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sse lumineuse la chevelure rouge d’Urbain, et son
nez
, lequel, par ses dimensions remarquablement exagérées, lui valait le
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Français moyen qui brandit son parapluie sous le
nez
de l’agent, invective les automobilistes, déclame au beau milieu de l
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ebout sur un seuil solennel, me regarde piquer du
nez
à l’arrêt brusque. Ici règne le plus ancien, mais le dernier « burgr
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ebout sur un seuil solennel, me regarde piquer du
nez
à l’arrêt brusque. Ici règne le plus ancien, mais le dernier « burgra
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nes ou grises et si basses. Je cherche à voir, le
nez
contre la vitre, et tout d’un coup : rue Claude-Bernard, — en plein c
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giles, éthérées ! La carotte qu’on fixe devant le
nez
de l’âne a, sur le bonheur que poursuivent presque tous nos contempor
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giles, éthérées ! La carotte qu’on fixe devant le
nez
de l’âne a, sur le bonheur que poursuivent presque tous nos contempor
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listes n’ont pas vu plus loin que le bout de leur
nez
— d’autre part par une effrayante absence d’imagination — d’où l’étro
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mpliste. Mais il suffit d’avoir un peu fourré son
nez
dans le monde de l’édition parisienne pour savoir que ce cas est cour
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listes n’ont pas vu plus loin que le bout de leur
nez
—, d’autre part par une effrayante absence d’imagination — d’où l’étr
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ux parisiens et méridionaux. Un vieux bonhomme au
nez
violacé traîne ses pantoufles par la boutique et grogne sans arrêt. I
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la prairie et les cultures à longues foulées, le
nez
au sol. Soudain, l’un relevait la tête, et s’en allait. Un nouveau fa
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rdures encore vivaces du jardin. Quand je lève le
nez
, je vois la cour de terre battue à l’ombre de ses deux tilleuls, la m
14
t avec les clients qui attendaient en silence, le
nez
sur leurs sabots, que je sois sorti. La mère Aujard n’a pas toujours
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rdures encore vivaces du jardin. Quand je lève le
nez
, je vois la cour de terre battue à l’ombre de ses deux tilleuls, la m
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t avec les clients qui attendaient en silence, le
nez
sur leurs sabots, que je sois sorti. La mère Aujard n’a pas toujours
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rdures encore vivaces du jardin. Quand je lève le
nez
, je vois la cour de terre battue à l’ombre de ses deux tilleuls, la m
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t avec les clients qui attendaient en silence, le
nez
sur leurs sabots, que je sois sorti. La mère Aujard n’a pas toujours
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la prairie et les cultures à longues foulées, le
nez
au sol. Soudain, l’un relevait la tête, et s’en allait. Un nouveau fa
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ux parisiens et méridionaux. Un vieux bonhomme au
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violacé traîne ses pantoufles par la boutique et grogne sans arrêt. I
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ux en lames de canif serrés contre la racine d’un
nez
pâle. Cheveux roux. Une bouche proéminente couleur de planche d’anato
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me barrent la route, agitant des troncs sous mon
nez
: « Pour le WHW !4 » Mon « Non merci » les laisse sans voix. J’ai ent
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t d’un coup sur la gauche quand on lève un peu le
nez
pour voir si rien ne vient. Non, rien ne vient. Grisaille, monotonie,
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brutaux, « donnez-leur des coups de poing sur le
nez
» (est-ce assez « cru » ?), forcez-les : car c’est cela qu’elles aime
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brutaux, « donnez-leur des coups de poing sur le
nez
» (est-ce assez « cru » ?), forcez-les : car c’est cela qu’elles aime
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brutaux, « donnez-leur des coups de poing sur le
nez
» (est-ce assez « cru » ?), forcez-les : car c’est cela qu’elles aime
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it faiseur de rimes, je te tire une crotte sur le
nez
, trois dans ta barbe !15 » Mais nous voici mieux muselés que ces ours
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u’on en voit sur le manuscrit des Noces. Quant au
nez
d’aigle, ce n’est guère celui que les photos du modèle nous montrent.
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celui que les photos du modèle nous montrent. Le
nez
est d’ordinaire l’élément le plus impersonnel dans un visage, le plus
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nes ou grises et si basses. Je cherche à voir, le
nez
contre la vitre, et tout d’un coup : Rue Claude Bernard, — en plein c
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là, des statues de faunes et de chiens gisent le
nez
dans l’herbe, près d’un socle brisé. Le pré s’élève et s’ouvre sur la
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mortelles. Alors les chefs de partis baissent le
nez
, font appel à l’union sacrée, et délèguent tout pouvoir à l’État, qui
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là, des statues de faunes et de chiens gisent le
nez
dans l’herbe, près d’un socle brisé. Le pré s’élève et s’ouvre sur la
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t d’un coup sur la gauche quand on lève un peu le
nez
pour voir si rien ne vient. Non, rien ne vient. Grisaille, monotonie,
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it faiseur de rimes, je te tire une crotte sur le
nez
, trois dans ta barbe ! »1 Mais nous voici mieux muselés que ces ours
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là, des statues de faunes et de chiens gisent le
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dans l’herbe, près d’un socle brisé. Le pré s’élève et s’ouvre sur la
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nes ou grises et si basses. Je cherche à voir, le
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contre la vitre, et tout d’un coup : rue Claude-Bernard, — en plein c
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ebout sur un seuil solennel, me regarde piquer du
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à l’arrêt brusque. Ici règne le plus ancien mais le dernier « burgrav
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rdures encore vivaces du jardin. Quand je lève le
nez
, je vois la cour de terre battue à l’ombre de ses deux tilleuls, la m
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t avec les clients qui attendaient en silence, le
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sur leurs sabots, que je sois sorti. La mère Aujard n’a pas toujours
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la prairie et les cultures à longues foulées, le
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au sol. Soudain, l’un relevait la tête, et s’en allait. Un nouveau fa
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ux parisiens et méridionaux. Un vieux bonhomme au
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violacé traîne ses pantoufles par la boutique et grogne sans arrêt. I
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ux en lames de canif serrés contre la racine d’un
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pâle. Cheveux roux. Une bouche proéminente couleur de planche d’anato
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me barrent la route, agitant des troncs sous mon
nez
: « Pour le WHW51 ! » Mon « Non merci » les laisse sans voix. J’ai en
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t d’un coup sur la gauche quand on lève un peu le
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pour voir si rien ne vient. Non, rien ne vient. Grisaille, monotonie,
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it faiseur de rimes, je te tire une crotte sur le
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, trois dans ta barbe 75 ! » Mais nous voici mieux muselés que ces our
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là, des statues de faunes et de chiens gisent le
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dans l’herbe, près d’un socle brisé. Le pré s’élève et s’ouvre sur la
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nes ou grises et si basses. Je cherche à voir, le
nez
contre la vitre, et tout d’un coup : rue Claude-Bernard, — en plein c
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cades sourcilières étrangement élevées, un énorme
nez
rose, des joues grises creusées de profondes ravines et deux touffes
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mortelles. Alors les chefs de partis baissent le
nez
, font appel à l’union sacrée, et délèguent tout pouvoir à l’État, qui
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cades sourcilières étrangement élevées, un énorme
nez
rose, des joues grises creusées de profondes ravines et deux touffes
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’imagine aucun moyen de me soustraire : Devant le
nez
des premiers enthousiastes de la Planète unie par les peuples unis —
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au crépuscule. Le moteur extérieur à droite, son
nez
rose à travers l’aura sombre de l’hélice. L’aluminium des ailes luit
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e nos trop petites nations. Tant que nous restons
nez
à nez, nous ne voyons que nos différences. Nous disons : « Quoi de co
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trop petites nations. Tant que nous restons nez à
nez
, nous ne voyons que nos différences. Nous disons : « Quoi de commun e
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brune, des lèvres pleines, de forts sourcils, un
nez
légèrement retroussé : une Polonaise noiraude peut-être, ou une Slave
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férents, comme ils se voient eux-mêmes en restant
nez
à nez. Les Américains les confondent ; et quant aux Asiatiques, ils l
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s, comme ils se voient eux-mêmes en restant nez à
nez
. Les Américains les confondent ; et quant aux Asiatiques, ils les dis
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brune, des lèvres pleines, de forts sourcils, un
nez
légèrement retroussé : une Polonaise noiraude peut-être, ou une Slave
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est fausse, ou inexistante. Vous reconnaissez le
nez
, les yeux, la bouche, les proportions du corps, mais non pas l’homme,
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saient, ramenant la courte halte sur le talus, le
nez
plongé dans l’herbe fraîche. Plusieurs en profitaient pour rajuster m
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it faiseur de rimes, je te tire une crotte sur le
nez
, trois dans la barbe »88 Mais nous voici mieux muselés que ces ours d
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staté l’unité de son objet. Tant que nous restons
nez
à nez sur nos frontières multipliées dans tous les ordres, nous ne vo
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l’unité de son objet. Tant que nous restons nez à
nez
sur nos frontières multipliées dans tous les ordres, nous ne voyons q
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dans le fait que chacun a comme moi deux yeux, un
nez
, une bouche, et quatre membres, ce qui ne m’apprend rien sur sa perso