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e lubie d’un agent nous immobilise une minute aux
lisières
odorantes d’une terrasse où nous voyons Charles-Albert Cingria, trans
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Ce soir des Signes où des renards sortirent à la
lisière
de la forêt, des renards qu’on n’avait jamais vus, l’orage s’amassait
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uement, choisissant parfois pour y sommeiller une
lisière
d’où l’on voit de lointains horizons, puis de nouveau m’enfonçant au
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. La lumière montait vers la cime des arbres, aux
lisières
d’une forêt de Parsifal, et les plus hauts feuillages exultaient de c
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’avançais à travers une nature de divagation. Les
lisières
sont des lieux de l’esprit où circulent des bêtes nées du rêve. Et l’
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e consume. Bois du lait, perds du temps, bats les
lisières
du sommeil. Ou bien descends les bras collés au corps dans l’onde apa
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golfe violacé écumer sous la masse du soleil. Une
lisière
qui nous accompagnait vira largement, nous fit front, et il n’y eut p
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ure ouverte à travers les prairies ou le long des
lisières
surprendre les chevreuils et repérer les « bocks » mal encornés. Le f
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e lubie d’un agent nous immobilise une minute aux
lisières
odorantes d’une terrasse où nous voyons Charles-Albert Cingria, trans
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d j’étais petite fille, j’aimais me promener à la
lisière
des forêts, les jambes nues sous la pluie. L’herbe était pleine de sa
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« soir des signes » où des renards sortirent à la
lisière
de la forêt, des renards qu’on n’avait jamais vus, l’orage s’amassait
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golfe violacé écumer sous la masse du soleil. Une
lisière
qui nous accompagnait vira largement, nous fit front, et il n’y eut p
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ure ouverte à travers les prairies ou le long des
lisières
surprendre les chevreuils et repérer un « Bock » mal encorné. Le fusi
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uement, choisissant parfois pour y sommeiller une
lisière
d’où l’on voie de lointains horizons, puis de nouveau m’enfonçant au
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. La lumière montait vers la cime des arbres, aux
lisières
d’une forêt de Parsifal, et les plus hauts feuillages exultaient de c
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’avançais à travers une nature de divagation. Les
lisières
sont des lieux de l’esprit où circulent des bêtes nées du rêve. Et l’
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nter comment parfois j’ai su qui m’attendait à la
lisière
de cette forêt tel soir d’été, quel sujet d’examen venait de m’être r
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e consume. Bois du lait, perds du temps, bats les
lisières
du sommeil. Ou bien descends les bras collés au corps dans l’onde apa
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ement une insistance à forcer les idées jusqu’aux
lisières
du concret, jusqu’au bord de l’action qui les éprouvera, jusqu’au dan
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ement une insistance à forcer les idées jusqu’aux
lisières
du concret, jusqu’au bord de l’action qui les éprouvera, jusqu’au dan
21
’attaque se prépare, un « à terre » prolongé à la
lisière
d’un bois, cela peut être un des plus beaux moments de notre furtive
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de branches mortes, mornes et ronchonneurs, à la
lisière
d’un bois. J’essaie de les réconforter. Silence, réprobation muette.
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le traduit d’un poème provençal ou français… À la
lisière
des Flandres se trouvaient alors en effet des centres importants de r
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’attaque se prépare, un « à terre » prolongé à la
lisière
d’un bois, cela peut être un des plus beaux moments de notre furtive
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’enfumer autour d’un feu de branches mortes, à la
lisière
du bois, mornes et ronchonneurs. J’essaie de les réconforter. Réproba
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ière notre maison, des prairies montent jusqu’aux
lisières
de la forêt de sapins couronnant le Gurten. Toutes les demi-heures, d
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Ce soir des Signes où des renards sortirent à la
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de la forêt, des renards qu’on n’avait jamais vus, l’orage s’amassait
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golfe violacé écumer sous la masse du soleil. Une
lisière
qui nous accompagnait vira largement, nous fit front, et il n’y eut p
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ure ouverte à travers les prairies ou le long des
lisières
surprendre les chevreuils et repérer un « Bock » mal encorné. Le fusi
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uement, choisissant parfois pour y sommeiller une
lisière
d’où l’on voit de lointains horizons, puis de nouveau m’enfonçant au
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. La lumière montait vers la cime des arbres, aux
lisières
d’une forêt de Parsifal, et les plus hauts feuillages exultaient de c
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’avançais à travers une nature de divagation. Les
lisières
sont des lieux de l’esprit où circulent des bêtes nées du rêve. Et l’
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nter comment parfois j’ai su qui m’attendait à la
lisière
de cette forêt tel soir d’été, quel sujet d’examen venait de m’être r
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e consume. Bois du lait, perds du temps, bats les
lisières
du sommeil. Ou bien descends les bras collés au corps dans l’onde apa
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uis plus tard, seul et séparé, mes promenades aux
lisières
des forêts souabes, — les voies que j’avais suivies sans savoir où j’
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’attaque se prépare, un « à terre » prolongé à la
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d’un bois, cela peut être un des plus beaux moments de notre furtive
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’enfumer autour d’un feu de branches mortes, à la
lisière
du bois, mornes et ronchonneurs. J’essaie de les réconforter. Réproba
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ière notre maison, des prairies montent jusqu’aux
lisières
de la forêt de sapins couronnant le Gurten. Toutes les demi-heures, d
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d j’étais petite fille, j’aimais me promener à la
lisière
des forêts, les jambes nues sous la pluie. L’herbe était pleine de li
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s, est de son appartenance : il forme le bord, la
lisière
du monde du saint, comme les idoles le bord ou la lisière des Réalité
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du monde du saint, comme les idoles le bord ou la
lisière
des Réalités divines. » Toute magie dépasse la personne, ou plutôt la
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s, est de son appartenance : il forme le bord, la
lisière
du monde du saint, comme les idoles le bord ou la lisière des Réalité
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du monde du saint, comme les idoles le bord ou la
lisière
des Réalités divines. » Toute magie dépasse la personne, ou plutôt l
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sme occidental Apparu pour la première fois aux
lisières
médiévales de l’inconscient, annoncé sous le couvert des symboles et
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fribourgeoise, écrivant en français et vivant aux
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du domaine alémanique : Gonzague de Reynold. L’un des huit volumes de
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errière la maison, des prairies montent jusqu’aux
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de la forêt de sapins couronnant le Gurten. Toutes les demi-heures, d
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nter comment parfois j’ai su qui m’attendait à la
lisière
de cette forêt tel soir d’été, quel sujet d’examen venait de m’être r