1
aime pour les matériaux qu’on en peut tirer. L[e]
malheur
de Cocteau est qu’il se veuille poète. Il ne l’est jamais moins qu’en
2
a présence… Mais, alors, je ne sais quel démon du
malheur
me paralysa. Je venais d’entrevoir l’image d’un couple heureux et ban
3
serait-elle à son tour que le masque d’un goût du
malheur
? Le sujet profond de ce roman, où l’on voit comment Pierre en vient
4
ins Rothermere et Grande Hongrie… Ivresse dans le
malheur
, passion et pauvreté, espoirs presque puérils et nostalgie des grande
5
trop étroit avec le ciel, les dieux le vouent au
malheur
. » Ô cette chambre, où pénètre la facilité atroce de cette fin d’aprè
6
: vous au moins connaissiez ce qui causait votre
malheur
; moi, non. Barnabooth savait bien ce qu’il ne pouvait perdre, et c’é
7
, au moment où l’Europe semblait abandonner à son
malheur
ce peuple turbulent et déchu, suffirent à faire d’un affairiste angla
8
est : cela qui me rendrait acceptable ce monde…)
Malheur
à celui qui ne cherche pas. Malheur à celui qui ne trouve pas. Malheu
9
le ce monde…) Malheur à celui qui ne cherche pas.
Malheur
à celui qui ne trouve pas. Malheur à celui qui se complaît dans ce qu
10
e cherche pas. Malheur à celui qui ne trouve pas.
Malheur
à celui qui se complaît dans ce qu’il trouve. 15. Toute l’échelle
11
st indifférente à ce que nous appelons bonheur ou
malheur
. Et c’est la vérité seule qu’il s’agit d’attendre. Dans Daphné Adeane
12
à l’origine de son entreprise. C’est même un des
malheurs
de notre temps, que l’action devenue trop rapide suppose une cécité p
13
: vous au moins connaissiez ce qui causait votre
malheur
; moi, non. Barnabooth savait bien ce qu’il ne pouvait perdre, et c’é
14
, au moment où l’Europe semblait abandonner à son
malheur
ce peuple turbulent et déchu, suffirent à faire d’un affairiste angla
15
est : cela qui me rendrait acceptable ce monde.)
Malheur
à celui qui ne cherche pas. Malheur à celui qui ne trouve pas. Malheu
16
le ce monde.) Malheur à celui qui ne cherche pas.
Malheur
à celui qui ne trouve pas. Malheur à celui qui se complaît dans ce qu
17
e cherche pas. Malheur à celui qui ne trouve pas.
Malheur
à celui qui se complaît dans ce qu’il trouve. (1929 et 1930) 7. Ra
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trop étroit avec le ciel, les dieux le vouent au
malheur
. » Ô cette chambre, où pénètre la facilité atroce de la fin d’un aprè
19
: vous au moins connaissiez ce qui causait votre
malheur
; moi, non. Barnabooth savait bien ce qu’il ne pouvait perdre, et c’é
20
, au moment où l’Europe semblait abandonner à son
malheur
ce peuple turbulent et déchu, suffirent à faire d’un affairiste angla
21
est : cela qui me rendrait acceptable ce monde.)
Malheur
à celui qui ne cherche pas. Malheur à celui qui ne trouve pas. Malheu
22
le ce monde.) Malheur à celui qui ne cherche pas.
Malheur
à celui qui ne trouve pas. Malheur à celui qui se complaît dans ce qu
23
e cherche pas. Malheur à celui qui ne trouve pas.
Malheur
à celui qui se complaît dans ce qu’il trouve. 1929. 6. Parce que j
24
trop étroit avec le ciel, les dieux le vouent au
malheur
. » O cette chambre, où pénètre la facilité atroce de la fin d’un aprè
25
rageuse — sous un ciel d’angoisse et de haine ! —
Malheur
sur nous ! Nuit lugubre, sans sommeil — rythmée d’armes martelées —
26
t trop de Juifs réfugiés. Des gens frappés par le
malheur
, où que ce soit, il y en a toujours trop. Cependant notre sort vous p
27
doctrines périmées que plongent « les racines du
malheur
», c’est lui d’abord qu’il faut détruire si l’on veut tuer ces racine
28
r Pascal : « L’homme n’est ni ange ni bête, et le
malheur
veut que qui veut faire l’ange fait la bête. »16 Qu’est l’homme ? Il
29
l’AS condamnent le nationalisme mystique qui, par
malheur
, caractérise les efforts de La Cause. L’Association Sully est beaucou
30
sance. Nous nous tournons vers ce prophète de nos
malheurs
, nous retournons à l’origine où il se tient, nous mettons en lui notr
31
a dépeint ce clerc moderne, accablé par tous les
malheurs
du temps, dont il feint de se croire victime ou responsable53. De cet
32
ble parmi nous. Il sait bien qu’en tous temps, le
malheur
de l’époque ne provient pas de ce qu’elle est « sans Dieu », car nul
33
omanesque décrit depuis cent ans nos mœurs et nos
malheurs
avec une croissante application à la stupidité, j’entends à l’absence
34
fice de « ces jeunes gens qui sont entrés dans le
malheur
la tête haute ». Car ce sont « les jeunes gens, qui ne possédaient ri
35
ll… rien ne rend aussi dur et aussi ardent que le
malheur
. Rien ne rend aussi brave et aussi passionné, aussi modeste, aussi pa
36
i modeste, aussi patient et aussi endurant que le
malheur
. Et rien ne fonde une communauté comme le malheur. La communauté des
37
malheur. Et rien ne fonde une communauté comme le
malheur
. La communauté des gens qui vivent dans l’aisance, celle-là ne vaut p
38
clou. Mais la communauté des gens cimentés par le
malheur
, ça c’est la seule vraie communauté qui puisse exister pour un peuple
39
phrases de Pillau, n’apparaît-il pas lié au seul
malheur
des hommes ? Et n’est-ce point là le vrai tragique de l’Allemagne act
40
orenius ! — qui prend soin d’elle au temps de son
malheur
. Puis une grâce vient dans sa vie, et désormais l’accompagne en secre
41
— une femme de la campagne vaudoise, qui a eu des
malheurs
, qui les conte assez mal — Giono s’en mêle trop — et qui a cherché à
42
ui que l’objet soit ou non présent. Mais alors le
malheur
du spiritualisme fut de se replier sur cette liberté pour la chérir d
43
r jamais été forcé de m’en mêler. Mais tel est le
malheur
des temps : pour peu que l’intellectuel d’aujourd’hui ait préservé en
44
et leurs efforts les plus sincères aboutissent au
malheur
de l’homme. Car tout ce qui ne se fonde pas dans la réalité de l’homm
45
st ce qu’il me faut indiquer pour finir. I. Le
malheur
de l’homme est toujours plus grand qu’on ne le croirait à lire des es
46
ns la maxime : l’argent fait le bonheur, — si par
malheur
cette maxime n’était fausse. Ceci dit, la difficulté du personnalisme
47
compte ; mais ensuite constructif, et c’est là le
malheur
. En bref, Marx démontra d’abord le matérialisme réel de la bourgeoisi
48
r Pascal : « L’homme n’est ni ange ni bête, et le
malheur
veut que qui veut faire l’ange fait la bête24. » Qu’est l’homme ? Il
49
oute espèce de création spirituelle. Le véritable
malheur
du fascisme, c’est d’avoir voulu étendre par la force, à tous les dom
50
ux les… dans le Sermon sur la Montagne, opposée à
Malheur
à vous, ne concerne pas l’état que les modernes nomment bonheur. Elle
51
r jamais été forcé de m’en mêler. Mais tel est le
malheur
des temps : pour peu que l’intellectuel d’aujourd’hui ait préservé en
52
et leurs efforts les plus sincères aboutissent au
malheur
de l’homme. Car tout ce qui ne se fonde pas dans la réalité de l’homm
53
t ce qu’il me faut indiquer pour finir. I. — Le
malheur
de l’homme est toujours plus grand qu’on ne le croirait à lire des es
54
ns la maxime : l’argent fait le bonheur, — si par
malheur
cette maxime n’était fausse. Ceci dit, la difficulté du personnalisme
55
compte ; mais ensuite constructif, et c’est là le
malheur
. En bref, Marx démontra d’abord le matérialisme réel de la bourgeoisi
56
r Pascal : « L’homme n’est ni ange ni bête, et le
malheur
veut que qui veut faire l’ange fait la bête19. » Qu’est l’homme ? Il
57
oute espèce de création spirituelle. Le véritable
malheur
du fascisme, c’est d’avoir voulu étendre par la force, à tous les dom
58
ux les… dans le Sermon sur la Montagne, opposée à
Malheur
à vous, ne concerne pas l’état que les modernes nomment bonheur. Elle
59
la sympathie, dans une communion de révolte. Par
malheur
, l’auteur a voulu romancer ce documentaire authentique, et il en a sa
60
fice de « ces jeunes gens qui sont entrés dans le
malheur
la tête haute ». Car ce sont « les jeunes gens qui ne possédaient rie
61
ll, rien ne rend aussi dur et aussi ardent que le
malheur
. Rien ne rend aussi brave et aussi passionné, aussi modeste et aussi
62
passionné, aussi modeste et aussi endurant que le
malheur
. Et rien ne fonde une communauté comme le malheur. La communauté des
63
malheur. Et rien ne fonde une communauté comme le
malheur
. La communauté des gens qui vivent dans l’aisance, celle-là ne vaut p
64
clou. Mais la communauté des gens cimentés par le
malheur
, ça c’est la seule vraie communauté qui puisse exister pour un peuple
65
omme ne peut se dépouiller de son humanité. » Par
malheur
, j’ai oublié la référence. Nicodème. — Peu importe. C’est en effet,
66
ue Descartes a proposé, ce que l’Église, pour son
malheur
, a pris en compte, c’est la doctrine « spiritualiste » de l’esprit. V
67
ccès de l’erreur eût été forcément limité, si par
malheur
elle n’avait pas rejoint d’une manière aussi naturelle le « sens comm
68
ment) s’opérera sans qu’il y mette les mains. Par
malheur
, le droit dont il se targue ne comportant aucune espèce de vérité pra
69
hement qui ne comporte pas de choix délibéré. Par
malheur
, l’enseignement s’empare du fait patriotique et tente de le rationali
70
nfondant la foi et la mystique, comme le fait par
malheur
M. Chuzeville, on contribue à renforcer un préjugé dont le bénéfice n
71
secrète attirance, une secrète espérance dans le
malheur
total, où peut-être on touchera de nouveau le réel, où peut-être on r
72
lle théorie est conforme à cette ligne sacrée. Et
malheur
à qui chercherait à pousser plus loin ! » Je demande alors si Gide pr
73
on dont nous sommes les victimes, par surcroît de
malheur
, inconscientes. On peut résumer d’un seul mot les effets de cette déc
74
s appétits les plus violents, qui sont aussi, par
malheur
, les moins nobles, — aussitôt la raison s’émancipe et bientôt elle no
75
secrète attirance, une secrète espérance dans le
malheur
total, où peut-être on touchera de nouveau le réel, où peut-être on r
76
uiert une vérité si importante56, — car elle a le
malheur
d’être évidente, et il n’en faut pas davantage pour qu’on la néglige
77
ée. Deux sens du mot penser Les plus grands
malheurs
de l’humanité naissent de malentendus, et non pas comme le veut la po
78
chons. Première vertu : le réalisme Tout le
malheur
de l’homme vient de ce qu’il ne pose pas les problèmes dans leur réal
79
x qu’il faut être un homme pour trancher. Tout le
malheur
de l’homme vient de ce qu’il fuit devant les alternatives absolues. L
80
on dont nous sommes les victimes, par surcroît de
malheur
, inconscientes. On peut résumer d’un seul mot les effets de cette déc
81
s appétits les plus violents, qui sont aussi, par
malheur
, les moins nobles, — aussitôt la raison s’émancipe et bientôt elle no
82
secrète attirance, une secrète espérance dans le
malheur
total, où peut-être on touchera de nouveau le réel, où peut-être on r
83
uiert une vérité si importante58, — car elle a le
malheur
d’être évidente, et il n’en faut pas davantage pour qu’on la néglige
84
ée. Deux sens du mot penser Les plus grands
malheurs
de l’humanité naissent de malentendus, et non pas comme le veut la po
85
chons. Première vertu : le réalisme Tout le
malheur
de l’homme vient de ce qu’il ne pose pas les problèmes dans leur réal
86
x qu’il faut être un homme pour trancher. Tout le
malheur
de l’homme vient de ce qu’il fuit devant les alternatives absolues. L
87
avoir compris qu’il faut défendre la culture. Le
malheur
est qu’ils n’envisagent pour cette défense que des moyens fascistes.
88
; il s’excite, il s’admire dans sa révolte ou son
malheur
. Mais celui qu’on peut voir, celui qui vous pose des questions, celui
89
us qu’ailleurs peut-être, pour celui qui voit, le
malheur
défait et refait sans cesse un monde banal, vulgaire, insupportable,
90
tation, lorsqu’il rattache ces divers traits au «
malheur
» de notre jeunesse, lequel ne saurait, en bonne logique, expliquer l
91
i porte l’homme à croire que la cause de tous ses
malheurs
est dans les choses, et non dans lui. (Il n’en fut pas conscient, et
92
ur l’oppression capitaliste, trop réelle, tout le
malheur
inhérent à l’existence, tout le malheur dont en vérité le péché de ch
93
, tout le malheur inhérent à l’existence, tout le
malheur
dont en vérité le péché de chacun est responsable. L’observation est
94
tte synthèse, paraissant redouter je ne sais quel
malheur
pour leur foi, ou pour son « succès », si l’on ne parvient pas à l’op
95
s sont pour une part, peut-être capitale, dans le
malheur
universel qui vient ? Or toute attente passive, si courageuse qu’elle
96
aite dont nous avons, nous les premiers, dévié. «
Malheur
à moi si je n’évangélise ! », disait l’Apôtre. Malheur à moi si je re
97
ur à moi si je n’évangélise ! », disait l’Apôtre.
Malheur
à moi si je refuse de réaliser l’Évangile dans tous les domaines de l
98
assez compréhensible les retienne de se mêler du
malheur
d’autrui, d’un malheur en l’espèce dont ils se sentent peut-être, obs
99
es retienne de se mêler du malheur d’autrui, d’un
malheur
en l’espèce dont ils se sentent peut-être, obscurément, responsables
100
été malade comme un chien. Et après, eh bien, les
malheurs
sont venus de partout. On a retrouvé la chèvre. Mais elle est toute c
101
autant comme ils artializent la nature. » Mais le
malheur
du jour d’aujourd’hui, c’est que le peuple qui lit les journaux a l’e
102
; il s’excite, il s’admire dans sa révolte ou son
malheur
. Mais celui qu’on peut voir, celui qui vous pose des questions, celui
103
on veut, de « survivants »… Faut-il penser que le
malheur
seul peut encore rassembler les hommes en communautés pacifiques ?
104
Craignons qu’ils ne préfèrent un jour les grands
malheurs
à cette démission confortable ! Août 1935 La pire injustice du
105
d’abord que ce régime est né de la pauvreté et du
malheur
de son pays, — ce qui est très juste. Et il ajoute : Mais la pauvret
106
rès juste. Et il ajoute : Mais la pauvreté et le
malheur
ne peuvent expliquer que des phénomènes extérieurs. La raison profond
107
ntiel, et qui a tenté de fort bons auteurs ». Mon
malheur
a voulu que j’aie tenté aussi un auteur qui « malmène les mots » à te
108
l’ennui. On n’ignore pas que la passion serait un
malheur
— mais on pressent que ce serait un malheur plus beau et plus « vivan
109
it un malheur — mais on pressent que ce serait un
malheur
plus beau et plus « vivant » que la vie normale, plus exaltant que so
110
ondent notre fidélité. Quoi qu’il arrive, heur ou
malheur
, le sort du monde nous importe bien moins que la connaissance de nos
111
d’abord que ce régime est né de la pauvreté et du
malheur
de son pays, — ce qui est très juste. Et il ajoute : « Mais la pauvre
112
ès juste. Et il ajoute : « Mais la pauvreté et le
malheur
ne peuvent expliquer que des phénomènes extérieurs. La raison profond
113
e le régime hitlérien est né de la pauvreté et du
malheur
de son pays — ce qui est très juste. Mais il ajoute : « La pauvreté e
114
très juste. Mais il ajoute : « La pauvreté et le
malheur
ne peuvent expliquer que des phénomènes extérieurs. La raison profond
115
enne foi, héraut de l’Eucharistie et prophète des
malheurs
dus à la Réforme. Pour des fins partisanes non dissimulées, les polit
116
t derrière les titres des journaux du soir que le
malheur
des temps est une vieille expression… Oui, de tout temps, le sort du
117
ourtant, la passion d’amour signifie, de fait, un
malheur
. La société où nous vivons et dont les mœurs n’ont guère changé, sous
118
mystification » que nous ayons vraiment oublié ce
malheur
? Ou faut-il croire qu’en secret nous préférons ce qui nous blesse et
119
ait paradoxal : que nous voulons la passion et le
malheur
à condition de ne jamais avouer que nous les voulons en tant que tels
120
gations, de complaisances secrètes — la moitié du
malheur
humain se résume dans le mot d’adultère. Malgré toutes nos littératur
121
qu’on n’ait encore rien dit sur la réalité de ce
malheur
. Et que certaines questions des plus naïves, en ce domaine, aient été
122
attrait de l’interdit, d’où nous vient ce goût du
malheur
? Quelle idée de l’amour trahit-il ? Quel secret de notre existence,
123
s sauver cette passion, et que nous chérissons ce
malheur
, cependant que nos morales officielles et notre raison les condamnent
124
ce vos demeine ! (Béroul.) Tristan naît dans le
malheur
. Son père vient de mourir, et sa mère Blanchefleur ne survit pas à sa
125
roi qu’auprès de son ami ; plus heureuse dans le
malheur
d’amour que dans leur vie commune du Morois… ⁂ On sait d’ailleurs que
126
le voulions ou non, une préférence intime pour le
malheur
. Que ce malheur, selon la force de notre âme, soit la « délicieuse tr
127
on, une préférence intime pour le malheur. Que ce
malheur
, selon la force de notre âme, soit la « délicieuse tristesse » et le
128
eur des amants ne nous émeut que par l’attente du
malheur
qui le guette. Il y faut cette menace de la vie et des hostiles réali
129
nvers l’autre, d’une fidélité exemplaire. Mais le
malheur
, c’est que l’amour qui les « demeine » n’est pas l’amour de l’autre t
130
l’autre qu’à partir de soi, non de l’autre. Leur
malheur
prend ainsi sa source dans une fausse réciprocité, masque d’un double
131
, sont-ce tes soupirs ? Souffle, souffle ô vent !
Malheur
, ah ! malheur, fille d’Irlande, amoureuse et sauvage ! Double malheu
132
soupirs ? Souffle, souffle ô vent ! Malheur, ah !
malheur
, fille d’Irlande, amoureuse et sauvage ! Double malheur de la passio
133
, fille d’Irlande, amoureuse et sauvage ! Double
malheur
de la passion qui fuit le réel et la Norme du Jour, malheur essentiel
134
la passion qui fuit le réel et la Norme du Jour,
malheur
essentiel de l’amour : ce que l’on désire, on ne l’a pas encore — c’e
135
e, loin de ce qui divise et distingue, au-delà du
malheur
d’être soi et d’être deux dans l’amour même. L’Éros, c’est le Désir t
136
dualiste, disons manichéenne, voit dans la vie le
malheur
même ; et dans la mort le bien dernier, le rachat de la faute d’être
137
vue de la vie, un tel Amour ne saurait être qu’un
malheur
total. Tel est le grand fond du paganisme oriental-occidental sur leq
138
—, tel est l’événement inouï qui nous délivre du
malheur
de vivre. Tel est le centre de tout le christianisme, et le foyer de
139
gique, aboutissait, du point de vue de la vie, au
malheur
absolu, qui est la mort. Le christianisme n’est un malheur mortel que
140
bsolu, qui est la mort. Le christianisme n’est un
malheur
mortel que pour l’homme séparé de Dieu, mais un malheur recréateur et
141
r mortel que pour l’homme séparé de Dieu, mais un
malheur
recréateur et bienheureux dès cette vie pour le croyant que « saisit
142
puissances mauvaises. « Souffle, souffle ô vent !
Malheur
! ah malheur ! fille d’Irlande, amoureuse et sauvage ! » Toute une vi
143
uvaises. « Souffle, souffle ô vent ! Malheur ! ah
malheur
! fille d’Irlande, amoureuse et sauvage ! » Toute une vie de pénitenc
144
e devra maintenant racheter le sacrilège. Mais le
malheur
essentiel de cet amour n’est pas seulement la rançon du péché. L’ascè
145
it — théoriquement — que l’amour profane était le
malheur
absolu, l’attachement impossible et condamnable à la créature imparfa
146
tandis que pour le chrétien, l’amour divin est un
malheur
recréateur. Loin de nier l’amour profane, il aboutit à le sanctifier
147
e l’âme, ce qui entraînait le bonheur divin et le
malheur
de tout amour humain ; tandis que l’orthodoxie pose que l’union est i
148
se que l’union est impossible, ce qui entraîne le
malheur
divin et rend l’amour humain possible en ses limites. D’où il résulte
149
le il n’est pas initié, et suivre une voie que le
malheur
des temps rend totalement impraticable. L’Église de Rome a triomphé.
150
erait fatal au repos de cet étrange amant ? Et le
malheur
d’être trahi par Angélique le guérirait de son amour ? Cet Alidor ser
151
ut guérir : car on avoue difficilement le goût du
malheur
, à cette époque. « J’ai honte de souffrir les maux dont je me plains
152
Pétrarque. 143. « On a de Sade : Juliette ou les
malheurs
de la vertu (1791), puis Justine ou les prospérités du vice. C’est le
153
eux.177 » Devise de général, que les Soubise, par
malheur
, n’oubliaient guère que sur le champ de bataille. 8.La guerre révo
154
l’ennui. On n’ignore pas que la passion serait un
malheur
— mais on pressent que ce serait un malheur plus beau et plus « vivan
155
it un malheur — mais on pressent que ce serait un
malheur
plus beau et plus « vivant » que la vie normale, plus exaltant que so
156
ondent notre fidélité. Quoi qu’il arrive, heur ou
malheur
, le sort du monde nous importe bien moins que la connaissance de nos
157
cle de la transcendance introduit dans l’amour un
malheur
essentiel (quoi qu’en ait dit tout à l’heure M. Gilson). On retrouve
158
el ! Que dis-tu ? Des sons lointains prédisent le
malheur
Le vent des plaines emporte leur écho ! Voix de paix descend des somm
159
leil ! — Radoteur ! Une voix des campagnes. —
Malheur
, malheur, malheur au peuple qui croit un mage et ne croit plus un sai
160
Radoteur ! Une voix des campagnes. — Malheur,
malheur
, malheur au peuple qui croit un mage et ne croit plus un saint ! L
161
! Une voix des campagnes. — Malheur, malheur,
malheur
au peuple qui croit un mage et ne croit plus un saint ! Le chœur.
162
un mage et ne croit plus un saint ! Le chœur.
Malheur
! Malheur ! Malheur ! (Le jour baisse. Trompette dans le lointain.)
163
ne croit plus un saint ! Le chœur. Malheur !
Malheur
! Malheur ! (Le jour baisse. Trompette dans le lointain.) Scène i
164
plus un saint ! Le chœur. Malheur ! Malheur !
Malheur
! (Le jour baisse. Trompette dans le lointain.) Scène ix. (Hor
165
Victoire ! Une partie du chœur. (En écho.)
Malheur
! Malheur ! Malheur ! L’astrologue. — Et toi, là-haut, sentinelle
166
! Une partie du chœur. (En écho.) Malheur !
Malheur
! Malheur ! L’astrologue. — Et toi, là-haut, sentinelle de malheu
167
partie du chœur. (En écho.) Malheur ! Malheur !
Malheur
! L’astrologue. — Et toi, là-haut, sentinelle de malheur, mainten
168
L’astrologue. — Et toi, là-haut, sentinelle de
malheur
, maintenant, que vois-tu venir ? Ouvre les yeux ! Vois l’énorme incen
169
te orageuse sous un ciel d’angoisse et de haine !
Malheur
sur nous ! Nuit lugubre et sans sommeil — rythmée d’armes martelées —
170
ourtant, la passion d’amour signifie, de fait, un
malheur
. La société où nous vivons et dont les mœurs n’ont guère changé, sous
171
mystification » que nous ayons vraiment oublié ce
malheur
? Ou faut-il croire qu’en secret nous préférons ce qui nous blesse et
172
ait paradoxal : que nous voulons la passion et le
malheur
à condition de ne jamais avouer que nous les voulons en tant que tels
173
gations, de complaisances secrètes — la moitié du
malheur
humain se résume dans le mot d’adultère. Malgré toutes nos littératur
174
qu’on n’ait encore rien dit sur la réalité de ce
malheur
. Et que certaines questions des plus naïves, en ce domaine, aient été
175
attrait de l’interdit, d’où nous vient ce goût du
malheur
? Quelle idée de l’amour trahit-il ? Quel secret de notre existence,
176
s sauver cette passion, et que nous chérissons ce
malheur
, cependant que nos morales officielles et notre raison les condamnent
177
ce vos demeine ! (Béroul.) Tristan naît dans le
malheur
. Son père vient de mourir, et sa mère Blanchefleur ne survit pas à sa
178
roi qu’auprès de son ami ; plus heureuse dans le
malheur
d’amour que dans leur vie commune du Morois… ⁂ On sait d’ailleurs que
179
le voulions ou non, une préférence intime pour le
malheur
. Que ce malheur, selon la force de notre âme, soit la « délicieuse tr
180
on, une préférence intime pour le malheur. Que ce
malheur
, selon la force de notre âme, soit la « délicieuse tristesse » et le
181
eur des amants ne nous émeut que par l’attente du
malheur
qui le guette. Il y faut cette menace de la vie et des hostiles réali
182
nvers l’autre, d’une fidélité exemplaire. Mais le
malheur
, c’est que l’amour qui les « demeine » n’est pas l’amour de l’autre t
183
l’autre qu’à partir de soi, non de l’autre. Leur
malheur
prend ainsi sa source dans une fausse réciprocité, masque d’un double
184
sont-ce tes soupirs ? Souffle, souffle, ô vent !
Malheur
, ah ! malheur, fille d’Irlande, amoureuse et sauvage ! Double malheur
185
oupirs ? Souffle, souffle, ô vent ! Malheur, ah !
malheur
, fille d’Irlande, amoureuse et sauvage ! Double malheur de la passion
186
r, fille d’Irlande, amoureuse et sauvage ! Double
malheur
de la passion qui fuit le réel et la Norme du Jour, malheur essentiel
187
la passion qui fuit le réel et la Norme du Jour,
malheur
essentiel de l’amour : ce que l’on désire, on ne l’a pas encore — c’e
188
e, loin de ce qui divise et distingue, au-delà du
malheur
d’être soi et d’être deux dans l’amour même. L’Éros, c’est le Désir t
189
liste, manichéenne, voit dans la vie des corps le
malheur
même ; et dans la mort le bien dernier, le rachat de la faute d’être
190
vue de la vie, un tel Amour ne saurait être qu’un
malheur
total. Tel est le grand fond du paganisme oriental-occidental sur leq
191
—, tel est l’événement inouï qui nous délivre du
malheur
de vivre. Tel est le centre de tout le christianisme, et le foyer de
192
gique, aboutissait, du point de vue de la vie, au
malheur
absolu, qui est la mort. Le christianisme n’est un malheur mortel que
193
bsolu, qui est la mort. Le christianisme n’est un
malheur
mortel que pour l’homme séparé de Dieu, mais un malheur recréateur et
194
r mortel que pour l’homme séparé de Dieu, mais un
malheur
recréateur et bienheureux dès cette vie pour le croyant que « saisit
195
ment du moi distinct, du temps, de l’espace et du
malheur
terrestre, est emprunté presque littéralement à divers passages du po
196
miné par le démon. Mais s’il assume son destin de
malheur
jusqu’à la mort, qui le libère du corps, il peut atteindre au-delà du
197
nes imprudences d’expression. (Ce sont elles, par
malheur
, qui ont le plus fait pour assurer le succès de l’ouvrage dans un lar
198
puissances mauvaises. « Souffle, souffle ô vent !
Malheur
! ah malheur ! fille d’Irlande, amoureuse et sauvage ! » Toute une vi
199
uvaises. « Souffle, souffle ô vent ! Malheur ! ah
malheur
! fille d’Irlande, amoureuse et sauvage ! » Toute une vie de pénitenc
200
e devra maintenant racheter le sacrilège. Mais le
malheur
essentiel de cet amour n’est pas seulement la rançon du péché. L’ascè
201
it — théoriquement — que l’amour profane était le
malheur
absolu, l’attachement impossible et condamnable à la créature imparfa
202
tandis que pour le chrétien, l’amour divin est un
malheur
recréateur. Loin de nier l’amour profane, il aboutit à le sanctifier
203
e l’âme, ce qui entraînait le bonheur divin et le
malheur
de tout amour humain ; tandis que l’orthodoxie pose que l’union est i
204
se que l’union est impossible, ce qui entraîne le
malheur
divin et rend l’amour humain possible en ses limites. D’où il résulte
205
le il n’est pas initié, et suivre une voie que le
malheur
des temps rend totalement impraticable. L’Église de Rome a triomphé.
206
erait fatal au repos de cet étrange amant ? Et le
malheur
d’être trahi par Angélique le guérirait de son amour ? Cet Alidor ser
207
ut guérir : car on avoue difficilement le goût du
malheur
, à cette époque. « J’ai honte de souffrir les maux dont je me plains
208
Pétrarque. 161. « On a de Sade : Juliette ou les
malheurs
de la vertu (1791), puis Justine ou les prospérités du vice. C’est le
209
eux195. » Devise de général, que les Soubise, par
malheur
, n’oubliaient guère que sur le champ de bataille. 8.La guerre révo
210
l’ennui. On n’ignore pas que la passion serait un
malheur
— mais on pressent que ce serait un malheur plus beau et plus « vivan
211
it un malheur — mais on pressent que ce serait un
malheur
plus beau et plus « vivant » que la vie normale, plus exaltant que so
212
ondent notre fidélité. Quoi qu’il arrive, heur ou
malheur
, le sort du monde nous importe bien moins que la connaissance de nos
213
ourtant, la passion d’amour signifie, de fait, un
malheur
. La société où nous vivons et dont les mœurs n’ont guère changé, sous
214
mystification » que nous ayons vraiment oublié ce
malheur
? Ou faut-il croire qu’en secret nous préférons ce qui nous blesse et
215
ait paradoxal : que nous voulons la passion et le
malheur
à condition de ne jamais avouer que nous les voulons en tant que tels
216
gations, de complaisances secrètes — la moitié du
malheur
humain se résume dans le mot d’adultère. Malgré toutes nos littératur
217
qu’on n’ait encore rien dit sur la réalité de ce
malheur
. Et que certaines questions des plus naïves, en ce domaine, aient ét
218
attrait de l’interdit, d’où nous vient ce goût du
malheur
? Quelle idée de l’amour trahit-il ? Quel secret de notre existence,
219
s sauver cette passion, et que nous chérissons ce
malheur
, cependant que nos morales officielles et notre raison les condamnent
220
ce vos demeine ! Béroul. Tristan naît dans le
malheur
. Son père vient de mourir, et sa mère Blanchefleur ne survit pas à sa
221
roi qu’auprès de son ami ; plus heureuse dans le
malheur
d’amour que dans leur vie commune du Morois… ⁂ On sait d’ailleurs que
222
le voulions ou non, une préférence intime pour le
malheur
. Que ce malheur, selon la force de notre âme, soit la « délicieuse tr
223
on, une préférence intime pour le malheur. Que ce
malheur
, selon la force de notre âme, soit la « délicieuse tristesse » et le
224
eur des amants ne nous émeut que par l’attente du
malheur
qui le guette. Il y faut cette menace de la vie et des hostiles réali
225
nvers l’autre, d’une fidélité exemplaire. Mais le
malheur
, c’est que l’amour qui les « demeine » n’est pas l’amour de l’autre t
226
l’autre qu’à partir de soi, non de l’autre. Leur
malheur
prend ainsi sa source dans une fausse réciprocité, masque d’un double
227
, sont-ce tes soupirs ? Souffle, souffle ô vent !
Malheur
, ah ! malheur, fille d’Irlande, amoureuse et sauvage ! Double malheu
228
soupirs ? Souffle, souffle ô vent ! Malheur, ah !
malheur
, fille d’Irlande, amoureuse et sauvage ! Double malheur de la passio
229
, fille d’Irlande, amoureuse et sauvage ! Double
malheur
de la passion qui fuit le réel et la Norme du Jour, malheur essentiel
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la passion qui fuit le réel et la Norme du Jour,
malheur
essentiel de l’amour : ce que l’on désire, on ne l’a pas encore — c’e
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e, loin de ce qui divise et distingue, au-delà du
malheur
d’être soi et d’être deux dans l’amour même. L’Éros, c’est le Désir t
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liste, manichéenne, voit dans la vie des corps le
malheur
même ; et dans la mort le bien dernier, le rachat de la faute d’être
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vue de la vie, un tel Amour ne saurait être qu’un
malheur
total. Tel est le grand fond du paganisme oriental-occidental sur leq
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—, tel est l’événement inouï qui nous délivre du
malheur
de vivre. Tel est le centre de tout le christianisme, et le foyer de
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gique, aboutissait, du point de vue de la vie, au
malheur
absolu, qui est la mort. Le christianisme n’est un malheur mortel que
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bsolu, qui est la mort. Le christianisme n’est un
malheur
mortel que pour l’homme séparé de Dieu, mais un malheur recréateur et
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r mortel que pour l’homme séparé de Dieu, mais un
malheur
recréateur et bienheureux dès cette vie pour le croyant que « saisit
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ment du moi distinct, du temps, de l’espace et du
malheur
terrestre, est emprunté presque littéralement à divers passages du po
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miné par le démon. Mais s’il assume son destin de
malheur
jusqu’à la mort, qui le libère du corps, il peut atteindre au-delà du
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nes imprudences d’expression. (Ce sont elles, par
malheur
, qui ont le plus fait pour assurer le succès de l’ouvrage dans un lar
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puissances mauvaises. « Souffle, souffle ô vent !
Malheur
! ah malheur ! fille d’Irlande, amoureuse et sauvage ! » Toute une vi
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uvaises. « Souffle, souffle ô vent ! Malheur ! ah
malheur
! fille d’Irlande, amoureuse et sauvage ! » Toute une vie de pénitenc
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e devra maintenant racheter le sacrilège. Mais le
malheur
essentiel de cet amour n’est pas seulement la rançon du péché. L’ascè
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it — théoriquement — que l’amour profane était le
malheur
absolu, l’attachement impossible et condamnable à la créature imparfa
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tandis que pour le chrétien l’amour divin est un
malheur
recréateur. Loin de nier l’amour profane, il aboutit à le sanctifier
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e l’âme, ce qui entraînait le bonheur divin et le
malheur
de tout amour humain ; tandis que l’orthodoxie pose que l’union est i
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se que l’union est impossible, ce qui entraîne le
malheur
divin et rend l’amour humain possible en ses limites. D’où il résulte
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le il n’est pas initié, et suivre une voie que le
malheur
des temps rend totalement impraticable. L’Église de Rome a triomphé.
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erait fatal au repos de cet étrange amant ? Et le
malheur
d’être trahi par Angélique le guérirait de son amour ? Cet Alidor ser
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ut guérir : car on avoue difficilement le goût du
malheur
, à cette époque. « J’ai honte de souffrir les maux dont je me plains
251
Pétrarque. 150. « On a de Sade : Juliette ou les
malheurs
de la vertu (1791), puis Justine ou les prospérités du vice. C’est le
252
eux.181 » Devise de général, que les Soubise, par
malheur
, n’oubliaient guère que sur le champ de bataille. 8.La guerre révo
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l’ennui. On n’ignore pas que la passion serait un
malheur
— mais on pressent que ce serait un malheur plus beau et plus « vivan
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it un malheur — mais on pressent que ce serait un
malheur
plus beau et plus « vivant » que la vie normale, plus exaltant que so
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ondent notre fidélité. Quoi qu’il arrive, heur ou
malheur
, le sort du monde nous importe bien moins que la connaissance de nos
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cle de la transcendance introduit dans l’amour un
malheur
essentiel (quoi qu’en ait dit tout à l’heure M. Gilson). On retrouve
257
e nous faire comprendre que la vraie cause de nos
malheurs
est presque toujours en nous-mêmes. Il faut reconnaître, hélas, que c
258
rovidence qui se charge de tout mettre au pas. Le
malheur
, c’est que l’Argent et l’État sont des principes qui ne valent rien d
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réformes matérielles sont inutiles et tournent au
malheur
. Car le mal qui est dans l’action n’a pas d’autres racines que le mal
260
s efforts, même les plus sincères, aboutissent au
malheur
de l’homme. Dans ce monde qui a perdu la mesure, le seul devoir des i
261
tions de notre bonheur, mais bien celles de notre
malheur
. Mais l’optimisme du matérialiste modéré ne veut prévoir que le profi
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tions de notre bonheur, mais bien celles de notre
malheur
. Mais l’optimisme du matérialiste modéré ne veut prévoir que le profi