1 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Conte métaphysique : L’individu atteint de strabisme (janvier 1927)
1 sse lumineuse la chevelure rouge d’Urbain, et son nez , lequel, par ses dimensions remarquablement exagérées, lui valait le
2 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Querelles de famille, par Georges Duhamel (mai 1932)
2 Français moyen qui brandit son parapluie sous le nez de l’agent, invective les automobilistes, déclame au beau milieu de l
3 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
3 ebout sur un seuil solennel, me regarde piquer du nez à l’arrêt brusque. Ici règne le plus ancien, mais le dernier « burgr
4 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
4 ebout sur un seuil solennel, me regarde piquer du nez à l’arrêt brusque. Ici règne le plus ancien, mais le dernier « burgra
5 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
5 nes ou grises et si basses. Je cherche à voir, le nez contre la vitre, et tout d’un coup : rue Claude-Bernard, — en plein c
6 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
6 giles, éthérées ! La carotte qu’on fixe devant le nez de l’âne a, sur le bonheur que poursuivent presque tous nos contempor
7 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
7 giles, éthérées ! La carotte qu’on fixe devant le nez de l’âne a, sur le bonheur que poursuivent presque tous nos contempor
8 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Qu’est-ce que la politique ?
8 listes n’ont pas vu plus loin que le bout de leur nez  — d’autre part par une effrayante absence d’imagination — d’où l’étro
9 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Précisions utiles sur l’industrie des navets (mars 1936)
9 mpliste. Mais il suffit d’avoir un peu fourré son nez dans le monde de l’édition parisienne pour savoir que ce cas est cour
10 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Qu’est-ce que la politique ? (juin 1936)
10 listes n’ont pas vu plus loin que le bout de leur nez —, d’autre part par une effrayante absence d’imagination — d’où l’étr
11 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
11 ux parisiens et méridionaux. Un vieux bonhomme au nez violacé traîne ses pantoufles par la boutique et grogne sans arrêt. I
12 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
12 la prairie et les cultures à longues foulées, le nez au sol. Soudain, l’un relevait la tête, et s’en allait. Un nouveau fa
13 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
13 rdures encore vivaces du jardin. Quand je lève le nez , je vois la cour de terre battue à l’ombre de ses deux tilleuls, la m
14 t avec les clients qui attendaient en silence, le nez sur leurs sabots, que je sois sorti. La mère Aujard n’a pas toujours
14 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (25 juillet 1937)
15 rdures encore vivaces du jardin. Quand je lève le nez , je vois la cour de terre battue à l’ombre de ses deux tilleuls, la m
16 t avec les clients qui attendaient en silence, le nez sur leurs sabots, que je sois sorti. La mère Aujard n’a pas toujours
15 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
17 rdures encore vivaces du jardin. Quand je lève le nez , je vois la cour de terre battue à l’ombre de ses deux tilleuls, la m
18 t avec les clients qui attendaient en silence, le nez sur leurs sabots, que je sois sorti. La mère Aujard n’a pas toujours
16 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
19 la prairie et les cultures à longues foulées, le nez au sol. Soudain, l’un relevait la tête, et s’en allait. Un nouveau fa
20 ux parisiens et méridionaux. Un vieux bonhomme au nez violacé traîne ses pantoufles par la boutique et grogne sans arrêt. I
17 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. L’été parisien
21 ux en lames de canif serrés contre la racine d’un nez pâle. Cheveux roux. Une bouche proéminente couleur de planche d’anato
18 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
22 me barrent la route, agitant des troncs sous mon nez  : « Pour le WHW !4 » Mon « Non merci » les laisse sans voix. J’ai ent
19 1939, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Puisque je suis un militaire… (septembre 1939)
23 t d’un coup sur la gauche quand on lève un peu le nez pour voir si rien ne vient. Non, rien ne vient. Grisaille, monotonie,
20 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
24 brutaux, « donnez-leur des coups de poing sur le nez  » (est-ce assez « cru » ?), forcez-les : car c’est cela qu’elles aime
21 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
25 brutaux, « donnez-leur des coups de poing sur le nez  » (est-ce assez « cru » ?), forcez-les : car c’est cela qu’elles aime
22 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Les origines religieuses du mythe
26 brutaux, « donnez-leur des coups de poing sur le nez  » (est-ce assez « cru » ?), forcez-les : car c’est cela qu’elles aime
23 1940, Articles divers (1938-1940). L’homme au poignard enguirlandé (1940)
27 it faiseur de rimes, je te tire une crotte sur le nez , trois dans ta barbe !15 » Mais nous voici mieux muselés que ces ours
24 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — Vues sur Ramuz
28 u’on en voit sur le manuscrit des Noces. Quant au nez d’aigle, ce n’est guère celui que les photos du modèle nous montrent.
29 celui que les photos du modèle nous montrent. Le nez est d’ordinaire l’élément le plus impersonnel dans un visage, le plus
25 1946, Journal de Genève, articles (1926–1982). Journal d’un retour (11-12 mai 1946)
30 nes ou grises et si basses. Je cherche à voir, le nez contre la vitre, et tout d’un coup : Rue Claude Bernard, — en plein c
26 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Souvenir d’un orage en Virginie (novembre 1946)
31 là, des statues de faunes et de chiens gisent le nez dans l’herbe, près d’un socle brisé. Le pré s’élève et s’ouvre sur la
27 1946, Esprit, articles (1932–1962). Épilogue (novembre 1946)
32 mortelles. Alors les chefs de partis baissent le nez , font appel à l’union sacrée, et délèguent tout pouvoir à l’État, qui
28 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
33 là, des statues de faunes et de chiens gisent le nez dans l’herbe, près d’un socle brisé. Le pré s’élève et s’ouvre sur la
29 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
34 t d’un coup sur la gauche quand on lève un peu le nez pour voir si rien ne vient. Non, rien ne vient. Grisaille, monotonie,
35 it faiseur de rimes, je te tire une crotte sur le nez , trois dans ta barbe ! »1 Mais nous voici mieux muselés que ces ours
30 1946, Journal des deux mondes. Virginie
36 là, des statues de faunes et de chiens gisent le nez dans l’herbe, près d’un socle brisé. Le pré s’élève et s’ouvre sur la
31 1946, Journal des deux mondes. Journal d’un retour
37 nes ou grises et si basses. Je cherche à voir, le nez contre la vitre, et tout d’un coup : rue Claude-Bernard, — en plein c
32 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Châteaux en Prusse
38 ebout sur un seuil solennel, me regarde piquer du nez à l’arrêt brusque. Ici règne le plus ancien mais le dernier « burgrav
33 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
39 rdures encore vivaces du jardin. Quand je lève le nez , je vois la cour de terre battue à l’ombre de ses deux tilleuls, la m
40 t avec les clients qui attendaient en silence, le nez sur leurs sabots, que je sois sorti. La mère Aujard n’a pas toujours
34 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
41 la prairie et les cultures à longues foulées, le nez au sol. Soudain, l’un relevait la tête, et s’en allait. Un nouveau fa
42 ux parisiens et méridionaux. Un vieux bonhomme au nez violacé traîne ses pantoufles par la boutique et grogne sans arrêt. I
35 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — L’été parisien
43 ux en lames de canif serrés contre la racine d’un nez pâle. Cheveux roux. Une bouche proéminente couleur de planche d’anato
36 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Journal (1935-1936)
44 me barrent la route, agitant des troncs sous mon nez  : « Pour le WHW51 ! » Mon « Non merci » les laisse sans voix. J’ai en
37 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
45 t d’un coup sur la gauche quand on lève un peu le nez pour voir si rien ne vient. Non, rien ne vient. Grisaille, monotonie,
46 it faiseur de rimes, je te tire une crotte sur le nez , trois dans ta barbe 75 ! » Mais nous voici mieux muselés que ces our
38 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Virginie
47 là, des statues de faunes et de chiens gisent le nez dans l’herbe, près d’un socle brisé. Le pré s’élève et s’ouvre sur la
39 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Journal d’un retour
48 nes ou grises et si basses. Je cherche à voir, le nez contre la vitre, et tout d’un coup : rue Claude-Bernard, — en plein c
40 1947, Articles divers (1946-1948). Einstein, patriarche de l’âge atomique, m’a dit : « C’est pour dissimuler sa pauvreté et sa faiblesse que l’URSS méfiante, s’entoure de secret… » (9 août 1947)
49 cades sourcilières étrangement élevées, un énorme nez rose, des joues grises creusées de profondes ravines et deux touffes
41 1947, Vivre en Amérique. Conseil à un Français pour vivre en Amérique
50 mortelles. Alors les chefs de partis baissent le nez , font appel à l’union sacrée, et délèguent tout pouvoir à l’État, qui
42 1948, Articles divers (1946-1948). Rencontre avec Denis de Rougemont (janvier 1948)
51 cades sourcilières étrangement élevées, un énorme nez rose, des joues grises creusées de profondes ravines et deux touffes
43 1949, Articles divers (1948-1950). Commencer par l’Europe (février 1949)
52 ’imagine aucun moyen de me soustraire : Devant le nez des premiers enthousiastes de la Planète unie par les peuples unis —
44 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur un patriotisme de la terre (mars 1958)
53 au crépuscule. Le moteur extérieur à droite, son nez rose à travers l’aura sombre de l’hélice. L’aluminium des ailes luit
45 1958, Définition, valeurs, énergie, recherche : quatre essais européens (1958). Comment définir l’Europe ?
54 e nos trop petites nations. Tant que nous restons nez à nez, nous ne voyons que nos différences. Nous disons : « Quoi de co
55 trop petites nations. Tant que nous restons nez à nez , nous ne voyons que nos différences. Nous disons : « Quoi de commun e
46 1959, Preuves, articles (1951–1968). Nouvelles métamorphoses de Tristan (février 1959)
56 brune, des lèvres pleines, de forts sourcils, un nez légèrement retroussé : une Polonaise noiraude peut-être, ou une Slave
47 1959, Articles divers (1957-1962). La nature profonde de l’Europe (juin 1959)
57 férents, comme ils se voient eux-mêmes en restant nez à nez. Les Américains les confondent ; et quant aux Asiatiques, ils l
58 s, comme ils se voient eux-mêmes en restant nez à nez . Les Américains les confondent ; et quant aux Asiatiques, ils les dis
48 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Nouvelles métamorphoses de Tristan
59 brune, des lèvres pleines, de forts sourcils, un nez légèrement retroussé : une Polonaise noiraude peut-être, ou une Slave
49 1963, L’Opportunité chrétienne. Première partie. L’opportunité chrétienne dans un monde sécularisé — 2. Sécularisme
60 est fausse, ou inexistante. Vous reconnaissez le nez , les yeux, la bouche, les proportions du corps, mais non pas l’homme,
50 1964, Articles divers (1963-1969). De la marche / De l’échec (1964)
61 saient, ramenant la courte halte sur le talus, le nez plongé dans l’herbe fraîche. Plusieurs en profitaient pour rajuster m
51 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
62 it faiseur de rimes, je te tire une crotte sur le nez , trois dans la barbe »88 Mais nous voici mieux muselés que ces ours d
52 1970, Lettre ouverte aux Européens. I. L’unité de culture
63 staté l’unité de son objet. Tant que nous restons nez à nez sur nos frontières multipliées dans tous les ordres, nous ne vo
64 l’unité de son objet. Tant que nous restons nez à nez sur nos frontières multipliées dans tous les ordres, nous ne voyons q
53 1979, Articles divers (1978-1981). Notes pour une éthique du fédéralisme (1979)
65 dans le fait que chacun a comme moi deux yeux, un nez , une bouche, et quatre membres, ce qui ne m’apprend rien sur sa perso