1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Simone Téry, L’Île des bardes (décembre 1925)
1 nnant : celui de la renaissance d’une littérature nationale à la fois cause et effet de la libération politique. Cause, puisque p
2 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
2 présentations de mes Espoirs aux jeunes Promesses nationales (on n’a pas bien compris les noms, on échange, à la dérobée, des coup
3 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Littérature alpestre (juillet 1931)
3 , au contact duquel certains traits de caractères nationaux s’accusent d’une manière imprévue et significative. On regrettera seu
4 1932, Présence, articles (1932–1946). Penser avec les mains (fragments) (janvier 1932)
4 du journalisme. On compare ensuite certains types nationaux . On remarque par exemple qu’en France, l’admiration pour un philosoph
5 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
5 présentations de mes Espoirs aux jeunes Promesses nationales (on n’a pas bien compris les noms, on échange, à la dérobée, des coup
6 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
6 présentations de mes Espoirs aux jeunes Promesses nationales (on n’a pas compris les noms, on échange, à la dérobée, des coups d’œ
7 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
7 phrase en italien, puis une fanfare joua l’hymne national . Le speaker répéta en français : convocation des Chambres fédérales p
8 mmandée l’Institut neuchâtelois pour l’Exposition nationale de Zurich, et dont Arthur Honegger écrivit la musique au fur et à mes
8 1933, Articles divers (1932-1935). Positions d’attaque pour l’ordre nouveau (décembre 1933)
9 de l’Europe. Cela suppose la suppression du cadre national , carcan de frontières douanières, et du centre administratif, politiq
9 1934, Esprit, articles (1932–1962). Préface à une littérature (octobre 1934)
10 ’Ordre, le Bien Public, la Richesse, la Puissance nationale , l’Honneur, l’Esprit, l’Amour, la Civilisation, — les lieux communs d
10 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kasimir Edschmid, Destin allemand (octobre 1934)
11 sé de faire la part, dans ce drame, de ce qui est national et de ce qui est plus généralement humain. Destin allemand pourrait a
11 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Plans de réforme (octobre 1934)
12 avec le fait-nation », « se replier sur le cadre national  », « organiser l’économie sur le terrain national ». Tout cela est tr
13 national », « organiser l’économie sur le terrain national  ». Tout cela est très bien, si l’on a pris la peine d’analyser d’abor
14 ion politique profonde ») on adjoindra un Conseil national économique, « composé de représentants des intérêts économiques group
12 1934, Articles divers (1932-1935). Jeunesse déracinée (novembre 1934)
15 ées par la revendication d’un idéal — communautés nationales — sont essentiellement révolutionnaires ? Le mot nation dans son acce
16 omme des villes se jettera donc dans l’aventure «  nationale  » révolutionnaire, tandis que l’homme enraciné défendra son patriotis
17 lien patriotique sans rien perdre du dynamisme «  national  ». Il faudrait un régime qui sauvegarde la tension nécessaire et féco
13 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Une histoire de la Réforme en France (15 décembre 1934)
18 e ; mais il s’agit d’établir à tout prix un cadre national centralisé, géométrique, conçu dans l’abstraction et imposé par la vi
14 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Personne ou individu ? (D’après une discussion)
19 jection de conscience en un péril pour la défense nationale et l’ordre public. Quatrième question. — Les personnalistes se récla
15 1934, Politique de la personne. Idoles — Fascisme
20 ation humaine : le fait fasciste étant avant tout national . Nous ne sentons pas l’hitlérisme comme des Allemands, ni le fascisme
21 te enfin résume et codifie officiellement l’idéal national que la culture et les mœurs de l’élite devenaient impuissantes à inca
22 tion de l’insigne du Parti aux anciennes couleurs nationales . La croix gammée, le faisceau du licteur, remplacent les drapeaux tri
16 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
23 umettent de plus en plus la personne à la culture nationale , celle-ci à l’économie, et l’économie à l’État, et rejoignent ainsi l
17 1934, Articles divers (1932-1935). Carl Koch, Søren Kierkegaard (1934)
24 égrée à notre patrimoine moral, culturel, social, national et même religieux. ⁂ Kierkegaard en tant que chrétien sait que la vie
18 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — L’engagement politique
25 s déplorables duperies collectives, les guerres «  nationales  », par exemple2. Le fascisme a montré à nu ces prétentions, mais les
19 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Personne ou individu ? (d’après une discussion)
26 jection de conscience en un péril pour la défense nationale et l’ordre public. Quatrième question. — Les personnalistes se récla
20 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Fascisme
27 ation humaine : le fait fasciste étant avant tout national . Nous ne sentons pas l’hitlérisme comme des Allemands, ni le fascisme
28 te enfin résume et codifie officiellement l’idéal national que la culture et les mœurs de l’élite devenaient impuissantes à inca
29 tion de l’insigne du Parti aux anciennes couleurs nationales . 44. Voilà sans doute la raison pour laquelle le fascisme échoue dan
21 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
30 umettent de plus en plus la personne à la culture nationale , celle-ci à l’économie, et l’économie à l’État, et rejoignent ainsi l
22 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Qu’est-ce que la politique ?
31 que nous voulons restaurer le sens de la mission nationale des Français. C’est en vertu de notre conception de la personne, enfi
32 onc ! Militez dans le front populaire ou le front national  ! Faites de la « politique » en dépit de toute dignité humaine et de
23 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Quatre indications pour une culture personnaliste (février 1935)
33 université, écoles normales, académies, éducation nationale , encyclopédies officielles, instituts de propagande, revues d’un cert
24 1935, Articles divers (1932-1935). Nous ne mangeons pas de ce pain-là : à propos du 14 juillet (15 juillet 1935)
34 n dans la lutte qui met aux prises un Front dit «  national  » et un Front dit « populaire ». Nous demandons ce que peut bien sign
35 libératrice de la France. Nous pouvons nous dire nationaux , contre l’idole sanguinaire du nationalisme moderne. Nous pouvons nou
36 e fonds. Erreur sur la mystique : la lutte des «  nationaux  » contre les « populaires » ne fait que prolonger dans la rue l’oppos
25 1935, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Trois traités de Jean Calvin (20 juillet 1935)
37 alviniste ? L’exposition Calvin à la Bibliothèque nationale , si elle a permis à beaucoup de réviser quelque peu leurs notions sur
26 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Ni gauche ni droite (août 1935)
38 voit sommé de choisir entre un front qui se dit «  national  » et un front qui se dit « populaire ». Faudrait-il en déduire que le
39 uple et la nation — entre les noms — mais entre «  national  » et « populaire », c’est-à-dire entre les adjectifs. Je traduis : l’
40 lérienne, irait-on se battre au nom de la liberté nationale ou au nom de la liberté populaire ! Flatus vocis ! Il n’y a qu’une se
41 oque dont vit la droite, quand elle se proclame «  nationale  » tout en restant capitaliste.) Défendre la culture, ce serait d’abor
27 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). À propos du 14 juillet (juillet-août 1935)
42 e fonds. Erreur sur la mystique : la lutte des «  nationaux  » contre les « populaires » ne fait que prolonger dans la rue l’oppos
28 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
43 seuls peuvent briguer l’inspectorat de la Sûreté nationale . Il serait faux de dire qu’on paie l’esprit. C’est bien plutôt l’abse
44 rojetée doublera très inutilement la Bibliothèque nationale , ou bien, et c’est le plus probable, elle contiendra ce que je dis :
29 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). La situation politique en France (octobre 1935)
45 sion française, la Bonne Nouvelle des Volontaires Nationaux , leur Œuvre enfin, leur Foi, est-ce que cette inflation typographique
46 ature étatiste ; qu’elle se qualifie elle-même de nationale ou de prolétarienne, peu importe, le danger est pareil. À moins qu’un
47 e un essai de front commun allant des Volontaires nationaux à Doriot, en passant par le front social de Bergery et les néo-social
30 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Conversation avec un SA (décembre 1935)
48 ous aussi, nous avons eu, à notre heure, une idée nationale de l’héroïsme. Pas seulement sous Napoléon. Justement pas sous Napolé
31 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Plébiscite et démocratie (avril 1936)
49 ateur, mais je suis le porte-parole d’une volonté nationale à laquelle j’obéirai toujours aveuglément. (« Je marche comme un somn
50 cer le prestige d’un régime en créant l’unanimité nationale sur un acte politique défini et isolé, acte qui d’ailleurs a toutes l
51 c’est-à-dire qui a pris conscience de sa réalité nationale depuis bientôt 150 ans ; pour un pays enfin dont la mission a toujour
32 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Qu’est-ce que la politique ? (juin 1936)
52 que nous voulons restaurer le sens de la mission nationale des Français47. C’est en vertu de notre conception de la personne, en
33 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
53 ruine de l’individualisme. Là où nulle conscience nationale ne pouvait plus soutenir les hommes, cette ruine a laissé le champ li
54 munisme, national-socialisme. Mais là où le cadre national existait depuis un ou deux siècles, ces religions ne sauraient comble
55 nous apporte au moins l’équivalent des dynamismes nationaux . Nous avons des valeurs à défendre. Mais nous avons surtout des valeu
56 t non la tyrannie d’un seul, et non le gigantisme national . La société doit être un corps, non pas une construction mécanisée. E
34 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Les jacobins en chemise brune (décembre 1936)
57 out prix. Vous avez, vous Français une conscience nationale unitaire qui nous a toujours fait défaut. Tous vos manuels et tous vo
58 ent des bases idéologiques à la lutte pour l’idée nationale . Au fond le problème n’est pas si différent de celui qui se posait au
35 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Le problème de la culture
59 la loi de deux ans : « vaine querelle de défense nationale  » — l’opinion unanime l’accusera de démence, ou au contraire d’intell
36 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — D’une culture qui parle dans le vide
60 moyen l’idée de l’Université, de la Bibliothèque nationale et des œuvres complètes des classiques. C’est un corpus d’œuvres clas
37 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Tentatives de restauration d’une commune mesure
61 comment les grandes cultures, et les communautés nationales fécondes dans le domaine de l’esprit, apparaissent et se défont en mê
38 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — La mesure nationale-socialiste
62 ction de ce genre en France : et c’est le facteur national qui a donné au NSDAP non seulement la moitié de son nom, mais le pouv
63 e fait, que l’on confond sans le moindre scrupule national et nationaliste, quand il est question de l’Allemagne. C’est que la n
64 ous cas un homme de droite47. Et s’il s’affirme «  national  » cela ne rend plus du tout le son du « Vive la Nation ! » de Valmy…
65 l’hitlérisme : la revendication d’une conscience nationale . Vers 1933, le défaut de conscience nationale se faisait sentir aux
66 ce nationale. Vers 1933, le défaut de conscience nationale se faisait sentir aux Allemands plus fortement que le défaut de liber
67 aient pas même de bottes ! Et c’est la mystique «  nationale  » qui fit la force de l’armée du Rhin. Mais surtout Hitler a compris
68 fit appel à la doctrine marxiste, ou à l’honneur national menacé, c’est-à-dire à des mystiques, contre toute critique « désinté
69 s deux cas à l’édification (Aufbau) socialiste ou nationale . Les conditions pratiques de cette édification étant définies de la m
70 e l’Action française, qui voulut jouer la carte «  nationale  » contre l’esprit de la Révolution. Si les Français sont nationaux, c
71 e l’esprit de la Révolution. Si les Français sont nationaux , c’est parce qu’ils sont les descendants des jacobins. Et tout le res
72 est nationalisme. C’est le parti radical qui est national . Il l’est si bien qu’il n’a plus même l’idée de le dire. 48. La plup
39 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — commune mesure et acte de foi
73 qu’il va falloir décrire. Ce n’est pas une route nationale , où l’on puisse marcher en colonne, quatre par quatre ou trois par tr
40 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
74 ement celles qui n’avaient pas encore d’existence nationale . Mais cela s’explique ensuite par la misère : car ces nations ne se s
75 ruine de l’individualisme. Là où nulle conscience nationale ne pouvait plus soutenir les hommes, cette ruine a laissé le champ li
76 munisme, national-socialisme. Mais là où le cadre national existait depuis un ou deux siècles, ces religions ne sauraient comble
77 nous apporte au moins l’équivalent des dynamismes nationaux . Nous avons des valeurs à défendre. Mais nous avons surtout des valeu
78 t non la tyrannie d’un seul, et non le gigantisme national . La société doit être un corps, non pas une construction mécanisée. E
41 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
79 erranée, assurent l’ordre dans la rue, la défense nationale et le sommeil des rentiers. J’ajouterai à cette liste de bienfaits le
42 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Le problème de la culture
80 la loi de deux ans : « vaine querelle de défense nationale  » — l’opinion unanime l’accusera de démence, ou au contraire d’intell
43 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — D’une culture qui parle dans le vide
81 moyen l’idée de l’université, de la Bibliothèque nationale et des œuvres complètes des classiques. C’est un corpus d’œuvres clas
44 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Tentatives de restauration d’une commune mesure
82 comment les grandes cultures, et les communautés nationales fécondes dans le domaine de l’esprit, apparaissent et se défont en mê
45 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — La mesure nationale-socialiste
83 ction de ce genre en France : et c’est le facteur national qui a donné au NSDAP non seulement la moitié de son nom, mais le pouv
84 e fait, que l’on confond sans le moindre scrupule national et nationaliste, quand il est question de l’Allemagne. C’est que la n
85 ous cas un homme de droite48. Et s’il s’affirme «  national  » cela ne rend plus du tout le son du « Vive la Nation ! » de Valmy…
86 l’hitlérisme : la revendication d’une conscience nationale . Vers 1933, le défaut de conscience nationale se faisait sentir aux A
87 nce nationale. Vers 1933, le défaut de conscience nationale se faisait sentir aux Allemands plus fortement que le défaut de liber
88 aient pas même de bottes ! Et c’est la mystique «  nationale  » qui fit la force de l’armée du Rhin. Mais surtout Hitler a compris
89 fit appel à la doctrine marxiste, ou à l’honneur national menacé, c’est-à-dire à des mystiques, contre toute critique « désinté
90 s deux cas à l’édification (Aufbau) socialiste ou nationale . Les conditions pratiques de cette édification étant définies de la m
91 e l’Action française, qui voulut jouer la carte «  nationale  » contre l’esprit de la Révolution. Si les Français sont nationaux, c
92 e l’esprit de la Révolution. Si les Français sont nationaux , c’est parce qu’ils sont les descendants des jacobins. Et tout le res
93 est nationalisme. C’est le parti radical qui est national . Il l’est si bien qu’il n’a plus même l’idée de le dire. 49. La plup
46 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — commune mesure et acte de foi
94 qu’il va falloir décrire. Ce n’est pas une route nationale où l’on puisse marcher en colonne, quatre par quatre ou trois par tro
47 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
95 ement celles qui n’avaient pas encore d’existence nationale . Mais cela s’explique ensuite par la misère : car ces nations ne se s
96 ruine de l’individualisme. Là où nulle conscience nationale ne pouvait plus soutenir les hommes, cette ruine a laissé le champ li
97 : communisme, national-socialisme. Là où le cadre national existait depuis plusieurs siècles, ces religions ne sauraient combler
98 nous apporte au moins l’équivalent des dynamismes nationaux . Nous avons des valeurs à défendre. Mais nous avons surtout des valeu
99 t non la tyrannie d’un seul, et non le gigantisme national . La société doit être un corps, non pas une construction mécanisée. E
48 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
100 erranée, assurent l’ordre dans la rue, la défense nationale et le sommeil des rentiers. J’ajouterai à cette liste de bienfaits le
49 1937, Esprit, articles (1932–1962). Robert Briffaut, Europe (janvier 1937)
101 tout vraisemblable — on a bien cru à l’« honneur national  » ! — est évidemment symbolique. L’on est censé conclure de ce brilla
50 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Historique du mal capitaliste (janvier 1937)
102 fice de « l’État ». Ainsi naissent les affaires «  nationales  » (étatiques). Gens d’affaires et financiers poussent les princes à c
103 age de l’économie urbaine multiple à une économie nationale , ou mieux étatisée. Cette économie n’est plus la chose des seuls capi
104 des conflits sociaux, et la notion de Bien commun national s’est substituée à celle du bien particulier de la corporation, de la
105 ement du voisin la cause même de l’enrichissement national . Une fois de plus, la logique capitaliste mène à la guerre. La vente
106 ier sur une exploitation artificielle des marchés nationaux . (Ce phénomène n’est pas sans rappeler le repliement des municipalité
51 1937, Esprit, articles (1932–1962). Jacques Benoist-Méchin, Histoire de l’armée allemande depuis l’armistice (mars 1937)
107 voir, de « l’homme à poigne » touché par la grâce nationale , et qui se charge d’écraser la révolution avec une brutalité qu’aucun
52 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
108 du coiffeur fameux, premier gagnant de la Loterie nationale , s’inclinant sur la tombe du Soldat inconnu. Juste hommage au collègu
109 e le problème fasciste est un problème avant tout national  ; qu’il s’est posé en Italie dans des termes particuliers à ce pays,
53 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
110 r la veine « J’avais pris un billet de la Loterie nationale . Naturellement j’ai perdu ! Moi vous savez… Ce n’est pas comme Céline
54 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
111 aussi humaine. Elle quitte à tout propos la route nationale pour des chemins secondaires ou des ruelles à peine plus larges que l
55 1937, Articles divers (1936-1938). Extraits de… Journal d’un intellectuel en chômage (15 août 1937)
112 aussi humaine. Elle quitte à tout propos la route nationale pour des chemins secondaires ou des ruelles à peine plus larges que l
56 1937, Esprit, articles (1932–1962). Neutralité oblige (octobre 1937)
113 anlés, nos sécurités matérielles, ou sociales, ou nationales . Ce que personne n’a jamais eu l’idée de mettre en question parmi nou
114 tempestives que nous prodiguons chaque jour aux «  nationaux  » de tel pays ou aux « rouges » du monde entier. D’autant plus que ce
115 ntérêts de classe qui ne sont ni démocratiques ni nationaux . La même critique peut d’ailleurs s’adresser à notre presse d’extrême
116 cismes se donnent pour but d’exalter leur mission nationale . Quelles que soient les réserves de fond qu’il y ait à faire, et je l
117 ison sur le fait que nous n’avons pas une culture nationale unifiée, mais des cultures diversifiées, régionales ou étrangères. Un
118 stence vraiment autonome. Le budget de la défense nationale dans un pays dont la vraie raison d’être est en fin de compte spiritu
57 1937, Articles divers (1936-1938). Changer la vie ou changer l’homme ? (1937)
119 ’instance d’appel est « la cour suprême du synode national  ». (John Viénot, Histoire de la Réforme française, I, p. 271.) 62. C
58 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
120 es contradictoires dont le concours fait l’esprit national  ? C’est qu’on préfère sans doute appeler moyen ce qui est très bas — 
121 aussi humaine. Elle quitte à tout propos la route nationale pour des chemins secondaires ou des ruelles à peine plus larges que l
59 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
122 a veine. — « J’avais pris un billet de la Loterie nationale . Naturellement j’ai perdu ! Moi vous savez… Ce n’est pas comme Céline
123 du coiffeur fameux, premier gagnant de la Loterie nationale , s’inclinant sur la tombe du Soldat inconnu. Juste hommage au collègu
124 e le problème fasciste est un problème avant tout national  ; qu’il s’est posé en Italie dans des termes particuliers à ce pays,
60 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. L’été parisien
125 fasciste à Londres, le libéral à Nuremberg, le «  national  » place de la République, le « populaire » au haut des Champs-Élysées
61 1937, Articles divers (1936-1938). Vocation et destin d’Israël (1937)
126 le message aux gentils, ils ont perdu le bénéfice national , comme exclusif, de la Révélation. Mais c’est ici que saint Paul indi
127 oits civiques est bien une sorte de « sacerdoce » national . On voit ainsi que l’eugénisme n’est pas le seul motif de la législat
62 1938, Articles divers (1936-1938). Réponse à Pierre Beausire (15 janvier 1938)
128 exclut l’existence d’un type suisse racial, ou «  national  » au sens unitaire. Je ne crois même pas à l’homo alpinus, création p
63 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Du danger de s’unir (15 avril 1938)
129 passer cette mission créatrice avant l’intérêt «  national  » au sens matérialiste et militaire que prend ce terme dans l’Europe
130 oit pas les armements, qui ne soit pas la défense nationale mais d’abord l’idéal national. Il n’en faudrait pas davantage — ni mo
131 oit pas la défense nationale mais d’abord l’idéal national . Il n’en faudrait pas davantage — ni moins — pour transformer notre a
64 1938, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Vues sur le national-socialisme (1er juin 1938)
132 s tentatives pour instaurer une religion purement nationale et civique destinée à remplacer les confessions « vieillies » et « di
65 1938, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La vraie défense contre l’esprit totalitaire (juillet 1938)
133 éjà installée chez nous, sous prétexte de défense nationale . Or je crois que l’erreur qui aboutit à ce dilemme est la plus grave
134 ose unique, irremplaçable : un État qui n’est pas national , mais qui est au contraire fédéral. Un État dont les bases historique
66 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
135 s cadres, l’économie périclitait, et la « défense nationale  » ne pouvait pas s’organiser sans un constant recours à la passion de
136 ’une décharge passionnelle au niveau collectif et national , paraît aujourd’hui plus probable. Enfin, l’on peut encore imaginer q
67 1938, Esprit, articles (1932–1962). Revue des revues (septembre 1938)
137 ve des auteurs de ce Manifeste à l’égard du Parti national Breton et de ses doctrines corporatistes et paternalistes. Au total,
68 1938, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Page d’histoire (novembre 1938)
138 s peuples, puis leur annexion au nom de « l’unité nationale  ». 3. Quelle fut la réponse des démocraties ? — Il était fatal, dans
69 1938, Esprit, articles (1932–1962). L’amour action, ou de la fidélité (novembre 1938)
139 . À partir de la Révolution, la guerre devenant «  nationale  » exige la collaboration de toutes les forces créatrices, et en parti
140 rticulier de la technique. C’est alors la passion nationale et guerrière qui va devenir le principal moteur de la recherche mécan
70 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
141 tives pour instaurer une « religiosité » purement nationale et civique, et que l’on destine à remplacer les confessions « vieilli
142 la guerre, Martin Niemöller fait figure de héros national . Son autobiographie est célèbre : Du sous-marin à la chaire. Elle nou
143 and nombre des fidèles de cette Église sont des «  nationaux  » convaincus, politiquement d’accord avec Hitler. On trouve même parm
71 1938, Journal d’Allemagne. Conclusion 1938
144 s naïves que nourrissent dans nos bons pays les «  nationaux  » et en même temps les « socialistes ». Les nazis ont compris que le
72 1938, Journal d’Allemagne. Plébiscite et démocratie. (À propos des « élections » au Reichstag, 29 mars 1936)
145 ateur, mais je suis le porte-parole d’une volonté nationale à laquelle j’obéirai toujours aveuglément. Voilà ce que j’appelle de
146 cer le prestige d’un régime en créant l’unanimité nationale sur un acte politique défini et isolé, acte qui d’ailleurs a toutes l
147 c’est-à-dire qui a pris conscience de sa réalité nationale depuis bientôt 150 ans ; pour un pays enfin dont la mission a toujour
73 1938, Journal d’Allemagne. Les jacobins en chemise brune
148 ut prix. Vous avez, vous Français, une conscience nationale unitaire qui nous a toujours fait défaut. Tous vos manuels et tous vo
149 ent des bases idéologiques à la lutte pour l’idée nationale . Au fond, le problème n’est pas si différent de celui qui se posait a
74 1939, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Âme romantique et le rêve (15 août 1939)
150 inacceptable et inavouable (à cause de l’orgueil national ). C’est le monde qui doit être mal fait ! Car nous y sommes brimés, n
151 doit résulter un sentiment de manque d’assurance nationale . La vraie Allemagne ne peut pas être celle qui a subi la « blessure »
75 1939, Articles divers (1938-1940). Comment j’ai écrit Nicolas de Flue (3 novembre 1939)
152 e entendre. Grâce aux organisateurs de l’émission nationale du 6 novembre, quelques scènes typiques de la pièce seront exécutées
76 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
153 ais elle ne tarda guère à déboucher sur une route nationale encombrée, où l’on se promène le dimanche en famille pour voir passer
154 divers : politique, lutte des classes, sentiment national , tout devient prétexte à « passion » et déjà s’exalte en « mystiques 
77 1939, L’Amour et l’Occident. Amour et guerre
155 , l’armée française se présentait comme une armée nationale  : « Les gens d’armes étaient presque tous sujets du Roi et gentilshom
156 prétextes juridiques et personnels, où l’honneur national n’a rien à voir. Querelles de gendre et de beau-père au sujet de la d
157 éplacement d’accent. Ensuite, que veut la passion nationale  ? L’exaltation de la force collective ne peut mener qu’à ce dilemme :
158 liées comme l’Amour et la Mort. Désormais le fait national sera le facteur dominant de la guerre. « Celui qui écrit sur la strat
159 re à n’enseigner qu’une stratégie et une tactique nationales , seules susceptibles d’être profitables à la nation pour laquelle il
160 e ère nouvelle s’était ouverte, celle des guerres nationales aux allures déchaînées parce qu’elles allaient consacrer à la lutte t
161 élémentaires de l’art de guerre. » 9.La guerre nationale À partir de la Révolution, l’on va se battre « avec le cœur des so
162 e qui va de 1848 à 1870. Après quoi, les passions nationales , provisoirement apaisées, le céderont pendant quarante ans aux entrep
163 dans ses Principes de la guerre : La guerre fut nationale au début pour conquérir et garantir l’indépendance des peuples : Fran
164 ragosse, Tarancon, Moscou, Leipzig, etc. Elle fut nationale par la suite pour conquérir l’unité des races, la nationalité. C’est
165 che. Mais nous la voyons maintenant (1903) encore nationale , et cela pour conquérir des avantages commerciaux des traités de comm
166 -ce que la « revanche », sinon un sentimentalisme national  ? — et de plans commerciaux ou financiers. L’élément proprement guerr
167 trictions que l’État impose au nom de la grandeur nationale . L’honneur du chevalier, c’est l’inquiète susceptibilité des Nations
78 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe contre le mariage
168 s cadres, l’économie périclitait, et la « défense nationale  » ne pouvait pas s’organiser sans un constant recours à la passion de
169 ’une décharge passionnelle au niveau collectif et national , paraît aujourd’hui plus probable. Enfin, l’on peut encore imaginer q
79 1939, L’Amour et l’Occident. L’Amour action, ou de la fidélité
170 . À partir de la Révolution, la guerre devenant «  nationale  » exige la collaboration de toutes les forces créatrices, et en parti
80 1939, Articles divers (1938-1940). Le théâtre communautaire en Suisse (1939)
171 la représentation — il s’agissait de l’Exposition nationale de 1939 — par les dimensions de la scène prévue, et les ressources di
172 en Suisse », La Suisse vue à travers l’Exposition nationale , Zurich, Atlantis Verlag, vol. II, 1939, p. 542-545 (dont 2 p. illust
81 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
173 ais elle ne tarda guère à déboucher sur une route nationale encombrée, où l’on se promène le dimanche en famille pour voir passer
174 divers : politique, lutte des classes, sentiment national , tout devient prétexte à « passion » et déjà s’exalte en « mystiques 
82 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Amour et guerre
175 , l’armée française se présentait comme une armée nationale  : « Les gens d’armes étaient presque tous sujets du Roi et gentilshom
176 prétextes juridiques et personnels, où l’honneur national n’a rien à voir. Querelles de gendre et de beau-père au sujet de la d
177 éplacement d’accent. Ensuite, que veut la passion nationale  ? L’exaltation de la force collective ne peut mener qu’à ce dilemme :
178 liées comme l’Amour et la Mort. Désormais le fait national sera le facteur dominant de la guerre. « Celui qui écrit sur la strat
179 re à n’enseigner qu’une stratégie et une tactique nationales , seules susceptibles d’être profitables à la nation pour laquelle il
180 e ère nouvelle s’était ouverte, celle des guerres nationales aux allures déchaînées parce qu’elles allaient consacrer à la lutte t
181 élémentaires de l’art de guerre. » 9.La guerre nationale À partir de la Révolution, l’on va se battre « avec le cœur des so
182 e qui va de 1848 à 1870. Après quoi, les passions nationales , provisoirement apaisées, le céderont pendant quarante ans aux entrep
183 dans ses Principes de la guerre : La guerre fut nationale au début pour conquérir et garantir l’indépendance des peuples : Fran
184 ragosse, Tarancon, Moscou, Leipzig, etc. Elle fut nationale par la suite pour conquérir l’unité des races, la nationalité. C’est
185 che. Mais nous la voyons maintenant (1903) encore nationale , et cela pour conquérir des avantages commerciaux des traités de comm
186 -ce que la « revanche », sinon un sentimentalisme national  ? — et de plans commerciaux ou financiers. L’élément proprement guerr
187 trictions que l’État impose au nom de la grandeur nationale . L’honneur du chevalier, c’est l’inquiète susceptibilité des Nations
83 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe contre le mariage
188 s cadres, l’économie périclitait, et la « défense nationale  » ne pouvait pas s’organiser sans un constant recours à la passion de
84 1939, L’Amour et l’Occident (1956). L’amour action, ou de la fidélité
189 . À partir de la Révolution, la guerre devenant «  nationale  » exige la collaboration de toutes les forces créatrices, et en parti
85 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
190 ais elle ne tarda guère à déboucher sur une route nationale encombrée, où l’on se promène le dimanche en famille pour voir passer
191 divers : politique, lutte des classes, sentiment national , tout devient prétexte à « passion » et déjà s’exalte en « mystiques 
86 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Amour et guerre
192 , l’armée française se présentait comme une armée nationale  : « Les gens d’armes étaient presque tous sujets du Roi et gentilshom
193 prétextes juridiques et personnels, où l’honneur national n’a rien à voir. Querelles de gendre et de beau-père au sujet de la d
194 éplacement d’accent. Ensuite, que veut la passion nationale  ? L’exaltation de la force collective ne peut mener qu’à ce dilemme :
195 liées comme l’Amour et la Mort. Désormais le fait national sera le facteur dominant de la guerre. « Celui qui écrit sur la strat
196 re à n’enseigner qu’une stratégie et une tactique nationales , seules susceptibles d’être profitables à la nation pour laquelle il
197 e ère nouvelle s’était ouverte, celle des guerres nationales aux allures déchaînées parce qu’elles allaient consacrer à la lutte t
198 élémentaires de l’art de guerre. » 9.La guerre nationale À partir de la Révolution, l’on va se battre « avec le cœur des so
199 e qui va de 1848 à 1870. Après quoi, les passions nationales , provisoirement apaisées, le céderont pendant quarante ans aux entrep
200 , dans ses Principes de la guerre : La guerre fut nationale au début pour conquérir et garantir l’indépendance des peuples : Fran
201 ragosse, Tarancon, Moscou, Leipzig, etc. Elle fut nationale par la suite pour conquérir l’unité des races, la nationalité. C’est
202 che. Mais nous la voyons maintenant (1903) encore nationale , et cela pour conquérir des avantages commerciaux, des traités de com
203 -ce que la « revanche », sinon un sentimentalisme national  ? — et de plans commerciaux ou financiers. L’élément proprement guerr
204 trictions que l’État impose au nom de la grandeur nationale . L’honneur du chevalier, c’est l’inquiète susceptibilité des Nations
87 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe contre le mariage
205 s cadres, l’économie périclitait, et la « défense nationale  » ne pouvait pas s’organiser sans un constant recours à la passion de
88 1939, L’Amour et l’Occident (1972). L’amour action, ou de la fidélité
206 . À partir de la Révolution, la guerre devenant «  nationale  » exige la collaboration de toutes les forces créatrices, et en parti
89 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La bataille de la culture (janvier-février 1940)
207 guerre, par exemple, ou simplement que la défense nationale . Or je vois là le signe très certain d’une crise, — et d’une crise qu
90 1940, Articles divers (1938-1940). D’un certain cafard helvétique (janvier 1940)
208 allait ouvrir des possibilités d’action morale et nationale sans précédent, — et qui, après trois ou quatre mois, sont en train c
91 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. I : Les voix que rien n’arrête (24 février 1940)
209 envahir, mais c’est en premier lieu la conscience nationale . Souvenez-vous des tragédies autrichienne et tchécoslovaque. L’armée
92 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. II : Sommes-nous libres ? (2 mars 1940)
210 de l’étranger, c’est-à-dire de notre indépendance nationale . Il ne suffit donc pas de protéger notre indépendance par des fortifi
93 1940, Articles divers (1938-1940). D’un journal d’attente (pages démodées) (avril 1940)
211 ra, mais voilà qui s’appelle un beau redressement national  ! 11 avril 1939 Monsieur Turc a semé, mais moi, je n’arrive même pas
94 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’heure sévère (juin 1940)
212 progrès aux nécessités impérieuses de la défense nationale . Pour avoir refusé les sacrifices qu’eût entraînés un règlement plus
213 de sauver notre peau, dès qu’il s’agit de défense nationale , nous acceptons des mesures qui, hier encore, passaient pour folles,
95 1940, Articles divers (1938-1940). L’heure sévère (juin 1940)
214 progrès aux nécessités impérieuses de la défense nationale . Pour avoir refusé les sacrifices qu’eût entraînés un règlement plus
215 de sauver notre peau, dès qu’il s’agit de défense nationale , nous acceptons des mesures qui, hier encore, passaient pour folles,
96 1940, Articles divers (1938-1940). L’heure de la Suisse (1er août 1940)
216 otalitaire. Notre État fait un peu figure de parc national des anciennes libertés civiques, partout ailleurs apprivoisées. Eh bi
217 vail créée comblera une lacune dans notre défense nationale . Je conjure donc les patrons de consentir une réduction de leur profi
97 1940, Articles divers (1938-1940). Un fondateur de la Ligue du Gothard part pour quatre mois aux États-Unis : M. Denis de Rougemont nous dit… (23 août 1940)
218 pour les journées neuchâteloises de l’Exposition nationale de Zurich et qui ne put être représentée, la guerre ayant éclaté quel
98 1940, Articles divers (1938-1940). Autocritique de la Suisse (août 1940)
219 le perdent. » Si vous les obtenez, la révolution nationale dont certains parlent sera faite. Mais autrement, elle ne servira de
220 nte de nos jours que l’intégrité de la conscience nationale  ? Celle-là conserve-t-elle son sens quand celle-ci est déjà compromis
221 que est celle des religions politiques, sociales, nationales . Le commerce, l’industrie, l’économie en général, ont cessé d’imposer
99 1940, Qu’est-ce que la Ligue du Gothard ? (1940). II. Le symbole du Gothard
222 n Europe ne peut se prévaloir d’un pareil symbole national , qui se trouve être en même temps pareille sauvegarde militaire. Adop
100 1940, Qu’est-ce que la Ligue du Gothard ? (1940). IV. La Ligue du Gothard sera-t-elle un parti ?
223 plus suffisamment représentatifs de la communauté nationale  ! Nous déclarons donc sans équivoque que nous ne voulons pas fonder u
224 de citoyens dont la seule participation à la vie nationale consiste à se rendre aux urnes une fois l’an — encore s’ils s’y rende