais déjà vous m’atte
18 1930, Articles divers (1924–1930). Le prisonnier de la nuit (avril 1930)
33 ne infiniment nue dans la douceur du feu et de la joie . V Oh qui a retiré tes mains des miennes quand je te regardais tro
19 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
34 rs dans les champs de maïs, épiant la venue d’une joie inconnue. Joie d’être n’importe où… évadé ? Mais soudain, c’est au si
35 mps de maïs, épiant la venue d’une joie inconnue. Joie d’être n’importe où… évadé ? Mais soudain, c’est au silence que je me
20 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Une exposition d’artistes protestants modernes (avril 1931)
36 s uns des autres. Au contraire, une vitalité, une joie dans l’invention, une hardiesse partout manifeste. Voici Dufy, le plu
21 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Au sujet d’un grand roman : La Princesse Blanche par Maurice Baring (mai 1931)
37 l’âme n’est plus très éloigné peut-être de cette joie qui, elle aussi, est « par-delà », — cette joie « qui surpasse toute
38 e joie qui, elle aussi, est « par-delà », — cette joie « qui surpasse toute connaissance ». 16. La Princesse Blanche, Sto
22 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Littérature alpestre (juillet 1931)
39 e assez austère, mais stimulant, et qui mène à la joie … C’est un thème très « protestant ». Nietzsche l’a développé avec une
23 1931, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Sarah, par Jean Cassou (novembre 1931)
40 n assiste à un réveil, explosion de révolte ou de joie , tellement incompatible avec les « conditions » de la vie que mort s’
24 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Romanciers protestants (janvier 1932)
41 lisme. La grande poésie naît du tragique et de la joie surabondante : verrons-nous quelque jour en France surgir une poésie
25 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Signes parmi nous, par C. F. Ramuz (janvier 1932)
42 u’établissent la mort, la peur, la maladie. Et la joie , ce point commun, « ce point qui est au-delà de la vie ». Le communis
26 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
43 e psychique ». Et lui-même gémit, avec une sombre joie  : « Sort misérable, qui ne me permet rien que d’extrême ». Jacob Boeh
44 sse de la catastrophe et la secrète, l’inavouable joie de la libération. Impossible d’isoler ces deux composantes dans l’ave
27 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Penser dangereusement (juin 1932)
45 chaque instant, une humiliation rénovatrice, une joie au sein de la douleur, la force de supporter des souffrances physique
46 pporter des souffrances physiques, la force et la joie d’envisager la mort comme une transfiguration tragique, la force et l
47 omme une transfiguration tragique, la force et la joie d’envisager la vie comme un combat perpétuel dont l’enjeu est à chaqu
28 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Ce chien, ton serviteur, par Rudyard Kipling (juillet 1932)
48 Dès la seconde page, c’est à pousser des cris de joie . Les enfants comprendront-ils ? Dans la mesure seulement où le plan d
29 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
49 îtra l’aube dure. Alors nous entrerons dans cette joie sauvage du Grand Jour, où nous irons avec ce qu’il restera de bonté d
30 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Une « tasse de thé » au Palais C…
50 comtesse Adélaïde, — je la connais à cet écho de joie dans mes pensées. Mais quelle approche me saisit ? Parfois, au cœur d
51 l’amour soit bien-aimé… Oh ! qu’il y ait eu cette joie par un regard de jeune fille ! Tout peut encore être sauvé… Un accord
52 aine qualité de déception, qu’il nous propose. La joie du jour, hélas, la plus forte… (Vienne, 1928)
31 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
53 rs dans les champs de maïs, épiant la venue d’une joie inconnue. Joie d’être n’importe où… évadé ? Mais soudain, c’est au
54 mps de maïs, épiant la venue d’une joie inconnue. Joie d’être n’importe où… évadé ? Mais soudain, c’est au silence que je
32 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
55 re… L’agrément de ce monde, je l’ai vécu. Les joies de la jeunesse, voilà si longtemps, si longtemps qu’elles ont fui. Av
33 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
56 a vie entre la vente des articles de sport et les joies de l’esprit. Quand le négoce installé au rez-de-chaussée de sa demeur
57 inon que je dois retenir violemment une espèce de joie qui attrape la fièvre dans mon corps. Toute cette journée baignée de
58 arées qui baignent nos membres. J’ai connu peu de joies plus hautes que celle-ci : se promener dans les campagnes amies en co
34 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Introduction. Le sentiment de l’Europe centrale
59 îtra l’aube dure. Alors nous entrerons dans cette joie sauvage du Grand Jour, où nous irons avec ce qu’il restera de bonté d
35 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais C…
60 comtesse Adélaïde, — je la connais à cet écho de joie dans mes pensées. Mais quelle approche me saisit ? Parfois, au cœur d
61 l’amour soit bien-aimé… Oh ! qu’il y ait eu cette joie par un regard de jeune fille ! Tout peut encore être sauvé… Un accord
62 aine qualité de déception, qu’il nous propose. La joie du jour, hélas, la plus forte… Vienne, 1928. 5. C’est ainsi qu’étai
36 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
63 rs dans les champs de maïs, épiant la venue d’une joie inconnue. Joie d’être n’importe où… évadé ? Mais soudain, c’est au si
64 mps de maïs, épiant la venue d’une joie inconnue. Joie d’être n’importe où… évadé ? Mais soudain, c’est au silence que je me
37 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
65 èvre… L’agrément de ce monde, je l’ai vécu. Les joies de la jeunesse, voilà si longtemps, si longtemps qu’elles ont fui. Av
38 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
66 a vie entre la vente des articles de sport et les joies de l’esprit. Quand le négoce installé au rez-de-chaussée de sa demeur
67 inon que je dois retenir violemment une espèce de joie qui attrape la fièvre dans mon corps. Toute cette journée baignée de
68 arées qui baignent nos membres. J’ai connu peu de joies plus hautes que celle-ci : se promener dans les campagnes amies en co
39 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VII
69 tout est sens, écho, dialogue à l’infini. Ici la joie trouve un espace où se déployer sans se perdre, la méditation des cie
40 1933, Le Semeur, articles (1933–1949). Humanisme et christianisme (mars 1933)
70 et bête. Dans ce conflit perpétuel, il trouve sa joie et sa souffrance — peu importe le nom qu’il leur donne ; — il y trouv
41 1933, Esprit, articles (1932–1962). Loisir ou temps vide ? (juillet 1933)
71 il trouve dans l’acte sa mesure, son rythme et sa joie . Une totalité. Et s’il divise alors le temps de ses journées, c’est p
72 e désespérée de Staline pour introduire un peu de joie dans une activité qui est la négation même de la création ; activité
42 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Poésie dialectique (juillet 1933)
73 en lui l’espoir infini au sein du désespoir et la joie de la Promesse invisible, — cette vision donnée à l’homme, est la plu
43 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Dialectique des fins dernières (juillet 1933)
74 s humaines qui trahissent une vanité, et la vraie joie n’est pas avec ceux qui nous parlent de la « tristesse » du message b
44 1934, Présence, articles (1932–1946). L’œuvre et la mort d’Arnaud Dandieu (1934)
75 nt d’un salon littéraire. Il est tout animé de la joie de construire et d’abattre. Grande allure intellectuelle. — Comment c
45 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Précisions sur la mort du Grand Pan (avril 1934)
76 chercher dans l’invective prophétique ou dans la joie de la doctrine du salut. Songez à ces pasteurs qui, chaque printemps,
46 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
77 icace fameuse : « Au solitaire que j’appelle avec joie et reconnaissance : mon lecteur. » Kierkegaard savait bien que lorsqu
47 1934, Esprit, articles (1932–1962). Définition de la personne (décembre 1934)
78 oir. Et son angoisse est de n’en pas trouver ; sa joie , de provoquer le corps-à-corps avec l’objet. Par où l’on voit que le
79 bjet, — la fatalité disparaît, l’angoisse devient joie de combattre. C’est le moment de la présence de l’homme au monde et à
80 e. 3. La présence de l’homme est un acte La joie de l’homme, ou sa douleur, tels sont les signes de son existence conc
81 ni une angoisse, ni toujours une plénitude de la joie , ni jamais rien qui fût à moi tel que j’étais, ni rien que j’aie, mai
48 1934, Politique de la personne. Idoles — Humanisme et christianisme
82 et bête. Dans ce conflit perpétuel, il trouve sa joie et sa souffrance — peu importe le nom qu’il leur donne ; — il y trouv
49 1934, Politique de la personne. Appendice — Loisir ou temps vide ?
83 il trouve dans l’acte sa mesure, son rythme et sa joie . Une totalité. Et s’il divise alors le temps de ses journées, c’est p
84 e désespérée de Staline pour introduire un peu de joie dans une activité qui est la négation même de la création ; activité
50 1934, Articles divers (1932-1935). Carl Koch, Søren Kierkegaard (1934)
85 eune Homme perdu d’inquiétude, qui ne découvre sa joie que dans le risque extrême de la foi, c’est le chrétien tel que le ve
51 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Humanisme et christianisme
86 et bête. Dans ce conflit perpétuel, il trouve sa joie et sa souffrance — peu importe le nom qu’il leur donne ; et il y trou
52 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Loisir ou temps vide ?
87 il trouve dans l’acte sa mesure, son rythme et sa joie . Une totalité. Et s’il divise alors le temps de ses journées, c’est p
88 e désespérée de Staline pour introduire un peu de joie dans une activité qui est la négation même de la création ; activité
53 1935, Esprit, articles (1932–1962). Roger Breuil, Les Uns les Autres (avril 1935)
89 écise et heureuse, comment ne pas distinguer avec joie la plupart des thèmes humains auxquels Esprit voudrait voir s’attache
54 1935, Présence, articles (1932–1946). Contre Nietzsche (avril-mai 1935)
90 hain ni son amour, ni sa haine, ni sa peur, ni sa joie , ni ses derniers défis. C’est ainsi qu’il exprime dans un style vraim
55 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Soirée chez Nicodème (mai 1935)
91 résentement, à la fois dans l’angoisse et dans la joie  : la seule expérience nécessaire. Oui, cette expérience-là nous reste
56 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Recherches philosophiques (septembre 1935)
92 r l’histoire, de M. Souriau sur la mystique de la joie , les esquisses phénoménologiques du Dr Minkowski, les approximations
57 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Conversation avec un SA (décembre 1935)
93 ais « Sich austoben ? » Moi. — S’en donner à cœur joie  ! Ou à mort, plutôt… Je veux bien, pourvu que ce ne soit pas en Franc
58 1936, Articles divers (1936-1938). Forme et transformation, ou l’acte selon Kierkegaard (janvier 1936)
94 de celui qui écoute, dans le tourment et dans la joie d’une découverte quotidienne du chemin, — ton chemin, sur lequel tu e
95 fruit de la reconnaissance… Tout commence par la joie d’être aimé — et ensuite vient l’effort de plaire, constamment exalté
96 te est révolte, et qu’il faut pour se l’avouer la joie qui naît de l’acte de la foi. Lorsque Kierkegaard écrivit son traité
97  s’imagine que l’acte viendra comme un sursaut de joie , comme une révolte, comme une affirmation désespérée de son orgueil,
59 1936, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le Problème du bien (12 septembre 1936)
98 Monod, « l’athéisme n’explique pas la Beauté, la Joie , l’Amour, la Sainteté. Il se brise contre le problème du Bien. D’autr
60 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
99 s la Russie nouvelle, c’est une santé énorme, une joie au travail dont rien ici ne peut donner l’idée ; mais c’est aussi et
100 après cela, commencera la conquête d’un avenir de joie et de force. On a touché le fond de la misère, on l’a vécue, on a cel
61 1936, Esprit, articles (1932–1962). Note sur nos notes (novembre 1936)
101 t de refaire une amitié humaine d’où jaillisse la joie créatrice. Il faut bien constater d’abord qu’elle n’est plus là. Nous
62 1936, Esprit, articles (1932–1962). André Gide, Retour de l’URSS (décembre 1936)
102 isterons jamais assez. Mais il faut dire aussi la joie que nous éprouvons à voir Gide, en dépit de tout, et avec tant de cou
63 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). L’Art poétique ou Qu’il faut penser avec les mains (décembre 1936)
103 ute l’œuvre de Claudel se soulève à l’appel de la Joie . Le monde qu’interprète l’Art poétique ne connaît pas Descartes le di
64 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Le problème de la culture
104 treprends d’écrire ce livre, ce n’est pas pour la joie mauvaise d’inventorier les vices d’une culture : tant d’autres ont su
105 es, mais qui donne des ordres, et la force, et la joie de les accomplir. Les critiques perspicaces et pessimistes de notre é
65 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — La mesure soviétique
106 s la Russie nouvelle, c’est une santé énorme, une joie au travail dont rien ici ne peut donner l’idée ; mais c’est aussi, et
66 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — commune mesure et acte de foi
107 ’esprit va d’un autre côté, bientôt sans force ni joie créatrice, divaguant dans les rêves ou les mythes d’une pureté détach
67 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
108 après cela, commencera la conquête d’un avenir de joie et de force. On a touché le fond de la misère, on l’a vécue, on a cel
68 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
109 pas hors de toi-même, dans le scandale ou dans la joie de ta vocation créatrice. Trop de penseurs inoffensifs secrètent des
110 tristesse des moyennes qui n’est jamais mêlée de joie secrète, ni jamais secouée de sursauts de douleur, puisqu’elle prend
69 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
111 ie chez lui jaillit au point précis où soudain la joie cesse de soutenir son grand lyrisme ; Rimbaud enfin, celui de la Sais
112 n’arrête pas le cours du temps, cet Instant d’une joie absolue et pour certains presque mortelle. Notre vie s’anéantirait da
70 1936, Articles divers (1936-1938). L’Acte comme point de départ (1936-1937)
113 de l’activité elle-même. D’un côté, il y aura une joie créatrice, une conscience de libération qui est la jouissance spécifi
71 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Le problème de la culture
114 es, mais qui donne des ordres, et la force, et la joie de les accomplir. Les critiques perspicaces et pessimistes de notre é
72 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — La mesure soviétique
115 la Russie nouvelle, c’est une santé énorme, une «  joie au travail » dont rien ici ne peut donner l’idée ; mais c’est aussi,
73 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — commune mesure et acte de foi
116 ’esprit va d’un autre côté, bientôt sans force ni joie créatrice, divaguant dans les rêves ou les mythes d’une pureté détach
74 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
117 après cela, commencera la conquête d’un avenir de joie et de force. On a touché le fond de la misère, on l’a vécue, on a cel
75 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
118 pas hors de toi-même, dans le scandale ou dans la joie de ta vocation créatrice. Trop de penseurs inoffensifs secrètent des
119 tristesse des moyennes qui n’est jamais mêlée de joie secrète, ni jamais secouée de sursauts de douleur, puisqu’elle prend
76 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
120 ie chez lui jaillit au point précis où soudain la joie cesse de soutenir son grand lyrisme ; Rimbaud enfin, celui de la Sais
121 n’arrête pas le cours du temps, cet Instant d’une joie absolue et pour certains presque mortelle. Notre vie s’anéantirait da
77 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
122 ne tache blanche dans un pré, qui est le château. Joie de voir un pays dans son ensemble, dans son unité naturelle et ancien
78 1937, Articles divers (1936-1938). Chamisso et le Mythe de l’Ombre perdue (mai-juin 1937)
123 près qu’une semaine eut passé, il vit à sa grande joie qu’une nouvelle ombre partant de ses pieds commençait à croître lorsq
79 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
124 qui décrit et embrasse les trois dimensions de la joie , est dit aussi par le vallon des oliviers et par sa jeune nudité. Pas
125 ice ? À moi d’abord, très certainement. C’est une joie qui vaut bien les ennuis du voyage, le temps perdu et les fatigues, b
126 , bien qu’elles paraissent souvent vaines, que la joie de voir son public, de s’entretenir avec ces hommes et ces femmes pou
127 l’orage. Vocabulaire insuffisant pour décrire la joie naturelle. Souvent éprouvé. Les grands soulèvements de l’instinct ver
128 t ce qui surgit formidablement à l’approche de la joie , elle se sent gênée, pauvre et maladroite, pareille à cette clarté lu
80 1937, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Introduction au Journal d’un intellectuel en chômage (août 1937)
129 demain et des signes providentiels. Et toutes les joies qui n’ont pas de nom et dont personne ne songerait à parler, contempl
81 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Gösta Berling, par Selma Lagerlöf (novembre 1937)
130 une bonne espièglerie, pour vous laisser à votre joie ou à vos larmes. Il y a quelque chose de « glorieux » — au sens baroq
131 ebâtie. Les Cavaliers, « appelés à faire vivre la joie dans le pays du fer, à l’époque du fer » nous ont appris à leur façon
82 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
132 ait ses preuves. 5 décembre 1933 Une de nos joies , c’est de pouvoir enfin mettre au gramophone, et avec l’aiguille fort
83 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
133 ne tache blanche dans un pré, qui est le château. Joie de voir un pays dans son ensemble, dans son unité naturelle et ancien
134 qui décrit et embrasse les trois dimensions de la joie , est dit aussi par le vallon des oliviers et par sa jeune nudité. Pas
135 ice ? À moi d’abord, très certainement. C’est une joie qui vaut bien les ennuis du voyage, le temps perdu et les fatigues, b
136 , bien qu’elles paraissent souvent vaines, que la joie de voir son public, de s’entretenir avec ces hommes et ces femmes pou
137 riche, mais l’un et l’autre ne valent que par la joie , et la joie ne vaut rien dans nos calculs. Il faut beaucoup d’argent
138 l’un et l’autre ne valent que par la joie, et la joie ne vaut rien dans nos calculs. Il faut beaucoup d’argent (jamais asse
139 ent (jamais assez) à celui qui n’a pas accepté la joie , qui n’a pas de « valeur ». Il faut beaucoup de temps (jamais assez !
140 e t’empêche de recevoir les signes certains de la joie . Voilà le modèle de toute simplicité, de toute richesse reçue dans la
141 l’orage. Vocabulaire insuffisant pour décrire la joie naturelle. Souvent éprouvé. Les grands soulèvements de l’instinct ver
142 t ce qui surgit formidablement à l’approche de la joie , elle se sent gênée, pauvre et maladroite, pareille à cette clarté lu
84 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. L’été parisien
143 d’ennui multicolore. Ici tout est plus calme, la joie , si joie il y a, est sans gestes et sans flots de paroles. Nul pittor
144 multicolore. Ici tout est plus calme, la joie, si joie il y a, est sans gestes et sans flots de paroles. Nul pittoresque. Ri
85 1938, Esprit, articles (1932–1962). Revue des revues (septembre 1938)
145  Je doute que le prolétariat français éprouve une joie particulière à savoir qu’il ne travaille plus pour enrichir M. Citroë
86 1938, Esprit, articles (1932–1962). L’amour action, ou de la fidélité (novembre 1938)
146 se sauver et d’accéder à une vie supérieure, la «  joie suprême » d’Isolde agonisante. Fidélité qui consume la vie, mais qui
87 1938, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Le Poète et le Vilain (novembre 1938)
147 n’a rien à donner, c’est lui qui vous donnera la joie du chant, plus précieuse que l’objet de vos requêtes au roi. — Oui, d
88 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
148 is « sich austoben ? » Moi. — S’en donner à cœur joie  ! Ou à mort, plutôt… Je veux bien, pourvu que ce ne soit pas en Franc
149 e de visages d’ouvriers, éclatants de santé et de joie . Au milieu, cette devise : Honneur, paix et liberté dans le monde.
150 illuminant des faces rouges, immobiles. Où est la joie des feux de la Saint-Jean sautés avec des cris aigus ? (Ce feu-là est
89 1939, Le Figaro, articles (1939–1953). « Le matin vient, et la nuit aussi » (7 juin 1939)
151 ue ; il suffit de savoir ce qui compte, et que la Joie ne dépend pas de nos misères. J’y songeais l’autre soir, à Orléans, e
152 a l’espérance, qui est la plus forte ! Il y a la joie , qui est la plus forte ! Il y a Dieu ! Il y a Dieu qui est le plus fo
90 1939, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Don Juan (juillet 1939)
153 e qu’il réfute, dénonce et détruit, c’est pour la joie du viol intellectuel. Comme Don Juan l’image de la Mère, Nietzsche po
154 monde. C’est au point de fureur dionysiaque où la joie de détruire devient douleur, et dans l’angoisse d’une puissance anéan
91 1939, Articles divers (1938-1940). Nicolas de Flue vu par Denis de Rougemont (8 juillet 1939)
155 ougemont pas plus qu’Honegger n’avouent, c’est la joie qu’ils ont eue à créer une œuvre saine et forte. C’est aussi l’inquié
92 1939, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Âme romantique et le rêve (15 août 1939)
156 i préfère le néant aux limitations de la vie — la joie devant la mort de Tristan et d’Isolde. III. Mystique et Personne
93 1939, Esprit, articles (1932–1962). Autour de L’Amour et l’Occident (septembre 1939)
157 maîtres, ils auront bientôt fait de retrouver la joie de l’historien !) 109. Je lisais hier encore dans une étude de Luci
94 1939, Articles divers (1938-1940). Nicolas de Flue : naissance d’un drame (Noël 1939)
158 es chœurs du drame : Éclatez, éclatez en cris de joie  ! Oui, tous en chœur, levez-vous et chantez ! Dans la paix que no
95 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
159 oir ainsi que je souffre agréablement, et tant de joie dans ma douleur que je suis malade avec délices. Chrétien de Troyes.
96 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
160 et de cette nostalgie qui nous fait mépriser les joies terrestres. Mais symbole équivoque puisqu’il tend à confondre l’attra
161 ns du monde : Plus m’agrée donc de mourir Que de joie vilaine jouir Car joie qui repaît vilement N’a pouvoir ni droit de me
162 grée donc de mourir Que de joie vilaine jouir Car joie qui repaît vilement N’a pouvoir ni droit de me plaire tant. Ainsi ch
163 re tant. Ainsi chante Aimeric de Belenoi47. La «  joie vilaine », c’est ce qui le guérirait de son désir, si justement l’amo
164 and Mon cœur ne s’en doit point défaire Ni jamais joie , ni douce, ni bonne. Ne puis entrevoir en promesse : Cent joies aurai
165 e, ni bonne. Ne puis entrevoir en promesse : Cent joies aurais-je par prouesse N’en ferais rien, car ne sais vouloir qu’ELLE.
97 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
166 6  Ce n’est donc pas, conclut Otto, la plus haute joie mystique qui figure pour Eckhart l’expression authentique de l’union
167 indre d’un mal que l’on préfère cependant à toute joie et à tout bien terrestre. Déplorer que les mots trahissent le sentime
168 ouvées, vérifiées pour ainsi dire, traduisant une joie recomposée ?108 » Je ne pense pas que personne, de nos jours, soit en
98 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
169 spiritualisme exalté ; par leur doctrine de la «  joie rayonnante » ; par leur refus des sacrements et du mariage ; par leur
170 ue l’on pourrait appeler, symétriquement, « cette joie majestueuse qui fait toute la douleur du Roman ». Car pour l’atteindr
171 ornée à soi, sans au-delà ni renversement dans la joie , acceptée telle qu’elle est dans le monde du jour, et qualifiée néanm
172 anche.) Spinoza définit l’amour : un sentiment de joie accompagné de l’idée d’une cause extérieure. C’est juste en un seul c
173 ause isolée qui nous détermine purement. Entre la joie et sa cause extérieure, il y a toujours quelque séparation et quelque
174 la nuit, le martyr d’un ravissement qui se mue en joie pure à la mort. On peut noter encore ceci : Don Juan plaisante, rit t
175  ! ce cri puissant retentira Comme un tonnerre de joie à travers la nuit de printemps ! 16.Intériorisation du mythe L
176 radictoires, retours au monde… C’est ce moment de joie bizarre, né de l’ironie métaphysique, qui fait défaut au romantisme f
177 e mystique à l’horizon spirituel, ni de véritable joie d’amour au sommet de ces élancements. Le moi n’est jamais transcendé,
178 sur le cadavre de Tristan, dans l’extase de la «  joie la plus haute ». Initiation, passion, accomplissement mortel : ces tr
179 vos femmes desséchées de vertu, nous ont gâté la joie de vivre. Nous nous vengerons de vos « divines ». La femme est d’abor
99 1939, L’Amour et l’Occident. L’Amour action, ou de la fidélité
180 se sauver et d’accéder à une vie supérieure, la «  joie suprême » d’Isolde agonisante. Fidélité qui consume la vie, mais qui
100 1939, L’Amour et l’Occident. Appendices
181 me, s’il vos plesoit un soir M’avriez vos plus de joie doné C’onques Tristans, qui en fist son pouoir N’en pust avoir nul jo