1 rité d’un verdict essentiellement chrétien sur le mysticisme naturiste ». Il ne pouvait trouver mieux que Vinet. Et j’imagine son

2 eurs Vinet déborde le « sellièrisme » de tout son mysticisme protestant. Et cela n’est pas sans gêner M. Seillière. C’est peut-êtr

3 trouvé. Mais sa position purement chrétienne — un mysticisme de cadre solidement moral, c’est-à-dire rationnel, dit M. Seillière —

4 d’une attitude par ailleurs si proche de certain mysticisme . Mais pousser une vertu particulière jusqu’à ses dernières conséquenc

5 orientaux. De leur immense paresse, jusqu’à leur mysticisme , partout c’est une démission qu’ils désirent. Du difficile oubli de s

6 nt les auteurs de manuels de littérature — : « Un mysticisme creux et affamé est le contrecoup du christianisme dans les âmes prof

7 nnaissance active de Dieu que nos savants nomment mysticisme et considèrent comme un « cas » très spécial, — on les écarte des eng

8 prépare déjà des révoltes terribles4, celles d’un mysticisme exaspéré, devenu presque fou dans sa prison. Les intellectuels d’aujo

9 es de l’Éternité ». Du panthéisme d’un Shelley au mysticisme d’un Ruskin, c’est un cantique d’adoration spirituelle que chante la

10 s que dans une spiritualité facilement épurée, le mysticisme de celui qui, tout enfant, édifiait un autel à la Nature, trouvait so

11 bolique : les premiers contacts de Goethe avec le mysticisme précédèrent de très peu une grave maladie, dont il ne fut sauvé que p

12 histoire ». Nous avons affaire ici à un véritable mysticisme de la réussite, à un fatalisme, à un pragmatisme historique dont le f

13 e n’exige rien de moins qu’un acte de foi. Un tel mysticisme a-t-il en France la moindre chance de succès ? Où est sa tradition vi

14 histoire. » Nous avons affaire ici à un véritable mysticisme de la réussite, à un fatalisme, à un pragmatisme historique dont le f

15 e n’exige rien de moins qu’un acte de foi. Un tel mysticisme a-t-il en France la moindre chance de succès ? Où est sa tradition vi

16 histoire. » Nous avons affaire ici à un véritable mysticisme de la réussite, à un fatalisme, à un pragmatisme historique dont le f

17 e n’exige rien de moins qu’un acte de foi. Un tel mysticisme a-t-il en France la moindre chance de succès ? Où est sa tradition vi

18 s, depuis peu, la politique prendre l’aspect d’un mysticisme , et cela surtout chez les intellectuels du Front populaire. On attend

19 nel dans ce temps. Cette définition condamne tout mysticisme qui ne serait, comme le veut M. Chuzeville, que la « recherche des mo

20 a eu le tort de vouloir y réduire l’évolution du mysticisme allemand, qui justement lui inflige le démenti le plus formel. Car si

21 romantique considéré comme une sécularisation du mysticisme . Il m’a semblé que cette perspective spirituelle était la seule que d

22 ces tensions en une seule et unique opposition : mysticisme et action créatrice. Cette vue des plus courantes omet pourtant le fa

23 e que dit l’Évangile, où il n’est pas question de mysticisme . Ceci marqué, qui est plus qu’une réserve, il convient de remercier M

24 s, depuis peu, la politique prendre l’aspect d’un mysticisme , et cela surtout chez les intellectuels du Front populaire. On attend

25 ntimentales qui, de Ruskin à Bergson, relèvent de mysticismes adultérés et égoïstes plutôt que d’une considération virile et positi

26 s’appliquant à un ordre de spéculation tel que le mysticisme . M. Lamm a beau s’efforcer de ne point porter de jugement de valeur s

27 liqué « comment il a glissé de la science dans le mysticisme  ». Enfin, l’on ne voit pas du tout en quoi la logomachie particulière

28 s aux origines religieuses du mythe, à passion et mysticisme , au mythe dans la littérature, à l’amour et la guerre, ont été trouvé

29 aphores, des poèmes « inspirés ». À ce niveau, le mysticisme donne naissance à la plus émouvante littérature. Mais il faut reconna

30 surtout. Sismondi faisait remonter aux Arabes le mysticisme du sentiment : on écarte dédaigneusement « cette énormité »33. Diez a

31 du problème On a souvent tenté d’expliquer le mysticisme en le « ramenant » à quelque déviation de l’amour humain, c’est-à-dir

32 te d’ironie, donner sa rhétorique passionnelle au mysticisme des plus grands saints. Lorsque les mythes perdent leur caractère éso

33 surtout. Sismondi faisait remonter aux Arabes le mysticisme du sentiment : on écarte dédaigneusement « cette énormité33 ». Diez a

34 du problème On a souvent tenté d’expliquer le mysticisme en le « ramenant » à quelque déviation de l’amour humain, c’est-à-dir

35 te d’ironie, donner sa rhétorique passionnelle au mysticisme des plus grands saints. Lorsque les mythes perdent leur caractère éso

36 surtout. Sismondi faisait remonter aux Arabes le mysticisme du sentiment : on écarte dédaigneusement « cette énormité »26. Diez a

37 du problème On a souvent tenté d’expliquer le mysticisme en le « ramenant » à quelque déviation de l’amour humain, c’est-à-dir

38 te d’ironie, donner sa rhétorique passionnelle au mysticisme des plus grands saints. Lorsque les mythes perdent leur caractère éso

39 étendu sur les domaines les plus hétéroclites, du mysticisme littéraire à la publicité dans les métros. Vous ne faites pas deux pa

40 étendu sur les domaines les plus hétéroclites, du mysticisme littéraire à la publicité dans les métros. Vous ne faites pas deux pa

41 étendu sur les domaines les plus hétéroclites, du mysticisme littéraire à la publicité dans les métros. Vous ne faites pas deux pa

42 s que dans une spiritualité facilement épurée, le mysticisme de celui qui, tout enfant, édifiait un autel à la Nature, trouvait so

43 bolique : les premiers contacts de Goethe avec le mysticisme précédèrent de très peu une grave maladie, dont il ne fut sauvé que p

44 aphores, des poèmes « inspirés ». À ce niveau, le mysticisme donne naissance à la plus émouvante littérature. Mais il faut reconna

45 d’avant-garde, des déviations les plus connues du mysticisme , du gnosticisme, de l’arianisme et du libéralisme romantique. Qui vou

46 « réalité rugueuse à étreindre », mais aussi d’un mysticisme orientalisant aux certitudes quelque peu provocantes d’un néophyte de

47 histoire. » Nous avons affaire ici à un véritable mysticisme de la réussite, à un fatalisme, à un pragmatisme historique dont le f

48 e n’exige rien de moins qu’un acte de foi. Un tel mysticisme a-t-il en France la moindre chance de succès ? Où est sa tradition vi

49 e chercheurs plus ou moins « délirants », dont le mysticisme fut décisif en ce qui concerne la plupart de nos progrès techniques.

50 e chercheurs plus ou moins « délirants », dont le mysticisme fut décisif en ce qui concerne la plupart de nos progrès techniques.

51 éisme, les figures angéliques du vrai moi dans le mysticisme soufi et même la « rencontre aurorale » de l’âme et de sa Dâenâ au po

52 éisme, les figures angéliques du vrai moi dans le mysticisme soufi, et même la « rencontre aurorale » de l’âme et de sa Dâenâ au p

53 ce, Eschyle, Pétrone, Dante, Tristan Corbière, le mysticisme espagnol dans T. S. Eliot. Inépuisable est la richesse des interrelat

54 d’avant-garde, des déviations les plus connues du mysticisme , du gnosticisme, de l’arianisme et du libéralisme romantique. Qui vou

55 e ; Eschyle, Pétrone, Dante, Tristan Corbière, le mysticisme espagnol dans T. S. Eliot. Inépuisable est la richesse des interrelat

56 s autres, plutôt que dans l’aventure solitaire du mysticisme , ou de la connaissance au sens hindou. Amour et recherche du sens ser

57 e ; Eschyle, Pétrone, Dante, Tristan Corbière, le mysticisme espagnol dans T. S. Eliot. Inépuisable est la richesse des interrelat

58 ogique, un certain scepticisme non pessimiste, un mysticisme non résigné… » « Sur de muettes ruines… » Tentant de développer

59 intérieur que naquit en lui le désir d’opposer au mysticisme ascétique de l’époque un mysticisme mondain, une élévation spirituell

60 d’opposer au mysticisme ascétique de l’époque un mysticisme mondain, une élévation spirituelle de l’amour du chevalier, rivalisan

61 badours ; de l’ascétisme et du brûlant désir ; du mysticisme délirant et de la complaisante chasteté ! Rien, ils n’ont rien compri

62 e le hortus clausus est un symbole fondamental du mysticisme , flamand et rhénan notamment.) Mais c’est le troisième échange qui m’

63 nnaissance active de Dieu que nos savants nomment mysticisme et considèrent comme un “cas” très spécial — on les écarte des engren

64 épare déjà des révoltes terribles107, celles d’un mysticisme exaspéré, devenu presque fou dans sa prison. » Les intellectuels d’au

65 e le hortus clausus est un symbole fondamental du mysticisme , flamand et rhénan notamment.) Mais c’est le troisième échange qui m’