1 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
1 e lubie d’un agent nous immobilise une minute aux lisières odorantes d’une terrasse où nous voyons Charles-Albert Cingria, trans
2 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
2 Ce soir des Signes où des renards sortirent à la lisière de la forêt, des renards qu’on n’avait jamais vus, l’orage s’amassait
3 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
3 uement, choisissant parfois pour y sommeiller une lisière d’où l’on voit de lointains horizons, puis de nouveau m’enfonçant au
4 . La lumière montait vers la cime des arbres, aux lisières d’une forêt de Parsifal, et les plus hauts feuillages exultaient de c
5 ’avançais à travers une nature de divagation. Les lisières sont des lieux de l’esprit où circulent des bêtes nées du rêve. Et l’
6 e consume. Bois du lait, perds du temps, bats les lisières du sommeil. Ou bien descends les bras collés au corps dans l’onde apa
4 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
7 golfe violacé écumer sous la masse du soleil. Une lisière qui nous accompagnait vira largement, nous fit front, et il n’y eut p
8 ure ouverte à travers les prairies ou le long des lisières surprendre les chevreuils et repérer les « bocks » mal encornés. Le f
5 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Appendice. Les Soirées du Brambilla-Club, (1930)
9 e lubie d’un agent nous immobilise une minute aux lisières odorantes d’une terrasse où nous voyons Charles-Albert Cingria, trans
6 1932, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La pluie et le beau temps (Dialogue dans une tête) (1932)
10 d j’étais petite fille, j’aimais me promener à la lisière des forêts, les jambes nues sous la pluie. L’herbe était pleine de sa
7 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Introduction. Le sentiment de l’Europe centrale
11 « soir des signes » où des renards sortirent à la lisière de la forêt, des renards qu’on n’avait jamais vus, l’orage s’amassait
8 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
12 golfe violacé écumer sous la masse du soleil. Une lisière qui nous accompagnait vira largement, nous fit front, et il n’y eut p
13 ure ouverte à travers les prairies ou le long des lisières surprendre les chevreuils et repérer un « Bock » mal encorné. Le fusi
9 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
14 uement, choisissant parfois pour y sommeiller une lisière d’où l’on voie de lointains horizons, puis de nouveau m’enfonçant au
15 . La lumière montait vers la cime des arbres, aux lisières d’une forêt de Parsifal, et les plus hauts feuillages exultaient de c
16 ’avançais à travers une nature de divagation. Les lisières sont des lieux de l’esprit où circulent des bêtes nées du rêve. Et l’
17 nter comment parfois j’ai su qui m’attendait à la lisière de cette forêt tel soir d’été, quel sujet d’examen venait de m’être r
18 e consume. Bois du lait, perds du temps, bats les lisières du sommeil. Ou bien descends les bras collés au corps dans l’onde apa
10 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
19 ement une insistance à forcer les idées jusqu’aux lisières du concret, jusqu’au bord de l’action qui les éprouvera, jusqu’au dan
11 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
20 ement une insistance à forcer les idées jusqu’aux lisières du concret, jusqu’au bord de l’action qui les éprouvera, jusqu’au dan
12 1939, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Puisque je suis un militaire… (septembre 1939)
21 ’attaque se prépare, un « à terre » prolongé à la lisière d’un bois, cela peut être un des plus beaux moments de notre furtive
13 1939, Articles divers (1938-1940). Pourquoi nous sommes là (décembre 1939)
22 de branches mortes, mornes et ronchonneurs, à la lisière d’un bois. J’essaie de les réconforter. Silence, réprobation muette.
14 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Appendices
23 le traduit d’un poème provençal ou français… À la lisière des Flandres se trouvaient alors en effet des centres importants de r
15 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
24 ’attaque se prépare, un « à terre » prolongé à la lisière d’un bois, cela peut être un des plus beaux moments de notre furtive
25 ’enfumer autour d’un feu de branches mortes, à la lisière du bois, mornes et ronchonneurs. J’essaie de les réconforter. Réproba
16 1946, Journal des deux mondes. Anecdotes et aphorismes
26 ière notre maison, des prairies montent jusqu’aux lisières de la forêt de sapins couronnant le Gurten. Toutes les demi-heures, d
17 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Le sentiment de l’Europe centrale
27 Ce soir des Signes où des renards sortirent à la lisière de la forêt, des renards qu’on n’avait jamais vus, l’orage s’amassait
18 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Châteaux en Prusse
28 golfe violacé écumer sous la masse du soleil. Une lisière qui nous accompagnait vira largement, nous fit front, et il n’y eut p
29 ure ouverte à travers les prairies ou le long des lisières surprendre les chevreuils et repérer un « Bock » mal encorné. Le fusi
19 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Petit journal de Souabe
30 uement, choisissant parfois pour y sommeiller une lisière d’où l’on voit de lointains horizons, puis de nouveau m’enfonçant au
31 . La lumière montait vers la cime des arbres, aux lisières d’une forêt de Parsifal, et les plus hauts feuillages exultaient de c
32 ’avançais à travers une nature de divagation. Les lisières sont des lieux de l’esprit où circulent des bêtes nées du rêve. Et l’
33 nter comment parfois j’ai su qui m’attendait à la lisière de cette forêt tel soir d’été, quel sujet d’examen venait de m’être r
34 e consume. Bois du lait, perds du temps, bats les lisières du sommeil. Ou bien descends les bras collés au corps dans l’onde apa
20 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Sur l’automne 1932, ou la naissance du personnalisme
35 uis plus tard, seul et séparé, mes promenades aux lisières des forêts souabes, — les voies que j’avais suivies sans savoir où j’
21 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
36 ’attaque se prépare, un « à terre » prolongé à la lisière d’un bois, cela peut être un des plus beaux moments de notre furtive
37 ’enfumer autour d’un feu de branches mortes, à la lisière du bois, mornes et ronchonneurs. J’essaie de les réconforter. Réproba
38 ière notre maison, des prairies montent jusqu’aux lisières de la forêt de sapins couronnant le Gurten. Toutes les demi-heures, d
22 1947, Doctrine fabuleuse. Premier dialogue sur la carte postale. La pluie et le beau temps
39 d j’étais petite fille, j’aimais me promener à la lisière des forêts, les jambes nues sous la pluie. L’herbe était pleine de li
23 1957, Articles divers (1957-1962). La voie et l’aventure (janvier 1957)
40 s, est de son appartenance : il forme le bord, la lisière du monde du saint, comme les idoles le bord ou la lisière des Réalité
41 du monde du saint, comme les idoles le bord ou la lisière des Réalités divines. » Toute magie dépasse la personne, ou plutôt la
24 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Où les voies se séparent
42 s, est de son appartenance : il forme le bord, la lisière du monde du saint, comme les idoles le bord ou la lisière des Réalité
43 du monde du saint, comme les idoles le bord ou la lisière des Réalités divines. » Toute magie dépasse la personne, ou plutôt l
25 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Introduction. L’érotisme et les mythes de l’âme — Naissance de l’érotisme occidental
44 sme occidental Apparu pour la première fois aux lisières médiévales de l’inconscient, annoncé sous le couvert des symboles et
26 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
45 fribourgeoise, écrivant en français et vivant aux lisières du domaine alémanique : Gonzague de Reynold. L’un des huit volumes de
27 1962, Articles divers (1957-1962). Journal d’un témoin (23-24 juin 1962)
46 errière la maison, des prairies montent jusqu’aux lisières de la forêt de sapins couronnant le Gurten. Toutes les demi-heures, d
28 1974, Articles divers (1974-1977). Quelques-unes des choses curieuses qui me sont arrivées (1974)
47 nter comment parfois j’ai su qui m’attendait à la lisière de cette forêt tel soir d’été, quel sujet d’examen venait de m’être r