1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Les Appels de l’Orient (septembre 1925)
1 étroitement particularisé pourtant, à l’usage des Latins …). Quant aux orientalistes, qui, eux, apportent des documents, savent
2 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
2 a choisi de s’astreindre à la voluptueuse rigueur latine , et qui tout en s’épurant dans des formes claires a su les renouveler
3 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). À prendre ou à tuer (décembre 1932)
3 Espagne, en Hollande, en Irlande et dans les pays latins de l’Amérique, cette « troisième force », anticapitaliste et non marx
4 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
4 ertaine mesure, la notion germanique et la notion latine . Le paradoxe humain revêt aux yeux du philosophe moderne une valeur m
5 métaphysique alors qu’il garde pour le moraliste latin la signification d’un accident social réductible à l’ordre imposé. Pa
6 us précise, de deux notions du tragique. Le monde latin connaît un tragique aux arêtes de pierre taillée : conflits d’actes,
7 l’Europe centrale est plus chrétien que le monde latin — si l’on considère ses manières de sentir et de penser — qu’il est e
8 s et dépassement de ces contradictions2. Le monde latin , en tant que latin, étant un monde de l’unité (en vérité de l’unifica
9 ces contradictions2. Le monde latin, en tant que latin , étant un monde de l’unité (en vérité de l’unification à tout prix) e
10 en un refus chronique. Et c’est en quoi le monde latin , monde de la spontanéité, est à son tour plus audacieux, et pour tout
11 e à la fois plus morose et plus débauchée) que la latine . Elle tourne en sentiments dans la mesure où elle refuse de s’accompl
12 remarques je ne sais quelle défense d’un Occident latin dont justement nous récusons l’idéal d’orgueilleuse et stérilisante p
13 lleuse et stérilisante perfection. L’intelligence latine aurait tout à gagner à se laisser berner et houspiller au jeu des sen
14 ossible la conception toute classique, objective, latine , spatiale et statique, qui présida au dessin de la Carte du Tendre. C
5 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Introduction. Le sentiment de l’Europe centrale
15 ertaine mesure, la notion germanique et la notion latine . Le paradoxe humain revêt aux yeux du philosophe moderne une valeur m
16 métaphysique alors qu’il garde pour le moraliste latin la signification d’un accident social réductible à l’ordre imposé. Pa
17 us précise, de deux notions du tragique. Le monde latin connaît un tragique aux arêtes de pierre taillée : conflits d’actes,
18 l’Europe centrale est plus chrétien que le monde latin — si l’on considère ses manières de sentir et de penser — qu’il est e
19 s et dépassement de ces contradictions2. Le monde latin , en tant que latin, étant un monde de l’unité (en vérité de l’unifica
20 ces contradictions2. Le monde latin, en tant que latin , étant un monde de l’unité (en vérité de l’unification à tout prix) e
21 en un refus chronique. Et c’est en quoi le monde latin , monde de la spontanéité, est à son tour plus audacieux, et pour tout
22 e à la fois plus morose et plus débauchée) que la latine . Elle tourne en sentiments dans la mesure où elle refuse de s’accompl
23 remarques je ne sais quelle défense d’un Occident latin dont justement nous récusons l’idéal d’orgueilleuse et stérilisante p
24 lleuse et stérilisante perfection. L’intelligence latine aurait tout à gagner à se laisser berner et houspiller au jeu des sen
25 ossible la conception toute classique, objective, latine , spatiale et statique, qui présida au dessin de la Carte du Tendre. C
6 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — I
26 re l’austérité des montagnes au nord et les rives latines au midi, la France à l’ouest, l’Alémanie à l’est ; — tout un petit mo
7 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — III
27 n patois ! De tous ces noms, tantôt si proches du latin populaire et tantôt du dialecte burgonde, un seul subsistera cent ans
8 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Pétrarque, par Charles-Albert Cingria (avril 1933)
28 diversité du monde. La qualité des traductions du latin , du bas latin et de l’italien dont ce livre est abondamment orné perm
29 onde. La qualité des traductions du latin, du bas latin et de l’italien dont ce livre est abondamment orné permettra de goûte
9 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Deux essais de philosophes chrétiens (mai 1934)
30 nore qu’il la nie pratiquement. Il répète avec le latin cet adage bourgeois avant la lettre : primum vivere, deinde philosoph
10 1935, Articles divers (1932-1935). Mystère de la Vision (fragments d’un Traité de la vision physionomique du monde) (mars 1935)
31 on. Faut-il conclure que notre esprit qu’on dit «  latin  » est incapable de s’assimiler les secrets d’une ontologie de la form
32 ter que le goût de la forme, apanage évident du «  latin  », suppose des géométries plutôt que l’imagination, et par là retombe
11 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Soirée chez Nicodème (mai 1935)
33 emagne », inassimilable pour nos « clairs esprits latins  », et qui, d’ailleurs, signifiait, au pédantisme près, exactement la
34 ais si vous sentez comme moi, mais cette « clarté latine  » me donne toujours envie de dire des grossièretés, — en allemand, pa
35 , — ces Helvètes — tantôt Calvin, qui écrivait en latin des choses que Barth a mieux comprises que Sabatier, tantôt l’humble
12 1935, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Trois traités de Jean Calvin (20 juillet 1935)
36 s Trois traités — furent traduits par lui-même du latin . D’où la jeunesse de cette langue et sa sobriété monumentale. Là enco
13 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Paracelse, par Frédéric Gundolf (septembre 1935)
37 faire31. Il faut voir comme il se débat avec son latin de cuisine, son grec allégorique et son allemand mal accordé pour fab
14 1935, Articles divers (1932-1935). Montherlant : Service inutile (15 novembre 1935)
38 pas une École de bonheur ? au lieu des écoles de latin et de droit : qu’on y apprenne le régime de son âme. » Cela n’est pas
15 1936, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Sur une page de Bossuet (ou Tradition et Révélation) (janvier 1936)
39 ont des textes. On peut les lire, si l’on sait le latin , réunis et classés dans n’importe quel Enchiridion. Le catholique se
16 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Échos (janvier 1936)
40 es de l’Histoire, ce crime contre la civilisation latine que représente la résistance des Éthiopiens. L’on se souvient en effe
17 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
41 ance n’est rien s’il n’y a pas le messianisme, le latin s’il n’y a pas une catholicité, le Plan s’il n’y a pas un Paradis à v
18 1936, Articles divers (1936-1938). Décadence des lieux communs (décembre 1936)
42 r que notre langue est plus malade que n’était le latin à l’époque de la Renaissance24. Le latin de Bembo et de Sadolet était
43 était le latin à l’époque de la Renaissance24. Le latin de Bembo et de Sadolet était encore une rhétorique des lieux communs.
44 ve parfaitement normal de déclarer que « c’est du latin  » pour ses oreilles, mais encore il existe autant de ces latins-là qu
45 ses oreilles, mais encore il existe autant de ces latins -là que de chapelles littéraires, que d’écoles philosophiques, que de
19 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — L’Arche de l’Alliance
46 esure en soi, isolée de ses fins. La décadence du latin à la fin du Moyen Âge nous offrira un autre exemple de cette espèce d
20 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Sur le déclin du Moyen Âge
47 angage commun aux prêtres et aux législateurs, le latin . La décadence de la mesure catholique23 — et je ne dis pas de l’Églis
48 écadence parallèle et plus aisément vérifiable du latin , entre l’époque de Dante et celle d’Érasme. ⁂ Qu’est-ce que le latin,
49 ue de Dante et celle d’Érasme. ⁂ Qu’est-ce que le latin , au xiiie siècle, pour l’écrivain dont l’œuvre a condensé toute la s
50 question par son traité De vulgari eloquentia. Le latin , en tant qu’il figure la persistance de l’esprit romain, est la « mes
51 yens : la loi ; lorsque nous agissons en « hommes latins  », ce sont alors certains « signes très simples » communs aux mœurs e
52 r que Dante est très loin de considérer la langue latine en soi, et telle que la fixèrent les classiques, comme la mesure actu
53 garde contre cette interprétation. Les « signes » latins , selon lui, ne sont vraiment la mesure commune qu’en tant qu’ils vive
54 cune règle en imitant notre nourrice ». La langue latine , « locutio secundaria », est au contraire notre « grammaire ». Et des
55 e sens du langage dont dépend l’action. La mesure latine n’est valable qu’en tant qu’elle s’incarne et agit dans le langage de
56 mbole, le premier péché qualifié contre la mesure latine . C’est Pétrarque qui, le premier, déclare que l’idiome italien ne sau
57 bilior l’idiome vivant. À partir de Pétrarque, le latin deviendra tout autre chose qu’une « grammaire », il deviendra une rhé
58 ée. ⁂ Il faut placer cette « crise » de la mesure latine aux débuts du xive siècle. La coïncidence est frappante : c’est la m
59 édacteurs de la requête ont compris que la mesure latine a cessé d’être réellement commune. Et quand Guillaume de Nogaret, hom
60 n’est qu’un essai de restauration artificielle du latin comme moyen de régler à la fois l’action et la pensée du siècle. La «
61 s a choisis pour leur seule habileté à tourner le latin des actes ! C’est du moins le cas des plus illustres, les cardinaux B
62 lturel par la substitution du langage vulgaire au latin . Le vrai clerc, désormais, ce n’est plus le rhéteur, mais le prédicat
63 signa, et morum et habitum et locutionis, quibus latine actiones ponderantur et mensurantur. Que quidem nobilissima sunt earu
64 d’œil à l’énumération qu’il donne de ses modèles latins  : Tite-Live, Pline, Frontin et Paul Orose. (De vulg. eloqu. II, VI.)
65 et Paul Orose. (De vulg. eloqu. II, VI.) Aussi le latin spontané et vivant de Dante a-t-il beaucoup plus de virtu romaine que
21 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Décadence des lieux communs
66 r que notre langue est plus malade que n’était le latin à l’époque de la Renaissance. Le latin de Bembo et de Sadolet était e
67 n’était le latin à l’époque de la Renaissance. Le latin de Bembo et de Sadolet était encore une rhétorique des lieux communs.
68 ve parfaitement normal de déclarer que « c’est du latin  » pour ses oreilles, mais encore il existe autant de ces latins-là qu
69 ses oreilles, mais encore il existe autant de ces latins -là que de chapelles littéraires, que d’écoles philosophiques, que de
22 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
70 s et précis que possible : l’Arche d’Alliance, le latin du xve siècle, le Plan russe, le concept de Führer. Cependant, une m
71 che n’est rien s’il n’y a pas le messianisme ; le latin s’il n’y a pas une catholicité ; le Plan s’il n’y a pas un Paradis à
23 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — L’Arche de l’Alliance
72 esure en soi, isolée de ses fins. La décadence du latin à la fin du Moyen Âge nous offrira un autre exemple de cette espèce d
24 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Sur le déclin du Moyen Âge
73 angage commun aux prêtres et aux législateurs, le latin . La décadence de la mesure catholique24 — et je ne dis pas de l’Églis
74 écadence parallèle et plus aisément vérifiable du latin , entre l’époque de Dante et celle d’Érasme. ⁂ Qu’est-ce que le latin,
75 ue de Dante et celle d’Érasme. ⁂ Qu’est-ce que le latin , au xiiie siècle, pour l’écrivain dont l’œuvre a condensé toute la s
76 uestion par son traité De vulgari eloquentia. Le latin , en tant qu’il figure la persistance de l’esprit romain, est la « mes
77 yens : la loi ; lorsque nous agissons en « hommes latins  », ce sont alors certains « signes très simples » communs aux mœurs e
78 r que Dante est très loin de considérer la langue latine en soi, et telle que la fixèrent les classiques, comme la mesure actu
79 garde contre cette interprétation. Les « signes » latins , selon lui, ne sont vraiment la mesure commune qu’en tant qu’ils vive
80 cune règle en imitant notre nourrice ». La langue latine , « locutio secundaria », est au contraire notre « grammaire ». Et des
81 e sens du langage dont dépend l’action. La mesure latine n’est valable qu’en tant qu’elle s’incarne et agit dans le langage de
82 mbole, le premier péché qualifié contre la mesure latine . C’est Pétrarque qui, le premier, déclare que l’idiome italien ne sau
83 bilior l’idiome vivant. À partir de Pétrarque, le latin deviendra tout autre chose qu’une « grammaire », il deviendra une rhé
84 ée. ⁂ Il faut placer cette « crise » de la mesure latine aux débuts du xive siècle. La coïncidence est frappante : c’est la m
85 édacteurs de la requête ont compris que la mesure latine a cessé d’être réellement commune. Et quand Guillaume de Nogaret, hom
86 n’est qu’un essai de restauration artificielle du latin comme moyen de régler à la fois l’action et la pensée du siècle. La «
87 s a choisis pour leur seule habileté à tourner le latin des actes ! C’est du moins le cas des plus illustres, les cardinaux B
88 lturel par la substitution du langage vulgaire au latin . Le vrai clerc, désormais, ce n’est plus le rhéteur, mais le prédicat
89 signa, et morum et habitum et locutionis, quibus latine actiones ponderantur et mensurantur. Que quidem nobilissima sunt earu
90 d’œil à l’énumération qu’il donne de ses modèles latins  : Tite-Live, Pline, Frontin et Paul Orose. [De vulg. eloqu. II, vi.)
91 et Paul Orose. [De vulg. eloqu. II, vi.) Aussi le latin spontané et vivant de Dante a-t-il beaucoup plus de virlù romaine que
25 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Décadence des lieux communs
92 r que notre langue est plus malade que n’était le latin à l’époque de la Renaissance. Le latin de Bembo et de Sadolet était e
93 n’était le latin à l’époque de la Renaissance. Le latin de Bembo et de Sadolet était encore une rhétorique des lieux communs.
94 ve parfaitement normal de déclarer que « c’est du latin  » pour ses oreilles, mais encore il existe autant de ces latins-là qu
95 ses oreilles, mais encore il existe autant de ces latins -là que de chapelles littéraires, que d’écoles philosophiques, que de
26 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
96 t précis que possible : l’Arche de l’Alliance, le latin du xve siècle, le Plan russe, le concept de Führer. Cependant, une m
97 che n’est rien s’il n’y a pas le messianisme ; le latin s’il n’y a pas une catholicité ; le Plan s’il n’y a pas un Paradis à
27 1937, Articles divers (1936-1938). Chamisso et le Mythe de l’Ombre perdue (mai-juin 1937)
98 mandais-je. Quelque chose d’assez méprisable. Les Latins la ridiculisent. C’est pour eux l’irréalité même. (« Il n’est plus qu
28 1937, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Luther contre Érasme (19 juin 1937)
99 i sacrifie l’homme à la vérité ? 14. Traduit du latin , aux Éditions « Je sers ». Préface de M. le professeur A. Jundi. n.
29 1937, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Pages inédites du Journal d’un intellectuel en chômage (octobre 1937)
100 sont le même mot. Tous deux remontent à species ( latin ). — Les espèces, devenues épices, étaient : gingembre, muscade, canne
30 1937, Esprit, articles (1932–1962). Neutralité oblige (octobre 1937)
101 ois plus grandes civilisations, la germanique, la latine et la française. ⁂ De cette mission qui justifie en même temps notre
102 ience de nous-mêmes, et de nos singularités sinon latines , du moins romanes. On se découvre en s’opposant, mais en s’opposant r
31 1937, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Comment savoir à quoi ils pensent (Quelques remarques sur la méthode) (1er novembre 1937)
103 sont le même mot. Tous deux remontent à species ( latin ). Les espèces, devenues épices, étaient : gingembre, muscade, cannell
32 1938, Articles divers (1938-1940). Réponse de Denis de Rougemont, lauréat du prix Rambert 1938 (novembre 1938)
104 ision magistrale. Minuit praesentia famam, dit le latin . Mais il n’est plus question de reculer. En publiant mon Journal , j
33 1939, Articles divers (1938-1940). Qui est Hitler ? (24 février 1939)
105 atique, particulièrement désagréable aux oreilles latines . La grande majorité des Allemands pensent au contraire que le Führer
34 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
106 rriman iranien, le Zeus pater hellène, le Jupiter latin , le Dispater gaulois… Bien d’autres rapprochements nous tentent, dont
107 . Brinkmann et d’autres ont supposé que la poésie latine des xie et xiie siècles avait pu fournir des modèles : tout compte
108 . Et de même, les dieux gaulois prennent des noms latins sans se transformer autrement. 21. Par E. Benveniste, dans Yggdrasil
109 e des textes probants de ces poètes dans sa thèse latine . De nostratibus medii ævi pœtis qui primum lyrica Aquitaniæ carmina i
35 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
110 nèbre d’Héloïse composé (par elle-même ?) en vers latins (cité par Rémusat : Abélard, t. I). L’amante supplie : Soulage-moi d
36 1939, L’Amour et l’Occident. Amour et guerre
111 des façons qui plaisent aux Allemandes. Chez les Latins , faire la cour à une femme c’est l’étourdir de paroles flatteuses : a
37 1939, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Nicolas de Flue et la Réforme (août 1939)
112 en date est celle de Heinrich Glarean, écrite en latin , et commentée par Myconius, Lucernois réformé, sur la demande de Zwin
113 a Nicolai Underwaldii Eremitæ Helvetii, écrite en latin et représentée par des étudiants. Elle n’est pas sans intérêt dramati
38 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
114 yaus Pitar hindou, l’Ahrriman iranien, le Jupiter latin , le Dispater gaulois… Bien d’autres rapprochements nous tentent, dont
115 . Brinkmann et d’autres ont supposé que la poésie latine des xie et xiie siècles avait pu fournir des modèles : tout compte
116 ne série de traductions en syriaque, en arabe, en latin , en espagnol, etc. Au xviie siècle, La Fontaine la lira en français,
117 . Et de même, les dieux gaulois prennent des noms latins sans se transformer autrement. 24. Par E. Benveniste, dans Yggdrasil
118 d’amour peut être suivi à travers toute la poésie latine du Moyen Âge, jusqu’à la Renaissance, où on le retrouve chez Marot et
39 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
119 nèbre d’Héloïse composé (par elle-même ?) en vers latins (cité par Rémusat : Abélard, t. I). L’amante supplie : Soulage-moi d
40 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Amour et guerre
120 des façons qui plaisent aux Allemandes. Chez les Latins , faire la cour à une femme c’est l’étourdir de paroles flatteuses : a
41 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
121 Dyaus Pitar hindou, l’Ahriman iranien, le Jupiter latin , le Dispater gaulois… Bien d’autres rapprochements nous tentent, don
122 . Brinkmann et d’autres ont supposé que la poésie latine des xie et xiie siècles avait pu fournir des modèles : tout compte
123 ne série de traductions en syriaque, en arabe, en latin , en espagnol, etc. Au xviie siècle, La Fontaine la lira en français,
124 . Et de même, les dieux gaulois prennent des noms latins sans se transformer autrement. 17. Par E. Benveniste, dans Yggdrasil
125 d’amour peut être suivi à travers toute la poésie latine du Moyen Âge, jusqu’à la Renaissance, où on le retrouve chez Marot et
42 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
126 nèbre d’Héloïse composé (par elle-même ?) en vers latins (cité par Rémusat : Abélard, t. I). L’amante supplie : Soulage-moi d
43 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Amour et guerre
127 des façons qui plaisent aux Allemandes. Chez les Latins , faire la cour à une femme c’est l’étourdir de paroles flatteuses : a
44 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Appendices
128 convaincant que celui de « fercia » à « vierge » ( latin « virgo »). La déviation du son est aussi prononcée que celle du sens
45 1940, Mission ou démission de la Suisse. Neutralité oblige, (1937)
129 s trois grandes civilisations : la germanique, la latine et la française21. ⁂ De cette mission qui justifie en même temps notr
130 ience de nous-mêmes, et de nos singularités sinon latines , du moins romanes. On se découvre en s’opposant, mais en s’opposant r
46 1940, Articles divers (1938-1940). Henri le Vert ou l’âme alémanique (1940)
131 nd et la patience de l’Alémanique, — la nervosité latine et la ténacité germanique ; notre ironie critique et leur humour. Et
47 1942, La Part du diable (1944). Hitler ou l’alibi
132 tes ; un peu d’American way of life pour les pays latins , un peu de diplomatie vaticane pour les pays germaniques et anglo-sax
48 1942, La Part du diable (1982). Hitler ou l’alibi
133 tes ; un peu d’American way of life pour les pays latins , un peu de diplomatie vaticane pour les pays germaniques et anglo-sax
49 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Goethe médiateur
134 and, et peut être directement assimilable pour un latin par exemple. Mais la nature spécifique de l’effort goethéen, cette lu
50 1945, Carrefour, articles (1945–1947). Le rêve américain (9 novembre 1945)
135 par sa politique de bon voisinage avec l’Amérique latine . Cette politique comportait deux branches, curieusement juxtaposées d
51 1946, Articles divers (1941-1946). Deux lettres sur le gouvernement mondial (4 juin 1946)
136 s un modèle uniforme, qu’il s’agisse d’une nation latine ou anglo-saxonne, socialiste ou capitaliste. Ce modèle est celui de l
52 1946, Carrefour, articles (1945–1947). L’Amérique est-elle nationaliste ? (29 août 1946)
137 oriquement étrangers au génie yankee : le Mexique latin , le Canada britannique et français. Couronnant le tout, voici que le
53 1946, Foi et Vie, articles (1928–1977). Fédéralisme et œcuménisme (octobre 1946)
138 inité, les docteurs grecs avaient adopté le terme latin de persona (rôle social). C’est ce même terme qui servira aux premier
54 1946, Esprit, articles (1932–1962). Épilogue (novembre 1946)
139 s pourraient se gâter… Quant à nos bons voisins «  latins  », je ne sais pourquoi, chaque fois que nous leur serrons la main, il
55 1946, Articles divers (1946-1948). Théologie et littérature (1946)
140 remiers rythmes poétiques ont été propagés par le latin d’église. Et ce n’est point que tous ces arts classiques ne soient so
56 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
141 vend rognés à la machine, dans tous les pays non latins . Nous autres vieux maniaques tenons au coupe-papier. 15 novembre 1
142 ait point de cérémonies grandiloquentes comme les Latins , a les cimetières les plus heureux du monde. ⁂ Cambridge retient l’Eu
57 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
143 x États-Unis, ne point dépasser l’heure. Mais ces Latins ne rient ni ne sourient à ces petites plaisanteries d’orateur qui amu
144 la qualité super-américaine de ces pays, pourtant latins et catholiques d’empreinte. Il semble qu’ici, plus encore qu’au Canad
58 1946, Lettres sur la bombe atomique. Utopies
145 ourrait opposer le utinam notus moriar 2 du poète latin . Mais trêve de vains regrets. Nous sommes en pleine folie. Et je déci
59 1946, Lettres sur la bombe atomique. Tous démocrates
146 onne ». Et les Yankees ripostent : « mauvaise foi latine  ».) Puisque mes théories politiques vous assomment, je vais vous raco
60 1946, Lettres sur la bombe atomique. L’État-nation
147 rgies d’après un modèle uniforme, qu’elles soient latines ou anglo-saxonnes, socialistes ou capitalistes. Ce modèle est celui d
61 1946, Lettres sur la bombe atomique. Utopies
148 ourrait opposer le utinam notas moriar 1 du poète latin . Mais trêve de vains regrets. Nous sommes en pleine folie. Et je déci
62 1946, Lettres sur la bombe atomique. Tous démocrates
149 onne ». Et les Yankees ripostent : « mauvaise foi latine  ».) Puisque mes théories politiques vous assomment, je vais vous raco
63 1946, Lettres sur la bombe atomique. L’État-nation
150 rgies d’après un modèle uniforme, qu’elles soient latines ou anglo-saxonnes, socialistes ou capitalistes. Ce modèle est celui d
64 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Le sentiment de l’Europe centrale
151 ertaine mesure, la notion germanique et la notion latine . Le paradoxe humain revêt aux yeux du philosophe moderne une valeur m
152 métaphysique alors qu’il garde pour le moraliste latin la signification d’un accident social réductible à l’ordre imposé. Pa
153 us précise, de deux notions du tragique. Le monde latin connaît un tragique aux arêtes de pierre taillée : conflits d’actes,
154 l’Europe centrale est plus chrétien que le monde latin — si l’on considère ses manières de sentir et de penser — qu’il est e
155 s et dépassement de ces contradictions1. Le monde latin , en tant que latin, étant un monde de l’unité (en vérité de l’unifica
156 ces contradictions1. Le monde latin, en tant que latin , étant un monde de l’unité (en vérité de l’unification à tout prix) e
157 en un refus chronique. Et c’est en quoi le monde latin , monde de la spontanéité, est à son tour plus audacieux, et pour tout
158 e à la fois plus morose et plus débauchée) que la latine . Elle tourne en sentiments dans la mesure où elle refuse de s’accompl
159 remarques je ne sais quelle défense d’un Occident latin dont justement nous récusons l’idéal d’orgueilleuse et stérilisante p
160 lleuse et stérilisante perfection. L’intelligence latine aurait tout à gagner à se laisser berner et houspiller au jeu des sen
65 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Sur l’automne 1932, ou la naissance du personnalisme
161 châtel, Vienne, Genève en huit semestres, lettres latines , allemandes et françaises, fortement étoffées de philosophie, de psyc
66 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
162 sont le même mot. Tous deux remontent à species ( latin ). — Les espèces, devenues épices, étaient : gingembre, muscade, canne
67 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
163 vend rognés à la machine, dans tous les pays non latins . Nous autres, vieux maniaques, tenons au coupe-papier. 15 novembre
164 ait point de cérémonies grandiloquentes comme les Latins , a les cimetières les plus heureux du monde. ⁂ Cambridge retient l’Eu
68 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Voyage en Argentine
165 x États-Unis, ne point dépasser l’heure. Mais ces Latins ne rient ni ne sourient aux petites plaisanteries d’orateur qui amuse
166 la qualité super-américaine de ces pays, pourtant latins et catholiques d’empreinte. Il semble qu’ici, plus encore qu’au Canad
69 1947, Articles divers (1946-1948). Journal d’un intellectuel en exil (mars 1947)
167 ait point de cérémonies grandiloquentes comme les Latins , a les cimetières les plus heureux du monde. ⁂ Cambridge retient l’Eu
70 1947, Articles divers (1946-1948). L’attitude fédéraliste (octobre 1947)
168 , et d’obtenir une sorte de nation européenne, où Latins et Germains, Slaves et Anglo-Saxons, Scandinaves et Grecs, se verraie
71 1947, Carrefour, articles (1945–1947). La France est assez grande pour n’être pas ingrate (26 novembre 1947)
169 de ce 10 % les parts qui reviennent à l’Amérique latine , à l’Asie et à la Russie, on voit ce qui reste pour l’Europe — pour l
72 1947, Doctrine fabuleuse. L’ombre perdue
170 mandais-je. Quelque chose d’assez méprisable. Les Latins la ridiculisent ! C’est pour eux l’irréalité même. (« Il n’est plus q
73 1947, Vivre en Amérique. Vie politique
171 par sa politique de bon voisinage avec l’Amérique latine . Cette politique comportait deux branches, curieusement juxtaposées d
172 oriquement étrangers au génie yankee : le Mexique latin , le Canada britannique et français. Couronnant le tout, voici que le
173 bars !… C’est là ce que j’appellerai l’hypocrisie latine . (Un thème qui me paraît moins rebattu que la fameuse hypocrisie angl
74 1947, Vivre en Amérique. Vie culturelle et religieuse
174 imple que je l’avais pensé d’abord. Nos habitudes latines — ou peut-être scolaires — nous inclinent à juger barbare, sans exame
175 du décousu que par une patiente analyse. Au désir latin de comprendre afin de juger, répond l’essai. Au désir de « réaliser »
75 1947, Vivre en Amérique. Conseil à un Français pour vivre en Amérique
176 Vous qui entrez, ne pensez plus, avec le proverbe latin , qu’il est doux et honorable de mourir pour la terre des ancêtres, ma
177 itage des cours, j’imagine. Ou simplement, besoin latin de l’agitation créatrice ?   La religion. — Dans un village américai
178 s pourraient se gâter… Quant à nos bons voisins «  Latins  », je ne sais pourquoi, chaque fois que nous leur serrons la main, il
76 1947, Vivre en Amérique. Épilogue. La route américaine
179 ralement : de sa route de vie. Ce qui est pour le Latin concept, forme arrêtée, devient chez eux chemin, voie et mouvement. C
77 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. II
180 r, et d’obtenir une sorte de nation européenne où Latins et Germains, Slaves et Anglo-Saxons, Scandinaves et Grecs, se verraie
78 1948, Suite neuchâteloise. I
181 re l’austérité des montagnes au nord et les rives latines au midi, la France à l’ouest, l’Alémanie à l’est ; — tout un petit mo
79 1948, Suite neuchâteloise. III
182 njures en patois ! De tous ces noms si proches du latin populaire, un seul subsistera cent ans plus tard, tandis que la grand
80 1949, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Le Mouvement européen (avril 1949)
183 ur gouverner, ce qui paraît étrange à beaucoup de Latins . Ils pensent donc, tout naturellement, que l’Europe sera faite par de
81 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Deuxième lettre aux députés européens (16 août 1950)
184 e nous disent-ils. Les Coréens n’entendent pas ce latin -là. Même s’il est prononcé avec l’accent anglais. Vous allez me parle
82 1950, Lettres aux députés européens. Deuxième lettre
185 e nous disent-ils. Les Coréens n’entendent pas ce latin -là, même s’il est prononcé avec l’accent anglais. Vous allez me parle
83 1950, Articles divers (1948-1950). Préface à Le Problème de l’union européenne d’Olivier Philip (1950)
186 r toute catholique ou réformée, toute nordique ou latine , tout allemande ou française, toute monarchique ou républicaine, tout
84 1951, Les Libertés que nous pouvons perdre (1951). Libertés « formelles » et libertés « réelles »
187 pare en vérité le moderne servage. Les dictatures latines , slaves et germaniques se rencontrent toutes sur ce point. Elles pren
85 1952, Preuves, articles (1951–1968). Le sens de nos vies, ou l’Europe (juin 1952)
188 l’émanciper. L’éducation, dans toutes les langues latines , comme en anglais, vient d’educere, qui est « conduire au-dehors ». D
86 1952, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). À propos de la crise de l’Unesco (décembre-janvier 1953)
189 us les autres ? Il y a là le Yémen, le Liban, les Latins , les Hindous et les Américains, chacun dûment pourvu d’instructions d
87 1953, Preuves, articles (1951–1968). À propos de la crise de l’Unesco (mars 1953)
190 us les autres ? Il y a là le Yémen, le Liban, les Latins , les Hindous et les Américains, chacun dûment pourvu d’instructions d
88 1953, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Aller et retour (avril 1953)
191 anche sur le sentiment spontané de larges masses, latines surtout — les nations européennes seraient déjà réduites au rôle de s
89 1953, Journal de Genève, articles (1926–1982). Aller et retour (21 mai 1953)
192 anche sur le sentiment spontané de larges masses, latines surtout —, les nations européennes seraient déjà réduites au rôle de
90 1953, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Une prise de conscience européenne (novembre-décembre 1953)
193 inants. Mis aux prises avec un problème, l’esprit latin exige quelques définitions, l’esprit germanique une méthode, tandis q
91 1953, La Confédération helvétique. Le peuple et son histoire
194 Léman, au nord-est le lac de Constance. Le bassin latin du Rhône consiste en une longue vallée, le Valais, prolongée par le l
195 l’Union postale universelle et l’Union monétaire latine choisissaient d’installer en Suisse leur siège central. La mission or
196 guerre qui opposait le monde germanique au monde latin , devait représenter pour la Suisse une épreuve décisive de son fédéra
92 1953, La Confédération helvétique. Les institutions politiques
197 Grands Conseils. L’influence des mœurs politiques latines , l’éloquence, le sectarisme des partis, ne se manifestent guère que d
93 1953, La Confédération helvétique. La famille et l’éducation
198 oir le plus d’enfants, les familles protestantes, latines , citadines et moyennement aisées, d’en avoir le moins. Ce qui est par
199 uréat : le type A (langues anciennes), le type B ( latin et langues modernes), le type C (sciences), et le type D (langues mod
94 1953, La Confédération helvétique. La vie religieuse
200 nt pas été adoptées. Sa rigueur doctrinale, toute latine , est restée étrangère à un peuple qui se méfie des positions tranchée
95 1953, La Confédération helvétique. Le peuple suisse et le monde
201 is : leur démocratie qui n’a rien, ou presque, de latin , est une démocratie helvétique. Ils ne se cachent pas du reste de red
202 és autour de lui : la volonté d’hégémonie, tantôt latine et tantôt germanique. Quelles que soient les idéologies, d’ailleurs v
96 1954, Preuves, articles (1951–1968). La table ronde de l’Europe (janvier 1954)
203 posent. Mis aux prises avec un problème, l’esprit latin exige quelques définitions, l’esprit germanique une méthode, tandis q
97 1954, Preuves, articles (1951–1968). De Gasperi l’Européen (octobre 1954)
204 pour foncièrement incompatibles ? Les parlements latins sont les plus éloquents et font en conséquence la pire des politiques
98 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure occidentale de l’homme : L’exploration de la matière (août 1955)
205 Gnose en pleine effervescence, les Pères grecs et latins ne disposaient en fait que de notions et de mots inadéquats, au surpl
206 onc à opérer la transmutation périlleuse d’un mot latin et de contenus helléniques en un dogme exprimant la nature triple et
207 monothéistes, puis se poursuivent entre Grecs et Latins d’une part, gnostiques, montanistes, ariens, donatistes, sabelliens,
99 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Aperçu historique des relations culturelles Europe-Russie (des débuts à la guerre de 1914) (décembre 1955)
208 ure Qu’est-ce que cette intelligentsia — terme latin russifié à la hâte — qui apparaît vers le milieu du xix e siècle ? Ce
100 1955, Articles divers (1951-1956). Reynold et l’Europe (1955)
209 la Suisse : à la fois catholique et protestante, latine et germanique, française et autrichienne, rhodanienne et rhénane, com