1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Lucien Fabre, Le Tarramagnou (septembre 1925)
1 l va se jeter au-devant des troupes accourues, il meurt en clamant la paix. M. Fabre avait là les éléments d’un grand roman :
2 1926, Articles divers (1924–1930). Soir de Florence (13 novembre 1926)
2 Soir de Florence (13 novembre 1926)h Des cris mouraient vers les berges du fleuve jaune, entre les deux façades longues que l
3 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Dans le Style (janvier 1927)
3 l automatique, fait balle au cerveau du poète qui meurt de sommeil naturel. Le tunnel sous la Manche escamoté, le train dépos
4 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Entr’acte de René Clair, ou L’éloge du Miracle (mars 1927)
4 avre encore tout chaud ». Affreux. Aussi : « Elle mourut . » On voit que cette bande est antérieure à l’époque du long baiser d
5 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Louis Aragon, le beau prétexte (avril 1927)
5 us. Nous nous connaissions dans les coins et nous mourions d’ennui avec les aspects irrévocablement prévus de nous-mêmes que fai
6 n vice, la révolution-vice. Mais on ne vit, on ne meurt que de vices. ⁂ Ici le lecteur se rassure. « Il s’y retrouve. » Il p
6 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
7 iez n’être qu’une épure : c’est intitulé « nature morte  ». Pourquoi pas naissance d’un songe ? C’est en effet un rêve de préc
7 1928, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le péril Ford (février 1928)
8 onflit du capital et du travail. « Se fordiser ou mourir  », écrivait récemment un économiste. Ford, perfection de l’industriel
8 1928, Articles divers (1924–1930). Miroirs, ou Comment on perd Eurydice et soi-même » (décembre 1928)
9 lui. Déjà il se perd dans ces yeux, mais comme on meurt dans une naissance. Stéphane naît à l’amour et à lui-même conjointeme
9 1929, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). « Belles-Lettres, c’est la clé des champs… » (janvier 1929)
10 liberté. Une rude épreuve : on n’en sort que pour mourir ou pour entrer en religion : rond de cuir ou poète (au sens le plus l
10 1929, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Prison. Ailleurs. Étoile de jour (mars 1929)
11 it s’effeuille et se fane prisonnier d’une saison morte au tombeau des fleurs obscures les mains de l’absence se ferment sur
12 cœur il est d’autres rivages où mieux qu’ici l’on meurt . Étoile de jour Il naissait à son destin des rayons glissent
11 1929, Articles divers (1924–1930). La tour de Hölderlin (15 juillet 1929)
13 prit souffle où il veut. Juin 1802 : au moment où meurt Diotima, Hölderlin errant loin d’elle (dans la région de Bordeaux cro
12 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 3. Anatomie du monstre
14 de ces enfants… — Mais on nous paye, et ils n’en meurent pas. Les examens Ce sont en principe des « contrôles » comparab
13 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 5. La machine à fabriquer des électeurs
15 ’une, c’est savoir ce que l’autre pense. Elles ne mourront qu’ensemble. Il n’y aura qu’une oraison. Laïque. J’entends qu’on ne m
16 s fort, au sens enivrant, 100 %. Beaucoup de gens mourront sans avoir jamais soupçonné ce que cela représente. 10. Voir note A
14 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 3. Anatomie du monstre
17 de ces enfants… — Mais on nous paye, et ils n’en meurent pas. 3.b. Les examens Ce sont en principe des « contrôles » com
15 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 5. La machine à fabriquer des électeurs
18 ’une, c’est savoir ce que l’autre pense. Elles ne mourront qu’ensemble. Il n’y aura qu’une oraison. Laïque. J’entends qu’on ne m
19 s fort, au sens enivrant, 100 %. Beaucoup de gens mourront sans avoir jamais soupçonné ce que cela représente. 10. Voir note A
16 1930, Articles divers (1924–1930). Le prisonnier de la nuit (avril 1930)
20 it s’effeuille et se fane prisonnier d’une saison morte au tombeau des fleurs obscures les mains de l’absence se ferment sur
17 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
21 œuvre, sur le thème des pleurs de la vieille, et mourut comme il l’achevait. ⁂ Partout où il y a de la musique, de l’Italie
22 évocations, sous les bouteilles, — et les lampes meurent en jetant une longue flamme. À Venise, sous le brouillard qui cachait
18 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
23 e toi-même en cette vie ? Mais le voir, ce serait mourir dans la totalité du monde, effacer ta dernière différence, — car on n
19 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kierkegaard (mai 1931)
24 ren Kierkegaard naquit à Copenhague en 1813, et y mourut en 1855. Voici comment le profond essayiste allemand Rudolf Kassner c
25 furent l’acte de Kierkegaard. Après cet acte, il mourut . Comme Hamlet. » Et voici comment il faut situer Kierkegaard dans no
20 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
26 décide de l’orientation de sa vie : Il avait vu mourir Sanuki au logement ouvrier, et il ne pensait pas que la mort de son p
27 eta par terre sur la route, criant à son corps : “ Meurs  !”, mais sans résultat ». C’est dans un tel état de désespoir que sou
21 1931, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Sarah, par Jean Cassou (novembre 1931)
28 r dont il aurait besoin, qu’il imagine et dont il meurt . Car la vie est une espèce de marâtre et n’a que faire de nos tendres
22 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Signes parmi nous, par C. F. Ramuz (janvier 1932)
29 il faut en témoigner. À tous il tend la Parole «  morte aux pages », mais voici que de toutes parts les Signes paraissent sur
23 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
30 he, c’est une forme mystique, celle du terrible «  Meurs et deviens ! », et s’il l’assume en connaissance de cause, — c’est un
31 e « au moins très sévère ». Gagner 40 000 francs. Mourir obsédé par ce travail. Ainsi cette vie est bien d’un seul tenant ; un
24 1932, Articles divers (1932-1935). « Mouvement », « La morte ou la nue », « Ainsi » (16 avril 1932)
32 « Mouvement », « La morte ou la nue », « Ainsi » (16 avril 1932)a Mouvement Ô ciel c’e
33 e ne plus dire un mot de ne plus rien. La morte ou la nue Quand tes yeux se confondent et que tes bras autour d
34 au tourment bien-aimé… a. « Mouvement », « La morte ou la nue », « Ainsi », Le Journal des poètes, Bruxelles, n° 19, 16 a
25 1932, Présence, articles (1932–1946). Cause commune (avril-juin 1932)
35 artenant plus à la mort, mais au combat de ce qui meurt et de ce qui renaît par cette mort. La neurasthénie broie les villes,
26 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Penser dangereusement (juin 1932)
36 e demande en quoi Marx peut nous aider à vivre, à mourir . Je demande à M. Nizan, qui est marxiste, si la lecture et la pratiqu
27 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Éloge de l’imprudence, par Marcel Jouhandeau (septembre 1932)
37 ît de la loi et s’y réfère. Mais le péché naît où meurt la foi, et meurt là où vit la foi. Au bien vulgaire des moralistes, J
38 ’y réfère. Mais le péché naît où meurt la foi, et meurt là où vit la foi. Au bien vulgaire des moralistes, Jouhandeau oppose
28 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). À prendre ou à tuer (décembre 1932)
39 entre un régime bourgeois odieux, raté, dont nous mourrons , — et d’autre part une espérance, une utopie, qu’il nous est impossib
29 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Une « tasse de thé » au Palais C…
40 re civilisation finissante ! (Vous souriez ? Vous mourrez avec elle.) Cependant, que de belles personnes — en vain ! Et quelle
41 rices et des acteurs, des princes et des femmes à mourir . Et c’est là que paraît son étrange impuissance : tous ces accords de
42 le silence d’un midi d’été nordique, à l’heure de mourir dans une légèreté éperdue… Mais une main de femme au bord du sommeil
30 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
43 e toi-même en cette vie ? Mais le voir, ce serait mourir dans la totalité du monde, effacer ta dernière différence, — car on n
31 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
44 prit souffle où il veut. Juin 1802 : au moment où meurt Diotima, Hölderlin errant loin d’elle (dans la région de Bordeaux cro
32 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Appendice. Les Soirées du Brambilla-Club, (1930)
45 œuvre, sur le thème des pleurs de la vieille, et mourut comme il l’achevait. ⁂ Partout où il y a de la musique, de l’Italie
46 évocations, sous les bouteilles, — et les lampes meurent en jetant une longue flamme. À Venise, sous le brouillard qui cachait
33 1932, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La pluie et le beau temps (Dialogue dans une tête) (1932)
47 noms de sa présence. Mais un jour la lumière est morte autour de nous, elle est morte à la surface des choses pour renaître
48 our la lumière est morte autour de nous, elle est morte à la surface des choses pour renaître au centre de l’homme. Et, dès l
34 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais C…
49 re civilisation finissante ! (Vous souriez ? Vous mourrez avec elle.) Cependant, que de belles personnes — en vain ! Et quelle
50 rices et des acteurs, des princes et des femmes à mourir . Et c’est là que paraît son étrange impuissance : tous ces accords de
51 le silence d’un midi d’été nordique, à l’heure de mourir dans une légèreté éperdue… Mais une main de femme au bord du sommeil
35 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
52 e toi-même en cette vie ? Mais le voir, ce serait mourir dans la totalité du monde, effacer ta dernière différence, — car on n
36 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — La tour de Hölderlin
53 prit souffle où il veut. Juin 1802 : au moment où meurt Diotima, Hölderlin errant loin d’elle (dans la région de Bordeaux cro
37 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
54 ienne, avec Prague, c’est une Europe qui vient de mourir . Europe du sentiment, patrie de nostalgie de tous ceux qu’a touchés l
55 mes en spirale à 5000 mètres, au-dessus d’une mer morte de glace. J’allais écrire : « L’avion s’élance pour franchir l’Océan
38 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — II
56 la prévision, cette inertie.) Dix jours plus tard mourait mon père. Et tout en moi se tourne vers ses origines, au-delà de ma p
39 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — IV
57 on pas multipliés. (Ce n’est pas une recette pour mourir centenaire !) Prolongés vers cet au-delà de la mémoire individuelle,
40 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VII
58 amer vers minuit, heure où le crépuscule enfin se meurt dans l’aube, à l’horizon des landes et de la mer… Tyrol, et ce lac so
59 ’on voit l’Italie… Et le rêve s’éteint, guirlande morte , un peu de temps diaphane à l’horizon. Paysage emphatique et sombre,
41 1933, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Histoires du monde, s’il vous plaît ! » (janvier 1933)
60 olution ; dans une époque où l’humanité risque de mourir pour la réalisation même de ses désirs matériels, dans cette énorme a
42 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Poésie dialectique (juillet 1933)
61 fini, Car il y a plus. J’ai un péché de peur : mourrai -je sur la rive Lorsque mon dernier fil aura été filé ? Oh ! Jure par
43 1933, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Parole de Dieu et parole humaine, par Karl Barth (30 décembre 1933)
62 refuse à cette mort, se refuse aussi à la vie. Il meurt de ne pas mourir, selon la parole profondément « dialectique » de Thé
63 ort, se refuse aussi à la vie. Il meurt de ne pas mourir , selon la parole profondément « dialectique » de Thérèse d’Avila. Qu’
44 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Précisions sur la mort du Grand Pan (avril 1934)
64 nt, par ailleurs, son optimisme, hérité d’une foi morte , lui dissimule l’irréparable gravité. La « communion avec la Nature »
45 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Deux essais de philosophes chrétiens (mai 1934)
65 ment chrétienne. « Philosopher, c’est apprendre à mourir  », disait le triste Cicéron, et Montaigne l’en loue. Pour M. Marcel,
46 1934, Articles divers (1932-1935). La Révolution nécessaire, par Arnaud Dandieu et Robert Aron (juin 1934)
66 ment cette « peau » du bourgeois pour laquelle il mourrait , dit-on, ne peut être qu’un symbole de son argent.) Mais ce que je sa
67 sa peau pour des intérêts. On ne se bat et on ne meurt que pour des « folies » qualifiées. Celle que l’Ordre nouveau propose
47 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notice biographique [Kierkegaard] (août 1934)
68 ren Kierkegaard naquit à Copenhague en 1813, et y mourut en 1855. Presque toute son œuvre, une vingtaine de volumes, à quoi no
69 vait maudit le Dieu tout-puissant qui le laissait mourir de faim. Ce blasphème assombrit toute sa vie ; il ne l’empêcha pas de
70 voulant pas avoir affaire aux banques. Lorsqu’il mourut , à 42 ans, il n’en subsistait rien. L’argent provenait d’une malédict
71 dans la rue. On le transporta à l’hôpital, où il mourut paisiblement, en « saluant tous les hommes ». Le seul événement extér
72 Régine Olsen. Mais son acte, après lequel il put mourir , certain d’avoir accompli sa mission, ce fut son attaque contre le ch
48 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
73 accablé par la réprobation générale, il s’en ira mourir à l’hôpital, en disant à son seul ami : « Salue tous les hommes ! Je
74 mplement qu’on les y noie. Les hommes préfèrent «  mourir imperceptiblement », comme disait Nietzsche, et c’est là ce qu’ils ap
49 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kasimir Edschmid, Destin allemand (octobre 1934)
75 ent. La France doute de sa mission. L’Espagne est morte , et le spectacle de la vie politique en Amérique du Sud fait mesurer
50 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Plans de réforme (octobre 1934)
76 ntagnon se plaint de ce que le parti socialiste «  meurt d’ignorance », et il s’écrie : « Avez-vous étudié complètement, froid
51 1934, Esprit, articles (1932–1962). Sur une nouvelle de Jean Giono (novembre 1934)
77 , une nouvelle de Jean Giono intitulée « La femme morte  », qui n’est pas une nouvelle bien faite, mais qui est un peu mieux q
52 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Une histoire de la Réforme en France (15 décembre 1934)
78 , dont Dieu seul juge. John Viénot — qui vient de mourir presque en même temps qu’un autre grand historien protestant, Camille
53 1934, Esprit, articles (1932–1962). Définition de la personne (décembre 1934)
79 t un seul et même être ; ils naissent ensemble et meurent ensemble, ils sont une seule et même « chair ». C’est une étrange err
80 prit ? Cet esprit qui souffle où il veut, et nous mourons où nous pouvons, cet esprit qui dansait sur les eaux primitives, et l
81 n’a rien à voir avec une survie de l’âme. L’homme meurt totalement, parce qu’il est totalement « chair » ; et ce ne sont que
54 1934, Politique de la personne. Introduction — Ridicule et impuissance du clerc qui s’engage
82 j’ai bu, je me crois général ! » Toutefois, s’il meurt soldat, ivre ou lucide, peu importe, ce ne sera pas dans son lit5. Ce
83 u primauté de l’économique ? 5. « Les généraux meurent dans leur lit. » 6. On compose des affiches péremptoires signées de
55 1934, Politique de la personne. Idoles — Antimarxiste parce que chrétien
84 que, pour entrer dans le Royaume de Dieu, il faut mourir  ? Que toutes les promesses du Christ concernent la vie de celui qui d
85 ’instant même où ils obéissent au « suivez-moi », meurent au monde, et Le suivent. Les unes sont historiques, les autres éterne
56 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
86 e un régime bourgeois odieux, raté, dont beaucoup meurent — et d’autre part une espérance, une utopie, qu’il nous est impossibl
57 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
87 faut craindre, mais bien plutôt que les autres ne meurent bassement de n’en pas mourir. Mais d’où vient encore la révolte ? Si
88 t que les autres ne meurent bassement de n’en pas mourir . Mais d’où vient encore la révolte ? Sinon d’une peur de moi-même ?
89 ien connaître de la nature du litige humain. Nous mourrons de la mort des singes.) Perspectives (II) Avantage du personnal
58 1934, Politique de la personne. Appendice — Ni droite ni gauche
90 encer. Car la Révolution commence par ce qui fait mourir un parlement : par une décision, par un acte. Commencer la Révolution
59 1934, Articles divers (1932-1935). Carl Koch, Søren Kierkegaard (1934)
91 aard fait écho à ce cri de Thérèse d’Avila : « Je meurs de ne pas mourir. » Qu’un humanisme religieux, qui trop souvent expri
92 ce cri de Thérèse d’Avila : « Je meurs de ne pas mourir . » Qu’un humanisme religieux, qui trop souvent exprime la croyance co
93 ais ce poète, ce penseur, dont on peut dire qu’il mourut en martyr9 d’avoir défendu contre tous l’impossibilité humaine du tém
94 force intellectuelle et toute son œuvre… S’il ne meurt pas, dit-il, il devra poursuivre sa lutte religieuse, mais elle s’en
60 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — Ridicule et impuissance du clerc qui s’engage
95 j’ai bu, je me crois général ! » Toutefois, s’il meurt soldat, ivre ou lucide, peu importe, ce ne sera pas dans son lit. Cer
61 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Antimarxiste parce que chrétien
96 que, pour entrer dans le Royaume de Dieu, il faut mourir  ? Que toutes les promesses du Christ concernent la vie de celui qui d
97 ’instant même où ils obéissent au « suivez-moi », meurent au monde, et le suivent. Les unes sont historiques, les autres éterne
62 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
98 e un régime bourgeois odieux, raté, dont beaucoup meurent — et d’autre part une espérance, une utopie, qu’il nous est impossibl
63 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
99 faut craindre, mais bien plutôt que les autres ne meurent bassement de n’en pas mourir. Mais d’où vient encore la révolte ? Sin
100 t que les autres ne meurent bassement de n’en pas mourir . Mais d’où vient encore la révolte ? Sinon d’une peur de moi-même ? C
101 ien connaître de la nature du litige humain. Nous mourrons de la mort des singes.) Perspectives (II) Avantage du personnal
64 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Quatre indications pour une culture personnaliste (février 1935)
102 que l’amour, la puissance, dépendent d’une chose morte , quand leur essence est vie. Or nous voyons la même erreur héritée pa
103 louse de ses droits que de ses charges, la mesure meurt , se mécanise, et toute tension disparaît. Il faut que la révolte des
65 1935, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notes en marge de Nietzsche (mars 1935)
104 e plus pouvoir échapper au temps, ne plus pouvoir mourir , ne plus pouvoir renaître ? La contemplation religieuse du monde san
105 e ; de la sorte, il a empêché le christianisme de mourir de sa pauvreté spirituelle. On est toujours étonné de voir un esprit
66 1935, Articles divers (1932-1935). Mystère de la Vision (fragments d’un Traité de la vision physionomique du monde) (mars 1935)
106 re pour ce qu’elle paraît. N’est-ce pas ainsi que meurt une illusion ? Or toutes ces choses et bien d’autres qu’on pourrait d
107 ce de l’éternel, répondent : celui qui voit Dieu, meurt . Car à la suprême vision correspond la suprême transformation. Reste
108 in j’avais le regard si perdu et la contenance si morte , que ceux que j’ai rencontrés ne m’ont peut-être pas vu ».28 D’autre
67 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). L’édit de Nantes et sa révocation (mars-avril 1935)
109 les supplices dans lesquels ils firent réellement mourir tant d’innocents de tous sexes par milliers… qui fit passer nos manuf
68 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Soirée chez Nicodème (mai 1935)
110 son humanisme, a baptisé l’homme qui ne veut pas mourir  ? » — Il y a des gens qui ont le sens de la gaffe, et le sort, je le
111 ément, ce jugement-là : « L’homme qui ne veut pas mourir . » Moi. — Il y aurait de l’impertinence à affirmer rien de « précis 
112 céleste, pourquoi faudrait-il, en effet, que nous mourrions totalement à nous-mêmes ? Laissons-nous donc radiographier, tout simp
113 de plus que lui ? L’imitation du Christ, c’est de mourir en lui et avec lui, — non pas de s’emparer de son message comme d’un
114 arer de son message comme d’un prétexte à ne plus mourir tout à fait. » Le dirai-je ? Ce dialogue, ces rires et ces affirmatio
115 ur du Problème du Bien ! “L’homme qui ne veut pas mourir ”, c’est exactement ça ! Vraiment, c’est excellent ! » À ce coup, je s
116 ou ne pas être », disait Hamlet. Et nous disons : mourir ou ne pas mourir. Mourir totalement, ou ne pas mourir tout à fait, c’
117 disait Hamlet. Et nous disons : mourir ou ne pas mourir . Mourir totalement, ou ne pas mourir tout à fait, c’est-à-dire revivr
118 Hamlet. Et nous disons : mourir ou ne pas mourir. Mourir totalement, ou ne pas mourir tout à fait, c’est-à-dire revivre avant
119 ir ou ne pas mourir. Mourir totalement, ou ne pas mourir tout à fait, c’est-à-dire revivre avant d’être tout à fait mort, — so
120 vivre. Entre celui qui affirme qu’on ne peut pas mourir , et celui qui affirme l’exigence de la mort, il n’y a peut-être aucun
121 héologique ! Où donc est-il, celui qui accepte de mourir  ? Oui, maintenant, je vais vous dire la vérité : Nous sommes tous des
122 omme le vivant symbole de l’homme qui ne peut pas mourir  !… Plaise à Dieu que l’angoisse qui tourmente cet homme depuis sa ren
69 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Paracelse, par Frédéric Gundolf (septembre 1935)
123 te par exemple que « déjà vieux et ne voulant pas mourir , il s’adressa au diable qui lui conseilla de se faire enterrer pour u
124 eu d’air pénétra dans le cerveau et Paracelse dut mourir avant d’avoir ressuscité ». Rajeunir son corps et son âme par l’ordur
70 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
125 ient au secours d’une religion, c’est qu’elle est morte . Ou qu’elle n’en a plus pour longtemps. Lorsque l’État s’avise d’hono
71 1936, Articles divers (1936-1938). Forme et transformation, ou l’acte selon Kierkegaard (janvier 1936)
126 nous privaient de tout pouvoir, s’évanouissent et meurent aux pages des livres. L’action de l’homme devient aussi la vérité ; e
127 emin, leur vérité et leur vie dans ce monde ; ils meurent de l’avoir dite, et n’ont pas d’autre tâche7. Le chemin est imprévisi
128 absorbée par l’instant, par le passage de ce qui meurt à ce qui nait, — par le réel. « Celui qui doit agir, s’il veut juger
129 us savons tous cela, comme nous savons qu’il faut mourir  : sans y croire. À vrai dire, nous avons toutes les raisons d’en dout
130 est sans vocation, il ne croit pas à l’acte et il meurt au hasard, sans avoir rencontré personne ni soi-même20. Il vit dans l
131 arne. Sur le chemin qui commence à ses pas, il ne meurt jamais par surprise : et ce n’est point qu’il ait connu le jour et l’
132 Parole. À cause de l’instant éternel, « le héros meurt toujours avant qu’il ne meure »21. C’est le secret dernier de l’acte,
133 éternel, « le héros meurt toujours avant qu’il ne meure  »21. C’est le secret dernier de l’acte, et le sceau de l’amour chréti
72 1936, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Sur une page de Bossuet (ou Tradition et Révélation) (janvier 1936)
134 n en arrive à se demander pourquoi le Christ a dû mourir pour triompher de notre péché, alors que la sagesse antique pouvait f
73 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Dictature de la liberté, par Robert Aron (mars 1936)
135 tiquement, elle perd tout point d’appui, son élan meurt en anarchie. La solution de ce conflit est évidente, c’est peut-être
74 1936, Esprit, articles (1932–1962). Vues sur C. F. Ramuz (mai 1936)
136 ferme, dans les cafés. À tous il tend la Parole «  morte aux pages » ; mais voici que de toutes parts les signes paraissent su
75 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Kierkegaard en France (juin 1936)
137 e mollesse spirituelle » l’amère passion de faire mourir un témoin de la vérité ? Si tu veux ce résultat… apprends d’abord à b
138 essais religieux : La Pureté du cœur, Le Droit de mourir pour la vérité, Pour un examen de conscience, Le Souverain sacrificat
139 et Dieu, car lui seul eut vraiment « le droit de mourir pour la vérité », étant lui-même la vérité. C’est pourquoi l’acte de
140 ier autre chose que ce reste ? 38. Le droit de mourir pour la vérité, p. 57. Ou encore : « La supériorité véritable produit
76 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
141 a supportent et l’utilisent, qui la créent et qui meurent avec elle. L’Arche d’alliance n’est rien s’il n’y a pas le messianism
142 sans erreur possible que toute commune mesure est morte parmi nous, et que nulle mesure vraie n’est encore restaurée.   3. L
143 u n’est rien que la liberté du désespoir et qu’il meurt de son isolement, ou du refus de se dépasser ; qu’il n’y a pas de lig
77 1936, Articles divers (1936-1938). Max Brod, Le Royaume enchanté de l’amour (1936)
144 jà condamné par une tuberculose du larynx dont il mourut à Vienne en 1924. Il n’avait publié de son vivant qu’un petit nombre
78 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — D’une culture qui parle dans le vide
145 en de quoi il s’agit quand on dit : la culture se meurt , ou : il faut sauver la culture ? Le mot culture évoque dans l’esprit
146 secret : c’était le secret d’une culture qui est morte . ⁂ Séparation du peuple et des « gens cultivés », séparation de l’esp
79 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Importance de la notion de commune mesure
147 ’anarchie spirituelle d’un monde où la mesure est morte . Enfin les tentatives de rénovation qui sont en cours en URSS et en A
80 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
148 a supportent et l’utilisent, qui la créent et qui meurent avec elle. L’Arche n’est rien s’il n’y a pas le messianisme ; le lati
149 le, et à elle seule, que toute commune mesure est morte parmi nous, et que nulle mesure vraie n’est encore restaurée. Le régi
150 n’est rien que la liberté du désespoir, et qu’il meurt de son isolement, ou du refus de se dépasser ; qu’il n’y a pas de lig
81 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
151 t que ce soit à chaque instant comme si tu allais mourir , comme si tu allais vivre : une agonie ! Il faut poser cette limite,
82 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — D’une culture qui parle dans le vide
152 en de quoi il s’agit quand on dit : la culture se meurt , ou : il faut sauver la culture ? Le mot culture évoque dans l’esprit
153 secret : c’était le secret d’une culture qui est morte . ⁂ Séparation du peuple et des « gens cultivés », séparation de l’esp
83 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Importance de la notion de commune mesure
154 ’anarchie spirituelle d’un monde où la mesure est morte . Enfin les tentatives de rénovation qui sont en cours en URSS et en A
84 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
155 a supportent et l’utilisent, qui la créent et qui meurent avec elle. L’Arche n’est rien s’il n’y a pas le messianisme ; le lati
156 le, et à elle seule, que toute commune mesure est morte parmi nous, et que nulle mesure vraie n’est encore restaurée. Le régi
157 n’est rien que la liberté du désespoir, et qu’il meurt de son isolement, ou du refus de se dépasser ; qu’il n’y a pas de lig
85 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
158 t que ce soit à chaque instant comme si tu allais mourir , comme si tu allais vivre : une agonie ! Il faut poser cette limite,
86 1937, Esprit, articles (1932–1962). Paul Vaillant-Couturier, Au service de l’Esprit (février 1937)
159 a tactique… Si le Français, né malin, ne doit pas mourir gogo, la brochure de Vaillant-Couturier fera plus de mal au parti sta
87 1937, Esprit, articles (1932–1962). Albert Thibaudet, Histoire de la littérature française de 1789 à nos jours (mars 1937)
160 ue impressionniste (après quoi elle n’a plus qu’à mourir ). Dès lors tout ce qu’on lui a reproché : désordre, omissions littéra
88 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
161 étagées sur le versant nord d’un vallon qui vient mourir à notre hauteur sur la droite, tandis que le versant sud, avec ses re
162 que ces « assurés ». Ce peuple à la retraite qui meurt en rouspétant contre les bureaucrates ne sait plus bien ce qu’il crai
163 la mère Calixte arrive tout agitée : « Madame se meurt  ! s’écrie-t-elle. C’est Madame Bastide, la belle-mère. — Qu’a-t-elle 
89 1937, Foi et Vie, articles (1928–1977). Luther et la liberté (À propos du Traité du serf arbitre) (avril 1937)
164 hilosophes et la raison ne peuvent l’imaginer que morte . Mais la Bible nous dit qu’elle est la Vie, et que notre vie n’est qu
165 ns les choses du salut. Mais que le Christ ait dû mourir — cet acte extrême — pour nous sauver, fait voir que nous n’avons auc
90 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Ballet de la non-intervention (avril 1937)
166 deux côtés. Unamuno qui avait parlé « à droite » meurt « à gauche ». D’ailleurs on ne s’occupe plus que de David Windsor. Il
91 1937, Articles divers (1936-1938). Chamisso et le Mythe de l’Ombre perdue (mai-juin 1937)
167 nous, de notre chair. Mais perdre sa chair, c’est mourir , et cet infortuné Schlemihl n’était tout de même pas mort d’avoir per
92 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
168 n, la mère Calixte arrive tout agitée : Madame se meurt  ! s’écrie-t-elle. C’est Madame Bastide, la belle-mère. — Qu’a-t-elle 
169 ux pas qu’on lave aujourd’hui ! Ma belle-mère est morte cette nuit. Il ne faut pas se moquer des gens en deuil ! » — Mais, mo
93 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
170 entendu, certains d’entre eux sont morts ou vont mourir couchés sur une fortune de 100 000 ou de 200 000 francs, que leurs fi
171 ous est moindre ici que sur le continent. Et l’on meurt vieux, et les médecins ne font pas fortune. Quelle conclusion tirer d
94 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
172 ve quelque chose. Et s’il n’arrive rien ? « On ne meurt pas de faim dans nos pays », dit-on, et je crois bien que je l’ai dit
173 ie étale nous ennuie, c’est ce qui naît et ce qui meurt qui nous émeut. Cette nuit, avant d’aller me coucher, j’ai été voir a
95 1937, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Selma Lagerlöf, conteur de légende (3 juillet 1937)
174 erser d’un coup cette apparente fatalité. Kipling meurt , et l’on dit : c’était le dernier conteur. La même année paraît le gr
96 1937, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Introduction au Journal d’un intellectuel en chômage (août 1937)
175 sentir le drame immense qu’elle trahit. Province morte , et villes mortelles ! C’est qu’on ne sait plus y trouver son prochai
97 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Gösta Berling, par Selma Lagerlöf (novembre 1937)
176 le, inaugurée par un traité avec le diable, vient mourir dans la nuit de Noël au rythme familier des marteaux de la forge rebâ
98 1937, Articles divers (1936-1938). Changer la vie ou changer l’homme ? (1937)
177 ain, et les guerres se déchaîner, et les chômeurs mourir de faim ? Ce serait prouver qu’on n’est pas converti. J’agirai donc,
178 fets dans le monde réel où vivent les hommes — où meurent les hommes. Reproches réciproques que s’adressent les chrétiens et
99 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
179 ve quelque chose. Et s’il n’arrive rien ? « On ne meurt pas de faim dans nos pays », dit-on, et je crois bien que je l’ai dit
180 a pas l’impression qu’elle dort, mais qu’elle est morte . L’autobus brinquebalant, où nous étions seuls au départ, rappelait l
181 entendu, certains d’entre eux sont morts ou vont mourir couchés sur une fortune de 100 000 ou de 200 000 francs, que leurs fi
182 ous est moindre ici que sur le continent. Et l’on meurt vieux5, et les médecins ne font pas fortune. Quelle conclusion tirer
183 ie étale nous ennuie, c’est ce qui naît et ce qui meurt qui nous émeut. Cette nuit, avant d’aller me coucher, j’ai été voir e
184 e, Don Juan ne comprend rien aux femmes, Napoléon meurt en se trompant sur le sens de son épopée. Voilà peut-être le grand re
100 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
185 étagées sur le versant nord d’un vallon qui vient mourir à notre hauteur sur la droite, tandis que le versant sud, avec ses re
186 que ces « assurés ». Ce peuple à la retraite qui meurt en rouspétant contre les bureaucrates ne sait plus bien ce qu’il crai
187 n, la mère Calixte arrive tout agitée : Madame se meurt  ! s’écrie-t-elle. C’est Mme Bastide, la belle-mère. — Qu’a-t-elle ? —
188 ux pas qu’on lave aujourd’hui ! Ma belle-mère est morte cette nuit. Il ne faut pas se moquer des gens en deuil ! — Mais Monsi