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erts confondent délibérément la prospective et le
marketing
, détournant ainsi nos esprits de la seule question sérieuse, qui est
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’agit plus à vrai dire de prospective, ni même de
marketing
, il s’agit simplement de guerre psychologique, de fausses nouvelles d
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e produire toujours plus, d’où la publicité et le
marketing
; la rentabilité comme indicateur universel remplaçant l’utilité ou l
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me disent les Américains. Il nous faut un nouveau
marketing
, qui analyse les besoins réels, et non les possibilités de vendre plu
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u’on tentait de relever jusqu’à l’exponentiel. Le
marketing
a introduit de la sorte un élément de perversion des désirs : et voil
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la publicité, les mass médias et la « morale » du
marketing
. Le sort de l’an 2000 se joue dans les leçons de nos écoles secondair
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idée de programme vient à l’esprit d’un expert en
marketing
, c’est sous la forme d’obsolescence planifiée et jamais de maturation
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ute évidence que boniment de vendeur, ou au mieux
marketing
qui voudrait se faire passer pour prospective. Qui croire, lorsque tr
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e, qu’on aurait tort, je le crains, de réduire au
marketing
. Pour faire face à la demande en électricité dont on assure, sans nul
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ublicité, des mass médias, et de la « morale » du
marketing
. Partir de ce que l’on voit, paysages et monuments, traces du passé,
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aux calculs de la publicité et aux prévisions du
marketing
. Alors que partout ailleurs, les peuples du tiers-monde paraissent ac
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aux calculs de la publicité et aux prévisions du
marketing
. » Alors que la plupart des peuples du tiers-monde paraissent accepte
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s producteurs. Elle relève donc principalement du
marketing
, de ses stratégies et de ses tactiques bien connues. Ainsi quand une
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ar tout cela ne justifie rien et ne relève que du
marketing
, qui joue sur la puérilité des réactions du grand public. Je voudrais