1 écit d’ailleurs admirable4, de Louis Aragon, pour marquer l’aboutissement d’une évolution qui a son origine dans l’œuvre de Gid

2 araphraser serait d’une ingratitude insigne — ils marquent au reste fort bien les jalons de cette recherche) : Puissiez-vous av

3 a ne manque jamais de provoquer, je me propose de marquer ici la distinction classique du fait et du droit ; et c’est pourquoi

4 indélébile de l’éducation jésuite ». Nous étions marqués par Numa Droz et les manuels des Frères ∴, par l’esprit petit-bourgeo

5 éfense de, petites crottes noires et blanches qui marquent un peu partout le passage de l’État, et dont la vue permet à ceux qui

6 a ne manque jamais de provoquer, je me propose de marquer ici la distinction classique du fait et du droit ; et c’est pourquoi

7 indélébile de l’éducation jésuite ». Nous étions marqués par Numa Droz, par l’esprit petit-bourgeois, qui est une généralisati

8 éfense de, petites crottes noires et blanches qui marquent un peu partout le passage de l’État, et dont la vue permet à ceux qui

9 lus réels que leurs personnages ; des êtres gris, marqués d’un point rouge, professeurs, journalistes, spécialistes de tout au

10 du lecteur : leur tempérament est plus fortement marqué que leurs particularités extérieures, et c’est sans doute le tempéram

11 naire aux faits pittoresques ou exceptionnels qui marquèrent leur vie ; ils négligent volontiers ce qui les rend semblables au com

12 . (Divers, p. 75.) Ces quelques notes voudraient marquer une réaction toute personnelle provoquée par la dernière « manière »

13 gieuse des trois œuvres, l’on se sentait tenté de marquer ici d’une pierre blanche « l’année du roman protestant ». À la réflex

14 forme et lui donnant une date. Les périodes qui «  marquent  » dans l’Histoire sont celles où la forme d’un mythe affleure, s’inca

15 é d’ajouter quelques tomes depuis. Il convient de marquer toutefois qu’une pareille assimilation eût exaspéré Goethe autant que

16 fet. Qu’y a-t-il de plus agissant, dans une œuvre marquée du signe de la maturité, que cette présence rayonnante dont on devine

17 t dans les pages de l’Action française, mais qui, marquons -le tout de suite, ne comportent nulle allusion à la position politiqu

18 ialectique en face de l’action humaine. Position, marquons -le tout de suite, intenable in abstracto, intenable en logique ration

19 ubsister que les risques accidentels. Et comme le marquait récemment T. S. Eliot, dans un article21 où s’exprimaient des vues pa

20 ns intellectuelles et politiques restent les plus marquées . François-Antoine III, mon quadrisaïeul, épouse Henriette de Montmoll

21 ertus de prudence, d’ordre et d’autorité, un goût marqué pour l’argumentation et la dialectique légaliste, qui l’eussent condu

22 extes à différer toute action « pratique ». Ceci marqué , nous pourrons répondre plus clairement à ceux qui croient à leur que

23 e force de Dieu, — par la foi. Dans les deux cas, marquons -le bien, il s’agit de salut. Certains humanistes le nieront. Ils me d

24 er les luttes réelles, peut-être inévitables, qui marqueront demain l’opposition des conservateurs fascistes, hitlériens on marxis

25 e paraît point faire de doute. Ailleurs4, j’ai pu marquer mon choix et quelles conséquences il entraîne dans l’ordre politique,

26 pages illustrées de nos quotidiens. Il me reste à marquer la dépendance théologique d’une analyse qui peut paraître strictement

27 ement accessible au lecteur français. Essayons de marquer les étapes de sa recherche. ⁂ Le protestantisme du début de ce siècle

28 actif de l’âme » ; il pousse la lucidité jusqu’à marquer qu’un tel état n’est pas recommandable, sauf à l’infortuné qu’on a « 

29 e et de ses exigences concrètes. Est-il besoin de marquer , pour finir, que cette critique de l’esprit bourgeois englobe égaleme

30 nt naître ces expressions dans nos esprits encore marqués de préjugés naturalistes. On a voulu nous faire croire que la vie quo

31 nt ces transformations qui scandent la durée, qui marquent nos mémoires, qui nient le temps, mais aussi nous permettent d’en pre

32 que les définitions d’un philosophe ? Je tiens à marquer toutefois qu’ils ne sont pas sans justifications philosophiques, voir

33 e force de Dieu, — par la foi. Dans les deux cas, marquons -le bien, il s’agit de salut. Certains humanistes le nieront. Ils me d

34 tout, ne sont pas niables. Mais je n’ai pas ici à marquer des points, bons ou mauvais. Ce qui m’importe, ce sont les fins spiri

35 que les définitions d’un philosophe ? Je tiens à marquer toutefois qu’ils ne sont pas sans justifications philosophiques, voir

36 e force de Dieu, — par la foi. Dans les deux cas, marquons -le bien, il s’agit de salut. Certains humanistes le nieront. Ils me d

37 tout, ne sont pas niables. Mais je n’ai pas ici à marquer des points, bons ou mauvais. Ce qui m’importe, ce sont les fins spiri

38 e nos libéraux se mettent d’eux-mêmes en rangs et marquent le pas dès qu’une menace se précise contre les libertés françaises !

39 même courant spirituel nous les apporte au temps marqué . Peut-être, l’examen de ces « témoins » à la fois si divers et si pro

40 à une prochaine renaissance. Mais il importe d’en marquer le danger, disons plus : le péché, qui l’a stérilisée avant qu’elle e

41 coup plus de nuances. J’ai cherché au contraire à marquer quels peuvent être nos motifs de choix, et le lieu d’une action prati

42 e floraison néo-thomiste. Il n’est pas inutile de marquer les raisons qui, du point de vue protestant, rendent ce parallèle irr

43 y reviendrons plus tard tout à loisir, soit pour marquer les causes internes de son succès auprès des clercs, soit pour rappel

44 rituelle se pare le mieux d’humilité dévote. Ceci marqué , qui est plus qu’une réserve, il convient de remercier M. Chuzeville

45 ile, où il n’est pas question de mysticisme. Ceci marqué , qui est plus qu’une réserve, il convient de remercier M. Chuzeville

46 par Emmanuel Mounier (octobre 1936)w Ce texte marquera un moment important dans l’évolution du personnalisme : le moment du

47 r l’Allemagne, tout au contraire. Mais si nous ne marquons pas notre avance historique par des créations aussi fortes que celles

48 us moyens d’agir. Leurs coups ne portent plus, ne marquent pas dans ce magma inconsistant. Et leurs conseils paraissent obscurs

49 ue ceux qui sont et qui se sentent du “bon côté”, marquent à l’égard des “inférieurs”, des domestiques, des manœuvres, des homme

50 général, celui de changement d’autorité. Et pour marquer le point de la durée où sa réalité entre en vigueur, je me borne à co

51 r la critique qui va suivre. Il est nécessaire de marquer que cette critique ne se fonde pas dans l’humeur d’un clerc que la cr

52 un amateur de paradis perdu. Il est nécessaire de marquer qu’elle procède au contraire d’un parti pris de création dont j’espèr

53 us moyens d’agir. Leurs coups ne portent plus, ne marquent pas dans ce magma inconsistant. Et leurs conseils paraissent obscurs

54 oviétiques (la doctrine marxiste-léniniste) n’ait marqué toute l’entreprise, et ne l’ait orientée et élancée de telle manière

55 seule volonté de garder le pouvoir politique, ont marqué , dans toutes les révolutions de masses, les premiers contacts du régi

56 r l’Allemagne, tout au contraire. Mais si nous ne marquons pas notre avance historique par des créations aussi fortes que celles

57 e pas justement de confondre, ou tout au moins de marquer une volonté de confondre ce que des siècles de culture bourgeoise nou

58 ent ; des mains qui créent. Les mains du modeleur marquent de leur empreinte la forme même des objets saisis, mais les mains de

59 même des objets saisis, mais les mains de l’agité marquent à peine les surfaces, et l’on reconnaît le voleur, celui qui touche à

60 n d’autrui. Car celui qui touche un objet sans le marquer profondément de son empreinte et le faire sien, ne peut toucher jamai

61 eur57 profiteur de grandeurs qu’ils ne savent pas marquer , mais tout juste ternir de leur empreinte. D’où vient l’initiative

62 e, les idées d’un lecteur sympathique, je tiens à marquer toutefois que le complexe auquel je touche ici n’est pour moi qu’une

63 ’étatisme et d’une culture irresponsable. Faut-il marquer qu’un tel problème déborde largement le plan des controverses politiq

64 is peut-être conscients de la complicité que j’ai marquée , se voient déjà nantis par la « révolution » marxiste. Cette pensée,

65 acte en humaniste. Je n’ai peut-être pas toujours marqué aussi clairement qu’il le fallait le refus que je veux opposer à la t

66 épondre à cette question, il est indispensable de marquer très fortement l’influence qu’exerce ce seuil sur toute la vie humain

67 général, celui de changement d’autorité. Et pour marquer le point de la durée où sa réalité entre en vigueur, je me borne à co

68 us moyens d’agir. Leurs coups ne portent plus, ne marquent pas dans ce magma inconsistant. Et leurs conseils paraissent obscurs

69 oviétiques (la doctrine marxiste-léniniste) n’ait marqué toute l’entreprise, et ne l’ait orientée et élancée de telle manière

70 seule volonté de garder le pouvoir politique, ont marqué , dans toutes les révolutions de masses, les premiers contacts du régi

71 r l’Allemagne, tout au contraire. Mais si nous ne marquons pas notre avance historique par des créations aussi fortes que celles

72 e pas justement de confondre, ou tout au moins de marquer une volonté de confondre ce que des siècles de culture bourgeoise nou

73 ent ; des mains qui créent. Les mains du modeleur marquent de leur empreinte la forme même des objets saisis, mais les mains de

74 même des objets saisis, mais les mains de l’agité marquent à peine les surfaces, et l’on reconnaît le voleur, celui qui touche à

75 n d’autrui. Car celui qui touche un objet sans le marquer profondément de son empreinte et le faire sien, ne peut toucher jamai

76 eur59 profiteur de grandeurs qu’ils ne savent pas marquer , mais tout juste ternir de leur empreinte. D’où vient l’initiative

77 e, les idées d’un lecteur sympathique, je tiens à marquer toutefois que le complexe auquel je touche ici n’est pour moi qu’une

78 ’étatisme et d’une culture irresponsable. Faut-il marquer qu’un tel problème déborde largement le plan des controverses politiq

79 is peut-être conscients de la complicité que j’ai marquée , se voient déjà nantis par la « révolution » marxiste. Cette pensée,

80 acte en humaniste. Je n’ai peut-être pas toujours marqué aussi clairement qu’il le fallait le refus que je veux opposer à la t

81 précipité la dissolution sociale. Son triomphe a marqué l’avènement de luttes de classes sans merci, de plus en plus viles de

82 rès l’autre : l’effondrement du crédit a toujours marqué le début des crises économiques. La traite qui revient impayée, c’est

83 trinaires du PC. Mais nous nous garderons bien de marquer le point. (Ce qui équivaudrait à reconnaître la conversion globale de

84 type, ils multiplient les personnages. Au lieu de marquer d’une empreinte durable un moment donné de l’histoire sociale, ils s’

85 a gré, d’ailleurs, à M. Albert Béguin, d’avoir su marquer avec tant de justesse le point précis où l’entreprise titanesque du r

86 ais, si nous faisons ce rapprochement, c’est pour marquer aussitôt les différences, qui sont profondes. Tout d’abord, il semble

87 u’un « je m’en fichiste » ? 4. J’avais raison de marquer ce doute. Un agriculteur auquel je viens de raconter ce petit fait, m

88 mouvement. Je me contenterai pour aujourd’hui de marquer le point d’insertion d’un problème qu’il faudra, évidemment, que nous

89 s dans les ordres les plus divers. Je voudrais en marquer quelques-unes en les groupant sous trois chefs principaux : opinions,

90 proprement théologique se révèle seule capable de marquer les limites existant en fait, et les distinctions décisives. La prati

91 réliminaires d’une libération toujours future. Je marquerai encore une autre différence, non moins radicale et urgente. Le chréti

92 histe » ? 4. (Note de 1937). — J’avais raison de marquer ce doute. Un agriculteur auquel je viens de raconter ce petit fait m’

93 e nos libéraux se mettent d’eux-mêmes en rangs et marquent le pas dès qu’une menace se précise contre les libertés françaises !

94 la réponse n’importe pas ici : il nous suffit de marquer que les éléments occidentaux-chrétiens (c’est-à-dire créateurs) du dy

95 porte le renvoi en note) c’était le seul point à marquer . Il me semble qu’en général on l’a compris comme je le pensais : ce n

96 ous ceux qui se « distinguent » par quelque trait marqué , de n’importe quelle nature, fût-ce même par leur orthodoxie trop rig

97 e diffus de vide social, analogue à celui qui dut marquer la décadence de l’Empire romain. Mais de ce vide naît un appel. Et ce

98 i ce petit individu sans qualités ni défauts bien marqués a pu devenir l’incarnation du rêve des masses, c’est uniquement parce

99 prépare actuellement. Pour commencer, j’ai voulu marquer les deux cas extrêmes de l’amour, afin d’y voir clair avant de passer

100 vant la publication. Saurait-on lui en vouloir de marquer une si grande méfiance à l’égard des journalistes ? Pour ma part, je

101 s coutumes féodales. Peut-être n’a-t-on pas assez marqué à quel point les romans bretons la reflètent et la cultivent. Il est

102 oise. Il choisit en toute liberté, car nous avons marqué plus haut qu’étant plus fort que le Roi et les barons, il pourrait, d

103 ie fournira donc le cadre du Roman. Et nous avons marqué , en maint endroit, le caractère de « prétexte rêvé » des interdiction

104 l’avenir de l’Europe un jugement très pessimiste. Marquons ici une incidence qui méritera plus tard son développement : c’est la

105 glise et de son Seigneur. Ces deux extrêmes ainsi marqués , l’on n’aura pas de peine à démontrer qu’il existe en Orient de nombr

106 que tous partageaient cette foi. Mais il reste à marquer que le symbolisme courtois, s’il explique de la part des troubadours

107 ce serait le cas, le problème ressurgit ailleurs. Marquons tout de suite ce qui le rend inévitable à notre sens. a) S’il n’y av

108 pte, n’exclut pas qu’on l’appuie de raisons. J’en marquerai trois. 1° Le langage passionnel me paraît s’expliquer à partir de l’e

109 eur. Ah ! Seigneur ! si notre heure est une fois marquée Le ciel de nos raisons ne sait point s’informer. (I, 1.) Ce n’est pa

110 jusqu’à nos jours. Mon propos étant simplement de marquer un parallélisme entre l’évolution du mythe et l’évolution de la guerr

111 nventions de la guerre et de l’amour courtois ont marqué les coutumes occidentales d’une empreinte qui ne s’effacera guère qu’

112 térêts qui mènent le jeu, ainsi que l’a fort bien marqué le maréchal Foch, dans ses Principes de la guerre : La guerre fut na

113 , la dernière « paix » méritée par l’Europe. On a marqué plus haut (Livre IV, chap. 19) que cette période, du point de vue des

114 à juste titre qu’à la suite des dévastations qui marquèrent la guerre de Trente Ans, les années s’imposèrent « des règles et des

115 la réponse n’importe pas ici : il nous suffit de marquer que les éléments occidentaux-chrétiens (c’est-à-dire créateurs) du dy

116 moins pour faire connaître sa science que pour en marquer les limites. I. — Le mythe de Tristan a) Les textes : Bédier (J.).

117 côté les différences politiques que l’on pourrait marquer entre ces trois États : d’abord parce que ce n’est pas notre sujet, e

118 ramme comme tant d’autres, mais bien qu’elle doit marquer en toute clarté certaines limites, et, d’autre part, qu’elle ne doit

119 s coutumes féodales. Peut-être n’a-t-on pas assez marqué à quel point les romans bretons la reflètent et la cultivent. Il est

120 oise. Il choisit en toute liberté, car nous avons marqué plus haut qu’étant plus fort que le Roi et les barons, il pourrait, d

121 ie fournira donc le cadre du Roman. Et nous avons marqué , en maint endroit, le caractère de « prétexte rêvé » des interdiction

122 l’avenir de l’Europe un jugement très pessimiste. Marquons ici une incidence qui méritera plus tard son développement : c’est la

123 venant de Dieu à l’homme. Ces deux extrêmes ainsi marqués , l’on n’aura pas de peine à démontrer qu’il existe en Orient de nombr

124 ce serait le cas, le problème ressurgit ailleurs. Marquons tout de suite ce qui le rend inévitable à notre sens. a) S’il n’y av

125 pte, n’exclut pas qu’on l’appuie de raisons. J’en marquerai trois. 1° Le langage passionnel me paraît s’expliquer à partir de l’e

126 eur. Ah ! Seigneur ! si notre heure est une fois marquée Le ciel de nos raisons ne sait point s’informer. (I, 1) Ce n’est pas

127 jusqu’à nos jours. Mon propos étant simplement de marquer un parallélisme entre l’évolution du mythe et l’évolution de la guerr

128 nventions de la guerre et de l’amour courtois ont marqué les coutumes occidentales d’une empreinte qui ne s’effacera guère qu’

129 térêts qui mènent le jeu, ainsi que l’a fort bien marqué le maréchal Foch, dans ses Principes de la guerre : La guerre fut n

130 , la dernière « paix » méritée par l’Europe. On a marqué plus haut (livre IV, chap. XIX) que cette période, du point de vue de

131 à juste titre qu’à la suite des dévastations qui marquèrent la guerre de Trente Ans, les armées s’imposèrent « des règles et des

132 it et un destin que l’on assume ? Il faut donc la marquer par un exemple simple. Être amoureux n’est pas nécessairement aimer.

133 la réponse n’importe pas ici : il nous suffit de marquer que les éléments occidentaux-chrétiens (c’est-à-dire créateurs) du dy

134 lus d’un point : j’avais à déblayer le terrain, à marquer les contrastes, et je n’ai pas toujours su nuancer le tableau. Un cha

135 s coutumes féodales. Peut-être n’a-t-on pas assez marqué à quel point les romans bretons la reflètent et la cultivent. Il est

136 oise. Il choisit en toute liberté, car nous avons marqué plus haut qu’étant plus fort que le roi et les barons, il pourrait, d

137 ie fournira donc le cadre du Roman. Et nous avons marqué , en maint endroit, le caractère de « prétexte rêvé » des interdiction

138 l’avenir de l’Europe un jugement très pessimiste. Marquons ici une incidence qui méritera plus tard son développement : c’est la

139 venant de Dieu à l’homme. Ces deux extrêmes ainsi marqués , l’on n’aura pas de peine à démontrer qu’il existe en Orient de nombr

140 ce serait le cas, le problème ressurgit ailleurs. Marquons tout de suite ce qui le rend inévitable à notre sens. S’il n’y avait

141 pte, n’exclut pas qu’on l’appuie de raisons. J’en marquerai trois. 1° Le langage passionnel me paraît s’expliquer à partir de l’e

142 eur. Ah ! Seigneur ! si notre heure est une fois marquée Le ciel de nos raisons ne sait point s’informer. (I,1.) Ce n’est pas

143 jusqu’à nos jours. Mon propos étant simplement de marquer un parallélisme entre l’évolution du mythe et l’évolution de la guerr

144 nventions de la guerre et de l’amour courtois ont marqué les coutumes occidentales d’une empreinte qui ne s’effacera guère qu’

145 térêts qui mènent le jeu, ainsi que l’a fort bien marqué le maréchal Foch, dans ses Principes de la guerre : La guerre fut nat

146 , la dernière « paix » méritée par l’Europe. On a marqué plus haut (livre IV, chap. xix) que cette période, du point de vue de

147 à juste titre qu’à la suite des dévastations qui marquèrent la guerre de Trente Ans, les armées s’imposèrent « des règles et des

148 it et un destin que l’on assume ? Il faut donc la marquer par un exemple simple. Être amoureux n’est pas nécessairement aimer.

149 la réponse n’importe pas ici : il nous suffit de marquer que les éléments occidentaux-chrétiens (c’est-à-dire créateurs) du dy